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GROUPE N°1

Les participants du groupe :


° CHEF DE GROUPE : KOUGBANDO Têvi David
Les autres participants du groupe :
-ABBEY

-KOUTOGLO

-CHAOLD

-DJOKOTOE

-EDJAMHOLI

-EFFOEH

-EKOUE

-KOMBE

-KOUAWOU

-KOKOAYI

-JOKLUI

Prof chargé du cours : Mr BUAKA


EXPOSÉ DE FRANÇAIS :

Thème : le travail

QU’EST-CE Q UE LE TRAVAIL ?
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Le travail résume, sous-tend, englobe mais dépasse les réalités de
« emploi, profession, métier, carrière, activité ». Dans la recension des
diverses acceptions du terme « travail » que propose le dictionnaire
Littré en 1974, (cité par Lancry-Hoestlandt et Laville, 2004), on
remarque une évolution historique des significations reflétant
l’évolution de la société et des liens d’obligation établis entre les
individus et la société. Nous adopterons ici l’éclairage apporté par la
psychologie du travail et l’ergonomie.
Le terme « travail » a signifié ou signifie encore quelquefois
simultanément, une action de l’homme sur des matériaux, des
animaux, des machines et des outils. Il peut désigner à la fois le
résultat d’une action humaine sur des objets matériels et intellectuels
et cette action elle-même. Il peut faire référence à une position socio-
économique (emploi), l’appréciation d’une manière de faire, une
souffrance (le dur labeur), une hygiène de vie, une liberté ou une
servilité. On parlait également autrefois de « l’œuvre » et du chef-
d’œuvre des maîtres et des compagnons artisans, que le « travail » a
remplacé. Il faut sans doute y voir l’influence des modes d’organisation
de la production des biens (l’artisanat a été supplanté par les formes
d’organisation taylorienne du travail). Quoi qu’il en soit d’autres
langues européennes (anglaise, allemande, italienne, espagnole,
portugaise) ont gardé dans l’usage courant les différentes nuances de
ce terme.
Comment définir le travail en philo ?

En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature


pour satisfaire les besoins de l'être humain. La notion de travail est
aujourd'hui intrinsèquement liée à l'idée de production et de rémunération. Le
travail, c'est produire un effort et percevoir une rémunération en échange.

o Le caractère salutaire du travail :


Se résume au travail, qui est bénéfique, profitable, utile à la
conduite, au comportement de quelqu'un ou à l'évolution de
quelque chose.

a- Le travail bienfaisant :

Notre siècle aime à répéter que bonheur et travail sont indissociables. Le travail, c’est
la santé, nous assène-t-on. Il éloigne l’ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien

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social qu’il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le
perverti, moralise le dévoyé, rend l’homme vertueux. Ceux qui choisissent
délibérément de ne pas travailler subissent l’opprobre de leurs contemporains. Que
n’a-t-on pas dit sur les rentiers, les oisifs ou plus simplement, les femmes au foyer?

Cette vision du travail comme nécessaire à nos existences est pourtant relativement
récente. Dans « Splendeurs et misère du travail », Alain de Botton rappelle que «si le
travail a toujours été au centre de toutes les sociétés, la nôtre est la première à suggérer
qu’il pourrait être beaucoup plus qu’une pénitence ou une punition, et que nous
devons chercher à travailler même en l’absence d’un impératif financier. »

Le travail, signe d’infériorité

L’histoire des hommes est en effet faite d’une modération, voire d’une défiance envers
le travail. « Aucune société avant la nôtre n’a été vouée au travail », rappelle Jacques
Ellul dans son livre « Pour qui, pourquoi travaillons-nous?». Pour les peuples de
l’Antiquité, il était une affaire d’être inférieurs, tournés exclusivement vers la
subsistance physique. Ergophobe notoire, Aristote parlait d’une incompatibilité
foncière entre la satisfaction et un emploi rétribué: « tous les travaux rémunérés
absorbent et amoindrissent l’esprit. » En outre, si Grecs et Romains des temps anciens
reléguaient leurs activités manuelles aux esclaves, ils n’accablaient pas pour autant ces
derniers de corvées. « Les tâches étaient généralement légères, et il y avait de larges
temps de loisir. Ce qui faisait l’esclave, c’était plus sa privation de liberté ou de
citoyenneté que le travail », note Jacques Ellul.

