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SOCIALE
Présenté par :
HASSANI Anas
DA CRUZ Ricardo Enseignant :
Année académique :
2022/2023
Section : DACHELET Philippe
Bachelier assistant social
horaire décalé
1. Définition de L’ONSS……………………………………………p :4
Conclusion………………………………………………………………………….p :22
Bibliographie………………………………………………………………...……..p :23
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INTRO
DUCTI
ON :
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1. Définition de l’ONSS :
L’ONSS (Office National de Sécurité sociale) perçoit et gère les cotisations sociales payées
par les employeurs et les travailleurs et joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du
système d’entraide collective sur lequel repose la Belgique.
En effet, les cotisations récoltées sont redistribuées pour couvrir le système d’allocations de
chômage, de pension, l’assurance maladie-invalidité et d’autres secteurs.
- Figure 1 -
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2. Les diverses branches de la sécurité sociale :
Cette assurance obligatoire comprend deux branches : l’assurance soins et santé qui couvre les
frais de santé, et l’assurance indemnités qui couvre la perte de salaire à la suite d’une
incapacité de travail. L’incapacité de travail couverte est celle pour des raisons privées
(maladie ou maternité), et non professionnelle. Chapeautées par l’Office national de la
sécurité sociale ONSS, cette assurance est administrée directement par l’Institut national
d'assurance maladie-invalidité INAMI. Elle peut être payée par la Caisse auxiliaire
d'assurance maladie-invalidité (CAAMI) ou une mutuelle, selon le libre choix de l’affilié.
Bien que la couverture soit obligatoire, certaines personnes restent en dehors du système, ce
qui les expose directement aux problèmes graves d’accès aux soins. Cela concerne plusieurs
catégories sociales et est la conséquence de plusieurs facteurs.
Un premier facteur est le défaut des paiements des cotisations sociales obligatoires. Ce
phénomène est plus marqué chez les indépendants et ce, pour plusieurs raisons :
Le troisième facteur est la coopération avec les services publics dans d’autres pays qui
concerne les résidents étrangers qui sont dans l’impossibilité de fournir les documents requis
pour statuer de leur couverture santé dans le pays précédent.
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Le dernier facteur lié à l’absence de couverture est la radiation du registre de la population
entrainant la perte de la couverture d’assurance maladie obligatoire. Si la radiation concerne
normalement les personnes ayant quitté la Belgique, des personnes qui y réside toujours
peuvent se retrouver radiées du registre de la population entrainant la perte de tous leurs droits
sociaux.
Avance de paiement :
Bien que la Belgique ne soit pas le seul pays européen où l’avance de paiement pour les soins
ambulatoires est d’application (le Luxembourg et la France l’applique aussi), c’est l’un des
freins importants à l’accès aux soins de santé en ambulatoire. Ce système se caractérise par le
paiement à l’acte des frais de santé remboursables.
Certaines spécialités et soins spécifiques requièrent des avances de frais considérables. C’est
le cas de la kinésithérapie, des soins dentaires, des visites médicales à domicile ou encore de
la nutrition entérale et parentérale. Cela constitue un obstacle majeur à l’accès à ces soins
spécialisés.
Ce système connait une évolution timide consistant à la généralisation du tiers payant pour les
soins administrés par les médecins généralistes aux personnes vulnérables. Dans la pratique,
ce changement positif reste quand même assez complexe. D’un côté, le patient doit lui-même
comprendre à quels types de soins le système s’applique, mais il doit aussi s’assurer en
avance que le professionnel de santé accepte le tiers payant dans son cas. Cette complexité
limité la portée de cette évolution.
Dans certains cas, des frais de santé restent à la charge du patient, même après remboursement
pas l’assurance maladie. Quand la part de ces frais dans les dépenses des ménages est élevée,
cela augmente la probabilité de besoins en soins médicaux non satisfaits. En outre, la part
globale des frais médicaux à charge des ménages est élevé en Belgique par rapport aux pays
voisins.
En ce qui concerne les frais des soins hospitaliers, la part non couverte par l’assurance
obligatoire reste élevée en Belgique. En effet, dans l’ensemble de l’UE, 93% des coûts des
soins hospitaliers sont couverts, contre seulement 77% en Belgique. Diverses catégories de
frais sont concernées, comme le transport entre hôpitaux surtout régionaux, les prothèses et
les séjours hospitaliers longs, en soins intensifs en particulier. Dans certains hôpitaux, la prise
en charge est refusée pour les patients ayant des factures impayées. Dans d’autres cas, des
médecins réalisent moins d’examens médicaux pour des patients ayant eu des retards ou des
défauts de paiement sur des factures antérieures.
