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Pourquoi nous traduisons ?

Trois questions à se demander pour chaque projet de traduction. Je vais essayer de donner mes
propres réponses.

Je ne crois guère, en traitant la première question, que personne ne peut nier le principe de
traduction vers la langue arabe ou depuis. Et dans les mots même de ceux qui la renie une
contradiction aberrante. La traduction est une forme d’expression créative en relation direct avec la
culture. L’humain ne peut se comprendre qu’on s’ouvrant à autrui pour mieux le connaître. Ainsi la
traduction d’autrui est un moyen efficace de la compréhension de soi. En plus, le développement les
relations entre les peuples, en qualité et quantité, appui que l’autre n’est plus qu’un simple acteur
pour la discussion ou l’interaction et la transaction, mais il a surpassé ceci pour devenir un membre
de ce que je suis.

On peut ajouter que la continuité de la traduction vers la langue arabe dans l’ère moderne, est en
réalité un salut envers les ères passés ainsi que ses traducteurs, ainsi qu’un approfondissement et un
élargissement aux traductions qu’ils avaient commencés, qui furent une partie incontournable de la
créativité dans la culture Arabe et de son identité.

Tout culture, qui reste fermé et évite la traduction, est mieux décrite tel un mort-vivant ce qui pose,
comme pour la langue arabe, des questions intrigantes. Comment les Arabes vont pouvoir
s’apprivoiser de tous les outils créer par les étrangers, et ne réfléchissent pas ou travail sur la
traduction de travaux philosophiques, scientifiques et littéraires qui étaient derrière ces mêmes
outils ?

Pourquoi nous traduisons ? Une question qui suppose l’existence d’une vision et d’une stratégie
derrière toute traduction. Supposons aussi que la traduction dans ce sens est un besoin culturel et
social qui est plus vaste et plus complexe qu’elle laisse la liberté aux individues.

Ainsi la réalité autour de la traduction a besoin aujourd’hui, de la langue arabe et vers celle-ci, à une
nouvelle marque intemporelle. Ainsi, pour résumer un maximum ma vision de ce que le mouvement
de la traduction devra suivre de langue arabe à celle-ci.

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