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FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU

DEPARTEMENT MEDECINE

EXAMEN DE L’UEI 04
2020/2021
SEMIOLOGIE :
1. L’ascite riche en protides :
a. Est toujours en rapport avec une maladie du péritoine
b. Peut-être d'origine néoplasique
c. Peut être riche en lymphocytes
d. Peut-être en rapport avec une hypo albuminémie
e. Est toujours de grande abondance
2. La … de cirrhose, l'ascite
a. S'accompagne souvent d'une circulation veineuse collatérale
b. S'accompagne souvent d'œdèmes des membres inferieurs
c. Est souvent riche en protides
d. Est souvent pauvre en protides
e. Est en rapport avec une baisse de la pression oncotique
3. Les vomissements aigus sont observés au cours de :
a. Cétose diabétique
b. Hypertension intra crânienne
c. Cholécystite aigue
d. Infarctus du myocarde
e. Occlusion intestinale
4. Le syndrome dysentérique est défini par la présence de
a. Selles
b. Sang
c. Pus
d. Glaire
e. Parasites
5. L'exploration morphologique de l'appareil digestif repose sur :
a. Endoscopie digestive haute
b. Entero-scanner
c. Ponction biopsie hépatique
d. Iléo-coloscopie
e. IRM
6. Au cours d'un cancer de la queue du pancréas :
a. L'ictère est insidieux et progressif
b. Les selles sont décolorées
c. Il existe rarement un syndrome de cholestase
d. Il existe une hépatomégalie importante et douloureuse
e. Le signe de Murphy est négatif
7. L’ictère hémolytique chronique se manifeste par : *****
a. Splénomégalie
b. Hépatomégalie
c. Selles décolorées
d. Urines orangées
e. Urines rouges.
8. Parmi ces propositions, lesquelles qui correspondent à une hépatomégalie douloureuse :
a. Foie cardiaque
b. Foie de surcharge
c. Cirrhotique
d. Abcès hépatique
e. Carcinome hépatocellulaire
9. Préciser, les caractères de l’hépatomégalie cholestatique :
a. Globale
b. Surface irrégulière
c. Consistance ferme
d. Douloureuse
e. Bord inferieur mousse
10. Parmi ces propositions, lesquelles se voient au cours d'une tumeur de la tête du pancréas ?
a. Un ictère d'apparition brutale
b. Un ictère à bilirubine conjuguée
c. Une hépatomégalie non douloureuse
d. Des selles décolorées
e. Un prurit intense
11. Au cours d'une cirrhose en décompensation œdémato-ascitique, les œdèmes des membres inférieurs
sont :
a. Discrets
b. Bilatéraux
c. Unilatéraux
d. Blancs, mous et gardant bien le godet
e. Peuvent être secondaires à une hypo albuminémie
12. Parmi les causes suivantes, laquelle ou lesquelles est (sont) responsable(s) d'une hépatomégalie de
dureté pierreuse ?
a. Hépatomégalie métastatique
b. Maladie de surcharge
c. Kyste hydatique du foie
d. Cirrhose hépatique
e. Cancer primitif du foie
13. …..
14. Un hépatomégalie diffuse :
a. Se définit par une augmentation de la flèche hépatique
b. Réalise une tuméfaction à développement uniquement *épigastrique*
c. Peut étre en rapport avec un foie ptosé
d. Peut étre en rapport avec un foie luxé
e. Peut se voir au cours du cancer de la tête du pancréas
15. Une splénomégalie de type 1 se voit au cours de :
a. Septicémie
b. Leishmaniose
c. Leucémie myéloïde chronique
d. Mononucléose infectieuse
e. Brucellose
16. La microsphérocytose associe :
a. Un ictère à bilirubine indirecte
b. Une cholestase biologique
c. Une anémie arégénérative
d. Une splénomégalie
e. Une macrocytose
17. Les signes d'irritation péritonéale sont :
a. Une matité déclive
b. Un metearisme abdominal
c. Une douleur abdominale provoquée à la percussion
d. Une contracture abdominale
e. Un silence auscultatoire abdominal
18. La manœuvre de Murphy
a. Est déclenchée par l'inspiration profonde
b. Siège au niveau épigastrique
c. Siege sous le rebord costal sur la ligne médio-claviculaire
d. Empêchant l'inspiration profonde
e. Est liée à la présence d'un abcès hépatique
19. ..
