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1 PRÉSENTATION

tennis, sport pratiqué en salle (indoor en anglais) ou en plein air (outdoor) dans lequel 2 ou 4 joueurs
se renvoient une balle à l’aide de raquettes sur un terrain, appelé court, partagé par un filet.

2 LES PRINCIPALES RÈGLES DU TENNIS


2.1 Le court
Le court de tennis, identique pour les matchs en simple ou en double, comporte un couloir de chaque
côté et des lignes blanches qui délimitent le court et les carrés de service utilisés en simple ou en
double. La surface de jeu en simple est de 23,77 m sur 8,23 m ; en double, les deux couloirs sont pris
en compte et les dimensions atteignent 23,77 m sur 10,97 m. Le filet mesure 1,07 m de haut sur les
côtés et 0,91 m au centre.

Les courts de tennis peuvent être en gazon, en terre battue, en ciment ou matière synthétique
(teraflex notamment, comme pour le tournoi de Bercy à Paris).

2.2 Le matériel

2.2.1 La balle

La balle de tennis est une enveloppe en caoutchouc remplie d’air et recouverte de feutre ; elle mesure
de 6 cm à 7 cm de diamètre, pèse de 57 g à 58 g et possède une vitesse variable selon la pression et
l’épaisseur du caoutchouc et du feutre.

2.2.2 La raquette

La raquette, qui pèse entre 400 g et 450 g, est en bois (essentiellement du frêne), en aluminium, en
graphite ou autre matériau composite. Elle se compose d’une partie ovale ou ronde avec un cordage
en boyau ou en nylon particulièrement résistant ; le manche est généralement recouvert de
caoutchouc ou de cuir pour une bonne prise en main.

2.2.3 L’équipement vestimentaire

Les joueurs de tennis portent des vêtements légers qui, par tradition, sont blancs, bien que les tenues
colorées soient aujourd’hui courantes ; l’Américain Andre Agassi est l’un des premiers à avoir remis en
cause, à la fin des années 1980, les codes vestimentaires alors prédominants en pénétrant sur les
courts vêtu d’un short ou de maillots de couleur jusque-là inédites. De grandes marques d’équipement
sportif « habillent » et sponsorisent les meilleurs joueurs et joueuses du monde.

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2.3 Les principaux coups du tennis

2.3.1 Le service

2.3.1.1 Le serveur et le relanceur

Les points disputés commencent par un service. Le joueur qui engage (le serveur) envoie la balle dans
le carré de service adverse en la faisant passer au-dessus du filet. Le joueur qui réceptionne la balle
est le relanceur. Au début d’un match de tennis, on détermine le joueur ou l’équipe qui exécute le tout
premier service à pile ou face ou à l’aide du manche d’une raquette.

2.3.1.2 Les fautes possibles au service

Le serveur, placé derrière la ligne de fond de court, doit envoyer la balle dans le carré de service
adverse diagonalement opposé. Il lance d’abord la balle puis la frappe avant qu’elle ne touche le sol.
Si, à la première tentative, la balle arrive dans le filet, en dehors du carré de service diagonalement
opposé ou en dehors du camp adverse, celle-ci est considérée comme faute ; le joueur dispose alors
d’une « deuxième balle ». Si le joueur commet une faute à la deuxième tentative, il est sanctionné par
une « double faute » et c’est l’adversaire qui marque le point. La faute de pied intervient si le serveur
pose un pied dans le court avant la fin de son service, autrement dit avant d’avoir touché la balle avec
sa raquette. Lorsque la balle touche le haut du filet mais parvient tout de même dans le carré visé,
elle est dite let et le joueur peut servir à nouveau. Lorsque l’adversaire ne parvient pas à renvoyer la
balle du serveur, il s’agit d’un service gagnant ou d’un ace s’il ne peut la toucher.

2.3.1.3 L’alternance des serveurs

Lorsque le premier point a été marqué, le service doit être exécuté depuis le carré de service gauche
vers le carré de service gauche de l’adversaire ; le service change de côté après chaque point jusqu’à
la fin du jeu. L’adversaire devient serveur au jeu suivant et cette alternance se poursuit de la même
façon pendant toute la manche. De même, en double, l’un des 2 joueurs de l’une des 2 équipes sert,
puis l’un des 2 joueurs de l’équipe adverse, puis le second joueur de la première équipe à avoir servi,
enfin le second joueur de la seconde équipe.

2.3.2 Les coups fondamentaux : le coup droit, le revers et les effets

Les coups de base du tennis sont le coup droit et le revers, qui peuvent être distillés en imprimant
divers effets.

