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Les Mathématiques en Terminale S 1 Nombres Complexes

a. Addition de deux nombres complexes


Nombres Complexes
z + z 0 = (a + a0 ) + (b + b0 )i
b. Multiplication de deux nombres complexes
I/ 1. Définition : z × z 0 = (a + ib)(a0 + ib0 )
On appelle nombre complexe ou compliqué, tout
nombre qui s’écrit sous la forme a + ib. z × z 0 = aa0 + iab0 + iba0 + i2 bb0
2
a et b sont des réels et i est l’imaginaire et est tel que Or, i = −1
i2 = −1 z × z 0 = aa0 + i(ab0 + ba0 ) − bb0
On note souvent z = a + ib z × z 0 = (a.a0 − b.b0 ) + (a.b0 + a0 .b)i

80
Exemples :

41
z1 = 1√+ i, z2 = 1 − i 3, z3 = cos θ + i sin θ, z5 = −8, Exercice n◦ 1
z6 = i 3

0
1. Donner la forme algébrique de chacun des nom-

88
Notez bien : bres complexes suivants : z + z 0 , z − z 0 , 4z − 3z,
sachant que z = 2 − 5i et z 0 = −3 + 4i.

06
? L’écriture z = a+ib est la forme algébrique du nom-
bre complexe z.

2)
2. Écrire sous la forme algébrique les nombres suiv-
? Dans l’écriture z = a + ib, a est la partie réelle du ants :

24
√ √
nombre complexe z et on note : a = Re(z) et b est sa 1 3 1 3

(+
z1 = (1 + i)( + i 2
); z2 = (1 + i) ( − i );
partie imaginaire et on note : b = Im(z). 2 √2 2 2
? Si a = 0, alors z = ib est dit imaginaire pur. 1 3
z3 = (1 − i)3 ( + i
l: ).
2 2
Té
? Si b = 0, alors z = a est dit réel.
3. Montrer que les nombres complexes
? Si a = 0 et b = 0, alors z = 0 est dit nul.
I,

z4 = (1 + i cos θ)(1 − i cos θ) et


B

Par conséquent, un nombre complexe est dit nul, si


z5 = (1 + i sin θ)(1 − i sin θ) où θ ∈ R, sont des
A

ses parties réelle et imaginaire sont nulles


K

Exemples : réels, puis calculer le réel z = z4 + z5 .


A

• z1 = −π, z2 = cos θ, z3 = 2 sont des nom- c. Conjugué d’un nombre complexe


ck

bres complexes réels, ou tout simplement


Soit z = a + ib, (a, b) ∈ R2 un nombre complexe.
aı̈

sont des réels.


On appelle conjugué de z, le nombre complexe noté
lM


• z4 = −i 2, z5 = i tan θ, z6 = 2i sont z et défini par z = a + ib = a − ib.
des nombres complexes imaginaires, ou tout
de

En d’autres termes, le conjugué d’un nombre com-


simplement sont des imaginaires purs.
plexe z est le nombre complexe noté z et qui a la
he

• z7 = 0 est un nombre complexe nul. même partie réelle que z et de partie imaginaire op-
C

posée à celle de z.
? On note par C, l’ensemble des nombres complexes.
r

Exemples :
pa

C = {z = a + ib; (a, b) ∈ R2 }; R⊂C • z = 1 + i =⇒ z = 1 − i



os

? iR∗ = {z = ib; b ∈ R∗ } est l’ensemble des imagi- • z = i =⇒ z = −i


op

naires purs. √ √
• z = 3 =⇒ z = 3
2. Règles de calculs dans C
Pr

• z = 1 + cos θ + i sin θ =⇒ z = 1 + cos θ − i sin θ


Les règles de calculs dans l’ensemble C sans les
Propriétés :
mêmes que dans R, mais seulement, on tiendra
compte du fait que i2 = −1. Soient z = a + ib et z 0 = a0 + ib0 deux nombres com-
plexes et n un entier naturel.
Soient z = a + ib et z 0 = a0 + ib0 deux nombres com-
plexes. P1 ) R e(z) = R e(z) et Im(z) = −Im(z).
P2 ) z est réel si et seulement si z = z

©by Maı̈ck AKABI tél : (+242) 06 880 41 80 La meilleure façon d’échouer c’est d’abandonner
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Les Mathématiques en Terminale S 2 Nombres Complexes

P3 ) z est imaginaire pur si et seulement si e. Égalité de deux nombres complexes


z = −z. Soient z = a + ib et z 0 = a0 + ib0 deux nombres com-
plexes.
P4 ) z + z = 2a ou z + z = 2R e(z)
a = a0
(
P5 ) z − z = 2ib ou z − z = 2i.Im(z) Dire que z = z0 signifie que
b = b0
P6 ) ∀z ∈ C; z.z ∈ R+ , en effet : z.z = a2 + b2 .
z z.z
P7 ) ∀(z, z 0 ) ∈ C × C∗ , 0 = 02 Exercice n◦ 3
z a + b02

80
P8 ) z + z 0 = z + z 0 Déterminer les réels x et y pour que les nombres
√ com-
1 3

41
P9 ) z.z 0 = z.z 0 plexes z1 = x + iy et z2 = (1 − i)( + i ) soient
2 2
z z 0 égaux.
 

0
P10 ) = ; z ,0 .

88
z0 z0
P11 ) z = z et z n = (z)n
3. Représentation géométrique
d’un nombre complexe

06
1 1 a b
   

2)
P12 )
z
=
z
=
a2 + b2
+
a2 + b2
i a. Repère complexe

24
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé
d. Inverse d’un nombre complexe
(O; −
e→ −

(+
1 , e2 ). Ce plan est appelé plan complexe.
Soit z = a + ib un nombre complexe non nul.
1
= z −1 = 2
a
− 2
b
i
l:
Té
z a +b 2 a + b2
Exemple :
I,

1 2 3 2 3
B

= 2 2
− 2 2
i= − i
2 + 3i 2 + 3 2 +3 13 13
A
K

Notez bien :
A

Pour rendre réel le dénominateur d’un nombre com-


ck

plexe quotient, on multiplie son numérateur et son


aı̈

dénominateur par l’expression conjuguée de son


lM

dénominateur.
Exemple :
b. Affixe d’un point et d’un vecteur
de

1+i (1 + i)(2 − 3i) 2 + 3i + 2i − 3


= =
he

2 + 3i (2 + 3i)(2 − 3i) 22 + 32 A tout nombre complexe z = a + ib , on associe le


point M (a, b)
C

1+i −1 5
= + i • Le point M (a; b) est appelé point image (ou image
r

2 + 3i 13 13
pa

simplement) de z
Exercice n◦ 2 • z est l’affixe du point M

os

1. Mettre sous la forme algébrique les nombres • z −−→ = a + ib est l’affixe du vecteur − OM
−→
op

complexes : OM

c. Autres informations
Pr

3 − 2i (2 − 5i)(3 + 2i)
a= ; b=
2+i 3 − 2i Soient A, B et C trois points d’affixes respectifs zA ,
2. Déterminer les partie réelle et imaginaire des zB , zC .
nombres complexes suivants : −−→
√ ? Le vecteur AB a pour affixe z −−→ = zB − zA .
AB
1 3 √
(1 + i)3 ( + i ) 1+i 3 ? Le milieu I du segment [AB] a pour affixe
z1 = 2 2 , z2 = √ ,
−1 + i 1−i 3 zA + zB
zI =
1 2
z3 = √ et z4 = (1 + i sin θ)(1 + i) ? Le barycentre O = bar{(A, α), (B, β)} a pour affixe
2 3 + 2i

