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Sociologie :

Qu’est-ce que la sociologie ? -> Discipline qui étudie la vie sociale et la vie collective (du lien social) du
temps présent, du point de vue des représentations sociales.
Le mot apparait pour la première fois dans un texte d’Auguste Comte, milieu du 19 siècle -> une
classification des sociétés
Champs et domaines d’étude ? les sociétés, la vie sociale et la façon de vivre en société. C’est une
branche de la connaissance scientifique, une science sociale et science humaine, en lien avec une
méthodologie (les scientifiques utilisent divers outils méthodologique (statistique)). Elle passe par la
compréhension des êtres sociaux
Née d'un bouleversement qui signe d'un bouleversement vers une nouvelle société => 3 évolutions :
Évolution politique \ Évolution éco (industrielle, capitalisme) \ Évolution intellectuelle (positivisme et du
rationalisme, croyance fondée sur la religion vers une croyance fondé sur la science)
Histoire de la démarche sociologique :
 Le but est de comprendre les sociétés existantes pour les améliorer, en les observants et en faisant
des enquêtes de terrain

Hérodote (Histoires) décrivait les mœurs des individus des sociétés dans lesquelles il a pu les observer et
Aristote (La politique)

Thomas More (Utopie) Il va inventer une ile dans son livre Utopie, ile idéale avec la société différente de la
société dans lesquelles il vit -> qui ne connait pas les guerres, les inégalités entre H et F

Montesquieu (De l’esprit des lois, 1748) Il va s’intéressé au monde tel qu’il est, il va effectuer un travail
ethnographique, étudier les sociétés tels qu’elles sont. Etude à partir des régimes politiques. Les valeurs,
les normes, l’esprit culturelle d’une population engendre les régimes politiques. Il va distinguer 3 types de
régimes politiques : régime monarchique, régimes républicains et régime despotique.

 Les précurseurs de la sociologie


Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique (1835-1840), L’ancien Régime et la Révolution (1856)
- L’analyse de la démocratie (monographie (=observer pendant un certain temps la société qu’il
étudie en notant absolument tous de ce qu’il voit, enquêteur sociologique) et comparaison) et de
ses effets sur les individus. Il va lier la démocratie et inégalités => la démocratie exerce une
influence sur les valeurs des individus, dû à l’uniformisation des pensées. Il considère que la
démocratie est le régime politique préférable, mais pas parfait => peut dériver vers de
l’individualisme (sens égoïsme – individus de moins en moins solidaire)
- Emergence de la classe moyenne (groupe qui sont composé d’individus qui ont des conditions de
vie et des manières de pensée, des idées, des rapports au monde, des pratiques, des
représentations semblables).
Karl Marx, Les luttes des classes en France (1850)
- L’analyse de la structuration des sociétés et du changement social dans une temporalité historique
extrêmement longue. Il va identifier des phases de l’histoire ou des infrastructures correspond à la
structuration. Marx identifie aussi les causes de ces changements social (mode sociale, mode de
production capitaliste) :
o 1ère Cause : lutte des classes sociale (affrontement de 2 classes sociales)
- L’analyse des rapports sociaux : la lutte des classes
Révolutions et naissance de la sociologie
- Mutations politique, sociale, économique, culturelles - Marx.
- La révolution des Lumières et la possibilité de fonder une science des phénomènes sociaux.
Emergence des problèmes sociaux (révolutions industrielles).
- La Révolution française et les nouvelles catégories sociales -> la révolution détruit l’ancienne
politique et engendre des déséquilibres sociaux, détruit un équilibre politique et social.
- Les révolutions industrielles et la « question sociale »
 Toutes ces questions vont donner naissance à la sociologie : au milieu du 19ème siècle en France
et en Allemagne