Cette problématique concerne aussi les soins ambulatoires, les médicaments et les appareils
thérapeutiques. Si la couverture de ses soins est globalement meilleure en Belgique par
rapport à la moyenne européenne, elle reste tout de même moindre que dans la plupart des
pays voisins. En outre, l’accès à certains types de soins comme la kinésithérapie ou
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l’orthodontie est considérablement entravé à cause des coûts élevés du soit à une quote-part
personnelle élevée ou une part non remboursable prohibitive.
L’accès aux médicaments est également freiné par les coûts supportés par les patients, surtout
ceux aux revenus faibles. Certains médicaments prescrit ne sont pas remboursables. Ainsi,
certains patients peuvent ne pas pouvoir acheter la totalité ou une partie des médicaments dont
ils auraient besoin.
- L’affiliation ;
- L’obtention des exemptions de paiements ;
- L’obtention d’une réduction du ticket modérateur ;
- Le choix d’un prestataire conventionné ;
- Le droit au tiers-payant ;
- Le droit aux aides financières (CPAS)
- …etc.
L’assurance incapacité de travail ne couvre que le travailleur, après une période de stage de 6
mois (sauf certaines catégories dispensées du stage, comme les étudiants). L’assurance
incapacité de travail distingue deux moments : l’incapacité de travail primaire qui correspond
à la première année d’incapacité et l’invalidité qui survient après un an.
La Belgique connait depuis plusieurs années une augmentation du nombre de cas d’incapacité
de travail, que ce soit d’incapacité primaire ou d’invalidité (incapacité d’une durée supérieure
à une année) (réf). Ce phénomène est observé à l’échelle européenne et n’est pas propre à la
Belgique seule (réf). Cela pose à la fois un problème de financement, mais rend le besoin
d’analyser les racines du problème plus urgent, pour pouvoir y remédier. D’autant plus que
cette problématique est la conséquence de plusieurs facteurs comme l’évolution du marché de
l’emploi, le changement de la structure de la population et le fonctionnement complexe de
l’État fédéral en Belgique.
L’assurance maladie-invalidité a été instaurée en 1944. Elle protège ses affiliés contre le
risque de perdre leurs aptitudes physiques et mentales à cause de problèmes de santé, qui
impacterait leur activité professionnelle.
Pour comprendre les objectifs de cette assurance au regard des textes de loi, il y a lieu de
rappeler l’article 100, § 1er, de la loi coordonnée du 14 juillet 1994 :
« Est reconnu incapable de travailler au sens de la présente loi coordonnée, le travailleur qui
a cessé toute activité en conséquence directe du début ou de l’aggravation de lésions ou de
troubles fonctionnels dont il est reconnu qu’ils entraînent une réduction de sa capacité de
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gain, à un taux égal ou inférieur au tiers de ce qu’une personne de même condition et de
même formation peut gagner par son travail, dans le groupe de professions dans lesquelles se
range l’activité professionnelle exercée par l’intéressé au moment où il est devenu incapable
de travailler ou dans les diverses professions qu’il a ou qu’il aurait pu exercer du fait de sa
formation professionnelle »
Article 100, § 1er, de la loi coordonnée du 14 juillet 1994.
De cette définition émane le concept de la capacité de gain comme élément central pour la
reconnaissance de l’incapacité de travail. En effet, l’incapacité de travail est un concept
distinct de la condition physique et cognitive. Ainsi, deux affiliés ayant des professions
différentes ne sont pas traités de la même manière même s’ils souffrent des mêmes problèmes
de santé.
Cette capacité de gain est estimée par rapport à la profession de l’assuré pendant les six
premiers mois d'incapacité de travail. Ensuite, son estimation se base sur la capacité de
l’assuré d’exercer tout autre métier en adéquation avec son profil professionnel.
Ainsi, le travailleur qui peut exercer une autre profession que la sienne peut se voir refuser la
reconnaissance de son incapacité de travail. Ce qui oblige plusieurs personnes dont la
reconnaissance de l’incapacité a été refusée, à se diriger vers l’assurance chômage.
La difficulté d’évaluer l’ampleur de l’impact d’une pathologie sur la capacité de gain rend la
distinction entre l’assurance indemnité et celle pour le chômage plus difficile, bien que la
jurisprudence ait tenté d’établir une distinction claire entre les deux mécanismes.