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Les Mathématiques en Terminale S 3 Nombres Complexes

Le module du nombre complexe z est la distance entre


αzA + βzB l’origine O du repère et le point image M(a,b) de z.
zO = ; α+β , 0 −−→
α+β On a |z| = OM = d(O, M ) = k OM k
? Le centre de gravité G du triangle ABC a pour af-
fixe Exercice n◦ 5
zA + zB + zC
zG = Calculer le module de chacun des nombres complexes
3
suivants : √ √
? Soient →−
u et → −
v deux vecteurs du plan et k ∈ R √ 1 3 3 1
z1 = − 3+i ; z2 = +i ; z3 = − i ; z4 = 1−i

80
• z−→
u +−v = z−
→ u + z−
→ →
v
2 2 2 2
z5 = 1 + i; z6 = −2 ; z7 = 3i ; z8 = cos α − i sin α

41
• zk −
u = kz −
→ →
u
c. Propriétés

0
Exercice n◦ 4 Soient z et z 0 deux nombres complexes.

88
P1 : |z| = |z| = | − z|
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé

06
(O, −
e→ −

1 , e2 ). On considère les points A, B et I d’affixes P2 : |z.z 0 | = |z|.|z 0 |

2)
respectives 3 + 2i; 3; 1 − 2i 1 1
P3 : = avec z , 0

24
z |z|
1. Placer ces points dans le repère.

(+
−−→ −→ −→ z |z| 0
2. Calculer les affixes des vecteurs AB , BI et AI . P4 : z 0 = |z 0 | , z , 0
l:
3. Soit C le point du plan tel que I soit le milieu de P5 : ∀z ∈ C∗ , 1 = z
Té
[AC]. Déterminer l’affixe zC de C. z |z|2
1
I,

4. soit D le barycentre des points P6 : |z| = 1 ⇐⇒ z = .


B

z
{(A, 1); (B, −1); (C, 1)}.
A

P7 : Si z = a alors |z| = |a| = +a avec a > 0


K

a. Montrer que le barycentre D existe. P8 : Si z = b alors |z| = |b| = +b avec b > 0


A

b. Calculer l’affixe zD du point D. P9 : |z n | = |z|n , n ∈ Z


ck

5. Calculer l’affixe zE du point E tel que : P10 : |z| = 0 ⇐⇒ z = 0.


aı̈

−−→ −−→
lM

CE − 2 AB P11 : |λz| = |λ||z|. avec λ ∈ R


P12 : |z + z 0 | ≤ |z| + |z 0 | (inégalité triangulaire)
de

4. Module d’un nombre complexe P13 : |Re (z)| ≤ |z| et |Im(z)| ≤ |z|
he

a. Définition P14 : ||z| − |z 0 || ≤ |z − z 0 | ≤ |z| + |z 0 |


C

Soit z = a + ib , (a, b) ∈ R2 un nombre complexe.


r

On appelle module de z le nombre réel positif noté Exercice n◦ 6


pa

√ √
|z| défini par : |z| = zz = a2 + b2 Calculer le module de chacun des nombres complexes

os

b. Interprétation géométrique. suivants : √ √


1 √ √ 1+i 3 3−i
op

Soit M l’image de z = a + ib. z1 = ( 6 + i 2); z2 = ; z3 = ,


2 1−i (1 − i)4
Pr

√ (1 − i)8 (1 + i)9
z4 = (1 + i)6 (−1 + i 3); z5 = √
3−i
π π
   
z6 = tan α − i α ∈ 0 ; ∪ ;π ;
2 2
z7 = − cos α + i sin α ; z8 = 1 + cos α + i sin α
z9 = 1 − cos α − i sin α, où α ∈]0; 2π[

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Les Mathématiques en Terminale S 4 Nombres Complexes

d. Ensembles des points liés au module


Soit A un point fixe du point et k un réel.
♣ Ensemble (E) des points M du plan tels que
|z − zA | = k
• Si k < 0 , l’ensemble (E) est vide
• Si k = 0, l’ensemble (E) est réduit au singleton
{A}. On dit que (E) est le cercle-point c’est à cercle
de rayon R=0.

80
• Si k > 0 , l’ensemble (E) est le cercle de centre A

41
et de rayon R = k.

0
♣ Ensemble (E) des points M du plan tels que On appelle argument de z, une mesure de l’angle ori-

88
−−→
enté ( −
e→
[
z − zA 1 , OM ).
= k où A et B sont les points fixes et k ∈ R

06
z − zB −−→
On note arg(z) = ( −
e→
1 , OM ) [2π] .

2)
• Si k < 0, l’ensemble (E) est vide

24
• Si k = 0, l’ensemble est réduit au singleton {A}
b. Détermination de l’argument d’un nombre

(+
• Si k = 1, l’ensemble (E) est la médiatrice du seg- complexe z
ment [AB].
• Si k > 1, l’ensemble (E) est un cercle de diamètre
l:
Soit z = a + ib un nombre complexe non nul et θ un
Té
argument de z c’est-à-dire
[IJ] où I = bar{(A, 1); (B, −k)} et
−−→
(−
e→
1 , OM ) = θ [2π]
I,

J = bar{(A, 1); (B, k)}.


