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0 sous-espaces vectoriels
1. Dans IR3, on considère les vecteurs :
u1 = (2, 1, 3) u2 = (3, 5, −2) u3 = (− 5, −13, 12)
1
v = (−6, −17, 17) w = (1, 1, 1) 0 = (0, 0, 0).
1°) Le vecteur v est-il combinaison linéaire des vecteurs
u1, u2, u3 ? Cette combinaison linéaire est-elle unique ?
2°) Le vecteur w est-il combinaison linéaire des
vecteurs u1, u2, u3 ?
3°) Déterminer l'ensemble des triplets (x, y, z) de
nombres réels tels que :
x.u1 + y. u2 + z.u3 = 0.
En déduire une expression de u3 en fonction de u1 et
u2.
4°) Soit U = (a, b, c) un vecteur quelconque de IR3.
Déterminer une condition nécessaire et suffisante
portant sur a, b, c pour que U soit combinaison linéaire
de u1, u2, u3.
2. Pour chacune des familles de vecteurs de IR2
suivantes, dire si elle est libre, liée, génératrice, si elle
est une base de IR2 :
( (1, 2) , (1, −1) ) ; ( (1, 4) ) ; ( (0, 0) ) ;
( (1, −2) , (2, 3) , (1, 0) ) .
3. Mêmes questions pour les familles de vecteurs de IR3 :
( (1, 2, 1) , (1, 0, −1) ) ;
( (7, 6, 9) , (1, 4, 6) , (3, 6, 2) ) ;
( (3, 6, 2) , (6, 12, −4) ) ;
( (2, 4, −6) , (−3, −6, 9) ) ;
( ( 3, 6, 2) , (1, 0, 3), (a, b, c) ) .
4. Soit B = (e1, e2, e3) la base canonique de IR3 . Soit
u = (1, 1, 1) , v = (1, −1, 0) , w = (−1, 1, −1) .
1°) Montrer que B' = (u,v,w) est une base de IR3 .
2°) Trouver les coordonnées de e1, e2, e3 dans la base Applications linéaires, matrices,
5.
B'.
Soit E l'espace vectoriel des fonctions de IR dans IR.
Parmi les sous-ensembles de E suivants, dire quels
sont les sous-espaces vectoriels de E :
2 9.
images, noyau
Soit f l'endomorphisme de IR3 défini par :
f ( (x, y, z) ) = (z + y – x, x + z – y, x + y – z)
3
les fonctions bornées ; 1°) Ecrire la matrice A de f dans la base canonique B
les fonctions dérivables ; de IR3.
les fonctions continues ; 2°) Déterminer la matrice de fof par les deux méthodes
les fonctions paires ; suivantes :
les fonctions monotones ; a) en calculant les images par fof des vecteurs de
les foncions positives. la base canonique ;
6. Déterminer une base et la dimension de chacun des b) en calculant le produit AxA.
sous-espaces vectoriels de IR3 suivants : 3°) En déduire fof(x, y, z) pour tout (x, y, z) dans IR3.
F1 = { (x, y, z) ; 2x + y – z = 0} 10. Dans l'espace vectoriel IR2, on considère les
F2 = { (x, y, z) ; 2x = 0 ; 3y – z = 0 } vecteurs suivants :
F3 = { (x, y, z) ; x – z = 0 ; 3y – z = 0 } u = (1, 1) ; v = (1, −1).
F4 = { (x, y, z) ; −x –y + z = 0 ; 2x + y – 5z = 0} 1°) Montrer que B' = (u, v) est une base de IR2.
F5 = { (x, y, z) ; 2x – 3z = 4y – 5x } 2°) Soit f un endomorphisme de IR2 vérifiant
F6 = { (x, y, z) ; −x +2y = y +6z = 3z – 2x } . f(u ) = (2, 3) et f(v) = (4,5) . Expliquer pourquoi f est bien
7. Soit E l'espace vectoriel des suites numériques. défini.
Montrer que F = {(un) ; ∀n ∈ IN un+2 = 3un+1 + 4un } est 3°) Soit (x, y) un vecteur de IR2. Déterminer en fonction
un sous espace vectoriel de E. de x et y les réels a et b tels que
8. Résoudre le système linéaire : (x, y) = a.u + b.v. En déduire la matrice A' de f dans la
base B'. Calculer f(2u+3v).
