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SCENE 1 :

-Astrid, c’est papa, je suis sur la route là, je pars, je te préviendrai quand je reviens.
Tu te reposes pendant tes vacances hein, allez salut bisous.

SCENE 2

-Bonjour
-Bonjour
-Excusez moi, je voulais savoir un peu à quoi elles servent les pierres ?
-A quoi elles servent les pierres ? Et bien en fait chaque pierre à ses vertus, en
fonction de ce que vous voulez travailler sur vous, vous allez choisir telle ou telle
pierre, donc là par exemple, celle-ci c’est une labradorite, donc la labradorite c’est
vraiment une pierre de protection.
-On la trouve où cette pierre ?
-Tout dépend d’où elle est extraite dans le monde, donc ça peut venir de différents
pays en fonction de la pierre.
-Et les failles, à l’intérieur c’est fait exprès ?
-C’est la pierre qui est naturellement faite comme ça puis quand on en prend d’autres
on voit qu’elles sont totalement différentes. Chaque pierre est unique.
-Et pour l’entretien d’une pierre, comment ça se passe ?
-Pour l’entretien du coup quand vous portez la pierre sur vous, elle diffuse ses vertus
et donc en échange, elle absorbe tout le négatif, donc pour faire évacuer tout le
négatif de la pierre, il faut que vous passiez déjà dans un premier temps la pierre sous
l’eau ou alors dans la fumée de l’encens pour libérer toute la négativité qu’il y a dans
la pierre et ensuite vous pouvez la mettre soit à la lune soit au soleil pour redynamiser
la pierre et augmenter le taux vibratoire
-ok
-voilà, tout simplement.
- sa couleur elle est due à son environnement ou pas ?
-Ouais, je pense que du coup, en fonction d’où elle est extraite, parce que chaque
pierre est extraite d’un endroit différent, donc après la labradorite elle est faite comme
ça, après si on prend une autre pierre, la couleur est totalement différente en fonction
de sa composition et d’où elle est extraite.
-Elle est très belle
-Oui hein ! C’est ma chouchoute
- Je vais regarder…
-Ouais ; d’accord, je vous en prie.
-Merci beaucoup, Au revoir
-Merci, Au revoir

SCENE 3 :

-La décrue. Alors Dieu se souvint de Noé et de toutes les bêtes sauvages et de tout les
bestiaux qui étaient avec lui dans l’arche. Dieu fit passer un vent sur la Terre et les
eaux déferlèrent. Les sources de l’abime et les écluses du ciel furent fermées. La
pluie fut retenue de tomber du ciel et les eaux se retirèrent petit à petit de la Terre.
Les eaux baissèrent au bout de cent-cinquante jours et au septième mois… au dix…
au dix- septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur le mont d’Ararat. Les eaux
continuèrent de baisser jusqu’au dixième mois et au premier mois du dixième mois
apparurent les sommets des montagnes.

SCENE 4 :

-Astrid, à ton tour


-D’ailleurs, Astrid, tu connais pas Lux, c’est une amie de longue date, on s’est revues
y a deux trois jours, un truc comme ça.
-Et du coup, vous vous connaissez d’où ?
-Euh, c’est...compliqué, j’aurai l’occasion de t’en parler.

SCENE 5 :

-Moi, je pense qu’on peut mettre la retraite à 59 ans, c’est possible.


