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Joe 20240517 0114 p000
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SOMMAIRE ANALYTIQUE
textes généraux
1 Décret no 2024-439 du 15 mai 2024 modifiant le décret no 2024-086 du 7 février 2024 portant
création d’une aide pour les entreprises particulièrement touchées par les conséquences
économiques résultant des inondations dans le Nord et le Pas-de-Calais en novembre 2023
et janvier 2024
7 Arrêté du 15 mai 2024 fixant les tarifs maxima de remboursement des frais d’impression et
d’affichage des documents électoraux pour l’élection des représentants au Parlement
européen
8 Décision du 6 mai 2024 portant délégation de signature (direction générale de la gendarmerie
nationale - direction des soutiens et des finances)
9 Décret no 2024-441 du 15 mai 2024 relatif aux modalités de commissionnement des agents de
contrôle des organismes servant des allocations et prestations de sécurité sociale mentionnés
à l’article L. 114-22-3 du code de la sécurité sociale
10 Arrêté du 6 mai 2024 fixant pour l’année 2023 les dotations régionales mentionnées à
l’article L. 174-1 du code de la sécurité sociale, les dotations régionales de financement des
missions d’intérêt général et d’aide à la contractualisation, les dotations urgences, les
dotations relatives à la psychiatrie mentionnées aux 1o, 3o, 5o, 6o, 8o de l’article R. 162-31-1
du même code, ainsi que le montant des transferts prévus à l’article L. 174-1-2 du même
code
11 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux
assurés sociaux
12 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des
collectivités et divers services publics
13 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des
collectivités et divers services publics
14 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux
assurés sociaux
15 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des
collectivités et divers services publics
16 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des
collectivités et divers services publics
17 Arrêté du 7 mai 2024 relatif aux conditions de prise en charge de spécialités pharmaceutiques
disposant d’une autorisation de mise sur le marché inscrites sur la liste visée à
l’article L. 5126-6 du code de la santé publique
18 Arrêté du 13 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en
sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la
sécurité sociale
19 Arrêté du 13 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en
sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-23-6 du code de la
sécurité sociale
20 Arrêté du 14 mai 2024 relatif à la mise en place d’un programme de financement destiné à
encourager la production, le déploiement et l’exploitation au sein de Mon espace santé du
programme personnalisé de soins en cancérologie
21 Arrêté du 16 mai 2024 fixant pour l’année 2024 l’objectif de dépenses et le montant total
annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de
solidarité pour l’autonomie mentionnée à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des
familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code
22 Arrêté du 2 mai 2024 modifiant l’arrêté du 26 janvier 2022 fixant la liste des spécialités
vétérinaires
23 Arrêté du 3 mai 2024 modifiant l’arrêté du 17 octobre 2023 portant nomination des membres
des comités techniques nationaux de prévention des accidents du travail et des maladies
professionnelles des salariés agricoles
24 Arrêté du 3 mai 2024 modifiant l’arrêté du 5 février 2024 fixant au titre de l’année 2024 le
contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à des emplois civils
25 Arrêté du 7 mai 2024 modifiant l’arrêté du 28 février 2024 autorisant au titre de l’année 2024
l’ouverture de concours externes et internes pour le recrutement d’ingénieurs d’études de
classe normale du ministère chargé de l’agriculture
26 Arrêté du 10 mai 2024 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’examens professionnels
pour l’avancement aux grades de technicien principal et de chef technicien du ministère
chargé de l’agriculture
27 Arrêté du 13 mai 2024 portant homologation du cahier des charges du label rouge no LA 05/08
« Salaisons sèches à base de viande de porc »
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
ministère de la justice
29 Arrêté du 14 mai 2024 fixant pour l’année 2024 les objectifs de répartition proportionnée des
accueils des mineurs privés temporairement ou définitivement de la protection de leur
famille
mesures nominatives
ministère de la justice
53 Décret du 16 mai 2024 portant maintien en détachement (magistrature) - Mme CARNIELLO
(Emmanuelle)
54 Décret du 16 mai 2024 portant admission à la retraite (magistrature)
