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Réalisé par :
Leila Hanafi
Souad El Ghoumari
Encadrement :
Pr. Aziz Bahoussa
Pr. Mustapha Chagdali
3. Variables et questionnaire
1. Présentation de l’enquête
2. Présentation de l’échantillon touché
3. Présentation des résultats selon les variables retenues
Conclusion
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Introduction
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Partie I : Cadre générale de la problématique de recherche.
Sans oublier, que la pression monte sans cesse auprès des gouvernements, qui se
retrouvent face à des situations critiques, comme la fermeture des frontières
évitant la prolongation de virus. Des pays comme la France se retrouvent face à
une incertitude sans pareil car 51% de son PIB dépend de la filière de tourisme.
Alors des questions se précipitent : comment faire face à cette crise ? Devrions-
nous nous attendre à une deuxième vague de Covid-19 ? Comment relancer
l’économie après la période de confinement ?
Un moment de pression pour les gouvernements qui ne cessent de se positionner
par rapport à cette crise, et dont l’avenir devient incertain.
Chez les ménages les réactions sont plus au moins diversifiées.
Certaines familles vivent le confinement comme étant un grand moment de
stress et d’inquiétude pour leurs enfants, leurs proches etc…
Par contre d’autres voient en ce confinement une chance de se revoir soi-même,
de poser le pour et le contre dans des actions à entreprendre, de puiser en eux, de
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prendre de l’écart par rapport à certaines actions et de pouvoir reconstruire
quelque chose de plus solide que ça soit dans la relation qu’ils entretiennent avec
leur conjoint ou le rapprochement avec leurs enfants.
Ce confinement vu aussi comme une opportunité sur le fait de pratiquer d’autres
activités, de prendre soin de soi-même, s’autoévaluer et même faire parler leur
passion que ça soit pour la musique, l’écriture ou autre.
Tout simplement cette période est aussi vue comme un moment de confort de
repos et surtout de bien-être.
Certes, que des routines peuvent manquer, comme par exemple sortir avec ses
amis, visiter des proches, mais cette période au-delà du stress, a aussi provoqué
un bonheur interne qui s’est construit petit à petit durant ce confinement et qui
selon quelques-uns s’adapte petit à petit, et surtout elle permettrait de développer
chez certains une sérénité et une prise de conscience.
Ainsi, Le Covid-19 étant vu comme une crise mondiale et surtout brutale, qui
plonge certains dans des attitudes excessives comme le stress ou la colère mais
aussi pour d’autre c’est un moment de bien-être.
Enfin, cette période se voit comme étant une période transitoire entre croissance
et crise, mais aussi de voir que pourrait être le monde de demain surtout
comment pourrions-nous agir si nous sommes face à une même crise que celle-ci
ou même plus complexe.
Dans notre enquête on s’est intéressé, à la réaction des jeunes face aux
réseaux sociaux en cette période de confinement. Les réactions dans notre
démarche peuvent prendre différents types qui sont soit : le stress, la colère, bien
être, bonheur interne ou autre.
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Cela nous permettra d’analyser en profondeur les comportements et attitudes
psychosociologique adoptés face aux réseaux sociaux (Instagram, YouTube,
Facebook, WhatsApp) et ce qui amène l’utilisation de ces réseaux est-ce l’ennui,
le stress face aux nouvelles reçues ou autre chose.
D’un côté c’est ce qu’on essayera de voir et surtout de décrire en profondeur et
voire qu’elles sont les comportements qui se dégagent le plus en cette période de
confinement.
D’un autre côté, dans cette démarche nous essayerons d’analyser aussi les
tranches d’âge plus adictes aux réseaux sociaux en cette période de confinement
et qu’elles sont les actions qu’ils entreprennent en cette période, et s’ils arrivent
à s’y adapter ou la pression est grandissante, et quels sont les acteurs qui
participent à la hausse de cette pression est-ce l’influence directe des réseaux
sociaux ou une influence indirecte transmise.
N’oublions pas que les médias font partie d’une des instances de socialisation
primaires , c’est ce qui nous a amenés à nous intéresser sur cette aspect-là de
notre démarche puisque les médias sont omniprésent dans nos vie et comment
elle pourront créer des comportements négatifs ou positifs chez les uns et les
autres, sachant que chacun est doté d’une conscience qui lui est propre, ce qui
nous permettra de mieux comprendre les attitudes adoptés, par cet aspect on
pourra détecter un aspect plus générale et se positionner à l’aide des variables
sur le processus de la socialisation en entier, et voire si les variables sont
interdépendantes ou non.
Cela nous permettra également de voir si cette influence virtuelle résulte-t-elle
du conformisme et voire si de nombreux personnes adoptent des comportements
qui sont homogènes ou de grands écarts se font paraitre.
