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1.

mécanisme(s) physiopathologique(s) de la toxémie gravidique :

a. Néphropathie gravidique
b. Hypertrophie cardiaque
c. Ischémie utero placentaire
d. Essentiel
e. Polykystose Rénale

2. Le HELLP syndrome se caractérise par :

a. Hémolyse, hyper protidémie et cytolyse hépatique


b. anémie, thrombopénie, HTA
c. hémolyse, hypovolémie, hyper protidémie
d. hémolyse, cytolyse hépatique et thrombopénie
e anémie, thrombopénie et coagulation intra vasculaire disséminée

3. Le traitement essentiel de l’éclampsie repose sur :

a. hypotenseurs
b. anti convulsivants
c. extraction fœtale
d. réanimation adéquate
e. désobstruction des voies respiratoires avec oxygénothérapie

4. au cours de la toxémie gravidique, on peut observer les complications suivantes, sauf :

a. insuffisance rénale aigue


b. hématome rétroplacentaire
c. hématome sous capsulaire du foie
d. macrosomie fœtale
e. HELLP syndrome

5. en cas de toxémie gravidique, on peut prescrire les traitements anti hypertenseurs suivants,
sauf :

a. β bloquants
b. inhibiteurs calciques
c. hypotenseurs centraux
d. α ,β bloquants
e. inhibiteurs de l’enzyme de conversion

6. Type histologique le plus fréquent du cancer du col utérin :

a. adénocarcinome
b. carcinome épidermoide
c. Rhabdomyosarcome
d. leiomyosarcome
e. carcinome à cellules claires

7. Le cancer du col utérin in situ est caractérisé par :

a. métrorragies
b. leucorrhées
c. douleur pelvienne
d. ganglion de Troisier
e. Aucun signe

8. Le diagnostic du cancer du col utérin est confirmé par:

a. frottis cervico-vaginal
b. colposcopie
c. biopsie du col
d. hystérosalpingographie
e. hystéroscopie

9. Dans le cancer du col utérin, la radiochimiotherapie ,néo adjuvante à la chirurgie, est indiquée 
au stade :

a. In situ
b. Ib1
c. Ib2
d. IIb
e. IIIa

10. l’extension ,d’un cancer du col utérin ,aux paramètres est appréciée par :

a. échographie abdomino pelvienne


b. tomodensitométrie abdomino pelvienne
c. Toucher rectal
d. rectoscopie
e. Toucher vaginal

11. Le dépistage de masse du cancer du sein repose sur :

a. autopalpation
b. examen clinique
c. mammographie
d. IRM mammaire
e. TDM mammaire

12. Dans le cancer du sein, on retrouve les caractéristiques cliniques suivantes, sauf :

a. nodule dur
b. signe de capiton
c. adénopathie axillaire satellite
d. rougeur du sein
e. écoulement sanguinolent mammaire

13. L’aspect mammographique typique d’un cancer du sein est :


a. opacité regulaire avec calcifications irréguliers
b. opacité spéculaire avec micro calcifications vermiculaire
c. opacité irrégulière avec micro calcifications régulières
d. micro calcifications régulières groupes en amas
e. différence de densité entre 02 mammographies successives s

14. Le traitement conservateur du cancer du sein est indiqué en cas  de:

a. tumeur retromammelonnaire
b. Tumeur du quadrant interne
c. tumeur de plus 3 cm siégeant au quadrant externe
d. Post- chimiothérapie d’une tumeur du quadrant supéro externe inferieure à 3cm
e. Post- radiothérapie mammaire

15. La thérapie ciblée du cancer du sein est indiquée en cas :

a. Récepteur aux oestrogènes positif (RE+) , récepteur à la progestérone négatif (RP-) et test HER
négatif (HER test-)
b. RE+ RP+ HER test+
c. RE+ RP- HER test+++
d. RE+ RP+ HER est++
e. Toutes les réponses sont fausses

16. Le diagnostic de l’hématome rétroplacentaire repose sur :

a. clinique
b. échographie
c. rythme cardiaque foetal
d. PH metrie
e. Radio du contenu utérin

