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INSTITUT POLYTECHNIQUE RURAL DE FORMATION ET DE RECHERCHE APPLIQUEE (IPR/IFRA) de

KATIBOUGOU.  BP: 06 ; TEL: (+223) 21 26 20 12 ; FAX : (+223) 21 26 25 04 . Site : www.ipr-ifra.org.

Exposé : LEGISLATION.
THEME :

DE LA RECHERCHE ET DU CONSEIL AGRICOLE.

Présenté par le Groupe : III VOIR ( ) Dirigé par


liste des membres ( voir la fin du Diapo )
Mr. Ibrahima GUISSE
Classe: I.M.A 2

Févier 2023
OBJECTIFS

 Objectif général

• Contribuer à l’amélioration de la connaissance des étudiants sur l’importance de la


recherche et du conseil agricole.

 Objectifs spécifiques

- Connaitre les fonctions du conseil agricole ;

- Connaitre les différentes institutions impliquées de la recherche du développement


Agricole ;

- Déterminer le du conseil agricole.


QUELQUES DEFINITIONS

Conseil Agricole
C’est un processus d’accompagnement méthodologique des exploitants agricoles pour une prise de
décisions et la mise en œuvre des décisions prises.
Vulgarisation agricole
Elle se définit comme le transfert de connaissances et de technologies du monde de la recherche et des
techniciens vers celui des producteurs. Services – Conseils Agricoles
Ensemble des prestations que le Conseil agricole est censé offrir aux exploitants agricoles dans le cadre de
leur activité en vue d’accroître et de sécuriser leurs revenus.
Conseil aux OPA
C'est un Processus d’accompagnement des OPA par un renforcement institutionnel, organisationnel et de
gestion et pour rendre un meilleur service aux membres (qui ont les mandants).
Appui conseil
Il se réalise lors de l’action et se distingue à deux niveaux : du Conseiller à l’exploitant ; du responsable au
conseiller.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (1/6)

Tendances principales depuis 2000

• En matière de recherche agricole, l’irrégularité qu’affichent les courbes relatives aux totaux des effectifs
et des dépenses publiques reflète les fluctuations annuelles qui ont caractérisé les financements des
bailleurs de fonds et les vagues de recrutement/licenciement qui s’en sont suivies.

• L’Institut d’économie rurale (IER) est la principale structure de recherche-développement (R&D) du


Mali, représentant environ 80 % de la capacité et des investissements de la R&D agricole du pays.

• Les bailleurs de fonds et les banques de développement Financent le gros des activités de R&D agricole
menées par l’IER.

• Le vieillissement du personnel de recherche agricole, dont de nombreux membres atteindront l’âge de la


retraite au cours de la prochaine décennie, est une préoccupation majeure.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (2/6)

En 2008, le Mali employait au total 313 chercheurs en équivalent temps plein (ÉTP); l’IER
absorbait approximativement 80 % de la capacité et des investissements de R&D agricole du
pays. L’institut fut établi en 1960 et est placé sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture
(MA). Son portefeuille scientifique comprend 17 programmes de recherche articulés autour
de cinq thèmes : les cultures, l’élevage, la foresterie et la pêche, les systèmes de
production et la gestion des ressources naturelles ainsi que l’économie des filières
agricoles. En plus du siège qui se trouve à Bamako, l’IER comprend six centres régionaux
qui sont répartis dans les différentes zones agroclimatologiques du pays (Sotuba, Kayes,
Sikasso, Niono, Mopti et Gao). La plus grande partie de son personnel se trouve à Sotuba
dans la banlieue de Bamako.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (3/6)

Ce total représente une nette augmentation par rapport au chiffre enregistré au début de la décennie
(207 ÉTP en 2001) et même par rapport au total de 2007 (193 ÉTP). La forte croissance du
contingent de recherche permanent, notée pour la période 2007–2008, s’explique par la réponse du
gouvernement malien lorsque l’IER lui demanda de parer aux problèmes de l’insuffisance et du
vieillissement de son personnel de recherche.

