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CINQUIÈME CHAPITRE

INDIVIDUS ET SOCIÉTÉS
Titre 1 : DIVERSITÉ DES CULTURES
Compétence : Expliquer la différence entre les cultures
Attitudes : Apprécier une culture différente de la sienne
Valeur : Respect des valeurs culturelles Malagasy et celles des autres
Outils / supports
Connaissances Activités et stratégies
pédagogiques

Problématique : L’enseignant (e) Les ressources en annexe :


«  En quoi les cultures Synthèses
sont-elles diverses  ? » - Donner des généralités sur les Définitions
différences de pratiques culturelles Illustrations :
Les différentes manières - Donner quelques définitions : Culture,o Graphe : « Les différences
d’agir et de penser des culture de masse de pratiques culturelles »
individus en fonction : - Etudes de textes : exemple « L’origineo Texte : « L’origine sociale
des sociétés sociale influence-t-elle la manière influence-t-elle la manière
des régions d’être ? » d’être ? »
des groupes sociaux o Texte : « mode de
Brainstorming transmission de la culture »
Poser des questions sur les acquis des
élèves sur : les différentes pratiques
culturelles à Madagascar.
Ranger les réponses
Faire la synthèse

Travaux de groupes
Créer des groupes de travail (pour
discuter des opinions) et définir les
tâches des groupes.

Prendre un texte pour illustrer un point


particulier sur : le mode de
transmission de la culture, de la
culture de l’individu en question et de
la pratique culturelle que cela favorise.
[cf. texte 5.1, texte 5.2]

Question- réponse
Poser des séries de questions sur les
acquis des élèves sur  la pratique
culturelle : « Quels sont les mœurs et
coutumes pratiquées dans votre :
région / société / famille ou groupe
social où vous vivez ? »

Exposé
Demander aux élèves de présenter un
court exposé concernant la pratique
culturelle des autres régions de
Madagascar.
Le prof fait une synthèse précise

Séance de visionnage de vidéo sur la


vie en société
Commenter et poser des questions sur
les points clés de la vidéo.

Titre 2 : SOCIALISATION DE L’INDIVIDU


Compétence : Identifier les rôles de l’école et de la famille dans la socialisation
Attitude: Esprit critique
Valeur : Respect des valeurs et des normes
Outils / supports
Connaissances Activités et stratégies
pédagogiques

Problématique : L’enseignant (e) Les ressources en annexe :


«  Comment devient-on Synthèses
un acteur social  ? » Donner des généralités sur la Définitions
socialisation des individus selon le Illustrations :
genre et le milieu social ; o Texte : « Le deuxième
Donner quelques définitions : sexe »
Individus, Famille, Ecole, Société, o Travaux de groupe
Normes, Valeurs, Déviance ; o QCM : « la socialisation, les
Etudes de texte : « Le deuxième individus deviennent des
sexe ». acteurs sociaux »
o Ressource pédagogique :
- Travaux de groupes « Etape et acteurs sociaux »
Créer des groupes de travail (pour
discuter des opinions) et définir les
tâches des groupes ;
Utiliser les méthodes : les concepts,
les principes et les théories ;

Question- réponse
Poser des questions sur les acquis des
élèves sur : la socialisation, les
individus deviennent des acteurs
sociaux.
Ranger les réponses
Faire la synthèse
Exposé
Demander aux élèves de présenter un
court exposé concernant le respect des
valeurs / normes et ce qu’il suscite.
(Exemple : enquêter un gérant
d’entreprise).
Le prof fait une synthèse précise.
Séance de visionnage de vidéo sur la
socialisation
Commenter et poser des questions sur
les points clés de la vidéo.

ANNEXES DU CHAPITRE
INDIVIDUS ET SOCIETES
Titre 1 : DIVERSITE DES CULTURES
1. Définitions  :
Culture :
Ensemble des valeurs, des normes et des pratiques qui sont acquises et partagées par une pluralité
de personnes vivant dans une même société.
(http://sesalaprovidence.free.fr/lexique/acceslexique.htm)
Ensemble des manières d’agir, de penser et de sentir communes à des individus vivant au sein
d’une même société.
Ensemble de connaissances, de croyances, de goûts..., qui permettent à un individu de
communiquer et d’agir avec les autres.
La culture est partagée par un groupe social et transmise par ce groupe à ses nouveaux membres.
Les cultures varient dans le temps et l’espace.

