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Plusieurs définitions différentes de la culture

En anthropologie (sort de mes notes):


Culture: ensemble de trait distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs qui caractérisent une société ou un groupe social. 1 million de petits détails concernant nos
manières de faire, penser, se sentir et agir.
Rôle: assuré la survie dans différents environnements dicte la façon de répondre aux besoins biologiques et organisé la vie collective.
Norme: comportement attendu (faire la fil)
Transgression des normes: marginalisation (SDF prostituée)
Enculturation: tu apprends ta propre culture. Assimilation des valeurs sociales et traditionnel de ta culture.
La culture repose sur des symboles (signe, objet, vêtement, idées…) qui représente un concept, qui en est l'image, l'emblème. Exemple: le drapeau du Québec. le symbole est
omniprésent chez les humains, a une charge affective importante.
La culture forme un ensemble intégré de façon plus ou moins consciente (vision du monde, valeur toute dimension de la vie) agit comme un filtre. Exemple: comment les gens dans
différents pays perçoivent la réussite.
La culture se transforme: adaptive influençable
comment se transforme la culture :
-l'innovation: quand on a recours à un nouveau comportement, méthode, idéologie, ou outils qui engendrent des transformations au sein d'une culture. Exemple: réseaux sociaux,
voitures capitalisme, communisme, écologie)
Diffusion: quand les pratiques, coutumes ou valeurs se propagent d'un peuple à autre. Exemple: soirée sushi, pratiquer une nouvelle religion.
-inculturation: quand un peuple est obligé d'adopter des nouvelles pratiques culturelles et d'abandonner ses traditionnelles (pensionnats autochtones, camp en Chine) créent une
relation de pouvoir dominant-dominé néfaste et est toujours suite à une conquête militaire, un processus de colonisation où tentative consciente d'assimilation

En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui
est appris, transmis, produit et inventé.
Def de l'UNESCO: « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui
caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et
les croyances. » Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de
communiquer en société.
La culture est, selon le sociologue québécois Guy Rocher : « un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d'agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par
une pluralité de personnes, servent, d'une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte ».

La sociologie de la culture n'échappe pas à cette hésitation. De prime abord, elle couvre un secteur plus ou moins clairement délimité, qui englobe la sociologie de l'art et ce qui est
socialement désigné comme relevant de la « vie culturelle ». Elle regroupe alors un ensemble de subdivisions (sociologie de la lecture ou de la musique) et intègre de manière
variable des domaines connexes comme la sociologie des médias, des loisirs ou des intellectuels. Son périmètre diffère d'ailleurs fortement selon les traditions scientifiques : il est
tendanciellement plus restreint dans la sociologie française que dans le monde anglo-saxon, où le label sociology of culture intègre notamment le sport, les attitudes vestimentaires,
les modes de vie, voire la science.
La sociologie de la culture peut aussi se définir de manière transversale comme l'analyse des biens symboliques (œuvres d'art, productions intellectuelles ou médiatiques). L'étude
de leur production, de leur diffusion, de la définition de leur valeur, de leur appropriation différenciée et de leurs usages sociaux peut alors offrir un point de vue spécifique à
l'observation plus générale des rapports sociaux. En l'envisageant de cette manière, on comprend que la place de la sociologie de la culture dans l'analyse sociologique excède de loin
celle d'une simple spécialité thématique.

Voici une liste des principaux concepts de la socio :


-Les valeurs et les normes,
-La socialisation,
-La conformité et la déviance,
-Les groupes sociaux,
-Les classes sociales,
-Le changement social,
-La mobilité sociale,
-Le contrôle social, et la régulation sociale
-L’intégration et l’exclusion sociale
2- Les valeurs et les normes
Toute société se réfère a un ensemble d’idéaux et de codes :
-Les valeurs définissent ce qui est « bien » ou « mal »
-Les normes traduisent les valeurs en codifiant les comportements
Les systèmes de valeurs et de normes sont différents dans le temps et dans l’espace ; ils constituent
ce que les sociologues appellent « culture ».

La culture, une notion polysémique (mot qui a plusieurs sens)


De cultiver la terre...
-Étymologie de culture: proviens du latin ’colere’ qui signifie habiter, cultiver ou honorer;
-Ses premières utilisation du terme sont associées à l'agriculture : cultiver la terre, la culture de la patate.
-Définition toujours en vigueur de nos jours.

...à cultiver l'esprit.


-C'est pendant les lumières (siecle des lumières), que son utilisation s'étendra à l'activité intellectuelle des humains;
-D. Diderot, dans l'Encyclopédie, définit la culture comme « l'accès de l'individu à la société ». Définition qui perdurera jusqu’au XIXe siècle.

Homonymie dans le langage courant


-Dans son sens commun, culture équivaut à: « -Il a de la culture », « -Elle a une vaste culture générale ». On comprend donc parfois culture comme: Connaissance, éducation,
formation, instruction, savoir et érudition.
-On l'associe également la Culture à l'exercice d'activité artistique

Les premières traces de la culture


-Les sépultures ritualisées (?)
-La langage articulé complexe
-Les arts rupestres
-Le Néolithique
Une définition opérationnelle et succinte
« La culture est l'ensemble intégré des éléments appris en société par les membres d'une société.
Ces éléments sont des actions, des pensées (des raisonnements, croyances, sentiments, sensations) et des perceptions »

Définition de culture:
- « ensemble intégré des manières de vivre (coutumes, mœurs, etc.) et des productions matérielles (outils, bâtiments, etc.) et intellectuelles (art, musique, etc.) d'une société »
Ou - « l’ensemble intégré des significations, comprises au sens large, qui caractérisent une société »

La culture c'est aussi...


-Un ensemble de manières de penser, de sentir et d'agir partagées par une pluralité de personnes et qui servent à constituer ces personnes en une collectivité particulière et
distincte.
-Une culture n'est jamais hermétique et unique : d'où les nombreuses sous-culture et contre-cultures qui existent à l'intérieure d'une « culture nationale »
-Les normes et pratiques culturelles sont: Particulières et Évolutives

Les nouveaux usages, ou la fragmentation de la culture


-Culture et contre-culture -Culture de classe (Pierre Bourdieu)
-Culture d'entreprise -Les tensions entre diversité et homogénéité culturelle (mondialisation)

Les caractéristiques de la culture


La culture est...
-acquise (apprise) -collective (partagée) -historique -Normative et contraignante -souple
-repose sur des symboles -Sélective et intégrée -Organisée et cohérente

Langue, culture et société


• Une caractéristique fondamentale de l'action humaine = orientée en fonction de significations imputées a la situation
• sources des significations: le langage et la culture

Le langage est source de significations selon certaines modalites:


• le découpage conceptuel (ou catégoriel) du rapport sensori-moteur au monde
• la structure propositionnelle du langage: la capacité de former des phrases
• le caractère réflexif du langage = la capacité du langage de parler de ses propres productions significatives

Le langage comporte une dimension cognitive et une dimension normative


• Dimension cognitive :
- les significations produites dans le langage induisent une certaine « division » du monde
-le rapport sensorimoteur au monde restructure selon les significations produites par le langage
• Dimension normative= langage oriente l'action en fonction de cette « vision»
-Les significations prédéfinissent des champs d'action possibles
-Les significations guident l'action

Dimension cognitive: Exemple du découpage des couleurs en anglais et en berinmo

Partager une langue dans le contexte d'interactions permanentes ou régulières avec autrui=
• partager un moyen de communication permettant d'entrer en interaction et de coordonner des actions
Mais aussi et surtout
• Partager une même «vision» du monde
• Partager les mêmes normes implicites d'action
Le langage apparaît comme une condition nécessaire, mais non suffisante de la vie en société

