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Perillat Louna Méthodologie de projet 14/10/2022

Berche Hana

Introduction

Dans ces recherches documentaires que nous avons effectuées, nous allons vous parler de la
précarité,des cycles menstruels et enfin de la précarité menstruelle en vous expliquant ce
que c’est, pourquoi est-ce que ça arrive, qui est- ce que ça touche et les protections mises à
disposition.

Précarité

La notion de précarité est née dans les années 1980. Elle ne se limite pas à la pauvreté,
résidentielle, sanitaire ou/et professionnelle.
Selon le père Joseph Wresinski fondateur d’ATD quart Monde il définie la précarité comme:
"L'absence d’une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles
d’assumer leurs responsabilités élémentaires et d’utiliser leurs droits fondamentaux.
L’insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus
ou moins graves et définitives.
Elle conduit le plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaines de
l'existence, qu’elle tend à prolonger dans le temps et devient persistante, qu’elle
compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassurer ses
responsabilités par soi-même dans un avenir prévisible”
L'inquiétude qu’elle suscite est massive: près de 55% des français se sentent menacés, près
de 83% ont peur pour leurs enfants ( baromètre Ipsos-secours populaire 2016). Et pourtant
la précarité ne touche et/ou concerne qu’une partie des travailleurs : les jeunes qui s'auto
qualifie de “génération précaire'', ainsi que les moins diplômés et les femmes.
On peut naître dans la précarité, mais aussi y entrer dû à un accident et/ou incident arrivé en
cours de vie et peuvent se cumuler car elles sont souvent liées.
Il existe différents types de précarités comme:
- La précarité de l’emploi: (une personne qui éprouve dans son logement des
difficultés particulières à disposer de la fourniture d’énergie nécessaire à la
satisfaction de ses besoins élémentaires en raison de l’inadaptation de ses ressources
ou de ses conditions d’habitat)
- De logement et la capacité à s'y maintenir :( difficulté de payer un logement voir
d'accéder à un logement.)

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- Scolaire et de formation: (autorité scolaire et empêchant l’enfant ou l’adolescent


d’accomplir son " métier d’élève".)
- De lien familial
- Financière: (Situation dans laquelle une personne se trouve, ne lui permettant pas de
subvenir financièrement à ses besoins)
- D’accès à la santé
- Culturelle: (l'incapacité d'un individu à accéder à la consommation de services et
d'activités à caractère culturel)
- Énergétique: (une personne qui éprouve dans son logement des difficultés
particulières à disposer de la fourniture d’énergie nécessaire à la satisfaction de ses
besoins élémentaires en raison de l’inadaptation de ses ressources ou de ses
conditions d’habitat)
- Précarité alimentaire: (situation dans laquelle une personne ne dispose pas d’un
accès garanti à une alimentation suffisante et de qualité, durable, dans le respect de
ses préférences alimentaires et de ses besoins nutritionnels, pouvant entraîner ou
découler de l’exclusion et de la disqualification sociale ou d’un environnement
appauvri)
- Précarité menstruelle: ( définition donnée plus loin)
Les solutions face à la précarité sont/seraient :
- La sécurité sociale: (ensemble d'institutions qui ont pour fonction de protéger les
individus des conséquences de divers événements ou situations, généralement
qualifiés de risques sociaux)
- Aides sociales : (l'ensemble des prestations constituant une obligation mise à la
charge des collectivités publiques, notamment du Département et destinées à faire
face à un état de besoin pour des personnes dans l'impossibilité d'y pourvoir)
- Allocations calculées en fonction du revenu et du nombre composant la famille
(allocation de solidarité spécifique, allocation équivalent retraite, allocation
chômage, allocation d’insertion, allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA),
allocation de solidarité active, allocation contre la précarité sociale, allocation
revenue solidaire active, couverture médicale universitaire (de base et contre la
précarité sociale) (CMU), aide médicale de l’état et l’aide médicale étrangère (AME)
(pour les personnes résidant en France depuis au moins 3 mois)
- Pôle emploi: (Il a pour mission d'accompagner tous les demandeurs d'emploi dans
leurs recherches jusqu'au placement, assurer le versement des allocations aux
demandeurs indemnisés, aider les entreprises dans leurs recrutements et recouvrer
les cotisations.)
- Réforme des droit du travail: (favorise l'engagement des salariés dans la vie de
l'entreprise, c'est un facteur décisif de productivité et d'attractivité)
- Associations
- Des campagnes de pauvreté/précarité
- Des compléments de locaux de ressource (rmi): (Il s'agit d'une garantie de revenus
destinée aux personnes handicapées qui ne peuvent pas travailler et qui n'ont donc