La culture ou civilisation est l’ensemble complexe qui comprend la connaissance, la foi, l’art, les
règles morales, juridiques, les coutumes et toutes autres aptitudes ou habitudes acquises par
l’homme comme membre de la société.

Culture de masse :
Ensemble de normes et de valeurs véhiculées par les mass médias (presse, radio, télévision,
publicité, internet) et les autres industries culturelles (industrie du cinéma, du disque, parc de
loisirs, etc…).
Catégorie socioprofessionnelle (CSP) est un ensemble d’individus exerçant des professions
proches, que ce soit par le type d’activités, le statut de l’emploi ou la place dans une
hiérarchie.
Groupe social est un ensemble de personnes ayant des relations directes, adhérant aux
mêmes valeurs et aux mêmes normes, et ayant un sentiment d’appartenance à ce groupe.
2. Quelle est l’origine des différentes pratiques culturelles  ?
Dans nos sociétés, les pratiques culturelles prennent la forme de consommation de biens ou
services culturels (lire des livres, regarder la télévision, écouter la radio, aller à des spectacles,...).
Les pratiques culturelles dépendent de la catégorie socioprofessionnelle (CSP). Les inégalités en
matière de revenu sont une première explication à ces différences de pratiques culturelles, mais
cela n’explique pas tout.
Les différences de pratiques culturelles s’expliquent le plus souvent par des différences de culture
entre groupes sociaux. La culture est un ensemble de goûts, de préférences, de connaissances,
d’idées, de croyances..., qui permettent de communiquer et d’agir. La culture influence le mode de
vie et donc les pratiques culturelles. Or, les familles de cadres et d’ouvriers ont des cultures
spécifiques.
3. La culture de masse efface-t-elle les différences de pratiques culturelles  ?
La culture de masse est la culture véhiculée par les industries culturelles audiovisuelles (télévision,
cinéma, radio...). Elle transmet une culture hédoniste (centrée sur le plaisir) et s’adresse au plus
grand nombre.
Parce qu’elle s’adresse à tout le monde, cette culture aurait pu réduire les inégalités de pratiques
culturelles entre groupes socioprofessionnels. Mais ce n’est pas le cas et ces inégalités sont
globalement stables dans le temps.
Cependant, la culture de masse a modifié les cultures en présence et a accentué les inégalités liées
à l’âge car toutes les classes d’âge n’ont pas le même accès aux mêmes médias.
Graphe 5.1. LA CULTURE DE MASSE

Graphe 5.2. LES DIFFERENCES DE PRATIQUES CULTURELLES

TEXTE : L’ORIGINE SOCIALE INFLUENCE-T-ELLE LA MANIERE D’ETRE ?


« Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d’une colline, proche d’une petite ville de
bains. Les deux paysans travaillaient dur sur la terre inféconde pour élever tous leurs petits.
Chaque ménage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la famille grouillait du
matin au soir. Les deux aînés avaient six ans et les deux cadets, quinze mois environ ; les mariages
et, ensuite les naissances s’étaient produites à peu près simultanément dans l’une et l’autre maison.
Les deux mères distinguaient à peine leur produit dans le tas ; et les deux pères confondaient tout à
fait.
Par un après-midi du mois d’août ; une légère voiture s’arrêta brusquement devant les deux
chaumières, et une jeune femme, qui conduisait elle-même, dit au monsieur assis à côté d’elle :
- Oh ! regarde, Henri, ce tas d’enfant ! sont-ils jolis, comme ça, à grouiller dans la poussière.
L’homme ne répondit rien, accoutumé à ces admirations qui étaient une douleur et presque un
reproche pour lui ?
La jeune femme repris :
- Il faut que je les embrasse ! Oh ! comme je voudrais en avoir un, celui-là le tout petit.
Et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants, prit un des deux derniers, celui des RANDRIA,
et, l’enlevant dans ses bras, elle le baisa passionnément sur ses joues sales, sur ses cheveux frisés
et pommadés de terre, sur ses menottes qu’il agitait pour se débarrasser des caresses ennuyeuses.
Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot. Mais elle revint la semaine suivante,
s’assit elle-même par terre, prit le moutard dans ses bras, le bourra de gâteaux, donna des bonbons
à tous les autres ; et joua avec eux comme une gamine, tandis que son mari attendait patiemment
dans la frêle voiture.
Un matin, en arrivant, son mari descendit avec elle ; et ; sans s’arrêter aux petits enfants qui la
connaissaient bien maintenant, elle pénétra dans la demeure des paysans. Ils étaient là en tain de
fendre du bois pour le manioc ; ils se redressèrent tout surpris, donnèrent des chaises et
attendirent. Alors la jeune femme, d’une voix entrecoupée, tremblante commença :
- Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien…je voudrais bien emmener
avec moi votre… votre petit garçon… »
QUESTION : L’origine sociale influence-t-elle la manière d’être ?
TEXTE : MODE DE TRANSMISSION DE LA CULTURE
La culture est un ensemble de connaissances, de croyances, de goût,… qui permettent à un
individu de communiquer et d’agir avec les autres. Cette culture est partagée par tous les membres
d’un groupe social et elle est transmise par le groupe à ses nouveaux membres.
Pour illustrer la définition précédente, recopier et compléter le tableau ci-dessous en indiquant ce
qui relève dans les portraits suivants du mode de transmission de la culture, de la culture de
l’individu en question et de la pratique culturelle que cela favorise.
 Ando : elle fréquente la bibliothèque nationale à Anosy et pense que la culture l’aide à découvrir
et à comprendre la relation humaine : un professeur d’histoire y emmenait ses élèves.
 Solofo : il a appelé son ami pour l’accompagner voir un match de football. Il estime que le match
de foot est plus amusant que les jeux vidéo et fait rencontrer plus de joueurs qui forment une
équipe, un tout.
 Fara : elle demande à sa sœur de l’emmener voir un spectacle du groupe Mahaleo car elle croit
que leurs chansons parlent beaucoup de la vie de la société.
MODE DE PRATIQUE
ELÉMENTS
TRANSMISSION DE CULTURELLE À
CULTURELS
LA CULTURE L’ÂGE ADULTE
Elle pense que la
Le prof a emmené
lecture aide à Elle fréquente la
ses élèves à la
Ando découvrir et à bibliothèque
bibliothèque
comprendre les nationale à Anosy.
nationale à Anosy.
relations humaines.