A la conception aristotélicienne, le christianisme est venu ajouter la doctrine


selon laquelle les misères du travail sont un moyen approprié d’expier le péché
originel. Dans les siècles « chrétiens » du Moyen Âge, le travail était ainsi
regardé comme servile, signe d’infériorité et de déchéance. Pour rappel, la
Genèse, loin de le définir comme un moyen de se réaliser et d’atteindre le
bonheur, le qualifie de châtiment divin: « Puisque tu as mangé de l’arbre que je
t’avais formellement interdit de manger, tu gagneras ton pain à la sueur de ton
front. »

Le travail, un outil de développement personnel

Quel a été le point tournant, le moment où le travail a cessé d’être considéré


comme une pénitence pour devenir la valeur centrale de notre civilisation? Pour
Jacques Ellul, l’Eglise a commencé à valoriser le travail à partir du 17ème siècle
par opportunisme, pour sceller une alliance avec la bourgeoisie dont il était le
moteur de sa puissance en expansion. Dès cet instant, l’homme qui consacrait sa
vie au travail est devenu une sorte de saint: « Bon travailleur, si tu manques la
messe du dimanche parce que le patron te retient à l’usine, n’aie pas de
scrupules: le Bon Dieu a dit que le travail est une prière ».

Au 19ème siècle, avec les penseurs allemands, la morale bourgeoise s’est muée
en morale ouvrière et c’est dans les cercles socialistes que l’on a trouvé les
discours les plus exaltés sur le travail. « Ce sont les bourgeois qui ont inventé la

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formule de l’éminente dignité du travailleur mais c’est Marx qui a conduit le
prolétaire dans cette conviction désormais indéracinable », relève Jacques Ellul.

De nos jours, le travail est considéré comme un outil de développement


personnel et de réalisation de soi. Intrinsèquement lié à notre sens de l’identité –
ne dit-on pas «je suis avocat, médecin, ou architecte » et non « j’exerce le métier
d’avocat, de médecin ou d’architecte »? – d’aucuns le considèrent comme le pivot
autour duquel s’ordonne la construction de soi. La question la plus insistante qui
nous est d’ailleurs posée lorsque nous faisons la connaissance de quelqu’un ne
porte pas sur nos loisirs ou sur nos lectures mais bien sû r ce que nous « faisons
dans la vie ».

Le travail peut isoler l’individu

Mais une existence remplie de sens passe-t-elle nécessairement par le portail


d’un emploi? Le travailleur qui s’identifie à sa fonction et se perd dans son rô le
n’oublie-t-il pas sa personnalité toute entière? Pour Alain de Botton, il y a une
cruauté irréfléchie qui se cache dans la magnanime affirmation bourgeoise que
chacun peut parvenir au bonheur par le travail: « Ce n’est pas que cette chose
soit invariablement incapable de nous procurer le dit bonheur, seulement qu’elle
ne le fait presque jamais. Et lorsqu’une exception est présentée comme une règle,
nos infortunes individuelles, au lieu de nous sembler être des aspects quasi
inévitables de l’existence, pèsent sur nous comme des malédictions particulières.
»

a- Le travail libérateur :

1 - Pour certains type d’ouvriers, le déplacement


professionnel peut être bénéfique

Définition : déplacement professionnel est Un déplacement


professionnel ou voyage d'affaire a lieu dès lors que quelqu’un
exerce temporairement une activité professionnelle en dehors de
son domicile et de son lieu de travail habituel.

Exemple : Pilote de ligne = Le travailleur « bénéficie » des


conséquences de son travail quand il effectue un vol international
et est en mesure de voyager continuellement aux quatre coins du
globe.

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Contre-exemple : Chauffeur de transport de poids lourds = Métier
fatiguant qui incombe le conducteur a un rythme de vie difficile
pour le peu du trajet qu’il effectue.

Le déplacement professionnel a des vertus dans le domaine de la


découverte et du contact pour une meilleure entente et une
meilleure compréhension dans le domaine de l’entreprise ou du
voyage par exemple mais cela incombe souvent les personnes
concernées à changer leur rythme de vie et/ou leur statut social.

1 - La rémunération du travail suffit-il à combler le temps


perdu d’une vie humaine ?

Carpe Diem = « Cueille le jour présent sans te soucier du


lendemain ». Ainsi comment Horace cherche à persuader
Leuconoé de profiter du moment présent et d'en tirer toutes les
joies, sans se n’inquiéter ni du jour ni de l'heure de sa mort. Ce
que l’on peut en tirer de ce vers est de profiter de notre vie, de ne
pas s’occuper de notre dernier instant. Est-ce que l’on peut
considérer qu’on perde du temps en travaillant ?

