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BASES ALGEBRES
MATHEMATIQUES
2 / 1 /Tle
nde ère

A-B-C-D-E-F-G
Plus de 50 NOTIONS
‘’Lire jusqu’à la fin
t’évitera la honte en
Tle’’
N° SYMBOLES ou EXPRESSIONS Lecture et signification et exemple
OU PROPRIETES
COURAMMENT UTILISEES
1 ∀ Se lit et signifie : 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 ou 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 (la généralité)
2 ∃ Se lit et signifie : Il existe (l’existence)
∄ Se lit et signifie : Il n’existe pas (l’inexistence)
3 ∈ Se lit et signifie : 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 à
∉ Se lit et signifie : 𝑛′ 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 à
4 ≈ Presqu’égal (environ) ou asymptotiquement égal à

5 ≅ Approximativement égal (lorsqu’on fait une approximation)
6 ≪ ou ≪< Signifie Beaucoup plus petit que
𝑎 ≪ 𝑏 ou 𝑎 ≪< 𝑏 Se lit 𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑓é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 à 𝑏
2

7 ≫ ou ≫> Signifie Beaucoup plus grand que


𝑎 ≫ 𝑏 ou 𝑎 ≫> 𝑏 Se lit 𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑝é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 à 𝑏
8 ∅ Se lit : 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑑𝑒 et signifie 𝑛𝑒𝑎𝑛𝑡 ou 𝑟𝑖𝑒𝑛 ou
𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑜𝑢 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒.
NB : zéro est une valeur nul.
9 ≡ Se lit et signifie : 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 : (parfaitement la même chose en
principe, en valeur, en toute situation, égalité parfaite, vérifiée et
sans ambigüité)
𝑎≡𝑏 Se lit 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 à 𝑏. Ou a est congru à 𝑏. Signifie 𝑎 est aussi 𝑏
Cela est un sens plus profond que le symbole = qui peut se faire
sous certaines conditions préétablies d’où souvent l’ambiguïté)
10 ∪ Se lit ‘’union’’ et signifie la réunion (l’assemblage de tout)
AUB Se lit ‘’Ensemble A union ensemble B : c’est l’ensemble de tous les
éléments de A et de B mis ensemble sans répétition.
∩ Se lit ‘’inter’’ et signifie l’intersection (la similarité, l’élément
commun à l’un et l’autre)
A∩B Se lit ‘’Ensemble A inter ensemble B : c’est l’ensemble de tous les
éléments communs à la fois de A et de B mis ensemble sans
répétition.
11 \ Se lit ‘’privé de’’. C’est le symbole barre oblique gauche
12 ⇒ Signifie ‘’implique’’
𝑎⇒𝑏 Se lit 𝑎 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑏. (𝑏 n’est valable ou n’est vrai que si 𝑎 l’est :𝑏 est
définie qu’à partir de )𝑎
13 ⟺ Se lit : ‘’é𝑞𝑢𝑖𝑣𝑎𝑢𝑡 à’’ et signifie l’équivalence ou double implication.
(c'est à dire on doit faire un raisonnement en aller-retour).
𝑎⟺𝑏 Se lit 𝑎 é𝑞𝑢𝑖𝑣𝑎𝑢𝑡 à 𝑏 : se traduit par 𝑎 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑏 puis 𝑏 implique 𝑎.
Ainsi :𝑎 ⟺ 𝑏 se démontre en deux sens par :𝑎 ⇒ 𝑏 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑏 ⇒ 𝑎
14 / Se lit ‘’ tel que’’ c’est le symbole barre oblique droite
15 ℝ Se lit ‘’grand R’’ et signifie ensemble des nombres réels : c’est
l’association des nombres rationnels et des nombres irrationnels.
𝑥∈ℝ 𝑥 ∈ ℝ se lit : 𝑥 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 à ℝ ou bien 𝑥 𝑒𝑠𝑡 é𝑙é𝑚𝑒𝑛𝑡 ℝ
Et signifie 𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑟é𝑒𝑙.
ℝ ∗ ou ℝ\{0} ℝ ∗ se lit ‘’ R étoile’’ ou ‘’ R privé de 0’’ et signifie tous les nombres
réels sauf zéro
𝑥 ∈ ℝ signifie que 𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑛𝑢𝑙 : 𝑥 ≠ 0