 Les fondateurs de la sociologie


Emile Durkheim (1858-1917) va définir ce que doit être pour lui la science sociologique dans un ouvrage.
- De la division du travail : dans cet ouvrage, il va analyser le changement social sur la nature du lien
social (des relations qui unissent les individus au sein d’une même société) -> type de solidarité :
de mécanique à organique
o société à solidarité mécanique :société traditionnelle où les individus et les activités sont
faiblement différentié, les activités de production sont faiblement différenciées, les
individus vivent au sein d’une même communauté/les individus sont semblables => leur
lien social repose sur leur ressemblance (Il s’appuie sur Ferdinand Tönnies. Ouvrage :
« communauté et société »)
o Il observe aussi ce changement de société en disant qu’on passe de communauté à
société (=distanciation des individus). Dans la communauté la propriété est commune et
donc pas vraiment de propriété/possession commune, donc il n’a pas vraiment
d’échanges marchands dans ces sociétés.
- Ces sociétés mécaniques vont se transformer en société moderne où grâce à la division du travail
les individus vont vivre dans des groupes de plus en plus denses et de plus en plus mélanger =>
spécialisation des individus => n étant de plus en plus spécialisé ils vont devenir de plus en plus
dépendant les uns des autres –> société organique = société individualiste, propriété qui
s’individualise. Les individus sont interdépendants, l’intérêt des autres est aussi leur propre intérêt.
- Pour Durkheim le rôle de l’Etat doit être renforcé pour maintenir cette interdépendance entre les
individus = solidarisme => L’Etat doit devenir protecteur des individus pour qu’ils conservent leur
sentiment d’appartenance à la société, entretiennent des relations sociales. L’Etat de solidarisme va
devenir Etat de providence
- Durkheim écrira beaucoup sur l’individualisme (pour lui positif) qui va permettre d’être plus libre et
autonome. Il définit l’individualisme comme un fait social des sociétés modernes, un principe central
Max Weber (1864-1920) va faire un ouvrage « économie et société » (1921) sur ce que doit être la
sociologie (« L’éthique protestante et le capitalisme moderne »)
- Il analyse les changements sociaux. Le capitalisme moderne = aboutissement d’un long processus
historique. Ce n’est pas le capitalisme qui influence leur manière de penser et les relations sociales,
ce sont les valeurs, l’univers culturel des individus qui vont instituer le mode économique qui est le
capitalisme (Pour Marx, c’est l’inverse)
 Action motive par une valeur peut être rationnelle
 Il a influencé la socio qualitative
- La société moderne pour Weber : la rationalité : une distanciation des affections et des sentiments
influencés par les émotions, des relations sociales qui vont devenir de plus en plus formels (La
rationalisation c’est l’extension de la rationalité à l’ensemble des domaines sociaux) (
o ex : dans l’ET, on va davantage s’adresser aux gens en fonction de poste qu’ils occupent et
non pour ce qu’ils sont => Une action rationnelle est une action précédée par un objectif
puis on va définir des moyens efficaces pour y parvenir.
o C’est la pensée rationnelle qui va permettre le capitalisme (=maximiser son profit en utilisant
des moyens rationnels de production). La rationalisation c’est aussi l’autonomisation des
différentes sphères de la vie sociale. Cette rationalisation va se manifester par une
bureaucratisation (la bureaucratie est la forme la plus rationnelle des organisations\
hiérarchisation des fonctions, impersonnalité des règles
En sociologie deux grands écoles de pensées :
Durkheim (école française) et Weber (école allemagne) (Marx et Tocqueville) : fondateurs de 2 grands
paradigmes sociologiques
- L’holisme (= le social prime sur l'individu, l'action de l'individu est influencée par des facteurs
sociaux): fondateur (Marx et Durkheim) ; Constituer un phénomène en tant que tel ; étudier la
société indépendamment de l’étude des individus qui la composent (les actions des individus, les
relations entre individus = phénomènes élémentaires (micro sociale) par Durkheim, ces
phénomènes s’expliquent par le contexte global de la société) Les individus subissent les
contraintes sociales.
o Selon Marx : classes sociales - démontrer la nature des relations entre eux, sentiment
d’appartenance qui va découler le type de relations entre les individus
o Durkheim : mouvement d’autonomisation/individualisation des individus
- L’individualisme sociologique : fondateur (Tocqueville et Weber) ; inverse de la pensée holiste : on
qui fabrique la société.
! Courants sociologiques :
Durkheim : recours aux statistiques sur une large population pour expliquer les faits sociaux, holisme.
Max Weber : étude de l'activité sociale à partir de données statistiques, individualisme méthodologique.
Chicago : étude des interactions par l'enquête du terrain, interactionnisme.

