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1.1. Quelques points de théorie : Impact des paramètres envi. sur la santé
2015 : 9 millions † attribuables à la pollution =16% mortalité globale avant chiffres sous-estimés
Important des déterminants de la santé + pas uniquement suite à une seule exposition car elle ne
conduit pas d’emblée à des effets (sensibilité, prédisposition, dose et [], synergies, …)
Exposition chronique à la qualité de l’air responsable > de 400.000 décès prématurés /an en Europe
Exposition au bruit environnemental est identifié comme 2ème risque pour la sante, 10.000 décès
prématurés /an en Europe
Certaines sources sont communes (trafic – zone 30 pas réelle amélioration) il faut agir sur
plusieurs sources (aménagement de l’espace et éloignement des sources)
Air intérieur VS extérieur ? Les bruxellois passent ≈ 80% de leur temps à l’intérieur
Définition :
Elles se réfèrent aux conditions de santé environnementale ayant un impact sur la santé
(amplifié ou ↓)
Socio-économique et démographique = inégalités d'exposition aux risques
environnementaux existent partout
Peut être exprimée en relation avec des facteurs qui peuvent affecter le risque d'être
exposés, comme le revenu, l'éducation, l'emploi, l'âge, le sexe, la race / l'origine ethnique et
localisation ou cadres de vie spécifiques.
Également causées par démographiques de vulnérabilité face à certains risques.
Macro
Influence
Tous les continents ne sont pas égaux
Mesures prisent
1.2. Les inégalités dans tous les sens du terme : exemple de BXL-capitale
Perception de la santé
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Impact C-V
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Proportion de la
pop. exposée de
+ en + exposé à des
[] ↓
1.3.1.1. Impacts
sur la santé
↓expositions (concentrat°), mais ↑ de la † liée à la pollut° atmosphérique depuis ‘90 (en particulier
pays industrialisés) mais les prob de santé ont ↑ = est-ce qu’on mesure les bonnes choses ?
Nouvelles H0 de causalité :
Méthodologie: O = principales études mais peu d’études sur les cghts HTA, dysfct respi,…
Exacerbat°
des
symptômes
Exacerbat°
des Σ + Dév.
nouveaux cas
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À ne pas sous-estimer !
d’une H0
Appareils individuels
« Black carbon » = combustion d’énergies fossiles
Ring + entrées dans la zone urbaine
Permet de choisir un itinéraire cycliste
Varie dans le temps
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Distance à la source :
Piétonnier à BXL :
Axe de pénétration
dans Lille
Développement cognitif/capacité
d’apprentissage il y a un an de // à
l’apprentissage dans les écoles à front de
rue
Normes pour W = 80
Europe :
125 millions de
personnes (1/4) sont
gênés par le bruit du
trafic routier (> 55 dBl)
20.000.000 p. sont
contrariées
10.000 † prématuré
43.000 hospits/an
1.3.2.1. Effets et
impacts sur la santé
Près de 70% des bruxellois au-dessus de 55dB(A) pendant 24h00 et près de 80% au-dessus
de 45dB(A) la nuit Cout de l’inaction = 516,3 millions € (ou 10.326 années de vie en BS
perdues à cause des transports)
MAIS: Apprentissage chez les enfants de 7 à 19 ans plus exposes que les adultes car :
1.3.4. L’alimentation
POPs (= Substances
organiques persistantes) + bio-accumulat°, toxiques
Sources:
1er essai (2014) d’un modèle d’évaluation du risque d’une expo. cumulée
Perception du bruit :
Asthme Obésité
Droits :
Droit fondamental (Déclaration Droit à la sante /droit à un Développement durable (Rio 1992 à
universelle des droits de ♂ 1948) environnement sain (‘70) la constitution belge 2007)
Actions ++ depuis 2016 : «boire de l’eau sale = respirer un air sale» + fermeture des rues par les
parents d’élèves
« Bruxsel’air » :
Sommes-nous tous égaux? Des groupes sensibles : plus à risque de subir les effets de la
pollution (E/ ♀/fœtus, p. âgées, souffrant de pathologie chroniques (maladies respiratoires
chroniques allergiques et asthmatiques, C-V)
Exposition réelle ? Distance à la source et évolution des expositions
Gain net ou report de la pollution ? Zones de basses émissions (1seule mesure !! + voir
efficience des transports)
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Il n’y a pas de stricte corrélation, les plus pauvres n’habitent pas toujours dans les endroits les plus
pollues et certains ménages aisés respirent un air de mauvaise qualité
Les populations vivant dans les quartiers défavorises vivent a plus grande proximité de sources de
pollution = double pénalité (Industries, voiries à forte densité, manque d’espaces verts)
Globalement :
Des inégalités en matière de santé environnementale existent dans toutes les sous-régions +
souvent subies par des populations défavorisées
Répartition des inégalités entre les groupes favorisés/défavorisés est diverse (pays, situation
socio-économique ou démographie)
Mieux comprendre les schémas nationaux d'inégalité et leurs causes sur les inégalités des
évaluations sont nécessaire au niveau national.
Les bases de données probantes doivent être renforcées.
Perceptions sur les aspects physiques des lieux où ils vivent =impact profond sur leur santé
mentale et physique et leur longévité.
Approche holistique pour définir les problèmes d’équité l'environnement et la santé
Le terme «inégalités de santé» fait référence aux générales de santé = représentent des
«inégalités en matière de santé» parce qu’elles sont injustes, injuste et évitable
Facteurs sociodémo. peuvent également modifier l'exposition individuelle et l'impact sur la
santé pour le même degré d'exposition
Causées par des d’exposition risques environnementaux (ainsi que par des de
vulnérabilité face à certains risques
1. La pollution
Tient compte du sujet = caractérise un fait (source) perceptible, provoquant une souffrance vécue et
subie difficile à mesurer car subjectif (mesuré par celui qui y est exposé)
Universalis(2019) : dégradation de l'envi. sans impact [éco] toxicologique mais qui a pour csqs
d'induire une gêne pour les p. qui la subissent [odeurs, sonores, olfactives] à replacer dans
l’histoire de l’industrialisation et de la charge de la preuve
Augmentation du ° de complexité
« 2050, nous vivons bien dans les limites écologiques de la planète. Notre prospérité et notre
environnement sain proviennent d'une économie circulaire sans gaspillage + gestion des ressources
naturelles durablement + protection/ valorisation/ restauration de la biodiversité pour améliorer la
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résilience de la société. Le bas carbone a été dissocié de l'utilisation des ressources permettant une
société mondiale sûre et durable » mal parti !
