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Psychanalyse

Castoriadis

Né a constantinophe, étudie la philosophie a athene, il est militant au communisme, et rejoind le parti


trotkiste.. Il se sent menacé de la dictature, et des communistes, qui veulent sa liquidation en 1945 ; Il
s’installe en France pour faire une these en philosophie. Il crée legroupe « socialisme et barbarie », qui
propose un engagement philosophique. Il critique le communisme et le capitalisme. Il dénonce la
logique des pouvoirs totalitaire. Il devient expert en question économique. Il publie la question de
l’imaginaire. Il developpe son idée philosophique et y inclus des connaissances : le social historique,
le rapport entre psychée et société. En 1977 il publie « libre » : il est desireud e degager une
inteligibilité entre les mecanismes de société et les mecanismes psychique. Il fait une analyse de la
théorie freudienne et decide de devenir psychanalyste. Il passe donc d’une fonction d’économiste
àpsychanalyste. Il devient directeur de recherche a anime un séminaire jusqu’en 1995 et decede en
1995 d’une opération du cœur. Il faisait une étude sur la rationalité du capitalisme.

Une œuvre philosophique et anthropologique, basé sur l’institution. Comment les sociétés s’institue, et
pour lui, elles s’instituent a partir de l’imaginaire. Il n’est pas dans un champ particulier, il fait lié
plusieurs champs théorique. C’est ce qui lui permet de déployer ses idées mères. Il prend comme fil
conducteur du lien social les significations sociales. Il ne fait pas la distinction entre l’irréel et le réel,
un imaginaire séparant les deux mondes. On a pas à le penser comme un double irréel, réel, mais
comme une position premiere, inaugural, irréductible du social historique : le monde des
significations. Tel qu’il se manifeste chaque fois dans une société donné. « Il va poser un fondement
inaugural, irréductible de l’univers social. Il va poser qu’il est là avant tout et qu’il se manifeste en
significations sociale dans chaque institution. Donc une position premiere qui se presentifie et se figre
dans et par l’institution. L’institution donc instrumentée, toujours dans les institutions du langage et
du faire qui pour, chaque société, pose ce qui est, et ce qui n’est pas, ce qui vaut, ce qui ne vaut pas,
c’est elle qui instaure des positions et des instaurations communes du faisable et du représentable. Et
en instaurant ces positions communes, elle tient ensemble d’avance et par construction la foule
indéfini et essentiellement ouverte d’individu, d’acte, d’objet, de fonction, d’institution au sens second
et courant du terme, qui est chaque fois concretement une société. » Il pose une imaginaire radicale, et
social historique. Il faut le penser le social historique comme creation, chaque fois creation et non pas
un continuum.

Ce n’est pas à partir de rien, mais avec une idée d’un instituant, differentde l’institué  : le fait que des
significations nouvelles vont apparaitre, et ne sont pas en continuité avec ce qui se passait avant. Il va
poser que son modele theorique, est celui que ce qui spécifie l’humain, c’est son mode psychique,
c’est cette capacité, aptitude à créer des représentations : sa manière d’être au monde, c’est créer de la
representation. Il parle de creation représentative : pour faire face au choc du réelen se represenant au
réel, en se donnant une representation il se dispose. Le social historique est fait de ça : les hommes
créent de la signification sociale. Elle est une creation imaginaire avant une creation réelle. C’est ce
qui donne la spécification du sujet social.

Castoriadis parle d’institution avec des dipositions vitales. Mais pas seulement. Ces fonctions
considérés vitales ne sont pas considérées par toute les institutions, les sociétés s’invententdes
nouvelles réponses à des besoins et des nouveaux besoins. Se mettre des criteres dans la réalité des
besoins. Il convient bien que le monde social historique est lié dans une institution mais aussi dans des
organisations pouvant avoir un système symbolique. Pour lui, le symbolique n’est ni neutre ni
adéquate, il rencontre touours devant lui une expression. Il doit s’emparer de quelque chose, il se base
sur autre chose : le language n’est pas d’abord symbolique, mais d’abord imaginaire. Il est institué et
sanctionné. Ce qui dépasse le simple progres de la rationalité ne releve pas que de la symbolique,
c’est la composante imaginaire. Il y a le moment de creation de signifiant, et il y a le moment institué,
ou le signifiant devient de l’effectivité de société.