En revanche, en fonction du travail exercé, on peut considérer que


ce travail nous procure une vie joyeuse et riche. Exemple :
Chanteur international, PDG d’une multinationale... etc. Mais la
proportion de ce type de personnes dans le monde est très faible.
Mais est-ce que le temps perdu due à la lourde masse de travail
en début de carrière est-elle comblée par la suite pour ces
personnes riches ?

3 - Un travail rêvé pour certains devient automatiquement


libérateur

Un travail est effectué avec bonheur, avec aisance et plaisir lorsque


celui-ci est le métier choisi par la personne en question. La
personne peut désormais répondre favorablement à la question
selon laquelle le travail est-il libérateur.

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En revanche, pour certains métiers rêvés, cela nécessite un long
parcours d’études et d’expérience avant de pouvoir ceux-ci. Cela
revient donc à dire que l’on perd du temps de vie pour obtenir ce
que l’on souhaite. Nous pouvons nous demander, est-ce que ces
longues années de parcours en valent-elles le coup ?

Conclusion : Le travail peut être libérateur en fonction du métier, si


celui-ci était un métier « rêvé » par la personne en question, et
sous certaines conditions.

o Le caractère funeste de l’homme :

a-le travail des ouvriers :(exploitation de l’homme par l’homme)

Le premier aspect du caractère funeste de l'homme que nous aborderons est


l'exploitation des ouvriers. Depuis l'avènement de la révolution industrielle, les ouvriers
ont été soumis à des conditions de travail extrêmement difficiles et inhumaines.

Les propriétaires d'usines et les capitalistes ont cherché à maximiser leurs profits en
exploitant les travailleurs. Les ouvriers étaient souvent contraints de travailler de longues
heures, dans des conditions insalubres et dangereuses, pour des salaires dérisoires. Ils
étaient privés de leurs droits fondamentaux, tels que le droit à la sécurité au travail, le
droit de se syndiquer et le droit de négocier collectivement.

Cette exploitation de l'homme par l'homme a été dénoncée par de nombreux penseurs et
militants, tels que Karl Marx et Friedrich Engels, qui ont critiqué le capitalisme et ont
appelé à la lutte des classes. Selon eux, le système capitaliste repose sur l'exploitation des
travailleurs, qui sont réduits à de simples instruments de production, sans aucune
considération pour leur bien-être et leur dignité.

2- L'exploitation des ressources naturelles :

Un autre aspect du caractère funeste de l'homme est l'exploitation excessive des


ressources naturelles. Depuis des siècles, l'homme a exploité la nature sans se soucier des
conséquences à long terme. Les forêts ont été déboisées, les océans ont été surexploités,
les sols ont été épuisés par une agriculture intensive, et les émissions de gaz à effet de
serre ont augmenté de manière alarmante.

Cette exploitation irresponsable des ressources naturelles a entraîné de nombreux


problèmes environnementaux, tels que le changement climatique, la déforestation, la
perte de biodiversité et la pollution de l'air et de l'eau. Ces problèmes ont un impact
direct sur la santé et le bien-être des êtres humains, ainsi que sur celui des autres espèces
vivantes.

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Pourtant, malgré les avertissements des scientifiques et les appels à la préservation de
l'environnement, l'homme continue d'exploiter les ressources naturelles de manière
excessive et irresponsable. Cette attitude égoïste et court-termiste met en péril notre
propre survie et celle des générations futures.

En conclusion, le caractère funeste de l'homme se manifeste à travers l'exploitation des


ouvriers et des ressources naturelles. Ces pratiques sont motivées par l'appât du gain et
l'égoïsme, sans aucune considération pour le bien-être des individus et de la planète. Il
est donc impératif de remettre en question ces comportements destructeurs et de
trouver des alternatives plus durables et équitables.

a) Le travail aliénant :

Un autre aspect du caractère funeste de l'homme est le travail aliénant. Le travail est une
activité essentielle de la vie humaine, qui permet de subvenir à ses besoins et de
contribuer à la société. Cependant, dans de nombreux cas, le travail peut devenir une
source de souffrance et d'aliénation.