20. ….
21. L’exploration d’un syndrome hémorragique la réalisation entre autre du TP concernant ces éléments :
a. Il explore l’hémostase primaire
b. Il explore la voie exogène de la coagulation
c. Il explore la voie endogène de la coagulation
d. Lorsqu’il est bas et non corrigé par le test Kaller il témoigne d’une insuffisance hépatique
e. Lorsqu’il est bas et corrigé par le test de Kaller il témoigne d’une cholestase chronique.
22. Lors d'une douleur abdominale aigue une occlusion intestinale aiguë est évoqué devant :
a. Des vomissements
b. La présence d'une cicatrice chirurgicale
c. Un arrêt des matières et des gaz
d. Des ondulations péristaltiques
23. La péritonite aigue généralisée est suspectée devant les signes suivants :
a. Une douleur abdominale localisée
b. Une contraction douloureuse diffuse invincible à la palpation
c. Une contraction douloureuse localisée
d. Un cri de douglas
e. Un abdomen souple respirant bien
24. L’appendicite aigue est caractérisée par les signes suivants :
a. Un signe de Murphy positif
b. Une défense localisée au niveau de la fosse iliaque droite
c. Une douleur épigastrique transfixiante
d. Un contact lombaire positif
e. Un signe de Rovsing positif
25. …
26. …
27. …
28. La pancréatite aigue est caractérisée par les signes suivants :
a. Un signe de Giordano positif
b. Une douleur épigastrique transfixiante, irradiant aux deux hypo….
c. Une douleur épigastrique irradiant vers l’épaule droite.
d. Une masse pulsatile de l’épigastre
e. Un iléus reflexe
29. Une anémie macrocytaire peut se voir dans :
a. Une carence en fer
b. Une carence en acide folique
c. Une carence en vitamine B12
d. Au cours d’une hémorragie aigue
e. Peut étre héréditaire
30. Une anémie par carence en vitamine B12 :
a. Elle est microcytaire normo-chrome
b. Elle macrocytaire normo-chrome
c. Elle nécessite la réalisation d’une fibroscopie digestive haute
d. Elle nécessite la réalisation d’un test de schilling
e. Elle nécessite la réalisation d’un test D Xylose
PHYSIOPATHOLOGIE :
31. L’ictère hémolytique est un (la RJ) :
a. Ictère à bilirubine conjuguée augmentée
b. Ictère qui s’accompagne de selles décolorées et urines foncées
c. Ictère à bilirubine non conjuguée augmentée
d. Ictère qui se voit au cours de la maladie de Gilbert
32. La bilirubine (la RJ) :
a. Prévenir de la globine libérée par destruction des globules rouges
b. Conjuguées liposoluble
c. Indirecte se lie à l’albumine
d. Subit une glucoro-conjugaison *au niveau* intestinal
33. Au cours d'un ictère lié à une cholestase (les RJ)
a. La bilirubine non conjuguée est augmentée
b. La bilirubine directe est augmentée
c. Selles et urines sont claires
d. Se voit au cours d’une lithiase de la voie biliaire principale
34. Le syndrome de Mallory-Weiss est : (les RJ) :
a. À l’origine d’une hémorragie digestive haute.
b. Due à une rupture d’un vaisseau
c. Due à une déchirure de la muqueuse gastrique et/ou œsophagienne
d. A l’origine d’une hémorragie digestive grave
35. Lors d'une cirrhose, l’hémorragie digestive est : (les RJ) :
a. Haute et basse.
b. Due à une rupture vasculaire
c. Souvent grave
d. Due à la prise de médicaments gastro toxiques.