Chapitre 1 : La socialisation
Nous sommes tous des êtres sociaux
1. Définition de la socialisation
C‘est le processus d’incorporations, d’acquisitions des valeurs et des normes de l’ensemble social
dans lequel on vit. Cet ensemble social de valeurs et de normes = la culture.
Synonyme de socialisation : Apprentissage, intériorisation, intégration  explicite la socialisation
Socialisation multiple par la cuture et les groupes sociaux.
« Façon dont la société forme et transforme les individus » (Muriel Darmon, La socialisation, 2011)
2. Socialisation primaire et secondaire
Agents sociaux significative : grandes instances de socialisation qui nous éduquent (intériorisent normes et
valeurs de notre culture)
Les différentes instances de socialisation : famille, école, travail…
Socialisation primaire  durant l’enfant (période de socialisation la plus intense)
Socialisation secondaire  e poursuis à l’âge adulte
La socialisation dure tout le long de la vie
3. La socialisation par injonction et par imitation
 Durkheim
L’éducation = c’est une action qui a été pensé dans un but précis – une action maitrise
La socialisation pour les holistes et pour Durkheim – un contraint qui va imposer sur individu -> pense
déterministe – l’individu est détermine par le groupe sociale dans lequel il vit. Société va limiter la variation
des individus – les variation permis et limitées.
Socialisation par injonction : explicitation des règles, qui contraint l’individu à respecter des modes de
pensée ou d’actions.
Socialisation par imitation : apprentissage par imitation des adultes impliqué dans notre éducation
 Durkheim considère que c’est à l’école qu’on apprend le système normatif de notre société
(socialisation par scolarisation donc davantage par injonction). Parce que pour Durkheim
pense que le média de l’école est le moyen le plus pratique pour socialisée les jeunes aux éléments
socioculturels qui lui valorisent.
 Mauss : « l’éducation prestigieuse » de Marcel Mauss. Fondateur de l’anthropologie (étudie les
sociétés dans lequel il vit). Neveu de Durkheim
o L’échange = don \ Pour lui socialisation passais par imitation (mimétisme)
La techniques du corp : la façon dont on sait de servir de notre corps (s’habiller\marcher\rapport de
l’espace) – pour montrer la soc ne concerne pas que les grandes, il relève aussi la sphère la plus naturel,
corporelle

