Vous êtes sur la page 1sur 19

Sociologie

La sociologie est-elle neutre ?

La neutralité existe mais elle est dans les outils qu'utilise les scientifiques, elles
existent dans l'objectivité.

I- Les origines de la discipline sociologique

1- Naissance et developpement de la philosophie sociale


Sécularisation : on sort de l'organisation religieuse de la société, à travers
notamment la découverte de la philosophie grecque comme celle d'Aristote. A
partir des siècles des Lumières, un nouveau courant de philosophie arrive, une
approche séculaire, en rupture avec la théologie. Montesquieu publie en 1721 "les
Lettres persanes" où il imagine une correspondance fictive entre voyageurs
persans, cela lui permet de faire une critique, et une conclusion ... les mœurs, les
normes, la morale sont résultats d'une convention arbitraire qui peut évoluer. Il
dresse également une typologie des régimes politiques : La République se fonde
sur la vertu, la Monarchie sur l'honneur, le Despotisme sur la peur. " J'ai d'abord
examiné les Hommes, et j'ai cru que dans cette infinité de lois et mœurs, ils
n'étaient pas conduits par leur fantaisie".

Condorcet (1743-1794), une maths sociale qui va accorder un art classificatoire,


des techniques qui sont largement utiliser en sociologie aujourd'hui. L'utilisation
des maths va permettre d'étudier la généralité et la probabilité des phénomènes
sociaux. C'est le 1er a appliquer les maths à la sociologie... Un projet trop
ambitieux. Parmi ces précurseurs : Saint-Simon 1760-1825, il avait un projet de
construction d'une science de l'Homme, il va l'appeler la physiologie sociale. Saint-
Simon voulait en faire un art.

Auguste COMTE, son travail a laissé une trace profonde, le mot sociologie est
utiliser pour la 1ère fois en 1830, avant on parlait de physique sociale. Cette
discipline a pour objectif l'étude positive des phénomènes sociaux. Positivisme :
courant sociologie, doctrine qui se réclame de la seule connaissance des faits, qui
se réclament des connaissances scientifiques. On peut se fier qu'a ceux qui est
démontrer de manière scientifique. Ces phénomènes sociologiques sont
observables dans les pratiques, les mœurs de chaque individu, elle trouve son
origine dans la société et son fonctionnement sociale.

à partir du 19e siècle la menace s'est déplacer, à cette époque la notion de sociale
elle va beaucoup changer de sens. La question sociale ne fera plus référence aux
mœurs, mais de façon plus spécifique... ? Cette question sociale porte en elle une
injustice qui fait craindre le peuple une inégalité sur le plan politique et une
inégalité sur le plan économique qui se creuse. C’est les risques de la fracture de la
société qui vont obliger à étudier la fracture sociale. C'est dans cette période que
naisse les grandes interrogations sir la famine, misère, et les conditions de vie. Et
les 1ere contribution qui vont permettre d'améliorer la connaissance ce sont les
outils statistiques. C'est à cette époque que va se développer ce que l'on va
appeler la statistique sociale. (1814 = fin d’un 1er Empire et restauration de la
monarchie ; " glorieuses = émeutes porter par des ouvriers avec un quasi contrôle
de la capitale, conséquence fuite de Charles 10 ; Louis-Phillipe vient au pouvoir)

Louis-René Villermé est un médecin hygiéniste. Hygiénisme = ancêtre de la santé


publique, c'est d'abord une discipline nouvelle dans la médecine, enseigné dans
toutes fin du 18e siècle dans les facs de médecine, mais c'est aussi une doctrine et
un mvt politique, elle ambitionne de mettre en relations l'environnement sociale
et les maladies. Une telle discipline peut et va servir à répondre a la question
sociale, a la questions sir la mortalité qui touche les ouvriers, cette doctrine
politique, ce mvt qui se développe aussi bien que de sociétés, d'institutions locales
hygiéniste, et bien elle ambitionne de répondre à la question sociale grâce à
l'environnement urbain en le transformant. Agir sur les pratiques malsaine et les
conditions de vie des ouvriers, transformer les mœurs les conditions de vie devient
une réponse pour le prolétariat à cette misère.

Frédéric Lepley est un ingénieur formé à l'école des Mines. Il avait une spécialité :
l'observation des familles ouvrières, il veut constituer à l'étude de cette discipline,
il va appeler cette étude la sociologie. Il va publier en 1855 "les ouvriers
européens", les techniques d'observation qu'il va développer lui permettent de
produire ce qu'il appelle la monographie, c'est essentiellement descriptive chargée
de détails il l'utilise et la recommande pour étudier les familles ouvriers ouvrières,
il fonde une revue d'économie sociale, il s'entoure de différents individus, il a de
nombreux soutien , rapidement se forme le courant l'écleusien, il n'a rien d'un
chercheur, c'est un anti-républicain , il est vs la révolution, son ambition est de
développer la sociologie et d'en faire l'instrument de la restauration de la valeur
traditionnelle : une société d'ordre où chacun à une place désigné. Il
recommandait surtout de faire confiance aux classes dirigeantes pour résoudre les
questions sociales, puisqu'elles ont un rôle : être les guides pour la classe ouvrière.
Il pense à un rôle paternaliste, patronage : fait d'être généreux et solidaire avec les
ouvriers, soit au travers les actions qui visent à transformer moralement les
mœurs, aussi à l'échelle industrielle avec la mise en place de mesure qui viennent
compléter de simple ? une sorte de sécurité sociale, Lepley s'inscrit dans cette
tradition, toutes les idées de Lepley vont échouer,

La fondation réelle sur laquelle s'élève un édifice juridique et politiques et à quoi


répondent des formes déterminées de la conscience sociale c'est la structure
économique de la société, en somme, ce qui caractérise la société du point de vue
juridique, idéologiques, culture art, la croyance religieuse, viennent de se socle de
la constitution économique.

