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Le changement social p2

Définition basé sur les œuvres de Guy Rocher, consacréaux changements social. Il fait des distinctions
utiles pour la recherche.

Qu’est ce que le changement

Si on prend Sigmund Bawman, la société liquide, il parle du changement . Il y a une acceleration


permanente, du changement. Pour Bauman la société change plus vite que les individus peuvent
changer. Pour etre dans le mouvement, il faut être dans le courant du mouvement. Et pour participer au
changement il faut aller plus vite que la vitesse du courant. La théorie du pouvoir est donc celui de la
vitesse dans le changement, arme de pouvoir. Verio va mettre en avant ce pouvoir avec les stratégies
de guerre. La vitesse est centrale dans la théorie du changement.

Tout dépend de ce que l’on analyse. Si on analyse du pouvoir, peut on voir du changement dans le
pouvoir. Le changement social n’est pas toujours un changement de structure.

Le deuxieème point. Qui dit changement dit rapport à l’histoire. Le changement se voit dans une
perspective comparative et historique. Exemple : montrer si ça a changé.

Guy Rocher propose différentes définitions :

1) Le changement social est carcatéristique des sociéts humaines : elles sont dotées d’historicité.
Les individus son capables de faire retour sur eux-mêmes. Qui dit retour sur soi dit épaisseur
historique. Avec cette idée que les sociétés ont un caractère dynamique. Auguste Compté, la
société peut s’analyser sur deux dimensions qui se combinent.
- La statique d’un côté, l’ordre, la reproduction. On ne s’interesse pas la au changement mais à
ce qui est stable.
- L’autre dimension est dynamique, conflictualiste, le désordre.
On est alors dans la dynamique du progrès. Celle uniquement stable ne peut avancer, mais
seulement dynamique est top destructrice pour elle-même. Pour Compte, le progrès, c’est le
développement de l’ordre.

Pour Norbert Elias, l’auto contrôle des pulsions est ce qui permet de faire la société. On
comprend l’articulation entre le côté dynamique et le côté statique.

2) Pour Guy Rocher, l’évolution sociale renvoit à l’ensemble des transformations des sociétés sur
une longue période (plusieurssiècles). Compte voit les trois états des sociétés. Il voit le côté
théologie, animiste (en rapport en miroir à la nature), une autre période jusqu’au Moyen Age
basé sur la métaphysique. Et troisièmme période, l’entrée des sociétés de progrès au sens
scientifique. Début du progrès scientifique, évolution sur le long terme. Le changement
social renvoit à des changement observables et vérifiables sur de plus courtes périodes.
L’objet du changement social renvoit à des changements qui ne sont pas celles de
l’historien. Il faut observer de manière localisé, sociologiquement et graphiquement.
Donc le changement permet des théories de moyennes portées, et pas universelles, elles sont
circonstrites culturellement, géographiquement et historiquement. Les sociolgoues du 19 ème et
du 20 ème, Weber, Tocqueville et Marx se sont intéréssés au changement social.

3) La sociologie des organisations s’emploie en quoi le changement dans les organisations


correspond à un changement social, qui dépassent l’organisation humaine. Crozier lorsqu’il
fonde le CSO, a dit « finalement, s’occuper des organisation c’est une microsociologie : c’est
un analyseur du fonctionnement des sociétés ». Quand on s’interesse aux organisations, il faut
prendre en compte differentes varables. L’analyse du changement dans les organistions ne
peuvent pas se satisfaire seulement en interne. Dans ce sens là, Crozier explique que
l’organisation est un analyseur des rapports, puisque traversées par les rapports. Pour Guy
Rocher, le changement social est un changement collectif. Il faut s’interesser si le
changementindividuel ne renvoit pas à un changement social. Un changement de structure,
un changement culturel au sein de Alain Touraine, changement des mentalités, changement
des pratiques. Si on est sur un constat d’un changement de structure, on est sur un changement
global de la société. Si on est sur un changement culturel, avec une aproche sur les contextes,
on pest plus sur un changemens généralisés, mais bien a des caratéristiques. Le changement
vient par des marges, de nouvelles mœurs lente à intégrer pour changer la socété.