55 Décret du 16 mai 2024 portant nomination (magistrature)
56 Arrêté du 6 mai 2024 portant nomination à un emploi de direction du ministère de la justice
(groupe III)
57 Arrêté du 7 mai 2024 complétant la liste des magistrats administratifs honoraires
58 Arrêté du 7 mai 2024 portant réintégration et affectation (tribunaux administratifs et cours
administratives d’appel)
conventions collectives
67 Décision no 2024-376 du 25 avril 2024 autorisant la SARL Jazz France à exploiter un service
de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé
Jazz Radio
68 Décision no 2024-377 du 25 avril 2024 autorisant la SAS Radio Nostalgie à exploiter un service
de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé
Nostalgie
69 Décision no 2024-378 du 25 avril 2024 autorisant la SAS NRJ à exploiter un service de radio de
catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ
70 Décision no 2024-379 du 25 avril 2024 autorisant la SAS Radio Classique à exploiter un
service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Radio Classique
71 Décision no 2024-380 du 25 avril 2024 autorisant la SAS FG Concept à exploiter un service de
radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé
Radio FG
72 Décision no 2024-381 du 25 avril 2024 autorisant la SAS RFM Entreprises à exploiter un
service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RFM
73 Décision no 2024-382 du 25 avril 2024 autorisant la SAS Rire et Chansons à exploiter un
service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Rire et Chansons
74 Décision no 2024-383 du 25 avril 2024 autorisant la SA SODERA à exploiter un service de
radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RTL2
75 Décision no 2024-384 du 25 avril 2024 autorisant la SAS Europe 1 Télécompagnie à exploiter
un service de radio de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Europe 1
76 Décision no 2024-385 du 25 avril 2024 autorisant la SAS RTL France Radio à exploiter un
service de radio de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RTL
77 Décision no 2024-386 du 2 mai 2024 modifiant la décision no 91-873 du 22 février 1991 portant
autorisation d’usage de fréquences à la société nationale de programme Radio France pour
l’exploitation d’un service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
78 Décision no 2024-387 du 2 mai 2024 modifiant la décision no 2019-635 du 18 décembre 2019
autorisant la SAS OpeNMux à utiliser des ressources radioélectriques pour le multiplexage
des programmes d’éditeurs de service de radio par voie hertzienne terrestre en mode
numérique
79 Décision no 2024-388 du 2 mai 2024 autorisant la société nationale de programme Radio
France à exploiter un service de radio par voie hertzienne terrestre en mode numérique
dénommé France Bleu Belfort-Montbéliard
80 Décision no 2024-396 du 2 mai 2024 portant renouvellement d’un membre du comité territorial
de l’audiovisuel de Marseille
81 Décision no 2024-397 du 2 mai 2024 portant nomination d’un membre du comité territorial de
l’audiovisuel de Paris
82 Décision no 2024-389 du 7 mai 2024 modifiant la décision no 2023-1114 du 22 novembre 2023
autorisant la société GR UHD1 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage
des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode
numérique sur le réseau R9
83 Décision no 2024-390 du 7 mai 2024 modifiant la décision no 2015-418 du 18 novembre 2015
autorisant la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) à utiliser une ressource
radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication
audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R1
84 Décision no 2024-391 du 7 mai 2024 modifiant la décision no 2015-422 du 18 novembre 2015
autorisant la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 à utiliser une ressource
radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication
audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R6
85 Décision no 2024-392 du 7 mai 2024 fixant la liste des candidats dont le dossier est recevable
dans le cadre de l’appel aux candidatures pour l’édition de services de radio multiplexés
diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique à temps complet en bande III dans
le ressort des comités territoriaux de l’audiovisuel de Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand,
Dijon, Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Paris, Poitiers et Rennes
86 Décision no 2024-395 du 7 mai 2024 autorisant la société Pyrénéenne de télévision à utiliser
une ressource radioélectrique pour l’édition d’un service de télévision à vocation locale
diffusé en clair par voie hertzienne terrestre, à temps complet et en haute définition dans la
