Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
CULTURE GÉNÉRAL
CHAPITRE 1
A- La notion de travail
B- L’émergence du capitalisme
La plupart des organisations productive sont des entreprises. Toutes fonctionnent sur un modèle
économique qui est la capitalisme. Le capitalisme apparait fin 18ème, le lien entre capitalisme et
révolution industriel est évident. Le capitalisme tien sur deux choses essentiel : la propriété privée
des moyen de production , et le salariat (statut salarié). Au moyen âge on compte peut de
salarié mis à part les domestique. Le salaire vient du mot grec sel qui était touché par les soldat grec.
On distingue trois phases :
Avec cette révolution les ouvriers garde encore la maitrise du processus de production (le patron ne
maitrise pas les compétences de l’ouvrier.
Chapitre 2
C’est vers fin 19è que les premières études sociologique des prénommes de l’organisation
apparaissent. Trois auteurs vont se démarquer.
Autorité légitime : l’autorité c’est le pouvoir de commander quelque chose à quelqu’un. La légitimité
c’est l’idée de se questionner sur la nature de ce pouvoir (quelle est la source de ce pouvoir ? D’ou
vient ce pouvoir ?). Weber va distinguer trois forme de d’autorité légitimé :
Légitimité de type traditionnelle : je dirige la France parce que je suis le Roi de France
L’autorité charismatique : (charisma = âme) les gens destinent un pouvoir parce qu’il possède
« quelque choses » (ex dans un groupe d’ami il y a un leaders)
L’autorité légale - rationnelle : C’est l’autorité du chefs sur ces subordonnés, du professeur à ces
élèves. On va obéir à cette autorité puisque sur les texte cette personne à une autorité sur les autres.
Notre époque moderne dit W est marqué par un processus de rationalisation. Cela signifie que
dans notre société les actions rationnelles en finalité et la légitimé de type légale - rationnelle
deviennent prédominantes. Dans notre société l’autorité se repose sur les compétences de l’individu,
il n’y plus vraiment de chefs charismatique. Nous sommes dans un monde désenchanté dit W.
A ce type de légitimité légale- rationnelle correspond une forme d’organisation : la bureaucratie.
La bureaucratie est la forme d’organisation qui est typique dit weber.
Document 4 - Schéma 1
Ce modèle weberien est marqué par la division du travail.
Le modèle bureaucratique est un modèle ou il y a une hiérarchisation du pouvoir.
Il y a une section formel, tout les membre de l’organisation sont sélectionné par leur compétences
professionnelles et scolaire.
Règles et normes formel.
L’impersonnalité : ceux qui travail dans l’organisation doivent servir l’intérêt collectif et non individuel
L’idée d’évolution professionnelle : l’idée que le bureaucrate puisse progresser au sein
On rajoutera que la rémunération est fixe, défini en fonction du grade hiérarchique . Des règles sont
notamment pour l’évolution professionnel (l’ancienneté : les vieux fonctionnaire gagnent plus que les
nouveaux fonctionnaires). Enfin, les individus dans cette organisation doivent appliquer les règles sans
discuter, sans discuter des objectifs des raisons qui fondent ces règles.
Pour terminer, Weber à montrer que les principes de la bureaucratie tendent à s’imposer dans tout les
secteur de la vie économique et sociale. Notre société est un somme d’organisation de type
bureaucratie. Pour lui la bureaucratie est la forme la plus idéal.
Document 5
Fayol a synthétiser sa pensé en 14 principes généraux d’administration.
C. Taylorisme et Fordisme
Le rôle de la divisions du travail - Adam Smith
Document 6 et 7
A.Smith à montrer sur ces documents les bienfaits de la division du travail.
En confiant une tâche à chaque personnes (doc6), l’exemple des calèches pourrait être produit en
une seul journée d’un nombre de 10. Faire qu’une seul tâche permet de gagner du temps (doc7).
(Vidéo le taylorisme : reportage planète ; texte doc8).
Comment peut-on rationaliser le travail pour améliorer le travail ?
• Il n’ y a pas assez d’incitation : il veut imaginer un système plus on produit plus on gagne.
• Les partons sont incapable de les faire travailler plus vite par manque de connaissances de ses
derniers : « puisque leur force est de détenir une compétence il faut absolument que la direction
s’approprie les compétences de ces salariés » dira Taylor
L’OST repose sur une double division du travail. On distingue une division verticale du travail : ceux
qui exécutent et ceux qui conçoivent. Et la division horizontale du travail ou parcellisation : l’idée
est que nous passion à une division des tâches.
Trois conséquences : cette organisation permet de faire travailler une main d’oeuvre peut qualifié ;
avec cette idée il y a « un bâton une carotte » autrement dire « le chronométrage, le contre maître,
l’absence total d’une autonomie. La carotte elle s’apparente à un salaire au caisse »
Le fordisme
Document 8 + vidéo
Chaque ouvrier doit faire le moins de trajet possible. La réflexion va au delà de Taylor puisque le travail
est rythmé par la chaîne de production et non par l’ouvrier lui même. Ford propose alors de forte
augmentation de salaire. L’idée est de relier tout les tâches ce qui constitue une soumission des
ouvrier face à la chaîne de production. Ford prolonge la démarche de taylor ( fordisme = taylorisme +
la chaîne). Le terme exact signifiant la chaine est le convoyeur. Avec ce convoyeur, le travail
vient aux ouvriers, il supprime les temps mort et impose le rythme du travail, sa implique une forte
standardisation des pièces et des produit (pour produit à grande vitesse il faut produire des produit
identique). Il parlera également du « 5$ day », l’idée de bien payer les salariés pour éviter le turnover
(rotation du personnel) et stimuler la consommation : « si je paye bien mes ouvriers il vont pouvoir
acheter mes voitures » . Ford annonce la société de consommation.