𝑥 ∈ℝ∗
16 ℚ Se lit ‘’grand Q’’ et signifie ensemble des nombres rationnels (qui
peuvent s’écrire sous forme de fraction irréductible, les décimales
𝑥∈ℚ étant finies).
▪ 𝑥 ∈ ℚ se lit 𝑥 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 à ℚ ou bien 𝑥 𝑒𝑠𝑡 é𝑙é𝑚𝑒𝑛𝑡 ℚ
Et signifie 𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙.
𝑎 𝑎
Ainsi : 𝑥 ∈ ℚ alors ∃ 𝑎, 𝑏 ∈ ℤ ∗ / 𝑥 = 𝑏 , 𝑏 é𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑟𝑟é𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑏𝑙𝑒.
17 PGCD (𝑎; 𝑏) Se lit : Plus grand commun diviseur à 𝑎 𝑒𝑡 𝑏.
PGCD (𝑎; 𝑏) = 1 Signifie que : les deux nombres 𝑎 et b sont premiers entre eux. Ou
𝑎
bien la fraction 𝑏 est irréductible.
18 𝑎 = 2𝑘, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ) Signifie que : ‘’𝑎 est un multiple de 2. Ou bien 𝑎 est un nombre pair
3

19 𝑏 = 2𝑘 + 1, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ) Signifie que ‘’ ’𝑏 n’est pas un multiple de 2. Ou bien 𝑏 est un


nombre impair
20 𝑎 = 3𝑘, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ) Signifie que : ‘’𝑎 est un multiple de 3.
Par exemple : 39 = 3 X 13. (3 fois quelque chose (le 13)).
21 𝑎 = 4𝑘, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ) Signifie que : ‘’𝑎 est un multiple de 4.
22 𝑎 = 5𝑘, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ) Signifie que : ‘’𝑎 est un multiple de 5.
23 Si on continuait :…. Signifie que : ‘’𝑎 est un multiple de 11.
𝑎 = 11𝑘, 𝑘 ∈ ℕ (𝑘 ∈ ℤ)
24 PPCM (𝑎; 𝑏) Se lit plus petit commun multiple à 𝑎 𝑒𝑡 𝑏. (de tous les multiples
de 𝑎 et de tous les multiples de 𝑏 : on retient seulement les
multiples en commun et on choisit le plus petit.
25 Ranger en ordre Du plus petit au plus grand : Par exemple : 2 < 9 < 13 ….
croissant
26 Ranger en ordre Du plus grand au plus petit : Par exemple : 13 > 9 > 2 ….
décroissant
27 ↦ Se lit : ‘’associe’’ c’est la correspondance
𝑥 ↦ 𝑓(𝑥) Se lit : 𝑥 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒 𝑓(𝑥)
28 𝑓∘𝑔 Se lit 𝑓 𝑟𝑜𝑛𝑑 𝑔. Signifie la composée de 𝑔 par 𝑓. (Cela correspond
𝑓(𝑔) : 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑥 𝑑𝑒 𝑓(𝑥)𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐é𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙 ′ 𝑒𝑥𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑔(𝑥)
é𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛é𝑒𝑠 certaines conditions.
29 ∑ Se lit : ‘’𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑠𝑖𝑔𝑚𝑎′′ et signifie la somme discrète.
𝑛
Correspond à la somme de tous les termes u d’indice i, i qui varie
∑ 𝑢𝑖 de 1 à n. Par exemple :
𝑖=1 3
Opérateur somme ∑ 𝑓𝑖 = 𝑓0 + 𝑓1 + 𝑓2 + 𝑓3
𝑖=0

𝑛
30 Se lit : ‘’𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑝𝑖′′ et signifie le produit.
∏ 𝑎𝑘 Correspond au produit de tous les termes u d’indice k, k qui varie
𝑘=0 de 0 à n entre eux. Par exemple :
Opérateur produit 3

