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CORRIGE REDIGE DISSERTATION NIETZSCHE

1e proposition d’accroche (merci à Lucas mais aussi à Abdeljelil) :


Contraints de suivre les pas du mineur Alexis Stakhanov, les ouvriers russes doivent
intensifier leur cadence et rationaliser leur travail afin que la planification industrielle de
l'URSS puisse remplir ses objectifs. Stakhanov est montré comme un véritable exemple
d’ouvrier productif à suivre, il est un outil de propagande pour encourager le travail quitte à
s’oublier soi. C’est ainsi dans une course à la productivité que l’humanité se perd, comme
l’affirme Nietzche dans Aurore (+ citation)

Etienne Gosse, fabuliste du XVIIIe siècle, oppose dans une de ses fables le ver à soie,
« artiste industrieux » à « l’escargot fainéant » qui « Toujours caché dans sa maison humide,
Et dont la vie imite le néant, / A travailler jamais ne se décide » . La morale est limpide : « «
Le travail est toujours le chemin de la gloire », puisque le ver à soie devient une sublime
chrysalide, éclipsant de ce fait le gluant gastéropode. Cet éloge de l’effort laborieux est
courant, et peut à ce titre nous interroger : n’est-il pas rendu suspect à force de banalité ? C’est
du moins ce qu’entreprend de démontrer Nietzsche dans Aurore, qui attaque de front ce
consensus autour de la valeur travail : « Dans la glorification du « travail », dans les
infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière-pensée que
dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de
tout ce qui est individuel. » L’apologie du travail au nom du courage et de la vertu
dissimulerait donc un motif nettement moins avouable, une lâcheté même ! On s’abrutirait au
travail pour éviter de se retrouver confronté à soi-même, ou, pire, on nous abrutirait au travail
pour mieux nous contrôler socialement, étant avéré qu’un homme pensant par lui-même sera
toujours plus difficile à dominer. Echappatoire individuel ou moyen de coercition collectif, le
travail serait donc le meilleur allié du conformisme. Faisons pourtant la part de la provocation
dans cette critique : Nietzsche, en bon individualiste, semble considérer comme impossible la
réalisation singulière dans un cadre social, et ceci peut être discuté. Le travail est-il
systématiquement une entrave à l’expression individuelle ? N’est-il qu’un outil
d’asservissement permettant de faire rentrer les individus dans un cadre social conformiste ?
Ne peut-on trouver dans le travail une opportunité pour l’être humain de
progresser individuellement et collectivement ? Il conviendra donc, en nous appuyant sur La
Condition ouvrière de Simone Weil, Par-dessus-bord de Vinaver et Les Géorgiques de
Virgile, de mieux identifier les discours stéréotypés vantant le travail, et de préciser la ou les
arrière-pensées qu’ils voilent, puis nous réhabiliterons en partie la valeur travail, pour
finalement tenter de réconcilier ce que Nietzsche déclare incompatible : la découverte de soi
et le travail (comme acte collectif).