(1 − λ) x + y + z = 0 4°) Soit B = (e1, e2) la base canonique de IR2. Montrer
x + (1 - λ )y -z =0 1 1
que e1 = 2 (u+v), e2 = 2 (u–v).En déduire f(e1) et f(e2),
x - y + (1 - λ )z = 0
puis la matrice A de f dans la base canonique B.
On discutera suivant la valeur de λ . On montrera qu'il Calculer f(x,y) pour (x,y) quelconque dans IR2.
existe deux valeurs de λ pour lesquelles l'ensemble 11. Soit f l'endomorphisme de IR3 dont la matrice dans
des solutions est un sous-espace vectoriel non réduit la base canonique (e1, e2, e3) de IR3 est :
au vecteur nul. On explicitera une base de chacun de 2 − 2 − 2
ces sous-espaces vectoriels.
A = −1 3 1
−1 − 1 1 .
Exercices d’Algèbre Exercices d’Algèbre
1°) Déterminer une base et la dimension de Ker(f) et de b) Montrer que u est bijective.
Im(f).
2°) On pose
v1 = e1 – e2 v2 = e1 + e3 v3 = e2 – e3 .
Montrer que (v1, v2, v3) est une base de IR3. Déterminer
4 3°) Déterminer la matrice de u2 = uou dans la base B.
Montrer que cette matrice est combinaison linéaire de
M et I. En déduire une relation entre u, u2 et id.
Déterminer la matrice de u−1, bijection réciproque de u.
5
la matrice de f dans cette nouvelle base. 15. On considère l'espace vectoriel IR3 muni de sa base
12. Soit l'endomorphisme de IR3 dont la matrice dans canonique B = (e1, e2, e3). Soit
la base canonique est : C = (u1, u2, u3), avec :
1 1 1 u1 = (1, −2, 2) u2 = (0, 3, −2) u3 = (0, 4, −3).
1°) Montrer que C est une base de IR3.
M=
1 3 5
5 3 1 2°) Soit f l'endomorphisme de IR3 défini par :
f(e1 ) = u1 f(e2 ) = u2 f(e3 ) = u3 .
Déterminer une base et la dimension de Ker(f) et de Expliciter la matrice A de f dans la bas canonique B.
Im(f). Montrer que f est bijective.
13. Soit f l'endomorphisme de IR3 dont la matrice dans 3°) Déterminer la matrice de f 2 dans la base B. En
déduire la matrice A−1.
la base canonique est : 4°) Résoudre le système linéaire :
1 0 1
x = λ.x
M =
1 1 0 + + =λy
- 2x 3y 4z
0 1 1 2x - 2y - 3z = λ z
Déterminer Ker(f). En déduire que f est un isomorphisme de
IR3. On discutera suivant la valeur de λ . On montrera qu'il
Déterminer Im(f). Trouver la matrice de f −1 dans la base existe deux valeurs de λ pour lesquelles l'ensemble de
canonique de IR3. solutions est un sous-espace vectoriel non réduit au
14. Dans l'espace vectoriel IR3 muni de sa base vecteur nul. On explicitera une base de chacun de ces
canonique B = (e1, e2, e3), on considère les trois sous-espaces vectoriels.
vecteurs : 5°) Soit D = (v1, v2, v3), avec :
f1 = (1, 1, 1) f2 = (1, 1, −1) f3 = (1, −1, 1). v1 = (0, 1, −1) ; v2 = (1, −1, 1) ; v3 = (1, 1, 0).
1°) Montrer que C = (f1, f2, f3) est une base de IR3. Montrer que D est une base de IR3. Déterminer la
2°) On considère u l'endomorphisme de IR3 défini par matrice de f dans la base D.
les relations :
u(e1) = f1 u(e2) = f2 u(e3) = f3.
a) Expliciter la matrice M de u dans la base
canonique B.