C’est alors qu’un grand nombre de contractuels furent recrutés à la fonction publique (entre autres
un groupe de chercheurs qui avaient été formés jusqu’au grade du doctorat avec l’appui du
gouvernement néerlandais et que l’IER risquait de perdre par manque de financement).

Le Laboratoire central vétérinaire (LCV) est le seul autre organisme d’État effectuant de la R&D
agricole au Mali.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (4/6)

• Également placé sous la tutelle du MA, le LCV employait, en 2008, 11 chercheurs ÉTP, ce qui
représente une baisse par rapport à 2001 (14 ÉTP). La section Diagnostics et Recherches du LCV
a pour objectif de contribuer à la prévention et à l’éradication des maladies animales, à la
protection de la santé publique par le dépistage des maladies transmissibles à l’homme, et à la
réalisation d’analyses microbiologiques des denrées alimentaires et des boissons.

• On a recensé deux établissements d’enseignement supérieur engagés dans la R&D agricole :


l’Institut polytechnique rural de formation et de recherche appliquée (IPR/IFRA) et
l’Institut supérieur de formation et de recherche appliquée (ISFRA), tous deux dépendants
de l’Université de Bamako.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (5/6)

• Outre ses activités de formation, l’IPR/IFRA conduit également des recherches dans les domaines
et sur les thèmes suivants : l’agro-physio-génétique et la biologie végétale, les sciences du sol, la
défense des cultures, les énergies renouvelables, l’ethnobotanique, les productions animales, les
productions forestières et l’agroforesterie et la protection environnementale (IPR/IFRA 2010). En
2008, l’IPR/IFRA employait 42 chercheurs ÉTP. Quant à l’ISFRA, ses trois chercheurs
agricoles

• ÉTP effectuent des recherches dans les domaines de l’élevage et de la sylviculture.

• En 2008, sur l’ensemble des chercheurs agricoles au Mali,


• 13 % étaient de sexe féminin.
RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT AGRICOLE (6/6)

Le total des dépenses publiques en tant que pourcentage du produit intérieur brut agricole
(PIBA) est un indicateur courant des investissements réalisés dans la recherche, qui permet
de placer les dépenses consacrées à la R&D agricole d’un pays dans un contexte comparable
au niveau international. En 2008, le Mali investissait 0,64 dollar pour chaque 100 dollars du
PIBA, taux bien inférieur à ceux enregistrés au tournant du millénaire. Cette chute résulte de
l’augmentation rapide du PIBA, conjugué à une baisse des dépenses de R&D agricole. Le
nombre des chercheurs ÉTP par exploitant agricole a fluctué d’une année à l’autre depuis
2000. En 2008, le Mali comptait 123 chercheurs agricoles ÉTP pour chaque million
d’agriculteurs.
Sources de financement de la recherche du développent Agricole

Les principales sources de financement de la recherche agricole malienne sont les recettes
publiques, les financements reçus des bailleurs de fonds, des banques de développement et des
réseaux régionaux et sous-régionaux et enfin, les ressources propres. Pendant la période 2004–
2008, les contributions du Gouvernement représentaient 41 % des revenus totaux de l’IER. La part
des bailleurs de fonds s’élevait à 53 % et les ressources générées à l’interne (surtout par la vente de
semences et par les prestations des services) à 6 % . Cette dernière catégorie comprend également
les contributions de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT), une
société d’État qui est en voie de privatisation.
Sources de financement de la recherche du développent Agricole

L’IER effectue des prestations pour la CMDT sur des thèmes de recherche tels que
l’amélioration variétale du coton, la protection contre les maladies, les problèmes liés au
sol, la qualité des engrais utilisés sur le coton, de même que les produits phytosanitaires.

