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Séminaire analyse du travail

Le travail pose la question de l’action. Qu’est ce que travailler, qu’est ce que faire. C’est une question
traité par les psychologues du travail et croise une question qui déborde du travail, qui rattache aux
théories de l’action. Si on regarde le travail, se pose alors la question de ce que l’on fait, de ce qui se
joue dans le faire. On peut le prendre du coté du sens, et de la santé. Le travail amène à la question
anthropologique de l’activité humaine. Le tout faire humain.

Pourquoi sociologie du travail et de l’organisation ici. Nous sommes dans une société ou le travail est
central. Nous sommes dans une civilisation du travail. De la naissance à la mort, on passe un temps
majeur dans des institutions au travail, et des organisations.

Question :

- Avez-vous déjà travaillé


- Quelle est votre mythologie, croyance générale au travail
- Le métier des parents, statut, rapport. Les évènements marquants au travail.
- Qu’est ce que je ferai quand je serai grand ?
- Est il conforme au projet parental

Qu’est ce que le travail

Employer un mot singulier pour parler d’activités diverses et incomparables. Il y a une nécessiter
d’historiciser. D’où vient le mot du travail.

Les formes élémentaires de la vie religieuses : Durkheim et Mauss

Pour eux, la façon dont nous pensons, nous utilisons des mots, qui sont aussi des catégories de
pensées. Par exemple : le travail est un e catégorie de pensée . Concept pour echanger, penser, agir.
Or, Durkheim s’oppose a kant sur les catéogires de pensées. Pour lui, ce sont des construits sociaux.
Les cassifications et les catégories reflètent l’activité d’un groupe humain. Exemple avec les
esquimau : ils utilisent beaucoup plus de vocabulaire pour parler de la neige que les autres.
L’environnement joue sur les catégories de penseées. En Angleterre, work et labor. Elles sont
contingentes, historiques. Chaque groupe humain crée des catégories depensées, liées à des affects, et
sont historiques, et contingentes. Il faut donc dé essentialiser le travail, enlever l’idée qu’il y ait une
essence du travail. Le travail n’a pas de susbtance.

On va donc dé essencialiser le travail. Quel est donc l’histoire du travail ? C’est lié à la révolution
industrielle. La révolution industrielle est lié à une exode rurale massive. Le lieu de travail devient
alors extérieur à la maison : on va à l’usine. A la fin du 18 ème siecle, le travail devient une activité
séparé de la vie hors du travail. Avant on ne disait pas travail, les activités faisait partie intègrante de
la vie. Par exemple les moissons étaient intégré à la vie religieuse, familiale. On ne pensait pas le
travail agricole comme une activité à part. Elle n’est pas non plus séparé temporellement. Le salarié va
clarifier la distinction dans les pays occidentaux capitalistes.

Le salariat c’est un échange entre force de travail et rémunération. Le salariat invente le temps de
travail, lié à une valeur économique, induisant le salaire à l’heure. Il y a un remplacement de la
temporalité religieuse (cloche de l’église) à la temporalité du salariat. C’est un nouveau rapport au
temps. Il impose donc un temps de travail, et dans le travail. Le salariat est un contrat de
subordination. Pendant le temps de travail, le salarié est subordonné à son employeur C’est
extravaguant : alors que dans sa constitution chacun est égaux, on a crée un temps où les droits de
l’homme sont suspendus.

Supiot crée l’évaluation monétaire du travail. Il y a un équivalent, le cash. L’équivalent monétaire est
ce qui permet de généraliser, le travail, salarier le travail, rendu le travail par un échange monétaire
puisse se faire. C’est issu des économistes, une idée singulière du travail. Il prend une ampleur extra
ordinaire au 19ème et 20ème siècle. Avant la révolution industrielle, le travail n’était pas une catégorie de
pensée majeure. Tout ce qui y était associé

Dans la culture européenne anthique, le travail était totalement déconsidérée. La valeur était
« lotium », la participation à la vie de la Cité.La negosium était fort dévalorisée. Au Moyen Age il y
avait le féodalisme.

Dans l’idéologie chrétienne, c’est associé à la punition, à la souffrance. Le travail agricole est utilisé
comme une activité de redemption.

Lors de la renaissance. Il y a une grande valorisation du travail : l’éthos protestant. Il y a une asès dans
la consommation. Il y a donc un éthos protestant et l’apparition du capitalisme comme système
économique protestant.. Le rapport devient une valeur en soi, le rapport est différent pour les
protestants que pour les catholiques. Mais c’est surtout à partir de la révolution industrielle.

1791, la loi des chapelier détruit les corporations. En France, il y al ‘idée de liberté, de chacun à
pouvoir vendre son travail. Or, les corporations ne le leurs permmettait pas . Il y a udonc un
changmeent révolutionnaire.

2 façons de vendre le travail. Soit on vend le produit fini, soit on vend le temps. Puis arrive le
prolétariat. Le prolétariat c’est celui qui n’a que sa force de travail pour survivre. Les solidarités
n’existent plus, pour manger, il faut un emploi. Sans emploi on tombe dans la misère, et les
employeurs mettent en place des rapports de domination.

Robert Castel refait l’histoire du salariat, avec la métmorphoses de la question sociale. Castel explique
que le salariat est devenu désirable. Il l’est devenu parcequ’il donne un statut, rémunaire, donne une
protection sociale. Castel est devenu dsibk oarcequ’ill donne de multiples choses. ; Le salarié est pass
de quelque chose d’infament à une aspiration.

Ce concept de travail ne se retrouve que dans des modèles capitalistes. Lorsque l’on sort de
l’européocentrisme, on ne trouve pas le sens du travail tel qu’on l’entend. La notion de travail n’existe
pas, parceque le travail de production au sens simple de faire à manger, produire des vêtements fait
partie intégrante du travail.

Le travail fait partie d’une catégorie de pensée. On voit a une echelle internationale, que cette
« convention de language » qu’est le travail, est problématique. Gaullac a fait un article en montrant la
difficulté à quantifier le travail des enfants, statistiquement. A partir de quand dit on qu’un enfant
travail ? Gaullac insiste sur le caractère culturelle, la difficulté de se mettre d’accord
internationalement d’un point de vue statistique. Derrière le chiffre cache une convention. Jean
Gadrey, Dominique Meda ont réflechi sur la catégorie de pensée qu’est le PIB. Dire que quelque chose
est du travail, c’est une convention de langage.