B

Re (z) a

cosθ = =
A


Exercice n 7◦

|z| |z|


K

On a : =⇒ arg(z) = θ[2π]
Im(z) b
A

Le plan complexe est rapporté à un repère or-



sinθ =

 =
thonormé (O; →−
u ,→

v) |z| |z|
ck

Trois points A, B et C sont donnés par leurs affixes


aı̈

Exercice n◦ 8
qui sont respectivement 2 + i ; 4 − i et −3 + i.
lM

Calculer le module et un argument des nombres com-


1. Placer les points A, B et C dans le repère. plexes suivants :
de

√ √

2. Déterminer géométriquement et algébriquement z1 = − 3 + i ; z2 = 1 + i 3 ; z3 = 3 − 1 i ;
he

2 2 2 2
C

a. l’ensemble des points M d’affixe z tel que z4 = 1 − i ; z5 = 1 + i ; z6 = −2 ; z7 = 3i ;


|z − 2 − i| = 4
r

π π
   
pa

z
b. l’ensemble des points M d’affixes z tel que 8 = cos α−i sin α ; z 9 = tan α−i α ∈ 0 ; ∪ ; π
2 2
|z + 3 − i| = |z − 4 + i|.

c. Propriétés
os

3. Démontrer que l’ensemble (Γ ) des points M


op

d’affixes z tel que |z − 2 − i| = |z − 4 + i| est la Soient z et z 0 deux nombres complexes non nuls.
Pr

médiatrice du segment [AB]


P1 : arg(z.z 0 ) = arg(z) + arg(z 0 )[2π]
4. Tracer les ensembles trouvés dans le plan com- z
P2 : arg( 0 ) = arg(z) − arg(z 0 )[2π]
plexe. z
1
P3 : argz = arg( ) = −argz[2π]
5. Argument d’un nombre complexe z
P4 : arg(−z) = π + arg(z)[2π]
a. Définition
P5 : arg(z n ) = n.arg(z)[2π]
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé
(O, −
e→, −
1 e→), on considère un point M d’affixe z = a+ib P : Si z est réel c’est-à-dire , z = a, avec a ∈ R∗
2 6

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Les Mathématiques en Terminale S 5 Nombres Complexes


− →


A; i , privée de A, avec M es i ; →

0 [2π] si a > 0
 [ 
u ≡ α[2π].
alors |z| = |a| et arg(z) =

π [2π] si a < 0
Exercice n◦ 10
P7 : Si z est imaginaire pur ; i.e z = ib, b ∈ R∗
π Déterminer et représenter les ensembles de points M
 [2π] si b > 0
 du plan dont l’affixe z vérifie la condition indiquée.
2
alors |z| = |b| et arg(z) = π
− π [2π] si b < 0
 1. arg(3i-z) = 0[2π], 2. arg(z − 3 + i) = [π]
2 4
0 ∗
P8 : Si z = λz , λ ∈ R , π

80
3. arg(z 2 − 4) = arg(z+2)[2π], 4. arg(z − 3i) = [π]
2
alors arg(z) = arg(λ) + arg(z 0 )[2π]

41
1 π π
 
5. arg = [π], 6. arg(iz + i) = − [2π]
Notez bien : z+2 2 2

0
88
Le nombre complexe z = 0 n’a pas d’argument.

06
6. Forme trigonométrique d’un nombre complexe
Exercice n 9 ◦ non nul

2)
a. Définition :

24
Calculer le module et un argument des nombres com-

(+
plexes suivants : Soit z un nombre complexe de module |z| = ρ, ρ > 0
√ √ et d’argument arg(z) = θ[2π].
1 √ √ 1+i 3 3−i
z1 = ( 6 + i 2); z2 =
2 1−i
; z3 =
(1 − i)4
l:
La forme trigonométrique de z est :
Té
√ √
z4 = (1 + i)(−1 + i 3) ; z5 = (1 − i)3 (1 − i 3)3 z = ρ(cosθ + isinθ)
√ !2022
I,

−1 + i 3

4i
1992 Remarque :
B

z5 = √ √ ; z6 = √ L’écriture z = [ρ, θ] est appelée forme polaire de z.


A

2−i 2 3−i
K

√ !2011 √
1 3 (1 + i 3)2024 (−1 − i)2 Exercice n◦ 11
A

z7 = − + i ; z8 = √
2 2 3−i
ck

Déterminer la forme trigonométrique des nombres


complexes suivants :
aı̈

√ √
d. Interprétation géométrique de l’argument √ 1 3 3 1
lM

z1 = − 3 + i ; z2 = + i ; z3 = − i;

− →

Soit (O; u , v ) un repère orthonormé direct. 2 2 2 2
z4 = 1 − i ; z5 = 1 + i ; z6 = −2 ; z7 = 3i ;
de

A, B et C trois points fixes du plan complexe d’affixes


π π
   
he

respectives zA , zB et zC . z8 = cos α−i sin α ; z9 = tan α−i α ∈ 0 ; ∪ ;π


2 2
C

• Soit M un point du plan complexe d’affixe z, alors


−−→ b. Propriétés :
r

argz = → −

u ; OM [2π].
pa

−−→ Soient z = ρ(cosθ + isinθ) et z 0 = ρ0 (cosθ0 + isinθ0 )


• arg (zB − zA ) = →

 
u , AB [2π].

os


zB
  −−→ −−→ deux nombres complexes, ρ > 0 et ρ0 > 0.
op

• arg = OA ; OB [2π].
zA P1 : z.z 0 = ρ.ρ0 [cos(θ + θ0 ) + isin(θ + θ0 )]
Pr

 −−→ −−→ zC − zA z ρ
 
• AB , AC = arg [2π]. P2 : 0 = 0 [cos(θ − θ0 ) + isin(θ − θ0 )]
zB − zA z ρ
• L’ensemble des points M d’affixe z tel que : 1 1
 → P3 : = [cos(−θ) + isin(−θ)]
− z ρ
arg (z − zA ) ≡ α[π] est la droite de repère A; i ,
→
− P4 : z = ρ[cos(−θ) + isin(−θ)]
privée de A, avec M es i ; →−
[ 
u ≡ α[π].
P5 : z n = ρn [cos(nθ) + isin(nθ)]
• L’ensemble des points M d’affixe z tel que :
Notez bien : la propriété P5 est la formule de Moivre
arg (z − zA ) ≡ α[2π] est la demi-droite de repère

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Les Mathématiques en Terminale S 6 Nombres Complexes

P6 : z + z = 2ρ cos(θ) b. Déterminer le module et un argument de


z 2 . En déduire le module et un argument
P7 : z − z = 2iρ sin(θ)
de z
P8 : z n + z n = 2ρn cos(nθ)
c. Déterminer les entiers naturels n pour que
P9 : z n − z n = 2iρn sin(nθ) z n soit imaginaire pur.
P10 : (z + z)n = 2n ρn cosn (θ)
2. Déterminer la forme trigonométrique des nom-
P11 : (z − z)n = 2n in ρn sinn (θ) bres complexes suivants :

ρ = ρ0 z5 = 1 + i, z6 = − cos α + i sin α où α ∈]0; 2π[,

80
P12 : z = z 0 ⇐⇒ ,k ∈ Z z7 = 1 + cos α + i sin α, z8 = 1 −cos α − i sin α,

θ = θ0 + 2kπ i π

41
z9 = sin β + − i cos β où β ∈ 0 ;
cos β 2
c. Passage de la forme algébrique à la forme 1 π

0
trigonométrique et vice-versa z10 = avec θ , ± + kπ, k ∈ Z

88
1 + i tan θ 2
Soit z = a + ib (1) un nombre complexe sous la

06
forme algébrique et z = ρ(cos θ + i sin θ) (2) sa forme 7. Forme exponentielle d’un nombre
complexe

2)
trigonométrique.