Le langage
• Cette condition suffisante = la culture
-Ceci au sens où qu'il existe des sociétés humaines où le mécanisme presque exclusif d'intégration est la culture = les sociétés prépolitiques
-Les autres sociétés superposent au-dessus de la culture d'autres mécanismes d' intégration
-Le pouvoir politique: royautés, empires et états
-L’économie de marché dans les sociétés modernes (industrielles) et contemporaines (postmodernes)
=> d'où la possibilité de sociétés multiethniques englobant des cultures différentes sous une même autorité politique ou liées par une interdépendance économique

La culture n’égale pas le langage


• Illustration empirique de la distinction entre langage et culture:
-une même langue peut donner naissance à des cultures distinctes

Les dimensions cognitives et normatives du langage valent aussi pour la culture


-La culture induit une vision partagée du monde
-La culture oriente l' action en fonction de cette «vision»
-Il en résulte une certaine indépendance des cultures à l'égard des phénomènes naturels en général, notamment du corps humain, des maladies, des traumatismes et de la mort
• Les 4000 à 6000 langues répertoriées generent au moins autant de culture diff et sans doute autant de façons de donner du sens à la santé et à la maladie

Le langage
• Lorsque le langage et la culture visent la position (identité) des individus dans la société, création de rôles sociaux
-Exemples: père/mère/enfant, prêtre/diacre/fidèle, directeur/enseignant/élève
• Lorsque les rôles sociaux forment des systèmes 'interaction stables et interdépendants, création d'institutions. Exemples: famille, Église, école,
L'indépendance (partielle) des cultures à l'égard des phénomènes natures entraîne une très grande variabilité...
1. de la frontière du normal et du pathologique 2. des significations conférées à la santé et à la maladie
3. des rôles sociaux à propos des problèmes de santé 4. des institutions relatives à la santé

Typologie des significations conférées à la maladie et à la santé


• Significations (+ rôles sociaux+ institutions)
• Trois sortes de conception de la maladie et de la sante:
1. Conception animiste de la maladie 2. Conception religieuse de la maladie 3. Conception biomédicale de la maladie

1. Conception animiste de la maladie


• déf : la maladie comme conséquence de l'intervention de puissances surnaturelles
• Typique des sociétés prépolitiques
• Exemple de la société azandé
• Distinction entre: -Les malaises habituels pas visés par efforts thérapeutiques: maux de tête, indigestion, maladies parasitaires
-Les « maladies graves» qui appellent une intervention, thérapeutique

Étapes des efforts de guérison pour les maladies graves:


a) Appel à la phamacopée azandé par la personne malade ou par ses proches
Croyance en l’efficacité du médicament fondée sur sa ressemblance avec la pathologie
Ex.: pour traiter L’éléphantiasis de la jambe, pratiquer des incisions pour y introduire des cendres d'un morceau de patte d'éléphant brûlé
b) Consultation d'un ou de plusieurs spécialistes des puissances surnaturelles
• Un devin (spécialiste des oracles) pour découvrir l’identité du sorcier responsable du mal et pour savoir dans quel lieu sûr déplacer le malade
• Un exorciseur pour combattre la force, maléfique avec un rituel et des produits à ingérer
• Un magicien qui utilise des objets magiques pour combattre le mal

Croyances azandé:
-Pour les maladies graves, source de la maladie d'ordre surnaturel: violation d'un tabou par le malade, colère d'un sorcier, rencontre en forêt d’animaux qui portent malheur, etc.
-maladie découle d'un déséquilibre introduit ds l’ordre nat des choses ... Volontairement ou involontairement par le malade ou la volonté maligne du sorcier
-Le déséquilibre se manifeste par l’intervention de puissances surnaturelles
-La voie de la guérison passe par le recours à des spécialistes des puissances surnaturelles

2. Conception religieuse de la maladie


-Déf.: la maladie comme punition divine d'une faute
-Typique des sociétés traditionnelles ave des institutions politiques, des cultures écrites et des religions
-Exemple du christianisme d' Ancien Régime (avant 19° siècle) .
-Distinction entre : Les malaises habituels pas visés par efforts thérapeutiques: maux de tête, indigestion, etc. et Les maladies graves qui appellent une intervention thérapeutique

Les notions de péché et la maladie


-Le péché originel d'Adam et Eve = faute collective de l’humanité explique: les tourments usuels de l'humanité: la faim, le labeur, les douleurs de 1' enfantement, la vieillesse et
Les maladies usuelles ou chroniques
-La faute personnelle du pécheur peut expliquer la maladie grave ou inattendue: Soit comme sanction divine de la lute, Soit comme avertissement et occasion de rédemption
-Le péché collectif d'une communauté ou d'une époque explique les épidémies qui frappent sans distinction

Étapes des efforts de guéris on pour les maladies graves :


a) Appel à la pharmacopée et à des guérisseurs traditionnels dans les milieux pay sans et à la medecine universitaire dans les classes supericures des milieux urbains (noblesse ct
bourgeoisie)
b) En cas d'échec, recours à la piété religieuse et à l’intercession du clergé :
• Prières, Confessions (catholicisme), Messe, Pelerinages (catholicisme), Culte des saints (catholicisme), Sanctification de la vie quotidienne

Dans certaines sodétés, combinaisondes conceptions animistes et religieuses

3. Conception biomédicale de la maladie


-Déf.: la maladie comme déviation par rapport à l'état normal du corps (etat de santé)
-Typique des sociétés occidentales depuis le milieu du 19e siècle

Un siècle de recherche et de questionnements

La culture comme ensemble de faits sociaux observables


-Phénomènes humains, matériels ou non, mais toujours observables;
-Culture matérielle (ensemble des artéfacts) et symbolique;

La culture comme ensemble de comportements fonctionnels


-La culture répond aux besoins vitaux des êtres humains que sont manger, dormir, se reproduire et se protéger (« Theorie scientifique de la culture »Malinowski, 1944)
-Écologie culturelle: les phénomènes de culture constituent des formes d'adaptation à l’environnement (notion de « matérialisme culturel », Marvin Harris)
Exemple de la vache zébu en Inde

La culture comme univers de significations


-La culture n'existe pas en soi, elle n'existe les faits et gestes des individus (Margaret Mead)
-La culture résulte d'interactions pendant lesquelles les acteurs donnent un sens à ce qu'ils font
-La culture: phénomène de communication

L'étude de la culture sur le terrain


-Le décalage entre les idéaux cultures et le comportement réel des individus (3 considérations lors de la cucillette des données): 1.Tenir compte de la compréhension qu'ont
les individus des normes qu'ils partagent (perception de la société) 2.Explorer dans quelle mesure les individus croient respecter ces normes (comment ils se comportent)
3.Examiner les comportements observables sur place

Darwinisme social: Cette approche repose sur l'idée selon laquelleles comportements sociaux sont fondés surdes mécanismes d'adaptation génétique résultant de la sélection
naturelle.

Identité
-Le concept d’identité désigne à la fois ce qui est propre à un individu et ce qui le singularise
-L'identité se construit gràce à des références disponibles
-Ce recours donne lieu à des stratégies identitaires, en fonction desquelles chacun mobilise les resources dont il dispose au sein d'environnement familiaux, culturels ou
professionnels afin de constituer et de faire reconnaitre sa singularité.