17. La complication la plus redoutable ,en cas d’ hématome rétroplacentaire, est :

a. Hémorragie
b. Coagulation intravasculaire disséminée
c. éclampsie
d. insuffisance rénale aigue
e. œdème aigu pulmonaire

18. L’utérus de Couvelaire se caractérise par les signes suivants, sauf :

a. Aspect violacé de l’utérus


b. Saignement d’origine utérine
c. Nécessite une hystérectomie totale d’hémostase
d. Répond bien aux uterotoniques
e. La régression spontanée de son aspect est la règle
19. en cas d’hématome rétroplacentaire, face un enfant vivant, la conduite à tenir consiste à : 

a. Diriger le travail
b. Faire une césarienne d’emblée
c. Rompre artificiellement les membranes
d. Assurer une réanimation et plus tard un déclenchement de travail
e. Faire accoucher par forceps

20. La prévention des récidives de l’hématome rétroplacentaire passe par :

a. Mise sous aspirine 100mg


b. Extraction du fœtus à 07 mois
c. Césarienne d’emblée devant tout saignement du 3 éme trimestre
d. Traitement hypotenseur d’ embée à partir du 1 er trimestre
e. Réalisation d’ un doppler obstétrical au troisième trimestre

21. Le fibrome utérin est une tumeur :

a. Benigne bien limitée


b. Encapsulée
c. Dévascularisée
d. développée au dépend de l’endomètre
e. Constituée seulement de fibres musculaires lisses

22. Les hémorragies d’un fibrome utérin sont secondaires à :

a. desquamation d’un endomètre hyperplasique


b. fibrome sous –séreux.
c. érosion vasculaire d’un myome sous-muqueux
d. augmentation de volume uterin
e. Toutes les réponses sont justes

23. En cas de fibrome utérin, l’utéroscopie permet :

a. Le diagnostic d’un fibrome endocavitaire


b. Le diagnostic d’une hyperplasie endometriade
c. la résection d’un myome sous muqueux inferieur à 3cm
d. Le traitement de lésions adenomyoses associées
e. de vérifier la perméabilité tubaire

24. Concernant la nécrobiose aseptique d’un fibrome utérin  :

a. Elle survient pendant la grossesse


b. Elle est secondaire à une mauvaise vascularisation du fibrome
c. Elle se manifeste par une douleur intense, fièvre et un fibrome augmenté de volume
d. Elle présente un aspect en cocarde a l’échographie
e. Elle nécessite un traitement chirurgical en urgence

25. Complication(s) du fibrome utérin , chez une femme enceinte :


a. présentation dystocique
b. risque d’accouchement prématuré
c. obstacle prævia
d. dystocie dynamique
e. hémorragie de la délivrance

26. L’incidence de la grossesse extra utérine est estimée à :

a. 01 à 03% des grossesses


b. 0.5 à 01% des grossesses
c. 04 à 06% des grossesses
d. 08 à 10% grossesses
e. 01 à 1000 grossesses

27. Facteur(s) de risque(s) de la grossesse extra utérine :

a. antécédent de salpingite
b. endométriose pelvienne
c. contraception par un stérilet
d. pilule minidosé
e. Fertilisation in vitro

28. La grossesse extra utérine est  le mieux caractérisée par :

a. douleur pelvienne a type de colique latéralisée


b. métrorragies type sépia
c. signes sympathiques exagérés
d. aspect violacé du col
e. utérus plus petit que le terme théorique

29. Le traitement médical de la grossesse extra utérine est indiqué on cas de :

a. Taux d’HCG < 1000 MUI/ML


b. grossesse extra utérine asymptomatique
c. grossesse extra utérine invisible à l’échographie
d. absence de contre indication au méthotréxate
e. hematosalpinx inferieur à 4cm

30. Le traitement coelioscopique de la grossesse extra utérine :

a. Est contre indiqué on cas d’hémodynamique instable


b. constitue un traitement chirurgical de référence
c. a trois buts : diagnostique, pronostique et thérapeutique
d. peut réaliser une ouverture de la trompe avec aspiration de la grossesse
e. Augmente le risque de conversion en laparotomie
31. Les hémorragies de la délivrance sont des pertes de sang :

a. Ayant leur source dans la zone d’insertion placentaire et génitale


b. Provenant de la région cervicale
c. Ayant leur source dans la région vulvo-vaginale
d. Survenant au-delà de 24heures
e. Survenant avant la délivrance ou dans les 24heures qui suivent

