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Carnet de Lecteur
Carnet de Lecteur
Ewen Thureau
4.1
« Au Bonheur des Dames »
Emile Zola
Chapitre 8 :
« L’humidité avait encore déteint la vieille enseigne verte, une détresse tombait
de la façade entière, plombée et comme amaigrie. »
J’ai aimé cette phrase car c’est une phrase de description que je trouve jolie :
Le terme « amaigrie » est normalement utilisé pour quelque chose de vivant,
donc on a l’impression que la maison est vivante.
Le résumé de ce chapitre :
Le Bonheur des Dames rachète toutes les maisons à côté du magasin.
Denise se rend chez Baudu, ils parlent du Bonheur des Dames. La cousine de
Denise se rend compte que son futur mari aime Clara.
Des mois passent, et Denise finit par révéler la tromperie que l’amante de
Colomban a eue avec le patron. Colomban dit à Denise qu’il aime sa cousine.
Malheureusement, le Bonheur des Dames revend exactement les mêmes
articles que Baudu, mais un franc moins cher.
Le résumé de ce chapitre :
Le Bonheur des Dames fait ouvrir de nouveaux rayons, et Denise décide d’aller
voir avec Bourdoncle. Puis ils croisent Mouret, qui invite Denise à venir parler
avec lui dans son cabinet le soir, après les ventes.
Vers une heure, la rue en face du magasin est barrée à cause du surplus de
clientes, la queue va jusque dans la rue.
Des dames décident de rentrer à l’intérieur du magasin, mais compte tenu du
changement de place des rayons, elles s’y perdent rapidement. Mais elles
finissent, grâce à un commis, par trouver la mercerie et dépensent leur argent.
Puis un commis va chercher Denise pour lui dire d’aller comme convenu dans le
cabinet de Mouret. Mouret lui annonce qu’elle va remplacer Mme Frédéric en
tant que seconde de son rayon. Denise semble étonnée, car il y a des
vendeuses plus anciennes qu’elle dans ce rayon, mais Mouret insiste.
Le résumé de ce chapitre :
Denise remarque une lettre au sol, de Mouret, ou il se disait heureux de son
rétablissement, et qu’il souhaitait diner avec elle au plus vite. Puis Pauline
entre, pour discuter un peu avec Denise ce qu’elle fit. Grâce à la promotion de
Mouret, Denise avait conquis le rayon, ce qui était pour elle une victoire
inespérée.
Le lendemain, Mouret arrive dans le rayon, cherchant Denise, puis, demande la
liste de vente. Il finit par la croiser, puis il lui demande si elle va venir le soir-
même diner avec lui, ce qu’elle répond par la négative, prétextant qu’elle avait
promis de diner avec ses frères. Mouret, sur un élan de désespoir, finit par
déclarer sa flamme pour Denise, qui bien sûr refuse. Malgré tout, Mouret
insiste, lui proposant le luxe, la richesse, le manque de rien. Mais Denise reste
de marbre et refuse toutes les propositions de Mouret. A la fin de la journée,
Denise demande la permission de se retirer plus tôt, à cause de sa jambe, elle
doit partir plus tôt pour aller diner avec ses frères, ce que Mme Aurélie
accepte, s’étonnant qu’elle ait refusé de diner avec Mouret. Denise, dans les
escaliers, croise un groupe de vendeur ricanant, et elle entend son nom. Ils
parlent de son aventure avec Hutin, celui-ci étant présent, à quatre pas et à
l’écart de ces moqueries, intervient et se moque à son tour, ce qui blesse
Denise.
Mon avis sur ce chapitre :
J’ai trouvé ce chapitre assez normal, mis à part le fait que Mouret déclare son
amour à Denise. Le reste du chapitre semble plutôt ordinaire.
Chapitre 11
Le résumé de chapitre :
Bouthemont, arrive chez Mme Desforges pour le thé de quatre heures et pour
parler de Mouret. Cette dernière est en colère car Mouret aime Denise et Mme
Desforges, elle, aime Mouret. Puis le lendemain, le Baron Hartmann arrive et
remarque la présence de Denise dans l’anti-chambre, à cause de la porte
entr’ouverte. Les vendeuses, ne voulant que le Baron porte son attention à
Denise, en profite pour l’insulter dans son dos, crachant leur haine. Le Baron,
discutant peu de temps après avec Mouret dans un petit salon, demande à ce
dernier une réclame. Mouret éclate, disant que celle-là sera en pierre et qu’elle
les enterrera tous. Mme Desforges intervient, et emprunte Mouret pour une
affaire de manteau. Quand ils arrivent sur le lieu-dit, il y a Henriette et Denise
sur place. Mouret ordonne à Denise d’arranger le manteau, ce qu’elle fait.
Malgré ces efforts, Mme Desforges reste mécontente, au point d’insulter
Denise, qui partit en larmes.
Le résumé de ce chapitre :
Mouret avait réalisé son rêve, qui était d’étendre le Bonheur des Dames jusque
dans la rue Dix-Décembre. Le jour de la fête qu’il avait organisée pour fêter
cela, Clara avait décidé d’être désagréable à Denise. Pour ce faire, elle décida
de se moquer des Baudu en disant ceci :
« Vous savez, mon amoureux d’en face…Il finit par me chagriner dans cette
boutique noire, où il n’entre jamais personne. »
Puis, elle eut l’idée de l’enlever pour empêcher le mariage entre Colomban et
la fille d’oncle Baudu.
Et elle continua, heureuse de voir Denise fulminer ainsi.
Puis, un matin, alors que Mouret traversait la soie, il vit Favier en train de
baisser les prix. Il lui demanda qui lui avait dit de faire cela, et il Favier répondit
que c’était Hutin. Mouret le fit venir, lui disant que lui seul avait le droit de
décider si l’on devait baisser les prix ou non.