4) Supiot va mettre en avant que les mœurs sont en avant sur les droits. Donc le changement est
identifiable dans le temps.. Le changement n’est pas une transformation ephemere ou
superfcieielle. Elle suppose une permance. Le dhangement social affecte les sosictéts.

5) Guy Rocher distingue le changement social avec l’action sociale et le processus sociale.
L’action historique est au changement social, ce que l’action sociale est à l’organisation
social ; action historique et action sociale décrivre l’activité d’acteurs sociaux. Le
chanment et l’organisation social snt le produit de cette oberv. L’aaction historique
correspondà l’ensemble des activités d’une population donnée. On serait alors dans une
dynamique de la conflictualités de la société. Tourraine en parle comme desmouvement
sociaux. C’est l’esnemble des luttes menées en sociétés pour lutter contre ou encourager le
changement. C’est pour tenter d’orienter l’histoire des sociétés. Ces mouvements sont
amenées par des actions sociales, concrètes, mis en œuvre par les mouvements soxiaux Le
changement social résulte de l’action historique à l’intérieur de certaines collectivités.
Historiquement, géographiquement, et politiquement.

6) Guy Rocher ne dsistingue plus changement de structure et changement de contexte. Et là


attention. Il faut faire une difference entre changement de structure et changement
d’organisation. On peut voir des transformationsdans le modèle des équipes.

7) Le processus social. C’est la séquence et l’enchainement des evenements des phénomènes


des actions dont constitue l’ensemble de la démarche du changement. Des phénomènes,
des actions qui situent le changement. On dit comment les choses se passent, c’est la partie
analytique et descriptive. Comment les chsoes se mettent en place, quelle est leur agencement.
Un élément nepermet pas d’observer le changement social. Mais prendre plusieurs variables,
et l’observation/agencement des variabels sont susceptible de mettre en lumière cette
questionde l’assujetisseent.. Le processus est une organisation de variable. Il n’explique pas le
changement, il le raconte ; Une distinction de taille ; Quand des facteurs se mettent en place,
un facteur en amène un autre. Mais l’évènement précedent ne génère pas intentionnelement
l’evenemnt suivant. On aa des evenetmts quis ‘enchaine, mais c’est à l’analysed’en donner ke
sens. Toute action produit ses effets et ses effets contraires.

8) Guy Rocher distingue aussi des facteurs de changements. Les facteurs fort sont ce qui
determinent le changement. Ça renvoit typiquement aux variables/ facteurs macro
(démographie, technologies). Les facteurs determinants ne sont pas issus d’une intentionnalité.
L’action des hommes peut être une intentionnalité.

9) Autre éléments, les conditions du changements. Analyser la situation qui est favorable ou
défavorable au changement, qui accélère ou ralentit, qui encourage, mais qui peuvent
provoquer une influence entre les facteurs.

10) Les agents du changements. Les personnes, groupes de personnes, associations, les
mouvements. Qui introduisent, influence, freine, s’oppose.. Donc on retrouve Touraine, et
Crozier. Agent du changement animés par des buts, des interets, des valeurs des idéologies qui
cherchent a aovir un impact sur le fonctionnement des sociétés. Se rappeler la définition de
l’acteur de Crozier : un acteur stratégique qui poursuit ses propres but. Il tente d’accroire son
pouvoir et de faire en sorte de ne pas le réduire.

Voir le changement chez les auteurs classiques :

Tocqueville

Il est celui qui a théorisé la révolution française. On a un penseur. Quels sont les variables qu’il prend
en compte. Sa théorie, c’est l’exces de centralisation étathique qui va faire exploser le système. Il
s’interesse du passage à l’anciren régime au nouveau régime. Il s’interesse au passage d’une société de
monarchie à la démocratie. Ça c’est l’objet du changement. Pour essayer d’analyser ce changement là,
il va modeliser ce changement là, et faire une différence entre les deux et comment on passe de l’nun à
l’autre.