32. La fréquence moyenne de l’hémorragie de la délivrance est de:

a. 15%
b. 10%
c. 2.5%
d. 7.5%
e. Toutes les réponses sont fausses

33. On traite, en premier, l’hémorragie de la délivrance par:

a. La révision utérine manuelle sous valves


b. La délivrance dirigée
c. La suture de l’utérus selon la technique de spinelli
d. La délivrance artificielle
e. La suture de l’épisiotomie

34. Devant une hémorragie de la délivrance qui persiste, et avant d’envisager l’hystérectomie, on
pratique :

a. L’embolisation artérielle
b. Le tamponnement intra utérin
c. La ligature des artères hypogastriques
d. L’injection d’ocytociques intra muraux
e. La manœuvre de WEYGAN-MARTIN

35. Le traitement prophylactique de l’hémorragie de la délivrance se résume en :

a. respect de la physiologie de la délivrance


b. surveillance de la délivrance
c. compensation de la masse sanguine
d. réponses a ,b et c
e. toutes les réponses sont fausses

36. Le cancer de l’endomètre est suspecté chez les patientes :

a. âgées entre 40-50ans


b. présentant des métrorragies post ménopausiques
c. soumises à une hyperoestrogénie
d. obèses
e. traitées habituellement par les progestatifs seuls
37. Examen(s) à demander pour confirmer le diagnostic de cancer de l’endomètre :

a. Le frottis cervicovaginal
b. La colposcopie
c. Le curetage biopsique
d. Le scanner
e. L’hystéroscopie

38. Vous dépistez chez une femme ménopausée un carcinome de l’endomètre limité au corps
utérin . Elle est au stade :

a. Stade 0
b. Stade I
c. Stade II
d. Stade III
e. Stade IV

39. Traitement(s) de choix du cancer du corps utérin avec infiltration des 2/3 internes du
myomètre :

a. La chimiothérapie préopératoire avec une hystérectomie


b. La radiothérapie associée à la chimiothérapie
c. L’hystérectomie avec annexectomie
d. L’hystérectomie avec chimiothérapie
e. La radiothérapie pelvienne

40. La surveillance du cancer du corps utérin sera faite essentiellement par :

a. téléthorax
b. examens gynécologiques répétés
c. échographie pelvienne
d. RMN
e. scanner pelvien

41. Les kystes de l’ovaire sont le plus souvent révélé par :

a. métrorragies
b. signes de compressions rectales
c. signes de compressions vésicales
d. augmentation de volume de l’abdomen
e. adénopathie sus claviculaire

42. Concernant le kyste de l’ovaire, il faut en premier lieu pratiquer :

a. ASP
b. échographie
c. lavement baryté
d. scanner
e. doppler

43. L’évolution spontanée des kystes fonctionnels de l’ovaire est habituellement :


a. Une dégénérescence vers un kyste organique
b. Une dégénérescence maligne possible
c. Une hypersécrétion hormonale responsable d’une hyperplasie de l’endomètre
d. Une hypersécrétion hormonale responsable d’un adénocarcinome de l’endomètre
e. Une régression spontanée

44. Le plus haut potentiel de malignité des kystes de l’ovaire est observé en cas de :

a. kyste dermoide
b. cystadenome sereux
c. cystadenome mucineux
d. kyste mucoide
e. kyste accompagnant la mole hydatiforme

45. Complication(s) chronique(s) des kystes de l’ovaire :


a. torsion
b. fissuration
c. hémorragie
d. dégénérescence
e. infection

46. Les critères de choix d’une contraception dépendent de :

a. L’innocuité
b. La réversibilité
c. L’acceptabilité
d. L’indice de Pearl >2%
e. De son prix

47. La contraception oestroprogestative est composée de:

a. ethinyloestradiol et progestatif
b. 17béta oestradiol et progestatif
c. ethinyloestradiol et progestérone
d. 17béta oestradiol et progestérone
e. 17béta oestradiol, ethinystradiol et progestatif

