Chapitre 0 : Le rituels des 4

Cela fait 30 ans que la guerre continue. Je suis la personne qui à pour rôle de comptabilisé les
changements drastiques de la population du à cette guerre, dans le royaume d’Isbarde. J’essai de
résonné le roi d’arrêté cette guerre, 40% des populations humaine disparue et la totalité des nains,
notre rouage principale du royaume disparue du à la destruction de leur domaine et de leur
surexploitation dans les rangs de soldat.

Malgré ces chiffres plus qu’alarment, le roi ne m’écouta pas. Son obsession pour de cette guerre est
la même que les 3 autres rois utilises comme argument pour continué cette boucherie. C’est « l’œil
de Galno », une pierre découverte qui, d’après les maitres archivistes est un artefact qui permet de
canalisé de la magie de manière exponentielle. Sauf que les rois sont persuadé que chacun d’entre
nous a l’artefact car, lors de sa découverte, l’œil vu disparu.

Je ne suis que l’un des conseillés du roi, ma voie n’a pas de vraie impacte sur le point de vue du roi.

Un jour, avant de rentré chez moi, le maitre archiviste d’Isbarde, bras droit du roi, m’adressa la
parole.

- Bonjour, vous êtes bien Agnor ? Dit le maitre archiviste

- Je répondit : Oui, je suis Agnor. Que me vaut cette honneur maitre archiviste ?

- Parfais. Venez avec moi, j’ai à vous parlez en privé.

A peine le temps d’ouvrir ma bouche pour parler que je fus téléporté dans ses quartiers du château.
Les étagères tout autour de moi était remplie de grimoire en tout genre. L’Alchimie, enchantement,
magie en tout genre, tout y était. Le maitre archiviste, assis sur son fauteuil avec un livre s’auto
écrivant avec une plume sur sa table de chevet.

- Quesque c’est ce livre, maitre archiviste. Pourquoi vous ne l’écrivait pas vous-même ? Dit
Agnor

- Le maitre archiviste répondit : Avant de te répondre, tu va répondre à mes question puis à

ma demande qui vas en suivre.

- Ok, je vous écoute.

- 1er question : Est-tu contre ou pour continuer la guerre

- Je suis pou…

- STOP ! Inutile de me mentir, si tu me mens et que tu ne me fais pas confiance, tu n’auras pas
ta réponse par rapport au livre.
J’avais oublier que le maitre archiviste, avant de parler à quelqu’un, lui met un sort pour savoir si il
ment ou pas. J’en avais entendu parler par rapport au conseiller du maitre archiviste, mais jamais j’ne
n’ai fait l’expérience. Si je me souvient de ce que ma dit l’un de ses conseiller, il ne peut pas lire dans
nos penser mais peut savoir si on ment ou pas.

- Désolé maitre, j’ai l’habitude de changer mes pensées pour quelle convienne au roi. Dit
Agnor

L’archiviste me regarda d’un grand sourire, en me disant :

- Ne t’inquiète pas, je sais que tu veux de rendre fidèle au roi. Et pour ce livre, je te le dirai pas
car tu le saura.

Il m’avais offert un verre de vin à la fin de notre échange et décida de me renvoyé à l’entrée du
château. Il avait l’habitude de faire ça à chacun de ces rendez-vous ou lors des grands banquets. Je
l’ai bu sans me poser de question et partie chez moi.

Lors de la soirée, j’était seul à écrire un livre sur cette guerre, cela permet d’archiver les comptes de
perte en soldat au cours des batailles. Mais elles seront surement ranger quelque part sous le
château à prendre la poussière pour l’éternité. En écrivant les dernières pages du livre, je revis un
nom qui ma redressé tout les poils de mon corps, Balik Agnor, mon père, c’était un nain envoyé au
front depuis 6 mois. Ma plus grande peur de le voir sur la liste c’est révéler réalité. Je suis maintenant
orphelin d’un père nain, mort au front et d’une mère, mort lors de mon accouchement. Mon père
me disait toujours à quelle point j’avais la forme de visage de ma mère.

Le lendemain, de retour au château, je devais ranger l’archive des comptes au sous-sol pour ces 6
dernière années. Environ 2500 pages de nom, sa parai beaucoup mais à coté de ce que j’ai déjà fait,
c’est peu.

Lors de mon entrée dans le sous-sol, la section où j’avais l’habitude de ranger mes archives était vide.
J’ai posé le livre sans cherché à savoir pourquoi. Je suis ressortie du sous-sol et j’ai continué mon
chemin.

Je suis ressortie du sous-sol, sans me posé de question. C’est sûrement un changement

d’organisation des rangements.

Sur le chemin entre le sous-sol et mon bureau, il y avait le maitre archiviste, dos à moi, m’attendent
au bout du couloir. Lors de mon approche, le maitre archiviste se retourna, avec un léger sourire
sournois. A peine le temps de le regarder, je fus téléporté dans un endroit inconnue, sombre, froid et
humide. 3 autres personnes, autant perdu que moi, été présente.