- 59 ?
-Oui, je pense que c’est tout à fait possible mais pour ça, faut plusieurs choses :
en fait, il faut revaloriser le bac, comme ça les gens travaillent plus tôt, parce que si le
bac a plus de valeur, c’est un diplôme qui comptera pour travailler en entreprise, du
coup tu pourras travailler plus jeune, parce que dès que t’auras le bac, tu pourras déjà
effectuer un travail qui va être de grande qualité, on va dire, qui va être…
- 59 ans, ça me paraît être un bon moment pour partir.
- Bah je pense aussi mais ouais le problème c’est qu’on a toujours besoin de plus de
travail dans la société dans laquelle on est, c’est pour ça que là elle est à 64.
- C’est vrai, c’est tout à fait exact, mais, mais justement pour plus de travail,
commencer plus tôt, c’est pourquoi pour moi la majorité devrait être abaissée à 17
ans, comme ça dès que t’as le bac, parce que le bac c’est à 17 ans…
-Euh ouais…
- Du coup dès que t’as le bac bam tu peux travailler, en étant majeur
- C’est très intéréssant
- Tu vois ce que je veux dire ?
-Ouais ouais je vois je vois
-Comme ça le bac est plus revalorisé parce que si on regarde bien au 18ème, le bac
avait une valeur énorme, je veux dire, Victor Hugo lui même n’a pas eu le bac
tellement il était dur.
-WESH !
-Donc vraiment… Oui c’est vrai !
-Ah ouais ?
-T’as vu t’apprends des choses tout les jours.
-Attends Victor Hugo il a pas passé le bac ?
-Il a pas réussi à avoir le bac parce qu’il était trop dur, c’était que une élite qui l’avait.
-Qui ça ?
-Victor Hugo !!
-Ennelyte ?
-Une élite !
-Et toi t’as quel âge ?
-J’ai 15 ans.
-Il a mon… il a notre âge.
-Ah oui ok.
-T’as quel âge ?
-17
-15 ans.
-Ah t’as juste un an de plus ?
-Je pensais que t’avais plus moi.
-C’est ça ?
-On y va ?

SCENE 6

-T’étais passée où putain ? Comment tu m’as retrouvée?


-Je sais pas, je, j’ai lu une annonce, j’ai vu ton nom, y avait un numéro à coté, je l’ai
appelé et je suis pas tombée sur toi directement.
-La plage a changé aussi.
-La plage ? Je me souviens pas trop.
-J’y suis retournée y a pas longtemps
-Ah bon ? Je me souviens juste d’une sensation de froid extreme et je sais pas y avait
une atmosphere bizarre, lourde et c’est après que je t’ai vue.
-C’était la nuit, il pleuvait, forcément qu’il faisait froid.
-Non, c’était bien plus que ça, je crois que, y avait comme une sorte d’aura, tu vas me
prendre pour une folle mais, je sais pas comment expliquer… mais, y avait bien plus
que de la pluie, c’est comme si quelque chose de sombre émanait
-T’as des réponses d’avant ?
-Aucune, c’est comme si du jour au lendemain, tout avait disparu, les souvenirs, les
émotions, je sais pas trop. J’ai l’impression de vivre constamment dans le flou, de
jamais vraiment savoir qui je suis ni ce que je fais.
-Et l’orphelinat, ça se passait bien ? Ça s’est passé comment ?
-C’était horrible, vraiment, c’est… tu vois dans la jungle, ou n’importe où d’autre,
soit t’es fort et dans ce cas là tu te fais pas manger, soit t’es faible et tu te fais manger.
J’étais ni fort ni faible, j’étais entre les deux, j’ai essayé de faire de mon mieux.
-Tu t’en es sortie, c’est déjà ça.
-Je m’en suis sortie… j’en garde des très mauvais souvenirs, mais effectivement…
-T’as fait quoi après ?
-Après, j’ai erré, je sais pas j’ai… vu que je sais jamais trop où je vais ou ce que je
dois faire, c’est comme si, en fait je suis libre, mais… j’ai pas de limites et pourtant
j’ai l’impression d’en avoir.
-Je sais pas moi ! J’ai pas l’impression d’être à ma place en fait. Je sais pas. Qu’est-ce
que je devrais faire ?
-C’est pas à moi de te le dire ! Je te connais plus.
-Mais j’ai pas de parents, j’ai personne à part toi. Et c’est vrai, on a pas été là, je sais
pas moi, l’une pour l’autre quand on a grandi, mais je sais pas toi mais moi je ressens
toujours ce truc, cette alchimie, pas toi ? Ecoute je sais plus, j’ai l’impression de plus
rien savoir je… je dirais pas, je suis pas effrayée, je crois que je suis en colère, en
colère contre moi, contre eux, contre le monde entier…
-Moi, je pensais que je faisais partie de votre famille !
-Bien sur, mais mes parents ils te connaissaient pas, ils ont pas compris.
-Et alors, qu’ils comprennent ou pas, qu’est-ce que ça change ?
-J’avais pas le pouvoir de résister à cette époque.
-T’aurais pu me suivre, mais tu l’as pas fait. Hein, pourquoi tu l’as pas fait ? Pourquoi
tu m’as pas suivie ? Pourquoi, toutes ces aventures qu’on aurait du avoir, on les a pas
faites ?
-C’est toujours de ma faute de toute façon.
-Oh arrête, c’est trop facile !
-Tu te trouves toujours des excuses.
-C’est trop facile de dire ça, c’est trop facile ! Mais t’étais pas là quand j’avais besoin
de toi !
-Toi non plus.
-Tu m’as abandonnée.
-Toi non plus t’étais pas là, tu sais même pas tout ce que j’ai traversé.
-Ah oui t’as traversé quoi pendant que j’étais pas là, pendant que j’étais en train de
jouer entre la vie et la mort ?
-Ma mère est décédée, la seule personne qui comptait sur moi.
-Ta mère m’a abandonnée, tu m’as abandonnée aussi.
-C’est mon père qui l’a forcée, ma mère elle comprenait au moins.
-Tu dis qu’elle comprenait mais regarde où j’en suis ! J’en suis là, avec toi à devoir
remémorer le passé plutôt que d’avancer ensemble. Tu crois que j’ai que ça à faire ?
-Alors oublions tout. Oublions tout et avançons si c’est que tu veux.
-Tu veux recommencer du début ?
-Non. Recommençons de là où on est maintenant.
-Et ta mère c’est…
-Pas de ta faute, c’est pas de la mienne non plus.
-Alors c’est de la faute de qui ? Dis le moi, dis moi, du monde ?
-C’est la faute de tout le monde et de personne en même temps.
-Ok.
-On était jeunes, on savait pas ce qu’on faisait.
-On était jeunes, on était jeunes, mais tu te rends bien c… ok on était jeunes, tu m’as
trouvée sur cette plage, puis, ce qu’en est suivi, tout et…
-Je comprenais rien de ce que t’étais, je comprends toujours pas de ce que t’es
maintenant.
-Mais je sais pas moi non plus !! Je sais pas ce que je suis, je sais pas voilà. Qu’est-ce
que tu veux que je te dise ? Je sais pas, j’ai pas de parents, j’ai pas de famille, pas
d’amis, pas de proches, j’ai été trouvée sur une putain de plage, je sais pas si j’étais
abandonnée ou… je sais pas ! Je sais rien de tout ça. Abandonnée, j’ai été
abandonnée, recueillie… j’ai l’impression d’avoir été un vagabond toute ma vie.