48. Une plaquette oestroprogestative qui contient 21 pilules identiques associant 30 micro
grammes d’ethinyloestradiol et un progestatif est une :

a. pilule classique
b. pilule combinée
c. pilule bi phasique
d. pilule séquentielle
e. micropilule

49. Les oestro progestatifs sont utilisés en contraception :

a. Du 5 éme au 25 éme jour du cycle normal


b. Du 10 éme au 25 éme jour du cycle normal
c. Pendant 28 jours à partir de 3 jours des règles précédentes
d. Par période de 21jours entrecoupés d’arrêt de 7 jours
e. En continu y compris pendant les règles

50. Que conseiller à une patiente ayant oublié de prendre sa pilule la veille :

a. prendre le lendemain le comprimé oublié et le soir le comprimé suivant 


b. attendre le soir pour prendre le comprimé prévu et jeter celui qui a été oublié
c. prendre les deux comprimés en même temps le soir
d. arrêter la pilule et attendre l’hémorragie de privation
e. ne pas avoir de rapport sexuel jusqu’au cycle prochain

51. Le diagnostic de placenta prævia repose sur :

a. métrorragies
b. douleurs pelviennes
c. Contracture abdominale
d. Mort in utero
e. échographie obstétricale

52. En cas de placenta prævia, l’extraction fœtale s’impose devant :

a. HTA associée
b. douleurs pelviennes importantes
c. hémorragie importante
d. œdème important
e. placenta prævia latéralisé

53. la formation du placenta prævia  est favorisée par :

a. Un utérus cicatriciel
b. Une grossesse multiple
c. Un curetage
d. Un myome sous muqueux
e. La nulliparite

54. Lors de l’examen du délivré, le diagnostic d’un placenta prævia est fait en présence de :

a. cupule dans la face fœtale du placenta


b. petite côte des membranes inferieur à 10 cm
c. présence des vaisseaux prævia sur les membranes fœtales
d. épaisseur du placenta supérieure à 10cm
e. présence de calcifications localisées sur le placenta

55. la classification échographique de BESSIS d’un placenta prævia repose sur la position du
placenta par rapport à :

a. fond utérin
b. vessie
c. col utérin
d. tête fœtale
e. segment inferieur
56. Une azoospermie sécrétoire est caractérisée par :

a. FSH augmentée-LH augmentée- testostérone normale


b. FSH diminuée- LH augmentée-testostérone normale
c. FSH augmentée-LH diminuée-testostérone augmentée
d. FSH normale- LH normale-testostérone augmentée
e. FSH diminuée-LH diminuée-testostérone diminuée

57. La stérilité d’origine ovarienne est caractérisée par :

a. courbe de température biphasique


b. courbe de température plate
c. aspect prolifératif de l’endomètre à 22jours
d. aspect d’ovaires poly kystiques à l’échographie
e. FSH augmentée-LH augmentée- œstrogène diminuée

58. Le rôle de l’hystérosalpingographie dans l’investigation de la stérilité féminine a pour


objectif(s) :

a. diagnostic d’un fibrome sous muqueux


b. de vérifier la perméabilité tubaire
c. de s’assurer l’intégrité de la paroi utérine
d. de passer à la coelioscopie en cas d’anomalie tubaire
e. de réaliser un geste chirurgical

59. Devant une stérilité d’origine tubaire, il faut :

a. Réaliser une hystérosalpingographie-cœlioscopie et sérologie à chlamydiae


b. De rechercher un antécédent de chirurgie pelvienne
c. De rechercher des signes d’endométriose externe
d. De pratiquer une salpingectomie d’emblée
e. Recourir à une fertilisation in vitro

60. Dans le cadre d’investigation d’une femme infertile, la cœlioscopie a pour objectif(s) de :

a. visualiser l’aspect interne de l’utérus


b. vérifier la perméabilité tubaire au bleu de méthylène
c. réaliser un drilling ovarien
d. effectuer une salpingectomie en cas de pyosalpinx
e. faire réussir une fertilisation in vitro.

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