Surquel critère on parle de travail. Quels sont les usages sociax. S’interesser aux évolutions sociales.
Sur quel critères, sur quel conflits. Réfléchir à la question du travail. Quand on parle de travail
aujourd’hui, on mobilise deux types de définitions du travail :
- Le premiere usage social du travail, on parle d’activités. Le fait de faire quelque chose. Le
travail comme activité universelle et eternelle. Christophe Dejours parle de la centralité du
travail. Il s’interese au point de vue anthropologique : empecher l’homme d’agir, ou faire en
sorte d’agir sur sa santé mentale, des questions centrales.
- La seconde est une définition institutionnelle. Le travaiil vu au niveau de l’institution. Que la
confusion avec l’emploi exprime parfaitement.

Les usages sociaux se réfèrent soit à l’action, soit aux institutions, et donc conventions historiques.
Aujourd’hui deux critères principaux pour parler du travail.

- Le premier critère est la reconnaissance économique


- Le second est l’utilité sociale.

Marx va dire que c’est dans le travail que l’homme se construit, trouve du sens, crée du lien social. Le
travail a une vision très positive, avec une conception hegelienne du travail. Par ailleurs, il donne aussi
une toute autre vision du travail. Il parle d’exploitation, d’aliénation. On fait donc la distinction entre
le travail anthropologique et le travail au sens institutionnel.

Quand on regarde le travail institutionnel, on s’interesse au cadre de cette activité, celle au sens
anthropologique. Quels sont, à un moment donné de l’histoire et à un moment precis, les controles, les
sanctions, les normes, les divisions de tâches. A chaque époque, on cherche de nouvelles formes
d’encadrement pour donner àl’activité, un destin heureux.

Il y a des difference dans la vision du travail quand on fait l’analyse d’une insu Pourquoi les nores de
la sciences actuelles sont ainsi mis en cause.

Comment la société encadre l’activité :

- Partie 1 Qu’est ce que l’action ?


- Quels sont les enjeux dans le faire ?
- Partie 2 Institutionnels Quels sont les caractéristiques sociales de l’encadrement de cette
activités ?
- Qu’est ce que les institutions dites du travail font à l’activité ?
- Comment la société ttaite-t-elle l’activité humaine ?
- Quels sont les caractéristiques sociales de la condition d’étudiant.

La dimension anthropologique

Qu’est ce que c’est que faire ?

Sommes nous dominés, sommes nous libres. Cette liberté est-elle rationnelle. La sociologie se pose
une question théorique fondamentale : comment comprendre l’action. On trouve des chercheurs dans
le champ du travail. Travailler, c’est d’abord faire quelque chose. On a des apports intéressant sur les
activités au travail.L’ergonomie, une science d’après guerre, s’est posé la question de ce qu’est
travailler. En ergonomie, il y a deux grandes tendances

- L’ergonomie de tradition anglo saxonne : parti très biologique, physicaliste, qui prend peu en
compte la dimension psychique du travail
- L’ergonomie française, depuis 1950, la tradition de l’ergonomie de langue française. Il a un
point de vue different sur l’activité, qui s’interesse à la dimension subjective du travail. Elle se
fonde sur cette part de subjectivité. Elle se fonde dans l’action.

Un texte en 1955, écrit par Faverge et Ombredanne propose que, quand on regarde les gens
travailler, ils ne font jamais exactement ce qu’on leur demande de faire. Il y a un écart entre le travail
prescrit et le travail réel. Comment tu fais pour de vrai. On transforme l’ordre en quelque chose, et ce
quelque chose est invisble à l’œil nu. Le travail fait appel au corps et à la subjectivité. Le travail réel
est un travail d’élaboration. Ce que nous faisons suppose toujours d’y mettre de soi. Si on execute
l’ordre, on s’execute soi-meme. C’est morbide, de ne faire qu’appliquer les ordres, ou les normes
d’action prescrites. Ne pas y mettre du sien, c’est-à-dire, executer, est délètère pour la santé.

Donald Roy, sociologue interactionniste des années 1940. C’est un ouvrier qui a fait une thèse. Il a fait
sa these sur le travail ouvrier. Il le connaissait bien, a continuer à le faire, et décrit un phénomène
troublant. Dans un travail très taylorisé, les employés vont plus vite que la cadence qu’on leur
demande de suivre. Ils le font pour survivre à l’ennui les ouvriers inventent des jeux entre eux.

Dans les années 70, un autre sociologue américain, Bravoy, s’est retrouvé dans la même usine avec la
même question, et le même résultat. Il n’y a pas réellement de consentement à la prescription, ils
inventent de nouvelles conditions de travailler pour rendre le traval vivale. Maisétant marxiste, la
consclusion différente. Pour lui, le jeu permet d’accroitre l’exokication tout en occultant les
phénomènes de o

Linnart écrit l’établit. Il voit aussi du jeu. Un cinéaste a repris cette idée, avec le film les temps
modernes de Chaplin. Même dans les espaces les plus contraigantes, les humains arrivent a faire autre
chose que ce qu’on leur demande de faire ; Les auteurs parlent de travail réel, mais aussi d’activité.
L’activité en somme, et cette élaboration invisble qui nous perme t de faire ce que nous avons à faire,
qui permet de rendre notre action vivable. Cette distinction entre réel et prescrit a éé reprise par
nombre de sociologie et de psychologie clinique. Faire est plus compliquer qu’executer. Yves Clot.

Pour Yves Clot, l’activité réelle, pour arriver à faire, c’est tout ce que nous faisons, et tout ce que nous
faisons pas, pour arriver à quelque chose.

Yves Clot propose un troisième concept. Après le prescrit, il y a le travail réel, et il y a aussi l’acgion
réelle. Le Réalisé ne dit pas tout sur le réel.

Séminaire analyse du travail

Le travail pose la question de l’action. Qu’est ce que travailler, qu’est ce que faire. C’est une question
traité par les psychologues du travail et croise une question qui déborde du travail, qui rattache aux
théories de l’action. Si on regarde le travail, se pose alors la question de ce que l’on fait, de ce qui se
joue dans le faire. On peut le prendre du coté du sens, et de la santé. Le travail amène à la question
anthropologique de l’activité humaine. Le tout faire humain.

Pourquoi sociologie du travail et de l’organisation ici. Nous sommes dans une société ou le travail est
central. Nous sommes dans une civilisation du travail. De la naissance à la mort, on passe un temps
majeur dans des institutions au travail, et des organisations.
Question :

- Avez-vous déjà travaillé


- Quelle est votre mythologie, croyance générale au travail
- Le métier des parents, statut, rapport. Les évènements marquants au travail.
- Qu’est ce que je ferai quand je serai grand ?
- Est il conforme au projet parental

Qu’est ce que le travail

Employer un mot singulier pour parler d’activités diverses et incomparables. Il y a une nécessiter
d’historiciser. D’où vient le mot du travail.