24
Dire que (1)=(2) signifie que :
a. Définition

(+
 a
cos θ = ρ
 
a = ρ cos θ 
⇐⇒ Soit z un nombre complexe de module ρ et

b = ρ sin θ 
sin θ =
 b l:
d’argument θ.
Té
ρ
L’écriture exponentielle de z est z = ρ.eiθ , avec ρ > 0
Remarque et θ ∈ R
I,

Soit z = r(cosθ + isinθ), avec (r, θ) ∈ R∗+ × R.


B
A

• Si r > 0, alors |z| = r et argz = θ[2π] Exercice n◦ 14


K
A

• Si r < 0, alors |z| = −r et arg(z) = π + θ [2π]


Déterminer la forme exponentielle des nombres com-
ck

plexes suivants :

Exercice n◦ 12
aı̈

z1 = 1 + i, z2 = 3 − i, z3 = −i, z4 = 2 et z5 = −3.
lM

On considère les nombres complexes : b. Propriétés


√ √ 0
de

6−i 2 a Soient z = ρ.eiθ et z 0 = ρ0 eiθ deux nombres


a= , b = 1 − i et c = .
he

2 b complexes, avec ρ > 0 ; ρ0 > 0


C

1. Déterminer le module et un argument de a et b. 0


P1 : z.z 0 = ρ.ρ0 .ei(θ+θ )
r
pa

2. Donner la forme algébrique puis trigonométrique


z ρ 0
de c. P2 : 0 = 0 .ei(θ−θ )
z ρ

os

π π
3. En déduire les valeurs exactes de cos 12 et sin 12 .
op

P3 : z = ρ.e−iθ
12
4. Montrer que c est un réel.
Pr

1 1
5. Résoudre
√ √ dans R l’équation
√ √ suivante : P4 : = .e−iθ
z ρ
( 6 − 2) cos x + ( 6 + 2) sin x = 2.

P5 : z n = ρn einθ , n ∈ Z.
Exercice n 13 ◦

√ √ √ √ ρ = ρ0
1. Soit z = ( 6 + 2) + i( 6 − 2) P6 : z = z 0 ⇐⇒ ,k ∈ Z

θ = θ0 + 2kπ
a. Calculer z 2

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Les Mathématiques en Terminale S 7 Nombres Complexes

P7 : pour tous réels α et β on a : e. Factorisation de eia + eib et eia − eib


a+b a−b a+b a−b
α+β eia +eib = ei( 2 ) ×ei( 2 ) +ei( 2 ) ×e−i( 2 )
iα iβ α−β
• e + e = 2cos .e 2 a+b
h a−b a−b
i
2 eia + eib = ei( 2 ) ei( 2 ) + e−i( 2 )
π+α+β
a − b i( a+b )
 
α − β ia ib
e + e = 2 cos e 2
• eiα − eiβ = 2sin

.e 2
2 2
Remarque a+b
 
D’où eia + eib = 2 cos a−b
2 ei( 2 )
Pour tout réel θ,

80
• eiθ = cosθ + isinθ eia −eib = ei(
a+b
2 ) ×ei( a−b i a+b
2 ) −e ( 2 ) ×e
−i( a−b
2 )

41
• e−iθ = cos(−θ) + isin(−θ) a+b
) ei( a−b −i( a−b
h i
eia − eib = ei( 2 2 )−e 2 )

0
Exercice n◦ 15

88
a − b i( a+b )
 
ia ib
e − e = 2i sin e 2
Déterminer le module et un argument des nombres 2

06
complexes suivants où α ∈ [0; π[ :   a+b
D’où eia − eib = 2i sin a−b
ei( 2 )

2)
i π3 2
1−e 1 − cos α + i sin α
z1 = et z2 = .

24
π
1 + ei 3 1 + cos α + i sin α
8. Linéarisation de cosn θ et sinn θ

(+
c. Formules d’Euler avec n ∈ N∗ \{1}
l:
Soit z un nombre complexe de module 1 et Linéariser cosn θ et sinn θ c’est les écrire sous la forme
Té
d’argument θ[2π]. d’une somme de cos(nθ) et (ou) de sin(nθ).
On a :
I,

Pour cela, on utilise les formules d’Euler :


B

• z = eiθ = cosθ + isinθ 1 iθ


cosn θ = (e + e−iθ )n
A

• z = e−iθ = cos(−θ) + isin(−θ) 2n


K

1 n iθ
sinn θ = (e − e−iθ )n
A

Alors en sommant les deux relations, on trouve : 2i


ck

1
cosθ = (eiθ + e−iθ ) Pour développer (eiθ +e−θ )n et (eiθ −e−θ )n , on utilise
aı̈

2 le binôme de Newton ou le triangle de Pascal.


lM

En soustrayant les deux relations, on trouve : • Binôme de Newton


1 iθ
de

sinθ = (e − e−iθ ) Soient a et b deux nombres et n un entier naturel


2i (n ≥ 2)
he

D’une manière générale: n


C

Cnk an−k bk .
X
(a + b)n =
1
∀n ∈ Z, cos(nθ) = (einθ + e−inθ )
r

k=0
pa

2
n!
avec Cnk =
k!(n − k)!

1 inθ
sin(nθ) = (e − e−inθ )
os

2i n! = n(n − 1)(n − 2) · · · 2 × 1.
op

d. Formule de Moivre N.B:


Pr

k
Soit z un nombre complexe de module 1 et ? Cn se lit ”la combinaison de k dans n”
d’argument θ[2π] et n un entier. ? n! se lit ”factorielle n”
On a : z = eiθ = cosθ + isinθ
Exercice n◦ 16
z n = (eiθ )n = (cosθ + isinθ)n = cos(nθ) + isin(nθ)
Linéariser les expressions suivantes

1. Exprimer cos 3x et sin 3x en fonction de cos x et


sin x.

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Les Mathématiques en Terminale S 8 Nombres Complexes

2. Exprimer cos3 θ sin5 θ en fonction de cos x et sin x 10. Colinéarité et orthogonalité


si possible.
Soit A, B et C trois points du plan complexe.
−−→ −−→
II. Configurations du plan et nombres complexes • Les vecteurs AB et AC sont colinéaires
z C − zA zC − zA
 
1. Triangle isocèle ⇐⇒ arg = 0[π] ou = β ∈ R∗ .
zB − zA zB − zA
−−→ −−→
ABC est un triangle isocèle en A • Les vecteurs AB et AC sont orthogonaux
z C − zA 
zD − zC

π z D − zC
⇐⇒ |zB − zA | = |zC − zA | ou = e±αi ⇐⇒ arg = ± [2π] ou = iβ.
zB − zA zB − zA 2 zB − zA

80
avec α , kπ, k ∈ Z.
Conséquences

41
2. Triangle équilatéral ? Les points A, B et C sont alignés

0
z C − zA zC − zA

88
ABC est un triangle équilatéral ⇐⇒
 
⇐⇒ arg = 0[π] ou = β ∈ R∗ .
zC − z A π zB − zA zB − zA
|zB − zA | = |zC − zB | = |zC − zA | ou = e± 3 i