Les creations de la société se basent sur de la symbolique. Pour Castoriadis, il y a de l’imaginaire, qui
permet d’instituer le sens, le symbolique. L’imaginaire est basé sur un collectif anonyme en marche :
la société produit de la signification imaginaire sociale, comme un magma de signification.
L’instituant travaille alors l’institué et provoque des bouleversements de signification, ce qui fait que
ça orienter lemonde des significations.

Castoriadis dit que sa démonstration, c’est comment les sociétés se sont institués, sur quels bases elles
s’instituent. Ce que va montrer Castoriadis, c’est que les sociétés vont se construire sur des
imaginaires hétéronomes. Elles se structurent sur des significations : il parle d’heteronomie car ils ne
savent pas qu’ils créent le monde, il pense que les dieux dictent leur loi. Il ne pense pas que c’est eux
qui le crée. Castoriadis dit qu’à un moment précis de l’histoire, à un moment donné, l’homme monte
sur ses propres épaule et arrive à regarder au dela. C’est le moment ou les grecs réalisent que ce sont
eux qui créent les dieux, ils deviennent les createurs du monde, avec la philosophie et la démocratie.
Elle permet aux hommes de créer des manifestations de ce changement createur. Pour le monde
occidental, Castoriadis dit que la société se base sur deux signifiactions imaginaires centrales :

- L’expansion illimitée d’une prétendue maîtrise : l’homme pretend pouvoir maitriser le tout :
nature et humain. Position centrale de la rationalité comme proet à la base de la domination
culturelle, technique de la science, et de l’efficience economique. C’est cette idée que d’une
part, la prétendue idée rationelle
- La signification de l’autonomie : c’est l’homme qui crée ses lois, son monde, il n’y a que
comme limite de la creation de l’homme, c’estl’autre.
- Castoriadis dit que ces deux sens rentrent en complémentarité, deviennent effective en se
nourrissant l’une et l’autre

Dans ses dernières années, son analyse des sociétés contemporaines, c’était de dire que ces deux
significations imaginaires centrale, est qu’on ne peut pas lire notre monde en dehors de cette definition
là. Sur le faire société. Pour lui, son analyse est de dire que la modernité avancée, ce qui en fait sa
spécificité, c’est la separation du lien entre les deux, augmentation de la rationalité, l’affaiblissement
de l’autonomie. On pourrait assister a une eclipse de l’autonomie. Dans le mesure où elles sont des
imaginaires, elles peuvent disparaitre. On peut revenir dans un regime de l’autonomie. C qui apparait
dans le regime de l’heteronomie serait basé sur une rationalité économique de consommation. Ce
serait une avancé vers un monde heteronome, de la regression du politique. C’est la question de la
transcendance de l’individu. Il faut que la société se veut comme elle l’est, elle ne peut se conserver,
ces significations sont en crise. Pour Castoriadis, c’est une crise du sens. Elle va parler des processus
identificatoire. On est dans une crise du sens, de la remise en cause des significations, qui donnait du
sens à la société : sa direction et sa signification . Si il y a crise du sens, il y a de l’emergent, de
l’instituant. Il pose a la fois les significations, mais aussi du signifiant qui pousse l’institué  : il ne pose
pas assez son regard sur l’instituant. Il est compliqué de penser l’instituer, ses forces instituantes d’un
lieu où l’on est institué. Son analyse est assez défaitiste de ce monde, un monde d’éclipse de
l’autonomie. C’est l’idée que les individus sont censés forgé leur vie, strictement collectif et social.
C’est la face individuel du capitalisme. C’est la montée de l’insignifiant ;
Sa question c’est comment créer du signifiant : son sujet autonome psychiquement clivée et univoque.
Nous devons nous defaire du fantasme de la maitrise, l’exploitation mais cohabiter harmonieusement.
C’est une crise pour lui de l’auto representation de la société. C’est l’auto representation que la société
a elle-même. Et donc il pose toujours la question de l’alternative entre socialisme et barbarisme. En
sachant que la question de la signification de l’autonomie est une signification ancrée de l’histoire et
dépourvue de toute garantie.