Le coup droit consiste à frapper la balle avec la face intérieure de la raquette. Le revers consiste, par
l’intermédiaire d’une prise de raquette inverse, à exécuter un coup du côté opposé au coup droit. Pour
le coup droit, le manche de la raquette est légèrement incliné vers la gauche (ou vers l’intérieur, chez
un droitier) ; plus l’inclinaison est importante, plus l’effet « lifté » — la balle tourne rapidement sur
elle-même, prend une trajectoire bombée au-dessus du filet et « gicle » vers le haut et vers l’extérieur
lorsqu’elle rebondit — est efficace. À l’inverse, une raquette inclinée vers l’extérieur permet d’imprimer

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un effet dit « coupé » à la balle, dont la vitesse est ralentie et le rebond amoindri (moins haut)
lorsqu’elle touche le sol. La réalisation de ces effets requiert toutefois une excellente maîtrise
technique pour en garantir l’efficacité. Certains joueurs conservent une prise de raquette quasiment
identique pour tous les types de coups, qu’ils exécutent alors sans effet, « à plat ».

Enfin, la prise de raquette à deux mains, utilisée surtout pour le revers — le Français Fabrice Santoro
et l’Américaine Monica Seles figurent parmi les seuls joueurs de tennis au monde à tenir leur raquette
avec les deux mains tant en coup droit qu’en revers —, accroît la puissance des coups ; popularisée
par le Suédois Björn Borg dans les années 1970, cette technique a depuis été utilisée par de
nombreux joueurs qui, parfois, l’ont adoptée dès leur plus jeune âge ; tenir une raquette à deux mains
du côté opposé étant en effet plus aisé qu’à une seule main.

2.3.3 Les autres coups

Parmi les autres coups du tennis figurent le « lob » (balle très haute envoyée, le plus souvent avec un
effet lifté, au-dessus de l’adversaire monté au filet), le « smash » (frappe particulièrement puissante
et très difficile à rattraper, appliquée le plus souvent sur un lob), « l’amorti » (frappe « coupée » de
bas en haut, le plus souvent peu puissante, qui envoie la balle juste derrière le filet), la
« volée » (balle frappée avant le rebond lorsque le joueur se trouve près du filet ou en phase
d’approche) et la « demi-volée » (la balle est frappée très bas, dès qu’elle a touché le sol,
immédiatement après le rebond).

2.4 Les fautes

Après un service réussi, la balle peut être jouée en tout point du camp opposé jusqu’à ce qu’un des
joueurs ou une des équipes commette une faute. Il y a faute si un joueur ne peut renvoyer la balle
avant le deuxième rebond, s’il envoie la balle dans le filet ou en dehors du court, et s’il touche le filet.
Chaque faute vaut un point à l’adversaire.

2.5 Le décompte des points

2.5.1 Le jeu

Dans un jeu, s’il n’y a pas égalité, le premier point correspond à 15, le deuxième à 30, le troisième à
40 et le quatrième au gain du jeu. En cas d’égalité, à « 40 partout », le jeu continue jusqu’à ce qu’un
des joueurs marque 2 points consécutifs en plus de son adversaire ; le joueur qui marque le premier
de ces 2 points, et qui peut donc remporter le jeu au point suivant, dispose d’un « avantage ».

Dans les compétitions, le score du serveur est annoncé en premier. L’arbitre de chaise annonce par
exemple : « zéro-15 », « 30-15 » ou « égalité ». Pendant une manche, les joueurs changent de côté
après le premier jeu et après tous les jeux impairs ; cette règle s’applique aussi bien en simple qu’en
double.

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2.5.2 Le set

Généralement, 6 jeux permettent de gagner une manche mais, de la même façon qu’un jeu se gagne
avec 2 points d’avance, il faut au moins 2 jeux d’écart pour gagner une manche. Lorsqu’un joueur ou
une équipe a gagné 6 jeux et son adversaire 5, la partie continue jusqu’à ce qu’il y ait un écart d’au
moins 2 jeux entre les deux camps.

2.5.3 Le jeu décisif

Le système du jeu décisif (ou tie break en anglais) intervient cependant à 6 jeux partout, à l’exception
du dernier set (qui peut être le troisième ou le cinquième, selon le type de tournoi). Chaque joueur a
alors droit à 2 services consécutifs et le système numérique habituel est appliqué : le vainqueur est le
joueur qui totalise le premier 7 points, à condition qu’il ait au moins 2 points d’avance ; le cas
échéant, le jeu décisif continue. Le vainqueur d’un match de tennis est le joueur ou l’équipe qui gagne
le plus de manches sur les 2, 3 ou 5 manches disputées au total.

