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Frantz-Arell Beliard

Impact de la COVID-19 sur le monde socio-économique / Précarité

Travail de sociologie

Ecole de culture générale pour adultes


2021-2022

Enseignant : Sébastien Bertrand


Sommaire

Introduction

Problématique

Hypothèse

Méthode de terrain et questionnaire

Dépouillage des questions et analyses

Conclusion

Sources

Graphiques
Introduction

La précarité englobe des réalités complexes qui deviennent de plus en plus


difficiles à définir en raison du contexte socio-économique en constante
évolution des conditions économiques, de la mondialisation, de l'évolution des
conditions de travail et des nouvelles lois.
Une situation précaire n'est pas une condition, mais un « processus » tant
qu'elle affecte les personnes touchées par la précarité.

La précarité est plurielle, et elle est décrite dans de multiples dimensions et


s'inscrit dans divers domaines de l'existence: personnes instables, adultes,
diplômés, femmes, hommes, enfants, personnes isolées, personnes en
situation de handicap, personnes âgées, etc. La précarité a un impact global
sur la société et peut entraîner une détérioration des conditions de travail, des
difficultés à développer la vie sociale, une rébellion contre les organisations
sociales et une détérioration physique et mentale. Cette situation représente
ce que le sociologue Robert Castel appelle un affaiblissement de la cohésion
sociale qui peut exclure durablement des personnes du marché du travail et
de la cognition sociale. Cette détérioration a un coût pour la société dans son
ensemble.

La situation des nécessiteux a été fortement aggravée par la crise de la


Covid-19 qui a eu sur eux un impact socio-économique très fort. Perte
d'emploi et de revenu, difficulté à manger et mauvaise santé. Parmi ceux qui
souffrent le plus des effets de cette crise, la situation des plus vulnérables est
particulièrement suspecte. A Genève, les repères alimentaires de la patinoire
de Vernets ont marqué les esprits.
Problématique

Le coronavirus est révélateur d’une précarité qui existe depuis longtemps, elle
était, disons invisible. En suisse en quelques semaines, un virus sournois a
amplifié la précarité. Parlons de Genève, le taux d'emploi est passé de 59% à
35% et les personnes qui n'ont pas perdu leur travail ont considérablement
réduit leurs heures de travail un mois avant la crise.

Une étude a été réalisée sur des répondants vivant déjà dans la précarité
avant le COVID-19.

Une détérioration de la qualité des aliments consommés a été observée et est


en augmentation, ne pouvant pas faire ses courses en France voisine les
quantités de nourriture consommée seront touchées, mais pas tant que ça,
notamment grâce au soutien de la Fondation Colis du Coeur. Concernant les
conditions de logement, 59% des répondants, vivent dans un logement défini
comme surpeuplé. C’est à dire ou le nombre de résidents est plus du double
du nombre de chambres disponibles, cette dégradation des conditions de vie
matérielles a affecté la santé mentale des enquêtés, beaucoup de gens disent
qu'ils se sentent anxieux ou tristes et des réductions de satisfaction dans leur
vie quotidienne.
45% des répondants n'ont pas d'assurance maladie et ce nombre passe à
80% pour ceux qui n'ont pas de contrat de travail.
Les répondants (69,5%) n'utilisent aucune aide publique ou affiliation,
principalement parce qu'ils ne connaissent pas les aides disponibles, mais
aussi par crainte de conséquences négatives.
Près de la moitié des répondants ont mis en place des stratégies d'adaptation
telles que la vente de biens personnels ou effectuer de petits travaux
informels. De même, près de la moitié ont contracter un prêt
Les personnes n'ayant pas recours aux services sociaux publics ou
associatifs font face au phénomène d'accumulation des désavantages et ont
de la difficulté à utiliser des stratégies de résilience. Dans notre échantillon, 22
personnes, soit 10%, sont en situation de non recours extrêmes : pas d'emploi
salarié, pas de revenu alternatif, pas d'éligibilité aux prestations sociales
institutionnelles et associatives, sans stratégies d'adaptation personnelles.
Depuis le début de la pandémie, le nombre de personnes bénéficiant d'un
soutien financier et social a augmenté de 9 %. En outre, de nombreux
chômeurs de longue durée peuvent persister en raison des effets à long terme
de la crise.