SCENE 6 :

-Mais elles sont où, Lux et Astrid, elles étaient pas juste parties chercher le sac de
Lux ?
-Non mais sérieux, qu’est-ce que tu peux être innocent des fois Tom !
-Ah… ah oui ok d’accord !
-Non mais tu vois moi j’aime bien que les adultes me trouvent intelligent, je sais pas
ça renforce ma confiance en moi et en ce que je crois. Et puis souvent, on discute,
souvent même ils me disent que j’ai tort, mais pas par mauvaise intention, et du coup
comme ça on discute et nos opinions évoluent tu vois.
-Enfin, t’as juste besoin que les vieux te valident non ? Tout ça pour pouvoir te sentir
supérieur à nous ?
-Mais… tu t’es regardé ? Avec tes grands airs et ta prétention, ce que tu peux être
chiant.
-Steuplait, me fais pas passer pour celui qui a le mauvais rôle, je suis pas le méchant,
tu vaux mieux que ça, moi je suis là pour t’aider au contraire...et puis, je suis
prétentieux… non mais sérieusement ? C’est toi qui est prétentieux, t’es tout le temps
en train de te vanter, et puis, t’es toujours supérieur à nous, franchement, tu sais,
quand tu dis que les vieux doivent te donner des conseils et que c’est grace à eux que
tu as plus confiance en toi, et bah tu fais un discours générationnel, et ça nous inclut
dedans.
-Et donc c’est censé être de ma faute si tu te sens visé quand je te parle de stupidité ?
-Sérieusement, on peut pas discuter avec toi, Tom, bon allez, moi j’me tire.
-Oh non s’il te plait, ne pars pas Eden, qu’est-ce que je ferais sans toi moi ? Sans ta
présence protectrice je ne suis plus rien, mon corps disparaît dans un vide inutile
seuls angoisse et mépris règnent, je ne suis plus rien, je disparais, je meurs sans ta
présence…