Il s’agit d’une conception de société en auto creation, qui se construit dans l’histoire, le social
historique ; Il se fonde sur un imaginaire radical, compris comme une cpacité de faire surgir comme
image ce qui n’est pas là. « L’imaginaire rdicale est ce qui chaque fois institue dans l’histoire ce
faisant, ce qui sefait surgissement du nouveau et capacité d’exister dans et par la position des
images. » Il donne une definition de l’institution « un réseau symmbolique, socialement sanctionné, o
se combinent en proportion et en relation variable une composante fonctionnelle et une composante
imaginaire ». L’aliénation « l’autonomisation du monde imaginaire dans l’institution » : comment le
sujet oublie que l’imaginaire, la construction representative est un imaginaire qui le met à l’exterieur
de lui. C’est la matérialité de la vie sociale, ne reconnaissant pas ses propres produit, qui procede
d’une constitution active de la société. L’imaginaire ne joue pas un role dans les institutions du fait
qu’elle rencontre des problèmes, mais parce que ces problemes se constituent dans une époque donné,
en fonction d’un imaginaire désigné dans une société. C’est parce que je suis dans cet imaginaire là,
que je rencontre des problemes. Ce sont ces réponses qui permettent de definir l’identité, qui permet
de fournir des réponses au question.

Le social historique « le collectif anonyme, l’humain personnel, qui remplit toute formation sociale
donnée, mais aussi l’englobe, qui enserre chaque sociéta parmis les autres et les associentent et
presentent. Elles structure les instituions, les œuvres matérialisés. C’est en terme de dynamique,
l’union et la tension de la société, de l’institué et de l’instituante, de l’histoire faite et l’histoire se
faisant. Si le social historique est auto creation, cela implique qu’il echappe à des reactions
causalistes : la société est à l’origine d’elle-même. Elle pré suppose la société a faire. Dans cette
perspective, la société est son propre commencement. C’est une creation qui lui echappe en terme de
sens. C’est une origine sociale. Ce que les hommes vont en faire, c’est une origne extra sociale. Donc
les significations imaginaires sociales, sont pour lui des creations imotivés d’images, cela ne veut pas
dire qu’elle n’est pas ex nihilo, mais ça veut dire que du sens arrive sur ce qui est là, et peut être
étranger à ça. L’imaginaire radicale est du coté de la société, du collectif anonyme. De l’autre côté il y
a l’imagination radicale qui est du côté de la psyché.

La dimension ensembliste identitaire. Il l’appellera aussi ensidique. C’est la même chose.


L’ensembliste identitaire c’est la manière de comment la société va opérer par des relations distinctes
et définis. Donc ce sont les determinations, les implications qui en découlent. D’une certaine façon
c’est comment la société va s’adapter, comment elle va avoir des determinités. Comment les hommes
doivent se nourrir. C’est ce sur quoi va s’etayer l’imaginaire sociale, de ce que les sociétés doivent
tenir compte dans ce réel qui se presente au société, pour construire de la signification. C’est ce qui va
faire que chaque société va construire un mode particulier de signifié de ces determintés.

Autre concept, le concept des magmas. C’est l’idée que la société, le réel se presente commedes
magmas, comment on peut extraire un nombre indéfinis, de constructions representatives et de
construction de la société. Ce sot des multiplicités inconsistantes, qui ne viennent pas seul mais dans
une fomentation, des multiplicités de sens qui sont là. Et a un moment, une forme va surgir. Les
sociétés y tire une multiplicité de representations, mais la fomentation d’image ne permet pas d’en
deceler l’origine, comment surgit une representation. Le mode d’être du magma n’est ni reductible, ni
épuisable par les organisation réelles et concretes de la société. Ça reste comme une potentialité. C’est
à l’image de ce qu’il se passe dans la psychée.