Inverse d'une matrice, puissance 1°) Calculer B2, puis Bn, pour tout entier n supérieur ou
a n +1 = - a n
c = 3
0 10 1 0 0
I=
0 1 0
0 0 1
1 1 1
, J = 1 1 1
1 1 1
2 / 3 1/ 6 1 / 6
11
et M = 1 / 6 2 / 3 1 / 6 .
1/ 6 1/ 6 2 / 3
1°) Exprimer J 2, puis pour tout entier n supérieur ou égal à
b n +1 = - 4b n + 3c n 2,Jn en fonction de J.
∀n ∈ IN : .
c n +1 = - 9b n + 8c n 2°) En déduire que, pour tout entier naturel n :
25. 1 1 1
Mn = 2 n + 3 − 2 n ) J
On considère les matrices I (1
0,1 0,4 1 0
M = 0,9 0,6 et I= 0 1
27. Calcul des puissances successives de la matrice :
1°) Calculer la matrice M2. 1 − 2a a a
2°) Montrer qu'il existe trois nombres réels non tous a 1 − 2a a
M(a) = où a représente un nombre
nuls a, b, c tels que la matrice a a 1 − 2a
a.M2 + b.M + cI soit la matrice nulle. réel.
3°) Plus généralement, montrer qu'il existe trois 1. Montrer que pour tous réels a, b, on a :
nombres réels non tous nuls et indépendants de l'entier M(a).M(b) = M(a + b − 3ab).
n tels que, pour certaines valeurs de n que l'on 2. En déduire les valeurs de a pour lesquelles la matrice
précisera, la matrice a.Mn + b.Mn−1 + c.Mn−2 soit la M(a) est inversible et exprimer son inverse.
matrice nulle. 3. Déterminer le réel a0 non nul tel que [M(a0)]2 = M(a0).
an cn 4. On considère les matrices : P = M(a0) et Q = I – P, où I
4°) Soit Mn = b n d n . Montrer que les quatre suites
désigne la matrice carrée unité d’ordre 3.
a) Montrer qu’il existe un réel α, que l’on exprimera en
(an), (bn), (cn), (dn) sont solutions d'une même équation fonction de a, tel que :
linéaire du type : M(a) = P + α Q.
un = x.un−1 + y.un−2. b) Calculer P2, PQ, QP, Q2.
5°) Résoudre cette équation ; On explicitera un en c) Pour tout entier naturel n non nul, montrer que [M(a)]n
fonction de u0, u1. s’écrit comme combinaison linéaire de P et de Q.
6°) Calculer les coefficients de la matrice Mn. Quelles d) Expliciter alors la matrice [M(a)]n.
sont les limites de ces coefficients lorsque n tend vers 28. On considère les deux matrices carrées réelles d'ordre
+∞ ? quatre suivantes :
4
2 2 2 2 1) Chercher An(a)
Donner une relation entre Dn et Dn-1. En déduire Dn.
2) Soit g un endomorphisme d’un ev E sur un corps
Exercice 6 commutatif K.
On considère le IR – espace vectoriel E des polynômes de a) Montrer que Ker g et Im g sont deux sev de E.
degré inférieur ou égal à 2. Soit b) Nous supposons que E est muni de sa base
B0 = {1, x, x2} la base canonique de E. Soit φ l’application canonique B = (b1 , b2 , … , bp), p IN*, montrer que
définie par [φ(P)](x) = xP’(αx) – 2P(x + 1), α IR et P’ Im g est engendré par le système
désigne la dérivée de P. (g(b1), g(b2), … , g(bp)).
1) Montrer que φ est un endomorphisme. 3) Déterminer une base de Ker [f3(1)] et de Im [f3(1)].
n
4) Montrer par récurrence que
18 fn ei aen-i i n où a IR* et fn en ei
19
n(n 1)
∆n a 1 a n( 1) 2
i=1
5) Pour quelle(s) valeur(s) de a fn(a) est-il surjectif ? Dans 1) Etablir la matrice An de fn dans la base canonique Bo(n).
ce cas, donner Ker [fn(a)], Im [fn(a)] et leur dimension 2) Trouver Ker fn le noyau de fn . Que dire de fn ?
respective. 3) Notons ∆n le déterminant de An .