2.3. Rapport sur l’Etat de l’Environnement par AEE – Agence Européenne de l’Envi.
(SOER 2020)
Obligation légale tous les 5 ans (dernier : SOER, 2020 = « state of the environment report »)
Couverture EU 28 (2020 + encore UK) + pays avec accord de coopération et collaboration = 39 pays :
600 millions hab. (446 millions hab. = EU27) Densité moyenne 100 habitants/km2
5.85 millions km2 (4million km2 = EU27) 72% urbain
Qui ?
Objectifs ?
Organisation :
Les tendances passées et celles pour 2020-30 : plus de vent ces dernières années = amélioration –
évaluation à partir des 10-15 dernières années + prévisions futurs // aux objectifs
Les politiques européennes = ↓ certains risques pour la santé + b-ê (pollution atmosphérique) MAIS
toujours affectés par l'exposition à la pollution atmosphérique, au bruit, aux produits chimiques
dangereux et risques liés au changement climatique
Mise en œuvre + renforcement complets des politiques devraient ↓ ces impacts + développer un
cadre plus solide intégrant environnement et santé = opportunité pour la gestion des risques en
tenant compte des dangers, exposition + vulnérabilité + soutenus par des connaissances plus solide.
2.3.2. L’air
2.3.3. Le bruit
2.3.4. L’eau
Dispersion d’Hg, N, P, …
2014, UE :
Espérance de vie: Espérance de vie en bonne santé HLY (healthy life years):
Nbr d’années moyen qu’une p. peut Nbr d’années vécues en B.S. sans restriction
espérer vivre d’activité
EU 80,9 ans (78,1 ♂ et 83,6 ♀) EU 61,6 (61,4 ♂ et 61,8 ♀)
En unité DALY (disability-adjusted life year) = la entre la situation observée et la situation idéale
Idéale : OMS = projections de la pop. 2050 prenant max. mondial par âge (= ♀ au Japon)
Σ années de vie perdues du fait des maladies, handicaps et morts prématurées
Le poids donné à chaque M : pour l’OMS = basé sur une enquête qui classe les M les unes
aux autres sur base de descriptions
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Actuellement > 50 % de la
pop vivent en ville 2050 :
67%
Les migrations :
Cluster 6 : Diversifier les valeurs, les modes de vie et les approches de gouvernance
3.1. L’air
3.1.1. Atmosphère et pollution : généralités
N2 78,08%
O2 20,95%
Ar 0,93%
CO2 0,04% (413ppm moyenne mensuelle-2019 = ↑)
Cancérigène avéré : Exposition aux particules fines (Pm2.5) = 3.2 millions de † préma / 223000 † du
cancer du poumon / M c-v surtout en Chine et Asie de l’Est
Pour maintenir/d’améliorer la qualité de l’air valeurs limites pour les [ ] d’anhydride sulfureux
(SO2), de dioxyde d’azote (NO2) et d’oxydes d’azote (NOx), de particules (PM) et de plomb + seuils
d’alerte pour [ ] d’anhydride sulfureux et de dioxyde d’azote dans l’air ambiant.
Fixe des méthodes et des critères communs pour permettre d’évaluer les [ ] + informations
appropriées sur les [ ] afin d’informer le public
Valeur limite: niveau sur base des connaissances scientifiques = éviter/prévenir/réduire effets nocifs
sur la santé et/ou l’environnement à atteindre dans un délai + ne pas dépasser une fois atteint
Seuil d’alerte: niveau au-delà duquel une expo. de courte durée =risque pour la santé de ensemble
de la pop. et à partir duquel les EM doivent immédiatement prendre des mesures
Seuil d’information: niveau au-delà duquel une expo. de courte durée =risque pour la santé des
groupes sensibles informations immédiates et adéquates sont nécessaires
Seuil d’évaluation supérieur: niveau < duquel = utilisation d’une combinaison de mesures fixes et de
techniques de modélisation et/ou de mesures indicatives (pour l’air ambiant)
Seuil d’évaluation inférieur: niveau < duquel= utilisation des techniques de modélisation ou
d’estimation objective (pour l’air ambiant)
Lignes directrices: recommandations pour protéger la santé humaine de tout effet nocif (OMS)
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OMS (2005) lignes directrices relatives à la qualité de l’air (PM, O3, NO2, SO2)
OMS (2010) lignes directrices pour quelques polluants chimiques de l’air intérieur (2012)
Et en Belgique ?
CO
Effets = fonction de (concentration dans l’air, durée de l’exposition) Seuil sûrs selon l’OMS :
CO2
Gaz incolore, inodore et incombustible + mentionné dans le chgt climatique + intérêt toxicologique !
2,5%: rien (>> 0,04% moyenne terrestre air extérieur! chgt climatique et toxicité du CO2!!)
5%: respiration s’accélère, devient plus profonde
8-10%: maux de tête, vertiges, ↑pression artérielle
>10%: évanouissements, convulsions, défaillances système circulatoire sanguin
>15%: paralysies, ruptures d’anévrisme
>20%: rapport volumique mortel
Intérêt santé: évaluer le confinement /renouvellement d’air intérieur (cales, caves, cuves, égouts,
fosses, grottes, utilisations professionnelles, fermentation, etc.)