Donc pour lui il n’y a pas de transcendance. Le propre de l’homme, c’est d’être confronté au réel, qui
fait le monde. Transcendé parl’avant nous, par un abime, un chaos sans fond, l’expression est de dire
que l’homme est deout devant l’abime, sans pouvoir y rester, il se met a créer un monde de
signification, il se met à créer un monde entre lui et l’abime. C’est une réponse à l’insupportable
abime sans fond : en creation de Dieu, il a du sens, il est le produit d’une creation, se donne une
temporalité qui dépasse sa mort. C’est une creation typique contre l’impossibilité face à face à
l’abyme.

L’heteronomie repose sur la dénégation et l’occultation de sa propre auto constitution. Il y a une


imputation extra sociale l’origine et le fondement de l’instituion, elle est asservissement des hommes à
leurs creations imaginares, et donc resorbton immédiates des collectifs. Heteronomie et autonomie
sont deux auto institutions. Comment elles s’instituent : desn le régime de l’heteronomie (denegation,
occulation). Sujet lucide, reflechit, deliberé, impliquant une remise en question de l’intitution établie.
Pour Cstoriadis, la polis et l’occent estl’exemple de l’aptitude des hommes à pouvoir s’instituer. Ça
ilpique que kes inividus int ou changee L démocrate est une institution collecitve. Il y a une rupture de
l’hetronomi par le pje drqugf. Donc l’instituion imaginaire se fait premiere, en se donnait chaque fois
Et des institutions seond. Il y a donc trois representations : representation, finalité, affect. Comment
chaqu société a une representatin d’elle-même. Elle a toujours une representation de soi, adapté à une
société qui se veut etre ce qu’elle aime, qu’elle aime être ce qu’elle est. Le projet de l’autonomie ne
peut pas créer de l’homogénéité.

C’est la question de l’invariant : puisque le sujet construit le monde, l’invariant n’existe pas :
l’invariant empêchant de penser, puisqu’on le pose ainsi. Il ne faut pas aimer le monde clos et fermé,
mais comme un monde qui pense. Il faut pouvoir se reconnaitre dans une société que l’on reconnait
comme la notre. Ainsi je participe de façon consciente et inconsciente.

La modale psychique

Comment on passe de la modale psychique. La representation qu’a Castoriadis de la psychée est basé
sur Freud. Il a fais une analyse, il a fais de la psychanalyse. C’est une posture freudienne. Il pose une
psyché singulière par rapport à l’homme où l’imaginaire se deploit comme imagination radicale. Elle
constitue une premiere rupture par rapport à la fonctionnalité biologique du vivant. Il y a une
fonctionnalité biologique et psychologique, une psyche humaine. Cette imagination conduit a ce trait
humain unique, le plaisir de la representation. Elle caractérise l’homme, le vivant constituant, qui est
cette capacité de poser comme réel ce qui ne l’est pas, une capacité de former des representation et de
faire être cet objet. Donc il a une position assez radicale. Pour lui il ne postule pas que la
representation est dans le psychisme, mais que la psychée est une ermegence de representation
accompagné d’un affect. Ce qui est vraiment important, c’est que finalement, ce qui caractérise le
psychisme humain, c’est de la representation. C’est l’idée que finalement la psychée va se mettre en
route, avec des besoins biologiques, mais que tout ce qui va etre assouvissement des besoins va etre
immediatement associé a une construction psychique, a une representation, et donc avec l’imagiinaire.
Le psychisme est une animalité, et se presente comme defonctionnalisé, capable par son désir de faire
naître du nouveau. L’imagination radicale fait la difference entre le monde sociale historique et le
biologique. Le monde est insondable, source de creation infinie, par la modale psychique. L’enfant
baigne dans du sens. L’entourage interprete le sens. L’interpretation est une interpretation de la mère
qui peut avoir plus de sens. Et donc, il peut y avoir une violence de l’interpretation, mais une violence
necessaire car sans cette violence, l’enfant ne pourrait prendre pied sur le language. Il s’inscrit dans
des representations, ce qui est dit de lui, il se represente a partir de ce qui est dit sur lui. Son
désassujettissement, c’est de reprendre parole sur la violence des interpretations. Il est alors prlé et
parlant.

