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1SES1 Chapitre : comment fonctionne un marché concurrentiel ?

Les cours : https://jjmugnier.fr/tivoli/1/


Les DS et QDS : https://jjmugnier.fr/tivoli/1/DS_DQS/
Les programmes, en mode , ©pages 2 et 3, https://jjmugnier.fr/tivoli/1/eduscol/

Objectifs d’apprentissage
• Savoir que le marché est une institution et savoir distinguer les marchés selon leur degré de
concurrence (de la concurrence parfaite au monopole).
• Savoir interpréter des courbes d’offre et de demande ainsi que leurs pentes, et comprendre
comment leur confrontation détermine l’équilibre sur un marché de type concurrentiel où les
agents sont preneurs de prix.
• Savoir illustrer et interpréter les déplacements des courbes et sur les courbes, par différents
exemples chiffrés, notamment celui de la mise en œuvre d’une taxe forfaitaire.
• Savoir déduire la courbe d’offre de la maximisation du profit par le producteur et comprendre
qu’en situation de coût marginal croissant, le producteur produit la quantité qui permet
d’égaliser le coût marginal et le prix ; savoir l’illustrer par des exemples.
• Comprendre les notions de surplus du producteur et du consommateur.

DOSSIER 1 Qu’est-ce qu’un marché concurrentiel ?

• Savoir que le marché est une institution et savoir distinguer les marchés selon leur degré de
concurrence (de la concurrence parfaite au monopole).

Savoir que le marché est une institution

Marchandises = Fruits et légumes = biens (ou services) marchands (objectif = bénéfice)


Interactions = échanges (achat/vente)
Marché matériel : Capucins
Vendeurs-offreur/acheteurs-demandeur
Concurrence entre stands qui se ressemblent Dématérialisation du marché
Valeurs économiques = Bénéfice ; Achat/Vente
Normes économiques = acheter/vendre Marché immatériel : Zalando
Normal = typique, fréquent, usuel, « obligatoire »

Méthode (photo) : collecter des informations (Données Statistiques Quantitatives/Qualitatives : ou


« DSQQ »). Statistiques = ST-  EST- ; STAT  ESTAT-O = état. Collecte  vocabulaire et domaine des
Sciences Économiques et Sociales (en lien avec le PRGM).
« D’après la photographie (source), le marché est (infos) un lieu matériel (immatériel) d’échange de
biens et services/marchandises (fruits, légumes, toutes marchandises) entre offreurs (maraîchers,
producteurs de BS) et demandeurs. »

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Interactions (ici : négociations, échanges, etc.) ∈ domaine de la socialisation

Social + ISATION (processus qui rend l’individu SOCIAL) = interactions1 (interagir, entre individus) qui
produisent des Valeurs et des Normes sociales.
Ici, sur un marché, en économie : Valeurs = Bénéfice (vendeur) ; Satisfaction des besoins (acheteur) ;
normes = négocier, acheter, vendre.

(ligne DER – 5)
f  quand g  et f  quand g 
f ( x ) , g (x)
Corrélation négative

x
Même consigne avec « 2 fonctions convergentes »

f ( x ) , g (x)

x
Même consigne avec « F convergentes puis divergentes :

Les bénéfices (O) et la satisfaction des besoins (D) sont fonctions aux évolutions inverses (quand l’une
augmente, l’autre diminue)
f  quand g  et f  quand g 
f ( x ) , g (x)
Corrélation : variation simultanée

Ici : Corrélation négative


x

f  quand g  et f  quand g 
f ( x ) , g (x)
Corrélation positive

1
Dont les sanctions : 

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Méthode : dès qu’une corrélation est observée, le scientifique se demande s’il existe une causalité
(l’un est la cause et l’autre est la conséquence).
prix Situation point bleu : pour un prix de 7€,
la quantité demandée est de 3 unités
Situation rouge : pour un prix de 4€, la D
est de 7 unités
Donc : du bleu eu rouge… le prix diminue
et la D augmente, c’est une corrélation
négative entre le prix et la quantité
demandée
Cause Conséquence
Causalité : ∆ PRIX  ∆ DEMANDE
∆ « delta », « variation de »
quantité demandée

Pourquoi ne dit-on pas ∆ DEMANDE  ∆ PRIX ? cf. dossier 2, courbe de demande.