∏ 𝑓𝑘 = 𝑓1 × 𝑓2 × 𝑓3
𝑘=1
31 𝑏
Se lit : ‘’intégrale 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑎 à 𝑏 𝑑𝑒 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥 ′′ et signifie la somme
∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 ‘’continue’’.
𝑎 Pour une fonction continue sur l’intervalle [𝑎; 𝑏], cela correspond
en valeur absolue à la surface du plan délimitée par la courbe de
𝑓, l’axe des abscisse s et les droites verticales passant par les
abscisses 𝑎 et 𝑏. (exprimée en unités d’aire).
32 +∞ Se lit ‘’ Plus l’infini’’ et désigne les très grands nombres positifs
−∞ Se lit ‘’ Moins l’infini’’ et désigne les très grands nombres négatifs
Ainsi : la droite achevée définie par l’intervalle ]−∞; +∞[
correspond à l’ensemble des nombres réels : ]−∞; +∞[ = IR
33 Propriété sur les Un peu de raisonnement.
multiple: Se traduit par : ∃ 𝑘 ∈ ℕ/𝑎 = 5𝑘 alors 𝑎2 = 25𝑘² et donc si 𝑎 est
𝑠𝑖 𝑎 est multiple de 5 multiple de 5 alors 𝑎² l’est. Cela est valable pour 𝑎𝑛 (𝑛 entier
alors 𝑎² est aussi naturel non nul).
4

multiple de 5 et De même dans ℕ , si 𝑏 2 = 5𝑘 (mutiple de 5 alors 𝑏 aussi l’est


réciproquement. forcément).
34 Raisonnement par Etape 1 : vérification de la proposition au rang initial.
récurrence Etape 2 : Vérification de l’hérédité : on suppose que la proposition
est vrai à l’ordre 𝑛 puis on vérifie si elle est vrai à l’ordre 𝑛 + 1
Etape 3 : Conclusion
35 √𝑎 ou √𝑎
2
Se lit racine carré de 𝑎 (valable à condition que 𝑎 ≥ 0). √𝑎
1
correspond à 𝑎2 𝑜𝑢 𝑎0,5
NB : Pour 𝑎 quelcoque : √𝑎2 = |𝑎| (avant tout éventuelle
3 transformation)
√𝑎 Se lit racine cubique de 𝑎 (valable à condition que 𝑎 ≥ 0).
1
√𝑎 correspond à 𝑎3
3
𝑛
√𝑎
Se lit racine 𝑛 𝑖è𝑚𝑒 de 𝑎 (valable à condition que 𝑎 ≥ 0).
1
√𝑎 correspond à 𝑎𝑛
𝑛

36 1 Se lit Inverse de 𝑎 ou 1 𝑠𝑢𝑟 𝑎. (Valable à condition que 𝑎 ≠ 0).


𝑎
37 𝑒𝑥 Se lit exponentielle de 𝑥.
1
𝑒 0 = 1; 𝑒 1 = 𝑒 ; 𝑒 −1 = 𝑒
𝑙𝑛𝑥
Se lit ‘’logarithme népérien de 𝑥. 𝑙𝑛1 = 0 ; ln(𝑒) = 1
log 𝑥
Se lit ‘’logarithme décimal de 𝑥. 𝑙𝑜𝑔1 = 0 ; log(10) = 1
38 𝛼 ; 𝛽; 𝛾; 𝛿; 𝜀; 𝜁; 𝜂; 𝜃; 𝜄; 𝜅; 𝜆; 𝜇 Lettres minuscules de l’alphabet grec dans cet ordre : alpha ; bêta,
𝜎; 𝜌; 𝜋; 𝜊; 𝜉; 𝜏; gamma, delta ; epsilon ; Zêta ; Êta ; thêta ; iota ; kappa, lambda ;
𝜑 𝑜𝑢 𝜙; 𝜒; 𝜓; 𝜔; 𝜐 sigma ; rhô, pi, omicron ; xi ou ksi ; tau ; phi ; khi ou chi ; psi ;
oméga ; upsilon
39 Γ; Δ; Θ; Υ; Π, Ψ; Lettres majuscules de l’alphabet grec dans cet ordre : Gamma ;
Φ; Σ; delta; thêta ; upsilon ; pi ; psi ; phi ; sigma. Les autres majuscules
étant pareilles à celles du français : par exemple : A alpha ; B
bêta…
40 Démontre que 𝐴 = 𝐵. On peut étant données les contraintes : Partir de 𝐴 pour trouver 𝐵
et conclure.
Ou Partir de B pour obtenir A et conclure.
Ou partir de A et trouver C, et utiliser aussi B pour trouver C et
conclure.
41 Principe de la rédaction Etape 1 : On a ou Je sais que (rappel des contraintes, de la formule
lors d’un raisonnement à utiliser, des données pertinentes à utiliser).
ou d’une démonstration Par suite: (faire les manipulations nécessaires)
mathématique : D’autre part…. (si le raisonnement fais appel à d’autres
informations (généralement en géométrie)
Enfin:.. (Faire la synthèse et conclure)
42 4 règles simples pour - Aimer les mathématiques ou avoir l’esprit de passion
réussir en - Organiser son temps de travail de sorte à toujours réviser
mathématiques son cours et s’exercer suffisamment.
- Se documenter constamment (support physique comme
numérique, internet)
- Approcher ou s’entourer de bosseurs et de savants.
5

