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Les secrets du coran pour être aime par les filles

Louange à Allah et que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses compagnons : Sachez tout d’abord que le mariage est la seule manière légale d'établir une relation entre un homme et une femme étrangère. En dehors du mariage, toute relation amoureuse est proscrite. Le
principe de base veut que la relation conjugale soit basée sur l’affection et la miséricorde. Chercher à consolider l’affection et l’amour entre les deux conjoints est certes une chose louable, mais nous ne connaissons pas d'invocation spécifique dans ce domaine. Invoquer Allah, exalté soit-Il, de manière générale est – si Allah, exalté soit-Il, le veut –
bénéfique après avoir fait le nécessaire pour réaliser cet objectif. Parmi les choses qui favorisent cet amour entre les conjoints citons l’obéissance d'Allah, exalté soit-Il, le bon comportement envers l’autre, la douceur et le fait de pardonner les fautes. Parmi les choses qui poussent la femme à préserver l’honneur de son mari, firgurent le fait que le
mari protège sa femme en la mettant à l'écart des tentations, et respecte les limites fixées par Allah, exalté soit-Il, dans son foyer, qu’il fasse rempart aux tentations susceptibles de séduire son épouse, qu’il obéisse à Allah, exalté soit-Il, et qu’il évite d’enfreindre ses interdits. Le Prophète () exhorta ibn ‘Abbâs, qu'Allah soit satisfait de lui, en lui disant :
« Observe les commandements d’Allah, et Allah te protégera » (al-Tirmidhî). nageluvabile Et Allah sait mieux. Légende vidéo, Les femmes qui récitent le Coran font partie de l'héritage islamiqueLes musulmans du monde entier récitent le Coran dans le cadre de la prière.Certains, expérimentés, récitent en public. Mais la majorité d'entre eux sont des
hommes.Aux quatre coins du monde, il existe des attitudes différentes à l'égard des voix féminines qui récitent le Coran. Certaines personnes pensent qu'elles devraient être limitées aux espaces réservés aux femmes, craignant que faire entendre une voix féminine en public soit «un péché». L'islamologue sénégalais Khadim Mbacké de son côté
soutient qu'une femme n'a pas le droit de diriger un groupe mixte où il y aurait des femmes et des hommes."Elle doit instruire ses sœurs en matière de religion, mais elle ne peut pas diriger des femmes et des hommes. Ce n'est pas possible, selon les enseignements de l'islam", précise le professeur.Toutefois, il souligne que "la femme a un rôle
indispensable dans l'islam".Mais, dans de nombreuses cultures comme en Indonésie et en Malaisie, la récitation féminine est encouragée et il y a un appétit croissant pour amener plus de femmes sur le terrain.Maryam Amir, spécialiste des religions, rappelle que Sheikh Moheb disait : "Maryam, ne savez-vous pas que l'histoire islamique est pleine
d'exemples de femmes qui récitent ?Ne savez-vous pas que notre héritage est que les femmes récitent le Coran ?Ne savez-vous pas combien de femmes dans notre histoire ont enseigné le Coran aux hommes ?C'est notre histoire. C'est l'héritage islamique - les femmes récitent."Comment cette femme de 39 ans qui a créé sa première marque à 24 ans,
est parvenue à se faire une place dans le monde de la beauté.24 septembre 2020 Si l’une des 114 sourates du Coran est bien consacrée aux femmes de manière explicite (la quatrième, dite sourate des femmes, « An-nisâ »), une large partie du texte sacré de l’islam parle de l’être humain en général, sans précision de genre.Omero Marongiu-Perria,
sociologue spécialiste de l’islam en France (1), rappelle ainsi que le Coran recourt souvent au mot arabe « zawj », qui signifie aussi bien homme que femme, époux qu’épouse. « L’usage de ce terme a amené certains théologiens musulmans à dire que la personne humaine est indéterminée à la base, mais comme revêtue d’une enveloppe corporelle
genrée », explique ce chercheur. fesabesacadiso Selon le Coran, l’homme et la femme naissent en effet « d’une âme unique » (4 : 1).À lire :Comprendre le CoranPar ailleurs, comme le précise l’imam Mohammed Azizi, aumônier régional des hôpitaux d’Île-de-France, Eve n’est pas plus responsable du péché originel qu’Adam, selon le Coran (2:36). «