Identité collective
-Aptitude d'une collectivité à se reconnaître comme groupe; qualification du principe de cohésion ainsi intériorisé
-Identité ethnique
-Identité locale
-Identité professionnelle
-Comprendre comment se reproduisent et se transforment les identités collectives implique d'éclairer les processus de socialisation par lesquelles elles se construisent

CONTRE-CULTURE: Sous-cultures subversives. Les contre-cultures contestent les valeurs dominantes et cherchent à les remplacer.

Note Concept de culture

Définition: Un ensemble de pensés, de productions matérielles (alimentation, outils, bâtiments) et intellectuelles (musique, arts) et de comportements partagés par un grand nombre
de personnes et la culture est transmise par l'apprentissage (héritage social).

Caractéristiques de la culture:

Premières traces de la culture:

Types de cultures:

1. Sous-culture;
2. Contre-culture;
3. Culture de classe sociale;
4. Culture d'entreprise;

La langue: Celle-ci n'est pas considérée comme une culture seule, mais elle fait partie de la culture. Comme dans la définition de culture, celle-ci est décrite étant un ensemble et non
un seul facteur/déterminant. Par exemple, les pays colonisés ont adopté la langue de la métropole, mais ils ont une culture qui est différente de celle-ci.

Dimension cognitive vs normative:

Les visions de la maladie liées à certaines cultures:

1. Conception animiste de la maladie;


2. Conception religieuse de la maladie;
3. Conception biomédicale de la maladie;

La culture, ensemble de faits sociaux observables? Un cas observé n'est pas représentatif de la réalité.

Note mondialisation

Note immigration pris pendant le cour 15 novembre


Acculturation: pp : Ens des changements qui se prod ds les modèles cultures originaux lorsque des groupes
d’individus de cultures différentes entrent en contact direct et continu.
-Peut être négatif quand elle est faite de force mais positive quand voulue par la personne.
-Peut être une oppressions (ex: pensionnat autochtone, camp en chine ouighours).
-Peut être positive (qd l’autre culture n'a pas le moyen de s'imposer ou ont ne se donne pas le besoin de la garder pour elle, se
l’approprier)

Multiculturalisme: se référer soit à une zone géographique où des communautés ethniques vivent en mixité et où coexistent des traditions culturelles
différentes, soit à un pays dans sa globalité dans lequel vivent différentes communautés ethniques. La multiculturalité fait aujourd'hui le plus souvent référence à
la coexistence d'un groupe ethnique indigène et de groupes ethniques étrangers. : -Existence d’identités culturelles au sein d’une même
société.
-Ensemble de dispositions inscrites dans le fonctionnement politique et institutionnel d’un pays.
-Exemple : reconnaissance de certains particularismes identitaires ans l’espace public

Multiculturalisme canadien: prend son origine avk pierre Eliott Trudeau, vision nationale des rapports entre, d'une part, les immigrants
et citoyens issus de l'immigration et, d'autre part, l'État et la population nationale, soutenue par un ensemble de politiques gouvernementales adoptées dans les
années 1970 et 1980 et ayant toujours cours aujourd'hui au canada. La politique du gouvernement fédéral en matière de multiculturalisme consiste à « reconnaître
le fait que le multiculturalisme reflète la diversité culturel et raciale de la société canadienne et se traduit par la liberté, pour tous ses membres, de maintenir, de
valoriser et de partager leur patrimoine culturel» et « à reconnaître le fait que le multiculturalisme est une caractéristique fondamentale de l’identité et du
patrimoine canadiens et constitue une ressource inestimable pour l’avenir du pays, ainsi qu’à sensibiliser la population à ce fait; [...]. »
En clair, le multiculturalisme canadien prône la coexistence de diff cultures au sein du pays, par opposition à l'intégration et à la constitution d'une identité
commune. En ce sens, la notion de multiculturalisme est souvent opposée à la notion d’« interculturalisme», plutôt préconisée au Québec.
Cette vision politique est perçue de manière critique par plusieurs Québécois, notamment les nationalistes, qui considèrent qu'elle a pour effet de « noyer la
spécificité identitaire nationale québécoise dans une différence indifférenciée, une mosaïque culturelle au sein de laquelle il n’y a plus que des minorités
culturelles ».

Concept (def) pour bien comprendre le racisme systémique


Immigré : Qui s'est installé dans un pays autre que son pays d'origine.
Émigré : celui qui a quitté l’endroit où il se trouvait pour un autre endroit, un autre état, afin de s’y installer durablement.
Réfugier : personne qui se trouve hors du pays dont elle a la nationalité ou dans lequel elle a sa résidence habituelle ; qui craint avec raison
d’être persécutée du fait de son appartenance communautaire, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou
de ses opinions politiques; et qui ne peut ou ne veut se réclamer de la protection de ce pays ou y retourner en raison de ladite crainte 1.
Demandeurs d'asile: personnes essayant d'obtenir le statut de réfugié
Réfugier politique : Pp= personne qui a été obligée de quitter son pays, craignant d'être persécutée pour ses
opinions. Les pays ayant ratifié la Convention de Genève doivent un droit d'asile aux réfugiés politiques.
Refugier économique : fuir pr se trouver une job car impo ds pays d’origine
Comment les refugier politique sont accepter au pays: enquête de police pour vérifier ta version (besoin de preuve). Immigration
est définitive pour eux (se font enlever seul passeport)
Réfugier climatique : Gens qui doivent quitter leur habitation car ce n’est plus vivable. Vont bientôt être plus nombreux que les
refugier politique. il n’y a pas de def légale sur les refugier climatique

C quoi la diff entre immigrant et refugier politique et économique


Immigrant=volontaire
Refugier= a pas le choix, pr politique et economique, c tjr plus intense

Eugénisme: pp : Théorie cherchant à opérer une sélection sur les collectivités humaines à partir des lois de la
génétique. Ex : nazi, targarien
Xénophobie: Qui est hostile aux étrangers.
Racisme: idéologie fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races » ; comportement
inspiré par cette idéologie.

Vidéo racisme systémique


-Le gouvernement du Qc est la seule province à ne pas reconnaître le racisme systémique
-Interpellation mtn interdit au quebec
-Autochtones plus interpellés à mtl
-Personne arrêter pour rien
Note socio contrôle social

Les effets de la socialisation


Socialisation : ensemble des processus par lesquels les individus acquièrent et intériorisent les normes, les valeurs et les rôles qui
régissent la vie sociale, construisant ainsi leur identité psychologique et sociale. Les individus ne réagissent par tous de la même
manière à la socialisation.
Dans ce cours, on va plus se concentrer sur le processus migratoire ou comment les immigrants vivent la socialisation.
Exemple d'effet de socialisation avec les immigrants : créer des changements dans la famille à cause du fait que les plus jeune sont
exposés à des nouvelles valeurs.

contrôle social : ensemble des pratiques sociales, formelles ou informelles qui tendent à produire et à maintenir la conformité des
individus aux normes de leur groupe social. Ses modalités varient. Ses effets sont discutés, il peut favoriser la cohésion sociale, mais aussi
permettre toutes sortes de techniques de contrôle, dont la propagande conduisant à la domination et l'aliénation.

Le contrôle social repose sur 2 concepts : l'égalité et légitimité


Légalité: Reconnaissance formel de comportement en fonction des lois. État d'être conforme à la loi ou d'être légal où
illégal dans une juridiction donnée, et la construction du pouvoir. Conforme à la loi, au droit.
Légitimité: Reconnaissance informelle de comportements en fonction de valeurs ou de traditions. L'appui d'une majorité
de la population ou d'un groupe. (Ex. État et le monopole de la violence légitime). Le terme de « légitimité » évoque le
fondement du pouvoir et la justification de l'obéissance qui lui est due. La légitimité repose sur une autorité qui est fondée sur
des bases juridiques ou sur des bases éthiques ou morales. En sciences sociales, la légitimité est un accord tacite subjectif et consensuel
axé selon des critères éthiques et de mérite quant au bien-fondé existentiel d'une action humaine.
La légitimité est donc différente de la légalité :
1- Certains problèmes d'équité ne peuvent être traités efficacement dans le cadre strict du droit.
2- Réciproquement, le droit peut dans certains cas comporter des effets secondaires injustes (problème de la sécurité juridique).