Les formes élémentaires de la vie religieuses : Durkheim et Mauss

Pour eux, la façon dont nous pensons, nous utilisons des mots, qui sont aussi des catégories de
pensées. Par exemple : le travail est un e catégorie de pensée . Concept pour echanger, penser, agir.
Or, Durkheim s’oppose a kant sur les catéogires de pensées. Pour lui, ce sont des construits sociaux.
Les cassifications et les catégories reflètent l’activité d’un groupe humain. Exemple avec les
esquimau : ils utilisent beaucoup plus de vocabulaire pour parler de la neige que les autres.
L’environnement joue sur les catégories de penseées. En Angleterre, work et labor. Elles sont
contingentes, historiques. Chaque groupe humain crée des catégories depensées, liées à des affects, et
sont historiques, et contingentes. Il faut donc dé essentialiser le travail, enlever l’idée qu’il y ait une
essence du travail. Le travail n’a pas de susbtance.

On va donc dé essencialiser le travail. Quel est donc l’histoire du travail ? C’est lié à la révolution
industrielle. La révolution industrielle est lié à une exode rurale massive. Le lieu de travail devient
alors extérieur à la maison : on va à l’usine. A la fin du 18 ème siecle, le travail devient une activité
séparé de la vie hors du travail. Avant on ne disait pas travail, les activités faisait partie intègrante de
la vie. Par exemple les moissons étaient intégré à la vie religieuse, familiale. On ne pensait pas le
travail agricole comme une activité à part. Elle n’est pas non plus séparé temporellement. Le salarié va
clarifier la distinction dans les pays occidentaux capitalistes.

Le salariat c’est un échange entre force de travail et rémunération. Le salariat invente le temps de
travail, lié à une valeur économique, induisant le salaire à l’heure. Il y a un remplacement de la
temporalité religieuse (cloche de l’église) à la temporalité du salariat. C’est un nouveau rapport au
temps. Il impose donc un temps de travail, et dans le travail. Le salariat est un contrat de
subordination. Pendant le temps de travail, le salarié est subordonné à son employeur C’est
extravaguant : alors que dans sa constitution chacun est égaux, on a crée un temps où les droits de
l’homme sont suspendus.

Supiot crée l’évaluation monétaire du travail. Il y a un équivalent, le cash. L’équivalent monétaire est
ce qui permet de généraliser, le travail, salarier le travail, rendu le travail par un échange monétaire
puisse se faire. C’est issu des économistes, une idée singulière du travail. Il prend une ampleur extra
ordinaire au 19ème et 20ème siècle. Avant la révolution industrielle, le travail n’était pas une catégorie de
pensée majeure. Tout ce qui y était associé

Dans la culture européenne anthique, le travail était totalement déconsidérée. La valeur était
« lotium », la participation à la vie de la Cité.La negosium était fort dévalorisée. Au Moyen Age il y
avait le féodalisme.
Dans l’idéologie chrétienne, c’est associé à la punition, à la souffrance. Le travail agricole est utilisé
comme une activité de redemption.

Lors de la renaissance. Il y a une grande valorisation du travail : l’éthos protestant. Il y a une asès dans
la consommation. Il y a donc un éthos protestant et l’apparition du capitalisme comme système
économique protestant.. Le rapport devient une valeur en soi, le rapport est différent pour les
protestants que pour les catholiques. Mais c’est surtout à partir de la révolution industrielle.

1791, la loi des chapelier détruit les corporations. En France, il y al ‘idée de liberté, de chacun à
pouvoir vendre son travail. Or, les corporations ne le leurs permmettait pas . Il y a udonc un
changmeent révolutionnaire.

2 façons de vendre le travail. Soit on vend le produit fini, soit on vend le temps. Puis arrive le
prolétariat. Le prolétariat c’est celui qui n’a que sa force de travail pour survivre. Les solidarités
n’existent plus, pour manger, il faut un emploi. Sans emploi on tombe dans la misère, et les
employeurs mettent en place des rapports de domination.

Robert Castel refait l’histoire du salariat, avec la métmorphoses de la question sociale. Castel explique
que le salariat est devenu désirable. Il l’est devenu parcequ’il donne un statut, rémunaire, donne une
protection sociale. Castel est devenu dsibk oarcequ’ill donne de multiples choses. ; Le salarié est pass
de quelque chose d’infament à une aspiration.

Ce concept de travail ne se retrouve que dans des modèles capitalistes. Lorsque l’on sort de
l’européocentrisme, on ne trouve pas le sens du travail tel qu’on l’entend. La notion de travail n’existe
pas, parceque le travail de production au sens simple de faire à manger, produire des vêtements fait
partie intégrante du travail.

Le travail fait partie d’une catégorie de pensée. On voit a une echelle internationale, que cette
« convention de language » qu’est le travail, est problématique. Gaullac a fait un article en montrant la
difficulté à quantifier le travail des enfants, statistiquement. A partir de quand dit on qu’un enfant
travail ? Gaullac insiste sur le caractère culturelle, la difficulté de se mettre d’accord
internationalement d’un point de vue statistique. Derrière le chiffre cache une convention. Jean
Gadrey, Dominique Meda ont réflechi sur la catégorie de pensée qu’est le PIB. Dire que quelque chose
est du travail, c’est une convention de langage.

Surquel critère on parle de travail. Quels sont les usages sociax. S’interesser aux évolutions sociales.
Sur quel critères, sur quel conflits. Réfléchir à la question du travail. Quand on parle de travail
aujourd’hui, on mobilise deux types de définitions du travail :

- Le premiere usage social du travail, on parle d’activités. Le fait de faire quelque chose. Le
travail comme activité universelle et eternelle. Christophe Dejours parle de la centralité du
travail. Il s’interese au point de vue anthropologique : empecher l’homme d’agir, ou faire en
sorte d’agir sur sa santé mentale, des questions centrales.
- La seconde est une définition institutionnelle. Le travaiil vu au niveau de l’institution. Que la
confusion avec l’emploi exprime parfaitement.

Les usages sociaux se réfèrent soit à l’action, soit aux institutions, et donc conventions historiques.
Aujourd’hui deux critères principaux pour parler du travail.

- Le premier critère est la reconnaissance économique


- Le second est l’utilité sociale.
Marx va dire que c’est dans le travail que l’homme se construit, trouve du sens, crée du lien social. Le
travail a une vision très positive, avec une conception hegelienne du travail. Par ailleurs, il donne aussi
une toute autre vision du travail. Il parle d’exploitation, d’aliénation. On fait donc la distinction entre
le travail anthropologique et le travail au sens institutionnel.

