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PROCEDURE DE TRAVAIL

1. Allumage bougies et Encens

2. Pause et méditation (3 série de respiration profonde pour calmer son Être)

3. Débout les deux mains levées vers ciel face à l’Est dire (3 fois):

« BESHEM YAH ELOHI ISRAEL MIMINAI MIKAEL


OUMISMOLAI GABRIEL OUMILPHANAI URIEL
OUMAHHORAI RAPHAEL WEAL ROSHAI SHEKHINATH
EL »

Pause et Dire (21 fois)

YOD YOD YOD – YOD YOD VAV – YOD YOD YOD - YOD YOD YOD – VAV MEM BETH

KAPH LAMED YOD – RESH YOD YOD – HE ALEF ALEF – ALEF VAV MEM - YOD YOD
YOD

YOD YOD YOD - YOD YOD VAV – LAMED ALEF VAV – AYIN NOUN VAV – NOUN VAV
TAV

KAPH LAMED YOD – LAMED YOD HE – YOD HE HE - YOD YOD VAV - LAMED YOD HE

Pause et Dire (3 fois)

Yahvé, ne me châtie pas dans ton courroux,


Ne me reprends pas dans ta fureur.
En moi tes flèches ont pénétré,
Sur moi ta main s'est abattue,
Rien d'intact en ma chair sous ta colère,
Rien de sain dans mes os après ma faute.
Mes offenses me dépassent la tête,
Comme un poids trop pesant pour moi;
Mes plaies sont puanteur et
Pourriture à cause de ma folie;
Ravagé, prostré, à bout,
Tout le jour, en deuil, je m'agite.
Mes reins sont pleins de fièvre,
Plus rien d'intact en ma chair;
Brisé, écrasé, à bout, je rugis,
Tant gronde mon cœur.
Seigneur, tout mon désir est devant toi,
Pour toi mon soupir n'est point caché;
Le cœur me bat, ma force m'abandonne,
Et la lumière même de mes yeux.
Amis et compagnons s'écartent de ma plaie,
Mes plus proches se tiennent à distance;
Ils posent des pièges, ceux qui traquent mon âme,
Ils parlent de crime, ceux qui cherchent mon
Malheur, tout le jour ils ruminent des trahisons.
Et moi, comme un sourd, je n'entends pas,
Comme un muet qui n'ouvre pas la bouche,
Comme un homme qui n'a rien entendu
Et n'a pas de réplique à la bouche.
C'est toi, Yahvé, que j'espère,
C’est toi qui répondras, Seigneur mon Dieu.
J'ai dit: "Qu'ils ne se gaussent de moi,
Qu’ils ne gagnent sur moi quand mon pied chancelle! "
Or, je suis voué à la chute,
Mon tourment est devant moi sans relâche.
Mon offense, oui, je la confesse,
Je suis anxieux de ma faute.
Ceux qui m'en veulent sans cause foisonnent,
Ils sont légion à me haïr à tort,
À me rendre le mal pour le bien,
À m'accuser quand je cherche le bien.
Ne m'abandonne pas, Yahvé,
Mon Dieu, ne sois pas loin de moi;
vite, viens à mon aide,
Seigneur, mon salut!

Pause et Dire (100 fois)

YOD HE VAV – YOD HE VAV HE – ALEF LAMED – YOD HE HE


Car il brisa les portes d'airain, les barres de fer, il les fracassa.
Pause et Dire (3 fois)

O Dieu, par ton nom sauve-moi,


Par ton pouvoir fais-moi raison;
Dieu, entends ma prière,
Écoute les paroles de ma bouche!
Contre moi ont surgi des orgueilleux,
Des forcenés pourchassent mon âme,
Point de place pour Dieu devant eux.
Mais voici Dieu qui vient à mon secours,
Le Seigneur avec ceux qui soutiennent mon âme.
Que retombe le mal sur ceux qui me guettent,
Yahvé, par ta vérité détruis-les!
De grand cœur je t'offrirai le sacrifice,
Je rendrai grâce à ton nom, car il est bon,
Car il m'a délivré de toute angoisse,
Mes ennemis me sont donnés en spectacle.

Pause et Dire (1 fois)

