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A. LA MOLE.
1. Introduction.
Par exemple, deux molécules d’ammoniac NH3 peuvent réagir avec une molécule
d’acide sulfurique H2SO4 pour produire du sulfate d’ammonium (NH4)2SO4. Donc,
le milieu réactionnel devrait contenir deux fois plus de molécules d’ammoniac que
de molécules d’acide sulfurique.
Pour introduire une quantité adéquate de chaque réactif dans le milieu réactionnel,
on ne peut pas compter des molécules isolées car elles sont trop petites. Par contre,
il est possible de mesurer des ensembles constitués par un très grand nombre de
molécules. C’est pourquoi on mesure les quantités de matière en utilisant une unité
appelée mole.
Une mole est une quantité de matière contenant autant d’entités élémentaires qu’il y a
d’atomes dans 12 g de carbone 12. Les entités élémentaires peuvent être des atomes,
des molécules ou des ions.
Une mole est une quantité de matière contenant 6,022 ⋅ 10 23 entités élémentaires.
c) Une mole de chlorure de sodium NaCl (sel de cuisine) contient 6 ⋅ 10 23 ions sodium
Na + et 6 ⋅ 10 23 ions chlorure Cl –.
N = nN A
Exemple.
N
n=
NA
Exemple.
2. La masse molaire.
La masse molaire M d’une substance est la masse d’une mole de cette substance.
Pour rappel, la masse atomique relative d’un atome est le rapport entre la masse
de cet atome et le douzième de la masse d’un atome de carbone 12 (voir la partie
du cours « L’introduction à la chimie »). Donc, un atome de carbone 12 a une masse
atomique relative égale à 12 u.
De plus, une mole est une quantité de matière contenant autant d’entités élémentaires
qu’il y a d’atomes dans 12 g de carbone 12 (voir la page 1 de cette partie du cours).
Par conséquent, une mole d’atomes de carbone 12 a une masse égale à 12 g.
En analysant les informations rassemblées ci – dessus, on peut constater que la masse
molaire d’un atome, exprimée en grammes par mole, est numériquement égale à sa
masse atomique relative.
Pour trouver la masse molaire d’une substance, nous utiliserons les règles suivantes :
- La masse molaire d’un atome, exprimée en grammes par mole, est numériquement
égale à sa masse atomique relative.
- La masse molaire d’un composé moléculaire est calculée en additionnant les masses
molaires de tous les atomes présents dans une de ses molécules.
- La masse molaire d’un composé ionique est déterminée en additionnant les masses
molaires de tous les atomes présents dans sa formule empirique.
Pour la résolution des exercices, nous arrondirons les masses molaires au centième.
Exemples.
Pour déterminer une masse m, on peut multiplier un nombre de moles n par la masse
molaire M de la substance considérée :
m = nM
Si n est exprimée en moles et M est exprimée en grammes par moles, alors m sera
exprimée en grammes (g).
Exemple.
Pour déterminer un nombre de moles n, on peut diviser une masse m par la masse
molaire M de la substance considérée :
m
n=
M
Exemple.
20 g
n= = 0,5 mol
40 g / mol
Effectuer la lecture molaire d’une équation chimique, c’est lire cette équation en exprimant les quantités de matière en moles.
Pour une équation chimique donnée, la lecture moléculaire et la lecture molaire sont semblables car les rapports entre les quantités
de matière sont constants.
Exemple.
Au niveau de la lecture massique, on peut constater que masse totale des réactifs est égale à la masse totale des produits (80,05 g).
Ce résultat est conforme à la loi de Lavoisier (voir la partie du cours « L’introduction à la chimie »).
1. Introduction.
2. Le pourcentage massique.
3. Le pourcentage volumique.
m
g=
V
Si m est exprimée en grammes et V est exprimé en litres (ℓ), alors g sera exprimée en
grammes par litre.
Exemple.
25 g
g= = 50 g / ℓ
0,5 ℓ
Pour déterminer la masse de soluté m contenue dans une solution, on peut multiplier
la concentration massique g par le volume de la solution V :
m = gV
Exemple.
m = 100 g / ℓ ⋅ 2 ℓ = 200 g
n
C=
V
Si n est exprimé en moles et V est exprimé en litres, alors C sera exprimée en moles
par litre.
Exemple.