4. Une socialisation spécifique : l’incorporation de l’habitus


La sociologie de Pierre Bourdieu
- Il est née dans un milieu modeste\ il a critiqué le système d’éducation – les inégalités – il a mis en
lumière la reproduction des inégalités dans la société
- Il va s’intéresser à pratique culturelle (qui correspond à la culture scolaire), style de vie des individus
La culture scolaire correspond au pratique culturel, aux savoirs et valorisé par les classes sociales
dominante. Les classes sociales dominantes imposent une culture scolaire qu’il est la leur.
L’espace social est constitué de plusieurs classes sociales
o L’objectif pour la classe sociale dominante est de crée un mode de vie différent des autres
classes sociales pour s’en distinguer, penser que les autres classes sociales ont des modes
de vie vulgaire (hiérarchie des arts (littérature, théâtre > cinéma, photographie) selon les
classes sociales. Distinction même dans les arts eux-mêmes (théâtre de boulevard, théâtre
de rue))
o Classes moyenne essaye d’imiter les pratiques de la classe dominante, de s’approprier les
goûts de la classe dominante. Mais la classe dominante change de goût de suite.
o Classe dominée essaie d’adopter une attitude de défense vis-à-vis des normes des classes
dominante, pour se protéger de ces normes (« ce n’est pas pour moi »). Distance qu’on ne
peut pas combler avec les normes des classes dominantes.
 Les rapports sociaux sont des rapports de domination.
Autre concept dans la sociologie de Bourdieu : le concept de capital
Pour chaque classe sociale existe 3 types de capital :
- Le capital économique : les ressources économiques dont on dispose ou que l’individu peut
solliciter (ex : héritier artiste)
- Le capital culturel : Apport majeur dans la vision de Bourdieu. Peut prendre plusieurs formes,
l’indicateur principale est le niveau de diplôme et la possession d’un titre (assoir une domination par
rapport aux autres via le titre).
- Le capital social : le carnet d’adresse de l’individu, les réseaux dont il fait partie, qu’il peut solliciter
en cas de besoin
Plus on est dans les classes sociales dominantes, plus on a de capital et plus se volume de capital est
énorme.
- Le capital symbolique : englobe les autres capitaux. L’image qu’on a dans la vision des autres :
prestige, reconnaissance fournie par la société.
Pourquoi dire capital alors qu’ils ne sont pas économiques  on peut accumuler les autres capitaux autant
que le capital économique.
- Chaque classe sociale possède son propre Habitus (= mode\style de vie), et dont chaque membre
de cette classe va être socialisé. L’habitus s’apprend.
o C’est une disposition relative à notre position dans l’espace social, de cette position découle
des dispositions (manière de penser et d’agir d’une certaine manière)
o L’habitus va concentrer un ensemble cohérent de goûts et de pratique (anticiper ces
cohérence), c’est un ensemble structuré.
« Une structure structurée et structurante » Définition d’habitus de Bourdieu.
- Structure : intérioriser au plus profond de moi, mes bases, mes fondations
- Structuré : structure cohérente
- Structurante : elle détermine une vision générale du monde (cosmologie, englobante)
Habitus = socialisation pour Bourdieu, on l’acquiert dès la naissance. Bourdieu va dire que le goût
personnel n’existe pas et qu’il y a que les goûts de classes. Par conséquent l’individu pense que le goût
personnel est l’habitus.
Nous avons tellement incorporé notre habitus que l’on a plus conscience de son existence (structure
caché)  On l’associe à l’inconscience. Comme c’est une structure cachée, les dominés et les dominants
n’ont pas conscience de ce rapport de dominance.
Plus tard Bourdieu parlera de dominance masculine.
2 composantes de l’habitus :
 L’ethos – une coutume\une habitude. Nos principes et nos valeurs à l’état pratique. La morale de
classe qui va régler nos conduites quotidiennes.
 L'hexis corporel : notre mémoire corporel, toute ses postures corporelles que l'individu va
intérioriser aux cours de son histoire. Par le corps que va s'exprimer notre morale de classe.
 L’habitus s’exprime par notre corps parce qu’il est moins consentement contrôle
2 types de l’habitus :
- L’habitus primaire : les dispositions les plus anciennement acquise pendant l’enfance et ils sont plus
durables. Ces habitus vont s’enrichir avec l’expérience. L’individu va sélectionner certains éléments
en fonction de son habitus primaire
- Et l’autre habitus ?