Marx va contribuer à produire les outils théoriques qui servent aux sociologies.

3) La sociologie du travail

A partir des années 50 comment la sociologie va-t-elle commencer à s'interroger


sur le travail en s'appuyant sur des travaux déjà effectué. Premier domaine de la
spécialisation de sociologie.

Travailler signifie avoir un travail dans la vie de tous les jours. Salarié = une
personne qui vend sa force de travail en l'échange d'un salaire. Grâce à la sécurité
sociale on garantit une assurance sociale aux travailleurs lorsqu'ils sont dans une
période de chômage. Le travail est ce qui rend indépendant grâce au salaire. Puis,
il y a les travailleurs indépendants, (médecins, avocats, commerçants). Le travail
est conçu comme une activité particulière comme-ci elle se jouait dans un appart,
elle se joue dans une sphère spécifique distincte d'une sphère privée. Il faut
articuler ces deux sphères publique/ privée, travail/ privée. On est alors emmené à
hiérarchiser nos priorités de la manière suivante : la famille d'un côté le travail de
l'autre. Mais c'est différent si on est un homme ou une femme. Ex : pour une
femme cadre avoir un enfant peut être perçu comme source de problème.

Le travail c'est encore autre chose : c'est une source essentielle de l'identité
sociale de l'individu, il inspire des valeurs, des opinions sur les gens, sur le monde.

Qu'est qu'une personne qui ne travaille pas ?

On dit parfois que c'est un " moins que rien", qu'il n’a pas d'ambition personnelle,
n'a pas une très bonne réputation. Déjà, quelqu'un qui ne travaille pas profite du
système et vit grâce aux aides. (Cela ne concerne pas les personnes invalides).
Cette frontière entre invalides et valides permet de déterminer si les gens doivent
bénéficier d'aides ou pas, cela fait même l'objet de débats en politiques entre les
différents clivages. Ce qui importe c'est que le travail révèle une dimension moral
négative (fainéant, rêveur) et positive : idée de la France qui se lève tôt, le "gendre
idéal", facteur de mérite et bonheur individuel.

Cette force conception du travail pose un problème, au moins une question,


puisqu'elle met de côté certaines activités qui seraient du travail mais que l'on ne
considère pas en tant que tel, comme les femmes au foyer.

Est-ce que les retraité travail ? Eux pensent que oui, puisqu'ils sont par ex :
dirigeant d'association, conseiller municipal. Il travail mais ils sont libérés du fait de
trouver un employé qui leur donnerait un travail. Bernard Friot évoque des
retraites un système de salaires à vie (1964). Verser un revenu universel (Hamon
en 2017) a été perçu comme une idée utopiste, car on ne peut pas sortir du
système capitaliste. Le travail est pensé comme indispensable au fonctionnement
des sociétés parce qu'il constitue une source de richesse. On a besoin du travail
car il fait fonctionner l'économie de marché, le système de protection et d'aide
sociale. Il procure aux individus un sentiment de dignité sociale.

Aujourd'hui les emploi les plus menacer sont les emplois de la fonction publique,
ex : ils ne produisent aucune marchandise, ils produisent de la santé, de
l'intelligence, etc... Le travail ; permet une cohésion sociale dans nos sociétés grâce
aux systèmes de partage. Il a multiples facettes : individuel, collectif, mais aussi
moral. Les sociétés capitalistiques ont fait du travail une notion centrale dans nos
vies. - Jeunesse : formation dès le plus jeune âge sur les métiers. - Adultes :
réalisation de soi par le travail. - Vieillesse : libération de l'emploi. C'est une pierre
angulaire sur laquelle s'organise nos vies.

Le travail est-il autant indispensable au fonctionnement social ? Le travail est-il


nécessaire dans toutes les sociétés ? Non !

Ex : les sociétés primates, amérindienne, autochtones. Chez les grecs et romains il


existait des notions pour désigner des activités pénibles : "ponos". Et à l'inverse un
mot pour désigner une activé noble : "Bergone". Cette distinction entre ces
activités dégradantes et nobles à exister pendant toute la période médiévale.
Guerriers et prêtres : activités nobles, le paysan : activité pénible. Un nombre
grandissant de gens qui se trouvent obliger à migrer vont venir dans les villes, ce
sont des mendiants des vagabonds, aujourd'hui in les appellerai des chômeurs.
Partout en Europe on prend des édits qui vise à condamner ce que l'on appelle les
oiseux, on les marque au fer rouge. Dans les hôpitaux on décide de rééduquer les
mendiants et leur faire comprendre l'importance du travail, puis des dépôts de
mendicité = ^centre où ils font toutes sortes de corvées. Le travail n'est pas encore
associé à la production de richesse.

Jusqu'au 19e siècle le travail n'avait qu'une dimension morale.

Les gens travaillaient car ils n'étaient pas riches, plus les gens étaient riches, moins
ils travaillaient. Cette conception du travail dura jusqu'à la fin du 17e siècle avant la
mise en place de théorie sur le travail.