2 mol
[H2 SO4 ] = = 0,5 mol / ℓ
4ℓ
Pour déterminer le nombre de moles de soluté n contenues dans une solution, on peut
multiplier la concentration molaire C par le volume de la solution V :
n = CV
Calculer le nombre de moles de soluté contenues dans 200 mℓ d’une solution aqueuse
d’acide sulfurique H2SO4 dont la concentration molaire vaut 0,1 mol / ℓ.
6. La dilution.
Réaliser une dilution, c’est ajouter du solvant dans une solution initiale pour obtenir
une solution finale de concentration plus faible.
Soient :
- n i le nombre de moles de soluté dans la solution aqueuse initiale,
- n f le nombre de moles de soluté dans la solution aqueuse finale,
- C i la concentration molaire de la solution initiale,
- C f la concentration molaire de la solution finale,
- V i le volume de la solution initiale,
- V f le volume de la solution finale,
- V e le volume d’eau ajouté lors de la dilution.
C i et C f sont exprimées en moles par litre (mol / ℓ ou M), tandis que V i, V f et V e sont
exprimés en litres (ℓ) ou en millilitres (mℓ).
Le nombre de moles de soluté dans la solution finale est égal à celui de la solution
initiale (car on ajoute pas du soluté lors de la dilution) :
ni = nf
Par ailleurs, le nombre de moles de soluté dans une solution est égal au produit de la
concentration molaire et du volume (voir la page 8). Donc, on peut écrire :
C iV i = C f V f
Ensuite, il est possible de transformer la relation précédente pour obtenir des formules
permettant de calculer la concentration de la solution finale ou le volume de la solution
initiale :
C iV i C fV f
Cf = Vi =
Vf Ci
Vf = Vi + Ve Ve = Vf – Vi
C f V f 2 ⋅ 0,3 2 ⋅ 300
Vi = = = 0,041 ℓ $ou V i = = 41 mℓ%
Ci 14,75 14,75
Nous allons introduire quelques lois utiles pour la suite du cours de chimie. Toutefois,
le comportement des gaz sera étudié de façon plus détaillée dans le cadre du cours
de physique générale.
Cette échelle de température a été proposée en 1848 par William Thomson, connu
également sous le nom de Lord Kelvin (physicien anglais, 1824 – 1907).
La température la plus basse possible est appelée zéro absolu et vaut – 273,15°C.
Le symbole de la température absolue est T, tandis que son unité SI est le kelvin K.
Donc, une variation de température d’1 K est équivalente à une variation d’1°C.
En particulier :
- Quand q = – 273,15°C, T = 0 K.
- Lorsque q = 0°C, T = 273,15 K.
Le modèle du gaz parfait repose sur plusieurs hypothèses. Parmi ces dernières,
on trouve :
- La distance moyenne entre les molécules d’un gaz est nettement plus grande que
la taille d’une molécule. Donc, le volume propre des molécules est négligeable.
- Les molécules d’un gaz décrivent des mouvements incessants, rapides et aléatoires.
Chaque molécule se déplace en ligne droite jusqu’à ce qu’elle entre en collision avec
une congénère ou une paroi du récipient contenant le gaz.
- Quand une molécule d’un gaz heurte une congénère ou une paroi du récipient,
la collision est élastique. En conséquence, l’énergie cinétique totale des molécules
ne change pas lors des collisions.
- Il n’y a aucune interaction entre les molécules d’un gaz, sauf lors des collisions.
Les lois énoncées aux pages 11 à 14 décrivent les comportements théoriques des
gaz parfaits.
Sauf avis contraire, vous pourrez toujours considérer que les gaz impliqués dans les
exercices du cours ont des comportements semblables à ceux d’un gaz parfait.
Cette loi a été établie en 1834 par Émile Clapeyron (ingénieur et physicien français,
1799 – 1864).
pV = nRT
Quand on utilise les unités du SI, c’est – à – dire lorsque la pression est exprimée
en pascals (Pa) et le volume en mètres cubes (m3), R est égale à 8,314 J / K ⋅ mol.
Si la pression est exprimée en atmosphères (atm) et le volume en litres (ℓ), R vaut
0,0821 ℓ ⋅ atm / K ⋅ mol.
Le volume molaire V m d’un gaz est le volume occupé par une mole de ce gaz.
Cette affirmation est une formulation de la loi d’Avogadro, qui a été énoncée en
1811 par Amedeo Avogadro.
Le volume molaire peut être calculé en utilisant la loi des gaz parfaits.