06
zB − zA ? Les droites (AB) et (CD) sont orthogonaux

2)
zD − zC π z D − zC
 
3. Triangle rectangle ⇐⇒ arg = ± [2π] ou = iβ

24
zB − zA 2 zB − zA
ABC est un triangle rectangle en A −−→ −−→

(+
? Les vecteurs AB et CD sont colinéaires
zC − z A π
= λe± 2 i avec λ ∈ R∗ − {1; −1} zD − zC zD − z C
   
⇐⇒
zB − zA ⇔ arg = 0[2π] ou arg = π[2π]
l:
zB − zA zB − zA
Té
4. Triangle rectangle isocèle
Exercice n◦ 17
I,

ABC est un triangle rectangle isocèle en A


B

zC − zA π Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal


⇐⇒ = e± 2 i . direct (0 ; →

u ,→

A

zB − zA v ).
K

Unité graphique : 2 cm
A

5. Carré
√ des points M d’affixe z tels
1. Soit (E) l’ensemble
ck

ABCD est un carré que |z + 1 − i| = 2.


aı̈

zD − zB π
⇐⇒ = e± 2 i et |zD − zB | = |zC − zA |. Donner la nature et caractériser (E).
lM

z C − zA
2. On donne les points B, C, D et E d’affixes re-
6. Parallélogramme
de

spectives :
he

zD − zB zB = 2 + i; zC = 3i; zD = −i et zE = −2 + i
ABCD est un parallélogramme ⇐⇒ = e±θi
zC − z A
C

avec θ , 0[2π]. a. Montrer que les points B, C, D et E appar-


tiennent à l’ensemble (E 0 ).
r
pa

7. Losange b. Soit I le point d’affixe zI = i.


Montrer que les points B, I et E sont

ABCD est un losange


os

alignés
op

⇐⇒ zB − zA = zC − zD et |zD − zA | = |zB − zA |. c. Démontrer que le triangle DBI est rectan-


Pr

gle isocèle en un point à préciser.


8. Appartenance d’un point à un cercle
Le point A appartient au cercle (C ) de centre I et de III. Équations et systèmes d’équations
rayon R, si et seulement si, |zA − zI | = R
1. Équations et système d’équations du premier
9. Points cocycliques degré
Les points A, B, C et D sont cocycliques Les méthodes de résolution des équations et systèmes
zC − z B zD − zB d’équations dans C sont les mêmes que dans R, mais
⇐⇒ : = β ∈ R∗ seulement, on tiendra compte du fait que i2 = −1
zC − z A zD − z A

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Les Mathématiques en Terminale S 9 Nombres Complexes

Exercice n◦ 18 3. Cas particuliers

Résoudre dans C, les équations suivantes : • Racine nieme de l’unité


Soit w = ρ.eiθ , ρ > 0, θ ∈ R un nombre complexe non
1. z − 3iz = 5 nul.
√ wn = 1 ⇐⇒ (ρ.eiθ )n = ei0
2. z + 3z = (2 + i 3) 
ρn = 1
z−1 ⇐⇒ k ∈ {0, 1, · · · , n − 1}
3. = 4i

80
−3 + iz

nθ = 2πk

41

ρ = 1

Exercice n◦ 19 ⇐⇒ k ∈ {0, 1, · · · , n − 1}
θ = 2πk

0

88
n
Résoudre dans C2 les systèmes suivants :
Les racines nieme de l’unité sont les nombres com-

06
 plexes :
(1 + i)z − iz 0 = 1 − i

2)
a) 2πk 

24
i

(3 + i)z + (1 − i)z 0 = 11 + 4i wk = e n avec k ∈ {0, 1, · · · , n − 1}

(+

2iz − (1 + i)z 0 = 4
b) • Racine carrée d’un nombre complexe
l:

3z − 2iz 0 = i
Té
Lorsque n = 2, on parle des racines carrées d’un
nombre complexes et ces racines peuvent être
I,

2. Racines nieme d’un nombre complexe déterminer facilement sous la forme algébrique.
B
A

a. Définition Soit Z = a + ib un nombre complexe non nul ; le


K

nombre complexe z = x + iy est une racine carrée de


Soient Z et z deux nombres complexes non nuls,
A

Z si et seulement si Z = z 2 .
On appelle racine nieme du nombre complexe Z, tout
ck

On a : z 2 = Z ⇐⇒ (x + iy)2 = a + ib
nombre complexe z tel que z n = Z
aı̈

⇐⇒ x2 + 2ixy − y 2 = a + ib
b. Détermination de la racine nieme d’un nombre
lM

complexe ⇐⇒ x2 − y 2 + 2ixy = a + ib
de

(
Soient Z = reiα ,r > 0, α ∈ R et z = ρ.eiθ , ρ > 0, θ ∈ R x2 − y 2 = a
Par égalité complexe on a :
he

z n = Z ⇐⇒ (ρ.eiθ )n = reiα 2xy = b


C

On a :z 2 = Z ⇐⇒ |z|2 = |Z|
⇐⇒ ρn .einθ = r.eiα
r
pa


ρn = r
 √
x2 + y 2 = a2 + b2
 (1)
⇐⇒ 




nθ = α + 2πk x2 − y 2 = a
os

Ainsi, (2) (S)



op

k ∈ {0, 1, · · · , n − 1}



2xy = b (3)

Pr


n
ρ = r

⇐⇒ N.B :
θ = α + 2πk

n n La résolution du système (S) permet de trouver
k ∈ {0, 1, · · · , n − 1} deux nombres complexes conjugués z1 et z2 ; racines
carrées du nombre complexe Z.
Les racines nieme de Z sont les nombres complexes :
• Si b > 0, alors x et y sont de même signe

α 2πk  • Si b < 0, alors x et y sont de signes contraires.


√ + i
zk = n r.e n n avec k ∈ {0, 1, · · · , n − 1}

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Les Mathématiques en Terminale S 10 Nombres Complexes

Exercice n◦ 20 4. Équations du second degré dans C

Déterminer les racines carrées de z dans les cas suiv- Soit à∗ résoudre l’équation (E) : az 2 + bz + c = 0 avec
a ∈ C , (b, c) ∈ C 2
ants :
√ √ On calcule le discriminant
a) z1 = 3 − 4i, b) z2 = 3i , c) z3 = −2 2 + 2 2i
∆ = b2 − 4ac
Remarques : • Si ∆ > 0 l’équation (E) admet deux racines réelles
distinctes.
R1 : Les racines nieme Zk d’un nombre complexe  √

80
quelconque z peuvent s’exprimer en fonction des 
z =
 −b − ∆
ieme  1
racines n wk de l’unité. 2a

41

α 2πk 


z2 =
 −b + ∆
√ i +

0
En effet ; zk = r.e n n
n 2a

88
α 2πk  • Si ∆ = 0 , l’équation (E) admet une racine double
√ b

06
i i
zk = n r.e n .e n z0 = −
2a

2)
α • Si ∆ < 0 , l’équation (E) admet deux racines com-
√ i

24
D’où zk = n r.e n .wk plexes .

(+
 p
R2 : La somme de toutes les racines nieme d’un nom-  −b − i |∆|
z1 =


bre complexe Z est toujours nulle. 2a
Si a, b , c ∈ R, alors z1 = z2
En effet ; d’après la relation précédente :

 −b + i
pl:|∆|
Té
z2 =

α 2a
√ i
• Si ∆ = a + ib, a ∈ R , b ∈ R∗ , l’équation (E) admet
zk = r.e n .wk
I,

deux racines complexes.