Ex situation légitime et illégale en même temp (peut pas être légitime défence) : 1-une mère qui vole des couches
pour son enfant. 2- Par exemple, dans l'Allemagne nazie, il était considéré comme un crime de cacher ou même de ne pas dénoncer un voisin
juif. Selon la légalité du pays, la chose légale serait de contribuer à délivrer lesdites personnes. Cependant, un grand nombre de personnes ont
sauvé leur vie grâce à l'opposition de nombreux citoyens. 3- en France, il est illégal de donner à manger à des pigeons.
Ex situation illégitime et légale en même temp :
Ex-situation légitime et légale en même temp : aller en prison pour meurtre

les types de norme… et leur transgression


1. Les normes formelles: lois, différents codes et règlements de l’état. si on ne respecte pas les normes formelles, on peut risquer
d'avoir une amende, se faire arrêter où aller en prison.
Exemple: tuer quelqu'un, ne pas payer ces taxes

2. Les normes informelles: les mœurs, les habitudes, les coutumes, etc. (ex. : politesse, rythme de repas) si on ne respecte pas les
normes informelles, on ne va pas aller en prison mais on va mal se faire voir par la société.
Exemple: faire la file pour l'autobus, ramasser ses déchets dans les lieux publics, ne pas cracher par terre dans la rue.

Forme de contrôle social


1. contrôle informel : ce contrôle n'est pas codé et régi par des lois non écrites (comme normes informelles)
Ex : la honte, le ridicule, le sarcasme, la critique et la désapprobation, qui peuvent amener un individu à se conformer aux normes
sociales de la société. Discrimination sociale, l’exclusion et la violence.

Moyen de contrôle informel: Lors de funérailles, les gens ont tendance à se comporter de manière à avoir l’air d’être en deuil,
même s’ils ne connaissaient pas la personne décédée. C’est un exemple de situation sociale qui contrôle les émotions d’un individu.

2. contrôle formel : ce contrôle est codé et régi par des lois et règlements strictes (comme norme formelle). Des sanctions
externes sont appliquées par le gouvernement pour prévenir le chaos, la violence ou l’anomie dans la société.
Ex : une loi empêchant les individus de commettre des vols.

Conformité ou déviance
Conformité (ou conformisme): attitude ou opinion qui est en accord avec ce qui est attendu d'un individu ou d'un groupe dans une
situation donnée ou en ce qui concerne une tâche définie. La conformité peut résulter de la pression d'une groupe, réel ou perçu, ou d'une
cohésion sociale forte du groupe.
surconformité :
Déviance : comportements non conformes aux normes sociales (au sens restreint). Dans les sphères normatives de la société, la déviance
peut être punie par la loi, par des sanctions sociales (contrôle social informel), ou vue comme un trouble psychologique ou
comportemental.
Les normes sociales étant sujettes à évolution, certaines conduites déviantes peuvent donc devenir acceptables, voire conformistes, de
même que des conduites conformistes peuvent à leur tour devenir déviantes. Le cas de l'acceptation ou non de l'homosexualité et de son
déclassement en tant que trouble mental illustre cette évolution des normes. il n'y a pas de « bonne » ou de « mauvaise » déviance.

Pour qu'une situation de déviance existe, 3 trucs doivent être réussis :


1- l'existence d'une norme
2- comportement de transgression de cette norme
3- processus de stigmatisation de cette transgression

(essayer de mieux comprendre le tableau)

Sanctions négatives :
sanctions positives :
sanctions sociales : perte de statu sociale, perte d’emplois
Sanctions juridiques : amende, aller en prison

3 Type de réaction possible à la socialisation (Il y a un prix à payer dans les trois cas).

1-respecter les normes


-Conformisme: accepte les buts, les valeurs et les normes ( ils sont bien dans la société)
-Ritualiste: en désaccord avec les valeurs et les normes, mais ce confronte en apparence (ils jouent le jeux)
2-vivre en dehors des normes
-Marginaux : rejette les valeurs tout en restant dans la légalité (évasion)
-Marginaliser : son rejeter par la société : handicapé, personne ayant des problèmes de santé mentale, sans abri
3- Aller à l'encontre des normes
-Criminels et délinquants : Acceptent les buts et les valeurs, mais rejettent les moyens légaux (innovation). Rejettent les
valeurs par des moyens illégaux
- Révolutionnaires: Combattent idéologiquement les structures d'une société. Reiettent les buts et les valeurs ave des
moyens légaux ou illégaux.
Il faut être conscient que le processus de socialisation conduit généralement au conformisme social qui obéit aux normes
sociales et engendre par le fait même le contrôle social.

Hermite: (ex : hikikomoris) gens seul et coupé du monde. peut être un effet de la marginalisation

CRITÈRES GÉNÉRAUX DE MARGINALISATION


 Mode de vie
 Exclusion du travail salarié (rapport au travail)
 Refus du pouvoir.

Note le changement sociale (Note ne vont pas être ds un pp)


Ex : mouvement féministe en Iran qui est devenu international

les réactions possibles


1. ignorer le problème
2. reconnaissance sans résolution (Être conscient mais ne rien faire)
3. Passer à l'action
La prise de conscience est nécessaire au changement social
Changement social : processus qui échappe à la volonté individuelle ( volonté collective). Dans certains cas échappe à la
volonté collective
Marx : ce sont les hommes qui font l'histoire mais ils ne savent pas l'histoire qu'ils font
Acteur sociaux : gens qui commencent la révolution.

Conscient d’un rapports de domination, les acteurs sociaux vivent vise le changement :
-agir pour changer son comportement (pour changer les problèmes sociaux on doit commencer par soi) afin de se libérer
-agir pour changer le comportement des autres par les structures sociales.
-s’organise pour changer la culture et les structures sociales

mouvement social : action collective visant à transformer l'ordre social


Le mouvement social et l'identité : les identités sont au cœur des mouvements social (le genre, la race, la nation, l'ethnie, la
culture, la classe sociale, etc). Elle permettent la mobilisation puisque le fait de donner un référent commun aux a des gens
vont permettre de les distinguer des autres (souvent l’ennemi)
Les acteurs sociaux (êtres conscients et agissants) définissent leur propre projet de revendication, qui s'oppose à la
division préconisée par d'autres acteurs dans le cadre d'un conflit.
Les chance de succès d'un mouvement social se mesure à sa capacité de consolider l'identité du groupe. (?)
Comment elle commence : Si les intellectuels, les travailleurs et étudiant s’allie, il peut avoir un mouvement social ou une lutte

4 phases de développement d'un mouvement social


1. Émergence : prise de conscience d'un problème et manifestations.
2. Organisation : structuration d'action, planification stratégique, émergence de leader.
3. Bureaucratisation : division de l'organisation du travail.
4. Institutionnalisation : inscription des revendications dans le cadre législatif et/ou récupération par l'état (entrisme).
ici le conflit vise moins la protestation mais le renforcement de l'ordre social.

