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DM 4ème

Ces DM seront donnés chaque vendredi, à rendre le vendredi de la semaine


suivante. Vous les ferez toujours sur la même feuille. Ils seront notés sur 5
points. A la fin du mois, les quatre notes seront additionnées pour aboutir à
une note sur 20 points.

1. Donnez la nature de chacun des mots de la phrase suivante.


Personne ne s’est souvenu de ce rendez-vous, c’est ce qui l’a mécontenté.

2. Donnez la nature de chacun des mots de la phrase suivante.


La porte du grenier s’ouvrit difficilement, avec un terrible grincement.

3. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant le discours rapporté en discours


indirect.
Il me dit : « Va te coucher, ne t’en fait pas… une expression qu’il a souvent
employé en me parlant… rien dans la vie n’en vaut la peine… tu verras, dans
la vie, tôt ou tard, tout s’arrange… ».

4. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant « les petit garçons » par « la


petite fille » et en transposant les verbes au présent de l’indicatif.
Partout dans la plaine passaient des bœufs et des buffles, et, quand les petits
garçons chargés de la garde des troupeaux aperçurent Mowgli, ils poussèrent
des cris et s’enfuirent, tandis que les chiens jaunes qui errent autour d’un
village Hindou se mirent à aboyer.

5. Relevez dans la phrase les différentes propositions et précisez les relations


entre elles (juxtaposition, coordination, subordination).
Pour mon goût voyager c’est faire un mètre ou deux, c’est s’arrêter et c’est
regarder de nouveaux un nouvel aspect des choses.

6. Réécrivez la phrase suivante en transposant les verbes au présent de


l’indicatif.
Quand ils débouchèrent en pleine mer, en atteignant la pointe de la jetée nord
qui les abritait, la brise plus fraiche glissa sur le visage et sur les mains du
docteur comme une caresse un peu froide, entra dans sa poitrine, et, enflant
la voile brune, fit s’incliner la Perle et la rendit plus alerte.

7. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant les verbes au passé composé par


des verbes au plus-que-parfait.
Les touristes ont pris des photos et quand Louise a voulu se lever elle-aussi
en tendant son téléphone portable, Paul lui a délicatement appuyé la main sur
le bras pour la faire rasseoir.

8. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant le discours rapporté en discours


direct.
Je lui ai dit que c’est cela que je voudrais retrouver, maintenant, cette
impression de dureté et de bonheur, l’odeur de la terre sèche et des plantes,
le goût de cuivre des raisins, et que le bruit coupant des feuilles de maïs qui
s’entrechoquaient dans le vent me manque.

9. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant « La licorne » par « Les


dragons » et en transposant les verbes au futur simple.
La licorne est une créature légendaire, représentée sous la forme d’un cheval
blanc, dont le front s’orne d’une longue corne effilée, en forme de spirale.

10. Réécrivez la phrase suivante en ajoutant, pour chaque nom, un adjectif de


votre choix.
Dans la chambre des enfants, les objets, les jouets cassés, les meubles
défoncés ont un air de liberté, d’insouciance, ils ne demandent qu’à s’amuser,
les lits, les divans sont tous prêts à ce qu’on se laisse tomber sur eux en riant,
en poussant des petits cris, pas trop fort cependant…

11. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant « deux formes humaines » par


« un monstre » et en « Isabelle » par « Ils ».
Isabelle se pencha un peu, et il lui sembla démêler dans l’ombre, au pieds de
la muraille, deux formes humaines enveloppées de manteau et se tenant
immobiles comme des statues de pierre au porche d’une église ; à l’autre bout
de la ruelle, malgré l’obscurité, ses yeux dilatés par la peur découvrirent un
troisième fantôme qui paraissait faire le guet.

12. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant « Je » par « Elles » et en


transposant les verbes à l’imparfait de l’indicatif sauf « faillir ».
Je fus tout entier aspiré par une passion violente, totale, et qui m’empoisonna
complètement l’existence et faillit même me coûter la vie.

13. Donnez la nature de chacun des mots de la phrase suivante.


J’ai quelque chose de chagrin et de fier dans la mine ; cela fait croire à la
plupart des gens que je suis méprisant, quoique je ne le sois point du tout.