Une personne sur dix vivait dans un logement collectif (dortoir ou refuge pour
sans-abri) ou dans la rue, et les autres vivaient dans un appartement ou une
maison. en moyenne 48 % des répondants signalent le surpeuplement, et il
existe une différence significative entre les résidents (38 %) et les résidents
sans papiers (54,6 %). Parmi ceux-ci, 11 % vivaient avec 4 personnes ou
plus par chambre.

Nous avons ici une deuxième étude sur la perte d’emploi et quelques secteurs
auxquels la pandémie a laissé des traces.

Les mesures prises par le Conseil fédéral à la suite de la prolifération des


infections au début de la pandémie ont d'abord été mises en œuvre dans les
secteurs et les professions (activités et événements culturels) les plus à
risque de contact et d'infection. Elle a ensuite été élargie à d'autres secteurs à
partir du 17 mars 2020 à travers les commerces dits "non essentiels", les
bars, les restaurants, les chantiers, et le "semi-confinement" avec la fermeture
de tous les services à la personne.
D'autres secteurs (taxi, travailleurs domestiques) ont été indirectement
touchés par la forte baisse de la demande. Des mesures similaires ont été
prises, principalement au niveau de l'État, bien que moins sévères, compte
tenu de la résurgence de l'épidémie à l'automne 2020. Une façon d'exprimer
l'ampleur de l'impact économique associé à ces mesures est d'observer
l'application du travail de courte durée, qui a touché 1,4 million de travailleurs
à l'échelle nationale, soit plus qu'un travailleur sur 3.

Le chômage prend également le relais de la hausse. Le nombre de


demandeurs d'emploi en juin 2020 a augmenté de 36,7% par rapport à juin
2019.

On observe que le secteur de l’hôtellerie et de la restauration a vu le nombre


de demandeurs d’emploi plus que doubler sur la période. D’autres industries,
telles que l’horlogerie, la fabrication des machines ou l’électrotechnique,
tournées vers l’exportation et employant une proportion importante de main-
d’œuvre peu qualifiée en comparaison avec des secteurs moins touchés,
subissent aussi de fortes hausses du chômage.
Les étudiants en sont aussi touchés, les offres d’emploi se faisant rares ils
doivent compter sur les aides sociales, récemment une cafétéria a proposé
des menus à 5 CHF à ses élèves.

Comment l'État peut-il répondre à ces besoins ? Comment combattre une


épidémie sur le plan médical tout en essayant de réduire son impact
économique ? Quels systèmes ou mesures ont été mis en place pour soutenir
les familles les plus pauvres ? La nature urgente et particulière de la crise
sanitaire sur le plan socio-économique méritent d'être discutées.
Hypothèse

Différentes hypothèses émergent pour expliquer cette différence d'utilisation


de l'aide publique. Premièrement, la médiatisation de la distribution
alimentaire a pu largement éclairer la mise en place d'un tel système,
contrairement aux possibilités de soutien financier ou matériel, les conditions
d'accès et les démarches peuvent être plus déroutantes. Deuxièmement, la
demande d'aide alimentaire (au Colis du Cœur et/ou de distribution
alimentaire) peut être considérée comme moins risquée pour l'obtention ou le
renouvellement d'un titre de séjour qu'une aide financière peut y être
associée, liée à la discrimination des aides publiques et au risque juridique de
non renouvellement licences. De ce fait, si le manque d'accès à l'information,
notamment la fermeture des bureaux administratifs, explique en partie le
faible niveau de recours, il existe une crainte intérieure des conséquences
négatives que peut avoir le recours à l'aide sociale sur l'obtention ou le
renouvellement d'un permis de séjour représente un frein non négligeable.

Nous constatons des différences dans l'ampleur de l'impact des fermetures


sur les conditions de vie en fonction du statut juridique des répondants. Les
personnes récemment réglementées ou en cours de traitement sont moins
susceptibles de subir une perte grave ou globale de revenus et d'insécurité
alimentaire que les personnes sans papiers. De plus, ils ont accumulé des
réserves plus importantes qui peuvent mieux faire face aux difficultés car ils
peuvent compter sur plus d'épargne, ce qui leur permet de résister au stress
économique lié à une crise plus longue. De cette façon, les difficultés
s'accumulent moins souvent pour les responsables, et d'ailleurs, qui plus tard
justifient souvent de ne pas avoir besoin d'aide publique par le fait qu'elle est
inutile, alors que les sans-papiers semblent souvent souffrir d'une
disqualification avec l'absence de statut.

