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Que dit vraiment le

Coran
Penser et vivre son islamité à la lumière du Coran

S24.V2

S24.V2

L’Islam, à l’image de ses deux grandes


sœurs en religion, n’admet de rapports
sexuels licites que dans le cadre du
mariage. Cette position légaliste de l’amour
l’a amené à dé=nir deux types de péchés
capitaux : la fornication et l’adultère.
Néanmoins, ce n’est pas cet aspect de la
question qui divise, mais bien les malsains
relents moyenâgeux qu’exhale la Gagellation
ou le silence mortifère de la lapidation. La
violence de ces peines légales/ḥudûd est
devenue à notre époque insupportable, au
point que nombre de réformistes et de
nouveaux penseurs de l’Islam ont réclamé
un moratoire ou proposé diverses
interprétations a=n de rendre inapplicable
cette pratique d’un autre âge. Entre foi
exaltée et raison tempérante, qu’en est-il
exactement ?

• Que dit l’Islam

L’argument coranique fourni par l’Islam est


bien connu, en voici la traduction
standard : « La fornicatrice/az–zâniya et le
fornicateur/az–zâniy, fouettez-les chacun
de cent coups de fouet. Et ne soyez point
pris de pitié pour eux dans l’exécution de la
loi d’Allah – si vous croyez en Allah et au
Jour dernier. Et qu’un groupe de croyants
assiste à leur punition. », S2.V24.

À partir de cet unique l’Islam a élaboré une


approche juridique de la fornication, c’est-à-
dire selon lui la condamnation pénale de
tout acte sexuel en dehors du mariage légal.
La peine pour les coupables est alors de
cent coups de fouet pour l’homme et la
femme selon les uns, ou la mort des deux
par lapidation. Ce dernier point n’est
visiblement pas dans le texte coranique,
mais ici l’Islam s’est conformé à la loi
judaïque : « Si l’on trouve qu’un homme a
couché avec une femme mariée, ils mourront
tous deux, l’homme qui a couché avec la
femme et la femme aussi. Tu ôteras ainsi le
mal du milieu d’Israël. Si une jeune >lle vierge
est >ancée à quelqu’un, et qu’un homme la
rencontre dans une ville et couche avec elle,
vous les conduirez tous deux à la porte de la
ville, et vous les lapiderez jusqu’à ce qu’ils
meurent… ».[1] Les ulémas ont donc suivi la
Thora, que pourtant ils déclarent falsi=ée et,
pour y parvenir, ils se sont appuyés sur la
sidérante affaire du vrai-faux verset dit de la
lapidation qui selon un hadîth attribué à
Aïcha était caché sous son lit et n’aurait pas
été inscrit dans le Coran parce qu’une
chèvre, maligne avouons-le, aurait mangé le
papyrus sur lequel il était noté ! Nous
n’insisterons pas sur ce tour de passe-passe
hadistique raté ![2] S’il ne fait aucun doute
qu’ils ont cherché à appliquer la Thora, nos
jurisconsultes ont-ils pour autant suivi le
Coran ?

• Que dit le Coran:

Voici une première approche littérale de ce


verset : « La femme adultère/az–zâniya et
l’homme adultère/az–zâniy, Fagellez
chacun d’eux de cent coups de fouet. Et
qu’aucune compassion ne vous prenne à
leur égard quant à dîni–llâhi si vous croyez
en Dieu et au Jour Dernier. EnHn, que soit
témoin de leur châtiment un groupe parmi
les croyants. »[3]

Ce verset est situé en tête de sourate, ce


qui suppose une absence de contexte
antérieur et, concernant notre méthodologie
d’Analyse Littérale du Coran, ce cas
particulier ne gêne pas pour autant l’Analyse
contextuelle. En effet, le v1 indique de
manière générale que ladite sourate
envisagera de nombreuses prescriptions
qui, au demeurant, sont toutes en rapport
avec la moralité [4] : « Sourate que Nous
avons révélée et en laquelle nous avons
établi des règles de conduite/faraḍnâ-hâ[5]
et Nous y avons révélé des versets
explicites ; puissiez-vous vous en
rappeler. ».[6] Ainsi, notre v2 initie-t-il le long
premier chapitre de cette sourate, vs2-26,
lequel n’envisage qu’un seul thème :
l’accusation d’adultère. Logiquement, le v2
illustre donc ce que l’en-tête annonce.