L’indidiu est fermé sur son monde propre et c’est un défi sur la socialisation, qu’il s’ouvre aux
significations imaginaires sociale, e il y a toujours une tension. La violence de l’interpretation, la
creation du sens, c’est ce qui permet le developpement d’un Surmoi. La psychée peut l’emporter sur
des besoins fonctionnelle et prendre des risques de danger. Pour Castoriadis met l’importance sur la
modale psychique. La guerre y etant tres lié, un arrachement d’un monde propre pour chaque individu
pour abandonner son sens propre en échange la possibilité d’intérioriser le monde social. La psyché
originel, habité par une irrédicable negativité contre la société, les autres, elle-même comme personne
sociale. Caractere irradicable de la personne psychique. Il y a une persistance de la modale psychique.
C’est une négativité radicale qui pousse au repli sur soi. Son repli fait qu’elle est retive à la
socialisation, mais c’est aussi parce qu’elle est rétive qu’elle est instituante, elle crée de l’histoire. La
liaison entre psychée et société est en tension, lié à l’iresistibilité au repli sur soi, à se considerer au
centre du monde. C’est une modale rétive à la socialisation, et qui fait de nous des createurs d’histoire.

La construction du monde et la construction de l’image de soi sont corrélatives. Si elles ne trouvent


pas leur correspondance :il faut que je puisse accrocher mon sens a du sens social. On est alors dans un
monde hétéronome . La société fournit des objets d’investissement, desmodalités identificatoire, la
socialisation depend d’un individu socialisé, devenant objet d’investissement. La mere comme le
premier delegué du monde social pour le bébé, elle le fait entrer dans le monde des hommes. Elle
instaure l’univers des significations. Dans cette perspective la socialisation est conflictuelle. Le
processus est un resultat non anthicipable, double mouvement circulaire :

- Etayage dela psychée sur le monde sociale


- Etayage du monde social sur la psychée

Pour pouvoir exister la psychée va s’etayer sur l’imaginaire social, mais la cretion social historique
pour exister s’etaye sur cette psychée toujours en train de faire de larepresentation. Du point de vue
dynamique, l’instauration de la société ne peut pas ne pas ménager àl’individu la possibilité de
permettre à l’individu de s’octroyer du sens, mais lui aménager un monde privé dans lequel l’individu
reste au centre pour lui-même. Le « Je » est une fabrication sociale pour construire et preserver
l’individu Et la société ne peut pas l’empêcher ce qu’il faut pour survivre. C’est une constitution
psychisée du social.

L’autonomie

Castoriadis se pose la question, comment faire advenir un sujet autonome. On est dans une conception
intentionnelle de l’autonomie. Il trouve que c’est un projet de société. Un sujet autonome, un sujet
capable d’etablir un rapport renouvelé entre l’instance reflexive et les autresinstances psychique. C’est
un sujet plutôt psychanalysées, entre son passé et l’histoire, moyennant laquelle il s’est fait tel qu’il
est, et donc d’etablir un rapport renouvelé permettant d’echapper à l’asservissement de la repetition,
sur les façons de penser, les motifs de ses actes, et les motivations de son désir.

Les conditions de l’autonomie subective sont indissociable des conditions de l’autonomie dans la
société. Comment liberer son imagination radicale, la capacité à alterer l’institution, permettant
l’instauration de deliberation. Il faut pouvoir penser nos institutions, les interets, les améliorations.
C’est un projet théorico pratique d’une conception de la démocratie comme auto institution
permanente. C’est une auto institution permanente de l’autonomie des individus dans une réciprocité
avec une société autonome. Avec le probleme qu’une société autonome n’est possible que constituée
d’individus autonome et inversement. Alors comment faire advenir des sujets autonome dans une
société htéronome. Il faut rentrer dans les significattions imaginaires et sociales. Le sujet fait lui-
même un travail d’autonomisation peut devenir un sujet instituant.