2.5.4 Le corps arbitral

Les compétitions professionnelles se déroulent en présence de 15 officiels : un juge-arbitre (ou arbitre


de chaise) qui annonce les points, assisté d’un arbitre, d’un juge de filet, de 2 juges de faute de pied
et de 10 juges de ligne.

3 HISTORIQUE ET COMPÉTITIONS
3.1 Histoire du tennis
Le tennis a probablement été inventé en 1873 par un officier de l’armée britannique, Walter
C. Wingfield. Bien qu’il ait revendiqué l’invention de ce jeu, qu’il avait baptisé sphairistiké (du grec
« jouer à la balle ») d’après un jeu de la Grèce antique, il s’est inspiré du jeu de paume pour créer un
sport de plein air, d’abord appelé lawn tennis (littéralement « tennis sur herbe ») puis tennis. Le mot
« tennis » vient du français « tenez ».

3.2 Les principales compétitions

3.2.1 Le Grand Chelem

3.2.1.1 Les tournois

La Fédération internationale de tennis (FIT) est créée en 1912. Depuis cette date, les tournois du
Grand Chelem — seules épreuves à se disputer sur une période de deux semaines, contre une
semaine pour les compétitions « courantes » — sont les plus importants d’une saison typique de
tennis : les Internationaux d’Australie ont lieu en janvier (au tout début de la saison) à Melbourne et
se jouent sur une surface rapide en synthétique ; les Internationaux de France se déroulent de la fin

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du mois de mai au début du mois de juin sur la terre battue (la surface la plus lente du circuit,
favorable aux joueurs de fond de court, devenus attaquants de fond de court depuis le début des
années 1990) à Roland-Garros (Paris) ; les Internationaux de Grande-Bretagne ont lieu au mois de
juillet à Wimbledon (près de Londres) et se disputent sur de l’herbe, surface rapide sur laquelle les
adeptes du service-volée sont particulièrement à l’aise ; enfin, les Internationaux des États-Unis se
déroulent à la fin du mois d’août sur le ciment de Flushing-Meadow à New York.

3.2.1.2 Les joueurs

Auparavant, un joueur devait gagner les 4 tournois la même année pour remporter le Grand Chelem ;
en 1982, la Fédération internationale de tennis a décidé que le Grand Chelem serait accordé après
4 victoires successives, peu importe qu’elles aient été acquises sur une ou deux années.

Seuls 6 joueurs ont remporté le Grand Chelem : chez les messieurs, l’Américain Don Budge (1938) et
l’Australien Rod Laver, qui l’a remporté à 2 reprises (1962 et 1969) ; chez les dames, les Américaines
Maureen C. Connolly (1953) et Martina Navratilova (1984), l’Australienne Margaret Court (1970) et
l’Allemande Steffi Graf (1988 et 1994). L’Américain Andre Agassi a quant à lui réussi une performance
unique depuis la création de l’ère Open en 1969, puisqu’il a remporté au moins une fois chacun des
4 tournois du Grand Chelem au cours de sa carrière, par conséquent sur 4 surfaces différentes.

3.2.2 Les épreuves par équipe : Coupe Davis et Fed Cup

Le premier Championnat du monde de tennis est organisé à l’occasion de la Coupe Davis, qui a lieu
tous les ans depuis 1900 et désigne la meilleure équipe masculine nationale du monde. La France a
remporté l’épreuve à 9 reprises, tandis que les États-Unis et l’Australie se sont imposés
respectivement 30 et 28 fois.

Créée en 1963 pour commémorer le 50e anniversaire de la Fédération internationale de tennis (voir
fédérations sportives), la Fed Cup regroupe chaque année, après une phase de tours éliminatoires
disputés dans trois zones géographiques — Amérique, Europe et Asie, Asie et Océanie —, les huit
meilleures équipes féminines du monde. La France a remporté l’épreuve à 2 reprises (1997 et 2003),
tandis que les États-Unis se sont imposés 17 fois.

3.2.3 L’ATP Tour et le WTA Tour

Outre les tournois du Grand Chelem et les épreuves par équipes, les joueurs et les joueuses
participent au cours d’une saison à de nombreux tournois organisés par l’ATP (Association des
tennismen professionnels) et la WTA (Women tennis Association) ; associés aux Masters Series
(anciennement Super 9), soit les 9 tournois les plus importants d’une saison régulière, ces épreuves
permettent d’établir un classement figé après les Masters qui concluent traditionnellement la saison et
auxquels participent les 8 meilleurs joueurs et joueuses de l’année.