Quand on regarde le travail institutionnel, on s’interesse au cadre de cette activité, celle au sens
anthropologique. Quels sont, à un moment donné de l’histoire et à un moment precis, les controles, les
sanctions, les normes, les divisions de tâches. A chaque époque, on cherche de nouvelles formes
d’encadrement pour donner àl’activité, un destin heureux.

Il y a des difference dans la vision du travail quand on fait l’analyse d’une insu Pourquoi les nores de
la sciences actuelles sont ainsi mis en cause.

Comment la société encadre l’activité :

- Partie 1 Qu’est ce que l’action ?


- Quels sont les enjeux dans le faire ?
- Partie 2 Institutionnels Quels sont les caractéristiques sociales de l’encadrement de cette
activités ?
- Qu’est ce que les institutions dites du travail font à l’activité ?
- Comment la société ttaite-t-elle l’activité humaine ?
- Quels sont les caractéristiques sociales de la condition d’étudiant.

La dimension anthropologique

Qu’est ce que c’est que faire ?

Sommes nous dominés, sommes nous libres. Cette liberté est-elle rationnelle. La sociologie se pose
une question théorique fondamentale : comment comprendre l’action. On trouve des chercheurs dans
le champ du travail. Travailler, c’est d’abord faire quelque chose. On a des apports intéressant sur les
activités au travail.L’ergonomie, une science d’après guerre, s’est posé la question de ce qu’est
travailler. En ergonomie, il y a deux grandes tendances

- L’ergonomie de tradition anglo saxonne : parti très biologique, physicaliste, qui prend peu en
compte la dimension psychique du travail
- L’ergonomie française, depuis 1950, la tradition de l’ergonomie de langue française. Il a un
point de vue different sur l’activité, qui s’interesse à la dimension subjective du travail. Elle se
fonde sur cette part de subjectivité. Elle se fonde dans l’action.

Un texte en 1955, écrit par Faverge et Ombredanne propose que, quand on regarde les gens travailler,
ils ne font jamais exactement ce qu’on leur demande de faire. Il y a un écart entre le travail prescrit et
le travail réel. Comment tu fais pour de vrai. On transforme l’ordre en quelque chose, et ce quelque
chose est invisble à l’œil nu. Le travail fait appel au corps et à la subjectivité. Le travail réel est un
travail d’élaboration. Ce que nous faisons suppose toujours d’y mettre de soi. Si on execute l’ordre, on
s’execute soi-meme. C’est morbide, de ne faire qu’appliquer les ordres, ou les normes d’action
prescrites. Ne pas y mettre du sien, c’est-à-dire, executer, est délètère pour la santé.

Donald Roy, sociologue interactionniste des années 1940. C’est un ouvrier qui a fait une thèse. Il a fait
sa these sur le travail ouvrier. Il le connaissait bien, a continuer à le faire, et décrit un phénomène
troublant. Dans un travail très taylorisé, les employés vont plus vite que la cadence qu’on leur
demande de suivre. Ils le font pour survivre à l’ennui les ouvriers inventent des jeux entre eux.

Dans les années 70, un autre sociologue américain, Bravoy, s’est retrouvé dans la même usine avec la
même question, et le même résultat. Il n’y a pas réellement de consentement à la prescription, ils
inventent de nouvelles conditions de travailler pour rendre le traval vivale. Maisétant marxiste, la
consclusion différente. Pour lui, le jeu permet d’accroitre l’exokication tout en occultant les
phénomènes de o

Linnart écrit l’établit. Il voit aussi du jeu. Un cinéaste a repris cette idée, avec le film les temps
modernes de Chaplin. Même dans les espaces les plus contraigantes, les humains arrivent a faire autre
chose que ce qu’on leur demande de faire ; Les auteurs parlent de travail réel, mais aussi d’activité.
L’activité en somme, et cette élaboration invisble qui nous perme t de faire ce que nous avons à faire,
qui permet de rendre notre action vivable. Cette distinction entre réel et prescrit a éé reprise par
nombre de sociologie et de psychologie clinique. Faire est plus compliquer qu’executer. Yves Clot.

Pour Yves Clot, l’activité réelle, pour arriver à faire, c’est tout ce que nous faisons, et tout ce que nous
faisons pas, pour arriver à quelque chose.

Yves Clot propose un troisième concept. Après le prescrit, il y a le travail réel, et il y a aussi l’acgion
réelle. Le Réalisé ne dit pas tout sur le réel.

Le travail n’est pas une substance, une chose universelle : c’est une catégorie de pensée, crée par
l’homme pour la catégoriser. Elle arrive lors de l’ère industrielle. Il apparait initialement en physique.
Cette catégorie de pensée vient de la société : c’est une catégorie construite socialement et localement,
et qui est surtout polysémique. La voir comme une catégorie de pensée est un fondement.

Le mot travail, deux signification :

- (définition anthropologique Une activité, un faire quelque chose (qui est universel et
intemporelle)
- (au sens institutionnel, historique), emploi, statut des salariés
- L’utilité, le jugements (conflictuel)

Soit on parle d’action, soit on parle d’emploi, soit on parle de jugement d’actualité ? Une conception
indigène : lié à la personne qui parle. On peut trouver aussi d’autres signification Le travail a donc
une valeur intrinseque (popre à l’action elle-même, en dehors des autres jugements), une valeur
economique et une valeur politique. Qaund on parle du travail, on se pose toujours la question de quel
valeur on parle

Insertion

Le travau au sens institutionnel est devenu central. Ne pas en avoir, c’est être en dehors de la norme.
Dès que la trajectoire d’un individu est en dehors de cette norme, l’individu est à la marge. C’est une
construction sociale, et centrale en France. Le statut et l’economie ne sont pas toujours collé. On peut
penser au travail informel, qui ne donne pas lieu à de la rémunération.

Le travail au fond, c’est une action humaine, qu’on appelle travail. Ce n’est pas le sociologue qui
parle, c’est la société. On ne peut pas définir le travail, alors on l’appelle l’action humaine dénommé
travail. Ça consiste à poser la question du faire, et de s’interroger sur les caractéristiques sociale de
cette dénomination.. Il faut s’interesser aussi comme les conflits typiques dans la dénommination. Par
exemple, le travail domestique est en débat. Le travail parental aussi par exemple. Pas de oui, ni non,
c’est une négociation, un débat.