Méfiance, dit Nietzsche : la glorification du travail n’est peut-être qu’une fuite loin de
soi, une négation de sa propre individualité et de son éventuelle différence dans une masse
laborieuse et bien-pensante : je travaille donc je suis ! Ou bien elle est le masque de
l’exploitation et de la soumission : travaillez et vous serez considérés ! De même, élever le
travail au rang d’une bénédiction, n’est-ce pas simplement reprendre le vieil adage un tantinet
moralisateur selon lequel la paresse est mère de tous les vices ? Les discours qui glorifient le
travailleur volontaire et courageux servent donc surtout à nous soumettre, ou à nous fuir.
Virgile illustre parfaitement cette arrière-pensée répressive dans les Géorgiques : « Au travail
donc, ô cultivateurs ! » L’apostrophe lyrique a pour tâche ici de grandir le cultivateur à ses
propres yeux, mais c’est bien pour qu’il travaille avec plus de zèle. Au travail, dit Auguste via
Virgile, aux vétérans qui ne doivent pas succomber à l’oisiveté dangereuse, après des années
de guerre ! Et le tableau édifiant brossé par Virgile du parfait paysan renvoie bien à ces « actes
impersonnels et utiles à tous » moqués par Nietzsche : « une jeunesse dure aux travaux et
habituée à peu » qui pratique « le culte des dieux et le respect des pères » : travail, sobriété,
acceptation du cadre religieux et patriarcal. Virgile nous propose ici une image d’Epinal du
parfait citoyen sans aucune individualité. Chez Vinaver, Fernand fait l’apologie du « don de
soi » et Olivier qui vante le zèle de ses employés qui « se tueraient pour la maison » ! A ses
yeux, Lubin est un « seigneur » ; Benoît parle du « don de soi » nécessaire pour relancer
l’entreprise : ce vocabulaire à la fois glorifiant et sacrificiel est aussi parfaitement convenu.
Même Weil oppose la morale du travail aux velléités peut-être hédonistes de son ancienne
élève Simone Gibert, qui aspire à connaître « toutes les sensations possibles ». « tant qu’on est
incapable de travail suivi, on n’est bon à rien dans aucun domaine », assène-t-elle. Ici, le
travail perçu comme une discipline de vie semble bien être un moyen de ramener dans le droit
chemin (bénédiction, donc) une jeune fille qui cherche assez légitimement à expérimenter la
vie, et qui n’a peut-être pas assez peur de l’individuel.
Il reste à montrer comment, derrière ces discours entachés d’hypocrisie, une véritable
aliénation menace l’individu. Le travail devient un prétexte pour se fuir soi-même. L’aveu de
Lubin qui vient de démissionner, peut consterner : « Ravoire et Dehaze, c’est toute ma vie ».
Lubin n’a sans doute jamais beaucoup réfléchi par lui-même, et le travail semble être pour lui
une véritable bénédiction. Le travail empêche à l’inverse les ouvriers de réfléchir en les
abrutissant par des cadences infernales. L’individuel n’a pas sa place dans le travail servile : la
parcellisation, le travail à la pièce, à la tâche, la hiérarchie… tout contribue à ôter tout sens,
toute « finalité » et donc toute raison personnelle pour un ouvrier de s’investir. Il est une
machine au service des machines. Taylor se vante d’avoir inventé un système qui empêche les
ouvriers de communiquer et entrave toute forme de solidarité. (C’est du moins ce que dit
SW). Le taylorisme a effectivement pour but d’uniformiser et d’entraver toute initiative
personnelle. Enfin, chez Virgile, la métaphore de la société des abeilles est une véritable
négation de toute individualité : seule l’activité laborieuse et le service de la patrie comptent.
« Toutes se reposent de leurs travaux en même temps, toutes reprennent leur travail en même
temps. » Effrayant modèle de vie collective vouée au travail, où la personne singulière n’a
plus aucune place. Une vie de travail c’est… « Manger travailler dormir » conclut Margerie,
qui ne travaille pas, et qui n’est pas sans excentricité. Dans le travail, il n’y a pas de place
pour devenir soi-même.
Travailler, c’est donc souvent devoir renoncer à sa personnalité pour accepter les
normes. La stabilité de la société et du monde du travail ne peut être sans cesse remise en
question par des revendications ou des initiatives personnelles. Force est, pour le travailleur,
d’accepter de s’inscrire dans une tradition qui acquiert des anciens et est censé transmettre
aux générations suivantes. Ainsi tout en innovant, le paysan de Virgile doit tout de même
intégrer les préceptes que l’auteur lui donne et respecter docilement les traditions religieuses.
S’il ne le fait pas, il se condamne, tel Orphée, à un châtiment certain. Cette peur de
l’individuel peut émaner d’en haut, du sommet de la hiérarchie : si l’ingénieur Victor Bernard
refuse la publication de l’ « Appel aux ouvriers de Rosières » dans le journal d’usine « Entre
nous » qu’il a fondé, c’est bien parce qu’il craint que les témoignages individuels des ouvriers
rendent la situation au travail peu à peu incontrôlable. « Et dites ce que c’est pour vous que
votre travail », demande Weil. Elle incite donc les ouvriers à rentrer en eux-mêmes pour
réfléchir ; dans une situation objective d’oppression, c’est dangereux !
(Idée originale de Léanne : toute originalité menace le sérieux du monde. Aussi les
happenings déjantés de Jiji restent-ils cantonnés en dehors de la sphère du travail, dans des
lieux inderground)
Nietzsche n’a donc pas tort de dénoncer ce culte du travail, effectué pour de mauvaises
raisons. Cependant le travail n’est-il qu’uniformisation et asservissement ? Ne peut-on lui
trouver des vertus qui justifieraient qu’on vante ses mérites ?