43 Raisonnement par - On suppose que c’est le contraire de P qui est alpha.


l’absurde : - On traduit en mathématiques toutes les implications
Par exemple : Démontre possibles relative à l’hypothèse de départ puis on montre
par l’absurde que <<P >> qu’il y a une incohérence ou absurdité ou fausseté ou
est alpha défaillance quelque part dans l’hypothèse de départ. (Ici
intervient l’esprit critique car on discute, on tâtonne, on
argumente au cas par cas).
- On conclut que ‘’le contraire de P’’ n’est pas alpha donc P
est alpha.
44 Non-Existence d’un Par exemple 1: L’intervalle ]3; 5] n’admet pas de minimum mais
maximum ou d’un admet un maximum qui est 5. Puisque 3 n’est pas élément de
minimum sur un l’ensemble. En supposant qu’un minimum existe nommé 𝑚. Alors
intervalle ouvert. (2nde S) on a : 𝑚 ∈ ]3; 5] et 3 < 𝑚 < 𝑥
3+𝑚 3+𝑚
Or : 3 < 2 < 𝑚 < 𝑥 et 2 ∈ ]3; 5] qui est donc aussi un
minimum. Ce qui est absurde. Donc il n’existe pas de minimum,
car un minimum, s’il existe, doit être unique.
Par exemple 2: L’intervalle [1; 6[ n’admet pas de maximum mais
admet un minimum qui est 1. Puisque 6 n’est pas élément de
l’ensemble. En supposant qu’un maximum existe nommé 𝑀. Alors
on a : M∈ [1; 6[et 𝑥 < 𝑀 < 6
6+𝑀 6+𝑀
Or : 𝑥 < 𝑀 < 2 < 6 et 2 ∈ [1; 6[ qui est donc aussi un
maximum. Ce qui est absurde. Donc il n’existe pas de maximum,
car un maximum, s’il existe, doit être unique.
45 Quelques exemples de Encadrons sur [2 ;+∞[ ; 𝑓(𝑥) =
3−2𝑠𝑖𝑛𝑥
par deux fonctions à déterminer;
1+𝑥²
comparaison et 𝑔(𝑥) = 5 +
1
𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑟é𝑒𝑙𝑠;
encadrement. 𝑥

On procède par un ℎ(𝑥) = √5 + 𝑥², détermine le nombre réel 𝑎 tel que ℎ(𝑥) ≥ 𝑎.
processus pas à pas en Pour 𝑓(𝑥) : 𝑥 ∈[2 ;+∞[ , −1 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ 1
respectant les règles −2 × 1 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ −2 × (−1)
−2 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ 2
acquises depuis la classe 3 − 2 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ 3 + 2
de 3ème. 1 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ 5
Or 𝑥 ∈[2 ;+∞[, 𝑥 ≥ 2 alors 𝑥² ≥ 4.
NB :Les Inégalités des 1 + 𝑥2 ≥ 1 + 4
accroissement finis et 1 + 𝑥² ≥ 5
celles de la moyennes 1 1
≤ 5 et aussi positif.
1+𝑥²
n’ont pas été exploitées Donc sans ambiguïté : 𝑥 ∈[2 ;+∞[,
ici 1 1 1
×1≤ 2
× (3 − 2𝑠𝑖𝑛𝑥) ≤ ×5
1 + 𝑥² 1+𝑥 1 + 𝑥²
Donc : 𝑥 ∈[2 ;+∞[,
1 5
≤ 𝑓(𝑥) ≤
1 + 𝑥² 1 + 𝑥²
1 1 1
Pour 𝑔(𝑥) : 𝑥 ∈[2 ;+∞[, 𝑥 ≥ 2 alors 𝑥 ≤ 2. De plus 𝑥 > 0
1 1
5+ ≤5+
𝑥 2