14. Donnez la nature de chacun des mots de la phrase suivante.


En attendant, ce soir, comme ma mère m’a laissé libre, je ferai tout pour ne
pas me noyer.
15. Réécrivez le passage en remplaçant la troisième personne du masculin
singulier par la troisième personne du féminin singulier. Vous garderez les
mêmes temps verbaux.
Il se réveilla avec une merveilleuse sensation de bien-être savourant l'éclat et
la douce chaleur du soleil, dans l'air printanier. Il s'était assoupi sans bouger
sur le banc du jardin public ; son somme n'avait pas duré une demi-heure.

16. Réécrivez le passage au plus-que-parfait en passant de la première personne


du singulier à la troisième personne du pluriel.
En vous voyant entrer, je me suis douté de quelque chose, j’ai envoyé à la
mairie, et voici ce qu’on m’a répondu.

17. Réécrivez ce passage en conjuguant les verbes au passé composé et en


remplaçant « nous » par « elles ». Vous ferez toutes les modifications
nécessaires.
En dépit de ce double pilotage, nous arrivâmes sans encombre jusqu'à Arles
où nous nous arrêtâmes pour passer la nuit. Peu habitués à fréquenter les
hôtels, mis à part le Claridge, nous choisîmes naïvement un bouiboui de
dernière classe

18. Réécrivez ce texte en remplaçant « il » par « ils » et « les branches » par « le


branchage ».
En milieu d'après-midi, il avait grimpé sur le toit en tôle de la remise sous
laquelle sèche le linge, pour tailler les branches du prunier qu'une tempête
d'hiver avait emmêlées aux fils téléphoniques.

19. Réécrivez le passage ci-dessus en remplaçant « je » par « elle » et en


effectuant toutes les transformations nécessaires.
Je me souviens m’être rendu compte – alors que j’étais assis sur le théâtre –
[…] de l’étrangeté de ce voyage en Grèce. J’étais venu ici, poussé par les
fantômes et les mirages du passé […].

20. Réécrivez ce passage en remplaçant le pronom personnel « je » par « ils » et


en mettant les verbes au passé composé. Faites toutes les modifications qui
en découlent.
Je récite tout bas dans ma tête. Les dix questions défilent une à une comme
un calvaire. Je les sais toutes par cœur. Même pas une tordue pour atténuer
mes regrets. Le maître claque dans ses mains. Les plumes se lèvent toutes
ensemble comme les rames d'une chaloupe dans un film de corsaires.
21. Transformez le passage suivant en remplaçant le présent par l’imparfait et le
pronom personnel « je » par « les élèves ». Effectuez les modifications qui
s’imposent.
La dictée est le meilleur moyen qu’a trouvé le maître pour nous calmer au
retour de la gymnastique. Dès que je l’aperçois sur le pas de la porte de la
classe, la sueur se glace le long de ma colonne vertébrale.

22. Réécrivez l'extrait suivant en remplaçant l'imparfait par le passé simple.


La préparation des confitures nous réjouissait. Notre mère se servait d'un
grand chaudron en cuivre rouge et d'une écumoire à trous pour clarifier le jus
et surveiller sa consistance. Elle mettait au fur et à mesure l'écume dans une
assiette et laissait cuire jusqu'à la perle.

23. Transposez le discours indirect en discours direct. Vous commencerez le


texte par « Il déclara aux policiers : … »
Une fois dans sa vie, Akaki Akakiévitch fit preuve de fermeté ; il déclara aux
policiers qu’ils n’avaient pas le droit de l’empêcher d’entrer, car il venait du
ministère pour une affaire importante et que s’il portait plainte, ils verraient ce
que ça leur coûterait. »

24. Réécrivez la phrase suivante en remplaçant « La fois précédente » par « La


fois suivante », et en remplaçant le plus-que-parfait par du futur antérieur.
La fois précédente, il avait mangé des tomates à la provençale et de la viande
grillée. Il était tout à fait satisfait de ce repas.

25. Réécrivez les phrases suivantes, puis soulignez les propositions


subordonnées et entourez la conjonction de subordination qui l’introduit.
Le chemin que nous prenons habituellement est recouvert de neige. Mon père
qui ne travaille pas nous emmènera à l’école. Malheureusement, les cahiers
dont j’ai besoin sont restés chez ma mère.

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