Chapitre 2 : Les valeurs et des normes


1. Les valeurs comme idéaux :
Toute société définit ce qui est bien et mal, beau et laid, juste et injuste, honorable et honteux, agréable et
désagréable, et, donc ils vont définir ce qui relevé le bien – la valeur = l’Ideal qui va orienter nos actions et
nos pensées -> elle se caractérise par sa polarite
La valeur n’a pas besoin d’être justifie – c’est l’évidence
 La dimension affective de la valeur – provoque une émotion\sensation
 Relativité culturelle des valeurs- chaque culture les valeurs différents, il n’existe pas les valeurs
universelles
 Système et hiérarchie des valeurs
Cohésion sociale et contrôle social chez E. Durkheim – les valeurs sont essentielles pour l’existence de la
société. Tout société repose sur la cohésion sociale qui repose sur la cohésion des valeurs.
Modernité et pluralité des valeurs chez M. Weber – la modernité (la multiplication des valeurs de l’individu)
– la sécularisation de la société\changement des coutumes et des normes –> la religion va perdre son
caractère institutionnel,
L’individu moderne est attache aux certains valeurs qui entre en contradiction
2. Les normes comme règles de conduite :
Les normes = règles
Les valeurs sont les idéaux, donc il sont pas directement applicables -> la norme qui va légitimer les
valeurs -> les normes comme expression des valeurs
Normes et sanctions sociales : sanction positive (si on respecte les normes) sanction négative (si on
respecte pas les normes), menace de la sanction, sanction sociale, sanction juridique : le système de
contrôle social
Dans langue sociologique la sanction c’est votre rapport à la norme.
- On distique les normes juridiques (inscrit dans la loi) et sociales (informelles). Mais les normes
sociales ne sont pas forcément être les normes juridiques (les comportement socialement permis
mais légalement interdit et l’inverse)
 La loi c’est la formalisations des normes sociales
◊ Les normes chez E. Durkheim : le social précède le juridique
◊ Les normes chez M. Weber : l'autonomisation des normes juridiques par rapport des normes
sociales : les individus vont s’attacher aux normes juridiques à cause de bureaucratie
◊ Les normes chez H. S. Becker : le lien entre les valeurs et normes – les normes sont des registres
importants, mais les valeurs sont trop généraux pour ça. Pour lui ce qui fait le société ce sont les
normes. L’individu capable de construire le lien qui va des nomes de valeurs.

Chapitre 3 : La déviance
Déviance : non-respect des normes sociales  Celui qui sort de droit chemin
Délinquance : transgression des normes juridiques
1. La déviance comme écart inévitable – il n’existe pas la société sans déviance, mais c’est pas un
danger pour la société.
2. L’approche fonctionnaliste de la déviance
Fonctionnalistes  Durkheim  la déviance = une manifestation des dysfonctionnements de la société
◊ Robert Merton : la déviance c’est le résultat d'une confrontation entre les buts (les valeurs) et les
moyens pour y parvenir.
o s’intéresse à délinquance des jeunes en Amérique => pour lui cette délinquance est une
cause exclusivement sociale – c’est une signe de la bonne intégration dans la société – ils
ont attaché aux mêmes valeurs que les autres mais ils peuvent les attendre que par la
délinquance
3. L’approche interactionniste de la déviance
Interactionnistes  Weber
◊ Howard Becker : a théorie inverse de celle de Merton  la déviance est le produit d’une interaction
entre un individu et un groupe social  les interaction construisent la société – la perspective
microsociale
o La transgression de la norme de fait pas de vous un déviant, c’est qu’on vous accuse d’être
déviant fait de vous un déviant -> l’importance centrale c’est la perception des autres
dans l’interaction.
o Il étudie l’ensemble des relations sociales qui vont produire la déviance – la théorie de
l’étiquetage – le devient c’est celui qui a été étiqueté déviant et c’est fatal – vous serez
discrédite de la société
◊ Ervin Goffman : l’interactionnisme symbolique – l’étude de l’importance de regard des autres sur
la façon nous nous considérons nous-mêmes, à la fois sur notre identité sociale et personnelle
o La stigmatisation l’expertise des personnes stigmatises (qui sont discrédité) -> cœur de la
sociologie de Goffman
 Il va s’intéresser aux contacts les plus banales de la vie quotidienne (dans la rue) –
sociologie très observatrice
 Mais l’ordre sociale va toujours être mis en jeux dans ces interactions – l’issue
d’interaction n’est jamais garantie et les individus ont établi les plusieurs rituels pour
conserver un cet ordre
 On a toujours la tendance de jouer un rôle mais c’est juste un façade qu’on présente
aux autres – on est jamais naturel
 L’identité sociale réel (les attributs-comportements qu’une personne possède
réellement) est diffèrent de l’identité sociale virtuelle (les comportements qu’on
m’attribuent les autres)
 Le stigmate ne vous permet pas pleinement intégrer dans la société, car ils ne
possèdent pas les attributs valorisés par la société. Il a les caractéristiques relatifs
 3 grandes catégories des stigmates :
o Les stigmates tribaux – sont liés à l’appartenance à un groupe éthique (couleur de peau)
o Les stigmates addictes
o Les monstruosités de corp – dévalorisation de corp, ce qui marque le corp
En faisant d’un attribut physique un déterminant de la personnalité -> classification paresseuse \
réductionnisme
Chapitre 4 : La stratification sociale
La structure sociale – tous les sociétés sont constitué de groupes sociaux. Ces groupes ne sont jamais
juxtaposer (cote à cote) les uns des autres, mais ils sont hiérarchises, ils entretiennent entre eux des
relations qui sont marques par … et base sur distribution inégales des ressources et des positions dans
une société
 Dégroupage de la société selon les groupes\catégories hiérarchise, présentant en leur sein certain
homogénéité, et cette différence va donner lieu à une inégalité