Adam Smith va faire du travail la principale source de richesse avec le système de


libre-échange et l'accumulation illimitée de richesse. Pour constituer un tel marché
il fait que la valeur de ses biens soit mesurée avec une unité de valeur commune,
et cette valeur il va la rapporter à la quantité de travail nécessaire pour produire la
marchandise. Aussi, il faut que ce dernier soit source de richesse pour le salarié
que les ménages se considèrent comme étant une force de travail qui peut être
vendue en échange d'argent.

Marx avait une conception moderne le travail distingue les Hommes, c'est ce qui le
singularise. Le travail transforme la nature. Attention, le travailleur est étranger au
produit qu'il réalise, le produit du travail n'apparaît plus dans ce qu'il réalise mais
dans son salaire, alors dans la valeur de la force de son travail sur le marché.

Le travail prive les gens de sa liberté, il est libre grâce à son salaire. Le travail
déshumanise l'Homme en faisant de l'Homme un matériel, un moyen de
production. Le travail devient source d'espoir. La fin de la lutte des classes doit se
réaliser sur le travail. Jusqu’en 1920 tous les salariés sont des ouvriers et ce n'est
qu'ensuite que va apparaitre la société de services, la mise en place de cadres,
etc...

Le travail c'est le fruit d'une longue histoire, au cours de laquelle plusieurs


significations successives prennent place, mais qui ne se substitue pas les unes aux
autres mais qui se superposent.

III- De l'organisation à la psychotechnique du travail

On va s'intéresser au contexte qui est marqué par un terrain doublement vierge.