Solofo

Fara
Titre 2 : SOCIALISATION DE L’INDIVIDU
1. Définitions  :
- Socialisation : processus par lequel l’individu acquiert et intériorise les normes et les valeurs du
groupe social et de la société auxquels il appartient.
Ensemble des mécanismes par lesquels les hommes font l'apprentissage des rapports sociaux et
assimilent normes, valeurs et croyances. (http://sesalaprovidence.free.fr/lexique/acceslexique.htm)
- Normes : règles de conduite, très largement suivies dans une société ou un groupe.
Etant une règle explicite ou implicite prescrivant une conduite socialement valorisée
Une norme est un comportement ou une pratique à laquelle les comportements ou les
pratiques d’un individu sont tenus de se conformer et qui leur sert donc de référence.
Règle explicite
- Valeurs : principes ou idéaux partagés par les individus d’une même Société ou d’un même
groupe.
Etant une préférence ou un principe qui oriente l’action des individus.
Alors que les valeurs restent abstraites, les normes précisent ce que doivent être les
comportements des individus.
- Société : un groupe d'individus d'une époque, d'un mode de fonctionnement ou d'un type
particulier et ce groupe réuni par des intérêts communs ou pour une activité ou une action
commune.
- Déviance : un terme désignant tout comportement de transgression d'une norme communément
admise au sein d'une société ou d’un groupe. Toute action sociale, tout comportement individuel
ou collectif, repose sur l'idée de conformité, c’est-à-dire de respect d'une norme.
La déviance est le non-réponse des normes (qu’elles soient ou non légales), provoquant une
sanction sociale.
2. Les individus sont-ils déterminés par la société dans laquelle ils vivent  ?
Au cours de la socialisation, l’individu apprend, consciemment ou inconsciemment, les normes
(les règles) et les valeurs (principes et idéaux) du groupe social et de la société auxquels il
appartient. La famille est un agent de socialisation, mais il en existe d’autres, comme l’école.
La socialisation transmet des stéréotypes masculin et féminin (modèles schématisés) ; elle est donc
différente selon le genre. Elle permet à un individu d’être intégré dans la société, c’est-à-dire d’en
être un membre reconnu; il devient alors un acteur social.
La socialisation provenant d’agents divers, et l’individu disposant dans une certaine mesure de
marges de manœuvre, aucun déterminisme social strict ne pèse sur lui.
3. Quel rôle spécifique la famille et l’école jouent-elles  ?
Quelles que soient sa forme et son évolution, la famille est un lieu de vie qui contribue au bonheur
et à l’épanouissement de ses membres, dont celui des enfants, de leur naissance à l’adolescence, et
à leur intégration sociale. La famille exerce une fonction d’attachement de première importance :
les liens entre parents et enfants sont avant tout affectifs. Mais, par la socialisation dont ils sont
des agents, la famille ainsi que l’école sont des facteurs d’une relative reproduction sociale.
Même si l’école considère les élèves comme étant égaux, une totale égalité des chances n’existe
pas. Les performances scolaires des élèves dépendent pour une part de leur milieu social et
familial, qui les prédispose à une réussite scolaire inégale.
4. Comment les individus deviennent-ils des acteurs sociaux différents selon leur genre et leur
milieu social  ?
La socialisation n’est pas identique pour tous les individus: elle diffère selon le genre (masculin
ou féminin) et selon le milieu social. C’est pourquoi l’on peut évoquer l‘existence d’une
socialisation différentielle qui transmet des normes et des valeurs différentes.
Ainsi, la famille transmet aux garçons et aux filles, dès leur plus jeune âge, des stéréotypes
masculin et féminin (modèles schématisés). Selon le milieu social auquel la famille appartient, les
enfants ne sont pas conduits à adopter les mêmes comportements et à intégrer les mêmes
dispositions.
Dans une certaine mesure, la socialisation différentielle n’est pas consciemment dirigée par la
famille, elle s’effectue inconsciemment et échappe pour une part à son contrôle.
TEXTE : LE « DEUXIEME SEXE »
On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit
la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ?
En vérité, l’influence de l’éducation et de l’entourage est ici immense.
Ainsi, la passivité qui caractérisera essentiellement la femme « féminine » est un trait qui se
développe en elle dès ses premières années ? Mais il est faux de prétendre que c’est là une donnée
biologique ; en vérité, c’est un destin qui lui imposé par ses éducateurs et par la société.
L’immense chance du garçon, c’est que sa manière d’exister pour autrui l’encourage à se poser
pour soi. Il fait l’apprentissage de son existence comme libre mouvement vers le monde ; il
rivalise de dureté et d’indépendance avec les autres garçons, il méprise les filles. Grimpant aux
arbres, se battant avec des camarades, les affrontant dans des jeux violents, il saisit son corps
comme un moyen de dominer la nature et un instrument de combat. Il entreprend, il invente, il
ose.
Au contraire (on apprend à la femme) que pour plaire il faut chercher à plaire, il faut se faire
objet ; elle doit donc renoncer à son autonomie. On la traite comme une poupée vivante et on lui
refuse la liberté ; ainsi se noue un cercle vicieux ; car moins elle exercera sa liberté pour
comprendre, saisir et découvrir le monde qui l’entoure, moins elle trouvera en lui de ressources,
moins elle osera s’affirmer comme sujet.
QUESTIONS :
i. Qu’est-ce qui distinguent les individus du genre masculin de ceux du genre féminin dès leur plus
jeune âge ?
ii. Expliquer la première phrase du texte.
TRAVAUX DE GROUPES : LA SOCIALISATION, LES INDIVIDUS DEVIENNENT DES
ACTEURS SOCIAUX
 Premier temps : chaque groupe prépare une explication, justification ou/et une critique de l’un des
propos figurant en caractères gras et numérotés dans le texte ci-dessous ; quelles normes et valeurs
sont attachées à chacun de ces propos ?
 Deuxième temps : chaque groupe présente à la classe un compte-rendu de ses réflexions.
 Troisième temps : suggestion de débat sur la question : « Quelles normes et quelles valeurs la
socialisation doit-elle transmettre ? »
QCM :
SOCIALISATION DE L’INDIVIDU
1- La famille assure une fonction de socialisation :
a- En donnant naissance à un enfant.
b- En transmettant des normes et des valeurs à son enfant.
c- En confiant son enfant à des autres institutions.
2- L’école assure une fonction de socialisation :
a- En attendant des élèves un type de comportement face aux apprentissages.
b- En laissant totalement libre chaque élève.
c- En n’attendant rien des élèves.
3- La socialisation fait de l’individu :
a- Un spectateur.
b- Un acteur isolé.
c- Un acteur social.
4- La socialisation a pour effet :
a- Un déterminisme social des enfants.
b- De laisser un certain choix à chaque individu dans sa vie.
c- De laisser totalement le choix aux individus dans leur vie.
5- La socialisation est :
a- Identique quels que soient le genre et le milieu social.
b- Différente selon le genre et le milieu social.
c- La même pour les garçons et les filles d’un même milieu social.