– Du point de vue de l’Analyse lexicale, une


première remarque s’impose, le terme zâniy
quali=e uniquement celui qui commet
l’adultère. En arabe comme en français le
terme zinâ/adultère quali=e les rapports
sexuels entre un homme et une femme dont
l’un des deux ou les deux sont mariés. La
gravité morale de cet acte repose sur la
trahison et l’injustice ainsi commises à
l’égard de l’autre membre du couple marié.
Contrairement à ce qu’écrit la traduction
standard : « la fornicatrice/az–zâniya et le
fornicateur/az–zâniy », il n’est donc pas
question en ce verset de ce que l’on nomme
fornication, c’est-à-dire des rapports sexuels
entre deux personnes consentantes et non
mariées. Dans le Coran le terme employé
pour désigner les fornicateurs est
musâMḥîn, car fornication se dit sifâḥ, voir
en S4.V24-25. Ce n’est donc que la volonté
du Droit musulman à étendre le sens du
terme zinâ à toutes formes de relations
sexuelles hors mariage qui a amené à
superposer puis confondre les notions
d’adultère et de fornication. La consultation
des dictionnaires de la langue arabe et
l’usage courant font de même et zinâ y
désigne aussi bien l’adultère que la
fornication, c’est ici la trace d’une inGuence
rétroactive de l’Exégèse sur le lexique, voir
sur ce point Les réentrées lexicales. L’on
constate de même que la très grande
majorité des traductions françaises emploie
en ce verset le terme fornicateur [7] pour la
simple raison que dans l’usage du discours
musulman le sens du mot fornication a été
étendu jusqu’à désigner l’adultère aussi bien
que les rapports hors de tout lien de
mariage, autre boucle herméneutique donc.

– Du point de vue de l’Analyse sémantique,


une observation est essentielle, en ce verset
la femme est nommée avant l’homme, ce
qui n’est jamais le cas en arabe coranique
pas plus qu’en arabe classique. En effet,
l’usage veut que le masculin soit prioritaire
dans l’ordre syntaxique, ex. : « AHn que Dieu
châtie les hommes hypocrites/al–munâMqîn
et les femmes hypocrites/al–munâMqât
ainsi que les polythéistes hommes/al–
mushrikîn et les polythéistes femmes/al–
mushrikât et aussi que Dieu accepte le
repentir des croyants/al–mu’minîn et des
croyantes/al–mu’minât… », S33.V73. Du
reste, en conformité avec cette règle, nous
trouvons immédiatement le v3 de notre
sourate débutant ainsi : « L’homme
adultère/az–zâniy n’épousera qu’une femme
adultère/az–zâniya ou polythéiste et une
femme adultère ne sera épousée que par un
homme adultère ou polythéiste… ». Dans le
même ordre d’idée, nous ajouterons que le
hadîth du vrai-faux verset précédemment
évoqué et dit prétendument « de la
lapidation » commence lui aussi selon cette
priorité des genres : « Le vieux/ash–shaykh
et la vieille/ash–shaykha, lorsqu’ils
commettent l’adultère, lapidez-les… ».
L’auteur de ce texte n’avait donc pas noté la
particularité de l’ordre d’énoncé du v2 et
s’était exprimé selon la norme naturelle de
la langue arabe.