Pourquoi la sociologie du travail en France ne part de rien ? De critique de
l'existence ? On va s'intéresser à 2 grandes figures de la sociologie : Georges
Friedman et Pierre Naville, on les retrouve à la direction d'un traité du travail,
néanmoins ils n'ont pas les mêmes visions sur la sociologie du travail, ils ne sont
pas pour autant des concurrents, il n'y a pas d'hostilité entre les 2 visions, ils ont
juste des visions différentes. Celle qui est la plus populaire et ancienne en France
est celle de Friedman. Les travaux qui vont se développer dans les 2000s,
notamment à l'université d'Evry... ? Dans les 1950s, il n'y avait plus de revus
sociologique, pas de licence en sociologie et très peu de chercheurs (juste une 50
au CNRS) très peu de professeurs aussi, donc une sociologie très peu spécialiser,
on n’est pas encore à l'heure où les sociologues se partagent les travaux en se
spécialisant. La sociologie du travail doit constituer le premier secteur de la
spécialisation des laboratoires. En France on a une spécialisation qui va se faire sur
la sante dans la fin des 1960s, il existait tout un corpus du cadre théorique qui
existent toujours aujourd'hui et qui s'adapte des USA, ils vont transposer ses
travaux des USA en France. Il y a aussi en sociologie politique dans la fin des 1980s,
les 1er chercheurs en sociologie politique ont commencer en traduisant des
travaux américains. Dans la fin des 1960s il n'existait pas... ? Les travaux
d'ingénieurs et de psychologue du travail. Quel est le rôle des ingénieurs ? Les
1eres recherches vont se porter sur l'organisation du travail, ils émergent aux USA
au tournant du 19e et 20 siècles. Le plus célèbre ingénieur est Taylor (1856 - 1915),
ces travaux sont très connus car ils vont servir de modèles d’organisation, ces
théories ont été mis en place par Ford. Ses théories vont surtout se développer en
1930s, elles vont connaître une très forte croissance dans l'alimentation,
restaurations, dans les services, et aussi dans les 1950s - 1960s, encouragé par la
planification économique de cette époque. Elle va accompagner toute la période
des 30 glorieuses. Il ne faut pas imaginer qu'il a disparu aujourd'hui : il est utilisé
dans l'industrie, les services comme les services publique ( ex : CPAM, le travail du
guichetier fait objet de chronométrage). Comment il est conçu ? A la fin de 19e
siècle, Taylor va constater ce qu'il appelle " la flânerie systématique des ouvriers",
pour lui c'est elle qui occasionne un freinage de la production, mais elle n'ait pas à
l'origine de la paresse, elle est exclusivement liée à la mauvaise organisation du
travail, elle est produite par la direction et non les ouvriers. Il explique en
observant les taliers du travail , que les ouvriers de cette époque apprennent en
observant les autres travailleur, c'est-à dire sur le tas , or ils apprennent surtout
comment conserver leur emploi et comment préserver sa santé. Pour corriger cela
il propose d'établir ce qu’il va appeler " The one best way", le rôle de l'ingénieur
est de la définir. Taylor va également compléter sa théoriser avec une méthode en
5 étapes : 1ere : choisir les meilleures ouvriers (choisir différents ouvriers
particulièrement habile) 2e : en observant ces ouvriers et leur outils ( la manière) il
faut définir une série de mvt uni élémentaire que chaque ouvriers doit réaliser
pour produire du travail, 3e étape : définit avec un chrono le temps que ces
ouvriers exemplaire mobilisent pour accomplir pour exécuter e travail, 4e :
éliminer tous les mvt mal conçu, considéré comme trop lent ou sans utilité, 5e :
définit une seule séquence les mvt les plus rapides, les plus efficaces, les outils
les plus pertinents, dans la séquences du travail. Il s'agit pour les directions de
former les recrues sur ces nouveaux mvt, les former à une série de gestes en leur
interdisant de s'en écarter. Taylor considère un dernier élément essentiel, pour lui
seul l'intérêt gouverne le comportement des ouvriers : le salaire. L'ensemble du
processus doit donc s'accompagner d'incidence salariale. "The one best way"
intervient dans un climat où il y a une conflictualité du travail très développer, il y a
même le PC très organiser à l'origine de mvt aux répercussions internationales :
ex : journée du travail vient d'un conflit aux USA. Cette théorie se développe dans
ce contexte, Taylor a pour but de pacifier la relation ouvriers-patron, à concilier les
intérêts des deux camps, en mettant en place l'organisation scientifique du travail,
en améliorer les rendements du travail, il y a aussi un intéressement important du
travailleur sur son métier. Et, il y aura un apaisement des conflits si l'organisation
est organisée scientifiquement. En somme, les conflits du travail ont pour origine
de fonctionnement les conditions de la production et non le capitalisme. Le
développement l'Organisation va connaître une 1ere application chez Ford, elle va
se mettre en place en 1914 à Detroit, il leur propose un salaire de 5$/ jour
(équivalent à un salaire de 18k/an de nos jours, et ça représente le double du
salaire à l'époque). Sa mise en application va avoir un effet considérable : 1,9M de
véhicule, 10ans plus tard... ? Le salaire 2x plus élevé est très attractif, Ford attire
plus de travailleurs, mais dans l'usine les gens sont confrontés à une concurrence :
Ford doit embaucher 50k ouvrier et en garder que 10k. Il y a une observation aux
travails et au dehors du travail, il licencie systématiquement ce qui consomme de
l'alcool, Ford refusait totalement la consommation de l'alcool, le Fordisme
s'accompagne d'une surveillance permanente des salarier. Jusqu'à la fin des 1930s
le modèle fait débat et est unique. Charlie Chaplin critique cela, dans les milieu
universitaires, culturels et intellectuels aussi, dans un climat ou se développe
plusieurs différentes conceptions. Des chercheurs américains, à commencer par
Elton Mato va s'interroger à la psychologie du travailleurs, ex : à Chicago une usine
de fabrication de tél va faire l'objet d’une étude entre 1927 et 1932 (contexte :
crash boursier, 1/4 de la pop au chômage). Le travail chez Western Electric est
monotone, répétitif et réaliser par des femmes dans des grandes salles avec des
ranger de table. Mayo va partir d'hypothèses qui se base sur ceux de Taylor : si en
donnant des autorisations, des avantages comme le confort, le repas offert, plus
de luminosité on améliore le rendement ? Il met donc en place des tests avec des
ateliers dans lesquels il y a la mise en place de toutes ces choses. Le résultat : le
changement des conditions de travail n'améliore pas le rendement. Cela va lui
permettre de mettre la main sur quelque chose qu'il n'avait pas remarquer : son
intervention va changer le climat, l'ambiance qui régner dans ces ateliers, ce qui
aura des conséquences sur la relations humaines, il y avait un climat positif qui
générer un esprit de solidarité, esprit de groupe, leur donner un sentiment
d'exister en tant que personnes, cela leur donne une certaine importance dans
l'entreprise, donne un sentiment d'utilité, qu'elle pouvait contribuer aux
transformations dans la réalisation du travail, qu'on faisait appel à elles pour leur
intelligence, les rendements du travail dépendent donc de la motivation des
salarié qui dépende des qualités humaines dans l'entreprise, voilà la découvertes.
"The one best way" est une fiction : il n'existe pas de système technique qui
pourrait passer outre que les relations humaines dans une entreprise. Il faut donc
distinguer ce qui relève d'un système qui, est lié à l'organisation du travail, d'un
système sur les relations humaines, l'organisation repose sur un système
technique et la productivité sur un système de qualités humaines qui relèvent de
la direction. Mayo va dégager 6 variables psychotechniques qui permettent de
jouer sur ce système des relations humaines : 1ere variables : le commandement,
la productivité du travail dans une entreprise dépend du dialogue sur les
conditions de vie et les conditions de travail. 2e variables : la responsabilisation du
salarié : en demandant aux ouvriers de participer à cette expérience elles sont
prises conscience de l'importance qu'elles avaient dans l’entreprise. 3e : la
création de la collectivité du travail fond sur l'entente, l'amitié, le plaisir d'être
ensemble, Mayo explique très tôt que le travail à la chaîne ne rend pas possible la
cohésion, la simple entente, elle peut même entrainer des conflits si un ouvriers
travail trop lentement par ex. 4e : l'implication des collectifs du travail dans
l'organisation technique du travail. 5e : l'organisation de ces collectifs de travail à
partir d'un leadership informel, Mayo a remarqué que dans ces atelier test prenait
forme un leadership informel par une des salariés et pour lui il est très important
de laisser ce leadership informel (laisser une adhésion volontaire et non une
imposition). 6e la sécurité dans l'emploi : contexte les femmes qui participait dans
ateliers et bien le fait qu'on leur donne ce rôle leur donnait une sorte de sécurité
ce qui améliorer leur productivité. En somme, ces chercheurs on remarquer
l'importance de l'estime dans le travail et plein d'autre choses vu précédent. Il y a
le développement de l'école des sciences humaines, elle se commence à se
structure au moment de la crise éco de 29, on retrouve des chercheurs venus de la
psycho : Elton MAYO, Kurt LEWIN ( il est à l'origine de plusieurs concept comme
celui de la dynamique...? de la recherche actions eux : le travail d' Elton Mayo on
étudie et on agit), Jacob Lewi MORANO ( c'est le 1er à avoir inventé la
psychothérapie de groupe), Abraham NASLO ( connus pour ces études sur les
besoins, ex : la pyramides des besoins). Si Mayo à construit une théorie différente
de Taylor, ils ont malgré tous les mêmes objectifs : améliorer le rendement et les
conflits du travail. Leur intérêt : fructifier le capital.