zone de Bayonne dénommé TVPI
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
Informations parlementaires
Assemblée nationale
87 ORDRE DU JOUR
88 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS
89 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
90 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
Sénat
91 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES
92 DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES
93 DOCUMENTS DÉPOSÉS
94 DOCUMENTS PUBLIÉS
95 RAPPORTS AU PARLEMENT
96 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS
Offices et délégations
98 OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET
TECHNOLOGIQUES
99 DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE AU RENSEIGNEMENT
Avis et communications
Premier ministre
100 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur
101 Avis de vacance d’un emploi de directeur de projet chargé du développement des politiques
publiques de soutien à la parentalité
106 Avis de vacance d’un emploi de commissaire à la lutte contre la pauvreté (région Bretagne)
107 Avis de vacance d’un emploi d’adjoint à la directrice des entreprises et des partenariats de
sécurité et des armes, chef du service central des armes et explosifs (administration
centrale : direction des entreprises et partenariats de sécurité et des armes)
avis divers
Annonces
117 Demandes de changement de nom (textes 117 à 139)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2024-439 du 15 mai 2024 modifiant le décret no 2024-086 du 7 février 2024 portant
création d’une aide pour les entreprises particulièrement touchées par les conséquences
économiques résultant des inondations dans le Nord et le Pas-de-Calais en novembre 2023 et
janvier 2024
NOR : ECOI2410864D
Publics concernés : entreprises exerçant une activité de transport fluvial de fret en France.
Objet : extension de l’aide à des entreprises exerçant une activité de transport fluvial de fret en France moins
fortement touchées.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : l’aide aux entreprises exerçant une activité de transport fluvial de fret en France est étendue aux
entreprises exerçant une activité de transport fluvial de fret en France ayant subi une perte de chiffre d’affaires
comprise entre 30 % et 50 %, avec un taux d’aide minoré.
Références : le décret ainsi que le texte qu’il modifie, dans sa rédaction issue de cette modification, peuvent être
consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique,
Vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, notamment ses articles 107 et 108 ;
Vu le règlement (UE) 2023/2831 de la Commission du 13 décembre 2023 relatif à l’application des articles 107
et 108 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne aux aides de minimis ;
Vu le décret no 2024-086 du 7 février 2024 modifié portant création d’une aide pour les entreprises
particulièrement touchées par les conséquences économiques résultant des inondations dans le Nord et le Pas-de-
Calais en novembre 2023 et janvier 2024,
Décrète :
Art. 1er. – Après l’article 3 du décret du 7 février 2024 susvisé, il est inséré un article 3-1 ainsi rédigé :
« Art. 3-1. – Il est institué une aide financière pour la période du 1er novembre 2023 au 31 janvier 2024 pour les
personnes physiques ou morales de droit privé qui répondent aux conditions suivantes :
« 1o Elles exercent une activité de transport fluvial de fret en France ;
« 2o Elles remplissent l’ensemble des conditions énumérées aux 3o à 9o de l’article 2 du présent décret ;
« 3o Elles ont subi une perte de chiffre d’affaires comprise entre 30 % et 50 % entre la période trimestrielle
couvrant les mois de novembre 2023 à janvier 2024 et la période trimestrielle couvrant les mois de novembre 2022
à janvier 2023. Pour les entreprises créées en novembre 2022, elles ont subi une baisse de chiffre d’affaires
comprise entre 30 % et 50 % entre les mois de décembre 2022 et décembre 2023 ;
« 4o Voies navigables de France a validé leur demande d’exonération de péage effectuée dans le cadre des
délibérations relatives à l’exonération du péage marchandise à la suite des crues de novembre 2023 et janvier 2024
sur la liaison à grand gabarit de l’écluse de Cuinchy à Dunkerque et sur la Lys. »
Art. 2. – L’article 4 du même décret est ainsi modifié :
1o A la première phrase du I, les deux occurrences des mots : « 2 et 3 » sont remplacées par les mots : « 2, 2-1, 3
et 3-1 » ;
2o La première phrase du II est ainsi modifiée :
a) Les mots : « l’aide relevant de l’article 2-1 » sont remplacés par les mots : « les aides relevant des articles 2-1
et 3-1 » ;
b) Les mots : « de l’article 3 » sont remplacés par les mots : « des articles 3 et 3-1 ».
