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Réalisé par Bilal Aouiss

Manifeste

Il est unanime que les forfaits et les crimes consistent une


problématique insoluble pour une légion de pays. Ils ont fait tâche
d’huile dans de nombreux sociétés et sont devenus monnaies
courantes.
En effet, les crimes et les délits sont ubiquistes et omniprésents,
nonobstant les remèdes alloués à assoupir et estomper le taux de ces
actes déviants restent infructueux et inopérants, mais plutôt
éradiquer et extirper ces délinquances demeure une utopie et une
chimère.
De ma position personnelle, je déclare sans équivoque que la
responsabilité des crimes doit être assumée par la société vu qu’elle
collabore considérablement dans l’éducation des jeunes. Elle
présente notre fenêtre sur le monde ainsi que notre abri et
échappatoire pour délivrer nos réflexions et aptitudes. Pourtant, une
société où se propage la misère et le dénuement peut façonner ses
jeunes à se livrer à des vices et à perpétrer des forfaits et des crimes.
Donc la personne ne naît pas criminel mais il le devient. En sus, il est
cousu de fil blanc que les jouvenceaux désœuvrés et oisifs se
trouvent dans la coaction de recourir aux délits tel l’escroquerie
lucrative et le vol. En effet, l’oisiveté est la mère de tous les vices
d’où la nécessité d’imputer toute la responsabilité au gouvernement
et à ses politicards qui ne savent que d’entasser des mille et des
cents au détriment du futur de ces jeunes. En fait, ces politiciens
désabusent de la naïveté de ces personnes en les promettant de
promouvoir leurs situations matérielles pour qu’ils font florès aux
élections. Par conséquent, ces jeunes se trouvent hypnotisés par
leurs idées qui s’envolent en fumée une fois ils émettent un pas au
sein du gouvernement ainsi qu’ils vêtissent un masque débonnaire
qui dissimule leur hypocrisie et leur déloyauté.
Je vais crier à haute voix et je dirais qu’un jeune est souventefois
inexpérimenté, son savoir-faire est très limité et sa témérité est
débridée c’est pour cela qu’il commet des frasques qu’on doit les lui
pardonner et le détromper de son fourvoiement en le conseillant
pour qu’il puisse corriger soi-même, mais il faut tout de même être
vigilant car l’adoption du laxisme envers de telle incartades dont je
cite (les meurtres, la pédophilie, la déprédation…) est synonyme
d’une anarchie incoercible. Ainsi il est impératif de trouver un
compromis juste et durable afin de combattre ce fléau pour qu’il ne
soit qu’un nuage d’été.

L’infographie

Cette infographie réalisée par le ministère de l’agriculture et de


l’alimentation en 2014 décèle ostensiblement les chiffres d’élevage
en France, ainsi que la moyenne de consommation annuelle par
habitant pour chaque type de viande. En effet, on constate que les
animaux élevés sont assez divers, voire hétéroclites, ainsi que les
exploitations françaises embrassent plus qu’un million tête de caprins
et sept millions tête des ovins alors que ce chiffre augmente en ce qui
concerne les porcins et les bovins et atteint treize millions têtes et
dix-neuf millions têtes respectivement. En ce qui concerne les
volailles, elles sont les plus élevées par un nombre qui affranchit cent
quarante-quatre millions de poulets. Et pour pouvoir élever ce chiffre
faramineux de ces animaux de pacage, les français se sont trouvés
dans la coercition de consacrer plus de deux cent et dix mille
exploitations.
Et en passant à la moyenne de consommation annuelle par habitant,
on remarque que les français optent souvent pour la viande porcine
bien que celle-ci a diminué de 4% durant les années 1980 et 2012
tandis que la consommation de la viande bovine est d’autant que
celle des volailles, en effet la consommation de ces derniers a
augmenté de 54 % durant les mêmes années indiquées
précédemment.
La France a pu réaliser 40% de la collecte européenne de lait de
chèvre, un chiffre qui reflète l’insuffisance et le manque d’autonomie
dont souffre ce pays, mais aussi un chiffre qui le pousse à relancer sa
production laitière pour que la collecte puisse fléchir et baisser. En
sus, la France dispose de 11% des volailles qui sont sous signe officiel
de qualité ou d’origine, ceci montre que les caractéristiques
spécifiques établissant un niveau de qualité supérieure sont loin
d’être vérifiées puisque les volailles respectent des conditions de
production définies par un cahier des charges reconnu et contrôlé.

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