Il y a le développement de la psychotechnique : les chercheurs français vont


s'approprier les travaux de Taylor, la psychotechnique va se développer dans le but
de voir les aptitudes de chacun et de sélectionner les meilleurs salariés,
progressivement ces techniciens vont se glisser dans le domaine de la conception
de test permettant de mesurer les aptitudes de chacun. Dans les 1930s les labos
de psychotechnique se développe, et se développe aussi les 1eres institutions en
charge de l'orientation professionnelle, destiner à la formation des conseillers
d'orientation professionnelles. Avant la guerre, elle est faiblement utiliser, elle est
utilisée chez Renault pour virer les ouvriers inaptes, chez Michelin en ajoutant des
indicateurs moraux, mais c'est surtout après-guerre que cela se développe elle se
généralise chez les professionnels de santé où il y a plus de 50 salairiés. Les
psychotechniciens sont recrutés pour accompagner le salariat féminin, et pour
appuyer les RH.

1. De l'organisation à la psychologie du travail.

Friedmann ; Pierre Naville ; Prend forme au milieu des 1950s. Les travaux des
sociologues étaient financés par le public et non des entreprises privées. Leurs
travails vont, combler un vide laissé par la psychosociologie américaine et la
psychotechnique française. Friedmann souhaite étudier l'Homme au travail et
donc de dev une sociologie dans le travail, alors que pour Naville il s'agit plutôt
d'étudier le travail par la sociologie. On va donc avoir 2 orientations, une 1zre qui
se structure assez tôt autour de Friedmann avec la création d'une première revue
qui caractérise la spécialisation de la sociologie en 1959 qui s'appelle "sociologie
du travail". Parmi les fondateurs il y a Michel CROZIER ( à l'origine du dev de la
sociologie des organisation en France), ensuite, REYNAUT, enfin, Alain TOURAINE.

Il y a une 2nde approche qui s'est dev plus récemment, en tirant des
enseignements, des postes lancer par Pierre NAVILLE. Mais une approche qui s'est
structurer tardivement au centre NAVILLE. Elle n'a pas été fonder par lui-même, ça
été former par Durand, en 1994, soit après sa mort. Alors on a d'un côté une
sociologue qui analyse le travail comme un activé spécifique, les modèles concrète
de travail, inscrit à la fois chez le CNRS. Une sociologie instituante, nourrissant tout
à la fois l'activé de l'Etat (ministère du travail) des législateurs, des partis
politiques, des organisations syndicales, du patronat, du monde de l'entreprise qui
va se nourrir également de ses travaux =, en un certain sens c'est à la fois une
sociologie académique, et une expertise qui va transformer la régulation
économique du travail. De l'autre côté, une sociologie plus spécifiquement
académique qui s'adresse aux chercheurs a la sphère savante. Une sociologie qui
va se développer dans le 1er travail de NAVILLE, et qui, se fera à partir d'une
approche qui va se faire à partir d'une approche abstraite faite par NAVILLE, c'est-
à-dire celle qui se rapproche de la valeur marchande, qui fixe la valeur des
marchandises, cette sociologie chercher à mettre en jour le système global du
travail mais en dehors de la sphère du travail. Elle nous permet de classer, ranger
et hiérarchiser les gens par rapport à leur compétences, savoir-faire, des
ambitions, qui nourrissent noc vies en rapport cette centralité d’un travail.