6) i) Montrer que le système a) Trouver la relation entre ∆n et ∆n-1
Sn = (e2 + e3 , e3 + e4 , … , en-1 + en , en) est libre.
b) Calculer alors ∆n .
ii) Montrer que Sn est un système générateur de
4) Notons An-1 la matrice inverse de An
Im [fn(1)]. Conclure.
Trouver la matrice An-1.
En déduire la dimension de Ker [fn(1)] et une base de Ker
[fn(1)]. Exercice 11
Exercice 9 I) Soient E un IR – ev muni de sa base canonique
IR3 espace vectoriel sur IR muni de sa base canonique IB0 = (e1 , e2 , … , en ) et f un endomorphisme de E. Soit
(e1 , e2 , e3). Soient u, v, w trois vecteurs non nuls de IR3 ; N = (k1 , k2 , … , kp ) une base de Kerf et soit
α, β, γ IR deux à deux distincts et f un endomorphisme de B = (k1 , k2 , … , kp , ep+1 , ep+2 , … , en ) une autre
IR3 avec : base de E.
f(u) = αu ; f(v) = βv ; f(w) = γw. 1) Montrer que u E, f u < f(ep+1 ), f(ep+2 ),…, f(en )
20 f k ( s) où s =
21
k
x, y, z pour que t = xe1 + ye2 + ze3 appartienne à T= ej et f = f%f%…%f k termes
Kerf3 (2). k=0 j=1
0
b) Soit B = (u, v, w) une autre base de IR3, Et f = Identité. Exprimer T en fonction de n et de s
u = 1, 1, 1 ; v = (1, 0, 1) et w = (–1, 0, 1) et soit α un c) Après avoir calculé M2 , Mk k IN, trouver
vecteur de coordonnées a, b, c dans B, trouver la l’expression en fonction de n de la suite (vn)
condition nécessaire et suffisante sur a, b, c pour que définie par (I + M)n = I + vn M
α Kerf3 (2). n IN où I = matrice unité d’ordre 4.
5) Posons M3 2 = M ; s = e1 + e2 + e3 2) Pour a, b, c et d réels quelconques, calculer detM
et A = 2I – M. sous forme de produits de 7 facteurs.
a) Calculer M2 puis Mk , k IN Exercice 13
b) Déterminer les expressions de un et vn en Soit le IR – ev IRn muni de sa base canonique
fonction de n terme général respectif de deux
B0 n = (e1 , …, en ) et soit fn (a, b, c) où a, b IR et c IR*,
suites un et (vn ) telles que
l’endomorphisme de IRn défini par
An = un I + vnM, n IN et en déduire le vecteur
fn (a, b, c) ei = c ei + b en i = 1, 2, …, n – 1 et
An (3s) en fonction de un , vn et s. n
fn (a, b, c) en = a ek
Exercice 12 k=1
I - Soit E un espace vectoriel sur un corps K, F et G deux Notation : Mn (a, b, c) : Matrice de fn (a, b, c) dans B0 n ,
∆n (a, b, c) = det Mn (a, b, c)
sev de E tels que F∩G = {0}. Soient (u) une base de F et
(v1 , v2 ) une base de G.
1) Etablir Mn (a, b, c)
Montrer que (u, v1, v2) est un système libre de E. 2) Calculer ∆n (c, 0, c) et en déduire le sev Imfn (c, 0, c)
II - Soit f un endomorphisme de (IR – ev) muni de la base 3) a) Déterminer la relation de récurrence entre
canonique B0 = (e1 , e2 , e3 , e4 ) de matrice M dans B0 ∆n (a, b, c) et ∆n-1(a, b, c)
2
a+b+c ab+ac+bc 3abc a2 +b +c2 b) En déduire l’expression de ∆n (a, b, c) en fonction
1 b+c+d bc+bd+cd 2 2
M= 3bcd b +c2 +d de n.