De fait, sans verser dans l’éloge caricatural du travailleur élevé au rang de héros, on
peut sans ridicule, démontrer que le travail développe le courage et la volonté, et qu’il n’est
pas dénué de vertu ! Sans aller jusqu’à parler de gloire, le travail est l’occasion de se dépasser
soi-même, de transformer ce qui nous entoure ou nous-mêmes, et cette action sur la matière
ou sur l’esprit est galvanisante. Vinaver évite les stéréotypes moralisateurs sur le travail, en
l’associant à la vitalité, l’énergie. Le comptable Cohen en est un bon exemple : réticent face à
la nouvelle direction et à ses méthodes, il opère une reconversion brillante en intégrant les
outils informatiques : « le cobol le fortran n’ont plus de secret pour Cohen » vante Benoît.
Point d’arrière-pensée ici, Cohen a su s’adapter, et même y a pris du plaisir : « Je vous dirai
que je suis plus heureux maintenant le travail est plus intéressant. » Simone Weil déclare aussi
que le travail à l’usine a changé sa vie, et qu’elle ne regrette rien même si l’expérience a été
douloureuse : « ces mois d’esclavage … m’ont permis de m’éprouver moi-même. » Sa
capacité à faire face malgré tout la renforce, comme le fait de s’affronter à la vie réelle, c’est-
à-dire la vie concrète, qu’il faut gagner péniblement : « je sentais la joie de manger un pain
qu’on a gagné. » Même fierté légitime chez le vieillard de Coryce chez Virgile : il a su par son
travail acharné transformer une terre ingrate recouverte de broussailles, en potager florissant.
C’est une illustration de la puissance de la volonté.
Le travail développe, par ailleurs, le sens du collectif. Les cadres de Ravoire et Dehaze
se ressoudent contre l’ennemi que représente la société United Paper de Ralph Young. Ils
mettent en commun leurs forces, leurs idées (brainstormings) et éprouvent collectivement un
sentiment de fierté devant les progrès de leur petite entreprise. Le paysan de Virgile tire toute
sa fierté à nourrir sa famille mais également ceux qui travaillent dans son domaine. Le
vieillard de Tarente (ou de Coryce) accueille volontiers ses voisins à l’ombre de ses beaux
platanes. Chez SW, ce sens du collectif renaît à l’occasion des grèves. Mais, dans un moment
d’enthousiasme, la philosophe montre comment l’usine pourrait devenir une sorte de
symphonie dans laquelle chacun aurait sa note à jouer. Elle suggère un dialogue et une mise
en commun des idées qui permettrait de faire progresser le monde ouvrier.
De fait, l’immersion de l’individu dans un cadre collectif n’est pas nécessairement
aliénante, elle peut même être salvatrice. Ne plus appartenir à ce collectif de l’entreprise est
comme une mise à mort pour la pauvre Mme Baschevski. Weil, de son côté, imagine ce que
pourrait être un travail non servile réalisé en collaboration et non dans la soumission ; il serait
l’occasion d’un élargissement de soi-même : « L’usine pourrait combler l’âme par le
sentiment puissant de vie collective – on pourrait dire unanime - que donne la participation au
travail d’une grande usine. » Virgile sert un projet plus vaste qu’une simple inspiration
personnelle en écrivant les Géorgiques : il répond à une demande de Mécène, au service d’un
projet politique augustéen, qui consiste à raviver le vieil idéal romain (le paysan guerrier
sobre, contre le riche citadin décadent et oisif). Le travail poétique est ici une commande,
donc une contrainte en vue d’un dessein collectif. Aliénation ? Pas forcément : « tes ordres,
Mécène, ne sont pas faciles à exécuter. Mais sans toi mon esprit n’entreprend rien de haut. »
Une contrainte extérieure et utile à tous peut donc permettre de se renouveler.
L’attaque de Nietzsche contre le travail peut donc être nuancée. Mais allons plus loin :
n’y aurait-il pas moyen de se découvrir dans l’exercice d’un métier ? Le travail ne serait-il pas
aussi un moyen de s’émanciper et de devenir ce que nous sommes ?
Marx qui condamnait l’exploitation capitaliste du travailleur, a montré aussi que
paradoxalement, le travail pouvait devenir émancipateur, en développant une conscience de
classe à même d’aboutir à la révolution libératrice. Cette émancipation peut se comprendre à
d’autres niveaux. Le travail confère une indépendance matérielle sans doute indispensable
pour devenir soi-même de façon réelle et pas seulement fantasmatique. Le vieillard de Coryce
est totalement indépendant grâce à ses cultures. A cette émancipation matérielle on peut
ajouter une émancipation intellectuelle, qui passe par l’éducation. Pour Weil, le travail doit
