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Fiche équipe

No. groupe: 231


Nom de l’équipe: 5
Problème identifie/choisi (Q1-Q3): Les personnes pauvres, sans éducation ou formation et les
personnes âgées

Q1. Quel est le problème social spécifique choisi?


Nous essayons de répondre en même temps à deux besoins identifiées : d’une parte,
l’impossibilité des personnes pauvres de trouver un lieu de travail (cause par leur manque de
formation/de compétences nécessaires, leur statut, leur apparence, leur expérience, etc.) et
d’autre parte les personnes âgées qui habitent seuls, qui ont besoin d’aide ou de soin (soit
nourriture, maintenance, blanchissement, soit d’aide médicale).
Pour commencer, on s’installe dans Adunatii-Copaceni, Giurgiu, un village avec environ 2000
personnes. Ce village compte beaucoup de personnes âgées et des jeunes sans formation, qui ont
quitté les études avant le lycée. Pour ce gens, il est difficile maintenant de trouver des lieux de
travail, car ils n’ont pas d’éducation ou de formation dans aucun domaine.

Les chiffres comprennent tout le comté Giurgiu. Concernant le chômage, il est visible que le
ratio du chômage est en croissance. Pendant un an, le ratio a croisé avec 0.7%, qui est un chiffre
assez élevé.
En conformité avec https://giurgiu.insse.ro/, la population totale courante de Giurgiu est de
278.848 personnes. Si on regarde le deuxième tableau, on voit que les personnes retraitées sont
53.670, qui signifie que presque 20% de la population consiste des personnes retraitées.

Q2. Pourquoi est-ce problème social important? Quelle est l'échelle de ce problème social
en Roumanie?
Ces problèmes apportent des effets négatifs comme : beaucoup de personnes qui mendient ou qui
volent pour vivre, beaucoup de vieux qui ne se débrouille pas du tout seuls, qui n’ont pas quoi
manger, qui tombent malade à cause du manque de soin.
Malheureusement, en Roumanie un tiers de la population se confronte avec la pauvreté.
Les pauvres ne font pas partie des programmes gouvernementaux de la Roumanie depuis 30 ans.
Dans les campagnes, on leur a offert des sacs, des promesses non tenues et des menaces. Et la
Roumanie est restée dans la queue de l'Europe en termes de niveau de vie. Les statistiques de la
pauvreté en Roumanie sont dramatiques. Plus de six millions de citoyens, soit environ un tiers de
ce que l'on estime rester en Roumanie, vivent dans la zone d'exclusion sociale. Un enfant sur dix
se couche sans nourriture et un enfant sur trois fait partie d'une famille menacée de pauvreté. Un
quart de la population roumaine dispose d'une salle de bain à l'extérieur de la maison. La
moyenne européenne est de deux sur cent.
[Steve, qui a environ 50 ans, n'a jamais été employé. «J'ai travaillé illégalement, sur le bulletin de
quelqu'un d'autre. J'ai pris 120 lei, je suis rentré avec eux. J'y vais aujourd'hui, j'y retourne dans
trois jours, et donc, je travaille aujourd'hui, je mange le soir, pour que nous puissions vivre jour
par jour, seulement si je trouve un travail, dont quelqu'un a besoin, soit dans la construction, dans
la peinture, peu importe quoi. Sinon, nous vivons dans la rue. Nous collectons toujours des
journaux, nous avons toujours ramassé des bouteilles, ce que l'on trouve dans la rue. »]