Polluants primaires: SO2, H2S, COS, CS2 ---- Polluants secondaires: H2SO4 (acide sulfurique)
Impact santé :
Seuil d’alerte Dir 2008/50/CE 500µg/m3 /3 h consécutives lieux représentatifs de la qualité de l’air
(zone urbaine ou zone de 100km2)
Ammoniac
Gaz incolore, d’odeur âcre ou putride, toxique, irritant, corrosif Sources: décomposition plantes
et animaux, stations d’épuration, décharges, décomposition d’engrais, émissions industrielles
Oxyde nitrique forme des acides dans le syst. respiratoire irritants = congestion pulm. > 200 ppm
= mortels
NO2 : gaz rouge-brun toxique, très odorant Sources: équilibre photochimique entre oxygène,
ozone et oxydes d’azote
Effets sur la santé: gaz irritant pénétrant plus fines ramifications des
voies respi. 200µg/m3: altération fct respi., hyper réactivité
bronchique chez asthmatiques, ↑sensibilité infections chez E
Dir2008/50/CE :
Émissions annuelles (Bxl 2007): 4.848t 2.347t trafic / 1.385t combustibles domestique
Entre 180 et 240 µg/m3 : ↓ fct respi. ± 5% pop. moyenne/ 10% chez les personnes sensibles
Entre 240 et 360 µg/m3 : ↓ fct respi ± 5-15% pop.moyenne/10 - 30% chez les personnes
sensibles + maux de tête, d’irritations des yeux, du nez et de la gorge
> 360 µg/m3: effets ressentis +++ et ↓ fct respi > 15% pop.moyenne / > 30% chez les
personnes sensibles + ↓ significative des performances physiques.
« Poussières » = toutes particules de matière en suspension dans l’air ambiant ou appelé « aérosols
» ou « Particulate Matter (PM)» mélange de petites particules solides + gouttelettes liquides
Ensemble hétérogène dont la nature φ, chimique et/ou biologique est variable selon les sources
d’émission à l’échelle locale/longue distance + selon la saison + selon méthodes de mesures
Proviennent des combustions de mazout, diesel, charbon et bois dans l’atmosphère + mise en
suspension de poussières, et de la réaction entre chimiques dans l’air (floculation,…)
Lors de l’inhalation des particules fines, au niveau des poumons = réactions inflammatoires locales
produisent un stress oxydatif (↑ radicaux libres) + inflammation globale dans tout l’organisme
Le plomb
Source: additifs plombés présents dans l’essence et industries de traitement de plomb Mais ↓ 1er
janvier 1978 (max 0.55g/m) à essence sans plomb en 1988
3.2. L’eau
Problème : n’est pas la quantité, mais conservation, répartition sociale & géographique
Agriculture (+ irrigation et
aquaculture) 69% grosse ↑
depuis 1950 (Afrique, Asie)
Industrie (+ prod. énergie,
matières 1ères) 19% - Europe,
Amérique
Domestique (+ eau de conso.
bains, jardinage) 12%
Autres utilisations (loisirs, lacs artificiels,…) <1%
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Marché mondial et privatisation des services Eau: droit universel ou simple marchandise ?
Besoin vital, mais transport, stockage et traitement ont un coût.
Vision aussi en termes de rentabilité par m³ dans secteurs = tensions entre agriculture, urbains et
industrie.
3.2.3. ONU: objectifs du millénaire (2015) & objectifs de développement durable (2030)
09/2000 : dirigeants mondiaux (//décennie de conférences+ sommets Nations Unies) ont adopté la
Déclaration du Millénaire de l’ONU exhorte les nations à s’engager en faveur d’un partenariat
mondial pour réduire l’extrême pauvreté+ 8 objectifs échéance fixée à 2015 : les objectifs du
Millénaire pour le développement (OMD) CCL : succès mais des progrès restent à faire
7.a (DD & ressources): pénurie d’eau affecte > 40 % pop. mondiale + devrait ↑ 2011, 41
pays ont connu un stress hydrique (36 en 1998) dont 10 pays de la péninsule arabique,
d’Afrique du Nord et d’Asie centrale ont prélevé plus de 100 % des ressources renouvelables
en eau douce.
7.C “↓moitié, d’ici à 2015, % pop. pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau
potable ni à des services d’assainissement de base”
ok eau potable
pas atteint pour l’assainissement
P. des zones rurales + groupes pauvres/marginalisés ↓ accès à une eau et des
services d’assainissement améliorés + eau courante → besoin d’élimination
progressive des inégalités dans l’accès et les niveaux de service
Eau potable dans le monde : Entre 22 – 75 % ont accès = Afrique centrale (+Madagascar), une partie
de l’Océanie et Pérou/Equateur. Le reste > 90%
Objectif 6 : Garantir l’accès de tous à des services d’alimentation en eau + assainissement gérés de
façon durable
1. Types de pollutions
Particules en suspension
2. Sources de pollution
Industries:
Rejets agricoles:
Polluants:
fertilisants chimiques (nitrates, phosphates, sulfates) eutrophisation
pesticides (DDT, Chlordane, heptachlore, aldrine, …)
Impacts: idem industrie
Rejets domestiques:
Celles imputables à l’ingestion d’eau contaminée par des micro-organismes et des produits
chimiques (diarrhée, l’arsénicisme ou la fluorose)
Celles dont une partie du cycle de vie est subaquatique (schistosomiase)
Celles de la mauvaise qualité de l’assainissement et de l’hygiène (géohelminthiases)
Celles impliquant des vecteurs hydriques (paludisme ou la dengue)
D’autres maladies véhiculées par des aérosols contenant des micro-organismes (légionellose)
1.6 million de p. /an (450.000 E < 5 ans) † de M diarrhéiques (+ choléra) >80% des M diarrhéiques
imputables à la mauvaise qualité de l’eau + assainissement insuffisant + hygiène défectueuse.
Le rotavirus était la principale étiologie de la mortalité par diarrhée parmi tous les enfants de moins
de 5 ans et parmi tous les âges au niveau mondial (Défécations eau d’irrigation ou potable/ Mains
souillées solution : Vaccination + hygiène + assainissement)
1. Causes (OMS) :
Infection: causées par une multitude d'organismes bactériens, viraux et parasitaires (eau
contaminée par matières fécales) en cas de pénurie d'assainissement/ d'hygiène adéquats + eau
salubre pour boire, cuisiner et nettoyer. Le rotavirus et Escherichia coli = plus courants de la diarrhée
modérée à sévère dans les pays à faible revenu.