Rappelons qu’il est issus de l’aristocratie, et a voyagé aux EU. Au depart, un des premiers a faire des
missiosns sur le fonctionnement des prisons. Un fervent defenseurs des lois de la décolonistion. Fond
démocrate.

Dans la méthode comparative il y a une modélisation d’un idéal type. Dans la société monarchique, la
place centrale est celle de la noblesse/aristocratie. Donc la noblesse, qui a la caractéristique donc de
vivre de l’impôt mais otut en étant très dépendant du roi, doit courtiser le roi. On parle de noblesse
d’épée et noblesse de je-ne-sais-quoi. Les nobles devait garantir la sécurité à leurs sujets. Autre
caractéristique c’est l’importance du clergé. Le clergé aussi lève des impôts. La vie à la Cour coute
très cher. Il ya une leve d’impotsimportante, les fonctionnaires en sont dispensées, elless’impose à la
paysannerie. Pour Tocqueville cette situaion produit un ressentiment, à la base de la révolution.

Toqueville est aussi un clinicien. Il a une analyse sur la révolution. Il pense à une exacerbation des
sentiments : le poids de l’impot produit une telle pression que l’on a un ressentiment au sens où la
paysannerie a le sentiment d’un prelevement d’import sans contrepartie. Il va y avoir une haine de la
religion, plus du clergé. Comme il va y avoir une haine de l’administration. Tocqueville développe
l’idée de trois sentiments, qu’il appelle des passions. Les français ont des passions contradictoires, que
celles-ci vont nous amener à la démocratique.

- La passion de la liberté,
- La passion de l’égalité
- La passion du bien être. : matérielle
On a donc une these sur le changement social, une these qui s’appuie sur la frustration des désirs. Ne
pas les prendre au pdv psychanalystes, mais au sens de désir de realisation de soi, en tant que personne
humaine en société. Désir comme besoin vital. L’exces de centralisation, du pouvoir et de l’impot vase
retourner contre le pouvoir lui-même. Pour Tocquevilel la démocratie a pour caractéristiqueest
d’amener à la gestion de ces passions de manière contradictoire. La démocratie gère les contradictions
des passions d’égalité, de liberté et bien être. Il va prendre comme modèle, le modèle américain. Le
modèle est marqué par le pluralisme qui accède au débat grâce aux médias. Trèsattaché à la liberté de
la presse. Et il trouve qu’elle a une liberté qui est bine plus forte. Il s’interesse aux rapports de force.
La liberté garantit. Cette démocratie elle tient sur deux aspects. Elle tient sur le fait que les amricains
ont le même système religieux. Et comme elle tient sur le bien être, dans une société en plein
develeppement, on est dans un société au cerle vettueux. L² liberté peut s’exercer parceque
fondamentalement une liberté d’entreprendre et de s’enrichir et que l’on est pas encrore dans une
société de chômage. Il y al’idée que la démocratie est une régulation des interets individuels.
Adémocratie n’est pas une authorité tre forte conrairement à l’authorité du roi.

Pour Tocqueville, le changement est passé par l’égalisationd es conditions, là ou dans les sociétés
aristocratiques on avait des conditions d’heritages, apparait des cnditions de droits : les individus vont
dvenir égaux en droits. Il faut penser le changement de conditions. La struture du pouvoir change. Peu
importe le degré d’intensité, il change . Voir le changement au niveau des principes ; Il y a donc un
effritement des pouvoirs anciens.