Il foaut donc voir d’un coté l’action, et ensuite les conditions, caractéristiques de l’action. Agir
comporte des enjeux de sens et de santé centraux. Le travail et l’activité ne sont pas des executions, ce
sont des processus dans lesquels on joue le sens de notre vie et de notre santé.L’action a une dilension
existentielle. L’histoire traite l’action humaine d’une certaine façon : on est passé de l’esclavage au
salariat. Deuxieme grande institution du travail après l’emploi, l’organisation. On peut s’interesser
aussi à certaines formes de determinisme. L’activité humaine est fortement determiné par l’emploi,
l’organisation et les professions. Emploi-organisation-professions : les trois institutions qui
aujourd’hui encadrent l’actvité humaine que l’on appelle le travail. On les observer et etudier le
rapport qu’elles entretiennent avec le travail au sens de l’anthropologie et au sens de l’utilité.

Le fait de dire qu’une action humaine est une travail, toute les institutions vont s’en accaprer, les
modifier, les transformation. La société change alors, l’activité humaine. Comment les institutions
sociales transforment la valeur intrinsèque et la valeur d’usage du Labor. La valeur intrinséque,
économique et sociale d’un prêtre, varie en fonction des formes sociales, historique.

- Le travail prescrit : tout ce qu’on nous demande de faire : variable historiquement.


- Le travail réalisé : travail fait finalement, visible. L’action visible.
- Le trvaail réel : Il déborde le prescrit, c’est ce qu’elle fait finalement du travail réalisé.

Si le travail se limite au prescrit, alors on peut remplacer l’homme par la machine. La grève du zèlz.
Zèle comme exces, en plus de ce qui est demandé, c’est tou ce que l’on fait en plus du prescrit. C’est
un analyseur du travail : appliquer le prescrit, seulement. On ne la rend pas intelligente. Obéir sans y
mettre du sien. Si on fait ça, tout fout en l’air. On a besoin de l’intelligence humaine, d’adaptation,
d’arrangement. Si on en a pas besoin, on passe du prescrit à la machine. Donc. On costate que les
gens font pas exactement ce qui est demandé. Il y a tout ce que l’on fait pourarriver à faire. Dans
l’univers taylorien on voit le plus l’ecart entre prescrit et réel.Sur un travail tres repetitif et contraint,
où on ne met en place qu’un geste, les gens font toujours autrement. Le taylorisme, aeu ce but de
supprimer le rêve, d’enlever l’humain. Et pourtant l’humain s’y maintient : ils interpretent la
prescription : ils désobéissent, ils trichent, ils jouent pour :

- Retrouver le sentiment d’être un être humain en jouant avec la machine, la contredire


(retrouver une dignité)
- Pour se preserver de ‘l’ennui et de la souffrance du travail répétitif.

Ill y a une ré élaboration de la tache, dans l’entre deux du prescrit et du réalisé. L’entre deux est le
travail réel.

Dans le travail réel, on est chans le champ des émotions. Des émotions, de la créativité, du sens inscrit
dans une histoire singulière, sociale. Tout ce que l’on a fait pour faire finalement : il est bien plus vaste
que ce qu’on mimagine (fiche de lecture, brouillons, hésitations, fausses routes). Il y a toute une
réelaboration de la prescription, ce que l’on fait et que l’on défait, ce qui est dans le réalisé, tout ce que
l’on fait pour ne pas faire autre chose. On va au dela de la prescription. Realiser un travail qui soit
ajusté, mais aussi un travail qui fasse sens et qui contribue a notre santé. (on s’ajuse, on se proetege,
on se tient). Une approche de ce qu’est le travail réel comme une premiere approche  : il s’y joue
l’efficaité, du sens que nous en faisons et de notre santé. Il y a un jeu collectif, social, mais aussi
existentiel.
C’est dans l’ergonomie que se joue le travail réel. Cet écart entre prescrit et réalisé a été vu par la
clinique du travail On pense à DejourS ? Yves Clot, Dominique Lhuilie. Les distinctions entre prescrit,
réel et réalisé, on voit un enjeu fondamental dans la prescription du réel, dans une recherche de sens et
de santé. On part d’une anthropologie de l’action pour en voir après des dimensions sociales. C’esttout
du moins l’enjeu de la clinique.

Travail réel et activité sont synonimes. Peut on faire une analyse de l’activité dont on parle. La théorie
de Marie Anne Dujarier, c’est de passer par les moments où ça se passent mal.

- Dans la plainte, il y a des agissements sans élaboration vécue. Vu comme de la souffrance


- Dans la plainte, est entendu le manque de sensation, de sensualité. C’est au cœur du réel.
Quand on ne le sent pas, on le fit mal. Pour bien travail, il faut le sentir. On peut agir
abilement, parcequ’on sent les choses.
- La troisième plainte, c’est la difficulté de créer des significations dans le travail . Un récit qui
tienne au sens de la cohérence et qui nous tienne au sens de la santé psychique.

Il faudrait voir les cas pathogènes, pour vois ou l’activité est empêché. Quand on passe du prescrit au
réalisé, ou le réel manque d’ampleur, alors qu’elle devrait être une nrme de santé : élaborer, sentir, et
signifier. Ce sont les trois sens du mot sens :

- Donner une orientation


- Donner une signification
- Donner une sensation

Lorsque l’activité est empeché, c’est qu’on passe du prescrit au réalisé, sans réel : et alors, le travail
n’a pas de sens. Le travail peut « posséder du sens ». Le sens pourrait être une substance. Mais bon.
Debat. Pas sûre. Il est lus probable, que le sens n’est pas quelque chose que l’on, a, c’est quelque
chose que l’on fabrique en cntinu. Nous ne cessons de fabriquer du sens a nos vie  : le sens n’existe pas
comme une chose qu’il faudrait s’accaparer ou voler. Le sens est une fabrication permanente.
Comment on fabrique du sens ? Le sens se produit dans l’activité. C’est une théorie du sens, qui met
le sens au niveau de l’action. Le sens ne se trouve pas, ne s’existe, il se construit, dans l’action. Dans
c’est pas pour la contemplation que par le fait que l’on est embarqué dans des activité contraintes.
C’est un point de vue plus matérialiste sur le sens.

Mardi 5 Décembre 2017


Travail avec Marie Anne Dujarier

Dans chaque conflit, on peut voir l’objet du conflit, et le changement des règles.