11
𝑔(𝑥) ≤
2
Donc :
6

11
0 < 𝑔(𝑥) ≤
2
11
On pouvait aussi écrire : 𝑥 ∈[2 ;+∞[, | 𝑔(𝑥)| ≤ 2
Pour 𝑔(𝑥) : 𝑥 ∈ [2 ;+∞[, 𝑥 ≥ 2 alors 𝑥² ≥ 2²
𝑥² ≥ 4
5 + 𝑥2 ≥ 5 + 4
5 + 𝑥² ≥ 9

√5 + 𝑥² ≥ √9
ℎ(𝑥) ≥ 3.

46 Expressions √𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑗𝑢𝑔𝑢é


conjuguées et √𝑎 − 𝑏 a pour conjugué √𝑎 + 𝑏 et inversement
amplificateur √𝑎 − √𝑏 a pour conjugué √𝑎 + √𝑏.
trigonométrique NB : La transformation conjuguée s’applique au numérateur
comme aussi au dénominateur.
Pour amplifier par exemple :
𝑐𝑜𝑠𝑥−1 (𝑐𝑜𝑠𝑥−1)(𝑐𝑜𝑠𝑥+1)
𝑓(𝑥) = 𝑥 on a : 𝑓(𝑥) = 𝑥(𝑐𝑜𝑠𝑥+1)

47 Notation factorielle Se lit ‘’factorielle 𝑛.


𝑛! Par exemple : 5 ! = 5 × 4 × 3 × 2 × 1 = 180.
3! = 3 × 2 × 1 = 6 ; 0! = 1 ; 1! = 1 ; 2! = 2 × 1 = 2.
48 Règles de priorité : Règle 1 : les calculs entre parenthèses sont prioritaires
Règles 2 : En l’absence des parenthèses : on calcule d’abord : les
puissances, ensuite le multiplication ou division, ensuite la somme
(addition ou soustraction). NB : n’oublier pas de simplifier et
rendre irréductible les fractions.
49 Démonstration par Il s’agit de trouver un exemple concret (en vérifiant) qui fait
contre-exemple exception à la règle et conclure. Car en mathématique, une
propriété établie comme vraie doit être vraie pour tous les cas
dans la configuration considérée.
50 Traiter une situation -Bien lire l’énoncé et déceler : les données pertinentes, la
complexe circonstance et les tâches.
Rédiger en introduction - développement et conclusion
En introduction : identifier la leçon et les outils mathématiques à
utiliser puis annoncer son plan en maximum 5 tirets. (Utilise le
pronom ‘’je’’ et surtout pas de calculs ni formule ici)
Développement : Effectuer les raisonnements, calculs et
démonstration de chaque tiret mentionné en introduction. (Alinéa
à chaque étape)
(Saut d’une ligne) Conclusion : donner les réponses claires et
succinctes aux préoccupations ou tâches (esprit de jugeote,
comparaison, recommandation…)
NB : ta rédaction et ton vocabulaire est propre à toi. Pas de copie
conforme !
7