Il ne s’agit pas pour Castoriadis, de produire un sujet autonome, mais de le viser comme tel. La
question n’est pas de le produire, mais de le viser. Mais pour le viser, il faut e considerer comme
l’agent principal de son autonomie. Ce n’est pas une autonomie descendante, le considerer comme
l’agent principal de sonautonomie, il faut le considerer comme autonome. Viser le changement, c’est
le viser autonome, le viser sujet, qui vise le changement. Comment la problématique de chacun, prend
racine dans la problématique collective. Comment le système fonctionne dans cette façon là, dans des
registres d’assujettissement et d’autonomisation. Comment s’approprier une norme, tant elle est
naturalisée ? La necessité de l’entretien individuel pour penser du coup l’action collective. Il y a alors
une heteronomisation de la pensée. Leur manière de ne pas comprendre, c’est du côté d’une
heteronomisation de la norme.

Quel est l’activité de celui qui vise l’autonomie

Elle est une praxis, l’action d’une personne qui se propose d’aider une autre a acceder a une pratique
d’autonomie. Une action qui se propose comme aide, l’accès. Métier impossible, au sens de
difficilement realisable. Dans la mesure ou le contenu concret de ce but n’est pas determiné à l’avance.
Parce qu’il est libération créatrice. On n’anthicipe pas qu’elle est son autonomie, elle nepeut etre
determiné al’avance, c’est une liberation de capacité, creatrice d’imagination. Liberer la capacité de
creation pour penser le non-encore-penser : suppose qu’on ne sache pas le contenu de cette pensée.

L’’autonomie au sens politique

Etre lucide sur son désir et responsable de ses actes, c’est-à-dire conscient de ce qu’il fait. Une société
autonome passe par la creation d’institutions, qui, intériorisé par les individus, facilitent le plus
possible leur accession à l’autonomie individuelle et leur participation eeffective à tout pouvoir dans
la société. Pouvoir contribuer au faire société, à la transformation de la société. Il y a une necessité du
sens non fonctionnelle. L’autonomie demande du sens, alors que la société lui demande d’y renoncer
en les cherchant dans les fonctionnements imaginaires et sociales.Il y atoujours du sens a faire ou a
defaire.La question du sens est centrale.

IL y a la question de l’empensé de l’autre. Des constructions se basant sur l’impensé. L’objet de


l’altérité de l’autre est un objet extérieur. La differenciation qu’elle soit sociale, intelectuelle, il ya
une horizontalité des differences dans le traitement, et donc une neutralisation. Il y a un modèle
pregnant qui rend difficile le changement. L’école, c’estle régime de l’impensé de l’autre. « l’ourson
et le sociologue »

La question du sens dans les sociétés contemporaines

Le sens du processus de normalisation en hopital. Un exemple de comment mener une analyse sur la
construction du sens dans une organisation contemporaine, hospitaliere,
Modalité d’entretien : envoyer l’extrait d’entretien, ou reposer la question : propre conceptualisation
du sens, articuler à l’objet ainsi qu’à l a problématique de recherche. Au moins une dizaine de page,
par mail.

Une recherche centrée sur la question des normes « la raison de la norme, la signification de la
norme », une perspective de sens et de compréhension, comprendre comment se régit la norme.

Objet : les directeurs hospitaliers : la population dominante, ayant les moyens d’imposerleurfaçon de
voir pour les faire passer dans la pratique.

Déjà une expérience dans lhopital. Puis une experience de contractualisation : un dialogue se met en
place. De ces expériences, où est ecrit un contrat, prend forme dans lorganisation, il y a donc des
transformations organisationnels affectant la relation entre le terrain et le decisionnel. La question du
financement arrive, en fonction de l’activité. Il y a de nouveaux outils de gestion, qui se met en place
dans un nouvel echelon, le pole. En tant qu’intervenante, elle ressent un malaise. Non pas pour
accompagner les intervenant, elle aide les cadre à utiliser l’outil de gestion. Ce n’est pas conscient au
départ, un ressenti de malaise.