Q3. Quels sont les facteurs qui maintiennent ou grandissent ce problème? Quelles sont les
causes profondes de ce problème?
 les pensions petites pour ceux qui n’ont pas les ressources nécessaire pour vivre
 l’abandon pour le vieux qui peut-être ont des ressources, mais qui n’ont pas la puissance
or un état de santé bon (beaucoup de gens qui partent à l’étranger pour y travailler en
laissant leurs parents seuls)
 les prix très grandes pour les asiles/pour les médicaments/ pour les aliments

o aucun intérêt pour les entreprises d’embaucher les personnes pauvres


o manque d’éducation/de formation
o pas de facilites pour eux
o en Roumanie le niveau de vie n’est pas accessible pour tout le monde
o une grande partie de la Roumanie se trouvent dans la zone rurale ou la population n’a pas
l’accès aux conditions de vie normales
o le sous-financement des services sociaux
o Divergences législatifs (les courts-circuits systémiques) : «Il y a des éléments très utiles
du cadre législatif, mais dans des cas comme celui de la maternelle pour les enfants
pauvres on a la loi, mais pas les règles d'application, et pour le logement informel on a
tout, mais cela ne s'applique pas. »
o La loi actuelle sur le revenu minimum garanti décourage le travail, car elle retire l'aide
sociale aux personnes qui ont un emploi, même si leur salaire est très bas.
Le libéral Sebastian Burduja critique également ceux qui administrent le domaine social et
géraient les besoins de la communauté: «Ce domaine a été repris par des politiciens qui ont
préféré exploiter les bénéfices que l'État accorde aux groupes vulnérables pour les maintenir
captifs. Les décideurs se sont moqués de ces gens et les ont utilisés comme une arme
électorale, et l'intérêt des politiciens n'a pas été d'aider ces gens à faire leur propre sens. »
Pour l'instant, le paysage de l'aide sociale présente d'anomalies législatives et bureaucratiques
comme: ceux qui vivent dans des environnements précaires n'ont pas de papiers d’identité,
n'ont pas de logement, ça veut dire qu’ils ne reçoivent pas d'assistance sociale ou médicale.
Source : https://www.dw.com/ro/nu-po%C8%9Bi-eradica-s%C4%83r%C4%83cia-cu-
oameni-care-%C3%AEi-ur%C4%83sc-pe-s%C4%83raci/a-55819192
Solution ou solutions possible envisagées :
- créer une organisation qui embauche seulement des personnes pauvres qui
désirent travailler mais qui n’ont pas la possibilité. Cette organisation va
s’occuper avec le soin des vieux : on va assurer un training pour les employeurs,
puis on va les allouer un nombre de personnes âgées pour les soigner (livrer la
nourriture/ médicaments, les aider à prendre un bain, prendre les vêtements pour
les laver, nettoyer leur maison)

Q4. Pourquoi votre solution aide à résoudre le problème ? Est-il vraiment résoluble?
Si on alloue des embouches pour les personnes pertinentes, pauvre ou sans aucune formation, on
peut garder la force de travail de notre pays et diminuer le taux de chômage au niveau rural. Il y
a beaucoup de petits village ou les gens partent la Roumanie pour travailler à l’étranger. Comme
ça, on gardera les gens là-bas. En plus, le nombre des personnes qui décident de voler ou d’avoir
des autres activités illicites va baisser considérablement. On se propose d’apporter plus qu’une
solution, mais un modèle pour les autres entreprises, un impulse pour les développements des
projets autour de cas sociaux comme les pauvres et les personnes âgées sans aide. On espéra que
notre solution sera un petit pas qui contribuera à la baisse de la pauvreté, a une meilleure société.
On considère que les problèmes peuvent être vraiment résolubles à partir de l’hypothèse
suivante : on crée maintenant un nombre des embouches, puis si on a des succès on ajoute
plusieurs, des nouvelles entreprises s’impliqueront en cette direction en créant de plus.
En ce qui concerne les personnes âgées, on diminuera le nombre de gens qui ont besoin urgente
d’aide mais ils ne l’ont pas. On se concentre sur la zone rurale, ou leur nombre est plus grande et
leur situation plus difficile. Il y a des personnes âgées qui n’ont pas la possibilité d’aller pour
acheter du pain ou de la nourriture et qui n’ont pas la force de cuisiner pour eux-mêmes, donc,
comme ça, ils vont avoir de la nourriture et de l’aide.

