CORRECTION

DOCUMENT 1 :
1) Présentation du graphique: «je donne un titre au graphique»
→ Le graphique 1 représente l’évolution du rythme cardiaque (en battements/min) en
fonction de la vitesse (en km/h).

2)Les résultats du graphique:Lorsque la vitesse de course augmente de 6 à 18 km/h, on

constate que le rythme cardiaque augmente d’environ 80 à 180 battements/min.
Puis, de 18 Km/h à 20 km/h, bien qu’on augmente la vitesse de course, on constate que le
rythme cardiaque stagne (ou reste stable) à 180 battements/min.

3) Conclusion: Lors d’un effort, on constate que le rythme cardiaque augmente mais jusqu’à
une certaine limite.

DOCUMENT 2:
1) Présentation du graphique: Le graphique 2 représente l’évolution du volume d’air inspiré
(L) en fonction du temps (en secondes).

2)Les résultats du graphique: Lors d’un effort, on constate que les «vagues» représentant les
expirations et inspirations sont de plus en plus serrées: le rythme respiratoire augmente
avec l’effort. Au repos, on constate que le volume d’air inspiré et expiré est d’environ 0,5 L et
qu’il augmente à environ 2,5L d’air lors d’un effort. Même si l’effort est de plus en plus intense,
cette valeur ne peut être dépassée.

3) Conclusion: On peut donc mettre en évidence ici l’existence d’une limite à la respiration
(limite au gonflement des poumons).

DOCUMENT 3
1) Présentation du graphique: Ce graphique représente l’évolution de la consommation de
dioxygène (L/min) en fonction de la puissance de l’effort (en UA), chez 3 adolescents.

2)Les résultats du graphique: Au cours d’un effort de plus en plus intense, on voit que la
consommation de dioxygène chez les 3 adolescents augmente puis se stabilise.
- la consommation de dioxygène d’Ousmane passe de 0.5 à 3L/min
- celle de Zoé passe de 0.5 à 2.6 L/min maximum
- celle de Maud de 0.5 à 2 L/min maximum.

3) Conclusion: On peut conclure que:

- la consommation de dioxygène augmente avec l’intensité de l’effort mais jusqu’à une certaine
limite appelé le VO2 max, (différent pour les 3 élèves).
- l’entraînement permet d’augmenter la valeur du VO2 max (Ousmane et Zoé qui s’entraînent
chaque semaine ont un VO2 max plus élevé que celui de Maud qui ne pratique aucun sport).