Exemples.
1 ⋅ 8,314 ⋅ 293,15
Vm = = 0,0241 m3 / mol = 24,1 ℓ / mol
101325
3. La pression partielle.
[1]
Dans ce cas, l’expression « conditions normales » signifie « conditions normalisées » au lieu
de « conditions habituelles ». Elles résultent d’un accord entre des scientifiques pour employer
les mêmes conditions expérimentales, afin de faciliter les comparaisons des résultats de leurs
expériences. En effet, ces conditions sont faciles à obtenir et conserver : 0°C est la température
de la glace fondante, tandis que 101325 Pa correspond à la pression atmosphérique moyenne au
niveau de la mer.
[2]
22,4 ℓ correspond au volume d’un cube dont la longueur des côtés vaut 28,2 cm.
Les aspects quantitatifs de la chimie.
- 12 -
Soit un mélange de gaz parfaits occupant un volume V à une température absolue T.
Ce mélange contient n 1 moles du premier constituant, n 2 moles du second, n 3 moles
du troisième,… Comme chacun des gaz obéit à la loi des gaz parfaits, les pressions
partielles p 1, p 2, p 3,… des constituants peuvent être évaluées au moyen des relations
suivantes :
n 1 RT n 2 RT n 3 RT
p1 = , p2 = , p3 = ,…
V V V
Cette loi a été découverte en 1801 par John Dalton (chimiste et physicien anglais,
1766 – 1844).
Un mélange de gaz parfaits exerce une pression totale qui est égale à la somme des
pressions partielles de tous les constituants du mélange.
p totale = p 1 + p 2 + p 3 + …
n 1 RT n 2 RT n 3 RT
Û p totale = + + +…
V V V
RT
Û p totale = (n 1 + n 2 + n 3 + …)
V
RT
Û p totale = n total
V
Donc, la pression totale p totale et le nombre de moles total n total obéissent également
à la loi des gaz parfait.
n1 n2 n3
x1 = , x2 = , x3 = ,…
n totale n totale n totale
De plus, si on divise une des pressions partielles par la pression totale, il vient :
RT
p1 n1 p1 n1 n1
= V Û = Û p1 = p Û p 1 = x 1 p totale
p totale n RT p totale n totale n totale totale
totale V
Dans un mélange de gaz parfaits, la pression partielle d’un gaz est égale au produit
de sa fraction molaire par la pression totale du mélange.
Le comportement d’un gaz réel peut s’écarter de celui d’un gaz parfait pour deux
raisons :
- les molécules des gaz réels ont un volume propre non négligeable,
- elles exercent des forces de cohésion sur leurs voisines.
Voici les conditions dans lesquelles un gaz réel aura un comportement proche de
celui d’un gaz parfait :
- Le gaz est soumis à une pression moins élevée, donc il occupe un volume plus
important. En conséquence, la distance entre les molécules est plus grande. Alors,
l’intensité des forces de cohésion est moins élevée et on peut négliger le volume
propre des molécules.
- La température du gaz est nettement supérieure à celle du point de condensation.
En conséquence, la vitesse des molécules du gaz est plus élevée. Alors, l’intensité
des forces de cohésion est moins importante.
- Les molécules du gaz réel sont non polaires [3] et elles ont une faible polarisabilité [4].
Alors, l’intensité des forces de cohésion est moins grande (voir la partie du cours
« La structure de la matière »).
En particulier, si la taille des molécules est peu élevée, leur polarisabilité est faible.
De plus, on peut négliger leur volume propre.
[3]
Une molécule polaire est assimilable à un dipôle électrique car elle comporte un pôle positif et un pôle
négatif séparés.
[4]
La polarisabilité d’un atome ou d’une molécule indique la facilité avec laquelle son nuage d’électrons
peut se déformer pour former un dipôle électrique. Plus la polarisabilité d’une structure est élevée, et
plus sa tendance à constituer un dipôle est importante.
Les aspects quantitatifs de la chimie.
- 14 -
Exemples.
D’après la loi des gaz parfaits, le rapport pV / RT vaut n. Donc, il devrait toujours
être égal à 1 dans les graphiques insérés ci – dessus. Or, quand la pression augmente,
le comportement des gaz réels s’écarte de plus en plus de celui d’un gaz parfait. Par
ailleurs, ce phénomène est plus important lorsque la taille des molécules augmente.