Le développement de la sociologie du travail dans la lignée de Friedmann. Il est


directeur des écoles, il cumule aussi la charge de directeur des études de
sociologie, Friedmann c'est un acteur du développement de la sociologie française
dans l'après-guerre. Cela consiste en une analyse des rapports sociaux du travail
pour rendre visible l'aliénation du travail comme l'avait dit Marx. (Livre : le travail
en miette). Il y a dans cette époque le développement de l'auto, de l'Organisation
scientifique du travail.IL y a un couplage entre progrès techniques et ? Friedmann
prend le contre-pied de cette idée, que l'OST a pour effet de réduire en miette et
de mettre aucun sens à l'idée la bordeuses? Il prend un exemple d'un e
entreprise où la fabrication d'un gilet est divisée entre 60 personnes. Il y a une
dépersonnalisation du travail. Tous les travailleurs sont substituables à la
simplification d'une tâche, surtout elle produit aussi chez le travailleur un
sentiment de dépossession. La rationalisation et division des tâches est pleine
d'effet deter. A long terme, c'est le remplacement de savoir copplces qui
permettent de comprendre la fabrication d'un bien, avisant une réduction d ma
formation, une restriction de la qualification. La diminution des salaires, la
disparition de la part créative et imaginative du travail. Cette situation est le
résultat de la complexification du travail. Au profit de technicien, tandis qu'ils
jouent un rôle fondamental dans la mise en place des tâches, l'ouvrier doit juste
réaliser les tâches, dans son analyse Friedmann a toujours en tête l'âge d'or du
travail. Cela engendre fatigue ennui démotivation, produite de l'absentéisme, un
turnover, l'OST à augmenter la productivité du travail mais à quel prix ? Pour
Friedmann, l'émancipation du travail suppose que le travail reconquiert les outils
de travail, maitrise ces techniques. Il souhaite une recomposition des tâches qui
engendrera une plurispécialisation des travailleurs. Il défend l'idée de promouvoir
les loisirs, le temps libre, si le travail n'est plus qu’une contrainte alors
l'émancipation doit se réalisée ailleurs. Comment cette sociologie du travail inspire
les pp ? dans les collectivités territoriales dominer par le PCF, c'est là que va se
développer les services jeunesse, les loisirs, le droit aux vacances. Ministère du
temps libre. Friedmann a une vision fataliste de la tournure que prend le travail.
D'autres sociologues ont une meilleure vision que les travailleurs vont par ex
développer des compétences meilleur lies à l’utilisation de ces machines. Ils vont
montrer que ces connaissances conférer aux salarier des pouvoir vus à vis de leur
hiérarchiser, qu'en quelque sorte cela transformer les rapports de force dans les
entreprises. De négocier leur place pour avoir leur mot à dire dans l'organisations
du travail, plus ce qu'elle leur rendait dépendant dans leurs hiérarchies
technologiques. Cela va créer des débats politiques. Cela va encourager une lutte
sociale en passant des revendications salariales à réclamer un plus grand contrôle
sur les processus de productions , ce point de vue va nourrir les action syndicale
dans les 1970s , la constitution de la SFDT, par ex, est directement en lien avec les
enseignements de travaux d’Alain Touraine, même pour les partis politiques et les
actions gouvernementales, avec l'idée qu’il faut faire participer de plus en plus les
salarier à l’organisation du travail , notamment avec la mise en place de services
de qualité. On va de même avec la mise en place des Lois Auroux en 1982 : objectif
: favoriser l’action directe des travailleurs dans des condition de travail, dans
'l’entreprise. Création des 1ers comités d'hygiène et de sécurité qui impose aux
publics et aux privées d’engager des concertations avec les représentants des
salarier dès qu'une décision affecte le trail des ouvriers. Cette sociologie du travail
va s'éparpiller à cause des études, avec le développement technologique. Le 1er a
sen détourner ce sont les 1ers fondateurs de la revue du travail. Parmi ces
fondateurs il y a Crizee qui va créer son propre labo. Il va beaucoup miser sur
l'analyse stratégique : d'abord elle est justifiée par Crizee car il annonce
l'avènement de la modernité, de l'Homme moderne dont l'activité dépendrait que
du calcul rationnel, il serait lu déterminer avec l'étude des classes de son passer.
Ce qu’il amène à dev une microsociologie des relations du pouvoir dans ces
organisations, surtout les bureaucrates, les administrateurs. C'est une sociologie
désincarner. Ils agissent uniquement en fonction de ligne qui leur permettent
d'étendre leur influence de leur pouvoir dans leur travail

Jena Daniel REYNAYD : il avait défini la sociologie de l’entreprise : il va dépendre


d'études nord-américaine : relation patronnat-sariat, il est l'une des références
dans le patronat français. Il va développer la régulation

2- De la sociologie du travail à la sociologie de l'organisation des entreprises.

II- La sociologie du travail et l’analyse du travail pour la sociologie

II.1- De la sociologie du travail à la sociologie des organisations, et des entreprises