Pourquoi participer à un mouvement social


a) Volonté de changer une totalité sociale ( mouvement révolutionnaire)
b) Volonté de changer un aspect d'un phénomène social plus vaste ( mouvement réformiste)

Les différent moyen d'action


-pour faire entendre des revendications
-pour faire avancer les luttes
-pour dénoncer une situation

1 : Recours collectif : Mettre en contact des pers qui partage la même injustise et qui souaitent poursuivre et avoir de l’argent
2 : travailler à faire élire un candidat aux élection (cet épisode de new girl)
3 : prise de parole et dépôt de mémoire a des commission et/ou des consultation publiques
4 : campagne de boycottage : (ex : Quatar)
5 : campagnes d’information et /ou de dénonciation (propagande) : peut etre bon ou mauvais
6 : campagne de formation et d’éducation populaire (éducation populaire) (université)
7 : manifestation
8 : lobbying
9: grève
10: utilisation des médias (compagnie s'achettent parfois un média pr le controler)
11: pétition (marchait avant, ne marche pas très bien aujourd’hui)
12: action directe et désobéissance civile
action directe:
action directe de réappropriation:
action directe de propagande:
action directe de sabotage et de destruction:
action directe de perturbation:
action de "non coopération" avec l'état et ses institutions:
Désobéissance civile:
note Le féminisme

-Avant, les femmes prenaient pars à la chasse (ont trouver des corps)
-chasse aux sorcière : Bruler femme avk des connaissance
-Inquisiteur:
-Piraterie : tt le monde est égal (même gay). Bcp de pirate femme connue
-Fifi brindacier : première femme forte à la télévision. A connue de la censure

Le patriarcat : système d'organisation sociale fondé sur la différence, la division et la hiérarchie entre les hommes et les
femmes permettant d'expliquer la persistance de la domination des hommes sur les femmes dans l’histoire.
Et le capitalisme ? (?)

Les similitudes des approches féministes:


-Perspective antinaturaliste: les positions sociales de sexe (être un homme ou une femme) ne sont pas naturelles, mais
construites socialement.
-La société fait du sexe un fait social pertinent pour diviser les individus en deux catégories importantes qui organisent la
société
-Pourquoi le sexe anatomique est utilisé comme différence discriminatoire et classifiante, alors que certaines différences
perceptibles ne le sont pas?

Approches sur la socialisation des femmes


-La culture produit des normes et valeurs que l'individu intériorise par le processus de socialisation.
-Agents de socialisation : famille, école, État, religion, travail
-Les rapports sociaux créent et divisent les Individus en classes sociales antagonistes entre hommes et les femmes, sur la
base de leurs conditions de vie.
-La socialisation crée des rôles sexuels sexistes et hiérarchisés entre hommes et femmes, qui sont discriminatoires.
-But de la socialisation : construction de l'identité et reproduction sociale
-Intérêts: Identité sociale, représentations sociales
-Interventions : Améliorer la socialisation pour améliorer le statut social des femmes.
-Ex: Campagne de publicités sexistes, Campagne d'information sur la culture du viol, Cours d'éducation sexuelle, Présentation
de meilleurs modèles féminins en politique, Costumes d'Halloween non-sexistes, etc.

Approches sur l'exploitation des femmes


-Les rapports sociaux créés et divisent les individus en classe sociale antagoniste entre les hommes et les femmes, sur la
base de leurs conditions de vie
-Les individus entreprennent des relations d'interdépendance qui conditionne leurs conditions de vie
-La division du travail crée des rôles sexuel. L’oppression des rôle sexuel créé le genre. Le genre produit le sexe
-les femmes constituent un groupe exploité, dont le travail est approprié par les hommes
-intérêt : le travail, la violence, l'appropriation du corps (propriété privée)
-intervention : transformer les rapports sociaux en transformant les conditions de vie pour transformer l'organisation du
travail ceux social total pour faire cesser l'exploitation des femmes
-exemple : campagne politique le salaire

def la loi sur le mariage : loi du Parlement du Canada entrée en vigueur le 20 juillet 2005 et qui autorise les conjoints de même sexe
à se marier.

note Documentaire féministe : La domination masculine (2007)


-quatre-vingts pour 100 des cas de violence conjugale ne sont pas déclarés
- tirage à la polyvalente
-Éric Zemmour
-on s'attaque aux luttes des droits en disant qu’au début c'était bien mais maintenant ça va trop loin
-revue périodique
Capitalisme explique à ma ptite fille
-À la télévision, l'autre soir, tu t'es indigné - et même énervé - contre les inégalités. Tu as dis que l'inégalité tue...

-L'inégalité est une réalité scandaleuse et parfaitement humiliante pour l'immense majorité des êtres humains sur cette terre. Je ne veux pas t'ennuyer avec des
statistiques, aussi je ne vais t'en citer que deux significatives. Selon la Banque mondiale, les 500 sociétés transcontinentales privées les plus puissantes - tous secteurs
confondus, industrie, commerce, service, finance, etc. - ont contrôlé l'année passée 52,8% du produit mondial brut, c'est-à-dire 52,8 % de toutes les richesses -
marchandises, brevets, services, capitaux produites pendant une année sur la planète. Leurs dirigeants échappent à tout contrôle étatique, syndical, parlementaire. Ils
pratiquent une seule stratégie: celle de la maximalisation des profits dans le temps le plus court et souvent à n'importe quel coût humain. Ces cosmocrates, ces maîtres
du monde détiennent un pouvoir financier, politique, idéologique tel qu'aucun empereur, aucun pape, aucun roi n'en a jamais disposé dans l'histoire des peuples.
Cette situation dénote une inégalité abyssale, meurtrière pour les victimes, mais qui nourrit le mode de production capitaliste. Celui-ci amplifie considérablement, et
toujours plus, les moyens des riches et en prive dramatiquement, et toujours plus, les pauvres. De l'inégalité, de l'absence de partage et de redistribution des plus-values
de la production naît la formidable efficacité du mode de production capitaliste, fermé sur lui-même, maître de ses stratégies économiques, sans égard pour les
victimes.

-Et tu avais un deuxième exemple de chiffres...


-Les 85 milliardaires les plus riches du monde ont possédé en 2017 autant de valeurs patrimoniales que les 3,5 milliards de personnes les plus pauvres de l'humanité.
La secrétaire générale d'Amnesty International résume ainsi ce scandale: « 85 milliardaires qu'on pourrait mettre tous ensemble dans un seul autobus accaparent autant
de biens que la moitié la plus pauvre de l'humanité. »

-Jean, tu ne penses pas que le fossé entre les très riches et les très pauvres va finir par se combler petit à petit ?
-Non, je pense même que ce sera le contraire...
Dans les pays de l'hémisphère Sud, des charniers s'élèvent chaque jour. Entre les très riches et la masse anonyme des gueux, les inégalités ne cessent de progresser. Le
pouvoir financier économique des 562 personnes les plus riches du monde a augmenté de 41 % entre 2010 et 2015, tandis que les avoirs des 3 milliards d'individus les
plus pauvres ont chuté de 44%.

- Dans le débat avec Brabeck, vous n'étiez jamais d'accord, sauf une fois où il t'a donné raison : il a dit que cette inégalité était choquante.
- Tu as bien écouté, Zohra. Il a même dit très précisément: « L'inégalité est moralement choquante pour beaucoup de gens. » Mais, malgré tout, à propos de l'inégalité,
mon désaccord avec le président de Nestlé reste total. Il ne s'agit pas seulement de psychologie, pas seulement de ce que les gens ressentent - en l'occurrence ce qu'ils
ressentent de choquant et qui peut les peiner -, mais bien de ce que les responsables des inégalités imposent concrètement, matériellement à leurs victimes.
L'une des inégalités les plus choquantes, les plus néfastes, est l'inégalité devant les impôts. Les très riches semblent payer les impôts qu'ils veulent. Aucun contrôleur
fiscal d'aucun État souverain n'a de prise sur eux, puisqu'il existe aux Carabes, dans le Pacifique et ailleurs dans le monde de nombreux paradis fiscaux.