Autres causes: M diarrhéiques se propager d'une personne à l'autre, aggravées par une mauvaise
hygiène personnelle. La nourriture cause majeure lorsqu'elle est préparée/stockée dans des
conditions non hygiéniques. Le stockage/manipulation non sûrs de l'eau domestique = facteur de
risque important. Le poisson et les fruits de mer de l'eau polluée = contribuer à la maladie.
2. Prévention
3.2.5.2. Paludisme
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1,3 millions de p./an dont 90% E < 5 ans meurent du paludisme 396 millions de cas/an
principalement en Afrique subsaharienne.
L’irrigation intensive, les barrages, les projets hydrologiques pèsent lourdement sur la charge de
morbidité = Eaux stagnantes, égouts à ciel ouvert bonne gestion des ressources hydriques ↓la
propagation du paludisme et des autres M à transmission vectorielle.
OMS : ↓ le nbr et l’étendue des gîtes larvaires des moustiques en comblant/asséchant les étendues
d'eau ainsi que par la mise en œuvre d'autres mesures d'aménagement de l'environnement.
3.2.5.3. Schistosomiase
160 millions de p. atteintes = provoque des dizaines de milliers de †/an liée à l’évacuation des
excréments dans de mauvaises conditions et à l’éloignement des sources d’eau salubre.
L’assainissement de base peut faire reculer la M de >70% réservoirs créés par ♂ + syst. irrigation
mal conçus = aggravation de la situation.
1 milliard de p. dans les régions en développement d'Afrique subsaharienne, d'Asie et des Amériques
infectées par une ou plusieurs espèces d'helminthes dont :
Ascaridiase (60,000 †/an, OMS) : « Ascaris lumbricoides » ver adulte ♀peut atteindre une
longueur > 30 cm pond des œufs qui passent ensuite dans les fèces
Trichocéphalose : « Trichuris trichiura » Ingérés pars crudités ou de l'eau souillées de terre
Ankylostomiase : « Ancylostoma duodenale» contact entre peau/sol contaminé.
Virus transmis par des moustiques appartenant aux groupes « Culex » qui se reproduisent plus
particulièrement dans les rizières inondées
Asie, 30000 à 50000 cas cliniques/ an 20% des p. présentant une encéphalite japonaise
symptomatique décèdent et 35% ont une atteinte cérébrale irréversible.
En Asie du Sud, du Sud-Est et de l’Est, ↑gestion des ressources hydriques pour irrigation = ↓ M
3.2.5.6. Hépatite
3.2.5.8. Arsenic
Conséquences : cancer de la peau, de la vessie, des reins et des poumons, et des M des vaisseaux
sanguins des jambes/pieds, le diabète, HTA et des troubles de la reproduction.
Pollution des eaux souterraines dans de nombreux pays, notamment en Argentine, au Bangladesh,
au Chili, en Chine, aux Etats-Unis d’Amérique, en Inde, au Mexique et en Thaïlande.
Prévention : ↓ consommation d’eau contenant des taux d’arsenic trop élevés = trouver des sources
d’eau à faible teneur en arsenic ou installer des systèmes d’élimination de l’arsenic
3.2.5.10. Autres...
19. Noyade
1. Constats
Reconnaissance des rôles acteurs dans la sécurité de l’eau potable rôles et responsabilités
3. Objectif
Mettre en place des normes nationales
Information sur la qualité de l’eau et la santé
et les approches de gestion
Pas de risque significatif pour la santé si consommée tout au long de la vie + sensibilités
présentes courant de la vie (nouveau-né, enfant, ado, malade, vieux)
Tous les usages domestiques y inclus l’hygiène personnelle
Valable pour conditionnements (bouteille, glace)
Dans certaines conditions pas suffisant eau de haute qualité requise (dialyse rénale,
nettoyage de lentilles, usage pharmaceutique)
Pour les p. immunodéprimées précautions supplémentaires à prendre (bouillir l’eau)
Niveau de risque tolérable de contaminants dans l’eau potable (poids total, poids pour ttes expo.)
Valeurs guides appliquées aux procédures de test de matériel en contact avec l’eau+ produits
chimiques de traitement des eaux :
7. Performances
Évaluation du risque = partie d’un cycle d’évaluation liées aux prises de décision et l’évaluation des
améliorations (importance de l’amélioration progressive)
Niveau de risque de référence exprimé en termes d’effets sanitaires (ex. : fréquence maximale de M
diarrhéiques, ‘’ d’incidences de cancer, ‘’ d’infections par un pathogène spécifique) MAIS grande
variation de sévérités M liées à l’eau, effets aigus, retardés, chroniques, morbidité et † (prob. à la
naissance, cancer, choléra, dysenterie, hépatite infectieuse, parasitaire, typhoïde,…)
Cadre :
1979 : Dir.oiseaux (BD) : protège oiseaux sauvages + habitats /!\aussi pour qualité de l'eau
1991 : Dir. Θ eaux urbaines résiduaires (WWTD) + Dir. // nitrates (ND) ↓ pressions de
pollution sur l'eau
1992 : Dir. habitats (HD) : étend la protection à 1 200 autres espèces d'animaux et de plantes
sauvages + 230 types d'habitats rares
1998 : Dir. eau potable Maintenant en cours de révision
2000 : BD + HD créer un réseau de sites protégés (le réseau Natura 2000)
2000 : Dir.-cadre sur l'eau (DCE) : approche holistique de la politique de l'eau + gestion
intégrée des bassins hydrographiques (+protection écologique/chimique des eaux de surface
et l'état chimique et quantitatif des eaux souterraines)
2006 : Dir. sur les eaux de baignade
2007 : Dir.Inondations (FD) : santé, envi., patrimoine culturel et activité économique,
participative, cartographie, évaluation des risques, plans de mesures de gestion des risques,
2008 : Dir. -cadre sur la stratégie pour le milieu marin (MSFD) : protéger le milieu marin,
l'utilisation durable des biens/services marins, approche // écosystèmes = protection de
l'ensemble de la biodiversité marine
2019 : Dir. la réutilisation de l'eau potentielle en discussion
Aussi: pollution industrielle, ‘’ sectorielles, ‘’ de l'air, transports (maritime, fluvial), législation
alimentaire, santé (prévention, soins de santé), consommateurs liés / influencent l'eau
PAC pilier II (politique agricole commune) : mesures agro-environnementales
1. Cadre général
3. Pollution marine
Stratégie pour le milieu marin Pollution par les navires et sanctions pénales
Sécurité maritime (fonds d’indemnisation Sécurité maritime (interdiction des
des dommages pollution par hydrocarbures) composés organostanniques sur les navires)
Sécurité maritime (prévention de la pollution Sécurité maritime (convention
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5. Rejet de substances
Dir. 2000/60/CE du Parlement européen et du conseil du 23/10/2000 établissant un cadre pour une
politique communautaire dans le domaine de l’eau et Dir.2008/105/CE (objectifs de qualité des
eaux/33 substances prioritaires – environmental quality standarts EQS) = établir un cadre pour la
protection des eaux intérieures de surface, Eaux souterraines, Eaux de transition, Eaux côtières.