3.2.4 Le tennis aux jeux Olympiques

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Le tennis figure au programme olympique dès les premiers Jeux d’été de l’ère moderne, en 1896 à
Athènes (Grèce). Toutefois, à la suite de controverses liées à la frontière de plus en plus floue entre
amateurisme et professionnalisme, il n’est plus une discipline olympique après les Jeux de 1924 à
Paris. Le tennis réintègre l’univers olympique à l’occasion des Jeux de 1988 à Séoul (Corée du Sud).

3.3 Les principales figures de l’histoire du tennis

3.3.1 Les joueurs

Aux côtés des vainqueurs du Grand Chelem précédemment cités, les principales figures de l’histoire du
tennis, soit les joueurs qui ont imprimé leur marque sur ce sport et contribué à son évolution, tant par
leur technique que leur charisme, sont : les Suédois Björn Borg, Mats Wilander et Stefan Edberg, les
Américains Tony Traber, Arthur Ashe, John McEnroe, Jimmy Connors, Andre Agassi, Jim Courier,
Michael Chang (plus jeune vainqueur des Internationaux de France en 1989) et Pete Sampras, le
Tchèque naturalisé américain Ivan Lendl, les Australiens Lewis Hoad, Ken Rosewall, John Newcombe,
Pat Cash, Patrick Rafter et Lleyton Hewitt, les Allemands Boris Becker et Michael Stich, l’Autrichien
Thomas Muster, les Espagnols Manuel Orantes, Emilio Sanchez, Sergi Bruguera (double vainqueur des
Internationaux de France en 1993 et 1994), Carlos Moya (vainqueur de la même épreuve en 1998 et
éphémère numéro un mondial en 1999) et Alex Corretja, l’Italien Nicola Pietrangeli, les Sud-
Américains Andres Gomez (vainqueur à Paris en 1990), Guillermo Vilas (titulaire de 4 tournois du
Grand Chelem obtenus entre 1977 et 1979), Marcelo Rios (premier numéro un mondial originaire de
ce continent en 1998) et Gustavo Kuerten (triple vainqueur à Roland-Garros en 1997, 2000 et 2001),
le Roumain Ilie Nastase (vainqueur de 2 tournois du Grand Chelem en 1972 et 1973), le Croate Goran
Ivanisevic (vainqueur à Wimbledon en 2001 en tant qu’invité par les organisateurs, son classement
ATP ne suffisant pas à l’intégrer aux 128 joueurs du tableau final) et les Russes Andrei Chesnokov,
Evgueni Kafelnikov (vainqueur de deux tournois du Grand Chelem en 1996 et 1999) et Marat Safin.

3.3.2 Les joueuses

L’Australienne Evonne Goolagong, les Américaines Billie Jean King, Chris Evert, Monica Seles, Jennifer
Capriati, Serena et Venus Williams et Lindsay Davenport, l’Argentine Gabriela Sabatini, l’Espagnole
Arantxa Sánchez Vicario et la Suissesse Martina Hingis ont contribué, dans le sillage des
« incontournables » et inaccessibles Martina Navratilova et Steffi Graf, à transformer le tennis féminin
en un sport plus engagé en termes physiques, plus spectaculaire et surtout plus populaire qu’il ne
l’était jusqu’à la fin des années 1970, cantonné à un rôle de « faire-valoir » du tennis masculin.

3.3.3 Les Français

La Fédération française de tennis, créée en 1920, regroupe environ un million de licenciés. De


nombreux Français se sont illustrés au plus haut niveau : les « Mousquetaires » — René Lacoste,
Henri Cochet, Jean Borotra et Jacques Brugnon —, François Jauffret, Patrick Proisy (finaliste à Roland-
Garros en 1972), Patrice Dominguez, Thierry Tulasne, Yannick Noah (dernier vainqueur français d’un
tournoi du Grand Chelem à Paris en 1983), Henri Leconte, Guy Forget, Arnaud Boetsch (vainqueur de

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la Coupe Davis en 1996), Cédric Pioline, Fabrice Santoro ou encore Sébastien Grosjean (premier
Français finaliste des Masters en 2001).

Chez les femmes, Mary Pierce, vainqueur des Internationaux d’Australie en 1995 et des
Internationaux de France en 2000, a succédé à Suzanne Lenglen, quasiment invincible dans les
années 1920, et à Françoise Durr, lauréate des Internationaux de Roland-Garros en 1967. Nathalie
Tauziat (finaliste des Internationaux de Grande-Bretagne à trente ans en 1998 et qui dispute en 2001
sa dernière saison professionnelle), Julie Halard-Decugis (également retraitée depuis 2001), Amélie
Mauresmo (finaliste à Melbourne en 1999) ou encore Sandrine Testud (régulièrement classée parmi
les 10 premières joueuses mondiales) figurent également parmi les meilleures joueuses de l’histoire
du tennis français.

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