B

En sommant membre à membre cette relation on a :


A

On calcule les racines carrées du discriminant ∆


K

n−1 n−1 α α  n−1


X√ i √ i Soient δ1 et δ2 les racines carrées de ∆
A

X X
zk = n
r.e n .wk = n r.e n wk
k=0 k=0 k=0 L’équation (E) a pour solutions
ck

2πk k −b − δ1 −b + δ1
aı̈

i
remarquons que wk = e n = wk et posons z1 = et z2 =
lM

2a 2a
2π  ou
i
de

w=e n −b − δ2 −b + δ2
α z1 = et z2 =
he

n−1
√ i
 n−1 2a 2a
wk
X X
Alors zk = n r.e n
C

k=0 k=0
Exercice n◦ 21
r

n−1 α  n−1 
X 1 − wn 
pa

X √ i
zk = r.e n
n
Résoudre dans C les équations suivantes :
k=0 k=0
1−w

os

n−1
X 1. z 2 + z + 1 = 0.
Or wn = 1, donc
op

zk = 0
k=0 2. z 2 + (2 cos θ)z + 1 = 0, où θ ∈ R
Pr

3. z 2 + (2 + 3i)z − 2(1 − 2i) = 0


Propriétés 4. 2iz 2 + (1 − 5i)z − 2 + 4i = 0.
• Dans le plan complexe rapporté à un repère or- 5. z 2 − 2z + 4 = 0,
thonormé (O, −e→ −

1 , e2 ).
α 2πk  6. z 2 − 2iz + 1 = 0
√ i + √
Les images Mk de zk = r.e n n
n
sont sur le 7. z 2 + ( 3 + i)z + 1 = 0

cercle de centre O et de rayon R = n r.
• Les images Mk de zk forment un polygone régulier. 8. z 4 − (2 cos θ)z 2 + 1 = 0 avec θ ∈ R.

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Les Mathématiques en Terminale S 11 Nombres Complexes

Exercice n◦ 22 Remarques

On considère dans C l’équation (E) définie par : • On dit que p(z) admet une solution réelle si et
seulement s’il existe a ∈ R tel que z = a soit une
(E) : z 2 − (1 + 2i)eiθ z − (1 − i)e2iθ = 0 avec θ ∈ [0; π]. racine de p(z), i.e p(a) = 0
1. a. Montrer que z1 = ieiθ est une solution de • On dit que p(z) admet une solution imaginaire pur
(E). Déterminer l’autre solution z2 de (E). si et seulement s’il existe b ∈ R∗ tel que z = ib soit
b. Écrire z1 et z2 sous sous la forme exponen- une racine de p(z) , i.e p(ib) = 0
tielle.
π Propriétés

80
c. Pour θ = , écrire z2 sous la forme
3 Soit p(z) un polynôme à coefficient réels , alors
trigonométrique. En déduire la valeur ex- p(z) = p(z)

41

acte de cos( ).
12 Preuve

0
n

88
ak z k
X
2. Dans le plan complexe muni d’un repère or- Soit p(z) =
thonormal (o; → −u ,→
−v ), on considère les points k=0

06
A, B, C et D d’affixes respectives : zA = 2, n
ak z k
X
zB = 2 − eiθ , zC = ieiθ et zD = (1 + i)eiθ alors p(z) =

2)
k=0

24
a. Déterminer et construire l’ensemble des n
X
points B lorsque B décrit [0; π]. ak z k

(+
=
c. Montrer que le quadrilatère ABCD est un k=0
parallélogramme. n
l:
=
X
ak z k
Té
3. Montrer que le nombre complexe z tel que k=0
z−i
= eiθ est un réel que l’on déterminera. Or tous les ak sont des réels, alors ak = ak
I,

z+i
B

n
ak z k = p(z)
X
donc p(z) =
A

5. Équation de degré supérieur à 2 dans C k=0


K
A

Soit le polynôme de degré n suivant :


n
ck

ak z k = a0 + a1 z + · · · + an z n Propriété :
X
p(z) =
aı̈

k=0 Soit p(z) un polynôme à coefficients réels. Alors si z0


lM

• La connaissance d’une racine z1 de p(z) permet de est une racine de p(z), alors z0 l’est aussi.
le factoriser sous la forme :
de

p(z) = (z − z1 )q(z) où q(z) est un polynôme de degré Preuve


he

n − 1. Soit à résoudre une équation complexe de degré 4 de


C

la forme az 4 + bz 3 + cz 2 + bz + a = 0, avec a , 0.
• La connaissance de deux racines z1 et z2 de p(z)
r

permet de le factoriser sous la forme : On a :


pa

p(z) = (z − z1 )(z − z2 )q(z) où q(z) est un polynôme az 4 + bz 3 + cz 2 + bz + a = 0


de degré n − 2 b a
os

⇐⇒ z 2 az 2 + bz + c + + 2 = 0

• La connaissance de β-racines (0 ≤ β ≤ n) z z
op

z1 , z2 · · · , zβ de p(z) permet de le factoriser sous la 1 1


⇐⇒ a(z 2 + 2 ) + b(z + ) + c = 0, z , 0
Pr

forme : z z
1 2 1
p(z) = (z − z1 )(z − z2 ) · · · (z − zβ )q(z) où q(z) est un ⇐⇒ a[(z + ) − 2] + b(z + ) + c = 0, z , 0
polynôme de degré n − β. z z
1 2 1
N.B: ⇐⇒ a(z + ) + b(z + ) + c − 2a = 0, z , 0
z z
La détermination du polynôme q(z) se fait soit par Alors en effectuant le changement de variable en
la méthode des coefficients indéterminés, soit par la posant Z = z+ 1 , l’équation az 4 +bz 3 +cz 2 +bz+a = 0
méthode de la division euclidienne ou soit par la z
méthode de Hörner est équivalente à : aZ 2 + bZ + c − 2a = 0

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Les Mathématiques en Terminale S 12 Nombres Complexes

Exercice n◦ 23 IV. Nombres complexes et transforma-


Soit le polynôme complexe défini par :
tions du plan
p(z) = z 3 + 9iz 2 + 2(−11 + 6i)z − 4(12 + 4i) Le plan complexe P est rapporté à un repère or-
thonormé (O; −
e→ −

1 , e2 ).
1. Montrer que l’équation p(z) = 0 admet une Soit f l’application de P dans P qui à tout point M
racine réelle z0 que l’on déterminera. d’affixe z associe le point M’ d’affixe z 0 .