Le télétravail est un phénomène relativement discret qui existe certainement


dans les entreprises depuis plus de 20 ans. Probablement pas après la
pandémie. Cet événement majeur pour notre société a le potentiel de changer
la conception du lieu de travail. Après le retour à l'activité normale d'une
entreprise, le télétravail peut devenir un aspect structurant de l'exercice de
certaines activités du secteur tertiaire.
Méthode de terrain et questionnaire

J’ai décidé de faire un questionnaire quantitatif en ligne, avec des questions


de tout type, ouvertes, semi-ouvertes et fermées. Mon questionnaire est sur
l’impact de la COVID-19 sur le monde socio-économique / Précarité. J’ai ciblé
mon entourage car je n’ai pas pu aller plus loin et en dehors de mon foyer par
manque de temps. La tranche d’âge de mon questionnaire est donc de 13 à
25+, la majorité des participants ayant 25+ mais pas tant que ça, nous avons
une personne âgée de 66 ans et un enfant de 13 ans pour atteindre les
extrémités.

Le questionnaire est anonyme, pour que les personnes y participant s’y


sentent à l’aise et sans contrainte quelconque. En plus du questionnaire, j'ai
posé des questions générales sur l'hypothèse, puis j'ai posé des questions
spécifiques. Avec un certain succès, 102 personnes ont participé à ma
question et j’ai délibérément retiré les mauvaises réponses volontaires (drôle
ou sans sérieux).

Pour le dépouillement du questionnaire des graphiques sont disponibles pour


pouvoir les comparer avec les analyses, certaines questions n’ont pas de
graphique, car réponses écrites avec choix multiples, ou demande d’une
définition de leur pensée, j’ai donc pris les plus pertinentes.

Q1. Etes vous un homme ou une femme ou autre ?


Q2. Quel âge avez-vous ?
Q3. Quelle est votre région/canton/pays d’origine ?
Q4. Depuis combien d’années êtes-vous en suisse ?
Q5. Travaillez-vous en Suisse ?
Q6. De combien de personnes composent votre foyer ?
Q7. Dans votre foyer combien de personnes ont une source de revenus ?
Q8. Dans quel secteur d’activité travaillez-vous ?
Q9. Avez-vous un ou plusieurs emplois ?
Q10. Avez-vous été absent ou avez-vous dû fermer un commerce du au
COVID-19 ?
Q11. Avez-vous perçu votre salaire malgré l'absence temporaire sur votre lieu
de travail ?
Q12. Etes vous membre d’un syndicat/association/organisation ?
Q13. Dans quelle classe sociale considérez vous être ? (plusieurs réponses
possible)
Q14. Que pensez-vous de la précarité ?
Q15. Selon vous, qui a le plus recours aux aides sociales ? Les jeunes, les
migrants, les familles ?
Q 16. Avez-vous déjà eu recours à des aides sociales ?
Q17. Si oui, alimentaires ou financières ou professionnelles ?
Q18. Connaissez-vous un professionnel frappé par la crise sanitaire ?
Q19.Si oui quel métier faisait-il ? Est-ce que sa situation professionnelle a
changé ? Dans un sens positif ou négatif ?
Q20. Avez-vous déjà fait du bénévolat ?
Part. 2
Q1. Si oui était-ce gratifiant, fatiguant, instructif etc.?
Q2. Si non, pour quelle raison ? manque de temps, ne pas penser etc…
Q3. Pourriez-vous vivre dans un appartement surpeuplé par manque de
revenu ?
Q4. Vendriez-vous vos affaires par nécessité ?
Q5. Selon vous, quel corps de métier a été le plus touché par le COVID-19 ?
(artisans, finance, hôtellerie-restauration, animation etc)
Q6. Pourquoi ?
Q7. Quelle direction prendriez-vous à la perte d’un emploi en temps de crise
sanitaire ? Sachant qu’une baisse d’offre d’emploi a été observée.
Q8. D’après vous quelle méthode serait la plus efficace pour venir en aide aux
démunis ? Créer une organisation, faire des petits gestes, organiser une
distribution alimentaire, proposer chez soi etc…
Q9. Comment la covid-19 et le confinement ont affecté le mental de vos
amis ? Dépression, solitude, repos, élévation personnelle ?
Q10. Vous a-t-il affecté ? (Psychologiquement, financièrement,
professionnellement ou physiquement)
Q11. Considérez-vous utile de mettre en place de l’aide psychologique en
cette période ?
Dépouillage des questions et analyses

Q1 : Sur 102 interrogés, 57 sont des hommes et 42 femmes, nous avons


aussi eu des particuliers qui se considèrent comme dans la catégorie autre, ils
sont au nombre de 3.