Objectifs: Atteindre un « bon état » écologique et chimique de toutes les eaux pour 2015 :
COM(2000)477
Prix de l’eau = unité ou somme globale payée par les usagers pour tous les services dont ils
bénéficient dans le domaine de l’eau y compris l’environnement
Intégration de tous les coûts
Incitation à une utilisation durable de l’eau
Dir. 98/83/CE du Conseil du 3/11/98, relative à la qualité des eaux destinées à la conso.humaine :
Toutes les eaux à l’exception des eaux minérales naturelles et des eaux médicinales :
Eaux minérales naturelles (Dir. 80/777/CEE du Conseil, du 15/07/80, relative au rapprochement des
législations des EM concernant l'exploitation+ mise dans commerce des eaux minérales naturelles)
Etats-membres fixent les valeurs paramétriques correspondant au moins aux valeurs établies par
la directive (nouveaux paramètres et dérogations)
Eaux de baignade :
Directive 2006/7/CE
Eaux susceptibles d’être des lieux de
baignade (sauf piscines, cure, …)
Surveillance, évaluation et classement
2 paramètres d’analyse (Entérocoques intestinaux et Escherichia coli)
Éventuellement autres paramètres: cyanobactéries, micro-algues
4 niveaux de qualité (insuffisant, suffisant, bon, excellent)
Objectif atteindre le niveau « suffisant » pour 2015
Sinon mesures de gestion
Calendrier: profil 2011, amélioration suffisant 2015, révision directive 2020
Dir. 91/271/CEE et Dir. 98/15/CE (prescriptions // aux rejets provenant des stations d’épuration)
Collecte, traitement et rejet des eaux résiduaires urbaines Θ + rejet des eaux de certains secteurs
industriels (qui sont collectés dans le système de collecte des eaux résiduaires urbaines)
Consommation moyenne (Be) 120 l/jour = 67,5millions m3 (2007) D’où vient l’eau du robinet?
1. Axe 1 : Intervenir avec des objectifs de qualité pour les eaux de surface et souterraines +
zones de protection
Permettre aux eaux de surface de retrouver un rôle Gestion quantitative des eaux
de support aux écosyst. + exutoire des eaux de pluie souterraines
5. Axe 5 : Prévention des inondations suites aux intempéries (plan PLUIES 2008/2011)
Gérer les eaux par grands bassins hydrographiques Protéger les mers & zones côtières
3.3. Le sol
3.3.1. Les définitions
« Couche supérieure de la croûte terrestre transformée par des processus climatiques,
physicochimiques et biologiques, composée de particules minérales, de matière organique, d’eau,
d’air +organismes vivants organisés en horizons de sols génétiques (= processus de pédogenèse). »
= corps tridimensionnel ayant des fcts socio-économiques et écologiques milieu complexe formé
d’une matrice poreuse dans laquelle l’air, l’eau et les organismes vivants entrent en contact avec les
flux de substances et les fluides qui se meuvent entre ces éléments. L’altération des processus du sol
= modif. dans le fonctionnement des écosystèmes + origine prob. envi. dans d’autres milieux
Souvent les définitions du sol sont liées à son utilisation – pas qu’une seule définition :
Pour un agronome : partie arable homogénéisée par les labours + explorée par les racines des
plantes. Un bon sol agricole = 25% eau+ 25% air + 45% matière minérale +5% matière organique
tassement peut induire ↘ rendement de 10%-30 %.
Pour un ingénieur civil: support sur lequel sont construits routes et bâtiments.
Pour un ingénieur d'assainissement : débouché pour les boues des stations d’épuration
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Eau/air
Solides (mat. Organique + oxydes + argiles)
Pores
Biologie du sol (racines, microorganismes, insectes, …)
Hétérogénéité / structure/variabilité macro & micro
Interactions (+ polluants)
L’état du sol change avec le temps avec les chgts de température, d’humidité = Complexité extrême
dont il est difficile de prévoir les conséquences d’une pollution.
Acidité: pH (potentiel Hydrogène) = échelle 0 à 14 qui mesure le caractère ± acide d’une substance
Un sol peut être naturellement acide, basique ou neutre Son pH varie notamment en fct du :
Ph : indicateur de l’acidité du sol. L’acidité = Présence d’ions H+ (protons d’hydrogène avec une
charge positive = cation). Au + il y a de proton, au + le milieu est acide. Dans les sols, le ph va de 3-4 à
10-11.
L’énergie du soleil est incorporé dans la MO utilisé dans le sol puis relibération de Carbone dans
l’atmosphère. Le Carbone gagne des électrons = réduction du Carbone. Dans le sol, cette MO se
retransforme en CO2 et le C perd des électrons =oxydation.
SI le milieu est oxydant et qu’il y a suffisamment d’02 (qui favorise la perte d’électrons), il y a une
respiration aérobie, cela se passe comme sur le schéma.
Si on est dans un milieu réducteur (sol manque d’O2, noyé) : ce n’est plus une respiration aérobie
qu’utilise la MO et l’02, il y a d’autres substances que l’02 qui est utilisée : Nitrates et sulfate qui
acceptent les électrons de la MO et qui permettent de libérer l’énergie.