La courbe de demande

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Le concept d’institution :
« M. MUGNIER est un professeur.
Valentin et Hugo sont des élèves »
Souligner les individus, entourer les institutions. Présenter d’autres exemples. Expliquer :
La Mégane est un véhicule automobile. La M fait partie de l’institution des VA.
Ex d’institutions = les groupes de pairs vus en 2nde.
Dans une institution, qui demeure, les individus passent.
Les institutions « juridiques et sociales » :
- les institutions juridiques : le code (route, éducation, civil, maritime, etc.), la loi, le règlement
intérieur, DROIT. Tout ce que les individus DOIVENT LEGALEMENT RESPECTER
- les institutions sociales : les comportements attendus dans la société. Tout ce que les
individus DOIVENT LEGITIMEMENT RESPECTER
-

Souvenirs de Seconde : la socialisation transforme les individus en être sociaux.


Le marché est un lieu vie = lieu d’interactions entre individus/institutions, vendeurs/acheteurs,
producteurs/consommateurs.  négociations, transaction/échange

Socialisation : des interactions (notamment    : sanctions) qui produisent des Valeurs et des à faire pour
Normes.  mercredi
- Exemples de Valeurs : Hygiène, Respect, Elégance, etc. (Nom commun), Bénéfice, Besoins
- exemples de normes : ne pas cracher par terre/sur son ardoise (verbe, adjectif), maximiser
les bénéfices, optimiser la satisfaction ; les normes juridiques (« les lois »)
« Les institutions demeurent, les individus passent »

Chercher et trouver des « exemples de normes économiques liées au marché ».


PP et PI

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Le principe de l’étude personnelle :


https://jjmugnier.fr/tivoli/1/etude_personnelle.pdf

Condition d’existence de la Demande : besoin (base, fondement de la D)


Condition d’existence de l’Offre : capacité productive (base, fondement de l’O)
Phrase interdite (0/20) = l’O est définie par la D (ou variation)

L’existence d’offreurs et de demandeurs ne suffit pas à l’existence d’un marché. Pour son
fonctionnement, le marché a +/- besoin de règles et d’institutions (droits de propriété, normes
d’hygiène et de sécurité, monnaie, etc.) qui s’imposent aux acteurs et constituent le cadre
des transactions marchandes. Le marché a besoin d’institutions pour fonctionner et il est lui-même
une institution dans la mesure où il organise une grande partie des échanges.

Savoir distinguer les marchés selon leur degré de concurrence (de la concurrence parfaite au
monopole).
Les marchés se distinguent aussi par leur degré de concurrence mesuré essentiellement par
le nombre d’offreurs. Le modèle de base de la théorie économique est celui de la concurrence
parfaite sur lequel on a un très grand nombre d’offreurs et de demandeurs de produits
identiques. À l’opposé, on trouve le monopole, marché sur lequel l’offreur est unique. Entre ces
deux situations, sur les marchés oligopolistiques les offreurs sont en nombre limité.

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B degrés de concurrence : Du marché concurrentiel au monopole (pages 14 et 15)

L’homogénéité des biens et services (marché homogène) : si les biens et services qui peuvent
s’échanger sur le marché sont SUBSTITUABLES. Plus le marché est homogène, plus les négociations
portent sur le prix d’échange.
Rq : les NORMES (juridiques) de fabrication des biens (ex. Sécurité alimentaire) sont des indicateurs
d’homogénéité fondamentale.