Sémantiquement, cette exception ne peut


être que signi=ante. Le Coran n’énonce pas
en ce v2 une prescription de portée générale
– faute de quoi il aurait fallu
nécessairement que le masculin précédât le
féminin – c’est donc qu’il s’agit d’un cas
particulier.[8] Quel que soit l’évènement
précis au sujet duquel ce verset intervient,
nous retiendrons qu’il ne peut traiter d’un
cas théorique ou général, car il aurait dû
alors indubitablement être formulé comme
suit : « l’homme adultère [az–zâniy] et la
femme adultère [az–zâniyya], Lagellez-les… »
[9] Ceci exclut par conséquent que la
locution dînu–llâh y puisse signi=er loi de
Dieu et autres équivalents, comme le
comprend malgré tout l’exégèse juridique et
grand nombre de traductions, car une loi
vaut pour le collectif et non pour deux
individus seulement. L’on pourrait ici nous
objecter qu’un cas particulier peut faire
jurisprudence et devenir loi. D’une part, cette
démarche jurisprudentielle n’est
logiquement propre qu’aux lois humaines
qui ainsi s’adaptent au temps, ce que le
caractère intemporel supposé des tout aussi
supposées lois divines ne requiert pas et,
d’autre part, il n’est rien dit de tel en ce
verset, ni en aucun autre. Si cela avait été le
cas, nous le répétons, alors la formulation
adéquate aurait priorisé le masculin :
« l’homme adultère et la femme adultère »,
voire même un pluriel : az–zunâh.

Ainsi, le fait qu’il s’agisse ici d’un cas


particulier explique qu’au segment « et
qu’aucune compassion ne vous prenne à
leur égard quant à dîni–llâhi si vous croyez
en Dieu et au Jour Dernier » l’on ne puisse
comprendre le terme dîn par religion. En
effet, en quoi la religion de Dieu/dînu–llâh
serait ici convoquée puisque cette affaire n’a
aucun caractère général qui pourrait d’une
manière ou d’une autre l’intégrer au concept
de loi religieuse.[10] De plus, le segment « et
ne les prenez pas en compassion » suppose
que ce qui vient d’être énoncé : « Fagellez
chacun d’eux de cent coups de fouet » dut
surprendre les allocutaires puisqu’il leur est
demandé d’accepter le jugement et de ne
pas avoir pitié des deux condamnés en
question. L’on peut déduire de cette mise en
garde contre tout refus ou toute hésitation à
exécuter cette sentence que les Arabes ne
connaissaient pas de châtiment physique
institutionnel pour les cas d’adultère.[11] À
présent que ces derniers sont devenus
musulmans : « si vous croyez en Dieu et au
Jour Dernier » il leur est demandé de se plier
à l’ordre donné par la Révélation au nom de
leur nouvelle foi, fût-ce contraire à leurs
propres mœurs et usages. Au demeurant,
comme nous l’avons antérieurement
souligné, l’ensemble des prescriptions
mentionnées en cette sourate vise à
critiquer et redresser les mœurs arabes.
Cette tergiversation : « ne les prenez pas en
compassion », réelle ou pressentie, indique
donc que le Coran vient de rendre une
sentence, un jugement, quant au traitement
de ce premier cas d’adultère publiquement
connu dans la communauté des musulmans
médinois. Aussi, en fonction d’un sens bien
connu du terme dîn au moment coranique,
nous pouvons poser que le terme dîn vaut
en ce verset pour jugement et que la
locution dînu–llâh signi=e donc le jugement
de Dieu.

Notre verset se lit alors littéralement : « La


femme adultère et l’homme adultère,
Fagellez chacun d’eux de cent coups de
fouet. Et qu’aucune compassion ne vous
prenne à leur égard quant au jugement de
Dieu si vous croyez en Dieu et au Jour
Dernier. EnHn, que soit témoin de leur
châtiment un groupe parmi les croyants. »,
S24.V2. Nous ajouterons que si l’on devait
totalement prendre en compte d’un point de
vue littéral la stricte limitation
circonstanciée de ce verset, nous devrions
traduire ainsi le segment initial : « Cette
femme adultère et cet homme adultère… » Le
Sens littéral ainsi mis en évidence indique
que ce verset est sans rapport avec une
quelconque loi relative au cas d’adultère et
encore moins à celui de fornication. À partir
d’un cas particulier réel qui semble avoir
agité les esprits, ce verset ne vise qu’à
sensibiliser par l’exemplarité de la sentence
rendue la jeune communauté musulmane
quant à l’état dissolu de ses mœurs en la
matière, perspective morale qui rappelons-le
est le thème central de cette Sourate 24.