II.2- Le travail comme miroir de la société

Ce courant de la sociologie de l'acteur part du fait qu'avec l'évolution de la


sociologie, ne produit plus des cadres figer des sociabilité des individus, en somme
les individus cherchent à s'émanciper des cadres anciens sans pour autant qu’ils
ne puissent disposer d'une totale liberté, pour autant il n'est plus figer dans le
groupe sociale dans le quel il est né, Donc parmi ces différents courant de la
sociologie de l'acteur, il y a un qui s'appelle la sociologie du courant fondé par
François Dubet. L'expérience fait réf à plusieurs choses : les individus ne prennent
plus un chemin tout tracer ils sont amenés à prendre leur propre trajectoire, mais
à partir, de certain nombre de contraintes : milieu social, mais aussi la somme des
expériences sociales qui participe à faire évoluer, à transformer l'identité sociale
telle qu'elle s'est constituée. Cette sociologie de l'expérience s'est aussi fonde sur
une démarche, elle s'intéressa comment les acteurs en apprennent de leur
expérience change, elle s'intéresse à la subjectivité des acteurs. L'idée est de
comprendre le" monde sociale, leur représentation, interprétation du monde,
représentation qu'ils ont des professions, la représentation qu'ils ont d'eux-
mêmes. Donc un groupe de sociologue (Bigi, Cousin, Mèda, Sibaus) vont
s'interroger à une thématique qui est de la reconnaissance qui prend forme de
l'organisation du travail. Pas totalement nouveau, c'est une question qui va
vachement intéresser m'école des relations humaines aux USA (Elton MAYO), ces
chercheurs vont beaucoup s'intéresser à l'idée de la reconnaissance du travail. Ces
sociologues avaient une approche managériale, très américaine, ce qui les
intéresse dans la reconnaissance c'est la performance des salarier et des
entreprises, cette reconnaissance augmente la productivité, le CA, baisse le stress,
les turn-over. La reconnaissance aurait donc pour effet de motiver les salarier de
manière à mieux mes disposer pour servir les intérêts de l'entreprise. "travailler au
21e siècle, des travailleurs en quête de reconnaissance). Leur démarche est
intéressante, l'enjeu de la reconnaissance doit bien saisir les condition subjectives
dans lequel le travail se déroule. Leur constat de départ se tient à un paradoxe. Ils
ont fait une étude qui monte que les salarier français sont très intéresser à leur
travail, qu'il aime, paradoxe : même s'il aime leur travail constitue pour eux la 1ere
source de mal-être. Le sens de ce paradoxe les auteurs vont le repérer dans le
désir de reconnaissance qui s'exprime à la fois par attachement au travail mais un
désir de reconnaissance frustré. Ce désir ne se limite pas aux limites, a la
reconnaissance de la performance et du salaire, les sacrifices, la personne en toute
sa totalité par ex. " On désir être reconnu pour ce que l'on est et non simplement
pour ce que l'o, désir posséder." car souvent cette reconnaissance, confronte les
travailleurs à des réponses managériale d'équivoque. Un aspect particulier de
cette reconnaissance : elle ne se réalise pas dans un monde propre à soi : elle est
transversale et transitionnelle, elle se réalise à travers une interaction avec les
produits du travail, en d'autre termes, cette reconnaissance se concrétise en
donnant à chacun de reconnaitre sa contribution dans ce qui est produit. Se
reconnaitre dans les produits du travail c'est aussi faire reconnaitre les autres dans
leur travail. Autrui peut-être le supérieur hiérarchique, les collègues, le public, les
usagers, les clients, évidemment on parle du travail tel qu'il se découle. Le travail
prend surtout forme de collectif avec des collègues. De fait, cette reconnaissance
c’est dimension transactionnelle et relationnelles qui jouit d'une variété de
transaction, pour pourvoir tenir compte de la variété des situation les auteurs oint
décider d'expliciter cette reconnaissance à partir de 4 registres sur lesquels jour
cette reconnaissance pour les salarier. Le registre de l'activé, de la relation, de la
récompense, de la personne. Le registre de l'activité correspond a la fierté du
travail, qui s'exprime par le fait de bien faire son travail, d’un travail bien fait. Les
auteurs insistent là-dessus, le "travail bien fait" est le 1er registre, il est surtout
rendu visible par des sentiments de nombres de reconnaissance que traduise les
propos de salarier qui disent que leur travail ne sert à rien, que leur présence
personnelle n'est pas indispensable qu’ils sont substituables, que leur travail ne
permet pas de donner le sentiment qu’on fait bien se travail. Il faudrait que votre
travail soit remarqué par un collègue, un client, un supérieur et c'est ici que se
joue le registre relationnel. Pour un certain nombre de salarier le travail dépend du
jugement des supérieurs, collègues, cette reconnaissance est très importante car
elle confirme l'appartenance de l'individu aux groupes de pairs, elle est très
importante car cette appartenance confère aux individus les identités
professionnelles qu’il va retrouver dans le travail, qu’il peut revendiquer ces
appartenances professionnelles. Elle varie selon les modalités et les formes du
travail. La reconnaissance par les pairs est fondamentale alors que le secondaire la
reconnaissance passe par les ? Cette reconnaissance par les autres favorise sur les
lieux de travail à l‘intégration des collectifs du travail, elle favorise la solidarité
l'entre-aide, le partage "des ficelles du métier". Des collaborations qui aide à
l'installation des nvx collègues, elle est participe à la hausse de l'estime de soi des
salarier. L'intégration permet d'avoir des savoir pratique sr la résolution des
problèmes, cette reconnaissance n'est pas tjr possible. Dans d'autres cas cette
isolement peut renvoyer à l'organisations du travail : concurrence des salarier,
l'organisation du travail donne comme but de briser des collectifs de travail qui
sont des obstacles aux changement ou pour donner plus de place aux publiques.
Ex : réaménagement des bureaux de postes en 2004 (donner moins une image
administrative) : les guichets sont confinés par la disposition spatiale ne face à face
solitaire avec le client. Au-delà de l'opacité du système, cette non-reconnaissance
peut donner lieu à de la frustration qui peut être due aux favoritismes, la
reconnaissance ici est suspecte. La reconnaissance se nourri d'un sentiment
d'injustice en termes de prime de carrières. Elle se nourri du fait que bien faire son
travail n'est pas récompenser et es récompense repose sur le favoritisme, le
copinage. Registre de la personne : c'est en partant d'une situation où il y a des
défauts reconnaissance qu’on se rende compte du registre de la personne. Il
souhaite reconnu grâce à sa personnalité, leur vie sociale, or, ce dont on se rend
compte c'est qu'il existent des salariés dont le statut met pas en reconnaissance
les CCD, les stagiaires, ça peut être les statuts mais aussi les missions qui les rend
invisible ils sont la sensation d'être inexistants, transparents, les auteurs de cette
étude estiment ne pas avoir rencontrer les salarier qui sont dans les 4 registres, ce
qui est mêmes normal car ils n'ont eux-mêmes pas rencontré de salarier qui place
leur attentes dans ces 4 registres. Cela dépend des professions des contextes pro,
des statuts.

Pierre naville est le fondateur du mvt surréaliste, parallèlement il s’engagent au


PCF, et c'est lui qui va ? comme Aragon et Prévert, il y est exclu du PCF car proche
de Trotski toute sa vie il va être actif en politique, c'est aux CNRS qu’il va devenir
sociologue, il va aussi participer a la création de partis politique de gauche.