3 c+d+a cd+ca+da 3cda
2
c2 +d +a2 4) Soit B = (u, v, w) une autre base de IR3 telle que
d+a+b da+db+ab 3dab
2
d +a2 +b
2 u = 1, 1, 0 , v = 1, 1, 2 et w = (1, 1, 2)
Notation f = f3 1, 2, 1 et M = M3 (1, 2, 1)
1) Pour a = b = c = d = 1
a) Calculer f u , f v , et f(w) et en déduire D, matrice de f
a) Déterminer une base de Imf puis une base de
dans B.
Kerf
b) Calculer D2 , D3 puis Dn n IN*
b) Soit T le vecteur de IR4 défini par
Exercices d’Algèbre Exercices d’Algèbre
3
Exercice 14
Le IR – ev IR est muni de sa base canonique
22 n
Le IR – ev IR (n pair) est muni de sa base canonique
B0 n = (e1 , …, en ) et soit un endomorphisme de IRn défini
par : fn a, b ei = aei + ben-i+1 i = 1, 2, …, n
23
B0 = {e1 , e2 , e3 } et soient u(1, 1, 1), v(0, 1, 1), (a et b non nuls)
w(1, 1, 0) ; Notons Mn(a, b, c) la matrice de fn(a, b) dans B0(n)
et ∆n = det Mn(a, b, c).
d1 0, 2, 1 , d2 2, 2, 3 , d3 2, 1, 0 ; α 1, 1, 1 ,
1) Etablir Mn(a, b, c).
β 1, 0, 1 , γ(0, 2, 1) neuf vecteurs de IR3. 2) a) Trouver une base de Kerf2 (1, 2) puis une base
1. Vérifier que les systèmes B1 = u, v, w , B2 = (d1 ,d2 , d3 ) de Imf2 (1, 2).
et B3 α, β, γ) sont tous des bases de IR3. b) Trouver Kerf2 (1, 1).
Soit un endomorphisme de IR3. Notons Mi i = 0, 1, 2, 3
ou s = e1 + e2 ; f = f % f % f % f
4
3) Exprimer le vecteur f2 a, b (s) en fonction de a, b et s
respectivement la matrice de f dans i = 0, 1, 2, 3. Soient P2 (4)
la matrice de passage de B0 à B2 et P3 la matrice de 4) M2( 1, 1) = M et A = M – 2I.
passage de B0 à B3 ; on donne : a) Calculer M2, M3 puis Mk, k IN.
a a b
b) En déduire les expressions de un et vn en fonction de
M1 = a b a a, b IR
n si (un) et (vn) sont des suites telles que An = un I + vn
b a a
2. Pour i = 1, 2, 3 déterminer les coordonnées de di dans M n IN.
B1 , puis calculer f(di) en fonction de a et b. 5) ∆n = ∆n(a, b).
3. Trouver la matrice M2 a) Déterminer la relation entre ∆n et ∆n-2 .
-1 b) En déduire l’expression de ∆n en fonction de n, a et
4. Déterminer P2 l’inverse de P2
b.
5. Pour a = 2 et b = 1
-1
5.1) Trouver M2 l’inverse de M2 . Soit n IN*, calculer
Exercice 16
&M2 ' en fonction de n.
-1
n 1) Calculer le déterminant de la matrice d’ordre 4
suivante
M = (b – a d – a c + d c )
5.2) Ecrire M0 en fonction de M2 et P2 , de même M3 en b–a b+c c+d d
-1
fonction de M2 , P2 et P3 ainsi que M3 en fonction de
c+d d–a b–a b
-1
M2 , P2 et P3 . c + d b + c b – a –a
2) Pour la suite de l’exercice, a = b = c = d = 1.
Le IR – ev IR4 est muni de sa base canonique
Exercice 19 Exercice 20
n
Le IR – ev IR (n pair) est muni de sa base canonique
B0(n) = (e1 , …, en ) et soit f n(a, b, c) où a, b, cIR,
l’endomorphisme défini par pour tout i = 1, 2, … , n ;
26 L’espace vectoriel IRn sur IR est muni de sa base canonique
B0 = (e1 , …, en ) et soit f n un endomorphisme de IR
défini par :
n 27
n n