Q2 : J’ai ciblé mon entourage, qu’ils soient outre-mer ou sur place, ce qui
place la tranche d’âge 25+ à 60%, les 18-24 sont à 35% de présence, quant
aux 13-17 ans ils sont à 3%. On peut déjà dire que les répondants ont déjà
une certaine maturité.

Q3-4 : Les questionnés sont majoritairement Suisse, avec quelques variations


comme des migrants ayant leur nationalité Suisse et des Suisses nés en
Suisse. Au Canada et aux USA sont aussi quelques pays de résidence des
minorités. Pour la plupart sont nés en Suisse ou y sont venus très tôt.

Q5 : La majorité de 60% travaille en Suisse

Q6 : 27 des participants vivent avec une seule personne au foyer, on peut


supposer avoir à faire à des couples, des collocations ou encore un-e amant-e
divorcé-es avec enfant à charge, ces 27 participants sont la majorité. Nous
avons ensuite les personnes vivant seules et les foyers composé de 3
personnes, les deux sont à 18% donc 18 questionnés. Surprenamment 21
participants aux questionnaires vivent à 4 au foyer. Une faible minorité vivent
en famille de plus de 5 personnes.

Q7 : La ligne est tracé à 50% pour les personnes qui ont une source de
revenu dans leur foyer, ceci est un chiffre très élevé considérant les chiffres
au dessus (voir Q6)

Q8 : Beaucoup de nos participants ont répondu à ces trois réponses : social,


étudiant et santé. Quelques chômeurs et une personne à la retraite, j’ai aussi
relevé un agent de sécurité et deux travaillant dans la couture.

Q9 : La majorité des participants ont un emploi. Un fort pourcentage est


étudiant, 29%. 9% ont répondu avoir plusieurs emplois, ce qui fait presque un
dixième du total, ce que je trouve énorme, donc une partie des participants
doivent cumuler plusieurs emplois pour subvenir à leurs besoins.

Q10-11 : 60% des questionnés n’ont pas dû fermer leur commerce ou arrêter
leur travail dû à la crise sanitaire. La question suivante était de la même
intention, nous pouvons déduire que pendant la crise une majorité n’ont pas
subi les effets de la perte d’un emploi.

Q12 : 90 interrogés ont répondu “non” à : faîtes-vous parti d’un syndicat ou


autre, cependant 12 ont révélé en faire partie.

Q13 : 48 participants se considèrent être de la classe moyenne, nous n’avons


aucun des participants qui se considéraient comme étant aisé ou faisant
partie de la classe supérieure. Ce qui est aussi intéressant, ce sont les
participants qui ont leur propre vision de la classe sociale.

Q14 : Nous pouvons observer que la grande majorité des participants veulent
faire quelque chose contre la précarité.

Q15 : Les gens pensent donc que les migrants (36 participants) et les familles
(33) ont suscité les aides sociales.

Q16-17 : 66 des interrogés avouent avoir déjà eu recours aux aides sociales,
et ils ont principalement reçu des aides financières.

Q18 : 65% des participants connaissent un tiers ayant eu recours aux aides
sociales.

Q19 : Le corps de métier relevé par nos participants est surtout l’hôtellerie-
restauration, qui d’après leur dire aurait eu un effet négatif sur leur morale et
leur situation financières. Nous pouvons aussi noter d'autres métiers comme
comédien, taximan,animateur ou artiste qui sont en minorité.

Q20 : 67 % des interrogés avouent avoir déjà fait du bénévolat, 33% n'ont
malheureusement pas encore eu cette expérience.

Part. 2
Q1 : La majorité de la population trouve que le bénévolat apporte une
satisfaction et est instructif et fatiguant. Un petit pourcentage n'a pas participé
à des activités bénévoles, 30%.
Q2 : Dans ces 33% susmentionnés (Q20), une grande majorité disent ne pas
avoir le temps.
Q3 : Une presque égalité a été établie sur le fait de vivre en appartement
surpeuplé par manque de revenu, les participants s’estimant pouvant le faire
l’emporte quand même.

