Il est unanime que les forfaits et les crimes consistent une
problématique insoluble pour une légion de pays. Ils ont fait tâche d’huile dans de nombreux sociétés et sont devenus monnaies courantes. En effet, les crimes et les délits sont ubiquistes et omniprésents, nonobstant les remèdes alloués à assoupir et estomper le taux de ces actes déviants restent infructueux et inopérants, mais plutôt éradiquer et extirper ces délinquances demeure une utopie et une chimère. De ma position personnelle, je déclare sans équivoque que la responsabilité des crimes doit être assumée par la société vu qu’elle collabore considérablement dans l’éducation des jeunes. Elle présente notre fenêtre sur le monde ainsi que notre abri et échappatoire pour délivrer nos réflexions et aptitudes. Pourtant, une société où se propage la misère et le dénuement peut façonner ses jeunes à se livrer à des vices et à perpétrer des forfaits et des crimes. Donc la personne ne naît pas criminel mais il le devient. En sus, il est cousu de fil blanc que les jouvenceaux désœuvrés et oisifs se trouvent dans la coaction de recourir aux délits tel l’escroquerie lucrative et le vol. En effet, l’oisiveté est la mère de tous les vices d’où la nécessité d’imputer toute la responsabilité au gouvernement et à ses politicards qui ne savent que d’entasser des mille et des cents au détriment du futur de ces jeunes. En fait, ces politiciens désabusent de la naïveté de ces personnes en les promettant de promouvoir leurs situations matérielles pour qu’ils font florès aux élections. Par conséquent, ces jeunes se trouvent hypnotisés par leurs idées qui s’envolent en fumée une fois ils émettent un pas au sein du gouvernement ainsi qu’ils vêtissent un masque débonnaire qui dissimule leur hypocrisie et leur déloyauté. Je vais crier à haute voix et je dirais qu’un jeune est souventefois inexpérimenté, son savoir-faire est très limité et sa témérité est débridée c’est pour cela qu’il commet des frasques qu’on doit les lui pardonner et le détromper de son fourvoiement en le conseillant pour qu’il puisse corriger soi-même, mais il faut tout de même être vigilant car l’adoption du laxisme envers de telle incartades dont je cite (les meurtres, la pédophilie, la déprédation…) est synonyme d’une anarchie incoercible. Ainsi il est impératif de trouver un compromis juste et durable afin de combattre ce fléau pour qu’il ne soit qu’un nuage d’été.
L’infographie
Cette infographie réalisée par le ministère de l’agriculture et de
l’alimentation en 2014 décèle ostensiblement les chiffres d’élevage en France, ainsi que la moyenne de consommation annuelle par habitant pour chaque type de viande. En effet, on constate que les animaux élevés sont assez divers, voire hétéroclites, ainsi que les exploitations françaises embrassent plus qu’un million tête de caprins et sept millions tête des ovins alors que ce chiffre augmente en ce qui concerne les porcins et les bovins et atteint treize millions têtes et dix-neuf millions têtes respectivement. En ce qui concerne les volailles, elles sont les plus élevées par un nombre qui affranchit cent quarante-quatre millions de poulets. Et pour pouvoir élever ce chiffre faramineux de ces animaux de pacage, les français se sont trouvés dans la coercition de consacrer plus de deux cent et dix mille exploitations. Et en passant à la moyenne de consommation annuelle par habitant, on remarque que les français optent souvent pour la viande porcine bien que celle-ci a diminué de 4% durant les années 1980 et 2012 tandis que la consommation de la viande bovine est d’autant que celle des volailles, en effet la consommation de ces derniers a augmenté de 54 % durant les mêmes années indiquées précédemment. La France a pu réaliser 40% de la collecte européenne de lait de chèvre, un chiffre qui reflète l’insuffisance et le manque d’autonomie dont souffre ce pays, mais aussi un chiffre qui le pousse à relancer sa production laitière pour que la collecte puisse fléchir et baisser. En sus, la France dispose de 11% des volailles qui sont sous signe officiel de qualité ou d’origine, ceci montre que les caractéristiques spécifiques établissant un niveau de qualité supérieure sont loin d’être vérifiées puisque les volailles respectent des conditions de production définies par un cahier des charges reconnu et contrôlé.
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