36. Dans la maladie ulcéreuse gastro duodénale l'hémorragie digestive est : (la RJ)
a. Souvent grave
b. Toujours due à une rupture d'un gros vaisseau.
c. Rare
d. Souvent haute
37. ..
38. ..
39. ..
40. Au cours de l’hyperkaliémie quelles modifications du tracé de l’ECG seront enregistrées ? (La RJ) :
a. Onde T ample, pointue et symétrique
b. Onde T pointue et asymétrique
c. Onde T aplatie
d. Elargissement de l’espace QT.
e. Tous ces réponses sont fausses
41. L’hypokaliémie par transfert de potassium est retrouvée dans (les RJ) :
a. Diarrhées aigues
b. Traitement par les sympathomimétiques.
c. Apport de l’insuline.
d. Alcalose métabolique ou respiratoire
e. Acidose métabolique sévère.
42. Les conséquences électrophysiologie de l’hyperkaliémie sont :(les RJ) :
a. La durée du potentiel d’action est diminuée
b. Le potentiel du repos moins négatif
c. A l’ECG : le complexe QRS est élargi
d. A l’ECG : apparition de l’onde U
e. A l’ECG : l’onde T est aplatie.
BIOCHIMIE :
43. L’électrophorèse des protéines sériques est recommandée dans les situations suivantes :
a. Altération de l’état général
b. Fracture non traumatique
c. Infections à répétition
d. Hypocalcémie diabète de type 2
44. La maladie de Waldenstrôm est :
a. Une gammapathie polyclonale
b. Caractérisée par un bloc gamma-beta à l’electrophorèse des proeines seriques
c. Une infiltration de la moelle osseuse par deux clones plasmocytaires
d. Liée à l’immaturité des organes lymphoïdes
e. Toutes ces propositions sont fausses
45. Les protéines de la réaction inflammatoire sont
a. La protéine C réactive (CRP)
b. L’albumine
c. La ceruloplasmine
d. L’haptoglobine
e. L’α1 antitrypsine
46. Dans les syndromes de malabsorption intestinale :
a. On trouve des carences en vitamines, en fer et en minéraux.
b. Le test de schilling recherche une malabsorption à la Vitamine B12 au niveau jéjunal, se
manifestant par une anémie pernicieuse.
c. On peut trouver les Anticorps anti-transglutaminases et anti-endomysium positifs.
d. On trouve une hypo protidémie, hypo-calcémie, amie et thrombopénie
e. On ne trouve jamais de stéatorrhée.
47. Concernant la diarrhée motrice :
a. Elle est typiquement post prandiale ; impérieuse et hydrique.
b. Peut avoir comme origines, les tumeurs carcinoïdes intestinales et les tumeurs thyroïdiennes
c. Causée par ingestion de laxatifs salins ou glucidiques
d. Causée le plus souvent par les parasites sur terrain d'immunodépression
e. Le test au rouge canin est ralenti
48. La maladie de Crohn :
a. Est une maladie inflammatoire aigue et auto-immune
b. Anticorps anti-Cytoplasme des Polynucléaires Neutrophiles positifs, avec spécificité supérieure
aux Anticorps Anti-Saccharomyces cerevisiae
c. Son diagnostic est purement histologique
d. La CRP est souvent positive
e. Aucune réponse n'est juste
49. Le foie assure les fonctions suivantes sauf :
a. Rôle métabolique (néoglucogenèse)
b. Synthèse des protéines et de cholestérol
c. Fonction d’épuration et de détoxication.
d. Synthèse de créatinine
e. Fonction de sécrétion biliaire
50. Un bilan de cholestase comprend : cocher la réponse fausse
a. Un taux de bilirubine conjugue.
b. Un taux de bilirubine Non conjuguée.
c. Un taux de PAL.
d. un taux de GGT.
e. Un taux de LDH.