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2.2 Assurance accident de travail :
En Belgique, comme dans les pays voisins, les travailleurs salariés sont obligatoirement
assurés contre les accidents du travail et accidents survenant sur le trajet entre leur domicile et
leur lieu de travail. Il revient à chaque employeur protéger ses salariés en souscrivant à une
assurance contre les accidents de travail auprès d’un organisme d’assurance agréé. Ces
organismes sont contrôlés par l’Agence fédérale des risques professionnels, Fedris.
L’employeur, de droit privé ou public, doit assurer tous ses travailleurs, même s’il ne les
déclare pas, et même si leur recrutement est occasionnel. Cela s’applique par exemple aux
femmes de ménages, babysitteurs ou jardiniers qui travaillent chez une famille.
En plus de la protection contre les accidents de travail et de trajet, cette assurance couvre aussi
les maladies professionnelles, qui sont la conséquence de l’exposition plus ou moins
prolongée à un risque lié à l’exercice habituel de l’activité professionnelle.
L’assurance intervient suite à un fait accidentel ayant entrainé une lésion, qui sera présumée
comme résultant du fait accidentel. L’assurance indemnise le travailleur victime de l’accident
même sans faute de son employeur. Par contre, même s’il y a faute de l’employeur
(manquement à la sécurité, par exemple), le travailleur victime de l’accident de travail ou de
trajet n’a pas droit à plus que ce que la loi prévoit. L’assurance prend en charge les frais des
soins médicaux pour le traitement des lésions résultant de l’accident de travail ou de trajet,
mais verse aussi une compensation au travailleur souffrant d’une invalidité permanente suite à
un accident de travail ou de trajet. Bien que les règles régissant la couverture par l’assurance
d’accident de travail soient claires, celles-ci sont souvent mal appliquées et des travailleurs
victimes d’accident de travail ou de trajet se retrouve lésés. A noter que ce secteur
d’assurance est déficitaire, ce qui peut pousser les compagnies d’assurance à tordre le système
pour limiter leurs contributions financières. Cela est d’autant plus applicable au coût des rente
pour invalidité que l’assurance doit supporter jusqu’aux 65 ans de la victime de l’accident de
travail ou de trajet.
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l’accident. Les résultats de l’enquête sont ensuite transmis au salarié se sentant lésé et son
assurance et sa mutuelle.
Ceci dit, même après une enquête par Fedris, une assurance peut maintenir son refus de
reconnaitre un accident de travail ou de trajet. Dans ce cas, le travailleur peut saisir le
Tribunal de travail. Il est intéressant de noter que Fedris peut également saisir le Tribunal du
travail en cas de tels litiges.
Au cas où le travailleur décide de saisir la justice suite aux refus de l’assurance de reconnaître
son accident de travail ou de trajet, les frais de procédure (huissier, greffe, expertise, …etc.)
sont à la charge de la compagnie d’assurance. Néanmoins, si le travailleur sollicite le
concours de conseillers (avocats, médecin, … etc.) lors de la procédure, les frais inhérents
sont à sa charge. En cas d’assistance par un avocat, celui-ci peut dialoguer directement avec
l’entreprise d’assurance pour parvenir à une résolution extrajudiciaire du litige avant de saisir
le Tribunal de travail. Le travailleur affilié à un syndicat peut aussi demander à se faire
assister par un celui-ci dans le cadre de la procédure judiciaire.
Le travailleur victime d’un accident de travail ou de trajet reconnu comme tel par l’entreprise
d’assurance, et qui conserve une incapacité permanente de travail suite à l’accident, a droit à
une indemnité pour incapacité permanente. Il percevra dans un premier temps une allocation
annuelle. Ensuite, après écoulement du délai de révision, le travailleur aura droit à une rente
viagère.
Le calcul des montants des allocations et rentes dépendent du taux d’incapacité permanente et
du salaire de base du travailleur victime de l’accident. S’il est rare que les entreprises
d’assurance refusent de couvrir des soins de santé suite à un accident, l’évaluation du taux
d’invalidité professionnelle suite à l’accident est un sujet plus délicat.
Le taux d’invalidité professionnelle n’est pas le même pour deux travailleurs souffrant
pourtant de lésions identiques suite à un accident de travail mais exerçant deux métiers
différents. En effet, perdre l’usage d’une jambe n’impacte pas autant la capacité de travail
d’un employé de bureau qu’un facteur. Ainsi, le travailleur peut voir le taux de son invalidité
sous-estimé par l’entreprise d’assurance, ce qui impacte directement les montants des
indemnités qu’il pourra percevoir, et bien évidemment, son niveau de vie.