Le travail aliénant est un concept développé par Karl Marx, qui décrit une situation où le
travailleur est privé de son humanité et de sa créativité. Dans un tel contexte, le travailleur
est réduit à un simple outil de production, sans aucune autonomie ni contrôle sur son
travail. Il est contraint de suivre des instructions strictes et de répéter des tâches
monotones et ennuyeuses, sans aucune possibilité de s'exprimer ou de contribuer à la
conception du produit.

Le travail aliénant peut avoir de graves conséquences sur la santé mentale et physique
des travailleurs. Il peut causer de l'ennui, de la frustration, de la dépression et de l'anxiété.
Il peut également entraîner des problèmes de santé liés à la sédentarité et au stress.

Le travail aliénant est souvent associé à des emplois peu qualifiés et mal rémunérés, tels
que ceux de l'industrie manufacturière ou de la restauration rapide. Cependant, il peut
également se manifester dans des emplois hautement qualifiés, tels que ceux de la
finance ou de la technologie, où les travailleurs sont soumis à des pressions constantes et
à des horaires de travail épuisants.

En conclusion, le travail aliénant est un aspect du caractère funeste de l'homme qui peut
avoir des conséquences néfastes sur la santé et le bien-être des travailleurs. Il est
important de reconnaître ce problème et de chercher des solutions pour rendre le travail
plus épanouissant et plus humain. Cela peut impliquer une réorganisation du travail, une
meilleure répartition des tâches, une formation plus approfondie des travailleurs et une
rémunération plus juste.

c-Travail des enfants :

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Un autre aspect du caractère funeste de l'homme est le travail des enfants.
Malheureusement, dans de nombreuses régions du monde, des millions d'enfants sont
forcés de travailler dans des conditions dangereuses et exploitées de manière injuste.

Le travail des enfants prive ces enfants de leur droit à l'éducation, à la santé et à une
enfance normale. Ils sont souvent contraints de travailler de longues heures, dans des
environnements insalubres et dangereux, et sont exposés à des risques pour leur santé et
leur sécurité. Ils sont souvent sous-payés, voire pas du tout rémunérés, et sont exploités
par des employeurs sans scrupules.

Le travail des enfants est une violation des droits de l'homme et une forme d'esclavage
moderne. Il perpétue le cycle de la pauvreté en privant ces enfants de l'éducation et des
opportunités qui pourraient leur permettre de s'échapper de la pauvreté à l'âge adulte.

Malgré les efforts déployés par les organisations internationales et les gouvernements
pour éliminer le travail des enfants, il reste encore beaucoup à faire. Il est essentiel de
sensibiliser le public à cette question, de renforcer les lois et les réglementations pour
protéger les enfants et de fournir des alternatives éducatives et économiques aux familles
dans le besoin.

En conclusion, le travail des enfants est un aspect du caractère funeste de l'homme qui
prive des millions d'enfants de leur enfance et de leur avenir. Il est de notre responsabilité
collective de mettre fin à cette exploitation et de garantir que tous les enfants puissent
grandir dans des conditions sûres, saines et éducatives.

o -Nécessité du travail :
Le travail est une nécessité fondamentale pour l'homme. Il est essentiel à sa survie, à son
développement et à son épanouissement. Voici quelques raisons qui démontrent la
nécessité du travail :

-Subvenir à ses besoins : Le travail permet à l'homme de satisfaire ses besoins


fondamentaux tels que se nourrir, se loger et se vêtir. Il permet d'acquérir les
ressources nécessaires pour assurer sa subsistance et celle de sa famille.

-Contribuer à la société : Le travail est un moyen pour l'homme de contribuer à la


société et de participer à son développement. En exerçant une activité
professionnelle, l'homme apporte sa contribution à la production de biens et de
services qui répondent aux besoins de la société.

-Réalisation de soi : Le travail offre la possibilité à l'homme de développer ses


compétences, de se réaliser et de s'épanouir. Il permet de mettre en valeur ses
talents, ses connaissances et ses capacités, ce qui procure un sentiment de
satisfaction et de fierté personnelle.

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-Structuration de la vie : Le travail donne un sens et une structure à la vie de
l'homme. Il permet d'organiser son temps, de fixer des objectifs, de relever des
défis et de se sentir utile. Il contribue ainsi à l'équilibre et au bien-être de
l'individu.

-Épanouissement social : Le travail favorise les interactions sociales et les relations


professionnelles. Il permet de développer des liens avec ses collègues, de
partager des expériences et de construire des réseaux sociaux. Ces relations
sociales sont importantes pour le bien-être et l'épanouissement de l'individu.