L’atomicité de l’O et de la D (marché atomique/atomisé) : les offreurs ou les demandeurs ne peuvent,


individuellement, imposer leurs conditions au marché (O et D = urnes de boules indiscernables au
toucher). Il y a comme une « infinité » de « petits » acteurs. Aucun acteur n’a du pouvoir de marcher
(de négocier à son avantage). « preneurs en prix2 » = « price taker ».

Transparence des informations (qualité, prix, etc.), le marché est transparent :


- favorable à la transparence : du fait des normes de production (ex. BIO, ISO), carte de
fidélité/carte
- défavorable : fake news (contrôle = le gendarme, l’Autorité de Régulation de la Concurrence)

Autres manières de dire :


Homogénéité des biens et services produits, marché homogène (ou, a contrario, hétérogène) : si les
biens et services échangés sur le marché sont interchangeables/substituables sans perte à l’échange
(a contrario, non interchangeables/non substituables).
Indicateur du degré d’homogénéité :
hétérogénéité parfaite homogénéité parfaite

Atomicité de l’O et de la D : marché atomique/atomisé, constitué d’individus, chacun incapable


d’imposer ses « propres Valeurs personnelles » (son Bénéfice, sa satisfaction personnelle) et Normes
(prix et quantité échangée). Dans ce cas, le marché permet à tous les acteurs de proposer de
vendre/d’acheter des quantité de biens et services à n’importe quel prix, mais le marché ne permet à
aucun acteur d’imposer ses conditions. Les individus sont « preneurs en prix » et non pas « faiseurs
de prix »3.
Indicateur du degré d’atomicité :
monopole (monopsone) = 1 seul acteur atomicité parfaite

2
Opposé à « faiseur en prix » = « price maker »
3
« Price taker » et non pas « price maker »

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Transparence de l’info : marché transparent. Toutes les informations sont disponibles


« gratuitement » à tous les acteurs. Gratuit : en €, en temps, en déplacement, en contraintes.
Indicateur du degré d’atomicité :
opacité parfaite (ex. asymétrie totale d’information) transparence parfaite

fluidité du marché (marché fluide) : ou +/- libre d’entrer/sortir du marché.


- défavorable : accès réglementé (vente de tabac, alcool, médicament) ; brevet
- favorable : lois européennes sur la liberté commerciale (laisser faire les Fommes/Hemmes ;
laisser passer les marchandises)

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DOSSIER : 2Comment un marché concurrentiel parvient-il à l’équilibre ?


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A - Page 16 : la loi de la Demande


La demande est une fonction décroissante du prix « du marché »
prix

quantités
Pourquoi ? du fait de l’utilité marginale décroissante, cf. doc 2p16
Utilité totale, en €
Maths : la concavité de
la fonction d’utilité

Exo : si le produit consommé vaut


1€, combien l’acteur-
consommateur en demande-t-il ?

Quantité consommée
Ce modèle d’utilité (totale et marginale) est typique des produits non addictifs.
L’utilité totale = la somme des utilités marginales.
Que se passe-t-il si le prix de marché augmente ? ici de 1€, le produit passe 2€ ?
La quantité demandée diminue (car Um devient inférieure au prix avant la quantité
demandée pour 1€)
Que se passe-t-il si le prix de marché diminue ? ici de 1€, le produit passe 0,5€ ?
La quantité demandée augmente (car Um devient inférieure au prix après la quantité
demandée pour 1€)
Conclusion : la situation idéale, l’optimum du consommateur : la quantité demandée qui égalise
l’utilité marginale et le prix (car l’Um est décroissante).
Sachant le prix et connaissant la fonction d’U et la fonction d’Um, l’optimum  prix = Um

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3p17
Indiquer les raisons qui font
que la situation B est sur la
courbe rep. de la fonction de D
de fraises d’Iris.
A

4
3.5
3
2.5
2
1.5
1
0.5
0
0 2 4 6 8 10 12 14

1.2

0.8

0.6

0.4

0.2

0
0 2 4 6 8 10 12 14

Pétrole (biens et services indispensables,


de première nécessité) Pétrole (biens et services non
nécessaires, remplaçables facilement)