L’interprétation punitive n’existe pas en islam, explique-t-il. C’est Satan qui est derrière le péché, pas la femme. »Un autre passage du Coran semble représentatif de l’indistinction de l’homme et de la femme devant Dieu : « Les musulmans et musulmanes, les croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, les loyaux et loyales, les endurants et
endurantes, les donneurs et donneuses d’aumônes, ceux et celles qui jeûnent, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux et celles qui invoquent souvent Dieu : Dieu a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense. » (33 : 35)Soumises et obéissantes ?Cela dit, force est de constater que le Coran semble souvent véhiculer une vision
inégalitaire des rapports hommes-femmes dans les réalités quotidiennes. Considérée comme la gardienne de la maisonnée et jouant un rôle de conseil auprès de son époux, la femme n’en est pas moins contrainte à l’obéissance, comme le rappelle ce verset de la sourate des femmes :« Celles de qui vous craignez l’insoumission, faite-leur la morale,
désertez leur couche, corrigez-les. bopajoxeyapo Mais une fois ramenées à l’obéissance, ne leur cherchez pas prétexte. » (4:34)À lire aussi :Quelle place pour la religion musulmane en France ?À cela s’ajoutent d’autres mentions bien connues et parfois qualifiées de misogynes, comme notamment l’autorisation de la polygamie – jusqu’à quatre femmes
par homme (4 : 3).Des interprétations patriarcales« Le Coran s’inscrit dans la réalité d’une société patriarcale, où ces rapports de domination existaient déjà », explique Omero Marongiu-Perria, précisant que l’idée d’obéissance de la femme au mari se retrouve aussi dans les autres traditions abrahamiques.De même qu’avec la Bible, une connaissance
insuffisante du contexte historique peut mener à des interprétations erronées. C’est ce qu’explique Asma Lamrabet, médecin et féministe marocaine, quand elle cite le verset coranique consacré à l’héritage : « Allah vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils la portion de deux filles » (4:11). Elle rappelle que
dans les sociétés préislamiques, la femme n’avait tout simplement pas le droit d’hériter : ce passage du Coran est par conséquent pour elle « une révolution ».À lire :Asma Lamrabet, un regard féminin sur le sacré en IslamAppelant à une lecture dépolitisée de l’islam, Asma Lamrabet déplore que l’exégèse du Coran soit le fait des seuls hommes, qui en
produisent selon elle une « interprétation sexiste ». Elle souligne la nécessité de procéder à une lecture contextualisée du Coran et de faire la distinction entre les concepts universels du texte sacré de l’islam et les versets conjoncturels répondant à des circonstances historiques.Car dans la pratique, ces textes sont aujourd’hui compris et interprétés
de façons variées dans le monde. Si la place donnée à l’interprétation reste large, certains pays musulmans ont choisi d’appliquer celle qui leur convenait politiquement.Une exégèse au féminin ?Cependant, ces dernières années ont vu l’émergence d’un féminisme islamique revendiquant une modification des rapports hommes-femmes. La majorité de
ces femmes musulmanes de tout horizon dénonce la misogynie banalisée dans les pratiques musulmanes et justifiée par le texte sacré.À lire :Des musulmanes repensent la place des femmes dans l’islam« C’est totalement faux de penser que les femmes musulmanes n’ont pas leur mot à dire sur le Coran ou la religion », assure Nusrat Qudsia Wasim,
présidente des femmes de l’association musulmane Ahmadiyya. « Dans l’islam, l’homme et la femme sont égaux devant Dieu. Les femmes ont d’ailleurs participé à l’exégèse du Coran, à commencer par Aïcha, la femme du Prophète : après la mort de son époux, plusieurs compagnons venaient la consulter pour des cas de jurisprudence islamique. Le
prophète lui-même a enjoint aux croyants d’apprendre la moitié de leur religion auprès d’Aïcha. »

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