• Depuis le tournant du millénaire, des prêts et des subventions de la Banque mondiale ont appuyé
la mise en oeuvre de trois projets axés sur la recherche agricole : le Projet national de recherche
agricole (PNRA ; 1994–2001), le Programme d’appui aux services agricoles et aux organisations
de producteurs (PASAOP ; 2002–2009) et le Programme de productivité agricole en Afrique de
l’Ouest (PPAAO/WAAPP ; 2007–2017).
ORIENTATION DE LA RECHERCHE AGRICOLE

La ventilation des ressources entre les différents axes de recherche représentant une décision de
politique générale importante, des informations tirées d’enquêtes détaillées ont été rassemblées sur le
nombre de chercheurs ÉTP travaillant sur des produits ou des thématiques spécifiques. En 2008, 45 %
des chercheurs agricoles maliens effectuaient des recherches sur les cultures. De plus, 20 % des
recherches concernaient l’élevage, 14 % la sylviculture, 8 % les pâturages et fourrages et 8 % les
ressources naturelles. La ventilation des ressources entre les différents axes de recherche représentant
une décision de politique générale importante, des informations tirées d’enquêtes détaillées ont été
rassemblées sur le nombre de chercheurs ÉTP travaillant sur des produits ou des thématiques
spécifiques. En 2008, 45 % des chercheurs agricoles maliens effectuaient des recherches sur les
cultures.
ORIENTATION DE LA RECHERCHE AGRICOLE

• De plus, 20 % des recherches concernaient l’élevage, 14 % la sylviculture, 8 % les


pâturages et fourrages et 8 % les ressources naturelles. La catégorie « autres » comprend
les recherches sur la pêche, les recherches socioéconomiques et les activités post-récolte.
Au Mali, la culture la plus étudiée, c’est le riz. Comme évoqué précédemment, le Mali
prend en charge la composante « riz » du PPAAO/WAAPP et reçoit également de larges
sommes de la BAD dans le cadre du projet Nerica. En 2008, la recherche sur le riz
absorba 21 % des ressources totales consacrées aux recherches agronomiques et
zootechniques. Parmi les autres cultures importantes, on relève le coton (12 %), les
légumes (8 %), le mil (7 %), les pommes de terre (6 %) et le sorgho (5 %) .
PRINCIPAUX ACTEURS DU CONSEIL AGRICOLE (1/4)
1. L'État

Le contexte institutionnel actuel du secteur Agricole est caractérisé par l'existence de plusieurs
ministères ayant en charge le pilotage des interventions publiques dans le secteur. Il s’agit de :
Ministère de l’Agriculture, Ministère de l’Élevage et de la Pêche, Ministère de l’Environnement et
de l’Assainissement.

2. Collectivités Territoriales

Le pays compte 703 communes dont 96 urbaines, 49 Conseils de Cercle et 8 Assemblées


Régionales ayant la responsabilité de la maîtrise d'ouvrage du développement dans le ressort de
leur compétence.
PRINCIPAUX ACTEURS DU CONSEIL AGRICOLE (2/4)

3. Organisations de la Société Civile

Les organisations de la société civile (OSC) à vocation Agricole, dont les associations de
Consommateurs, participent à la mise en œuvre de la Politique de Développement Agricole. Les
Organisations Non Gouvernementales (ONG) sont des acteurs importants pour la promotion du

monde rural.

4. Chambres d’Agriculture et l’APCAM


LOI N°93-044/ La Chambre Régionale d'Agriculture et l'Assemblée Permanente des
Chambres d'Agriculture du Mali constituent auprès des pouvoirs publics, les organes
consultatifs et professionnels des intérêts agricoles.
PRINCIPAUX ACTEURS DU CONSEIL AGRICOLE (3/4)

5. Organismes Personnalisés à vocation agricole

Les autres Organismes Personnalisés à vocation Agricole regroupent les structures publiques dotées
de la personnalité morale et de l'autonomie financière œuvrant dans le domaine Agricole.

6. Organisations Professionnelles Agricoles (OPA)

Les Organisations Professionnelles Agricoles sont des groupements de personnes physiques ou


morales, à vocation Agricole, qui décident de s'unir pour la défense de leurs intérêts auprès des
pouvoirs publics et des tiers et pour la fourniture de biens et de services à leurs membres.