Ces questions nous induisent donc à une question plus générale qui intègre tout
notre démarche d’analyse et qui est : dans quelles mesures les réactions des
jeunes
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sont-elles influencés par les réseaux sociaux lors de cette période de
confinement ?
Notre démarche statistique nous permettra de quantifier les réactions et de
pouvoir les analyser en profondeur et de le mettre en relation avec des concepts
étudiés tel que la diversité, le changement lier au Covid-19, socialisation,
conformisme et autre.
Cette enquête nous permettra de voir les variables qui ressortent le plus et qui
sont le plus remarquable dans notre analyse et voir la cause de cette variable qui
ressort le plus et quels sont les facteurs qui ont déterminé son importance.
En dernier lieu cela nous permettra de voir si l’échantillon sur lequel on a centré
notre démarche si il est plus homogène ou pas, ou si on est face à des
comportements totalement diversifiés, qui serait donc liées à des socialisations
dont les principes et les valeurs inculqués sont distinct ce qui amènerait à des
apprentissages différents et donc à des attitudes contradictoires.
Nous essayerons donc de se positionner par rapport à tous ces hypothèses et voir
qu’elle en sera le résultat de notre enquête.
3. Variables et questionnaire
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situer dans notre démarche et pouvoir analyser à partir de cette catégorie socio-
professionnelles, leur réactions et comportements face aux réseaux sociaux.
On a posé des questions sur comment ils vivent ce confinement, donc les
réactions adoptés (stress, colère, peur, moment de repos et satisfaction interne),
donc cela nous permettra d’analyser le cœur même de notre enquête. On a aussi
dirigé notre questionnaire sur comment les personnes voient cette maladie du
Covid-19, si c’est un moment de crise infernale ou un moment de sérénité, de
repos et de bien- être, ce qui nous permettra de voir si c’est un des facteurs qui
influences ces réactions et comportements, analyser ce que leur a permis ce
confinement soit d’anticiper l’avenir, de pratiquer des activités, de
s’autoévaluer, pour voir cette démarche que l’individu a pris sur lui-même et que
malgré cette maladie si la personne a pu se détacher des réactions négatifs si
d’ailleurs elle a été confronté à celle-ci.
Une question portée sur les types de réseaux sociaux utilisés, pour voir et
analyser s’il Y a une majorité de personne qui utilise un même réseau social et
en quoi cette démarche psychosociologique est-elle associé ?
Sans oublier, le temps passé sur ces réseaux sociaux et voir si cela prend la
majorité du temps car si cela dépasse un certain nombre d’heures peut être que
la personne est dans une forme d’isolation ou se referme sur elle-même, et donc
cela peut être causé soit par le non rapprochement avec la famille ou le fait de
plonger dans une certaine dépression et donc analyser par la même occasion la
réaction la plus fulgurante.
Dans une dernière question, nous étions amené à poser la raison de l’utilisation
de ces réseaux sociaux soit pour se divertir, savoir ce qui se passe dans le
monde, partager notre quotidien avec les amis et pour cause de l’ennuie.
Cette dernière question clôtura notre démarche et nous permettra de voir si les
variables que nous avons analysé, sil elles sont indépendantes ou
interdépendantes en utilisant le test de Khi-deux et pouvoir en dégager notre
propre conclusion sur
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les aspects psychosociologique étudié : la diversité, le changement, la
socialisation et autre aspect implicite.
1. Présentation de l’enquête
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2. Présentation de l’échantillon touché
Genre :
75% des réponses reçu dans cette enquête ont été des femmes et 25% ont été des
hommes.
On remarque que 76,9% des réponses émises par des personnes qui ont plus de
20 ans et que 18,5% sont des réponses émises par des personnes qui ont un âge
compris entre 18 ans et 20 ans.
Statut :
La plus part des répondants sont des étudiants, viennent ensuite les cadres, les
salariés, les entrepreneurs et les chômeurs. Plus précisément 21,3% sont des
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salariés, 12% sont au chômage, 32,4% sont des étudiants, 11,1% sont
entrepreneur et enfin 23,1% sont des cadres.
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3. Présentation des résultats selon les variables retenues
𝑋 ' ∝ = 7.82
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𝑋'∝> dc Donc : selon la règle de décision on retient H0 et on rejette H1 c’est-à-
dire que il n’y a pas de différences significatifs entre les deux variables
C= 8 -/9:#.+- =0.18
#.+- Cmax= 8'%-= 0,7
'
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D’autre part, les réseaux qui sont cette instance de socialisation se caractérise
par ce langage qui lui est propre et riche en sens, dégageant un signifié et un
signifiant qui n’est pas neutre, mais comporte des mots riches en cognition qui
constitue ce raisonnement collective.