Conclusion

L’Analyse littérale de S24.V2 aura démontré


que ce verset ne mentionnait pas une loi ou
une prescription générale concernant la
peine légale en cas d’adultère, mais
seulement un jugement de Dieu/dînu–llâhi
consistant à administrer cent coups de
fouet, châtiment qui n’était destiné qu’a être
appliqué à l’unique cas évoqué en ce verset.
Il est donc totalement infondé d’ajrmer que
le Coran aurait prescrit la Gagellation en cas
d’adultère et encore plus s’agissant de
rapports entre personnes non mariées, c’est-
à-dire en cas de fornication.

En réalité, la seule peine prescrite en la


matière par le Coran que l’on puisse quali=er
de générale concerne l’administration de
quatre-vingts coups de fouet pour toute
accusation mensongère d’adultère, S24.V4.
Puisque le jugement rendu au v2 n’avait pas
fonction de loi, l’on peut sans risque ajrmer
qu’il était destiné à interpeller la récente
communauté des musulmans a=n de les
sensibiliser sur la gravité morale de
l’adultère, du fait probablement de l’injustice
commise envers le conjoint trompé et aussi
du fait de sa prégnance dans la tradition
bédouine. Du reste, l’obligation de fournir
quatre témoins visuels pour prouver un cas
d’adultère, v4, con=rme notre
compréhension littérale ; si le Coran avait
voulu faire loi, il ne l’aurait pas assorti de
conditions la rendant de facto inapplicable,
voire caduque. Il ne fait pas sens de
supposer que Dieu aurait légiféré une loi en
pratique inexécutable !

Si nous avons montré que ce verset ne traite


que d’un cas d’adultère et absolument pas
d’un cas de fornication, ceci ne vaut
littéralement que pour le Coran, car le Droit
musulman a choisi contre l’évidence du
texte et de la langue arabe coranique de
légiférer en surinterprétant ce verset. Ceci,
en ajoutant d’une part à la notion
d’adultère/zinâ celle de fornication/sifâḥ et,
d’autre part, en transformant un jugement
limité et circonstancié en principe divin de
portée générale. Cette surinterprétation
exégético-juridique illustre concrètement le
travail qui a été fourni pour forger le concept
de Charia et/ou de Loi divine.[12] Encore une
fois, l’analyse littérale aura permis de
mesurer la différence entre le Coran et
l’Islam.

Dr al Ajamî

[1] Deutéronome XXII : 22-24.

[2] Il n’est pas de notre sujet de commenter


ce hadîth racontant l’affaire tristement
humoristique du vrai-faux « verset de la
lapidation ». Nous retiendrons seulement ici
que de telles manœuvres indiquent à
contrario qu’il avait été clairement perçu que
l’on ne saurait tirer loi du texte coranique
pour justi=er la lapidation.

[3] S24.V2 :

ُ ْ ‫اح ٍد ِمن ْ ُه َما ِمئ َ َة َج ْل َد ٍة َو َ* تَأ‬


‫خذْ ُك ْم‬ ِ ‫اجلِ ُدوا ُك ;ل َو‬
ْ َ‫الز ِ;انيَ ُة َوالز ِ;اني ف‬
ِ *‫ا‬
‫ٓخ ِر‬ َ ْ ِ ‫;ِ َوا ْليَ ْوم‬G‫;ِ إِ ْن ُكنْت ُ ْم تُؤ ِْمنُو َن ِبا‬G‫ين ا‬
ِ ‫ِب ِه َما َرأْفَ ٌة ِفي ِد‬
َ ‫ُؤ ِْم ِن‬T‫ائفَ ٌة ِم َن ْا‬
S ِ َ‫ش َه ْد َعذَابَ ُه َما ط‬
ْ َ‫َو ْلي‬

[4] À savoir : respect de la vertu des


femmes, v23 ; respect du domicile d’autrui,
v27 ; conduite chaste et pudeur
vestimentaire, v30-31 ; incitation au mariage,
v32—33 ; respect de l’intimité du couple,
v58 ; respect dans les relations familiales,
v61.