-Tu veux parler des « Panama Papers » et des « Paradise Papers » ? On en parle beaucoup en ce moment...
-En effet. Un paradis fiscal est un pays qui ne connaît pas l'impôt. Mais ces pays disposent de législations permettant de créer des formations juridiques. des trusts,
comme aux iles Caïmans, des compagnies d'affaires internationales, comme aux Bahamas, qui garantissent aux très riches un secret absolu, raison pour laquelle ils y
cachent leur argent. Les sociétés transcontinentales les plus puissantes, les individus les plus fortunés abritent leurs avoirs dans ces sociétés qu'on appelle offshore (« en
dehors des côtes », « en pleine mer», « extraterritoriales »). Celles-ci assurent aux détenteurs de fonds une intransparence totale.
Périodiquement, des scandales éclatent. Des journalistes d'investigation, tenaces et courageux, mettent en lumière certains des montages financiers extraordinairement
complexes élaborés par les sociétés offshore. Ils dévoilent des listes de noms de personnes impliquées dans ces scandales: ceux que tu as cités, les « Panama Papers »,
« Paradise Papers », mais aussi en Europe, au Luxembourg, les «Lux-Leaks ».

-Explique-moi comment ces listes de noms tellement secrètes finissent quand même par devenir publiques...
-D'accord. Prenons l'exemple des « Paradise Papers ». Une personne travaillant dans le cabinet d'avocats Appleby International, aux Bermudes - peut-être taraudée par
sa mauvaise conscience -, a fait parvenir en novembre 2017 à un consortium international de journalistes d'investigation 6,5 millions de documents, révélant des
montages de sociétés offshore dans des dizaines de paradis fiscaux. Ces journalistes ont mené des analyses approfondies de ces documents et en ont tiré des chiffres.
Ainsi, le journal Le Monde, qui fait partie du consortium de journaux ayant mené cette enquête, évalue à 350 milliards d'euros l'impôt qui, chaque année, échappe au
fisc de nos États respectifs, dont 20 milliards au seul fisc français.

-Mais c'est répugnant! Pendant ce temps, tous les autres, nécessairement moins riches et qui parfois doivent compter chaque sou, sont obligés de payer leurs impôts...
en attendant que l'État coupe dans les services publics parce qu'il n'a pas assez d'argent...
-Bravo, Zohra, ton analyse est bonne et contredit la thèse que les très riches invoquent pour se défendre. L'un des inspirateurs de l'idéologie néo-libérale, Adam Smith -
dont je te reparlerai plus tard -, prétend en effet que « richness like health is taken from nobody» (« la richesse, comme la santé, n'est prise à personne »). Cela laisse
entendre, par exemple, que ce n'est pas parce que je suis en bonne santé que trois personnes de plus se retrouvent à l'hôpital universitaire de Genève... Or c'est
complètement faux ! La comparaison entre la richesse et la santé ne tient pas la route! Et tu l'as parfaitement compris: le refus des plus riches de payer leurs impôts en
dissimulant leurs avoirs vide les caisses des États. Pendant toute la seconde moitié du xx* siècle, l'État-providence, en Europe, destiné à protéger dans une certaine
mesure les citoyens contre les ravages d'un capitalisme incontrôlé et féroce, a effectué différents progrès...

-Attends, qu'est-ce que tu appelles l'État-providence?


-Ce qu'on appelle l'État-providence est apparu dans quelques pays, d'abord timidement, avec les progrès du capitalisme à la fin du xix° siècle, l'État intervenant pour
accorder un peu de protection sociale aux travailleurs, à travers l'assurance maladie, par exemple. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, cette protection, cette
aide, répondant à une exigence de justice sociale, s'est développée (assurance vieillesse, assurance chômage, allocations familiales, aides sociales, bourses d'études,
etc.) évidemment par crainte de voir se développer les luttes sociales, syndicales, le communisme, etc. L'État-providence a mis en œuvre des systèmes de sécurité
sociale et de redistribution des richesses importants, par exemple à travers les barêmes progressifs de l'impôt, les plus pauvres en payant peu, les plus riches, beaucoup.
Il a financé des écoles, des crèches, des hôpitaux, des transports publics, subventionné la culture, les activités sportives, etc.

-Ce sont donc tous ces progrès qui sont arrêtés net aujourd'hui?
-Oui, Zohra. L'Unicef (le Fonds des Nations unies pour l'enfance, United Nations International Children's Emergency Fund) indique que, en 2017, 11% des enfants
espagnols âgés de moins de 10 ans sont sous-alimentés. Dans les écoles des quartiers pauvres de Berlin - au Prenzlauer Berg, par exemple -, les instituteurs apportent
du pain et du lait le matin, parce que beaucoup d'enfants arrivent à l'école l'estomac vide, blêmes, privés de petit déjeuner. Affaiblis par la faim, ils sont incapables de
suivre une scolarité normale. En manque de ressources, certains États privatisent progressivement leurs services publics: les hôpitaux, les transports, les écoles, les
collèges, les universités, les ports et les aéroports, les prisons et même la police. Partout la protection des salariés baisse. La précarité s'installe dans les familles.
L'angoisse du lendemain rôde. L'exclusion progresse.
Sais-tu qui est Mme Merkel ?

- C'est la présidente de l'Allemagne...


-C'est la chancelière d'Allemagne, le pays le plus riche de notre continent. Elle emploie une expression horrible: Sockelarbeitslosigkeit, presque intraduisible en
français. Il veut dire que le chômage permanent de millions de travailleurs serait comme le socle sur lequel est bâti l'ordre capitaliste. Ces chômeurs permanents, qui
n'auront plus jamais de travail, ne recevront plus aucun salaire, ne pourront plus vivre une vie de famille, une existence digne, sont aujourd'hui plus de 36 millions en
Europe. Plus de la moitié d'entre eux sont des jeunes gens et des jeunes femmes de moins de 25 ans.
Mais ce n'est pas seulement en Europe, dans les sociétés industrielles, que l'évasion fiscale des très riches - avec pour conséquence la diminution drastique des revenus
des États - fait des ravages. Tu ne sais évidemment pas, 'Zohra, ce qu'est une « pledging conference »?

-Évidemment non...
-C'est une institution très particulière des Nations unies. Chaque fois qu'une catastrophe humanitaire frappe une population dans le monde, le Programme alimentaire
mondial, l'Unicef et le Haut-Commissariat pour les réfugiés convoquent les ambassadeurs et ambassadrices accrédités à l'ONU. Autour d'une longue table installée au
palais des Nations, à Genève ou dans le gratte-ciel de l'ONU, à New York, les spécialistes de l'ONU font face aux diplomates. Ils leur expliquent la nature et l'ampleur
de la catastrophe, les mesures qu'ils entendent prendre et le coût de ces mesures. Les diplomates révèlent alors, chacun à leur tour, les sommes que chaque État
envisage de verser. Pledging conference signifie « conférence d'engagement ».

-Et les responsables de l'aide humanitaire reçoivent ces sommes d'argent?


- Rarement. Je te donne un exemple. Au début de l'année 2017, une catastrophe effroyable s'est abattue sur quatre nations simultanément. La vie de millions d'enfants,
de femmes et d'hommes s'est trouvée menacée au Sud-Soudan, en Somalie, au nord du Kenya et au Yémen.

