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Chapitre 1

Notre histoire commence en l'an 347, pendant la bataille de Fairë, dans


la plaine des esprits. C'était une plaine étincelante, d'un vert magnifique,
avec des fleurs comme l'on ne voyait nul part ailleurs. Des falaises qui
donnaient naissance a des cascade d'un bleu azur, des animaux de toutes
sortes. Mais c'était bien avant l'arrivé des Dorlaïs, et de leurs maudites
guerre. Tout ça pour un objet que l'on ne savaient même pas si il existait.
Le père de Vorth, Eliande, qui était le commandant de la cavalerie
elfique, qui comptais a peu près 30 000 elfes, faisais face a plus de 50
000 Dorlaïs.
Ce jour là, le chef des Dorlaïs, Tinwë, massacra plus de 10 000 elfes a
lui seul. Eliande voulais sa tête a tout prix, car celà aurais pu arrêté cette
bataille, ou du moins ralentir l'inévitable.

Vorth alors, n'était qu'un enfant de 8 ans. Il ne pouvais pas aidé dans
cette bataille... C'était impossible pour un enfant de 8 ans. Il se mit a
pleuré, il était angoissé et triste. Il ne voulais pas voir son père, lui qui
était le seul a l'avoir toujours aimé et jugé comme un être hors du
commun, mourir au mains d'un vil Dorlaïs. Tout d'un coup, sortie de ses
larmes, une fumée magique coula de ses yeux, empoisonnant tout le
champ de bataille, y compris les elfs et surtout son père qui se trouvais
sur ce champ de bataille. Les Dorlaïs, suffoqués un a un mais p as
Tinwë car il fuyait la bataille tel un couard.

Eliande, regarda les Dorlaïs suffoqués. Il lanca un regard a son fils, il


sourit et pleura en même temps, il s'écriat : "Je le savais ! Mon fils sera
celui qui sauvera ce monde ! Il est l'élu de notre créateur ! Puisse Ëala te
donner la force d'affronté ce monde !". Il souria, une larme sur la joue et
de ces dernières forces il chuchota : "Mon fils je suis désolé ... Je ne
pourrais être là pour voir ton pouvoir s'éveillé et te voir détruire
Angamando ...".

Vorth arrêta de pleuré quand le silence ce fît entendre. Il regarda le


champ de bataille... Et il ne vit que la mort.
Il ne savais pas ce qui venez de ce passé, il avais peur.
Puis tout a coup, derrière lui des bruits de sabot se fit entendre. Il se
retourna ... C'était Tinwë.
Il se figa, le regarda d'un air terrifié alors que Tinwë rié de la mort des
siens.

Tinwë lui lanca : "HAHAHAHAHAH ! Mon petit tu es très étrange, tu


as réussis a tué tout le monde ! Même ton père ! Merci espèce d'idiot, tu
me permet de pouvoir tué tout ton peuple. Mais toi ... Je pense que tu
pourrais me servir."
La lueur d'espoir dans les yeux de son père avant de mourrir, ne se
refletta pas dans les yeux de son fils. Non, c'était le désespoir. Il se
demanda pourquoi il lui disais ça, il n'avais pourtant rien fait ... N'est ce
pas ?

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