Depuis l’invention du capitalisme, l’Etat est né : au 18ème. L’etat a toujours été plutôt dans le
capitalisme. Le but,maintenir le capitalisme. Les acteurs favorables ont fait des concessions. On parle
de jeu de corrections. Le rôle de l’Etat est important dans le capitalisme en France. Les inégalités
sociales sont liées à :

- La classe sociale,
- Le phénotype
- Le genre
Voir le contexte sociale sous le regard sociologique. Pensons par exemple sur le regard de Marx, ou
bien celui des interactionniste, ou bien celui des cliniciens. Pour les cliniciens, posons la question de
l’élaboration du sens. On regade un double mouvement : qu’est ce qui pousse a sortir dans la rue (les
determinants historique, institutionnel et contextuel) et en retour comment ils répondent, quel sens ça a
pour eux : quels subjectivations à l’œuvre. Et, comment j’interroge ma subjectivité

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On retrouve la théorie de l’action de la clinique, c’est de dire que nous sommes cernés de
determinants, d’autant plus dans le travail. Beaucoup de determinant dans le travail et l’important,
c’est ce que l’on en fait, par le déploiement d’une activité qui vise à faire sens, à produire du sens. Le
travail est peut etre plus cernée de determination.

Parlons de ces contraintes.

- Le premier est celui du contrat, le rapport financier. Ce qui est caractéritique, c’estqu’il
s’exerce (parfois) dans le cadre d’un emploi. Dans une activité salariale, l’emploi nous donne
accès à la vie matérielle.
- L’emploi donne une valeur social majeur. Il donne une place, une identité.
- Socialisation, n’ont plus le support pour se socialiser.
- Une organisation du travail qui organise. Il y a une division du travail très précise. Une
division verticale (hierarchiquement) et horizontale (fonctionnelle et géographique), lié aux
genres, classes, âge, diplôme, phénotype.
- Les instances d’Eugne Enriquez. On profite d’ailleurs de distinguer la clinique de la
psychosociologie. Est-ce que le groupe est la bonne grille d’analyse.
- La question du temps : passag d’un temps communautaire à un temps productif.
- …
- La profession, est le troisième cadre du travail : on respecte des règles professionnels. Le
dernier endroit de la société qui structure selon Durkheim. Le métier commence au 11 ème
siècle.

Donc, le travail est contraint par les professions, l’emploi, et l’organisation du travail. Si elle n’est pas
sous cette contrainte, elle est en générale considéré comme autre chose que du travail. Ce que la
société appelle travail, ce sont des activités soumis à ces contraintes précises. Donc on va se renseigner
sur ces trois pôles.

L’emploi

La modernité à fait passer l’emploi dans la salariat. On pense à differentes formes d’emploi, comme le
salariat, l’esclavage, l’emploi. Le travail indépendant, l’auto entrepreunariat, La salariat est donc une
forme d’emploi parmis d’autre. Le mot emploi est devenu synonyme de salariat et donc est devenu un
concept juridique. La nuance, c’est se vendre, ou vendre un service, et c’est à mettre en débat. On
peut aussi vendre deux genre de choses : le produit de son service, la force de son travail. Le salariat a
été inventé lors de la révolution industrielle. Le salariat est dominant dans la société, peu dans le
monde (environ 50%). Le travail se déplace, il devient un concept, en terme de lieu et de temps, dès le
18ème siecle. Le travail n’est plus dans le normal, il est dans un quelque chose. Il y a alors la creation de
la consommation, qui apparaît alors. Il y a alors le marché des biens et services, et aussi le marché du
travail. C’est surtout aussi que la révolution politique, la révolution française

La révolution française ont attaqué les corporations. La valeur majeur, chère, la liberté est en
opposition à la corporation, l’institution de l’Ordre naturel. Ils cassent l’idée de l’ordre naturel lié à la
naissance et à Dieu. Tous égaux en droits, donne la liberté de la mobilité sociale, et de bouger dans
l’echelle sociale. Les libertaires ont condamné le système qui fait fonctionner les corporations. Cette
idée de liberté est celle que chacun est égale a pouvoir vendre sa force de marché. On n’est plus
protégé par le métier, les corporations, on est tous égaux.

L’emploi est un contrat de subordination, juridiquement. Alain Supiot s’interroge qu’en démocratie,
on signe un contrat entre égaux, que l’on n’est plus égaux. Le contrat salariat était jugé infamant.
Pensons les métamorphoses de la question sociale. Le salariat est devenu désirable. Pour répondre aux
besoins du corps physique, on a besoin du salaire. Saint Paul « celui qui ne travaille pas, ne mangera
pas ». Pour avoir le droit d’être logé, nourrit, chaffé, il faut en passer par le salariat. Le salariat devient
un moyen de survie. Le grand risque, la maladie, le chômage, la vieillesse. Face a ces trois grands
risques de l’existence, il y a plusieurs façons d’y répondre. Il y a des fromes de solidarités mécanique
pour les corporations, des systèmes privés d’assurances, des systèmes éthatiques qui passe par l’impôt,
et un système de solidarité fondé sur le salariat : la sécurité sociale. La sécurité sociale vise à répondre
à ces trois grands risques, chacun peut y acceder. Très beau pour ceux à l’intérieur, pas terrible pour
ceux qui sont à l’extérieur, et qui ne peuvent pas y acceder.

La salariat, c’est génial, il protège des conditions de vie de l’existence. Le salariat est devenu
désirable. Grâce à cette question de la sécurité. C’est en ça que voit Castel. L’hypocrisie sociale : nous
sommes dans une société ou l’emploi est devenu central, mais il n’y en a pas pour tout le monde  :
n’oublions pas la persistance d’un chômage de masse. Un chomeur est un actif qui cherche
activement du travail, disponible de suite, et sans emploi. C’est la catégorie A, la catégorie BIT. Mais
il y a aussi la catégorie B et C. On peut penser a ceux qui ne sont pas disponible de suite, ect. Le
nombre de chomeur approchent plus des 20% que des 10%. On serait plus proche des 6 millions de
chomeur que des trois chomeurs. Il n’y a qu’un chômeur sur deux qui ont une cotisation.

Les ludistes sont ceux qui cassent les machines qui détruisent des emploi. Les hackers qui détruisent
des appareil. La mécanisation du travail est lié à un débat fort si la robotisation va détruire ou non des
emplois. L’automatisation vise à detruire des travail automatisés. Mais si on voit un peu plus large, de
nouveaux besoins, font déplacer de nouveaux métiers.

Chez les fonctionnaires, il y a une distinction entre hopital (1,1 million), les ministères (2,4 millions,
avec 1 millions d’enseignants et 600 000 pour la défense et l’intérieur) collectivité territoriale (1.8
millions). Majoritairements, ils sont des contractuels, et particulierement precaire.