également fournir une formation, élever l’ouvrier. Elle insiste sur la nécessité de lui faire
visiter l’usine, d’expliquer le sens du travail, de les faire participer à la gestion de l’entreprise,
et cette éducation est double : il faut également éduquer l’employeur, afin qu’il se défasse de
ses préjugés condescendants sur ses ouvriers : pour élever un ouvrier, dit-elle à Victor
Bernard, « il faut d’abord l’élever à ses propres yeux ». L‘usine peut donc être un lieu de
désaliénation, au sens où l’on se défait de préjugés de classe, de part et d’autres. « Le travail
doit tendre, dans toute la mesure des possibilités matérielles, à constituer une éducation. »
Chez Vinaver, cette émancipation aboutit à une forme de créativité professionnelle,
comme si le travail était justement le lieu d’épanouissement de l’individualité : Benoît parle
d’aventure quand il cherche à convaincre le banquier de parier sur lui pour sauver
l’entreprise : « moi ça me passionnerait de me jeter dans cette aventure » ; Margerie
s’enthousiasme pour l’institut de beauté qu’elle veut fonder à San Francisco : « comme un
défi à toutes ces usines sans âme où la beauté est débitée à la chaîne » Elle revendique ici une
originalité (française) contre la culture de masse américaine. Jenny et son commerce de
perruques manifeste aussi son imagination intarissable quand il s’agit de faire du commerce :
« Donner à chaque femme le moyen et puis le besoin de se multiplier à l’infini » Apothéose
de l’individualisme nietzschéen, où le moi cherche à explorer et assumer toutes ses facettes ?
Ou récupération capitaliste de l’individualisme, en en faisant une source de profit ? On touche
sans doute aux limites de l’émancipation de soi par le travail.
Mais le travail permet aussi de s’approfondir soi-même, de développer une véritable
intériorité. Dans le cas de Virgile, c’est son travail poétique qui le singularise. Il revendique
l’originalité de son sujet, au début du livre III, en dédaignant les traditionnels thèmes
poétiques, « trop connus ». Fort de l’aridité de son sujet, il déclare : « Il me faut tenter une
route où je puisse moi aussi m’élancer loin de la terre » Virgile cherche donc à trouver son
propre style, c’est son travail d’écrivain. De même M. Onde, le chercheur du Collège de
France, poursuit un travail solitaire, invisible au point qu’il se compare à une taupe creusant
ses galeries ; il n’a d’ailleurs personne pour l’écouter au Collège de France. Son travail est
donc purement individuel, même s’il est destiné à être utile socialement – en quoi il est bien
un métier : « je n’ai jamais douté que tout système mythologique signifie quelque chose aide
la société » On rétorquera que poète et chercheur sont des métiers intellectuels et non serviles,
propices donc à l’épanouissement intérieur. Mais Weil cherche aussi un mode de réalisation
personnel pour l’ouvrier, annulé en tant que personne sur sa machine. Elle renverse l’absence
de finalité du travail ouvrier, en soi aliénante, en privilège : « Pour les travailleurs, il n’y a pas
d’écran. Rien ne les sépare de Dieu. Ils n’ont qu’à lever la tête. » L’absence de sens, ou de
finalité matérielle (enrichissement, ambition) les met face à la finalité ultime et essentielle : la
contemplation divine. Weil veut révéler dans le travail même servile de l’usine, la possibilité
d’une transcendance, d’une élévation, d’une attention au travail compris comme capacité à
être réceptif au monde pour sortir de soi afin paradoxalement de se réaliser intégralement.
L’outil devenu symbole d’un ailleurs absolu devient le moyen d’accéder à une vie spirituelle à
même de rendre sa dignité à l’ouvrier. Sans doute idéaliste, Weil a quand même le mérite de
montrer que le plus important, au travail, c’est la dignité, la considération morale, l’attention
à la personne et non seulement l’acquisition de droits matériels.
En définitive, Nietzsche a raison de dénoncer l’imposture d’un discours glorifiant le
travail quand il ne sert en fait qu’un projet conformiste, voire une soumission. « Fi d’avoir un
prix pour lequel on cesse d’être une personne pour devenir une vis ! », s’exclame-t-il ailleurs
dans Aurore. L’homme se transforme en chose par le travail – et cela va plus loin que la
critique du travail à la chaîne, qui n’existait pas d’ailleurs du temps du philosophe. Pourtant,
on ne peut nier la fécondité du travail tant manuel qu’intellectuel, qui nous aide aussi bien à
transformer le monde, à nous confronter à la matière, qu’à nous construire nous-mêmes.
I. Le travail : un nouvel « opium du peuple »