CULTURE ET CULTURE DE MASSE


1. La culture est présente :
a- uniquement dans les sociétés qui connaissent l’écriture.
b- uniquement dans les sociétés qui ont produit des œuvres d'art.
c- dans toute les sociétés.
2. La culture est un ensemble de connaissances, de croyances :
d- strictement individuelles.
e- partagées par les membres d’un groupe social directement ou indirectement en relation
f- communes à des individus qui n’ont aucun rapport entre eux.
3. La culture de masse est une culture :
g- diffusée par des médias qui s'adressent « à TOUS ».
h- imposée par les dictatures communistes.
i- pratiquée par les rugbymen lors d’une mêlée.
4. La diffusion d’une culture de masse :
j- a diminué les inégalités de pratiques culturelles entre groupes socioprofessionnels.
k- n’a pas eu d'influence notable sur les inégalités de pratiques culturelles entre groupes
socioprofessionnels.
l- a augmenté les inégalités de pratiques culturelles entre groupes socioprofessionnels.

Définir : socialisation, culture, culture de masse, norme, valeur.

Quelle est la différence entre culture et culture de masse, norme et valeur ?


CHOISIR LA BONNE PROPOSITION
Qu’est-ce que la socialisation ?
La socialisation est :
- un risque politique
- un ensemble de valeurs, de normes de croyances
- une intériorisation de normes, de valeurs, de croyances
Les normes sociales sont :
- issues de la tradition
- votées chaque année
- écrites par les parents
- des préceptes religieux

La culture de masse désigne :


- l’uniformisation de la culture
- l’ensemble des informations véhiculées par la presse, la radio, la télévision, etc.
- l’industrialisation de la culture
- les loisirs et spectacles appréciés par le plus grand nombre

VRAI OU FAUX

Les valeurs sont le prolongement des normes VRAI ou FAUX


Les normes sont des applications des valeurs (ex. : l’école).
Toute pratique est culturelle VRAI ou FAUX
(Toute pratique fait intervenir la culture des individus).

OUI ou NON
Les pratiques culturelles dépendent :

-Essentiellement du revenu Oui ou Non


-de la socialisation familiale Oui ou Non
-du lieu de résidence Oui ou Non
-de l’âge et du sexe Oui ou Non
1) Quelle valeur, pour quelle norme ?

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