51 NOTION DE TRIVIALITE Lorsqu’une proposition est vraie dans tous les cas, on dit qu’elle
Et ensemble de définition est triviale (toujours vraie).
ou contraintes sur les 5+𝑥
Par exemple : 𝑓(𝑥) = 1+𝑥². Déterminons l’ensemble de définition.
équations. 𝑥 ∈ 𝐷𝑓 ⟺ 𝑥 ∈ ℝ/{1 + 𝑥 2 ≠ 0}
𝑥 2 ≠ −1 ou 1 + 𝑥 2 ≠ 0 car 𝑥² ≥ 0 (Triviale !) car le carré d’un
nombre est toujours positif.
Donc 𝐷𝑓 = ℝ.
NB : les contraintes existent pour la racine carrée, les fractions
rationnelles et les quotients de fonctions, les logarithmes, les
problèmes de vie courantes à valeurs positives recommandées et
les composées de fonctions. Pour résoudre une équation, il
convient de toujours vérifier et mentionner les contraintes ou
ensembles de validité.
52 EXEMPLE DE Utiles pour résoudre les équations, le calcul des limites et la
CHANGEMENT DE modélisation et représentation de fonctions.
VARIABLES ou Exemple 1 : 𝑎𝑥 4 + 𝑏𝑥 2 + 𝑐 = 0. Poser : 𝑋 = 𝑥² ; alors 𝑋 ≥ 0 𝑒𝑡 𝑥 =
CHANGEMENT √𝑋 ou 𝑥 = −√𝑋 . On résout en X à partir de 𝑎𝑋 2 + 𝑏𝑋 + 𝑐 = 0 puis
D’ECRITURE et on déduit les valeurs de 𝑥.
PRINCIPES Exemple 2 : 𝑎𝑥 + 𝑏√𝑥 + 𝑐 = 0. Poser : 𝑋 = √𝑥 ; alors 𝑋 ≥ 0 𝑒𝑡 𝑥 =
𝑋². On résout en X à partir de 𝑎𝑋 2 + 𝑏𝑋 + 𝑐 = 0 puis on déduit les
valeurs de 𝑥.
𝑎 𝑏 1 1
Exemple 3 : 𝑥² + 𝑥 + 𝑐 = 0. Poser : 𝑋 = 𝑥 ; alors 𝑋 ≠ 0 𝑒𝑡 𝑥 = 𝑋. On
résoud en X à partir de 𝑎𝑋 2 + 𝑏𝑋 + 𝑐 = 0 puis on déduit les
valeurs de 𝑥.
1
Exemple 3 : Représente graphiquement : 𝑥 ↦ 𝑥−2. Poser 𝑋 = 𝑥 − 2
Avec 𝑥 ≠ 2 donc 𝑋 ≠ 0. Faire un changement de repère.
1
Tracer X↦ 𝑋 suivant un repère bien défini.
𝑠𝑖𝑛4𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑥
Exemple 4 : lim . Se rappelant de : lim = 1, on a :
𝑥↦0 5𝑥 𝑥↦0 𝑥
𝑋 𝑋 𝑋 5𝑋
Posons 𝑋 = 4𝑥 alors 𝑥 = 4 . (4𝑥 = 4 × 4 = 𝑋 ; et 5𝑥 = 5 × 4 = )
4
Lorsque 𝑥 ↦ 0 alors 𝑋 ↦ 4 × 0 = 0
𝑠𝑖𝑛𝑋 𝑠𝑖𝑛𝑋 4 4
Donc on réécrit : : lim 5𝑋 = lim 𝑋 × 5 = 5
𝑋↦0 𝑋↦0
4
𝑠𝑖𝑛4𝑥 4
On conclut : Donc : lim =5
𝑥↦0 5𝑥

53 TECHNIQUES DE 𝑓 est une fonction donnée par une formule :


REDACTION DE CAS 1 : la plus simpliste
L’ENSEMBLE DE 𝑥 ∈ 𝐷𝑓 ⟺ 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟é𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒
DEFINITION Puis conclure : Donc 𝐷𝑓 =……
CAS 2 : la plus bavarde :
𝑓(𝑥) existe si et seulement si 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟é𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒
Puis conclure : Donc 𝐷𝑓 =……
CAS 3 : la plus classe ou technique (système international)
𝐷𝑓 = {𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟é𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟é𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒}
8

Ou
𝐷𝑓 = {𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟é𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟é𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒}
ou
𝐷𝑓 = {𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟é𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒/ 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟é𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒}
La barre oblique droite / signifie tel que. La barre oblique gauche
signifie privé de ∖

