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4
1.1 : Schéma. 1.2 : FA = ρ . V . g avec V = . π . R3
3
−2
⃗ 4 6,5.10
f FA = .π.( )3
3 2
V = 1,44 . 10-4 m3
M ⃗
FA
FA = ρ . V . g = 1,3 . 1,44 .10-4 . 9,81
FA = 1,8 . 10-3 N
⃗
P
P = m . g = 55 . 10-3 . 9,81 P = 0,54 N
P 0,54
= = 300
F 1,8 .10
−3
1.3 : La série 1 correspond à l’énergie mécanique qui est constante car sur une durée courte on
peut supposer que la balle est en chute libre donc l’énergie mécanique se conserve.
La série 3 correspond à l’énergie cinétique qui augmente lors de la chute car la vitesse
augmente.
1.4 : Comme l’énergie mécanique est constante, on peut donc négliger les forces de
frottements.
1.6 : Conservation de l’énergie mécanique : EmA = EmB soit EcA + EppA = EcB + EppB
avec EcA = 0 ( balle lâchée sans vitesse initiale ) et EppB = 0 ( altitude nulle en B )
1
soit EppA = EcB d’où : m . g . zA = . m . VB2 = 0,80
2
Δ Ec 0,80
zA = = zA = 1,5 m
m. g 55.10−3 . 9,81
2°/ Modélisation du service au tennis :
filet
sol D
O
On considère que la balle est en chute libre ( uniquement soumise à son poids ).
F app ) = WAB ( ⃗
ΔEc = Ecfinale – Ecinitiale = EcD – EcC = Σ W AB ( ⃗ P )
1 1
or WAB ( ⃗
P ) = m . g . ( zC – zD ) et EcD – EcC = . m . vD2 - . m . vC2
2 2
1 1
Soit : m . g . ( zC – zD ) = . m . vD2 - . m . vC2 simplifions par m
2 2
1 1
g . ( zC – zD ) = . vD2 - . vC2
2 2
2 . g . ( zC – zD ) = vD2 - vC2 or zD = 0
vD = √v 2
C +2. g . z C
vD = √V 2
C + 2. g . z C =
√ (
200 2
3,6
) + 2 .9,81 . 2,20
2.4 : En réalité, nous ne pouvons pas négliger les frottements car la vitesse de la balle est très
importante.
Exercice n°2 : Décollage du ballon-sonde ( 8 points ).
m
Or ρ =
V
d’où : m He = ρ He . V ballon = 0,18 . 3,9 m He = 0,70 kg = 7,0 .10 2 g
⃗
F
X S
⃗
P
6: ⃗P et ⃗ F sont les 2 seules qui s’appliquent sur le système.
Comme F > P alors le vecteur somme des forces ∑ ⃗ F a pour caractéristiques :
- direction : verticale,
- sens : vers le haut,
- norme : 5 N ( 50 – 45 ).
2. Schéma légendé :
K+(aq) +MnO4-(aq)
H2O2(aq)
3. L'équivalence d'un titrage est atteinte lorsqu'on a réalisé un mélange stœchiométrique du
réactif titrant et du réactif titré.
Les deux réactifs sont alors totalement consommés.
4. Dans ce titrage, l’équivalence sera repérée par un changement de couleur ( incolore à rose
pâle ).
5. Relation à l’équivalence :
n H 2O 2,0 n MnO 4−, e
= ( voir équation )
5 2
C 1 .V 1 C 2 . V éq 5. C 2 . V éq
= soit C1 =
5 2 2. V 1
5 . C 2 . V éq 5 . 0,0200 .17,6
6. C1 = = C1 = 8,80 . 10-2 mol.L-1
2. V 1 2 . 10,0
7.
u(C 1 )
C1
=
√ (
u (C 2) 2 u( V 1) 2 u( V e ) 2
C2
) +(
V1
) +(
Ve
) = √ (
0,0005 2 0,02 2 0,1 2
0,0200
) +(
10,0
) +(
17,6
)
u (C 1 )
= 0,026 = 2,6 % u( C1 ) = 0,026 . C1 = 0,026 . 8,80 . 10-2
C1
u( C1 ) = 2,3 .10-3 mol.L-1 = 0,23 . 10-2 mol.L-1