7.
PRINCIPAUX ACTEURS DU CONSEIL AGRICOLE (4/4)

7. Exploitations Agricoles:

Leur nombre est estimé à plus de 800 000 unités et elles constituent les premiers acteurs du
développement Agricole. Les Exploitations Agricoles Familiales (EAF) et les Entreprises
Agricoles (EA) sont une partie intégrante du secteur privé.

8. Prestataires de services
Ils regroupent principalement les fournisseurs d'intrants et d'équipements, les banques et les
institutions de micro finance.

9. Partenaires Techniques et Financiers


Ils contribuent au financement de l'Agriculture et apportent leurs expertises techniques dans
la mise en œuvre des programmes et projets de développement Agricole.
CONTRAINTES ET OPPORTUNITES DU CONSEIL AGRICOLE(1/3)

Ces exploitations se caractérisent par leur faible niveau de modernisation, la pratique de techniques extensives et
peu liées aux marchés.

Les principales faiblesses et menaces qui pèsent sur le développement du secteur Agricole sont:

- la forte vulnérabilité par rapport aux aléas climatiques (sécheresses, inondations, faibles crues) et aux risques
majeurs (sanitaires, déprédateurs, épizooties, feux de brousse).

- la faible performance des exploitations Agricoles : les systèmes de production sont peu intensifs (faible
recours aux engrais et aux semences améliorées, faible niveau de mécanisation et de motorisation, faible
valorisation des résultats de la recherche agricole).

- un faible niveau d’alphabétisation des producteurs agricoles : le niveau d’éducation au Mali reste inférieur à la
moyenne des pays d’Afrique sub-saharienne et seulement 24% de la population âgée de 15 ans ou plus sont
alphabétisés.
CONTRAINTES ET OPPORTUNITES DU CONSEIL AGRICOLE(2/3)

- une maîtrise insuffisante des problèmes environnementaux qui concernent essentiellement la


dégradation du couvert végétal et des sols, la perte de la biodiversité, l’insalubrité et la
dégradation du cadre de vie.

A ces contraintes s’ajoutent : la problématique de la gestion du foncier agricole, la raréfaction


et la faible qualification de la main d’œuvre en milieu rural, la faible maîtrise de l’eau, le faible
accès au crédit, la faible capacité de gestion des organisations de producteurs, l’insuffisance de
financement, l'insuffisance du système d’encadrement et le faible niveau de formation des
producteurs.
CONTRAINTES ET OPPORTUNITES DU CONSEIL AGRICOLE(3/3)

 Ces diverses contraintes ont pour conséquences :

- une sécurité alimentaire encore fragile : les crises alimentaires affectent de manière
récurrente les populations maliennes et ont une influence négative sur le développement
humain durable.

- une pauvreté persistante en milieu rural où l’incidence de la pauvreté en 2010 est de 51%
se traduisant par une précarité des conditions de vie et l'aggravation de l'exode rural.

- une aggravation de la facture d'importation pour certains produits alimentaires (lait en


poudre, riz, blé, etc.).
Opportunités
L’intégration économique régionale : le Mali appartient à l’Union Économique et Monétaire
Ouest-Africaine (UEMOA) avec 73 millions de consommateurs et à la CEDEAO avec 220
millions d’habitants. Cette situation offre de grands marchés d’exportation à des conditions
avantageuses énoncées dans les accords d’intégration économique régionale.

Le renforcement du dialogue politique entre les partenaires autour d'une stratégie commune
d'assistance pays (SCAP), du Pacte ECOWAP et du Passage à l’approche sectorielle en vue
d’accélérer la mobilisation de financements conséquents pour le secteur et d’en améliorer
l’efficacité.