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B - la loi de l’offre (pages 18-19)


L’offre est une fonction croissante du prix du marché.
Pourquoi ?
 en Concurrence Pure et Parfaite : preneurs en prix
 une question de capacité, résumée, modélisée par la fonction de production
(1p18)

B : productivité
Mettre du formelle
en relation travail = 10
lesoutput/travailleur
variations de la
C : productivité du travail = 40/2=20
production moyenne et de la production /travailleur
marginale
40 = 30+10
Qualifier les 4 valeurs :
 10 : production marginale du 1er T
 30 : production marginale du 2e T
 40 : production totale de 2 T = somme des
productions marginales
 20 : production Moyenne de 2 T

D : (3 T ; 60 OP) ; E : (4 T ; 70 OP)
C : Qualifier les 4 valeurs :
 10 : production marginale du 1er T
 30 : production marginale du 2e T Pour mercredi :
Mettre marginales
 40 : production totale de 2 T = somme des productions en relation formelle les variations de la
 20 : production Moyenne de 2 T = production totale/nombremoyenne
production de T et de la production marginale
D : Qualifier les 5 valeurs : Penser à ses notes
er
 10 : production marginale du 1 T
 30 : production marginale du 2e T Spécial SPE MATHS : la fonction marginale = dérivée
 20 : production marginale du 3 Te de la fonction
Spécial marginales
 60 : production totale de 2 T = somme des productions AUTRES : le nombre dérivé = pente de la
 60/3 = 20 : production Moyenne de 2 T courbe
E : Qualifier les 6 valeurs :
 10 : production marginale du 1er T
 30 : production marginale du 2e T
 20 : production marginale du 3e T
 10 : production marginale du 4e T
 70 : production totale de 2 T = somme des productions marginales
 70/4 = 17,5 : production Moyenne de 2 T

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Production totale

Déterminer graphiquement la quantité


de t (axe horizontal) où (telle que)
l’efficacité productive est maximale.
Réponse : entre 2 et 3 milliers de
travailleurs  production marginale
maximale (meilleure situation)

quantité de facteur travail (en 1000er de travailleurs)

Eff 
Efficacité : « rendement(s) »
Quelque soit l’industrie, après
un seuil d’efficacité maximum,
les rendements deviennent
Eff  décroissants

Être capable de rendre compte (expliquer) la forme graphique des courbes de Prod totale, production
marginale, coût total, coût marginal.
Si le prix du marché est de 2€,
combien de travailleur est-il
optimal d’utiliser ? 1€
T=9
Si le prix du marché est de 1€,
+1
combien de travailleur est-il
optimal d’utiliser ? 2€
+1
T = entre 7 et 8

Si prix = 2€ alors T = 9 et alors production = 10,6 = offre


Si prix = 1€ alors T = 7,5 et alors production = 9,5 = offre

Conclusion : l’offre est une fonction croissante du prix


C’est-à-dire que l’offre et le prix sont en corrélation +
Et ici la causalité : cause = prix ; conséquence = offre

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 : loi de la D = la fonction de D est une FCN décroissante avec le prix


Loi de l’O = la FCN d’offre est croissante en prix
Ainsi, sur le graphique (prix ; quantités), il est possible que pour un certain prix, le prix d’équilibre,
l’offre soit égale à la demande (l’équilibre) : c’est la situation d’équilibre à la croisée des 2 courbes :

Défaillance du marché, cf. ch3


Pas de solution en prix à l’équation
d’équilibre
Prix d’EQ E

EQ  O = D  échange

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1SES1 Chapitre : comment fonctionne un marché concurrentiel ?

Que se passe-t-il si le prix est de 7€ sur ce marché ?