Elle se rend compte que parmi les medecins, seulement qu’un grupe s’investit. Elle sent un decalage
dans plusieurs missions. Alors qu’elle croit travailler a rapprocher les decisionnels et les intervenants,
elle constate que les intervenants desertent les lieux. Formation à l’accompagnement individuel.

Elle constate une symbolisation defaillante entre l’intervenant et le terrain. Les hypotheses : les
reformes s’impose au terrain, qui ne peut que les subir, elles sont reçu de l’exterieur. Recherche a
partir des significations normes, coupures, exteriorité, abscence, retrait. Symbolisation de la perte, du
manque.

Comprendre phénomène, en dessous de la realité : comprendre par quel mecanisme s’installe sans
resistence, un regime opérant par désubjactivation ? Il n’y a plus de sujet . Elle considere le lientre
modalité d’introduction des reformes et la pensée productivisté. La pensée quantitative hégémonique,
exploration du phénomène du savoir cificité. Le point de reference etant la nouvel norme. Inversion du
raisonnement, pose le choix du resultat comme cible à atteindre. Cela situe le renversement de la
pensée : aulieu de ‘attacher au processus historique, on court circuite la definition d’objectif, et on
identifie une cible. On va reconstituer en inversant tout le parcour qu’on va devoir faire. Question de
la considération du présent dans un objectif de resultat ou le présent importe peu : difficulté,
souffrance sont secondaire. Logique quantificatrice, apparait une inversion du rapport entre la
prévision et les phénomène : la prevision énonce et construit la realité.

Clinique comme forme spécifique de rapport subjectif entre un sujet et un sujet objet : dans la clinique,
elle considere que le rapport doit être celui d’un sujet et d’un sujet objet. Et donc la recherche va viser
differents terrains

Les resultats : deconstruction du processus de developpement du regime normatif. Donc, norme


apparaisse pathogene, même au plus haut niveau, processus des dirigeants hospitalier, système
soutenu, defendu par le regime décisionnaire : une normocratie hospitaliere. Tres different d’avant.
Des micro pouvoir, instabilité, montée en complexitée. Au fond, avec le developpements des
possibilités, on a une explosion des possibilités qui va toucher toutes les instances, devenue
impuissanteà réguler l’ensemble du potentiel permis dans le secteur de la santé. On a une instabilité
des organisations hospitaliere :le regime de la norme vient repondre a cett idée de developpement. Il
englobe l’ensemble des personnels. L’hopital des directeurs semefient des agents, en défiance, et donc
ilessait de mettre en place des modalités de fonctionnement. Developpement de modele probabiliste,
remise en question de l’approche clinique. Mis en place de modele qui permet diagnostiquer
autrement, par le modele probabiliste. On a trouvé des parades qui ont rendu le saoivr médical
individuel inutile.

La pensée modelisante, nouvelle epistémologie implicite. Remontée des conséquences futures sur le
present. La norme assigne la prescription du role. Elle fixe le resultat, dévoile des objectifs. La norme
permet le travail, neutralise les initiatives, opèrent la delagation, inverse le sens logique. En procedent
ainsi, on naturalise les normes. Les normes du regime normatif impose les principes. Incorporation des
normes transcendantales. Pour les dirigeants, la norme a une valeur transcendentale

Plus on monte, plus la norme se voit comme une liberté. L’encadrement de proximité veut faire partie
du groupe, la norme s’installe facilement comme une necessité pour les dirigeants hospitaliers : a
partir du moment où elle devient une necessité, elle n’est plus critiquable. Son origine naturelle
renforce l’essentialisation. La norme est un element de nature. Les consequences negatives du
developpement normatif, exces, sont difficilement resorvables. La proximité de la norme e t de la
prevision constructiviste permet de re integrer en son sein ceux qui s’opposent. Elle reprend des
elements d’opposition pour les mettre en conflit. Comment s’imposent elles ? Ils externalisent leur
savoir, le partage de pouvoir. Mouvement perçu positif, creatif. En deuxieme temps et attendu pour les
directeur hospitalier, une ré internalisation des normes : on passe du temps pour mettre en commun
des pratiques et les meilleurs doivent etre internaliser comme les meilleurs. Mais pour les
professionnels, c’est une fusse démocratie de la norme. Dans le deuxieme temps ne se fait pas,
parceque les normes restent exterieur au sujet. La notme rencontre unebutée, son inapropriété
individuel. Trois dynamiques distinctes des sujets hospitaliers à la norme : ce qui s’applique pour les
direction, non