En résumé, le travail est une nécessité pour l'homme car il lui permet de subvenir à ses
besoins, de contribuer à la société, de se réaliser, de structurer sa vie et de s'épanouir
socialement. Cependant, il est important de veiller à ce que le travail soit épanouissant,
équitable et respectueux des droits de l'homme.

° LES RÉALITÉS LIÉS AU TRAVAIL D’AUJOURD’HUI :

a- Le chômage : causes ; conséquences ; solutions.


Le chômage est un problème majeur dans de nombreux pays et a des causes,
conséquences et solutions variées. Voici quelques éléments à considérer :

Causes du chômage :

-Ralentissement économique : Une économie en déclin peut entraîner une


diminution de la demande de main-d'œuvre et donc une augmentation du
chômage.

-Automatisation et technologie : L'automatisation croissante et l'adoption de


technologies peuvent remplacer les emplois humains, ce qui peut entraîner une
diminution des opportunités d'emploi.

-Mondialisation : La concurrence mondiale peut déplacer des emplois vers des


pays où les coûts de main-d'œuvre sont plus bas, ce qui peut entraîner des pertes
d'emplois dans les pays développés.

-Déséquilibre entre l'offre et la demande de compétences : Les changements


dans les besoins du marché du travail peuvent rendre certaines compétences
obsolètes, ce qui peut conduire au chômage pour les travailleurs qui ne sont plus
qualifiés.

Conséquences du chômage :

-Pauvreté et précarité : Le chômage peut entraîner une diminution des revenus et


une augmentation de la pauvreté, ce qui peut avoir un impact négatif sur la
qualité de vie des individus et de leurs familles.

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-Diminution de la confiance et de l'estime de soi : Être sans emploi peut affecter
la confiance en soi et l'estime de soi des individus, ce qui peut avoir des
répercussions sur leur bien-être psychologique.

-Augmentation des inégalités : Le chômage peut contribuer à creuser les


inégalités économiques et sociales, en particulier si certains groupes de
population sont plus touchés que d'autres.

Solutions au chômage :

-Politiques économiques : Les gouvernements peuvent mettre en œuvre des


politiques de relance économique, telles que des investissements publics, des
réductions d'impôts ou des incitations à l'emploi, pour stimuler la création d'emplois.

-Formation et reconversion professionnelle : Les individus peuvent être encouragés à


acquérir de nouvelles compétences ou à se reconvertir dans des secteurs en
croissance, afin de s'adapter aux besoins changeants du marché du travail.

-Soutien aux entrepreneurs : Encourager l'entrepreneuriat peut favoriser la création


d'emplois et stimuler l'innovation économique.

-Coopération internationale : La coopération entre les pays peut aider à atténuer les
effets négatifs de la mondialisation sur l'emploi, en favorisant la création d'emplois et
en protégeant les travailleurs.

Il est important de noter que les solutions au chômage peuvent varier en fonction du
contexte économique et politique de chaque pays.

b-Jeune face à l’initiative privée : l’entreprenariat ; l’auto-


emploi ; le marketing :

Le chômage est un phénomène économique qui se caractérise par l'absence


d'emploi pour une partie de la population active. Les causes du chômage peuvent être
multiples, mais elles sont souvent liées à des facteurs économiques tels que la récession,
la mondialisation ou la concurrence étrangère. D'autres facteurs tels que la technologie,
les changements démographiques et les politiques gouvernementales peuvent
également contribuer au chômage.

Les conséquences du chômage peuvent être graves pour les individus et la société dans
son ensemble. Les personnes sans emploi peuvent souffrir de stress, de dépression et
d'anxiété, ainsi que de difficultés financières. Le chômage peut également entraîner une
baisse de la productivité et de la croissance économique, ainsi qu'une augmentation des
coûts sociaux tels que les prestations de chômage et les soins de santé.

Pour lutter contre le chômage, différentes solutions peuvent être envisagées. Les
gouvernements peuvent mettre en place des politiques économiques visant à stimuler la

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croissance et à créer des emplois. Les entreprises peuvent également jouer un rôle en
créant des emplois et en investissant dans la formation de leurs employés. Les individus
peuvent également prendre des mesures pour améliorer leurs compétences et leur
employabilité, en suivant des formations et en cherchant des opportunités d'emploi dans
des secteurs en croissance.

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