Q5. Quelles autres approches ont été essayées et quels sont leurs résultats?
 Projet USR : réduire la pauvreté de 4-5% et augmenter du nombre de personnes qui
travaillent legalement par la mise en œuvre de la loi sur le revenu minimum d'inclusion
qui stimule la recherche d'emploi car les personnes qui bénéficient de l'aide sociale n'ont
plus à choisir entre un emploi et le maintien de l'aide sociale.
 Le projet "Une chance pour l'avenir - Développement de l'économie sociale", qui a
été mis en œuvre par le maire de la commune de Brăhăşeşti. A travers un projet européen
unique, accessible via le Programme Opérationnel Sectoriel de Développement des
Ressources Humaines (POSDRU), d'une valeur d'environ 450 000 euros, trois entreprises
ont été créées: une fabrique de pain, un institut de beauté et un service local
d'assainissement. L'usine de pain s'appelle Gipsy Bread SRL. Il est équipé de nouveaux
équipements et produit suffisamment pour nourrir toute la communauté de Toflea. Dix
personnes, anciens personnes assistées socialement, travaillent ici. Le directeur nommé
de l'entreprise également à jour au lycée. Il y a quelques mois, il vivait du revenu
minimum garanti. Maintenant, il est déjà manager et a besoin d'école, 23 personnes qui,
jusqu'à récemment, vivaient de l'aide sociale sont maintenant des employés.

 Projet gouvernamental: aide sociale à environ 100 000 personnes âgées pendant
l'état d'urgence a partir des fonds europeens

"Il s'agit des 1 000 travailleurs sociaux et communautaires et un objectif de 100 000
personnes âgées de plus de 65 ans à soutenir pendant cette période par services sociaux à
domicile, nous avons également introduit des infirmières de proximité car si, par
exemple, il est nécessaire d'administrer un traitement médical ou d'avoir d'autres
problèmes de santé pour les personnes âgées et alitées, nous pouvons intervenir par
l'intermédiaire des travailleurs sociaux et être proches d’eux pendant cette période.”

Q6. Quelle est votre mission que vous souhaitez réaliser à long terme?
Nous souhaitons apporter un double aide, aussi pour les personnes pauvres que pour les
personnes âgées qui nécessitent soutien, en développant ce type d’organisation en plusieurs
villes/villages où il y a la plus dure situation.

Q7. Basé sur votre compréhension du problème, quelle est votre théorie sur quelles actions
et quelles ressources mèneront aux résultats que vous souhaitez atteindre?
Parmi les actions qu’on va développer se compte la préparation des personnes dans des activités
nécessaires à faire pour soutenir l’entreprise sociale (les gens sans emploi peuvent préparer la
nourriture pour eux-mêmes, pour leurs familles et pour les personnes âgées, ils peuvent
transporter de la nourriture/des produits pour la nourriture/des médicaments/des vêtements –
pour ceux qui ont des permis de conduire etc). En plus, pour les personnes à qui on n’a pas
trouvé des lieux de travail dans le cadre de notre entreprise, on va chercher des emplois pour
chacun d’entre eux, dans le village et à proximité.

Si on parle des ressources, on aura besoin des ressources humaines et des ressources financières.

Comme des ressources humaines, a part des personnes impliquées dans l’ouverture de la société
sociale, on aura besoin aussi des bénévoles, spécialement des élèves/étudiants, qui vont recevoir
des diplômes/attestations pour leur activité et pour l’aide reçu de leur part dans le cadre de nos
activités. Toujours comme des ressources humaines, on essaie de conclure des
contrats/partenariats avec des personnes spécialisées dans leur domaine pour nous aider avec la
santé physique et psychique de notre « clients » (des psychologues, des médecins de famille, des
nutritionnistes, des spécialistes dans les ressources humaines).