- Les directions se disent pacés sous la norme. Pose la norme come norme, la norme est leur
norme. Le processus identificatoire est parvenu a on terme. Pour eux, elle a rejoint le sujet.
- L’encadrement et les professionnels qui contribuent a developper des nirmes (filieres
soignantes) : eux adhèrent a la orme pour ces bienfits fonctionnels. Ils vivent leur adhesion
comme un consentement : ils l’acceptent, car bonne, va dans le bon sens. La norme a valeur
d’ideal de second rang , mais pas identité, clivage et renonce à l’idée de la propre pensée. Ils
vivent la norme, mais ne sont pas la norme. La norme induit une souffrance consentit
- Pour les acteur de terrain, ceux qui appliquent la norme : les phase exploratoire, vécu
paradoxales. Se traduit par une coupure entre le ressenti, la pensée et la presfription
normative, ne peuvent reocnnaitre les normes comme les leurs. Pose l’existence d’un
processus d’assujetissement normatif par externatilastion subjective progressive : processus
qui progresse a partir des niveaux de soins. Il socntribuent à leur normalsation. Ils vont
devenir une partie de l’institution.

Ensemble des processus qui ont finalement mis en œuvre . La norme s’installe comme une promesse
de changement. On adhere a la norme parce que le risque perçu sans la norme est le risque de
l’effondrement. La norme oblige. Si on est dans cet etat d’esprit. La norme se developpe par suite
d’une dette personnelle ressnti par les directeurs et les cadres qui ont gagné grace a la norme. Elle est
servit par des professionnels dont la rigueur et la rigidité sont exacerbées. La norme a un corps
transcendantal. Elle s’oppose au registre gestionnaire : on n’est plus dans le gestion.. Ils adherent
explicitement avec un modele de la norme. Pour eux, pour les patients, contre les professionnels. Il
faut proteger les patients, dans l’imaginaire. La notion de representativité est nette. Elle s’installe sur
un mode transitif. Elle s’applique a tout le monde. REJET Des valeurs huamines du soins, perçu
affectives. Norme a besoin d’invriant pour acceder a une généralité : capacité d’identification à la
peersonne soignée. Promesse de changement. La norme s’etend par un processus de proliferation.
Complexité, agrandissement des normes, augmentent la proximit. La norme tente à integrer les choses
qui s’opposent à elle. Leur implication a permis de faire des correctifs à la norme. Proliferation du
processus normatif.

Deux impasses pour le regime normatif

- Affaiblissement : disjonction entre le modele constructiviste et le monde empirique.


Affaiblissement de la place et du role de l’encadrement. . Ils tentent de devenir les garants de
l’application du cadre normatif. Ils deviennent les appliquants, les garants. Si on veut avoir
une vision globale.
- Difficulté à maintenir l’expertise, provoue perte de sens, perte de la pensée. Quelque chose qui
fuit. Les impasses du regime normatif.

Conclusion du regime normatif : l encadrement adhere a la norme basé sur le phantasme de devenir
l’institution. Il se met en place un processus d’externalisation , progressivité du processus
d’assujettissement normatif, dearche de justification. Phase déconstructive, interieur et exterieur du
sujet. Une fois posé, ele annule l’experienc esubjective. S’agit d’un veouillage progressif. Regime de
la virtualité, norme prise comme ideal, l’empirie, comme horizon d’action. Le blocage comme
processus d’identification. Generallement internalisation de la norme.

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