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Une maladie professionnelle est une maladie provoquée par l’exercice de votre profession. Il
existe une liste de plus de 150 maladies professionnelles. Les victimes d’une de ces maladies
peuvent obtenir une indemnité de l'Agence fédérale des risques professionnels (Fedris).
Chaque travailleur du secteur privé est automatiquement assuré contre les maladies
professionnelles lorsque son employeur a payé les cotisations obligatoires à l'Office national
de sécurité sociale (ONSS).
Les incapacités de travail de plus d’un an (invalidités) en raison d’un trouble mental ont
continué d’augmenter en 2021 en Belgique, en particulier celles pour cause de burnout ou de
dépression (+5 %), et même si cette augmentation s’avère un peu moins forte qu’en 2020. De
ceci découle désormais une augmentation de plus de 46 % entre 2016 et 2021 du nombre de
personnes en invalidité souffrant d’une de ces deux maladies.
Selon l’INAMI, 36,44 % des personnes en invalidité au 31 décembre 2021 le sont en raison
d’un trouble mental. Parmi ces personnes, 66,39 % souffrent d’une dépression ou d’un
burnout. Le burnout et la dépression sont les causes de près d’1/4 des incapacités de travail de
longue durée. Entre 2016 et 2021, le nombre de personnes en incapacité de travail de longue
durée en raison d’un trouble mental a augmenté de 30,97 %, avec une augmentation de 46,35
% pour cause de dépression ou de burnout.
Les femmes représentent 59% des invalidités toutes causes confondues. Lorsqu’il s’agit des
invalidités pour burnout ou dépression, ce pourcentage s’envole à 68 % des cas. 28 % des
invalidités chez les femmes trouvent leur origine dans un burnout ou une dépression. C’est
aussi chez les femmes que l’on relève l’augmentation la plus forte de ces invalidités pour
burnout ou dépression, avec une hausse de près de 50 % sur 5 ans. Cette augmentation atteint
plus de 66 % chez les travailleuses indépendantes. La tranche d’âges 50-64 ans reste la plus
impactée. Mais l’augmentation la plus forte est celle des invalidités pour dépression dans la
tranche d’âges 25-39 ans des travailleurs indépendants (+20 % en 2021, +151 % sur 5 ans).
De 2016 à 2021, l’augmentation des invalidités pour burnout ou dépression se retrouve dans
tous les statuts professionnels, mais l’augmentation la plus importante se relève chez les
travailleurs indépendants : +59,22 %, pour +45,8 % chez les travailleurs salariés et
demandeurs d’emploi.
Diagnostique du burnout
Le traitement du burnout passe quant à lui le plus souvent par un arrêt de travail, dont la durée
dépendra de l’état de santé du travailleur. Il comporte trois étapes : la crise, la phase
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d’identification des solutions, et la phase de l’application des solutions. La prise en charge,
non médicamenteuse, visera, par des interventions psychothérapeutiques, la réduction des
symptômes et la réinsertion professionnell
Les droits sont attribués sur base de deux critères, au moment de la demande de
l’allocation. D’une part, sur base des études faites à condition d’âge de 25 ans en
stage d’attente. Dans le cas contraire où le sujet n’accomplirait pas cette condition,
s’il a moins de 21 ans, celui-ci doit être en possession d’un diplôme. Si le sujet est
plus âgé que 21, il doit avoir terminé ses études lui donnant le droit à la demande.
Le deuxième critère de condition d’admission est sur base du travail, la condition
que nous allons plus approfondir. Le demandeur de chômage doit pouvoir justifier le
nombre de jour travaillé / assimilation des heures prestés sur une période donné,
laquelle altère en fonction de l’âge du demandeur.
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et enfin la vérification du paiement faites
Généralement les démarches de chômages doivent s’effectuer par l’intermédiaire de
l’organisme de paiement.
- Organismes compétents niveau financement :
Le paiement des allocations et le traitement des documents personnels sont effectués par un
organisme public, la Caisse Auxiliaire de Paiement des Allocations de Chômage (Capac),
ou un syndicat agréé :
Enfin, l'insertion des chômeurs est organisée par les services publics régionaux :
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L'ADG (et/ou Arbeitsamt) est compétent en matière de placement pour la
communauté germanophone.