Accuse, Yahvé, mes accusateurs,


Assaille mes assaillants;
Prends armure et bouclier
Et te lève à mon aide;
Brandis la lance et la pique contre mes poursuivants.
Dis à mon âme: "C'est moi ton salut."
Honte et déshonneur sur ceux-là
Qui cherchent mon âme!
Arrière! Qu’ils reculent confondus,
Ceux qui ruminent mon malheur!
Qu'ils soient de la balle au vent,
L’ange de Yahvé les poussant,
Que leur chemin soit ténèbres et glissade,
L’ange de Yahvé les poursuivant!
Sans raison ils m'ont tendu leur filet,
Creusé pour moi une fosse,
La ruine vient sur eux sans qu'ils le sachent;
Le filet qu'ils ont tendu les prendra,
Dans la fosse ils tomberont.
Et mon âme exultera en Yahvé,
Jubilera en son salut.
Tous mes os diront: Yahvé,
Qui est comme toi pour délivrer
Le petit du plus fort,
Le pauvre du spoliateur?
Des témoins de mensonge se lèvent,
Que je ne connais pas.
On me questionne,
On me rend le mal pour le bien,
Ma vie devient stérile.
Et moi, pendant leurs maladies,
Vêtu d'un sac, je m'humiliais par le jeûne,
Ma prière revenant dans mon sein,
Comme pour un ami, pour un frère,
J’allais çà et là;
Comme en deuil d'une mère,
Assombri je me courbais.
Ils se rient de ma chute,
Ils s'attroupent, ils s'attroupent contre moi;
Des étrangers, sans que je le sache,
Déchirent sans répit;
Si je tombe, ils m'encerclent,
Ils grincent des dents contre moi.
Seigneur, combien de temps verras-tu cela?
Soustrais mon âme à leurs ravages,
Aux lionceaux mon unique.
Je rendrai grâce dans la grande assemblée,
Dans un peuple nombreux je te louerai.
Que ne puissent rire de moi
Ceux qui m'en veulent à tort,
Ni se faire des clins d'œil ceux qui me
Haïssent sans cause!
Ce n'est point de la paix qu'ils parlent
Aux paisibles de la terre;
Ils ruminent de perfides paroles,
La bouche large ouverte contre moi;
Ils disent: Ha! Ha! Notre œil a vu!
Tu as vu, Yahvé, ne te tais plus,
Seigneur, ne sois pas loin de moi;
Éveille-toi, lève-toi, pour mon droit,
Seigneur mon Dieu, pour ma cause;
Juge-moi selon ta justice,
Yahvé mon Dieu, qu'ils ne se rient de moi!
Qu'ils ne disent en leur cœur:
Ha! Ma foi! Qu’ils ne disent:
Nous l'avons englouti!
Honte et déshonneur ensemble
Sur ceux qui rient de mon malheur;
Que honte et confusion les couvrent,
Ceux qui se grandissent à mes dépens!
Rires et cris de joie
pour ceux-là que réjouit ma justice,
Ceux-là, qu'ils disent constamment:
"Grand est Yahvé
Que réjouit la paix de son serviteur! "
Et ma langue redira ta justice,
Tout le jour, ta louange.

Pause et Dire (1 fois)

Entends, ô Dieu, ma prière,


Ne te dérobe pas à ma supplique,
Donne-moi audience, réponds-moi,
Je divague en ma plainte. Je frémis
Sous les cris de l'ennemi,
Sous les huées de l'impie;
Ils me chargent de crimes,
Avec rage ils m'accusent.
Mon cœur se tord en moi,
Les affres de la mort tombent sur moi;
Crainte et tremblement me pénètrent,
Un frisson m'étreint.
Et je dis:
Qui me donnera des ailes comme à la colombe,
Que je m'envole et me pose?
Voici, je m'enfuirais au loin,
Je gîterais au désert.
J'aurais bientôt un asile contre le vent de calomnie,
Et l'ouragan qui dévore, Seigneur,
Et le flux de leur langue.
Je vois en effet la violence
Et la discorde en la ville;
De jour et de nuit
Elles tournent en haut de ses remparts.
Crime et peine sont au-dedans
La ruine est au-dedans;
Jamais de sa Grand-Place
Ne s'éloignent fraude et tyrannie.
Si encore un ennemi m'insultait,
Je pourrais le supporter;
Si contre moi s'élevait mon rival,
Je pourrais me dérober.
Mais toi, un homme de mon rang,
Mon ami, mon intime,
À qui m'unissait une douce intimité
Dans la maison de Dieu!
Qu'ils s'en aillent dans le tumulte,
Que sur eux fonde la Mort,
Qu’ils descendent vivants au shéol,
Car le mal est chez eux, dans leur logis.
Pour moi, vers Dieu j'appelle
Et Yahvé me sauve;
Le soir et le matin et à midi
Je me plains et frémis.
Il entend mon cri,
Il rachète dans la paix
Mon âme de la guerre qu'on me fait:
Ils sont en procès avec moi.
Or Dieu entendra, il les humiliera,
Lui qui trône dès l'origine;
Pour eux, point d'amendement:
Ils ne craignent pas Dieu.
Il étend les mains contre ses alliés,
Il a violé son pacte;
Plus onctueuse que la crème est sa bouche
Et son cœur fait la guerre;
Ses discours sont plus doux
Que l'huile et ce sont des épées nues.
Décharge sur Yahvé ton fardeau
Et lui te subviendra,
Il ne peut laisser à jamais chanceler le juste.
Et toi, ô Dieu,
Tu les pousses dans le puits du gouffre,
Les hommes de sang et de fraude,
Avant la moitié de leurs jours.
Et moi je compte sur toi.

Pause et Dire (100 fois)

EHEIEH –METATRON - CHAYOT HA QADESH - RASHIT HA


GILGALIM.

Pause et méditation en se laissant imprégner par les énergies

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