Malgré l’influence par le groupe, l’individu garde cette authenticité, car il est
doté d’une raison qui lui est propre et qui interprète les messages reçus et donc
ces différents normes et valeurs, mais ce processus de raisonnement et lui-
même socialisé et suit une démarche non différente des instances de
socialisation ce qui fait que les comportements demeurent plus au moins centré
ce qui amène au conformisme, et qui a amené par la même occasion dans notre
graphique à des comportement plus au moins centré dont la majorité des
individus sont soit en situation de stress ou de satisfaction.
Enfin, même ce changement brutale du Covid-19 , qui a amené à cette mesure de
confinement, donc ce grand effectif de personnes en situation de stress montre
que il n’y a a pas eu d’adaptation au changement et que malgré tout il y a une
sorte de résistance à celui-ci, ce qui accentué ce stress, par contre pour d’autre ce
changement a été successive et construit car ça leur a permis de se remettre en
question, de s’autoévaluer et ont développé une certaine intelligence
émotionnelle, qui a consisté à prendre de l’écart sur la situation et de maitriser
quelque part ces sensations négatifs et même de sortir de cette manipulation de
soi-même, on devient quelque part maitre de ce que l’on ressent, et développe
cette cohérence émotionnelle et finalement comprendre la situation et agir de
sorte à atteindre un bien-être et que cette situation face partie de notre vie
quotidienne en voyant en elle une opportunité.
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3.2 Les types de réseaux sociaux utilisés par les jeunes selon
la catégorie socio professionnelle
Dans notre deuxième partie de l’enquête, on voit que 32,4% des personnes
utilisent Instagram, que 12% utilisent Facebook, 18,5% sont sur YouTube et que
finalement 37% utilisent WhatsApp.
On a procédé également à l’utilisation du khi-deux pour compléter l’analyse de
notre démarche avec deux hypothèses :
: H0, H1
H0= hypothèse nulle= il n y’a pas de différence significatif
H1= hypothèse contraire= il existe des différences significatifs
Dans un premier lieu on calcule le : dc
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ddl= (5-1)(4-1) =12
on a donc : 𝑋 ' ∝ > 𝑑𝑐
𝑋 ' ∝ = 21.03 avec alpha fixé à 5%
)%-
C= 8-/9:-+.;+ =0.36
-+.;+ Cmax= 8 =0.86
)
On remarque, que le coefficient de contingence calculé est très loin du Cmax et
donc on conclue que l’intensité de la relation entre la catégorie socio-
professionnelle et l’utilisation des réseaux sociaux en cette période de
confinement est très faible.
Dans cette deuxième démarche d’analyse, on remarque que les réseaux sociaux
les plus utilisés sont Instagram et WhatsApp. On remarque que même dans ce
cas ci-présent les résultats demeurent indépendant puisque l’utilisation des
réseaux sociaux ne dépend pas encore une fois de la catégorie socio-
professionnelle, et que toutes les personnes quel que soit sa catégorie socio-
professionnelle, elle utilise les mêmes réseaux sociaux, donc encore une fois le
comportement dégagé reste centré dans des attitudes conformistes qui ne dégage
en aucun cas des comportements contradictoires, car un individu socialisé et
aussi relationnel, qui permet d’identifier aussi des attitudes répétitives et qui ne
se distingue pas du reste de la société, un modèle d’identification est mise en
place qui peut être soit le mimétisme, et la reproduction de comportement , donc
l’instauration de rituels de la société dans les comportements individuels.
En étant sur les réseaux sociaux, on crée et on renforce d’autres relations que ça
soit avec des amis et avec des proches, dans tous les cas cela renforce une autre
instance de socialisation qui est le groupe de pair, présence donc d’une influence
mutuelle, et même cette capacité à rentrer en relation avec les autres jusqu’à
comprendre nos propres émotions et ceux des autres.
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Cette utilisation des réseaux sociaux, peut être source de motivation c’est-à-dire
par la création de nouvelles activité en ligne qui cherche l’intérêt des autres et
même leur implication.
Enfin, cette instance demeure viscérale car elle met en place une construction
identitaire, l’individu s’identifie par sa propre vision des choses et même ces
perceptions et aussi sa personnalisation.
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Alors, pour la majorité ce Covid-19 est vu comme étant un moment de crise
infernal et par d’autre une période de repos et de satisfaction.
Pour cette première majorité, dont le Covid-19 est considéré comme étant un
moment de crise infernale, cela a-t-il relation avec la résistance au changement ?
Le changement considérer comme une forme permettant de sortir du quotidien,
d’entreprendre de nouvelles méthode et de s’adapter à celui-ci, tout on le
constituant. Cette première partie, montre qu’il y a forte résistance au
changement, qui est perçu comme étant un risque démesuré. Cette résistance
peut être du par des instances de socialisation favorisant l’ancrage et dont
l’apprentissage demeure restreint, cela peut favoriser également la montée de
stéréotypes qui est lui-même un concept mentale figé, et rejette ce changement
considéré comme une autre perception et une idée sur la vie qui diffère. Dans ce
cas on rejetant le changement est ce qu’on rejette également le concept de
diversité ?