-À cause de quoi ?
-À cause de la sécheresse prolongée qui a détruit les récoltes, de la guerre civile, de l'eau empoisonnée et d'une terrible épidémie de choléra. La pledging conference
s'est tenue en mars 2017 à Genève. Les spécialistes de l'ONU demandaient 4 milliards de dollars pour maintenir en vie pendant six mois, jusqu'en septembre, 24
millions de personnes. Ils ont finalement reçu exactement 247 millions de dollars...

-Mais c'était beaucoup trop peu!


-Évidemment. Et l'un après l'autre, les diplomates présents se sont excusés: « Nos caisses sont vides... nous ne pouvons pas mettre à votre disposition de contribution
supérieure. »

-Alors qu'est-il arrivé ?


-Au Yémen, au Sud-Soudan, au nord du Kenya, au sud de la Somalie, les gens continuent de mourir. Par dizaines de milliers. Des gens comme toi et moi. Ce qui nous
sépare des victimes n'est que le hasard de la naissance.

Def impo sociologie


-Société : Une société est un groupe d'individus impliqués dans une interaction sociale persistante, ou un grand groupe social partageant le même
territoire spatial ou social, généralement soumis à la même autorité politique et aux attentes culturelles dominantes.
-Culture : Selon les sociologues, la culture comprend les valeurs, les croyances, les systèmes de langage, de communication et les pratiques que
les gens partagent en commun et qui peuvent être utilisés pour les définir en tant que collectif. La culture comprend également les objets matériels
communs à ce groupe ou à cette société
-Langue: système de symboles verbaux à travers lesquels les humains communiquent des idées, des sentiments, des expériences. Grâce à la
langue, ceux-ci peuvent être accumulés et transmis à travers les générations. La langue n'est pas seulement un outil ou un moyen d'expression,
mais elle structure et façonne également nos expériences du monde et ce que nous voyons autour de nous.
-Valeurs: des préférences - idées que les gens partagent sur ce qui est bon, mauvais, souhaitable, indésirable. Celles-ci sont généralement très
générales et abstraites.
-Normes: des concepts et comportements qui constituent la normale. Celles-ci découlent souvent de valeurs et peuvent servir à la fois de guides et
de critiques du comportement individuel. Les normes établissent des attentes qui façonnent l'interaction.
-Organisation sociale : En sociologie, une organisation sociale est un modèle de relations entre et parmi des individus et des groupes sociaux. Ces
interactions se réunissent pour constituer des caractéristiques communes dans les unités sociales de base telles que la famille, les entreprises, les
clubs, les États, etc.
-Statut : Les statuts sont des niches socialement définies, postes (étudiant, professeur, administrateur).
-Rôle : Chaque statut comporte un ensemble de comportements attendus : comment une personne dans ce statut est censée penser, se sentir, ainsi
que des attentes sur la façon dont elle devrait être traitée par les autres.
-Groupe: est composé de deux personnes ou plus qui interagissent régulièrement sur la base d'attentes partagées.
-Institutions: les éléments de base des sociétés, des modèles d'activité reproduits à travers le temps et l'espace, ayant des pratiques régulièrement
et continuellement répétées. Les institutions concernent souvent des modes de vie de base que les êtres humains élaborent dans les interactions les
uns avec les autres et au moyen desquels la continuité est assurée entre les générations. Les institutions sociales sont comme des bâtiments qui
sont à chaque instant constamment reconstruits par les briques mêmes qui les composent.
Structure sociale : La structure sociale, en sociologie, est l'arrangement distinctif et stable des institutions par lequel les êtres humains dans une
société interagissent et vivent ensemble. La structure sociale est souvent traitée avec le concept de changement social, qui traite des forces qui
modifient la structure sociale et l'organisation de la société.
Libre arbitre : En sciences sociales, le libre arbitre est défini comme la capacité des individus à agir de manière indépendante et à faire leurs
propres choix libres.
Identité: l'ensemble des qualités, croyances, personnalités, regards et / ou expressions qui font une personne.
Stratification sociale: Au sens large, la stratification sociale est une partie importante de nombreux domaines d'étude en sociologie, mais elle
constitue également un domaine distinct en soi. En termes simples, la stratification sociale est la répartition des individus et des groupes selon
diverses hiérarchies sociales de pouvoir, de statut ou de prestige différents.
Race: un groupe humain qui se définit et / ou est défini par d'autres groupes comme différent en vertu de caractéristiques physiques innées et
immuables. C'est un groupe socialement défini sur la base de critères physiques.
Ethnicité : Pratiques culturelles et perspectives d'une communauté donnée de personnes qui les distinguent des autres.
Concept de la culture

Définition : Un ensemble de manière de pensés, de sentir, de productions matérielles (alimentation, outils, bâtiments) et
intellectuelles (musique, arts) et de comportements partagés par un grand nombre de personnes et la culture est transmise
par l'apprentissage (héritage social), elle n'est pas innée. Dans une culture nationale, il y a des sous-cultures. Exp : le Canada a
sa culture et dans ce pays il y a plusieurs autres cultures (immigration).

Caractéristiques de la culture :
Les traits d'une culture sont la langue, le patrimoine culturel, les coutumes, les arts (musique), les lois à conditions qui
respectent la mentalité et les coutumes.

Les différents sens à la culture au fils du temps :


-En lien avec l'agriculture, la culture du maïs.
-Au siècle des Lumières (18º siècle) la culture fait référence à l'activité intellectuelle
-Aussi associé à la culture général (connaissance, éducation) et à l'exercice d'activité artistique (musique, arts, danse).

Types de cultures:
1. Sous-culture; Une communauté qui partage des normes et des valeurs étant différentes de la culture dominante. Exp : Le
végétarisme, la musique hip-hop, mouvement gothique (rock-punk musique).
2. Contre-culture; La contre-culture s'oppose aux valeurs, opinions et pensées qui prédominent dans la société. Les membres
qui font partie de la contre-culture se sentent insatisfaits et le manifestent et ça a une connotation politique. Exp : le
mouvement gothique (musique rock-goth). Le mouvement hippie inventé à l'année 60-70 aux USA, valorise la spiritualité, le
minimalisme, la communauté et le bonheur individuel, harmonie social et environnemental, liberté, drogues hallucinogènes, code
vestimentaire hors norme.
3. Culture de classe sociale; Chaque classe sociale à sa propre culture. La manière dont ils s'habillent, les sports qu'ils
pratiquent (le tennis, le golf, l'aviron) et leur loisir (cinéma, le théâtre, musée).
4. Culture d'entreprise; Exp : la culture hiérarchique c'est lorsque les plus hauts placés donnent les ordres et les employés
n'ont pas leur mot à dire. La culture qui promu l'esprit d'équipe ou les employés et employeurs ont une bonne relation en
dehors et extérieur du travail. La culture d'excellence ou les employés sont poussés à donner leur maximum et de faire leur
travail une priorité.

La langue: Celle-ci n'est pas considérée comme une culture seule, mais elle fait partie de la culture. Comme dans la définition
de culture, celle-ci est décrite étant un ensemble et non un seul facteur/déterminant. Une langue peut être parlé dans
plusieurs pays (français, espagnol, anglais) pas pour autant que ces pays partagent la même culture.

Lien entre culture et maladie: La culture partage une vision du monde et celle-ci influence nos actions. Chaque culture à sa
propre vision de la maladie et donc différentes approches.