51. Lors d'une insuffisance hépatocellulaire : cochez la réponse fausse :
a. Le taux d'albumine est diminué
b. Le taux de transferrine est diminué
c. Les facteurs de coagulation sont diminues avec un TP « Taux de prothrombine » bas
d. Le taux de Cholestérol est élevé
e. L'Ammoniémie est élevée.
RADIOLOGIE :
Les questions sont des QCS :
52. Quel est l'examen le moins pertinent dans l'exploration de l'abdomen et du pelvis :
a. ASP
b. Opacifications digestives
c. Echographie
d. Scanner
e. IRM
53. Sur un cliché ASP debout on peut visualiser :
a. La poche à air gastrique.
b. Des niveaux hydro-aériques
c. Un pneumopéritoine
d. Une splénomégalie
e. Toutes les réponses sont justes
54. Sur le cliché ASP couché on peut analyser tous les éléments suivants sauf :
a. La répartition de l'air au sein des anses intestinales.
b. Le diamètre des anses intestinales.
c. Le plissement des parois intestinales
d. Les niveaux hydro-aériques
e. Aucune de ces propositions
55. Sur un cliché ASP toutes ces calcifications sont pathologiques sauf :
a. Calculs urinaires
b. Calculs vésiculaires
c. Calcifications pancréatiques
d. Phlébolithes
e. Stercolithe appendiculaire
56. L’ASP est indiqué dans toutes ces situations sauf :
a. Péritonite aigue
b. Appendicite aigue
c. Ingestion De corps étranger
d. Occlusion intestinale aigue
e. Colique néphrétique
57. Un pneumopéritoine est visualisable dans toutes ces incidences sauf :
a. Cliché debout rayon horizontal
b. Cliché debout centré sur les coupoles diaphragmatiques rayon horizontal.
c. Cliché couché rayon horizontal
d. Cliché couché rayon vertical.
e. Cliché décubitus latéral rayon horizontal.
58. Concernant l'occlusion intestinale « choisissez la réponse fausse » :
a. Une occlusion fonctionnelle est due à un défaut du péristaltisme intestinal.
b. Une occlusion mécanique est due à un obstacle organique a la propagation du bol alimentaire.
c. Les deux clichés debout et couché sont nécessaires pour confirmer le diagnostic.
d. Seul le cliché couché est suffisant pour confirmer le diagnostic.
e. Des niveaux hydro-aériques sont le plus souvent présents.
59. Parmi ces signes lequel n'est pas retrouve dans l'occlusion intestinale fonctionnelle :
a. Des niveaux hydro-aériques absents
b. Des niveaux hydro-aériques très nombreux
c. Des niveaux hydro-aériques peu nombreux
d. Une distension intestinale diffuse
e. Aucun de ces signes
60. Parmi ces signes lequel n'est pas retrouvé dans l'occlusion intestinale mécanique :
a. Des niveaux hydro-aériques plus larges que hauts en cas d'obstacle grêlique.
b. Des niveaux hydro-aériques plus hauts que larges en cas d'obstacle colique.
c. Une distension intestinale disharmonieuse.
d. Une distension intestinale diffuse.
e. Un pneumopéritoine en cas de perforation de la paroi des anses intestinales.
CORRIGE TYPE

N° Rép N° Rép N° Rép


1 AB 21 BDE 41 BCD
2 ABD 22 ABCE 42 ABC
3 ABCDE 23 BD 43 ABC
4 ABCD 24 BE 44 E
5 ABDE 25 DE 45 ACDE
6 CD 26 BD 46 AC
7 AD 27 ACE 47 B
8 ADE 28 BE 48 E
9 ACE 29 AE 49 D
10 BCDE 30 BCD 50 E
11 BDE 31 C 51 D
12 AE 32 C 52 A
13 DE 33 BD 53 E
14 AE 34 AC 54 D
15 ADE 35 ABC 55 D
16 AD 36 D 56 B
17 CDE 37 B 57 D
18 CD 38 AD 58 D
19 BDE 39 AB 59 B
20 BCE 40 A 60 D

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