La Charte sur la Prévention et la Gestion des Crises Alimentaires, adoptée par les ministres de
l'Agriculture en novembre 2011, est à la fois un instrument clé du programme régional
d’investissement Agricole et un cadre de référence des pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
ORIENTATIONS STRATEGIQUES DU CONSEIL AGRICOLE(1/2)

Pour ce faire et au regard des objectifs visés, la PDA (Politique du


Développement Agricole) s’appuie sur huit orientations stratégiques majeures :

Assurer la sécurité alimentaire de l'ensemble des populations du mali et


contribuer à celle de la sous-région ;

Assurer le développement institutionnel et le renforcement des capacités de


tous les acteurs ;

Préserver l'environnement et mieux gérer les ressources naturelles ;

Développer des investissements dans le secteur agricole ;


ORIENTATIONS STRATEGIQUES DU CONSEIL AGRICOLE(2/2)

Améliorer la compétitivité des produits agricoles et agroindustriels sur les marchés aux
plans intérieur, sous régional et international ;

Développer un système de recherche et de conseil agricoles au service d'une agriculture


durable et compétitive ;
 Assurer la formation de l’ensemble des acteurs du secteur et les faire accéder aux
niveaux de connaissances et de compétences requis pour remplir leurs rôles et missions ;

Mobiliser le financement et des ressources conséquents et accessibles en faveur du


développement agricole.
STRATÉGIES DE MISE EN ŒUVRE(1/2)

La politique de promotion des filières Agricoles prend en compte les filières stratégiques,
notamment le coton, le riz, les fruits et légumes, le bétail, la viande, la volaille, les produits de la
pêche, les oléagineux et les céréales sèches.

Les axes d'intervention de la PDA tels qu'ils sont définis s'inscrivent dans une logique intégrée
de développement de l'Agriculture. Ils se traduisent au plan sous-sectoriel par les stratégies et
mesures ci- après :

- Stratégies et mesures relatives au sous -secteur de l’agriculture

- Stratégies et mesures relatives au sous-secteur de l’élevage

- Stratégies et mesures relatives au sous-secteur de la pêche et de l’aquaculture


STRATÉGIES DE MISE EN ŒUVRE (2/2)

- Stratégies et mesures relatives au sous -secteur de la forêt et de la Faune

- Stratégies et mesures relatives au sous -secteur de l’environnement

- Plan stratégique révisé de la recherche agricole

- Stratégies et mesures relatives aux facteurs de production

- Stratégies transversales.
CONCLUSION (1/2)

Au Mali, malgré tous les efforts que les autorités ont faits ces dernières décennies pour
promouvoir le développement agricole, la R&D agricole reste largement tributaire de l’aide
accordée par des bailleurs de fonds et des banques de développement, notamment dans le
cadre des projets successifs dirigés par la Banque mondiale et le gouvernement d’autre
pays comme ( Pays-Bas etc.) et par la Fondation Syngenta. En matière de politique
agricole, plusieurs initiatives récentes telles que la modification des statuts, tant de
l’IER que de ses chercheurs, et l’adoption de la LOA en 2006, permettent d’espérer
que les autorités maliennes accorderont désormais une priorité croissante à la R&D
agricole.
CONCLUSION (2/2)

• Toutefois, tant que le Gouvernement ne s’engage pas à financer la Recherche et


développement agricole de façon plus intensive et plus durable, il reste à voir si le Mali
va pouvoir relever, d’une manière efficace, les défis de la lutte contre la faim et la
pauvreté.

• Par ailleurs ce travail nous a permis de connaitre l’importance de la recherche du conseil


agricole, les différents acteurs impliqués, les orientations et stratégies à adopter, les
contraintes et les opportunités dans le but de contribuer au développement socio-
économique du Pays.
MERCI POUR VOTRE AIMABLE ATTENTION
Liste des membres du groupe
Mamadou Assim HAÏDARA Yaya COULIBALY

Demba DEMBELE
Hama COULIBALY

Boubacar KAMBIRE Mamadou KEITA


Youssouf KONATE Ousmane DIABY
Abdoulaye N’DIAYE Lassana TRAORE
Karim Adama BA
Kadiatou Dite Dadely GADIO
Bakomor NABO Mariam DIAKITE
Lassenou KOITA Nana COULIBALY

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