Le concept de salariat

Quand le travail est cadré par le salariat, compris comme fonctionnaire et contrat de travail : 88% (et
donc seulement 12% d’indépendant). On regarde le travail d’abord sous une forme de ratio : combien
sa coute, et quelle compétence. Les économistes appellent ça le travail vu de manière abstraite : une
marchandise sur le marché du travail. Pour un employeur, le travail c’est d’abord une marchandise sur
le marché. Ce même boulot, vu par celui qui le fait, est au contraire, concret  : une activité au sens
définit d’actes de sens et de santé. C’est conflictuel. L’employeur, dans cet abstrait est de dépenser
moins, le travail cherche a developper une activité. Il peut élaborer, sentir et signifier, il va pouvoir
produire de la santé et du sens en plus du salaire. Le salariat encaddrel’activité entre la vision abstraite
de l’emloyeur et de la vision concrète de celui qui le fait : c’est conflictuel.

Il aura fallut qu’il y ait des instances et des representants qui fassent médiation entre l’employeur et le
salarié. Ça s’instaure lors de la 3 ème République, en 1894 : le droit de coalition, de se syndiquer. Se
crée alors en 1895, la CGT. Penser les rapports sociaux, tout comme le salariat, tension entre travail
concret et travail abstrait, dans un rapport de domination. Pour sortir du rapport de la violence sociale,
ont été progressivement montée des droits du travail. Tout au long de ce siecle, il a eu des lois qui se
sont mise en place sur le droit du travail qui concerne le travail des enfants, durée du temps de travail,
la retraite, le repos dominicale 1906, congé payé en 1936, le patronat est plus ou moins responsable de
la santé, les regles de mode de negociation.

Mercredi 13 Décembre 2017

L’organisation

La politique, comme insstitution du travail. La politique amène le neo liberalisme. Elle est un discours
et des pratiques qui font étendre les lois du marché dans la société, qui font penser la concurrence est
bénéfique pour tout lemonde. Le libéralisme est une intervention forte de l’etat pour créer des lois du
marché. C’est une intervention massive de l’Etat pour créer du marché partout. Elle concerne les
France et un certain nombre de pays. Elle met en place donc une concurrence, une compétence : on
peut le voir dès le départ, dès la creche. C’est un bruit de fond de l’organisation. Les modes de
compétition se font sur plusieurs echelles. On peut le voir à l’internationale. On a créer des règles qui
permettent de mettre en concurrence.

Le capitalisme, rupture morale majeur avec l’avant, la place de la religion de la société. Il a fallut un
renversement idéologique majeur, pour que l’acquisition du capital valorisé puisse se mettre en place.
(Albert Hirschman, la passion et ses interets : montre le bouleversement idéologique qui fait que la
quête individuelle est une réussite socialement).

Au niveau de l’international, le liberalisme vise la faiblesse des couts. Au niveau national, il y a aussi
la mise en concurrence de formes de production. Par exemple, les universités. La concurrence entre
« unité similaire » est devenu une règle dans le nouveau management public. Le nouveau management
public est une nouvelle forme de management qui s’inspire des modes de management du privé qui
vise à optimiser d’un point de vue économique le coût du financement. Le nouveau management
public. On met en concurrence sur des criteres quantitatifs : on pense aux hopitaux. Depuis 15 ans,
sont mis en concurrence qui la compare en permanence, des ratios economiques. On a une série de
ratio. Cela met une pression non moins sur le travail que sur la production a sauver sa peau, qui induit
un gros travail de production de preuve de conformités aux attendus. Il y a eu un management par
objectif.

La Loi Organique de la Loi de Finance voté en 2002, mise en place progressivement, qui a crée une
transformation énorme, le passage d’un financement de l’etat par recondutction par le financement de
l’Etat par projet. On entre dans une idéologie du projet. L’idée de l’externalisation qui permet de
mettre en concurrence, qui transforme les structures, les poes gestionnaires charfé de l’activité en
prestataire de service. C’est l’idée qu’i l faut garder en cœur les metiers strategiques et externaliser
tout le reste. En externalisant, on a donc des clients de prestations. L’externalisation est devenue une
transformation majeure : transformer des contrats de travail pour une tâche pour en faire un contrat
commercial. On pense à la medecine qui externalise des radios. On pense aux jeux video, les jeux
etant crée en Indonésie. On a aussi une externalisation au niveau du travail du consommateur.

On assiste à un effet d’echelle : plus on est gros, moins c’est cher. C’est ce principe là : le coût unitaire
de chaque produit baisse. La technique, on joue a plein les economies d’echelle. On pense à Ford, qui
a crée le marché et le produit : plus je réussis sur le marché, plus je réussis sur le marché. Le
capitalisme tend vers le monopole de façon de plus en plus magistrale. Les effets d’echelle pousse à la
concentration. On arrive avec des monopoles nationaux. On pense à la construction des capitaux, qui
fabriquent progressivement des monopoles. Le neoliberalisme favorise les effets d’echelle en
concentrant au maximum des acteurs d’un même champ. La loi GPP renforce le management, le
financement par projet, loi sous Sarkozy.

On y est depuis les années 80-90, et s’est institué par Sarkozy, soutenu par Hollande et Macron. Le
neoliberalisme induit ce qu’Ehrenberg dit, c’est que dans le neoliberalisme, nous sommes tous
sommés d’être des entrepreneurs de nous-mêmes. Ça veut dire etre responsable de se projet, gerer sa
vie comme un professionnel gerrait son entreprise. Théorie fondamentalement répondu, et qui
interroge. Becker parlait du capital humain : former l’imaginaire dans lequel ou nous serions du
capital. Nous devrions augmenter votre capital. Cette entrepreunariat de soi a été critiqué. L’idéologie
est de faire de soi une valeur à exposer. Elle induit une très forte individualisation, et induit au rapport
au monde tres different d’un rapport au monde dans une autre idéologie. Du point de vue solitaire, le
rapport au monde a subjectivement, une forte place à la solitude et à la recherche économique, avec la
menace d’être exclut. Elle nie les inégalités sociales. La fatigue d’être soi montre que les pahtologies
psychiques ont changé à la fin du 20ème siecle. A la nevrose vu de Freud entre le ça et sur le Surmoi,
nous serions tous dans cette nevrose. Pour Ehrenberg, la tension psychique n’est plus celle-ci. Les
gens qui souffrent sont plutôt des gens qui ont un soucis avec la limite, souffre de ne pas voir de limite
se poser à leurs désirs, ou leur responsabilités. On est une dans une société qui donne tres peu de
limite. La société à irigé que nous devions etre infiniment performants dans tous les domaines. On est
dans un culte de la performance dans tout les domaines : loisirs,trvail, sexualité, santé, physique. D’où
la fatigue d’être soi, d’être responsable. (critique de Ehrenberg contre De Gau, dans Esprit).