Csqs sur la santé du sol, sur les polluants est indispensable de connaitre la valeur du pe.
Ph : indique l’acidité
Pe : activité en électrons.
Réactions acido-basiques et oxydoréduction dans les sols = effets sur la forme chimique et la
disponibilité des nutriments, la transformation de la matière organique + mobilité et la toxicité de
nombreux oligo-éléments influencent la format° des sols et les cycles biogéochimiques.
C, N, S, Fe et Mn
Oligo-éléments potentiellement toxiques : Cr, As, Se et U
2 types de feuilles qui s’empilent les 1 sur les autres pour former une sorte d’argile.
Hydrogène attaché aux oxygène sur le feuillet d’aluminium. Cet empilement est caractéristique de la
Kaolinite = un type d’argile : épaisseur faible de 0,7 nm. Ce feuillet est de type 1 :1. => 1 de type
octaédrique et 1 de type tétraédrique.
2ème type d’argile : Smectite (+ dans les régions tempérées) : 0,95 nm : 2 couches de tétraèdres qui
entourent une couche d’octaèdre au milieu. Feuillet 2 :1
Les feuillets présentes des charges : ions peuvent s’attacher dessus = échanges entre argiles et
polluants.
Charges permanentes négatives des argiles: possibles substitutions partielles de Si 4+ par Al 3+dans
les tétraèdres, de Al 3+ par Mg 2+, Fe 2+ ou Fe 3+, dans
les octaèdres = déficits de charges positives compensés
par cations ou d'eau dans les espaces interfoliaire =
adsorption de cations (et polluants)
les surfaces. La smectite va bcp plus absorbé les polluants qui sont des cations alors
que la kaolinite qui a une charge très faible non.
Illite : à l’intérieur : très peu accessible aux polluants. Cations non entourés d’eau.
Seulement en surface.
Aux bords des couches, la structure minérale argileuse est clivée d'une manière qui n'est pas
précisément établie = pH très important pour déterminer si les polluants seront adsorbés ou non
3.3.2.3. Oxyhydroxydes (de Fe, Al, Mn, Si)= forment les minéraux
Composés minéraux / granulométrie du sol Influence de la texture sur la contamination des eaux
souterraines (exemple : sols sableux filtrants)
Les minéraux mis dans solution dans le sol et se cristallisent. Cycle de ces éléments entre sol. MO
dans le sol qui se décompose peut aussi former des cristaux.
anions) vont se comporter ≠ On peut créer des pbm de pollution si on acidifie les sols qui créent
des métaux lourds qui descend vers la nappe.
Chgt dans la manière de concevoir la matière organique des sols : définition de fractions extractibles
ou non en milieu basique (substances humiques) + interprétation (synthèse secondaire de
macromolécules = humification) → contiuum de substances organiques qui se décomposent, focus
sur la partie extractible à l’eau+ accessibilité aux microorganismes.
Les fractions définies chimiquement par extraction alcaline = « substances humiques »(pas
observées par les techniques modernes). Après avoir extrait chimiquement, on n’a pas observé ces
substances que l’on pensait trouver dans le sol.
MO est la partie qui peut être extraite à l’eau et non pas à l’aide d’extraire chimiquement.
Maintenant, on conçoit la MO dans le sol comme un continuum depuis des débris végétaux et
produits microbiens→ carbone de plus en plus oxydé (=
« perte » d’électrons → acides carboxyliques, CO2,
substances graduellement plus pauvres en énergie).
Action des organismes décomposeurs et protection de la
MO par les minéraux du sol. Importance aussi des
micro-environnements dans le sol (ex : redox)
Résidus de plantes et animaux vers C02 en passant par des polymères. Il peut y avoir des interactions
avec les minéraux du sol à chaque stade. Formation de ≠ agrégats de chacune des sortes de MO. Si
absorbé sur surface minérale, le temps qu’il faut pour qu’elle devienne de nouveau disponible et
revient dans le cycle du carbone : ↑. Idem pour les agrégats : si bcp d’agrégats formés : sont moins
disponibles dans la solution du sol.
3 parties du sol : eau du sol, air et fraction solide Sol va de la partie en contact avec l’atmosphère
jusqu’en profondeur une nappe phréatique (=possible interaction entre polluant qui est dans le sol
et cette nappe)
Fonction de filtre ou de protection des eaux souterraines par interaction des différents composants:
À G : zone insaturée : tous les pores du sols ne sont pas remplis d’eau à l’inverse de saturé. Moins
d’02 en zone saturé.
Si polluant mis sur le sol à G : évaporation à la surface du sol/dans le sol dans la phase gazeuse du sol
et ressortir du sol en se volatilisant. Une partie peut se solubiliser et passer dans l’eau du sol. Une
autre partie peut s’absorber sur la fraction solide du sol. Interactions entre air, fraction solide et eau.
Peut descendre avec l’eau du sol jusque dans la nappe. SI polluant faiblement soluble dans l’eau
peut descendre jusque dans la surface directement dans la zone saturé, rester à la surface de l’eau et
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migrer vers d’autres endroits Dégradation possible dans la phase aqueuse du sol par des micro-
organismes, dans l’air ou dans la phase solide du sol.
Interaction entre les substances en phase aqueuse et la fraction solide du sol= argiles du sol
Cations (être des polluants) entourés de molécules d’eau entre feuillets d’argiles ou à l’extérieur.
Molécules organiques peuvent aussi entrer entre les feuillets en fonction de la taille.
Aluminium qui peut être relié à l’02 et former une charge où les polluants s’absorbent sur les bords
Liaison avec molécule organique, ou qui peut attirer des ions avec la
charge positive en haut à droite.
Schéma Comportement des PFAS dans l'envi. est complexe car pas qu’une seul propriété du sol ou
des sédiments ni l'OC, ni le pH, ni la teneur en argile ne pouvaient à eux seuls expliquer le
comportement de sorption (=absorption) des PFAS ne peut être prédite par les propriétés du sol
Les PAH dans les sols s’adsorbent p.ex. sur la mat.org. du sol =
devient partiellement protégés, indisponible pour les
microorganismes. De plus, le sol est hétérogène, donc des
adsorptions ≠ avec phases de dégradation à des taux ≠
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mobilité décroissante dans le sol : Cd > Zc > Cu > Pb : certains sont plus mobiles. PB aura
tendance à etre plus absorbé, alors le Cd aura tendance à descendre.