SCENE 7

-Mais euh du coup pourquoi tu t’appelles Lux ? Fin c’est pas commun comme
prénom ?
-Je sais pas trop, apparemment c’est une unité de mesure, ça mesure la lumière, mais
je m’en fous.
-Mais tes parents, ils t’ont pas euh… fin ils t’ont forcément appelé comme ça pour
quelque chose, fin doit y avoir une signification, genre la lumière ou quoi ?
-J’ai jamais connu mes parents, j’ai grandi en orphelinat, j’ai pas beaucoup de
souvenirs, en fait non, j’en ai aucun…
-Tu sais moi aussi ma mère elle est morte, quand j’avais trois ans, donc je comprends
un peu…
-Ah ouais ?
-Ouais après je pense que les parents ça sert à rien, t’es plus libre sans, je me suis
toujours sentie libre, libre de ce que je voulais faire, en fait je fais ce que je veux, j’ai
pas de chaines, j’ai pas de limites, c’est incroyable comme sensation.

SCENE 8

-Lux, il faut que je te dise quelque chose.


-Oui vas-y dis moi.
-Y a quelques temps, je t’ai vue dans un rêve, tu me sauvais de la mort, c’était toi et
tu disais mon prénom.
-Je te sauvais de la mort ? Tu pense pas que je te sauvais de quelque chose d’encore
plus vide que la mort ?
-En attendant, on fait quoi ?
-Je sais pas, on danse ?

SCENE 9

-Ah coucou ça va ?
-Ah ça va et toi ?
-Ouais !
-Mon éditeur vient juste d’accepter de tirer mon livre à plus de 500 exemplaires.
-C’est vrai ? Je suis trop contente pour toi !
-Ouais. Mais du coup tu voulais me voir ?
-Ouais, en fait euh, c’est à propos de Lux…
-Mais enfin, vous deux, vous êtes euh…
-Bah en fait ouais, mais je sais pas trop comment dire, c’est un peu étrange…
-Comment ça, c’est ?…
-Bah, je sais pas y a un coté mystérieux d’elle que je connais pas du tout et… je sais
pas c’est super bizarre…
-Ok mais, genre développe.
-Bah y a pas grand-chose à développer mais… elle me fait un peu peur en fait. Elle
est inquiétante des fois, elle est super gentille des fois, y a quelque chose d’elle que je
connais pas.
-Elle te frappe pas , tu me le dirais ?
-Non je t’assure.
-C’est juste pour ça que tu voulais me voir ?
-Non, en fait hier, en prenant ma douche, j’ai remarqué un symbole sur ma cuisse,
truc étrange et tout, ça m’a inquiété du coup je l’ai pris en photo, je voulais t’en parler
pour être sure que ça soit pas grave et tout tu vois, donc regarde.
-Ah oui quand même c’est… c’est… t’en as parlé à quelqu’un d’autre ?
-Non non je t’assure j’en ai parlé qu’à toi, mais euh je voulais être sure que ça soit
pas grave tu vois. Y a vraiment quelque chose d’elle que je connais pas mais euh…
toi tu la connais un peu mieux ?
-Ah franchement, non, pas vraiment, je veux dire, on sait que c’est une amie de
longue date d’Amy, mais à part ça, on a pas plus d’informations sur elle, peut être que
tu devrais penser à aller lui demander, à Amy, va lui en parler, demande lui son
passé…
-Bah j’irai voir Amy, j’irai voir Amy.
-Super.

SCENE 10 :

-Salut, je peux entrer ?