Ce que j’ai remarqué du premier coups d’œil, on été tous des hybrides mi-humain. Le premier étais
un mi-humain mi-Aïfé, des êtres humanoïdes ayant la ressemblance de corbeau qui avait lieux
domicile à l’est du continent. Le deuxième étais à moitié un elfes, ce sont des êtres ayant un peau de
teinte grise et ayant des cheveux noir ayant une légère teinte de la couleur de leur yeux qui avait des
couleurs froide comme le violet ou le bleu. Le dernière étais un mi-léviathan, c’est un peuple
aquatique vivant dans les archipels du sud, avec un climat unique. Ils sont recouvert en partit
d’écaille et n’ont pas de cheveux. Puis, il y a moi, mi-homme mi-nain, cela ce remarque avec ma petit
taille.
Un groupe d’une dizaine de mage en robe blanche nous entourai. Les mages de mon coté avait des
bijoux couverts de rubis d’un rouge écarlate. Du coté de l’elfe, les pierres étaient des améthystes
d’une couleur violet pur. Du coté du léviathan, les pierres étaient des saphirs qui reflétaient la
lumière de la même manière que l’océan lors des pleines lunes. Du coté de l’Aïfé, ses pierres était de
l’obsidienne dont la noirceur était plus sombre que la nuit elle-même. Le groupe de mage se mire à
chanter.

- Maitres archivistes, savants des magies, venez a nous pour accomplir le rituel. Archiviste Feu,
Archiviste Air, Archiviste necromantique et Archiviste Eaux

D’un coup, 4 mages on apparue devant nous, ils avaient la même tenue que les autres mais avec une
robe noir et des gemmes d’une légère teinte différent. J’ai reconnue l’un d’entre eux, ce fut le maitre
archiviste.

- Bonjours, je sais que vous êtes très confus en ce moment. Je vais vous expliquer pourquoi
vous êtes là. Dit le premier mage

- Nous sommes les maitres archivistes de chaque royaume, mais cela n’a pas réellement
d’importance. Vous ici, vous vivez vos derniers instants, nous nous excusons pour cela. Dit le
deuxième mage

Avec ces phrases, j’ai commencé à paniqué, mais une force nous retenais au sol et nous empêché de
bougés et de parler. Mon cœur commence à battre vite.

- Nous sentons, vos cœurs battes de plus en plus fort, mais soyez rassuré, cela ne vas durée
que quelque minute et cela sera pas douloureux. Dit le troisième mage.

Mon maitre archiviste, à commencé à parler, expliquent la raison de notre présence.

- Vous 4, vous venez des 4 royaumes différents. Vous avez chacun 2 clés dans votre sang pour
arrêté la guerre. Les clés du sang elfes, du sang léviathan, du sang Aïfé et du sang Nain. Notre
rituel ne peut se faire que avec 4 personnes. Et donc 4 clé devait être dans vos sang, les clés
du sang Draconiques de chacune des famille royal.

Le maitre commença à me regardé, et à ma dire :

- Aegnor… Ta mère serait si fière de toi, tu as son sang. Vous avez les sangs permettant le
rituel qui mettra enfin fin à cette guerre. Malgré que ta mort soit nécessaire pour le rituel,
elle ne sera pas inutile.

Les 4 mages ce sont mit en rond autour de nous, ils avaient chacun une pierre dans leur main, de la
couleur de gemme de leur robe, elles avaient chacun d’étrange symbole sur eux.

Les 4 mages avec leurs adeptes se mire a récité un texte en langage celtiques qui permet l’invocation
des sorts.

- Par Loann, par Dubhar, vous, dieux créateur et rival. Nous somme ici, pour cette offrande. Le
nain de sang du feu, l’elfe de sang de mort, le léviathan de sang des mers et Aïfe de sang des
airs. Ceci regroupe vos créations, vos œuvres. Vos pierres primaire sont là , accomplissez
votre rêve commun, celui de récupérer ce qui à été volé à vous 2. Accomplissez le rituel des
4!
Lorsque que ce récit à pris fin, mon corps et des 3 autres personnes se mire à se fissurer en laissant
échappé un trainé de sang émettant une lumière différente pour nous tous. Mon sang émettait une
lumière ressemblant à la lumière d’un feu si puissant que nul tempête n’aurai put l’arrêter. Mon
corps était rempli d’une douleur si intense qu’elle est indescriptible. Mon sang et celui des autres
était entrain de lévité et aller vers le centre au niveau d’une sphère en diamant. Le sang de l’elfe
avait une teinte violette comparable à des améthystes, celui du léviathan avait une couleur azur
comparable au côte que l’on trouve dans leur région d’origine et celui de l’Aïfé avait une teinte
blanche comme un soleil d’été en pleine journée.

Lorsque notre sang avaient atteint la sphère de diamant, les 4 pierre tenue par les mages se sont mis
à lévités pour aller en direction de la sphère de diamant.

Quand les pierres se mire à se rapprocher, l’énergie qui en émanait commencé à évoluer de manière
fulgurant, mon corps, toujours entrain de vider de son sang pour alimenter ce rituel sentait cette
énergie et moi, j’étais effrayé. L’un des 4 mages se mit à parler.

- Le rituel marche ! Je n’y en crois pas mes yeux. A nous le cristal du crépuscule, à nous le …

Avant qu’il est le temps de terminé sa phrase, tous les éléments du rituels fut rassembler. Les pierres
ont touché la sphère et puis, plus rien. Mon seul souvenir de ce qui passé et d’avoir senti mon sang
être évaporé, ne m’appartenant, je n’étais plus rien. Seul ma tête décapité et déchiqueté était au sol.
Mon touché ne servait à rien, je ne sentais que des brûlures. Mon ouïe n’entendais qu’un sifflement,
surement dut à une explosion. Et ma vue, seul mon œil droit était là, je pouvais voir la scène de
désastre, tout le monde est mort, déchiqueté et parfois en cendres, la salle remplie de sang. Seul une
boule de cristal ayant un point brillant en son centre et des parois transparente de toutes les
couleurs était en face de moi. Cette beauté eux raison de moi, me tuant. Son énergie est digne des
dieux. Je suis heureux de mourir avant de voir le monde que provoquera cette chose.