Teneur entre Cd et Pb extractibles dans les sols et dans les plantes. Qté de Cd et de Pb relativement
disponibles.
TF : axe y : Rapport entre quantité que l’on retrouve sur les plantes et celles dans la partie
extractible : mobilité de ces deux polluants du sol vers les plantes.
Le taux de transfert du Pb est < important que le Cd. Le taux de transfert dépend de la [] et du type
de plante : pas de conclusion généralisée. Ces variabilités peuvent venir d’autres facteurs.
Polluants dans l’air propriété acidifiante. Quand ces polluants sont déposés
(par la pluie) sur les sols : pénétration dans le sol.
Répartition des polluants organiques dans l’eau/l’air/la matière organique : s’applique uniquement si
la substance n’est pas ionisée (= qui a une charge (il faut que la substance ait un pH neutre)), pas les
métaux, pas les surfactants, ne tient pas compte de la biodégradation, etc...
Endroit de transition : MO => air. Substance se distribue entre les deux. 1% air : quand on remonte
et qu’on y arrive, il y a 99% dans la matière organique, et 1% dans l’air. etc
1) Éléments sous forme cationique (K +, Na +, Ca 2+, Fe 2+, Fe 3+) ou métaux lourds (Ba 2+, Cd
2+) + prod. chimiques organiques à charges positives (organoamines, métallo-organiques)
o Sorption de cations + produits chimiques = plus ↑ à haute saturation en bases +
condition aérobie
Sols caractérisés par une bonne capacité de stockage qui ont des couches épaisses de terre végétale
et de sous-sol et ces couches sont exempts des effets des eaux souterraines À mesure que la
teneur en argile/humus ↑ + teneur en pierre/ gravier ↓, la capacité de stockage ↑
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Sols calcaires à forte teneur en minéraux argileux gonflants = lier plus de cations
Sols acides ou les sols à haute teneur en sesquioxydes = stockage d'anions plus ↑
Types d’altération :
Milieu plurifonctionnel: Pas que la base de 90% de l’alimentation, des fibres et des combustibles
/!\ du sol pour large éventail d’activités humaines = davantage vulnérable aux dégâts/épuisement.
Ressource limitée et non-renouvelable : À l’inverse de l’air/de l’eau, dégâts pas aisément réparables
Capacité d’absorption et résilience : Vu la capacité d’absorption du sol + résilience, les dégâts pas
constatés avant d’être très marqués. Des signaux d’avertissement apparaissent tant au niveau local
(contamination des sols dans les villes) que régional (↓de la productivité agricole). Pour éviter tout
dégât supplémentaire et irréversible: réactions correctives (mesures coûteuses et pas toujours
réalisables) et préventives + éviter de transférer le problème aux générations futures.
1. Désertification
Dégradation persistante du sol due à l’interaction ≠ facteurs (climat + utilisation non durable des
ressources hydriques/pédologiques) = ↓ progressive de la capacité du sol à faire vivre les
communautés humaines/animales + permettre la croissance de la végétation et les activités € pas
limitée aux régions à un climat aride = menaces zones d’Europe méridionale, centrale et orientale
Usage intensif impact biodiversité des sols + cycles éléments nutritifs et Carbonne
Conséquence économiques, avec coûts > que les coûts de protection, mais court-termisme
Impacts du changement climatique (érosion, sécheresse, cycles des éléments)
P+ sur les sols accrues par besoins de la bioéconomie (nouveaux usages de la biomasse)
Manque de cadre légal européen, qui met en danger d’autres objectifs comme la bioéconomie
1. EU - érosion
Perte de sol via l’eau,vent/ cultures = perte de fct agricole + pollution des eaux EEA / SOER2020:
Tx moyen d'érosion des sols par l'eau devrait être d'environ 2,46 t/ha/an (UE ! ce qui est 1,6
X ↑ que le taux moyen de formation des sols)
12,7% du territoire européen = érosion modérée à ↑ (taux de perte de sol> 5 t / ha par an)
Perte annuelle moyenne de sol par érosion éolienne = ± 0,53 t/ha/an (terres arables)
Betterave sucrière / Belgique, Irlande et Pays-Bas
Changement climatique (pluies extrêmes), machinerie lourde
Pratiques agricoles (haies, type de labour, etc)
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EEA / SOER2010: Jusqu'à présent, les bases de données nationales UE contiennent plus de 600 000
événements enregistrés, mais nbr réel de glissements de terrain dans chaque pays beaucoup plus ↑
Lié à la couverture du sol, aux pentes, aux pratiques agricoles, aux types de sols ↑ probable avec
le changement climatique(évènements extrêmes)
1. EU - Imperméabilisation
Pertes estimées à 970000ha entre 1990 et 2000 – EU20 (SOER2010,), 722800 ha entre 2000 et 2018
EEA-39 (SOER2020)
Aperçu des contaminants affectant le sol en Europe tel que rapporté en 2011 (%
de sites – schéma circulaire)
2. Acidification
Les effluents gazeux de l'industrie, des centrales électriques, de la circulation des véhicules et du
carburant domestique + agriculture intensive = accumulation de composés S et N dans l'atmosphère,
qui atteignent le sol sous forme d'acides avec précipitation / dépôt..
H + = capacité de neutralisation des acides en fonction du type de sol définir les charges critiques
de dépôts acides. L'amortissement réalisé par les composants solides du sol (carbonates, minéraux
argileux, oxydes, matière organique) + mesure limitée par les substances dissoutes
Progrès (figure suivante) : « Depuis 1990, suite aux efforts entrepris aux échelons international,
national et régional, les émissions de polluants acidifiants ont ↓↓(+ Wallonie). Prob. < aigu qu’il
y a 20 ans, même si des efforts restent à faire. »
Étant donné le retard de la réponse du sol à la ↓ des dépôts acides = suggérer que plusieurs
décennies nécessaires pour que les sites affectés se rétablissent complètement.