En dernier points les conséquences du changement, de la montée reltive à l’égalité. D’un côt les
individus sont de plus en plus égaux en droits entre eux. Et d’un autre côté, les individus sont de plus
en plus égoïstes, divisés entre eux et en retrait de l’engagement politique. Conséquence pour
Toqueville, c’est le risque de l’égoisme. Dans la mesure ou les individus accedent au bien etre
materiel, alors ils n’ont plus rien à defendre. S’isl accedent à la propriété privée, que le roi leur garantit
la propritété de ses bien, ils risque d’y avoir un retrait de la participation sociale. Pour beaucoup onest
dans une accentuation de l’individualisme, et on quitte petit ea petit l’approche holistique des sociétés
d’individus semblables et interchangeables.

Le paradoxe c’est que les citoyens font la révolutions pour reconquérir une reconnaissance et une fois
qu’ils obtiennent certains de ces droits, il y a une baisse de la vigilance politique. C’est comme si la
démocratie supposait la participation maximum, pour faire vivre la démocratie, on constate plutôt un
retrait de la part des individus. Le modèle pour analyser la démocratie c’est donc la démocratie
américaine.

Tocqueville L’ancien régime et la révolution. , de la démocratie en amérique

Karl Marx

La théorie du changement provient de la lutte des classes. L’idée fondamental est que l’histoire passe
par la lutte des classes. Au point que le jour où le socialisme adviendra, il n’y aura plus d’histoire. La
finde l’histoire avec un grand H laissera le pas aux petites histoires. Nous ne sommes plus dans une
sosicété conflictuelle, on ne peut plus parler d’histoire. Marx était aussi très attentif à la dimension de
la modernité. Cette modernité passait aussi par le rapport aux objet mais aussi par rapport au temps.
Armunt Rosa parlait de la compression du temps. Les variables sur la marchandises et le temps lui-
même. La modernisation pour Marx apparait dans l’analyse des gains de productivité. Le capitalisme
est orienté par le profit, et il cherche à accroit son profit, et cherche à accroitre les gains de
productivité. Ce constitue alors sur la capacité à faire faire plus dans le même temps de trvail ou a
raccourcir le temprs de travail pour faire autant.
C’est l’idée qu’il y a un jeu sur le temps. On peut jouer sur le temps. Cette capaciter à jouer sur le
temps montre le soucis de rationalisation dans le travail qui est un marqueur du changement social.
Mais aussi, ces gainsde productivité sont marqués par le progrès technique. Les gains de productivité
sont accessible aussi par la division du travail. On arrive à l’accroissement de la productivité grâce à la
machine.

Armunt Rosa reprend les idées de Marx. Sur la marchadise, il y aussi la question de l’obsolescence de
la marchandise. Pour marx il faut accroitre le temps d’obsolescence. C’est aussu un changement social
sur l’objet et son obsolescence. Arriver à faire accélerer la mort dd lobjet, le rendre périmé.. On va
vers l’acceleration des lfux de consommation. Marx évoque la condition du capitalisme  : ne peut se
renouveler que dans la reproduction de son capital. Le capitalisme joue sur le rythme d’obsolescence.
Est-ce que les rapports sociaux de production de Marx est périmé ? Da,s els rapport sociax, il y a des
differences relationels.

Max Weber

Weber voit dans le desanchantement du monde une transformation sociale esxtremement importante.
Ce n’est pas la fin des religions en tant que société athée, c’est la fin de la gouvernance de la religion
dans la direction, dans le pouvoir d’organisation de la destinée des hommes.