Bien sûr qu’on aura besoin de beaucoup d’instruments/d’outillages pour préparer la nourriture,
pour transporter les biens, pour assures les médicaments nécessaires pour les personnes âgées,
pour offrir des vêtements pour ceux qui n’ont pas la possibilité d’en acheter (des voitures, des
cuisines, des produits alimentaires et non-alimentaires, des vêtements, des médicaments).

Les personnes dans de grandes villes qui veulent faire des dons des vêtements, ils seront
bienvenus et encouragés à le faire.

On essayera d’avoir un partenariat avec un grand ligne d’hypermarchés, pour avoir la possibilité
d’assurer les produits alimentaires et non-alimentaires aux clients. Des partenariats sont
nécessaires bien sûr dans le domaine médical. On voudrait collaborer avec un laboratoire (pour
les analyses périodiques) et avec des pharmacies (pour les médicaments).

Q8. Qui sont les bénéficiaires de vos services/produits? Comment allez-vous les servir?
Les bénéficiaires seront les personnes âgées, ayant besoin d’aide et les personnes de tout âge
(plus de 18 ans), non-qualifiées, ayant besoin d’un emploi.
Les personnes âgées seront servies avec de la nourriture, des médicaments et d’aide. Il y aura des
bénévoles qui s’enrôlent pour vérifier s’ils sont sains, s’ils ont besoin d’aller voir un médecin,
s’ils sont besoin d’acheter de la nourriture/produits pour préparer la nourriture (pour ceux qui ont
encore la capacité de le faire par eux-mêmes).
Les gens qui n’ont pas un travail seront aidés aussi, en les introduisant dans des activités
nécessaires pour maintenir la société (ils seront envoyés à vérifier les personnes âgées et ils
seront rémunérés, ils vont assurer le transport pour les biens nécessaires pour l’entreprise, la
préparation de la nourriture pour eux-mêmes et pour les personnes âgées etc). Il y aura des
recherches de travail à proximité de leur village, pour assurer des lieux de travails pour les gens
qui n’ont pas eu la possibilité de trouver jusqu’à maintenant (pour des postes comme vendeurs,
chauffeurs, constructeurs).

Q9. Qui sont les clients? Quel est le profile?


Les deux catégories principales de clients sont les personnes âgées seules et impuissantes et toute
personne de plus de 18 ans qui n’a pas un lieu de travail, mais une situation précaire.

Q10. Quelle est la structure de votre entreprise sociale? Combien des employées et sur
quelle structure?
Notre entreprise sociale comptera 12 personnes, dont 3 sont les fondateurs et lest autres 9 seront
des personnes vivant dans le village, ayant besoin d’un lieu de travail. S’il y a des moments où
on ne se débrouille pas, on pensait aussi d’ajouter des bénévoles.
La structure permanente de notre entreprise sociale sera la suivante :

- 3 managers, qui sont, au même temps, les fondateurs de l’entreprise social (un s’occupe avec
les contrats et avec la recherche pour les collaborateurs/partenaires ; un s’occupe avec les
personnes impliquées, en les formant pour les taches qui seront attribués à chacun ; un fondateur
s’occupe avec les choses administratives)
- 2 chauffeurs (ils s’occupent avec la distribution de la nourriture, le transport des vêtements et
des médicaments pour les personnes âgées)
- 3 personnes responsables avec la préparation de la nourriture
- 2 personnes responsables avec le blanchissement et avec le nettoyage
- 2 personnes responsables avec le soin des vieux
Q11. Quels partenariats et collaborations sont essentiels ou utiles?
-clinique médicale locale
-ferme locale
-distributeur de médicaments (ex Pharmafarm)
-l’institution de l’aide sociale : La Direction générale d’Assistance Sociale et la protection des
enfants
-l’administration publique centrale et celle locale (Le financement des services sociaux pour les
personnes âgées est assuré sur le principe du partage des responsabilités entre l'administration
publique centrale et l'administration publique locale.)
-fondations qui collecte de donations (vêtements).

