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SOCIOLOGIE DE L’ENTREPRISE

CULTURE GÉNÉRAL

CHAPITRE 1
A- La notion de travail

• Le mot travail vient d’un instrument de torture appelé trepalium en latin.


• Au moyen âge dans les monastère on commence à appeler travail une activité manuel effectué en
commun. Pour développer le bien commun
• A partir du 16ième s. Le travail est une labeur (une punition) mais aussi prend le sens d’oeuvre
(opus)
• Aujourd’hui : il est bon de distinguer travail et emploi. Travail renvoi à un facteur de production
chez les économistes ‘élément nécessaire pour produire), le travail est donc une chose, le travail
s’achète et se vend. L’emploi est avant tout un statut social.
Il est bon également de distinguer travail (Job) et métier : Avoir un métier renvoi à la notion de
compétence, d’expérience.
Le travail renvoi souvent à une activité professionnelle rémunéré. A côté du travail il y a d’autres
activités utilent socialement

Dans la société du ne gagne pas ce que tu vaux tu vaux ce que tu gagnes

B- L’émergence du capitalisme

La plupart des organisations productive sont des entreprises. Toutes fonctionnent sur un modèle
économique qui est la capitalisme. Le capitalisme apparait fin 18ème, le lien entre capitalisme et
révolution industriel est évident. Le capitalisme tien sur deux choses essentiel : la propriété privée
des moyen de production , et le salariat (statut salarié). Au moyen âge on compte peut de
salarié mis à part les domestique. Le salaire vient du mot grec sel qui était touché par les soldat grec.
On distingue trois phases :

Domestique système : travail à domicile

Manufactures : production faite main : première concentration de capitaux et de main d’oeuvre :


pour certaines tâches il est nécessaire de mettre plus d’argent et plus de main d’oeuvre. Pour mettre
de l’argent il nous faut donc des capitaliste (ce que Marx appèlera les bourgeois industriel).

Notre système s’appèle capitalisme puisque le pouvoir appartient au capital.

Révolution industrielle : développement du machinisme, on découvre des moyens pour produite


plus vite avec une meilleur qualité : le capital nécessaire pour l’entreprise est donc beaucoup
important.

Avec cette révolution les ouvriers garde encore la maitrise du processus de production (le patron ne
maitrise pas les compétences de l’ouvrier.

C- Le « travail » et « l’organisation » en sociologie

La naissance de la sociologie du travail :


- Adam Smith s'intéresse à la division du L ; Karl Marx 1818-83 : Commençant à écrire vers 1840,
KM va s’intéresser à la vie des ouvriers à Londres en 48.
- Le Taylorisme et Fordisme : réflexion sur l’organisation du travail. Ces deux courant de pensé vont
boulversé le monde du L
- Dans les année 1930 : se crée la sociologie du L : le première auteur à être considéré comme un
sociologue du L est Eltom Mayo : 30 ans après l’apparition du Taylorisme et du Fordisme nous
allons critiquer ces modèles

L’organisation en sociologie : Début du 20ème s. se développe des entreprises et des administrations


de plus en plus grande. Ces enseignes sont des organisations. Le terme organisations à trois
dimension en sociologie :
Regroupement d’humain qui coordonne leur activité pour atteindre certains but ;
Diverse façons par lesquels ces groupement structure les moyens dont ils disposent pour parvenir à
leur fin ;
Comment se classe les organisations.

Deux phases historiques :


- fin 19è : Max Weber va montrer l’intérêt d’une organisation bureaucratique (mot positif) rationnelle
légale
- À partir de la 2 WW vont apparaitre des dysfonctionnements dans ces organisations
bureaucratique. La sociologie des organisation se développe à ce moment là.

Chapitre 2
C’est vers fin 19è que les premières études sociologique des prénommes de l’organisation
apparaissent. Trois auteurs vont se démarquer.

A- Max Weber 1867 - 1920 : rationalité et organisation Bureautique


Les idées clés :
- Typologie des actions sociales :
Acton affective
Actions coutumières
Actions rationnelles en valeurs : c’est agir en fonction d’une valeur, d’un principe qui nous
dépasse
Actions rationnelles en finalités : c’est quand il y a une logique « je mets des moyen  pour
arrivé a ma fin »

Autorité légitime : l’autorité c’est le pouvoir de commander quelque chose à quelqu’un. La légitimité
c’est l’idée de se questionner sur la nature de ce pouvoir (quelle est la source de ce pouvoir ? D’ou
vient ce pouvoir ?). Weber va distinguer trois forme de d’autorité légitimé :

Légitimité de type traditionnelle : je dirige la France parce que je suis le Roi de France
L’autorité charismatique : (charisma = âme) les gens destinent un pouvoir parce qu’il possède
« quelque choses » (ex dans un groupe d’ami il y a un leaders)
L’autorité légale - rationnelle : C’est l’autorité du chefs sur ces subordonnés, du professeur à ces
élèves. On va obéir à cette autorité puisque sur les texte cette personne à une autorité sur les autres.

Notre époque moderne dit W est marqué par un processus de rationalisation. Cela signifie que
dans notre société les actions rationnelles en finalité et la légitimé de type légale - rationnelle
deviennent prédominantes. Dans notre société l’autorité se repose sur les compétences de l’individu,
il n’y plus vraiment de chefs charismatique. Nous sommes dans un monde désenchanté dit W.
A ce type de légitimité légale- rationnelle correspond une forme d’organisation : la bureaucratie.
La bureaucratie est la forme d’organisation qui est typique dit weber.