Le changement sociale est lié à l’historicité. Très importante avec Weber : la période où l’individu va
se rendre compte que l’individu est responsable de lui-même. C’est l’injonction à la responsabilité, on
ne peut pas s’en remmetre à quelque chose d’exterieur à soi.Un des changement social important,
marqué dans les lois de manaement, c’est l’idée d’une responsabilité de plus en plus exacerbée de
l’individu. Cette responsabilité grandissante corespond aux processus de rationalisation.Quand Weber
parle de rationalisation du monde, on sort donc en dehors du monde irrationnel. Le monde irrationnel
est un monde commandé par des forces surnaturelles, au dessus de nous-mêmes. La dimension de la
rationalisation du monde est une vision pretée de la lucidité. Elle est basé sur l’évolution du
protestantisme. La caractéristique pour Weber, c’estde l’articuler avec les protestants : ils ne savent
pas qu’ils sont des élus de Dieu. Il n’est jamais assurés de son destin. Pour Weber du coup, il va
montrer que l’inconnu produit une anxiété profonde, on est dans une angoisse existentielleoù le
protestant va essayer de vérifier sur terre, de montrer que l’on est un élu par un comportant
exemplaire : l’éthique du protestantisme. Il s’applique par un comportement rationnel consistant à
avoir un mode de vie ascétique, d’avoir l’exploitation u temps la plus serrépossible, de ne jamais être
oisif, Il faudra alors produire des richesses qui seront en permanence investi. On a alors l’esprit de
raationalisme. On a alors un developpement industriel conséquent. Weber met en evidence que les
individus doivent être gouvernés par des règles, d’est à dire des règles abstraite valables pour tout le
monde : gouvernement rationnel légal en refusant le gouvernement charismatique. On a alors un
accroissement de la complexité dans les rapport sociaux. Complexification qui va se produire par
l’augmentation des services publics, et donc apparition des fonctionnaires. La démocratie est une
forme de management qui a théoriquement rien a voir avec le leader.

Durkheim

Théorie du changement social. On est passé d’une société mécanique à une société organique. Pour
Durkheim, dans les sociétés primitives, on est dans un registre de solidarités mécanique. Elle suppose
que tout les individus sont de même rang et sont donc interchangeable. Le Moi est indissociable de
l’inconscience collective. Elle se reproduisent à l’identique. Elles sont en lutte permanente contre les
autres. Selon Durkheim, il n’y a pas d’expansion démographique importante, la guerre est un
modulateur puissant. Les peuples ont compris l’njeu de pacifier les relation. La pacification des
relation a pour conséquence un accroissement démographique. On rentre alors dans une hypothese
fonctionnaliste. Pour faire face a l’accroissement démographique,la société a besoin de s’organiser
pour accueillir ce developpement démographique. L’organisation devient alors la spécialisation des
hommes dans le travail, la division sociale du travail. Il faut accroitre la productivité des métiers, de
l’agriculture et de la chasse pour la réponse démographique. Il faut donc des individus qui s’y
conscrent totalement. Les prmeiers gains de productivité emerge tout simplement parcequ’on s’y sacre
totalement. Cette spécialisation sociale va transformer les rapport sociaux. On y alors un changement
social. On passe d’une solidarité mécanique à une solidairité organique. Le mécaniqeue etant celui de
communauté alros que l’organique c’est l’idée que les individus sont inter dépendant les uns des autre.
On a alors une approche fonctionnaliste, ais aussi systémique : chacun occupe une fonction dans un
système. Tout le monde a une utilité sociale, tout le monde a uen fonction positive dans les sociétés.
L’objet de l’utilité sociale c’est qu’il n’y a pas de hierarchie, chacun a une utilité. Mais, les rapports
d’entre aide ne sont plus visible. On est plus dans la vie des quartiers. Pour Durkheim, l’Etat devient le
regulateur du rapport d’inter dépendance dentre les corporations professionnelles. Cette inter
dépendance se matérialise a travers l’import. Pour Durkheim, la visibilité de l’interdépendance c’est la
levée de l’import et la redistribution de l’impot. Il n’y a plus de solidarités matierielle, il y a une
solidarité verticale qui sert chacun et par elle-même. L’etat regule les rapports sociaux. Durkheim est
dans une vision fonctionnaliste non utilitariste : les sociétés se sont developpés dans le capitalisme
sans l’avoir vraiment voulut : l’orientation n’est pas intentionnelle. Ça c’est fait comme ça. Une vision
non econommiciste des sociétés. C’est en répondant à ses besoins que la société se découvre.
L’organisation va répondre aux besoins.

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