- Condition d’admissibilité
En cas d’infraction des conditions imposées, le travailleur sans-emploi recevra une diminution
allant jusqu’à la suspension de ces droits pendant une période donnée.
Si en temps que travailleur à temps partiel on désir introduire une demande d’allocation au
chômage, sous quelque condition celle-ci pourra obtenir une réponse favorable de l’ONEM en
supplémentaire de sa rémunération. Cette allocation se nomme l’allocation de garantie de
revenu (AGR) et se charge de compléter le revenu total (rémunération et allocation) qui;
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Est prépondérante à l’allocation de chômage, au cas où l’employé à temps partiel ne
surpasse 1/3 du temps. Si le temps de travail est élevé, la différence sera d’autant plus
importante.
Le droit à l’AGR est attribué aux demandeurs ayant un horaire contractuel ne surpassant les
80% soit 28h par semaines.
Le travailleur de statut « temps partiel avec maintien des droits (TPMD), est tout employé
occupant d’un poste à temps partiel mais qui est vue comme un travailleur à temps plein. Le
document d’information peut être obtenu auprès des organismes paiement et l’ONEM.
Involontairement ?
En cas de licenciement d’un poste à temps plein ou encore la transition involontaire à un poste
à temps partiel auprès de ce même employeur.
=> Le refus au droit de l’AGR est fixé pour une période de 3 mois du jour succédant le
préavis. On nomme cette période « période de carence ».
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Volontairement ?
Le demandeur de chômage partiel qui transite d’un travail à plein temps à un emploi à mi-
temps ou de manière involontaire, l’AGR sera d’office refusé.
En cas de statut de temps partiel avec maintient des droits (TPMD), la demande devra
parvenir à ONEM, dans un délai de 2 mois, le jour suivant le début du travail à temps
partiel. »
Comme deuxième cas de figure, si le travailleur sans-emploi est à temps partiel volontaire, sa
demande devra parvenir à l’Office National de l’Emploi, dans un délai de 2 mois le jour
suivant le jour, souhaitant obtenir l’AGR.
Dans le cas d’une demande d’allocation d’insertion à temps partiel, l’individu concerné devra
se présenter auprès des organismes; ACTIRIS, l’ADG, FOREM ou VDAB en fonction de sa
région pour :
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2.6 Prestation Familiales :
Les allocations ou prestations familiales sont des compléments de revenus payés de manière
mensuelle ou annuelle aux parents, afin qu’ils puissent être en mesure de compenser les
charges familiales (sur le plan éducation et soins). L’enfant a le droit de bénéficier cette aide à
partir du deuxième mois avant sa naissance jusqu’à ses 25 ans, sous certaines contraintes. En
Belgique, chaque région suit sa propre politique règlementée concernant les allocations
familiales sur le plan revenu. Nous allons nous baser dans la région Wallonne.
- Organismes compétents :
L’Organisation nationale de sécurité sociale est une organisation qui perçoit les cotisations
sociales. L’organisation au niveau de la gestion est attribuée à l’AVIQ. Les services prenant
en charge les allocations familiales dans la région Wallonne, sont des caisses de prestations
familiales tel que FAMIWAL, PARENTIA, CAMILLE, KIDSLIFE et INFINO. Ces derniers
calculent, adaptent et se chargent du versement de l’argent mensuel aux parents.
Prime de naissance
Montant de base
Suppléments (d’âge Prime scolaire et selon la situation des parents) :
Supplément social : supplément mensuel destinés aux famille à revenues faibles, une
personne présentant une maladie ou handicap
Supplément famille monoparentale : supplément mensuel destinés aux parents
célibataires
Supplément famille nombreuse : supplément mensuel destinés aux ménages
composant de plus de 3 enfants.
En fonction de l’âge ; l’âge de l’enfant a une influence sur le montant des allocations
familiales
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Prime scolaire : supplément pour apaiser les frais scolaires
Enfant atteint d’une affection : supplément pour les enfants ayant le statut d’handicap
nécessitant une aide spécifique
Supplément ou allocation pour les orphelins : mensuellement versé et destiné aux
enfants ayant perdu un parent ou les deux.
Allocation d’Etudes qui permet à l’enfant inscrit au régime éducatif secondaire à
introduire une demande d’allocation d’études auprès de la Fédération Wallonie-
Bruxelles
- Condition d’octroi :
Admettons que la famille X décide de quitter le territoire belge pour s’installer sur un autre
pays EU. Dans un premier cas de figure, la famille peut conserver ses droits aux allocations
familiales par la loi si un membre des parents vit ou travaille dans la région Wallonne. Si les
parents se sont installés dans un pays voisins malgré le fait que l’un d’eux y travaille toujours.