Le coût est proportionnel à la réussite ou a l’echec. L’idée de la théorie des capitaux : économique
culturel et social. Si tu en augmente un, tu augmentes les autres. Marx disait qu’il y avait surtout un
capital «économique. L’entrepreunariat de soi, c’est aussi comparer un capital entre soi et les autres.
Elle est poussé à son paroxysme : travail à la tache avec un intermediaire commercial.
Recommandation du livre : la nouvelle raison du monde, 2009.

Points de Reperage

Travail, une activité encadré par des institution d’emploi, de profession. Si on remonte dans le temps,
l’organisation du travail a changé dans l’humanité. Il arrive avec la révolution industrielle et le
taylorisme, une rupture majeur dans l’organisation du travail. Le travail avant la révolution
industrielle était agricole et artisanale, et la consommation très faible. On était beaucoup dans l’auto
production, on ne passait pas par l’entreprise, la communauté s’en occupait sans usage du marché. Ce
qu’il se passe avec la revolution politique et economique du 19 ème siècle c’est l’apparition du travail, et
la consommation. Plus on spécialise le travail, plus on developpe le marché.

Caractéristique de l’organisation du travail dans un régime capitaliste. Mise en place de la


concurrence. C’est l’entrée de l’investissement. C’est un rapport coût/bénéfice. Plus l’écart est grand,
plus je capitalise. Pour gagner de l’argent :

- Effet d’echelle : standartisation, concentration


- Le meilleur rapport qualité précis
- Precarisation de la main d’œuvre
- Externalisation : delocaliser la main d’œuvre
- Des techniques de motivation
- Déménagements
- Defiscalise
- Les couts de formation
- Externaliser les couts du chomage
- Externaliser les couts de la santé
- Externaliser la pollution

Alors que les entreprises utilisent des ressources communes, elles ne vont pas les payer. On va aussi
automatisern utiliser les consommateurs, les bénévoles. Les formes de précarisation de la main
d’œuvre. Il ya la disparition du CDDI, a la place des contrats de mission, de contrat à la tache. Pour
etre bon capitaliste, il faut réduire les couts, par un cetain nombre de moyens. Et d’un autre côté, on
vend par le plus grand nombre possible. On pense à :

- La creation de la marque qui permet de se poser dans une classe sociale. On parle de
consommation distinctive. Pour démontrer sa richesse, il faut montrer son oisiveté. C’est
l’idée que les gens sont prêt a payer tres cher ce qu’il ne vaut pas l’interet. J’ai quelque chose
de cher pour montrer que je suis en capacité de pouvoir le payer. C’est l’effet Weblen
- Il faut vendre beaucoup et cher. L’obsolescence programmé
- Créer de nouveaux besoins
- Etendre le marché : trouver des biens et des services qui vont s’étendre sur le marché, jusque
là assuré par l’Etat. La privatisation
- Tout ce qui relève de la gratuité : marchandisation de ce qui était hors marché
- Le marché de l’émotion : matrimonial

En mode capitaliste, au niveau du travail, on a affaire a une organisation, avec un rapport de force
permanent sur les employes, sur les couts, a des stratégies marketing : l’histoire du marketing de
Franck Cochua. Il parle d’une pratique sociale, celui du marketing.

La rationalisation du travail n’est pas que quelque chose de capitaliste. Cela a été aussi recherché dans
économie sociétique, réduction des couts peuvent aussi servi. On a une rationalisation très forte : Yves
Cohen sur la rationalisation du travail en France. On a eu le passage du taylorisme au début du
20ème siècle. Du point devue de l’organisation du travail on a de nouvelles technique de rationalisation
de la main d’œuvre qui ont un succes planetaire et qui change tout. C’est-à-dire du point de vue du
travail qui modifie completement l’activité. Dans le taylorisme, on a la division horizontale et
verticale. Le travailleur se foit déqualifier. Donc, ça rentre en conflit du travail, c’est un vrai rapport de
force : les employeurs peuvent prendre la place du pouvoir. Au lieu de se mettre en place un rapport
avec un artisan, Taylor a reussit a mettre en place un système.

Ce système fait faire travailler des gens, une aubaine pour les immigrés et les femmes lors de la
guerrre. Il introduit la disqualification, qui rend le travail degoutant. On parle aussi d’une rupture
anthropologique. Dans le taylorisme, le principe c’est qu’il y a des ingénieurs, qui organisent le travail
sans le faire, avec des gens qui vont travail sans l’organiser. Pour le dire autrement, certains pensent
l’action sans la connaitre, et d’autres agissent sans penser. Et ça, c’est inhumain. On ne peut pas
penser. Il y a eu un retournement de la pensée chez les ouvrier, qui a la recherche d’une humanité, en
ne répondant pas a la prescription, au moins sur le temps, et sur le geste. Le taylorisme s’est imposé en
force. Le taylorisme a eu raison en s’etendant, et a eu tort par les combats ouvriers dans leur
comportment au quotidien.

Ford met en place la consommation. Il a bien marché en créant une consommation accessible, et des
consommateurs des produits qu’ils fabriquent. Il a inventé le 5 dollars par jours. Il le revendique par le
gain de productivité en retour. Ce gain il l’obtient en créant le travail à la chaîne. L’ouvrier reste à sa
place. Il fait un geste répétitif. La chaine imposer le rythme. C’est un nouveau contrat social. Est-ce
qu’on est toujours dans cet idée ? Va-t-il toujours de soi d’être prêt a degrader son travail pour
l’emploi, la consommation, le bonheur ? S’il est toujours fondateur du capitalisme aujourd’hui. Le
defaut, c’est que les ouvriers avaient de bonnes idées, et au lieu d’en faire des ennemis, on ferait peut
etre mieux de les participer. On a un mouvement qui commence avec ce qu’on appelle les relations
humaine et qui se developpe avec Toyota. D’autre formes de management, on pense au kaisen, et
Lean management. Ces modes critiqque le management precedent, et revendique toujours la baisse des
couts. Il se nourrit de cette critique. Taylorisme et fordisme n’ont cessé de se developper. La critique a
permis la creation de novueaux modes, que sont des modes d’encadrement du travail très particulier,
en mettant sous tension. On pense au LEAN management : une organisation qui vise a supprimer tout
ce qui dépasse. Youtube : la mise à mort du travail.

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