Problèmes d’actualité :
Éléments traces E. vulnérable (PICA) Dispersion des valeurs // quantités INERIS (constat)
150 mg/j/E
Effets sur la santé : Certains métaux lourds et métalloïdes = pouvoir neurotoxique (plomb, pas de
seuil connu) ou cancérigène (l’arsenic, le chrome VI ou le cadmium) par ingestion ou inhalation.
1. Cadmium – Cd
= particularité de se fixer et de rester très longtemps dans le corps humain (± 10 ans) remplace
dans les complexes protéiques d'autres métaux essentiels à l'organisme : cuivre ou le zinc. Il en
résulte un fonctionnement physiologique anormal et une cytoxicité par un déficit d'absorption du
calcium, des lésions des mitochondries du rein et les dysfonctionnements qui en découlent
Inhalation : Expo. chronique: effets reins/poumons avec protéinurie, altération de la fct pulmonaire
Ingestion de sels de cadmium :Expo. chronique: effets reins/os avec protéinurie, calculs rénaux et
maladie d'Itai-itai (os, rein, articulations)
2. Plomb
Hoganas : prod. de poudres de métaux (ind. chimique + Θ de surface) + Floridienne chimie : prod.
sels de métaux non ferreux pour piles/batterie + stabilisation PVC
Exposition :
Résultats :
≠ entre E = csqs de la pollution par les plantes: zone centrale, [ ] de plomb plus ↑observées
chez les E mais pas chez les adultes dû à une absorption gastro-intestinale du plomb plus
↑ chez les E (40 à 50%) que chez les adultes (3 à 10%). De plus, le temps passé à l'extérieur
significativement associé à des niveaux de plomb dans le sang plus élevés chez les E vivant à
proximité des plantes = comportement spécifique des enfants (PICA)
Malgré la présence des 2 plantes, [ ] de métaux lourds trouvées dans la pop. d'Ath
comparables à celles trouvées dans d'autres études de biosurveillance similaires menées
auprès de la pop. générale et restent ↓ aux niveaux de préoccupation pour la santé publique
pas de recommandation // pop. vivant à proximité de ces plantes.
Compte tenu de l'absence d'un seuil connu de toxicité au plomb = !!! niveau individuel pour
limiter autant que possible toutes les voies
d'exposition au plomb (E !) bénéfique pour la pop.
(d'Ath ou générale)
Sous-estimation possible pour les niveaux socio-
économiques bas (moindre participation à
l'enquête et généralement plus exposés aux
métaux)
3. Sol/sous-sol et radon
[ ] à l'intérieur dépend:
4. L’amiante
Effets
Mésothéliome : Cancer de la plèvre dont l’amiante principale cause. Cancer grave. Temps de
latence: 30-40 ans
Plaques pleurales bénignes : Epaississements fibreux de la plèvre associés à des doses
cumulées faibles et sans incidence sur la fonction du poumon.
Asbestose : Fibrose pleuropulmonaire [ ] ↑ de fibres dans le tissu pulmonaire, entraînant
une insuffisance respiratoire.
Wallonie :
01/03/ 2018 - Décret relatif à la gestion et à l'assainissement des sols (1) (M.B. 22.03.2018) «
Le présent décret vise à préserver et à améliorer la qualité du sol, à prévenir
l'appauvrissement du sol ainsi que l'apparition de la pollut° du sol, à identifier les sources
potentielles de pollut°, à organiser les investigations pour d'établir l'existence d'une pollution
et à déterminer les modalités de l'assainissement des sols pollués »
https://sol.environnement.wallonie.be/home/sols/presentation-generale-du-decret-sols-
2018/les-obligations-du-decret-sols.html
Banque de données de l'état des sols wallons http://bdes.wallonie.be/
DB sites potentiellement contaminés inventoriés (www.walsols.be)
Plan Marshall: 36 friches industrielles (460hectares) engagées en réhabilitation dès 2009
Flandre : En 1995: décret sur l'assainissement des sols = cadre légal pour aborder le problème de
pollution des sols. Le décret a permis d'inventorier les sols de manière systématique, ce qui a
amélioré notre connaissance de ces sols. (www.ovam.be)
BXL :
https://environnement.brussels/thematiques/sols-0
Avant l’Ordonnance du 13 mai 2004 relative à la gestion des sols pollués, il n’existait pas de
législation spécifique en la matière. L’ordonnance de 2004 a ensuite été abrogée et
remplacée par l’Ordonnance du 5 mars 2009 qui ne considère pas l’assainissement comme
étant l’objectif ultime mais organise plutôt un syst. de gestion des risques pouvant provenir
de ces terrains. L’ordonnance de 2009 a été modifiée à son tour en 2017. La démarche est de
simplifier les procédures, de clarifier certains mécanismes et de renforcer les aides €
Ainsi l’objectif est de garantir la suppression, le contrôle, l’endiguement ou la réduction de la
pollution de manière à ce que les sols contaminés, compte tenu de leur utilisation actuelle ou
prévue pour l’avenir, ne présentent plus de risques graves pour la santé ou l’environnement.
Cartographie des sites potentiellement pollués
ENVI-L-4110 2020 Remmerie S
L’inventaire de l’état du sol finalisé par Bruxelles Environnement fin 2015 compte actuellement
14.283 parcelles correspondant à environ 3040 ha (18.8 % de la superficie régionale), dont 1043
parcelles sont propres, 8.891 potentiellement polluées, 3.075 polluées et 1.274 légèrement polluées.
Normes d’intervention = [ ] en polluants du sol et de l’eau souterraine au-delà desquelles les risques
pour la santé et/ou pour l’envi. considérés comme non négligeables et un Θ de la pollution requis.
Concrètement, ce sont des normes au-delà desquelles une étude détaillée doit être effectuée.
Expl: Plomb:
Normes d’assainissement = [ ] en polluants du sol et de l’eau souterraine sous lesquelles les risques
pour la santé et pour l’envi. considérés comme nuls + permettent au sol de remplir toutes les fct
Expl: Plomb:
EXAMEN : grandes questions synthétique sur les chapitres et faire des liens entre eux