-Y a quoi ? Fin qu’est-ce que tu me veux ?
-Je peux m’asseoir ?
-T’es pas le genre de fille à venir sans avoir une bonne raison.
-En fait euh, je voulais des réponses à propos de Lux, je sais pas tu la connais bien
non ? C’est pas le genre de fille à avoir des pouvoirs magiques ou des trucs comme
ça ?
-Qu’est-ce que tu me racontes ?
-Je sais pas, elle prend de la place dans mon corps, elle me ronge de l’intérieur, elle
détruit mon bien-être et moi je l’aime malgré tout, quand elle me touche elle me
laisse des marques sur la peau et… je sais pas je suis quand même amoureuse d’elle,
je suis folle d’elle… je suis folle, c’est ça le problème, faudrait peut être m’enfermer
ou quoi mais c’est dangereux en fait.
-Elle te frappe ?
-Non.
-Bah c’est bon alors non ?
-Tu veux des réponses ? Tu veux savoir à propos de Lux c’est ça ? Ecoute… j’ai
toujours été qu’une spectatrice, je vois des choses, et j’ai vu Lux. Quand j’étais petite,
j’avais 7 ans, je faisais des insomnies, quand ça arrivait, je partais dehors. Ce soir là,
je suis partie plus loin, jusqu’à la plage, guidée par une lumière, jusqu’aux dunes,
cette lumière c’était elle, c’était Lux, d’où son nom, elle savait rien d’elle, elle
connaissait pas ses parents, son enfance, avant, ni même son age, du coup, fin bref, je
t’épargne les détails. Suite à ça, je l’ai emmenée chez moi, je l’ai cachée et c’est
devenu la sœur que j’avais toujours voulu avoir… puis mes parents l’ont découvert,
ils l’ont rapportée à la police et elle a été emmenée dans un orphelinat. Ils ont tout
pris.
-Mais pourquoi tu nous en as jamais parlé ?
-J’ai en jamais eu l’occasion. Puis vous m’auriez cru ? Vous m’auriez prise pour une
folle. Je vous aime bien, j’t’aime bien, mais bon, trainer avec vous c’est pas… c’est
pas ma vie, j’t’aime bien Astrid hein, c’est pas ça, le prends pas mal, écoute, on
grandit, on s’éloigne, on se retrouve, on se dit qu’on se perdra plus de vue puis on se
perd de vue et puis… c’est un cycle, c’est la vie.
-Mais tu te rends compte de ce que tu me dis ? C’est pas très normal. Alors je suis
amoureuse d’elle, selon toi, elle devrait pas connaître son enfance, elle connaît rien
d’elle.
-Tu trouves ça normal toi, une fille qui te laisse des traces sur le corps rien qu’en te
touchant ?
SCENE 11 :
-C’est quoi ? Moi, Christiane F. . Ah je l’ai lu, je l’ai lu.
-Ah ouais c’est bien ?
-C’est bien. T’as vu le film ou pas ?
-Non pas du tout.
-Je sais plus qui c’est qui l’avait fait, mais bon je trouvais que le film était pourri en
fait, mais euh le livre…
-Ah moi en fait j’aimais bien la couverture.

SCENE 12:
-Au fait, comment elle s’appelle la fille ? Lux c’est ça ? Ca va ? Entre vous ?
-Ca va.
-Ca va ?
-C’est un peu bizarre.
-Ca va.

SCENE 13 :
-Mais en fait ça m’intéresse pas de savoir qui t’es Lux, je veux pas le savoir, je t’aime
c’est tout.
-Astrid lève toi.
-Non.
-Lève toi !
-Qu’est-ce que tu fais Lux ? Tu me fais peur.
-T’as peur de moi maintenant ? Je pensais que tu m’aimais. Si je t’emmenais au ciel
avec moi, tu viendrais ? Hein ? Est-ce que, tu te sens vraiment vivante ? Dans ton
corps, t’es, t’es passionnée, animée par quelque chose ?

SCENE 14 :
-Meurtre de Jezabel.
Jehu rentra à Yizréel et Jezabel l’apprit. Elle se farda les yeux, s’orna la tête, se mit à
la fenêtre et lorsque Jéhu franchit la porte, elle dit : « Cela va-t-il bien, Zimri,
assassin de mon maitre ? » Jéhu leva la tête vers la fenêtre et dit : « Qui est avec
moi, qui ? » et deux ou trois eunuques se penchèrent vers lui. Il dit « Jetez-là en
bas ». Ils la jetèrent en bas, son sang éclaboussa le mur et ses cheveux et Jéhu lui
passa sur le corps. Il entra, mangea et but, puis il ordonna : « Occupez-vous de cette
maudite, et donnez lui la sépulture, car elle est une fille de roi. ». On alla pour
l’ensevelir, mais on ne trouva d’elle que le crane, les pieds et les mains.

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