[5] Notre traduction « établir des règles de


conduite » est littérale. La racine faraḍa
signi=e faire une encoche dans le bois, une
marque. Par extension, elle vint à indiquer le
fait d’insérer une règle dans la coutume,
comme une marque repérable.

[6] S24.V1 : « ‫ضنَا َها َوأَنْزَ ْلنَا ِفي َها‬ ْ ‫ورةٌ أَنْزَ ْلنَا َها َوفَ َر‬
َ ‫س‬ُ
ٍ َ ‫ات بَي`ن‬
‫ات َل َع ;ل ُك ْم تَذَ ;ك ُرو َن‬ ٍ َ‫» آَي‬

[7] Ceci indique que les traducteurs du


Coran sont asservis à l’Exégèse et non au
texte arabe coranique. Une exception
notable, la traduction du lexicologue
Kazimirski [m.1887] qui la réalisa
antérieurement aux circularités islamo-
islamologiques actuelles.

[8] Cas particulier traitant d’un problème


d’adultère en lequel une femme est donc
prioritairement impliquée. Situation réelle
que l’on peut essayer de reconstituer en
suivant la logique textuelle. À Médine,
période attribuée à S24, et à priori au sein
des musulmans, une femme a été accusée
d’adultère et l’affaire dut publiquement
prendre de l’importance. Du reste, puisque la
révélation intervient, l’on en déduit qu’il
s’agissait du premier cas d’adultère, connu
ou ébruité, au sein de ladite communauté, et
ceci explique de même l’importance que prit
l’évènement. Si la femme fut visée en
premier, d’où le fait qu’elle est en premier
mentionnée, il semble bien que l’on =nit
ensuite par apprendre que l’homme avec
lequel elle avait eu des rapports était lui
aussi marié puisqu’il est lui aussi quali=é de
zâniy.

[9] Il est parfois soutenu qu’en matière


d’adultère ou de mœurs le Coran vise
essentiellement les femmes, comme le
stigmate d’une mentalité d’époque, ce qui
pourrait expliquer l’inversion dont nous
discutons. En l’occurrence, cette hypothèse
ne peut être ici retenue puisque dès le v3 le
masculin comme de règle l’emporte
syntaxiquement sur le féminin.

[10] Tout comme la Traduction standard, de


nombreuses traductions rendent malgré
dînu–llâh en ce verset par « religion de
Dieu » Pour les nombreuses signi=cations
de dîn dans le Coran, voir : Le terme dîn
selon le Coran et en Islam.

[11] À notre connaissance, il n’a jamais été


rapporté que les Arabes appliquaient la
Gagellation ou la lapidation en cas
d’adultère. L’on peut aussi sans peine
déduire de ce « recul de l’opinion » signalé
par le Coran que les récits produits par
l’Exégèse indiquant une requête de la part
des musulmans en lien avec la lapidation
telle que pratiquée par les juifs sont
invalides. En effet, qui ne peut supporter le
moins (la Gagellation) ne souhaite pas le
plus (la lapidation).

[12] Cf. La Loi divine selon le Coran et en


Islam et La législation coranique selon le
Coran et en Islam.

admin3372

26 janvier 2018

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Fourni par Traduction

Dr Al Ajamî

Docteur en médecine, Docteur en Littérature et langue


Arabes, Coranologue, Théologien, Spécialiste de
l’exégèse du Coran.

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