2. Déterminer les complexes a, b, et c tels que Notez bien :

80
p(z) = (z − z0 )(az 2 + bz + c)
♠ Pour donner l’expression analytique d’une trans-

41
3. Résoudre dans C, l’équation p(z) = 0. formation complexe dont l’écriture complexe est con-
nue, on pose : z = x + iy et z 0 = x0 + iy 0

0
88
Exercice n◦ 24 ♠ Une application f admet des points double ou in-
variants si f (M ) = M

06
Soit f un polynôme défini par

2)
f (z) = z 3 − (3 + 7i)z 2 + 3(−4 + 5i)z + 18 + 4i A/ Transformations complexes directes

24
f est une transformation complexe directe si son
1. Montrer que l’équation f (z) = 0 admet une so-

(+
écriture complexe est telle que : f : z 0 = az + b.
lution imaginaire pur z0 = ib, b ∈ R∗

2. Résoudre dans C l’équation f (z) = 0.


l:
1. Translation
Té
a. Définition
I,

Exercice n◦ 25 f est une translation complexe de vecteur → −


u non nul,
B

d’affixe z −
→ = b (b , 0) si et seulement si f : z0 = z + b
A

u
Soit le polynôme g à variable complexe z, tel que :
K

g(z) = 2z 4 − 6z 3 + 9z 2 − 6z + 2. b. Élément caractéristique d’une translation


A

1. Déterminer les les nombres a, b, c tels que l’on Une translation est caractérisée par son vecteur →

u
ck

2 1 2 1 d’affixe z −
→ = b.
ait : g(z) = z a(z + ) + b(z + ) + c .
aı̈

u
z z
lM

2. Résoudre dans C, l’équation : 2z 2 − 6z + 5 = 0. c. Points invariants par une translation


de

Aucun point n’est invariant par une translation


3. En déduire les solutions dans l’ensemble C,
he

1
l’équation g(z) = 0, on posera t = (z + ).
z Exercice n◦ 26
C

4. Le plan complexe C est rapporté au repère or-


r

thonormal direct (0 ; →

u ,→−
pa

v ). Soit f une transformation du plan dans le plan définie


On considère les points A, B, C et D, d’affixes par son expression complexe suivante :

1
respectives zA = 1 + i, zB = 1 − i, zC = (1 − i) f : z 0 = z + 1 − i.
os

2
op

1
et zD = (1 + i). 1. Montrer que f est une translation.
2
Pr

a. Montrer que les points O, D et A sont 2. Déterminer l’affixe de son vecteur →



u.
alignés. 3. Donner l’expression analytique de f.
b. Montrer que le point C est milieu du seg-
ment [OB].
Exercice n◦ 27
c. Calculer le module et un argument du nom-
zA − zO Le plan complexe est muni du repère orthonormé
bre complexe H = .
zB − zO (O; →
−u ,→

v ). Soit A et B deux points d’affixe respec-
d. Déduire la nature du triangle AOB. tives 2 − i et 5 + 3i.

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Les Mathématiques en Terminale S 13 Nombres Complexes

−−→
1. Calculer l’affixe du vecteur AB . 3. Rotation
2. Déterminer l’expression complexe de la transla- a. Définition
−−→
tion t de vecteur AB . Soit f : z 0 = az + b est transformation complexe.
3. Donner l’expression analytique de la translation f est une rotation si et seulement si a , ±1 ; a ∈ C∗
t. et |a| = 1

2. Homothétie b. Expression complexe d’une rotation


a. Définition Soit M , M 0 et Ω des points d’affixe respectives z, z 0

80
et zΩ et θ un nombre réel.
f est une homothétie de centre Ω et de rapport

41
Soit f la rotation de centre Ω et d’angle θ
k ∈ R∗ − {1} si z 0 − zΩ = k (z − zΩ ) ou

0
On a :

88
z 0 = kz + (1 − k)zΩ . 
ΩM 0 = ΩM

En posant k = a et b = (1 − k)zΩ ; on a : z 0 = az + b

06
−
−−→ −−−→ 
où a ∈ R∗ − {1}.  ΩM ; ΩM 0 = θ[2π]

2)
 0
 z − zΩ = eiθ

24
b. Éléments caractéristiques d’une homothétie 
 z−z

(+

Une homothétie est caractérisée par son rapport =⇒  0
z − zΩ
 
arg = θ[2π]

b

k = a et son centre Ω a pour affixe zΩ = . l: z − zΩ
1−a
z0 − z
Té

= eiθ ⇐⇒ z 0 − zΩ = (z − zΩ )eiθ
Remarques z − zΩ
I,

⇐⇒ z 0 = eiθ z + (1 − eiθ )zΩ .


B

? Si k = 1, alors h (Ω; 1) = Idp (Identité du plan).


A

iθ iθ
? Si k = −1, alors h (Ω; −1) = SΩ ( symétrie cen- En posant e = a et b = (1 − e )zΩ , on a la forme
K

trale). z 0 = az + b où a ∈ C∗ \ {−1; 1} tel que |a| = 1.


A
ck

Exercice n◦ 28 Remarques
aı̈

? Si θ = π, la rotation r(Ω;θ) est une symétrie centrale


lM

Soit h une transformation plane définie par :


de centre Ω.
h : z 0 = 3z + 2 − i.
de

? Si θ = 0, la rotation r(Ω;θ) est l’identité du plan.


1. Montrer que h est une homothétie.
he

c. Éléments caractéristiques d’une rotation


C

2. Déterminer les éléments caractéristiques de


l’homothétie h. Une rotation r d’écriture complexe z 0 = az + b est
r
pa

caractérisé par :
3. Donner l’expression analytique de la translation son angle θ tel que : θ = arg(a)[2π] et son centre Ω

de l’homothétie h. b
os

d’affixe zΩ = qui est l’unique point invariant.


1−a
op

Exercice n◦ 29
Exercice n◦ 30
Pr

Le plan complexe est muni du repère orthonormé


(O; →

u ,→

v ). Soit A un point d’affixe zA = 1 + 2i. Soit f une transformation
√ ! du plan dans le plan définie
0 1 3 √
1. Déterminer l’expression complexe de par : f : z = 2 + i 2 z + 1 − i 3.
l’homothétie h de centre A et de rapport
1 1. Montrer que f est une rotation.
k=− .
2
2. Déterminer les éléments caractéristiques de f .
2. Donner l’expression analytique de la translation
h. 3. Déterminer son expression analytique.