Document 4 - Schéma 1
Ce modèle weberien est marqué par la division du travail.
Le modèle bureaucratique est un modèle ou il y a une hiérarchisation du pouvoir.
Il y a une section formel, tout les membre de l’organisation sont sélectionné par leur compétences
professionnelles et scolaire.
Règles et normes formel.
L’impersonnalité : ceux qui travail dans l’organisation doivent servir l’intérêt collectif et non individuel
L’idée d’évolution professionnelle : l’idée que le bureaucrate puisse progresser au sein

On rajoutera que la rémunération est fixe, défini en fonction du grade hiérarchique . Des règles sont
notamment pour l’évolution professionnel (l’ancienneté : les vieux fonctionnaire gagnent plus que les
nouveaux fonctionnaires). Enfin, les individus dans cette organisation doivent appliquer les règles sans
discuter, sans discuter des objectifs des raisons qui fondent ces règles.

Pour terminer, Weber à montrer que les principes de la bureaucratie tendent à s’imposer dans tout les
secteur de la vie économique et sociale. Notre société est un somme d’organisation de type
bureaucratie. Pour lui la bureaucratie est la forme la plus idéal.

B. Henri Fayol (1841-1925)


Pour lui le chef d’entreprise, est l’élément clefs d’une bonne gestion. Autrement dit il va beaucoup
insisté sur les qualité d’un grand chef d’entreprise. Ces qualités ne sont pas innées, cela s’acquiert
par l’expérience et par la formation (santé et rigueur physique ; intelligence et vigueur intellectuel ;
qualité moral: la volonté, le sentiment du devoir, le soucis de l’intérêt général… ; une forte culture
général, de large capacité sur ; connaissance de gestion et l’art de manier les autres). Il insiste sur les
faites que les fonction dirigeante doivent être sélectionner sur leur qualité. Pour Fayol un chef
d’entreprise doit accomplir chaque chose qu’on appèle les élément d’administration
Prévoir (envisager l’avenir) ; Organiser (faire en sorte que l’entreprise ait tout ce qu’il faut pour
avancer) ; Commander ( faire fonctionner le corps sociale) ; Coordonner (mettre de l’harmonie entre
tout les acteurs de l’entreprise) ; Contrôler (vérifier que tout ce passe conformément au programme
d’action).

Document 5
Fayol a synthétiser sa pensé en 14 principes généraux d’administration.

C. Taylorisme et Fordisme
Le rôle de la divisions du travail - Adam Smith
Document 6 et 7
A.Smith à montrer sur ces documents les bienfaits de la division du travail.
En confiant une tâche à chaque personnes (doc6), l’exemple des calèches pourrait être produit en
une seul journée d’un nombre de 10. Faire qu’une seul tâche permet de gagner du temps (doc7).
(Vidéo le taylorisme : reportage planète ; texte doc8).
Comment peut-on rationaliser le travail pour améliorer le travail ?

Frédéric Taylor (1856-1915)


Cette méthode qu’il met en place, il l’appellera l’Organisation scientifique du travail (OST). Au
départ, il dit qu’il voudrait lutter contre la flamerie systématique des ouvriers. Deux raison logique sont
à l’origine de cette flatterie systématique :

• Il n’ y a pas assez d’incitation : il veut imaginer un système plus on produit plus on gagne.

• Les partons sont incapable de les faire travailler plus vite par manque de connaissances de ses
derniers : « puisque leur force est de détenir une compétence il faut absolument que la direction
s’approprie les compétences de ces salariés » dira Taylor

• Pour accroitre le rendement le taylorisme préconise trois choses :


• Une analyse détaillé rigoureuse des techniques de production utilisé jusqu’à lors ;
• L’établissement de la meilleur façon de produire « The one best way » = « L’unique bonne façon
de produire »
• Des conditions de rémunération plus motivante

L’OST repose sur une double division du travail. On distingue une division verticale du travail : ceux
qui exécutent et ceux qui conçoivent. Et la division horizontale du travail ou parcellisation : l’idée
est que nous passion à une division des tâches.
Trois conséquences : cette organisation permet de faire travailler une main d’oeuvre peut qualifié ;
avec cette idée il y a «  un bâton une carotte  » autrement dire «  le chronométrage, le contre maître,
l’absence total d’une autonomie. La carotte elle s’apparente à un salaire au caisse  »

Le fordisme
Document 8 + vidéo
Chaque ouvrier doit faire le moins de trajet possible. La réflexion va au delà de Taylor puisque le travail
est rythmé par la chaîne de production et non par l’ouvrier lui même. Ford propose alors de forte
augmentation de salaire. L’idée est de relier tout les tâches ce qui constitue une soumission des
ouvrier face à la chaîne de production. Ford prolonge la démarche de taylor ( fordisme = taylorisme +
la chaîne). Le terme exact signifiant la chaine est le convoyeur. Avec ce convoyeur, le travail
vient aux ouvriers, il supprime les temps mort et impose le rythme du travail, sa implique une forte
standardisation des pièces et des produit (pour produit à grande vitesse il faut produire des produit
identique). Il parlera également du « 5$ day », l’idée de bien payer les salariés pour éviter le turnover
(rotation du personnel) et stimuler la consommation : «  si je paye bien mes ouvriers il vont pouvoir
acheter mes voitures » . Ford annonce la société de consommation.

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