1. L’importance de l’activité professionnelle : la nomenclature PCS de L’INSEE (classification des gens


selon leur travail)
PCS – professions et catégories socio-professionnelles (crée en 1954)
En 1982 on retient 6 catégories sociaux professionnel. A l’intérieur des catégories on retrouve des sous
catégories plus précise (ex : niveau 1 => 3, niveau 2 => 31, niveau 3=> 310). L’objectif est de faire
apparaitre des catégories qui présente des homogénéité sociales. Cela prend en compte le statuts, le
métier, le niveau d’étude, des secteurs d’activité.
Le but d’INSEE était de se rendre compte de grandes milieu sociaux
Les chômeurs sont dans la catégorie de le dernier emploi occupé
2. Evolution et état de la structure sociale
3. Une société de la mobilité sociale
Mobilité individuelle accidente et mobilité collective intergénérationnelle (quelle groupe j’occupe par rapport
à mes parents)
Mobilités structurelle (renvoie aux transformations de la structure sociale) et nette (mesure la mobilité
indépendamment des évolutions de structure)
4. Une société structurée par les inégalités
Une différence qui se traduit en termes d’avantages et de désavantages dans l’accès à des ressources
rares socialement valorisées et qui fond une hiérarchie. Une inégalité n’est pas qu’une différence, c’est une
différence qui se traduit par une hiérarchie
Le cumul des inégalités
Les inégalités économiques sont les plus visibles mais par forcément les plus importantes.
Différentes dimensions des inégalités économiques : Revenus du travail (salaire ou revenus) – revenus du
transfert (revenus redistribuer, socialisé ; revenus pas issus du travail) – patrimoine (le patrimoine qu’on
possède ; ex : épargne, immobilier…) – Revenus du patrimoine (ce que génère mon patrimoine)
◊ Thomas Piketty – ouvrages sur les inégalités et principalement économiques et le creusement tout
au long du 20ème siècle de ses inégalités – Le capital au XXIe siècle (2013) . Sociétés très
inégalitaires dans les pays occidentaux (début 20).Puis avec Piketty on a réduit ses inégalités en
Europe et en France, les inégalités de patrimoine et les inégalités du revenu de patrimoine sont
celle qui on le plus diminuer.
Précarisation de l’emploi salariale => bas salaire
◊ Robert Castel – les métamorphoses de la question social – une chronique du salariat – la question
social se transforme et il va me montrer tout au long du 20ème siècle. En pleine révolution
industrielle (fin 19 et début 20) question sociale : comment garantir un minimum de niveau vie à une
population pauvre (apparition de la classe ouvrière qui est pauvre). La définition de pauvreté est
essentiellement économique. Paupérisation de cette nouvelle catégorie (ouvrière). Les pauvres
sont dangereux – la classe ouvrière est dangereuse de par ses révolutions qui peuvent apparaitre.
De cela découle des protections sociale (salaire minimum)
Le développement du salariat protecteurs (mise en place d’un revenus minimum). Le salariat devient une
catégorie protéger. Le salariat = sécurité sociale.
 L’avantage scolaire de filles ne se transforme pas en avantage dans la vie sociale (marché d travail)
3 catégorie des inégalités sociales :
- Dans l’ordre d’avoir ( distribution des ressources matérielles)
- Dans l’ordre de pouvoir (distribution des ressources sociales et politiques)
- Dans l’ordre des savoirs