Q12. Quelle expertise avez-vous dans le domaine de votre entreprise sociale et comment
l'obtiendrez-vous au cas où vous ne l'auriez pas?
On va demander des conseils à L’Association Centre D’Expertise et Consultance Sociale.

Q13. Comment la composition de l'équipe pourrait-elle changer au fil du temps?


Au fil du temps, si on décide d’élargir notre mouvement dans des autres ville/villages ou même
dans tout le village actuel pour aider plusieurs personnes, on aura besoin de plusieurs employés.
Donc on devra construire une équipe nouvelle dans chaque location nouvelle ou on va démarrer
le projet. En outre, à l’avenir on prendre en considération la diversification de notre activité. En
ce cas on va créer des autres rôles en équipe.

Q14. Combien d'argent vous générez pour résoudre le problème? Quelles sont les sources
de financement et comment est distribué le revenu?
La principale source de financement sera avec les fonds européens, avec un montant de 100.000
lei. Les sources secondaires pour notre entreprise sociale seront avec des appels d’offre et des
donations des grandes entreprises.
Source : https://www.startupcafe.ro/fonduri-europene/intreprinderi-sociale-sate-ghid-fonduri.htm
Le revenu sera distribué principalement pour l’achat des biens (des produits alimentaires
nécessaires pour la nourriture, des médicaments, des voitures pour le transport) et pour la
rémunération des employés et de nos collaborateurs.

Q15. Comment allez-vous ou attirer de nouvelles ressources financières?


On essayera de faire des appels d’offre et d’attirer des donations pour la bonne continuation et
pour l’élargissement de notre entreprise sociale, en aident autant qu’on souhaite.
Aussi les personnes âgées du programme vont contribuer avec un pourcentage de 40% de leurs
pensions pour bénéficier de nos services.

Q16. Comment maximisez-vous la valeur que vous essayez de créer?


On pourrait maximiser la valeur de notre « projet » en aidant autant des personnes que possible.
On essayera de nous élargir dans des villes/villages qui ont besoin de notre aide, si possible, dans
la proximité de Bucarest.

Q17. Comment pensez-vous de mesurer l’impact de votre entreprise sociale ? Quels sont les
valeurs de la réussie de votre entreprise sociale?
L’impact sera observé dans le nombre d’adhérents (en tant que clients et employés), dans leurs
satisfaction (on va leur en demander fréquent) ; on va suivre les statistiques (le taux du chômage,
le taux de pauvreté dans la région).
Les valeurs : intégrité, responsabilité, développement social, satisfaction client, engagement,
contribution et conscience communautaire.

Q18. Quels sont les risques que vous envisagez du point de vue:
- ressources humaines : comme on embouchera des personnes pauvres, sans aucune formation,
ça sera plus difficile d’implémenter l’idée de responsabilité parmi les gens qui ne sont pas
habitués à respecter un programme ou d’avoir à faire quelque chose chaque jour.
- finances : c’est une nécessité pour chaque personne âgée d’avoir des médicaments et de la
nourriture chaque jour et il y aura des difficultés d’avoir certains médicaments (plus cher) ou
d’acheter des produits alimentaires (des légumes frais) pendant l’hiver de la ferme avec laquelle
on collabore.
- contexte politique : le sous-financement des services sociaux

Q19. Comment allez-vous atténuer ces risques?

Du début, on essaie d’avoir des collaborations aussi avec des spécialistes, comme des
psychologues (volontaires si c’est possible). Ils nous aideront à former les personnes embouchés
dans des personnes sérieuses, responsable, sur quelles on peut compter toujours. Parmi les
fondateurs, une personne s’occupera toujours de la formation et de l’aide des personnes
embauchées. Si c’est encore difficile pour eux de s’accommoder, on ajoutera des bénévoles
compétents, qui vont les assister jusqu’ils sont prêts de faire les taches tout seuls.
Aussi, on va essayer de collaborer avec plusieurs pharmacies pour organiser des boites de
donations.

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