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pas de revenus. Plus précisément, il correspond à un forfait dont le montant est


révisé chaque année. Actuellement, il est de 179,31€.)
- Politique de logement
- contribution sociale généralisée (CSG): (La CSG est prélevée sur les revenus d'activité
et de remplacement des personnes domiciliées fiscalement en France et à la charge,
à quelque titre que ce soit, d'un régime obligatoire français d'assurance maladie. Son
taux est différent selon les revenus concernés.)
- Le revenu solidarité actif (RSA: (constituant à la fois un revenu minimum pour les
personnes privées d'emploi et un complément de revenu en cas de reprise d'activité.)
- La création récente d’un compte personnel d’activité (CPA) :(Il contribue au droit à la
qualification professionnelle et permet la reconnaissance de l'engagement citoyen.)
etc… .
source : Damon Julien. Quelles solutions face à la précarité§ science humaine n°289, 02/2017, p.48-51. ISSN
0996-6994 le 19/10/2022 a 8h30

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Cycle Menstruel

Le cycle menstruel se definit par “ Un ensemble de phénomènes physiologiques, survenant


le plus souvent de façon périodique, qui préparent l’organisme de la femme à une
éventuelle fécondation”
Les règles arrivent en général vers la puberté (11-13 ans). Elles durent en moyenne 3 à 5
jours. Elles sont causées par la destruction de la couche utérine lorsqu’il n’y a pas eu de
fécondation sous la forme de saignements plus ou moins abondants.
- Ovaire : produit les ovules et hormones pour le développement de l’endomètre
(selon le dictionnaire robert : « tissu qui tapisse l’intérieur de l’utérus »).
- Œstrogène : hormone qui permet d’épaissir l’endomètre.
- Progestérone : augmente après l’ovulation et permet à l’endomètre de persister afin
de recevoir l’œuf fécondé.
Durant les règles la température du corps oscille entre 36 et 37°C, ainsi qu’une
augmentation des hormones citées ci-dessus en plus de l’estradiol, follicule stimulant et la
lutéinisante.
Il y a plusieurs phases des ovaires : la phase folliculaire, la phase ovulatoire et la phase
lutéale.
Le cycle menstruel est généralement entre 28 et 33 jours mais diffère d’une femme à l’autre .
Il commence le 1er jour des règles suivantes jusqu’au 1er jour suivant. Un cycle est considéré
comme « long » quand il est supérieur à 35 jours voire jusqu’à 56 jours pour certaines. Un
cycle est considéré comme « court » quand il est inférieur à 21 jours.
Les symptômes les plus courants sont des douleurs pelviennes plus ou moins fortes, des
nausées/vomissements.
La phase pré-ovulatoire est la plus symptomatique, la seconde, celle juste avant les règles,
peut provoquer des symptômes « prémenstruels » et a un impact sur les humeurs, sur la
prise de poids ainsi que l’acné chez les adolescentes.
Les types de protection existant sont les cups, les tampons (avec applicateur ou sans), les
serviettes hygiéniques (lavable ou jetable) et enfin les culottes de règles.