Chapitre 5: Sociologie explicative et sociologie


compréhensive
Durkheim : explicative (qui font les stat)
Weber : la socio compréhensive (bck d’observation)
La socio se développe pendant la querelle des méthodes (fin 19)
1. La sociologie explicative
Pour que la socio soit une science Il faut la distinguer de la philo (car elle est pas rigoureuse dans ces
connaissances)
La sociologie comme étude des faits sociaux (l'extériorité, la contrainte sociale)
Approche causale et statistique -> Pour que la sociologie soit comme un science, elle doit appliquer les
méthodes statistiques
 Considérer les faits sociaux comme des choses (chose versus idée)
On s’intéresse aux suicides en tant que phénomène extérieur (indépendamment de l’humain) (on s’en fou
des motivations de gens)
Pour Durkheim : considérer les faits sociaux comme les choses, mais ça ne veut pas dire que ce
sont les choses, mais on doit les traiter comme ça -> les faits objectives, donc on s’intéresse pas
aux subjectif
- La cause d’un fait sociale – c’est un autre fait social
- Pour Durkheim : L’individualisme – c’est un fait social cause par l’autre fait social - l’industrialisation,
pas psychologique\ il va s’imposer à l’individu
- Pour lui le suicide comme un fait social, et pour le comprendre avec le méthode statistique
2 concepts clés de la socio de Durkheim :
Degré d’intégration – l’appartenance\ le lien sociale (être intègre mais pas trop, prsk ça peut amener au
suicide aussi
Degré de régulation sociale – l’ensemble des règles qui pesé sur l’individu\ le contrôle sociale
 Il distique le fait social normal et le fait social pathologique
Le suicide c’est un fait sociale normal
2. La sociologie compréhensive
- Pour lui la sociologie c’est une étude de l'activité sociale\ou de l'action sociale (une activité due de
sens pour l’acteur) ex : prendre son vélo pour venir à la fac
- Les raisons et les sens de l'action : la rationalité
- Illustration de l'usage de l'idéal-type :
Typologie des actions sociales : construite sur 2 critères – rationalité (ma capacite de choisir les moyens
adéquates pour atteindre l’objectif) et intentionnalité (j’ai la volonté d’atteindre un but) (pour Weber cette
typologie ne reflet pas la réalité sociale, c’est pas juste des observations) :
1.1 – Action instrumentale, rationnelle en finalité -> l’homo economicus – on va choisir le moyen le plus
efficace (moins couteux)
1.2 – Action normative, rationnelle en valeur -> on choisit le moyen qui correspond le plus à mes valeurs
(origine de capitalisme est en rationalité en valeur)
2 – Action traditionnelle -> on agit comme ça prks on l’a toujours fait
3 – Action affectuelle -> qui est déterminé par les émotions
L'importance des enchaînements : effets émergents, effets de composition, effets pervers
 L'individualisme de R. Boudon : ?

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