Par conséquent, le deuxième cas de figure serait que cette famille X quitte la Belgique pour
emménager dans un pays hors EU ; l’enfant n’exerce aucun droit sauf si un accord entre la
Belgique et le pays résidé de la famille a été établi, dans cet instance la prestation familiale
peut être accordé.
Toute personnes résident en Belgique et vivant dans un bas seuil social a droit d’obtenir une
aide socio-économique avec laquelle on peut vivre dignement. L’organisme s’occupant des
démarches est le CPAS (Centre public d’action sociale)
Celle-ci peut prendre trois formes :
Répartition et versement du Revenu d'Intégration Social (RIS) ;
paiement de l'aide sociale;
Versement anticipé de vos allocations (chômage, invalidité, invalidité, etc.).
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Le RIS est une forme d'aide sociale due à toute personne résidant en Belgique. L’unique
condition pour l'obtention de ce revenu, est que les revenus ne dépassent un certain seuil
fixé, variant selon la situation familiale :
Isolation
cohabitant
cohabitant avec personnes à charge.
- Aides prestés :
L’aide sociale à domicile est destinée à toute personne âgé, ayant le statut de personne à
motricité réduite peut tirer profit de cette aide comme but de pouvoir vivre à condition.
b. Aide ménagère
Le CPAS peut mettre en œuvre à ce que le bénéficiaire puisse bénéficier d’une aide à
domicile pour aider dans diverses tâches :
Entretient du logement ;
a. Aide du SECAL
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En cas de faible revenu et risque de tomber dans le surendettement, le CPAS est le service
compétant d’intervenir pour aider à trouver une sortie de secours voire établir un plan de
remboursement.
Médiation de dette
Le CPAS est aussi mobile dans l’aide à la recherche d’un travail voire une formation avec la
philosophie d’une réinsertion professionnel et du développement personnel des sujets
demandeurs. Des centres d’activités et services sont orchestrés par des réseaux partenaires.
L’assujetti doit montrer qu’il est disposé dans ses démarches de recherche d’un emploi, car
ceci est la circonstance pour octroyer le Revenu d’ Intégration Social.
Dans une grande majorité des CPAS, ces organismes possèdent des bien immobiliers ou
encore des réseaux d’accueil, permettant de cette façon la proposition :
de logements prévu à moyen terme
En situation de crise, les assujettis seront orientés vers des logements d’urgences
« Centre d’accueil de jour ou nuit »
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Aides sociales pour les soins
Le CPAS a la faculté d’introduire l’accès aux soins à tout individus en besoin. Dans certains
centres, ils peuvent suggérer dans leurs centres et ateliers de prévention. Si l’assujetti ne
dispose pas les moyens financiers pour subvenir aux soins, il lui sera remis :
La carte médicale CPAS
Une aide médicale urgente
Or, grâce à ces deux moyen d’aides, le demandeur d’allocation social sera accordé
gracieusement des prestations de soins médicales
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CONCLUSION :
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Bibliographie
CÈS, S. et BAETEN, R. (2020), Inequalities in access to healthcare in Belgium. Brussels:
European Social Observatory, July 2020, 184 p.
SCHOKKAERT Erik, VAN DE VOORDE Carine, Equité du système de santé belge, Revue
française d'économie, 2014/4 (Volume XXIX), p. 129-172. DOI : 10.3917/rfe.144.0129.
De Brouwer, O., Fontaine, M. & APMC Smart. (2022, septembre). L’incapacité de travail en
Belgique : un état des lieux critique. Consulté le 1 décembre 2022, à l’adresse
https://smartbe.be/wp-content/uploads/2022/10/06-22-1.pdf
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Parentia, « Tout savoir sur l’allocation familiales », (s.d),
(https://www.parentia.be/fr-WA/allocations-familiales), consulté le 5.01.2023
BruxellesJ, « Quelles sont les aides fournies par le CPAS? Quelles sont les conditions ? »
(13.09.2022), CIDJ, (https://www.bruxelles-j.be/droits-sociaux/obtenir-de-laide-du-cpas/
quelles-sont-les-aides-fournies-par-le-cpas/#:~:text=L'aide%20financi%C3%A8re%2C%20la
%20plus,aide%20fournie%20par%20le%20CPAS.), consulté le 08.01.2023
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