Puis conclure : Donc 𝐷𝑓 =……


3𝑥+5
Par exemple : Pour 𝑓(𝑥) = 𝑥 2 −1 𝐷𝑓 = {𝑥 ∈ 𝐼𝑅, 𝑥 2 − 1 ≠ 0}
NOTES TRES IMPORTANTES
NB 1 : On ne résout jamais une équation avec le symbole ≠ mais
plutôt poser avec l’égalité puis conclure avec les différences.
NB 2 : En général, toute inégalité traduit une étude de signe, donc
un tableau de signe s’impose s’il n’y a pas de trivialité : les
produits, les quotients, les fonctions de degrés 2 et supérieurs à 2
exigent un tableau de signe après avoir trouver les zéros relatifs
à chaque termes.
NB 3 : On peut cumuler plusieurs contraintes. C’est l’intersection
de ces contraintes qui détermine l’ensemble de définition
NB 4 : Pour les fonctions définies par raccordement ou par
intervalles, l’ensemble de définition est la réunion de chacun des
intervalle associées à chacune de sous fonctions.
54 ASTUCE DETERMINATION Cas 1 : Polynômes (n’importe lequel) et polynômes contenant la
DE 𝐷𝑓 au cas par cas. valeur absolue.
𝐷𝑓 = IR. (la valeur absolue ne doit pas t’effrayer ; aussi un produit
de polynôme ne doit pas t’embêter)
𝑎𝑥+𝑏
Cas 2 : 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑥+𝑑
La contrainte est 𝑐𝑥 + 𝑑 ≠ 0.
Poser 𝑐𝑥 + 𝑑 = 0; résoudre et obtenir 𝑥 = 𝑘 et
conclure 𝐷𝑓 = IR∖ {𝑘} ou 𝐷𝑓 =] − ∞; 𝑘[∪]𝑘; +∞[.
𝑐𝑥+𝑑
Cas 3 : 𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 2 +𝑏𝑥+𝑐
La contrainte est 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 ≠ 0.
Poser 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 = 0; résoudre et obtenir :
𝑥 = 𝑘 et conclure 𝐷𝑓 = IR∖ {𝑘} ou 𝐷𝑓 =] − ∞; 𝑘[∪]𝑘; +∞[.
Ou obtenir 𝑥 = 𝑘 ou 𝑥 = 𝑝 et conclure 𝐷𝑓 = IR∖ {𝑘; 𝑝} ou
𝐷𝑓 =] − ∞; 𝑘[∪]𝑘; 𝑝[∪]𝑝; +∞[. (si 𝑘 < 𝑝).
Ou ne pas obtenir de valeur de 𝑥 𝑣𝑎𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. Et conclure 𝐷𝑓 = IR.
Cas 4 : 𝑓(𝑥) = √𝑎𝑥 + 𝑏
La contrainte est : 𝑎𝑥 + 𝑏 ≥ 0.
En tant normal : poser 𝑎𝑥 + 𝑏 = 0 et obtenir 𝑥 = 𝑘.
Dresser un tableau de signe et choisir l’intervalle où le signe
concorde avec l’inégalité. En général on obtient selon le cas :
𝐷𝑓 =] − ∞; 𝑘] ou bien 𝐷𝑓 = [𝑘; +∞[.
Pour ceux qui choisissent la résolution directe de l’inégalité,
attention au changement de sens.
9