A la différence de Friedmann, il ne voulait pas fonde de spécialité de la socio, il ne


s'agit pas da faire une sociologie du travail, mais d'étudier Le travail par la socio. Le
travail occupe une place centrale dans la vie des individus, et on l'a sous-estimé
puisqu’on la limite comme quelque chose qui se jouerait comme à part, dans une
sphère distinct, or Naville va s'attacher à montrer c'est qu’en réalité si le travail
occupe ,une place plus forte qu’on le pense, c'est parce que les Hommes ont
tenaces à se soumettre à ? au lieu d' un système globale de valorisation qui existe
dans le monde du travail sous la forme de la velours du travail abstraits, cette
valeur qui confère la valeur monétaire des choses. Une notion de subsumption,
Marx va l'utiliser dans les manières de décrire comment les relations sociales sont
déterminer par celle du travail , l’analyse des relation du travail ne doit pas se
limiter aux travail entrain de faire mais plutôt de recueillir et être remarquer
comment par le travail constitue des groupes, de situations des espaces, et dans
quelles condition surtout les individus que nous sommes sont façonner mobiliser
partager en groupe hiérarchiser et rémunérer en fonction de ce qu’ils valent et pas
seulement dans le monde du travail. En somme le travail produit une emprise sur
les individus car les attitudes, les pratiques qui sont attendus dans l'univers ^ro,
procède d'un ajustement permanent des individus, dans un travail invisible,
inconscient de valorisations, ce travail consiste en un effort permanent encore une
pas conscient, d'adaptation à ce qui est attendu dans le monde du travail, qui se
pers dès l'enfance, et qui se prolonge dans le cursus de formation, destiner
l’apprentissage des avoirs techniques propos au monde du travail mais pas
seulement quo participe à ce travail d’adaptation, mai qui se forge aux pratiques
culturels, des compétences de savoir-faire qui sont eux aussi ajuster aux faits que
les individus reconnaissance leur valeur sociale. Ainsi, il existe dans nos sociétés un
système globale de valorisation à partir des quels les individus effectue ce travail
invisible inconscient mais permanent qui les réadapte à ce monde du travail. C'est
ce qui fait que vous êtes devenues de parfaits utilisateurs des outils numériques
pour devenir des salarier 2.0. Plus encore les individues tend à se soumettre à ce
système de valorisation.

La place des femmes dans le monde du travail :

Le travail féminin est marqué par tout d’abord, par les rôles domestiques des
femmes, elles sont sur représenter dans les profession qui incarnes les vertus
d’unes féminines, administration santé travail sociale, services à la personne,
quelques chiffres : 97% des aides domiciles sont des femmes ; 90% aide-
soignantes, 73% d'employer administratifs dont des femmes, 66% d'enseignantes.
Remarquer qu’ils se s'agit de métier indispensable mais pas bien rémunérer. On
retrouve en bas dans les PSC, elles sont que 16% cheffe d'entreprises. Les femmes
sont depuis les années 2000s s'inscrive dans la médecine, cette ségrégation est
plus vivace, c'est une ségrégerions verticale : les femmes sont surreprésenter :
gynéco : 72%, dermatologie : 69%, pédiatrie : 67%, elle représente aussi 70% des
médecins du travail, dans la hiérarchie des professions médicales les médecins du
travail sont dans le dernier rang : perçus comme cowboys et des policer sans
pistoler car ils ne peuvent pas prescrire, par contre les spé qui sont appel à la
technique, d'engagements couteux et les plus prestigieux et rémunératrices :
chirurgie générales 17%, chirurgie vasculaires : 11%, chirurgie antropédique
(footballeur) 5%. D'autres exemples : si vous cherchez un dentiste prenez car les
femmes sont 30% moins chers comparer aux hommes, car ils estiment qu'ils "le
valent bien", "'c'est ce qui vaut leur travail". Actuellement, dans 3/4 des couples le
revenu des hommes est supérieur aux femmes, on a un écart de 42% ! En fait, les
stéréotypes sur la qualité et es compétences sur les femmes sont encore très
vivaces dans notre société. Ex : un cadre commercial explique que celles qui
résistent sont des phénomènes des dures, il y a 25% de femmes, la parité est
impossible" on retrouve ici que la compétition est un truc d'homme est qui si les
femmes le font se sont des "dragons, des lutantes" elle ont réussi à dépasser les
caractéristiques de leur genre, en gros pour réussir elles doivent emprunter des
caractéristiques "propres aux hommes", une sociologie à montrer à quelle point
les homme ont de meilleurs "valeurs" exigence de dispo, mobilité géo. Témoignage
d'une femme à l'ENA : "2 enfants, formations 24 mois à Strasbourg"

Ils pèsent sur elle un devoir productif et reproductif. Une salarier qui a des enfants
va demander des congés spéciaux, va arriver en retard. A l'inverse, chez les
hommes l'arrivée d'enfant est perçue comme un gage de responsabilité. On peut
donc décrire cela comme un plafond de verre. Cette situation des femmes, nous
montre que ce que nous sommes et faisant, les choix que nous sommes arrivées à
opérer sont à la fois dictée par un système globale de valorisation, par une
hiérarchie sociale qui prenne formes en dehors du monde du travail, et ne sont
pas dû au-hasard.

Vous aimerez peut-être aussi