Pour un prix de 7€, l’offre est supérieure à la demande.
Preuve : cf. le graphique

Prix proposé = Donc : tous les acteurs ont l’information (transparence) ;


aucun ne peut imposer ses conditions (atomicité) ; tous les
produits sont identiques/substituables (homogénéité) ;
libre entrée-sortie du marché (fluidité)

Homogénéité  concept de probabilité, l’indiscernabilité


au toucher
La proba qu’un acheteur trouve le produit = 1
La proba qu’un vendeur trouve son acheteur = 2,7/8 < 1

Image de 7€ par la fonction d’Offre = 8 unités de biens


Image de 7€ par la fonction de demande = 2,7 unités de biens

La proba qu’un vendeur ne trouve pas son acheteur = 5,3/8 < 1, mais > 0. Un risque existe de
produire, et de ne pas vendre. Or, les individus sont par hypothèse averses au risque (aversion) = peur
du risque. DONC : certains offreurs proposent un prix inférieur à 7€. Que se passe-t-il alors ?
Excès d’offre

Prix proposé =
Nouveau prix proposé = 6

Nouveau prix
proposé = 2

Image de 7€ par la fonction d’Offre = 8 unités de biens

4 6,6

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1SES1 Chapitre : comment fonctionne un marché concurrentiel ?

Là : « pénurie d’offre », pas assez de biens sur le


marché.
L’aversion pour le risque touche certains acheteurs
qui vont alors proposer un prix d’achat plus élevé

Prix proposé = 2€ Déplacements le long des courbes d’O et de D

O = & unité (loi O) D = 9,5 unités (loi D)

Excès d’offre  tendance à diminuer le prix de vente


Pénurie d’offre  tendance à augmenter le prix d’achat
En tendance, toute situation tend vers la situation d’équilibre.

Si une augmentation globale de revenu


survient (aides des Pouvoirs Publics ; baisses
de prélèvements obligatoires), alors

Déplacement de la courbe de D (choc positif


de demande)

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SdP

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Graphiquement, le
point E ( prix
Il existe un prix tel
d’équilibre ; quantité O
que O = D à ce prix,
= D = 70) point
prix d’équilibre
d’équilibre

O = D = 70

Prix = 9€, D = 1,5 et O = 11


« excédent » ? échange ?????

Prix = 5,5€
D = 5,5 = O
Prix = 3€, D = 8,5 et O = 2
« pénurie » ? échange ?????

L’équilibre (O=D) suffit pour les échanges.

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• Savoir illustrer et interpréter les déplacements des courbes et sur les courbes, par différents
exemples chiffrés, notamment celui de la mise en œuvre d’une taxe forfaitaire.
« chocs + ou – de demande ou d’offre ». 2 variables (D et O), 2 modalités (+ ou –) : combien de
possibilités ? 4

1er : le choc positif de D :


- une augmentation générale de la fonction de demande, fonction décroissante du prix

P=9–D
D=9–P+4
déplacements de la courbe de D vers droite
un produit à la mode

2e : le choc négatif de D
- une diminution générale de la fonction de demande, fonction décroissante du prix

P=9–D
D=9–P–4
déplacements de la courbe de D vers Gauche
comportement citoyen contre malfaçon, corruption

Choc positif d’offre :

P=1+O
O=P–1+4
déplacements de la courbe d’offre vers la droite
- afflux de ressources productives
- nouvelles techniques de production (FORD : la chaîne)

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Choc négatif d’offre :

P=1+O
O=P–1–4
déplacements de la courbe d’offre vers la gauche
- pénurie de ressources productives
- obsolescence technique

Chocs unilatéraux : choc d’un seul coté (l’offre ou la demande, l’autre restant inchangée, ceteris
paribus)

Ef
Choc + de Demande : le point d’équilibre se déplace sur
la courbe d’offre. Déplacement vers la droite.
Ei
inflation

croissance

Ef Choc – d’OFFRE : le point d’équilibre se déplace sur la


courbe d’offre. Déplacement vers la gauche.
Ei
inflation

décroissance

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Chocs bilatéraux : exemple C+O et CND

Ei

Ef

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