Cas 5 : 𝑓(𝑥) = √𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐


La contrainte est : 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 ≥ 0.
poser 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 = 0 et obtenir 𝑥 = 𝑘 ou 𝑥 = 𝑝
Dresser un tableau de signe et choisir l’intervalle où le signe
concorde avec l’inégalité. En général on obtient selon le cas :
Pour deux valeur de 𝑥 :
𝐷𝑓 = [𝑘; 𝑝] ou bien 𝐷𝑓 = ] − ∞; 𝑘]U[𝑝; +∞[. (si 𝑘 < 𝑝)
Pour une valeur de 𝑥 : (alors en général 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 est positif)
𝐷𝑓 = IR
Pour aucune valeur de 𝑥. (alors en général 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 est
positif)
𝐷𝑓 = IR
Cas 6 : 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑥 + 𝑑 + √𝑎𝑥 + 𝑏 ou 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑥 2 + 𝑑𝑥 + 𝑡 + √𝑎𝑥 + 𝑏
La contrainte est : 𝑎𝑥 + 𝑏 ≥ 0. Et voir cas 4. Le polynôme 𝑐𝑥 + 𝑑
ou 𝑐𝑥 2 + 𝑑𝑥 + 𝑡 étant définie sur IR, lui n’a pas de contraintes.
Cas 7 : 𝑓(𝑥) = 𝑝𝑥 + 𝑑 + √𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 ou 𝑓(𝑥) = 𝑝𝑥 2 + 𝑑𝑥 + 𝑡 +
√𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐
La contrainte est : 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 ≥ 0. Et voir cas 5. Le polynôme
𝑐𝑥 + 𝑑 ou 𝑐𝑥 2 + 𝑑𝑥 + 𝑡 étant définie sur IR, lui n’a pas de
contraintes.
𝑎𝑥+𝑏 𝑘𝑥+𝑓
Cas 8 : 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑥+𝑑 + 𝑚𝑥+𝑝
Il y a deux contraintes : 𝑐𝑥 + 𝑑 ≠ 0 et 𝑚𝑥 + 𝑝 ≠ 0. Suivre le cas 2.
Et conclure : On obtient en général : 𝐷𝑓 =IR ∖ {𝑘; 𝑝}.
Cas 9 : 𝑓(𝑥) = ln (𝑎𝑥 + 𝑏)
La contrainte est : 𝑎𝑥 + 𝑏 > 0. Résoudre puis conclure. Les bornes
des intervalles sont toutes ouvertes.
Cas 10 : 𝑓(𝑥) = ln (𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐)
La contrainte est : 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 > 0. Résoudre puis conclure. Les
bornes des intervalles sont toutes ouvertes. Ou IR selon le cas,
lorsque le discriminant est négatif et 𝑎 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓 .
CAS 11 : 𝑓(𝑥) = √|𝑎𝑥 + 𝑏|
On a : 𝐷𝑓 = IR car |𝑎𝑥 + 𝑏| est toujours positive du fait de la valeur
absolue.
Cas 12 : 𝑓(𝑥) = √|𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐|
On a : 𝐷𝑓 = IR car |𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐| est toujours positive du fait de la
valeur absolue.
𝑐𝑥+𝑑
Cas 13 : 𝑓(𝑥) =
√𝑎𝑥+𝑏
La contrainte est : 𝑎𝑥 + 𝑏 > 0. Résoudre puis conclure.
Cette contrainte est la réunion de deux contraintes : 𝑎𝑥 + 𝑏 ≥ 0
Et 𝑎𝑥 + 𝑏 ≠ 0.
𝑐𝑥+𝑑
Cas 14 : 𝑓(𝑥) =
√|𝑎𝑥+𝑏|
La contrainte est 𝑎𝑥 + 𝑏 ≠ 0. Résoudre puis conclure.
Cas 15 : 𝑓(𝑥) = ln |𝑎𝑥 + 𝑏|
La contrainte est 𝑎𝑥 + 𝑏 ≠ 0. Résoudre puis conclure.
Cas 16 : (𝑥) = ln |𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐|
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La contrainte est 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 ≠ 0. Résoudre puis conclure.


𝑐𝑥+𝑑
Cas 17 : 𝑓(𝑥) = 𝑚𝑥+𝑝+√𝑎𝑥+𝑏
Les contraintes sont : 𝑎𝑥 + 𝑏 ≥ 0 et 𝑚𝑥 + 𝑝 + √𝑎𝑥 + 𝑏 ≠ 0
(cela amène à la résolution d’équations irrationnelles 1ere S, c’est
lourd…)
Résoudre et conclure en déterminant les intersections.
Cas 18 : Association de plusieurs types de fonctions.
Principe : déterminer toutes les contraintes possibles, les
résoudre convenablement et conclure.
𝑔(𝑥)𝑠𝑖 𝑥 ∈ 𝐾
Cas 19 : 𝑓(𝑥) = { ℎ(𝑥)𝑠𝑖 𝑥 ∈ 𝑄 (fonction définie par intervalle ou
𝑗(𝑥) 𝑠𝑖 𝑥 ∈ 𝑇
par raccordement
On a : 𝐷𝑓 = 𝐾 ∪ 𝑄 ∪ 𝑇 (qu’on peut évident réduire)

Elaboré par M. DJAHASHIKAN (+225 0709521305/ 0506448812)

BONUS : Démonstrations
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