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L’arrêt des règles est/peut être provoqué par la grossesse, la ménopause (environ vers 50
ans), la pilule (pas toutes juste certaines) et enfin certaines maladies ou traitements de
maladies.
Il peut y avoir des anomalies avant/pendant/après les règles comme des règles trop
abondantes que ce soit en quantité ou en durée. On appelle ça la ménorragie ou
hyperménorrhée. C’est un trouble assez fréquent, il survient principalement lors d’un cycle
sans ovulation, les règles sont prolongées ou elles ont un certain retard.
Un retard important (plus de 25 jours) suivi de règles prolongées peut être un signe de
fausse couche (Interruption accidentelle de la grossesse entraînant la mort du fœtus). Il peut
y avoir aussi des traitements hormonaux, une/des tumeurs ou encore une inflammation du
col de l’utérus qui peut être à l’origine de règles prolongées. Elles peuvent aussi être
douloureuses= dysménorrhées.
Source : https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sexo-gyneco/2488664-regles-femme-duree-cycle-calcul-
symptome-definition-menstruation/le 13/10/2022 à 11h36

Le syndrome prémenstruel touche 75% des femmes qui ont des symptômes légers et 20 à
30% qui ont des symptômes intenses. Le trouble dysphorique prémenstruel (TDP) quant à lui
désigne un syndrome prémenstruel dont les manifestations psychologiques sont très
prononcées),il toucherait de 2 à 6 % des femmes.
Ces différents symptômes sont:
- Une hypersensibilité des seins, la douleur varie entre quelques heures et quelques
jours ainsi qu'une douleur au niveau des jambes ou jambes lourdes.
- L'humeur changeante, l’irritabilité, l’anxiété, une difficulté à se concentrer, une
sensation d’abattement ou de dépression.
- La prise de poids, arrive environ 2 semaines avant les règles, les femmes peuvent
prendre entre 1 à 3 kg, certaines peuvent atteindre les 10 kg, ce poids disparaît

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généralement à l'arrivée des règles. Cela peut être causé par une rétention d’eau
accompagnée d’un ballonnement au niveau du bas-ventre.
- Une baisse/hausse de l’appétit, quelques jours avant les règles les femmes peuvent
avoir des envies de gras/sucrée/salé tandis que d'autres verront leur appétit
diminuer.
- Une difficulté d’endormissement, entre 2 à 7 jours avant les règles les femmes auront
plus de difficulté à s’endormir malgré la fatigue accumulée.
- Une baisse du désir sexuel.
- Une poussé d’acnée
- Des crampes, ce sont les muscles de l’utérus qui se contractent en attente des règles
et provoquent des crampes plus ou moins fortes. L’aménorrhée touche 50 à 80% des
femmes, de ce nombre 5 à 15% sont tellement impactées que cela modifie leurs
quotidiens : repos forcé, absentéisme scolaire/professionnel.Lorsqu’elles sont très
intenses et persistantes après les saignements, les douleurs peuvent être signe
d’endométriose
Source : passeportsanté.net/fr/maux/problèmes le 13/10/2022 à 11h39

Définition de l’endométriose (solidarité-santé.gouv.fr) : « l’endométriose est une maladie


gynécologique chronique de la femme en âge de procréer qui se caractérise par le
développement d’une muqueuse utérine (l’endomètre) en dehors de l’utérus, colonisant
d’autres organes avoisinants. Elle touche entre 50 et 91% des femmes selon l’étude menée
par Endofrance.
Les symptômes de l’endométriose sont « les règles douloureuses (dysménorrhée), douleur
pendant les rapports sexuels (dyspareunie), douleurs pelviennes fréquentes (pouvant aller
jusque dans les jambes), défécation douloureuse, difficulté pour uriner (dysurie),
abdominale (ombilicale) ».
Chaque cas d’endométriose est unique, il existe l’endométriose dite « asymptomatique »
découvert seulement lors de bilan de fertilité.
Source : endofrance.org/la-maladie-endometriose/symptomes-endometriose le 14/10/2022 à 9h34.