1. Des discours glorificateurs ambigus : Fernand, Olivier et Benoît / Virgile


2. Qui cachent une réalité peu glorieuse : conditions de travail exécrables à l’usine, mais
surtout soumission totale vis-à-vis des patrons, routine aliénante et peu enrichissante :
« manger, travailler, dormir » dira Margerie
3. Aucune place pour l’individualité : peu de pensée et d’inventivité dans l’usine. La
métaphore inquiétante des abeilles. Alex englouti dans la fosse d’aisance. etc

II. Pourtant être au service de la société peut être louable

1. Le bonheur et la fierté de nourrir ses proches, de contribuer à la construction d’une


société (voir cours)
2. La joie d’appartenir à un collectif (voir cours)
3. Les vertus d’un travail individuel qui sert le collectif : les abeilles (épisode relu
différemment) / Cohen qui devient un pro de l’informatique et aide son entreprise.

III. Combiner l’utilité collective et l’élévation personnelle

1. En oeuvrant, on s’instruit : SW / dépassement de soi chez Vinaver / Monsieur Onde /


apprendre chez les agriculteurs de Virgile. Travailler peut donc être bon pour soi.
2. Se dépasser ensemble et personnellement : De la vertu du paysan à celle de l’Italie /
Ravoire et Dehaze / Un dépassement collectif qui pourrait profiter aussi bien aux
patrons qu’aux ouvriers
3. Réfléchir à la société, construire l’avenir, élever l’homme (le progrès humain) :
Jupiter, importance de la réflexion de nos auteurs et de Monsieur Onde

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