Les visions de la maladie liées à certaines cultures:


1. Conception animiste de la maladie; Les sociétés pré politiques comme azandé croient à l'esprit. Pour eux la maladie
est due à l'intervention des puissances d'haut-delà. Les médicaments choisis ressemblent à la pathologie. Il faut
faire appel à un spiritualiste pour faire chasser le mauvais esprit (exorcisme) par des rituels.
2. Conception religieuse de la maladie; Dans les sociétés traditionnelles, comme le christianisme au 19° siècle la maladie
est perçu comme une punition ou bien une chance de rependre. Les pécheurs peuvent subir des maladies par la
divinité. Les personnes de la classe supérieur faisaient appel à des médecins contemporain et au pire des cas
demander de l'aide à l'Église (confession catholicisme), pèlerinage et prières
3. Conception biomédicale de la maladie; Dans les sociétés occidentales, depuis le 19º siècle la maladie est interprétée
comme une déviation par rapport à l'état normal du corps. Rien avoir la spiritualité.

La culture répond à nos besoins primaires :


Elle répond à nos besoins de survis en valorisant la famille (se reproduire), les mets caractérisent la culture (nourriture), ainsi
que le sommeil et la protection le rôle de l'homme. La culture s'adapte aussi à l'environnement (écologie culturelle), par
exemple la nourriture traditionnelle est basée sur ce que le territoire donne. L'industrie de l'alimentation mondiale n'existait
pas avant l'ère industrielle.

La culture, ensemble de faits sociaux observables?


Elle est observable par des artefacts, des symboles ou des choses non-matériels, cependant un cas observé n'est pas
nécessairement représentatif de la réalité. Il y a une différence entre les idéaux culturelles et la pratique de la culture.
L'exemple de la recherche mené en lien avec la culture nous démontre que les hommes n'étaient pas sexistes alors qu'en vrai
la culture de la pêche n'accepte pas les femmes à bord. On peut confirmer que l'individu ne va pas respecter TOUTES les
normes d'une culture.

L'identité collective VS l'identité


C'est l'aptitude d'une collectivité à se reconnaitre comme un groupe (sentiment d'appartenance). Il y a le sentiment
d'appartenance aux gens de la même ethnicité, profession, groupe sportif, quartier... L'identité est propre à l'individu et
c'est ce qui le singularise. **

La mondialisation
Le néolibéralisme : 1) discipline budgétaire forte. 2) libéralisation des taux d'intérêts. 3) libéralisation du commerce
extérieur (abaissement des barrières, éliminer les taxes douaniers). 4) ouverture aux investissements étrangers 5)
privatisation des entreprises publiques. 6) protection accrue de la propriété privée. 7) Faible intervention de l'État sur
l'économie.

La mondialisation : C'est la création d'un marché mondial, les pays interagissent entre eux (économiquement, socialement), ils
deviennent interdépendants. Celle-ci est basé sur la colonisation; l'exploitation des richesses de la colonie par et pour la
métropole. Aujourd'hui, l'emprise des pays riches sur les pays pauvres existent encore. Conséquences; la mondialisation du
marché fait en sorte que les entreprises peuvent avoir une main d'œuvre peu couteuse (les enfants) dans les pays non-
occidental.

Capitalisme expliqué à ma petite fille


1. L'évasion fiscal : Il y a l'inégalité fiscal, les personnes riches peuvent ne pas payer les impôts qu'ils sont sensés à
cause des paradis fiscaux. Les riches cachent leur argent dans les pays qui n'imposent pas d'impôts. En conséquent,
il y a moins de fond pour le budget de l'État et c'est nous qui payons le prix, parce qu'il y a moins de services
sociaux-publique.
2. « Conférence d'engagement: Lors d'une catastrophe humanitaire dans un pays pauvres les pays faisant parti de
l'ONU se regroupe pour s'engager à donner un certain montant d'argent en aide, mais celle-ci n'est peu respecté.
Leur excuse est qu'ils n'ont pas assez de fond, ce qui nous ramène à l'évasion fiscal.

L'immigration

L'acculturation : Le processus d'apprentissage et d'intégration des valeurs, des croyances, de la langue, des coutumes et des
manières du nouveau pays dans lequel vivent les immigrants et leurs familles.

L'acculturation vs l'assimilation: L'individu immigrant s'intègre à la culture dominante (pays immigré), mais pratique aussi sa
culture (de son pays). La personne assimilée ne pratique pas sa culture, elle a perdu ses racines et rejoint la culture
dominante.

Le multiculturalisme : Le multiculturalisme c'est l'acceptance du pluralisme culturel dans un même territoire. Les immigrants
n'ont pas à délaisser leur identité pour la culture dominante ou à s'ajuster à celle-ci comparé à l'interculturalisme (Québec),
qui lui cherche un équilibre entre la diversité culturel et la culture dominante.

Le multiculturalisme canadien : La politique national sur le multiculturalisme reconnait que celle-ci est une caractéristique
fondamentale de l'identité et du patrimoine canadiens et les immigrants sont libres de maintenir, de valoriser et de partager
leur patrimoine culturel.
Les candidatures d'immigration : Il y a l'immigrant économique, qui s'installe, parce qu'il s'est fait offert un job dans le pays
ou bien parce qu'il souhaite travailler ici. Souvent la commission d'immigration va privilégier les jeunes et les familles avec des
enfants (travailleurs et futur travailleurs). L'immigrant politique peut être une personne comme Karl Marx qui s'est fait
exiler de son pays et demande refuge dans un autre pays. Les pays qui ont signé la Convention de Genève sont obligés
d'accepter ces réfugiés tant qu'ils ont des preuves. L'immigrant climatique est un nouveau statut d'immigration, avec le
temps il y en aura plus.

Eugénisme: Pratiques visant à sélectionner le patrimoine génétique des générations futurs des populations en éradiquant des
caractères jugés handicapant et dans le but de favoriser des caractéristiques jugées bénéfique (modeler l'enfant parfait).
Revoir le cahier.
Contrôle social
Les deux concepts du contrôle social
L'égalité : Comportements qui sont conforment à la loi. Exp : Égalité et légitimité : fumer du weed.
Légitimité : Elle est conforme à l'équité, basé sur la morale (partagé par un grand nombre de personnes) de la société
supérieure qui dans une société et à un moment donné est considéré comme juste, mais pas nécessaire légal. Exp : Légitime et
illégal : les crimes d'honneur, Rosa Parks, s'évader de l'esclavage.

Conformité sociale :
Les normes formelles vs informelles : Des règles qui sont soient écrite, donc clair est obligatoire avec des conséquences
(judicaire, institutionnelle) alors que l'autre est plus sous-entendu.
Conséquence subir du mépris, intimidation, harcèlement quand tu ne rentres pas dans le moule.
Réactions face à la socialisation :
Respecter les normes : Certaines personnes choisissent de se conformer aux règles de la société, d'autre le critique mais y
participent quand même (ritualistes). (C'est parce qu'ils fit bien exp les hommes blanc riche).
Vivre en dehors des normes : Les marginaux sont ceux qui ne sont pas d'accord avec les valeurs de la société et agissent de
cette manière sans franchir les normes formelles (l'égalité). Les marginalistes sont les rejetés de la société (maladies,
handicapé, hikikomoris, sans-abris), ils sont exclus des structures sociales.

Aller à l'encontre des normes : Il y a les criminels qui acceptent les valeurs, mais rejette les moyens légaux et les
révolutionnaires qui rejettent les buts et les valeurs légaux.

Marginalisation : Étiquette que pose la société en lien avec les normes et les valeurs. Certaines personnes sont stigmatisées ce
qui les empêche d'être bien intégré dans la société.

Exclusion sociale: Processus par lequel une personne est privé de ces droit et privilège par la société. Cela commence par le
harcèlement, la discrimination et après la personne s'enferme sur elle-même.

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