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précarité menstruelle

La précarité menstruelle se définit par “la difficulté ou le manque d’accès des personnes
réglées au protections hygiéniques par pauvreté”
On estime qu’il y a 1.7 millions de femmes qui n’ont pas de moyens de se procurer des
protections, un tiers (soit 33%) des étudiantes (selon l’enquête FAGE en février 2021) ont
exprimé un besoin d’aide financière pour s’en procurer et 13% des étudiantes ont dû choisir
entre des protections ou des produits de première nécessité.
5 millions d’euros sont débloqués en 2021 pour la précarité menstruelle dont 20.5 millions
pour l'échelle d'expérimentation qui a été mise en place l’année dernière(2021) et enfin 2.5
millions pour des appels à projets régionaux qui ciblent des publics prioritaires
(principalement les étudiantes).
source: https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/lutte-contre-la-precarite-menstruelle-un-acces-
gratuit-aux-protections-periodiques-pour-les-49201

Cette précarité touche, d’après le rapport de “Dons solidaires” du cahier des charges contre
la précarité menstruelle, près d’une femme sur dix ont déjà manqué de produits hygiéniques
pour des raisons financières, ce chiffre s’élève à 24 % pour les femmes pauvres et 39 % pour
ceux qui bénéficie des d’associations. 17 % d’entre elles déclarent manquer le travail à cause
de menstruations et une incapacité à se procurer des protections.
6 étudiantes sur 10 disent avoir déjà manqué des cours à cause de leurs menstruations.
Selon le rapport de la sénatrice Mme Schillinger, les conséquences de cette précarité
peuvent avoir des répercussions sur le bien-être et l'estime de soi voire être une source
d’inquiétude et ressentir de la honte.
Elle impacte également la vie sociale, le décrochement scolaire, sportif ou encore le
renoncement au travail.
Elle représente aussi un enjeu sanitaire car beaucoup de femmes ont eu des problèmes de
santé parce que certaines gardent trop longtemps leurs protections hygiéniques. Le
renouvellement insuffisant des serviettes hygiéniques ou les produits inadaptés risque
d'entraîner des infections et des chocs toxiques, ce problème est très peu connu dû au tabou
des règles.
source :https://www.prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/content/download/84295/543289/file/AAC
%20-%20Cahier%20des%20charges%20-%20Pr%C3%A9carit%C3%A9%20menstruelle.pdf

En France, aucune enquête chiffrée ne permet de saisir l’ampleur de la précarité


menstruelle.

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Les débats sur la baisse de la TVA appliquée aux protections hygiéniques, passés de 20 % à
5,5 % le 1er janvier 2016, ont permis de poser publiquement la question du coût des règles
pour les femmes françaises.
Mais peu de choses ont changé sur l’accès aux protections des femmes les plus démunies.
« Les femmes sans abri sont évidemment touchées, mais nous recevons aussi de nombreux
témoignages de jeunes étudiantes sur ce sujet », constate Fanny Godebarge, fondatrice de la
plate-forme d’informations sur les règles Cyclique.
La médiatisation de la politique du sujet a cependant brisé les tabous sur les règles. Une
mutuelle étudiante propose désormais le remboursement des protections hygiéniques. Par
ailleurs, on trouve désormais des coupes menstruelles plus facilement dans les magasins, ce
qui n’était pas le cas avant.
Selon plusieurs associations, l’abaissement de la TVA n’a pas eu de conséquences dans le
porte-monnaie des Françaises, personne n’a vu une amélioration.
Les dispositifs réutilisables, comme les coupes menstruelles ou les serviettes lavables,
pourraient rendre accessibles les protections hygiéniques, une coupe menstruelle achetée
une quinzaine d’euros peut être utilisée pendant cinq ans. Il faut cependant faire attention
aux conditions d'hygiène et d’accompagnement, la coupe menstruelle n’étant pas adaptée
pour les femmes sans abri dû au manque d’accès à un moyen de se laver.
Pour tenter de faire face à la précarité menstruelle, cette association basée à Paris à mise en
place de lieux de collectes de protections hygiéniques (environ 150 en France aujourd’hui)
pour les distribuer aux femmes dans le besoin (les femmes sans abris, les mères célibataires,
les étudiantes, les femmes en situation précaire et enfin les femmes en prison) et organise
des ateliers d’informations sur les protections hygiéniques.
Source : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/10/16/tva-sur-les-tampons-qu-est-ce-qu-un-
produit-de-premiere-necessite_4791200_4355770.html