1. Introduction.
Par contre, pendant une réaction incomplète, aucun réactif ne réagit complètement.
Dès lors, une réaction de ce type s’arrête alors que le milieu réactionnel contient
encore tous les réactifs.
b) Au début d’une réaction complète, les réactifs sont présents dans des proportions
stœchiométriques si la quantité initiale de chaque réactif est égale à la quantité
minimale suffisante pour que les autres réactifs réagissent complètement. Alors,
tous les réactifs disparaissent totalement à la fin de la réaction.
Néanmoins, lors de certaines réactions, la quantité initiale d’un réactif peut être
inférieure à la quantité minimale suffisante pour que les autres réactifs réagissent
complètement. Dans ce cas, le réactif dont la quantité initiale est trop faible sera
appelé réactif en défaut ou réactif limitant, alors que les autres réactifs seront
nommés réactifs en excès. La quantité de réactif limitant détermine la quantité
de produits formés par la réaction, car cette dernière s’arrête dès que le réactif
limitant a disparu totalement (voir les pages 24 et 25).
2.1 La résolution d’un problème stœchiométrique dans lequel les quantités sont exprimées en moles.
Exemple n°1 : Combien de moles de gaz carbonique CO2 et de vapeur d’eau H2O sont produites par une réaction de combustion
complète entre 5 moles de méthane CH4 et 10 moles de dioxygène O2 ?
Nombres de moles
5 mol 10 mol 0 mol 0 mol
initiaux
Nombres de moles
5 – 5 = 0 mol 10 – 10 = 0 mol 0 + 5 = 5 mol 0 + 10 = 10 mol
finals
Exemple n°2 : Quelle masse de gaz carbonique CO2 est produite par la combustion complète de 100 g de méthane CH4 en présence
d’une quantité suffisante de dioxygène O2 ?
100 g
Donnée = 6,23 mol
16,05 g / mol
Lecture molaire
adaptée 6,23 mol 12,46 mol 6,23 mol 12,46 mol
(multipliée par 6,23)
6,23 mol ⋅ 44,01 g / mol
Solution
= 274,18 g
Pour résoudre ce problème, nous allons suivre un cheminement identique à celui de la page 19 :
1) Construire un tableau comprenant 5 lignes. Sur la première ligne, écrire l’équation pondérée de la réaction chimique.
2) Sur la deuxième ligne, effectuer une lecture molaire de l’équation.
3) Sur la troisième ligne, convertir la donnée du problème en un nombre de moles (voir la page 4).
4) Sur la quatrième ligne, effectuer une lecture molaire adaptée de l’équation. Cette lecture doit tenir compte des données
du problème. Attention ! les rapports entre les quantités de matière sont imposés par l’équation pondérée. Donc, tous les
membres de la première lecture molaire (deuxième ligne du tableau) doivent être multipliés par le même nombre.
5) Sur la cinquième ligne, trouver la solution du problème en convertissant un nombre de moles en une masse (voir la page 4).
1000 g
Donnée = 7,57 mol
132,17 g / mol
Lecture molaire
adaptée 15,14 mol 7,57 mol 7,57 mol
(multipliée par 7,57)
15,14 mol ⋅ 17,04 g / mol
Solution
= 257,99 g
Exemple n°4 : À une température de 20°C (293,15 K) et sous une pression de 1020 mbar (102000 Pa), quel volume de dioxygène O2
gazeux est nécessaire pour brûler complètement 30 g de méthane CH4 ?
Par rapport à la résolution des problèmes précédents, seule l’étape 5 est différente :
5) Sur la cinquième ligne, trouver la solution du problème en convertissant un nombre de moles en un volume de gaz. Pour réaliser
cette conversion, il faut utiliser la loi des gaz parfaits ou le volume molaire (voir les pages 11 et 12).
30 g
Donnée = 1,87 mol
16,05 g / mol
Lecture molaire
adaptée 1,87 mol 3,74 mol 1,87 mol 3,74 mol
(multipliée par 1,87)
pV = nRT
Solution
nRT
ÛV=
p
3,74 ⋅ 8,31 ⋅ 293,15
=
102000
= 0,0893 m 3 (89,3 ℓ)
Exemple n°5 : Quel volume d’une solution aqueuse d’acide chlorhydrique HCl 3 mol / ℓ est nécessaire pour dissoudre totalement
25 g de zinc Zn.