Q4 : 75% des interrogés avouent pouvoir vendre leur affaires en cas de


besoin.

Q5 : D’après les réponses des questionnés, l'hôtellerie-restauration est le


secteur qui a le plus pallié au COVID-19, suivi par les indépendants et
artisans.

Q6 : La majorité des gens ont déclaré qu'une pénurie de clients avait fermé
l'établissement en raison du manque d'aide de l'État.

Q7: La majorité des civils, environ 50%, ne savent pas quoi faire pour sortir de
cette crise, d'autres disent partir du pays pour trouver un emploi.

Q8 : 36% des gens questionnés pensent que créer des associations est une
solution à la précarité, suivi de près par le fait de faire une distribution de
denrée alimentaire et faire des petits gestes. Un faible pourcentage pencherait
plutôt pour les loger chez soi.

Q9 : Le COVID-19 a eu un effet de solitude sur les proches de 48 %.


Surprenament l’élévation personnelle le talonne de près avec 22 %, les autres
n’ayant aucune idée.

Q10 : La plupart des participants ont répondu avoir subi un effet négatif sur
leur mental durant la période de confinement suivi par ceux qui n’ont ressenti
aucun effet, positif ou négatif.

Q11 : 88% des participants disent qu’une aide psychologique serait utile
pendant une période de confinement, un très faible pourcentage ne croient
pas aux maladies mentales, 3%.
Conclusion

Ce travail de sociologie m'a permis de voir un peu plus clair dans les
“dessous” de la société durant la période de la COVID-19 et les effets que ça
a eu sur une longue durée. Ce côté de la société est complètement invisible à
ceux qui n’y prête garde, les journalistes ne sont pas assez nombreux sur le
coup et le sujet pas assez mis en avant. Néanmoins nous avons pu contstater
des aides et des dispositions mis en place pour les plus démunis ; Dans le lot,
femme, homme, enfant, personnes handicapées, migrants, Suisse tous se
sont retoruvés plus ou moins dans la précarité aux périodes du confinement.

Les divers cafés, bars et restaurant fermant leur porte, la demande d’emploi
se firent nombreuses, contrairement à l’offre qui était en baisse, les chiffres
parlent d’eux-mêmes. Nous nous devons bien sur de cîter l’etat mental
général des démunis qui se trouvent avec des petites depressions ; le taux de
la tentative de suicide ayant fortement augementé chez les jeunes. La
pandémie de Covid19 est révélateur de la vulnérabilité de nos sociétés aux
chocs sanitaires et économiques. Elle a pour effet non seulement de mettre
en lumière mais aussi d'amplifier les inégalités déjà existantes que ce soit en
termes d’état de santé, de revenu ou encore l’accès à l`emploi.

En Suisse comme ailleurs, les personnes les plus désavantagées socio-


économiquement sont également les plus exposées et vulnérables au virus,
tant sur leur lieu de travail que dans le cadre privé. Mon but ici est d'expliquer
le mécanisme par lequel une pandémie a influencé une population particulière
de manière différenciée.
Sources

Vidéo Youtube :

Le Covid plonge les étudiants dans la précarité

Pauvreté à Genève, la double peine de la précarité et de la pandémie

Coronavirus et précarité à Genève

Sites internet :

Unige.ch

https://www.unige.ch/campus/numeros/107/recherche1/

https://www.unige.ch/sciences-societe/socio/fr/recherche/irs/thematiques/
gouvernance/la-population-en-grande-precarite-en-periode-de-covid-19-a-geneve/

https://www.unige.ch/lejournal/recherche/en-bref/precarite/

https://www.geneve.ch/fr/actualites/etude-revele-impact-covid-populations-plus-
precarisees-geneve

https://www.cairn.info/les-peres-en-debat--9782749207063-page-17.htm

https://www.cairn.info/revue-recherches-familiales-2009-1-page-131.htm

https://www.letemps.ch/economie/covid-canton-diagnostic-economique

https://www.rts.ch/info/regions/geneve/12699816-des-repas-a-5-francs-pour-les-
etudiants-et-etudiantes-de-geneve.html

https://www.tdg.ch/la-premiere-epicerie-gratuite-pour-etudiants-demenage-
235629736008

https://www.letemps.ch/opinions/solutions-precarite-releve-scientifique

Rapport :
Rapport-unige-precarite-covid-19.pdf
Aidé par : Selena Heudorf

Graphiques
Graphiques. Part 2

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