D’après l’article TOPO, 1,7 millions de femmes sont en précarité menstruelle comme les
collégiennes, les lycéennes, les sans domicile fixe, les femmes incarcérées et les femmes en
situation de précarité économique.
Le Monde chiffre les dépenses des protections hygiéniques à 7, 50 € par mois, le prix des
serviettes et tampons est entre 1,50 € et 5€.
Une enquête du Monde est réalisée en 2021 sur la précarité menstruelle chez les étudiants.
- 1 étudiante sur 5 vit sous le seuil de pauvreté.
- Selon eux, 1 étudiante sur 10 doit fabriquer elle-même ses protections faute de
moyens pour en acheter.
- Beaucoup de femmes ont eu des problèmes de santé car elles gardent trop
longtemps leurs protections hygiéniques.

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Preuve que les règles gênent en 2012, une artiste portugaise voulait afficher une œuvre avec
2500 tampons, le château de Versailles a refusé car cela aurait pu choquer les visiteurs.
En novembre 2020, le parlement écossais a voté oui pour la gratuité des protections
hygiéniques.
En France, le chemin est encore long mais en 2020, le gouvernement français a promis 5
millions d’euros d’aide pour les règles et assure vouloir mettre en place des distributeurs
dans les collèges, les universités, les facultés et enfin les prisons.
Topo, le bord Joséphine, Bacquelin Hélène. Pourquoi les tampons et les serviettes hygiéniques ne sont-ils pas
des produits de 1ére nécessité ? Topo n 030 07/2021 le 19/10/2022 à 8h30

Depuis 2018, la LMDE, mutuelle des étudiantes, rembourse également à hauteur de 20 à 25


euros ses adhérentes qui utilisent tampons, culottes de règles, cup ou encore serviettes
hygiéniques.
source : https://www.linfodurable.fr/sante/precarite-etudiante-ou-se-procurer-des-
protections-hygieniques-gratuites-34272

conclusion :
Pour conclure, nous pouvons dire que les différents types de précarité sont un problème
national qui, même s'ils ont été pris en compte par les politiques, ne sont pas réglés pour
autant. Les moyens mis en place restent à ce jour insuffisants pour permettre à ces
populations fragiles et désavantagées de s'insérer dans la société. Les précarités sont des
sujets encore très sensibles en France mais l'arrivée des réseaux sociaux comme Tik Tok tend
à renverser la vapeur sur ces sujets encore peu discutés. Si l'Etat a encore du mal à intervenir
dans ces questions urgentes, les associations et ONG se battent tous les ans pour permettre
aux personnes en précarité d'accéder à un minimum de sécurité et d'assurer également leur
besoins essentiels minimum même si les possibilités sont limitées. Une des solutions
concernant notamment la précarité menstruelle est une discussion ouverte entre parents et
enfants.si cela est impossible (religion, tabou, absence de parents…) l'information est vitale
pour que les jeunes filles abordent leur problèmes en toute lucidité. Nous pouvons donc dire
que c'est un sujet de société important auquel il faut apporter des solutions solides et
applicables immédiatement dans un contexte politico-économique compliqué et face à une
demande croissante de la population.

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