Par rapport à la résolution des problèmes précédents, seule l’étape 5 est différente :
5) Sur la cinquième ligne, trouver la solution du problème en convertissant un nombre de moles en un volume de solution (voir
la page 8).
25 g
Donnée = 0,38 mol
65,41 g / mol
Lecture molaire
adaptée 0,38 mol 0,76 mol 0,38 mol 0,38 mol
(multipliée par 0,38)
n
C=
Solution V
n 0,76 mol
ÛV= =
C 3 mol / ℓ
Exemple n°6 : Quelle masse de sulfate d’ammonium (NH4)2SO4 est produite par une réaction entre 60 g d’ammoniac NH3 et 30 g
d’acide sulfurique H2SO4 ?
Par rapport à la résolution des problèmes précédents, les étapes 3 et 4 sont différentes :
3) Sur la troisième ligne, convertir chaque donnée du problème en un nombre de moles (voir la page 4). Ensuite, identifier le réactif
limitant et le réactif en excès (voir la page 16).
4) Sur la quatrième ligne, effectuer une lecture molaire adaptée de l’équation chimique. Cette lecture tient compte uniquement
de la donnée relative au réactif limitant. Attention ! les rapports entre les quantités de matière sont imposés par l’équation
pondérée. Donc, tous les membres de la première lecture molaire (deuxième ligne du tableau) doivent être multipliés par le
même nombre.
60 g 30 g
Données = 3,52 mol = 0,31 mol
17,04 g / mol 98,09 g / mol
Grâce à cette quantité de NH3, Grâce à cette quantité de H2SO4,
3,52 / 2 = 1,76 mol de H2SO4 0,31 ⋅ 2 = 0,62 mol de NH3
peuvent réagir complètement peuvent réagir complètement
Réactif en excès Réactif limitant
Lecture molaire
adaptée 0,62 mol 0,31 mol 0,31 mol
(multipliée par 0,31)
0,31 mol ⋅ 132,17 g / mol
Solution
= 40,97 g
Nombres de moles
3,52 mol 0,31 mol 0 mol
initiaux
2 ⋅ (– 0,31)
Changements – 0,31 mol + 0,31 mol
= – 0,62 mol
A. LA MOLE. ..................................................................................................... 1
1. Introduction. ............................................................................................. 1
1.1 La mole, c’est quoi ?............................................................................ 1
1.2 Convertir un nombre de moles en un nombre d’entités. ......................... 2
1.3 Convertir un nombre d’entités en un nombre de moles. ......................... 3
2. La masse molaire. ...................................................................................... 3
2.1 La masse molaire, c’est quoi ? .............................................................. 3
2.2 Quelle est la valeur de la masse molaire ? ............................................. 3
2.3 Convertir un nombre de moles en une masse. ....................................... 4
2.4 Convertir une masse en un nombre de moles. ....................................... 4
3. La lecture molaire d’une équation chimique. ................................................ 5
B. LA CONCENTRATION D’UNE SOLUTION.......................................................... 6
1. Introduction. ............................................................................................. 6
2. Le pourcentage massique. .......................................................................... 6
3. Le pourcentage volumique. ........................................................................ 6
4. La concentration massique. ........................................................................ 7
4.1 La concentration massique, c’est quoi ? ................................................ 7
4.2 Calculer la concentration massique d’une solution.................................. 7
4.3 Calculer la masse de soluté contenue dans une solution. ........................ 7
5. La concentration molaire. ........................................................................... 8
5.1 La concentration molaire, c’est quoi ? ................................................... 8
5.2 Calculer la concentration molaire d’une solution. ................................... 8
5.3 Calculer le nombre de moles de soluté contenues dans une solution. ...... 8
6. La dilution. ................................................................................................ 9
C. LE COMPORTEMENT DES GAZ. .................................................................... 10
1. La loi des gaz parfaits. ............................................................................. 10
1.1 L’échelle des températures absolues. .................................................. 10
1.2 Le modèle des gaz parfaits. ............................................................... 11
1.3 L’énoncé de la loi des gaz parfaits. ..................................................... 11
2. Le volume molaire. .................................................................................. 12
3. La pression partielle. ................................................................................ 12
3.1 Une pression partielle, c’est quoi ?...................................................... 12
3.2 La loi de Dalton. ................................................................................ 13
3.3 Les fractions molaires. ....................................................................... 13
4. Le comportement des gaz réels. ............................................................... 14