Ces deux concepts sont fortement liés, et d’ailleurs en cette période de de Covid-
19, les individus demeurent centré sur eux et la peur d’être contaminer ne cesse
d’augmenter, cela induit cette pression sociale puisque la personne à laquelle je
m’identifie, je ne m’identifie plus à elle parce qu’elle devient une source de peur
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et d’inquiétude, on stigmatise les autres et on les rejettes et donc ce qui constitue
un certain excentrisme, dont la personne ne ce centre que sur soi et ne pense plus
à l’autre.
Il peut y avoir un certain suivisme c’est-à-dire que puisque cette personne
s’éloigne car elle a peur que je sois atteint et moi aussi j’aurai peur d’elle qu’elle
me contamine, ce mode de pensée s’il devient extrême il peut conduire jusqu’au
rejet social qui est définitive et dont l’autre devient une source de peur et
d’insécurité.
D’autre voient en cette période une opportunité d’évoluer, et ont développé ce
quotient intellectuel, et donc cette intelligence émotionnelle. En développant
l’intelligence émotionnelle on s’auto conduit et on atteint un bien-être. On
maitrise nos sentiments nos émotions et on comprend les autres en situation de
détresse et on s’identifie à eux sans pour autant que cela atteigne notre morale,
on maitrise nos sentiment et ceux des autres, et cela demeure une capacité
d’introspection, de revenir sur soi et de comprendre ce soi implicite, imaginaire
et réel et par la même occasion on accepte la diversité, l’autre devient l’autre que
je protège et non pas que je rejette et on se protégeant je le protège lui aussi.
Dans notre deuxième, graphique on remarque que la majorité des individus sont
devenus accro aux réseaux sociaux, est-ce que cela devient une manière
permettant de se rassurer ? Les réseaux sociaux qui sont cette autre forme de
socialisation inculquant des normes et des valeurs crée un lien virtuelle avec
d’autre personnes, en créant des relations virtuelles on en renforçant par la
même occasion des relations existantes avec d’autres personnes cela nous
permet de ne pas nous retirer de cette sphère sociale car on est des êtres
relationnels, or cette addiction aux réseaux social montre un certain rejet, une
certaine isolation car on se projette dans ce beau dans cet idéal et nous faisant
parler notre nous imaginaire comme on le souhaite, cela pourrait être une
manière de fuir la dépression, de fuir même les relations entretenus avec les
parents, et on ce moment le socio-affectif doit entrer en jeu pour pouvoir réguler
ces états et aller vers une satisfaction.
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4.2 La raison de l’utilisation des réseaux sociaux :
Les individus, sont des êtres sociables, malgré leur appartenance à un groupe, ils
doivent s’identifier à ce groupe auquel ils appartiennent, et donc imposer ce
mode de pensée et ce mode de raisonnement qui leur est propre et garde leur
authenticité, le fait d’utiliser les réseaux sociaux comme source d’amusement,
cela permet de montrer cette identité, et cette appartenance à la société, car la
présence de l’autre demeure importante.
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Également, on ne peut pas véhiculer des choses qui se sont arrêtés
définitivement et pour cette raison que le lien qu’on a avec autrui et important,
en redéfinissant ces liens ou on les renforçant, ces liens sont véhiculés par les
réactions des autres leur approbation, leur acquiescement.
Enfin, les réseaux sociaux qui demeurent une instance de socialisation primaire
intègre d’autre concept le changement son acceptation ou sa résistance, la
diversité qui relève de l’acceptation de l’autre en cette période de confinement et
d’être empathique en s’identifiant à l’autre on le comprenant et on ayant cette
capacité à maitriser ce qu’il ressent et à nous maitriser nous-même cela permet
de renforcer avec l’autre, cet autre qui peut être soit implicite, relève de
l’imaginaire ou du réel et de sa relation avec l’intelligence émotionnelle, qui
définit cette maitrise d’émotions qui permet de s’autoévaluer et d’atteindre un
bien être.
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Conclusion
Cela nous a permis de faire ressortir par des chiffres et des méthodes statistiques
la réalité des choses et de les analyser plus tard par des approches
psychosociologiques, on a pu dégager petit à petit les aspects concernant cette
démarche et de montrer leur importance et la relations qu’ils ont avec les calculs
que nous avons fait.
Enfin, avec une cette période que nous vivons, cela nous a permis à nous
étudiantes de deuxième année de mieux approcher la société dans laquelle nous
vivons en cette période de confinement et de nous remettre nous aussi en
question par rapport à tout ce qui se passe, et de s’adapter à ce changement en
voyant en lui une opportunité de changer et d’aller vers l’avant.
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