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Les Mathématiques en Terminale S 14 Nombres Complexes

Exercice n◦ 31 c. Similitude plane directe particulière

Le plan complexe est muni du repère orthonormé Soit f une similitude plane directe d’écriture com-
(O; →

u ,→

v ). Soit A un point d’affixe zA = −3 + 2i. plexe z 0 = az + b.
• si a = 1; on a : z 0 = z +b, alors f est une translation
1. Déterminer l’expression complexe de la rotation de vecteur → −
u d’affixe b.
π
R de centre A et d’angle de mesure − . • si a , 1 ; |a| = 1 et θ , 0[2π], alors f est une rotation
2
de centre Ω et d’angle θ.
2. Déterminer l’expression analytique de la rotation • si |a| , 1 et θ ≡ 0[2π], alors f est une homothétie

80
R. de centre Ω et de rapport k.

41
• si a = −1; on a : z 0 = −z + b, alors f est une

0
5. Similitude plane directe symétrie centre de centre Ω.

88
• si a = 1 et b = 0 on a : z 0 = z, alors f est une
a. Définition

06
identité.
f : z 0 = az + b est une similitude plane directe si et

2)
seulement si a ∈ C∗ \ {−1; 1} , b ∈ C et |a| , 1

24
Exercice n◦ 32

(+
b. Éléments caractéristiques d’une similitude plane Le plan est rapporté à un repère orthonormé
directe (O; →−
u ,→
− l:
v ). Soit A, B, C et D quatre points du plan
Té
d’affixe respectives 3 − 2i; 6 + 4i; −3 + i et 7i. On
La similitude plane directe f d’écriture complexe :
désigne S la similitude plane directe de centre C, de
√ π
I,

0
z = az + b, est caractérisée par : rapport 2 et d’angle de mesure [2π].
B

4
? son rapport k tel que : k = |a|;
A
K

? son angle θ tel que : θ = arg(a)[2π]; 1. Montrer que l’écriture complexe de S est :
A

b z 0 = (1 + i)z + 1 + 3i.
? son centre Ω d’affixe zΩ = .
ck

1−a
aı̈

2. Déterminer l’expression analytique de S.


lM

Remarques :
3. Déterminer l’affixe du point E image du point
de

? soit f la similitude plane directe de centre Ω, D par S.


he

d’angle θ et de rapport k > 0


C

L’expression complexe de f est donnée par :


Exercice n◦ 33
r

 
z 0 − zΩ = keiθ (z − zΩ ) ou z 0 = keiθ z + 1 − keiθ zΩ .
pa

 
En posant a = keiθ et b = 1 − keiθ zΩ , on retrouve Soit f la transformation ponctuelle qui à tout point

os

la forme z 0 = az + b. M du plan associe le point M’ définie par :



op


? Soit f une transformation complexe. A ; B ; C et D  0 1 3 3
x = − x − y+

Pr


quatre points du plan complexe tels que f (A) = B et 2 2 2
√ √
y 0 = 3 x − 1 y − 3
f (C) = D. L’écriture complexe de f est déterminer 


par : 2 2 2
 
f (A) = B zB = azA + b
=⇒ (S) 1. Déterminer l’affixe z 0 de M’ en fonction de celle

f (C) = D 
zD = azC + b de l’affixe de M.
En remplaçant les affixes des points A ; B ; C et D
dans le système (S), on trouve les complexes a et b. 2. En déduire la nature et les éléments car-
Ainsi, l’écriture complexe de f est : z 0 = az + b actéristiques de f

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Les Mathématiques en Terminale S 15 Nombres Complexes

6. Symétries particulières b. Éléments caractéristiques


a. Symétrie par rapport à un point Une similitude plane indirecte est caractérisée par :

Soit A, B et C trois points d’affixes respectives zA , • son centre Ω d’affixe zΩ = ab + b


zB et zC . 1 − aa
• son rapport k = |a|
A est le symétrique de B par rapport à C si et seule-
ment si zA = 2zC − zB . • son d’axe (D ) tel que :
(D ) = {M (z)/z 0 − zΩ = k (z − zΩ )}

80
b. Symétrie par rapport à l’origine du repère
c. Similitudes planes indirectes particulières
Soit M et M’ deux points d’affixes respectives z et z 0 .

41
? Symétrie orthogonale
M’ est le symétrique de M par rapport à l’origine si

0
S : z 0 = az + b est une symétrie orthogonale si et

88
et seulement si z 0 = −z.
seulement si, |a| = 1 et ab + b = 0.

06
B/ Transformations complexes indirectes ♣ Élément caractéristique

2)
Une symétrie orthogonale est caractérisée par son axe
1. Symétries orthogonales

24
(D ) qui est l’ensemble des points invariants défini par
Définition

(+
La symétrie orthogonale ou réflexion d’axe (D ) est (D ) = {M (z)/z = az + b} par S.
l’application du plan dans lui même qui associe à tout l:
Té
point M, le point M’ tel que (D ) soit la médiatrice ? Symétrie glissée
du segment [MM’].
I,

S : z 0 = az +b est une symétrie glissée si et seulement


B

si, |a| = 1 et ab + b , 0
A

Symétries particulières
♣ Éléments caractéristiques
K

a. Symétrie par rapport à l’axe réel


A

Une symétrie orthogonale est caractérisée par :


ck

Soit M et M’ deux points d’affixe respectives z et z0. • son vecteur de la translation →



u tel que :
M’ est le symétrique de M par rapport à l’axe réel si
aı̈

1 
et seulement si z 0 = z. z− = ab + b .
lM


u
2
• son axe de symétrie (D ) tel que :
de

b. Symétrie par rapport à l’axe imaginaire 1


  
(D ) = M (z)/z 0 − z = ab + b .
he

2
Soit M et M’ deux points d’affixe respectives z et z 0 .
C

M’ est le symétrique de M par rapport à l’axe imag-


inaire si et seulement si z 0 = −z.
Exercice n◦ 37
r
pa

Déterminer puis caractériser chacune des transforma-


c. Symétrie par rapport à la première bissectrice tions suivantes :


os

1. f1 : z 0 = z + 2i + 1, 2. f2 : z 0 = −z + 3i
op

Soit M un point du plan complexe d’affixe z = a + ib.


M’ d’affixe z 0 est le symétrique de M par rapport à √
Pr

la première bissectrice si et seulement si z 0 = b + ia. 3. f3 : z 0 = 3z +2i+1, 4. f4 : z 0 = ( 12 −i 23 )z +i


√ √
5. f5 : z 0 = (1+i)z+2i, 6. f6 : z 0 = i 2z−2+2i 2
2. Similitude plane indirecte √ √
7. f7 : z 0 = ( 12 + i 23 )z + 1 − i 3
a. Définition √
8. f8 : z 0 = ( 21 + i 3 3
2 )z + 2 − i 32
Soit S : z 0 = az + b où a ∈ C∗ \{−1; 1} et b ∈ C
S une est une similitude plane indirecte si et seule-
ment si |a| , 1

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