Art. 3. – Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique est chargé de
l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : acteurs institutionnels publics (assemblées parlementaires, services de l’Etat, collectivités
territoriales) et privés (entreprises, institutions, associations) intéressés ou agissant dans le domaine de la sécurité
routière.
Objet : modification de la composition du Conseil national de la sécurité routière pour renforcer la
représentativité des élus des collectivités territoriales de métropole et des outre-mer.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret renforce la représentation des élus représentant les collectivités territoriales pour mieux
prendre en compte leur diversité, et afin de mieux prendre en compte la dimension territoriale dans la mise en
œuvre de la politique de sécurité routière. En cohérence avec le renforcement de la représentation des collectivités
territoriales, il ajoute la représentation du ministre chargé des collectivités territoriales et ouvre la possibilité de
nommer des personnalités proposées par des institutions européennes ou internationales en raison de leurs
compétences en matière de sécurité routière. Enfin, afin de limiter l’accroissement du nombre de membres du
Conseil national de la sécurité routière, il réduit de 15 à 13 membres le nombre des représentants des entreprises
et institutions représentées et de 6 à 5 le nombre de personnalités désignées en raison de leurs compétences en
matière de sécurité routière.
Références : le décret modifie le décret no 2001-784 du 28 août 2001 portant création du Conseil national de la
sécurité routière et modifiant le décret no 75-360 du 15 mai 1975 relatif au comité interministériel de la sécurité
routière qui peut être consulté, dans sa rédaction issue de cette modification, sur le site Légifrance (https://www.
legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’intérieur et des outre-mer,
Vu la loi no 2014-873 du 4 août 2014 modifiée pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, notamment
son article 74 ;
Vu le décret no 2001-784 du 28 août 2001 modifié portant création du Conseil national de la sécurité routière et
modifiant le décret no 75-360 relatif au comité interministériel de la sécurité routière,
Décrète :
Art. 1er. – L’article 2 du décret du 28 août 2001 susvisé est ainsi modifié :
1o Le 1o est ainsi modifié :
a) Les mots : « Six personnalités désignées » sont remplacés par les mots : « Cinq personnalités désignées par le
ministre chargé de la sécurité routière » ;
b) Les mots : « , désignées par le ministre chargé de la sécurité routière » sont remplacés par les mots : « ou
proposées par une institution européenne ou internationale » ;
2o Le 5o est ainsi modifié :
a) Les mots : « Un représentant des départements, désigné » sont remplacés par les mots : « Trois
représentants des départements, désignés » ;
3o Le 6o est remplacé par un 6o ainsi rédigé :
« 6o Six représentants des communes et des intercommunalités, ainsi désignés :
« – trois représentants des communes désignés par l’Association des maires de France ;
« – un représentant d’une commune rurale, désigné par l’Association des maires ruraux de France ;
« – un représentant d’une communauté d’agglomération ou d’une communauté de communes, désigné par
l’association Intercommunalités de France ;
« – un représentant des métropoles, désigné par l’association France Urbaine ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 139
4o A la première phrase du 8o, le mot : « Quinze » est remplacé par le mot : « Treize » ;
5o Après le 20o, il est inséré un 20o bis ainsi rédigé :
« 20o bis Le ministre chargé des collectivités territoriales ou son représentant ; ».
Art. 2. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 mai 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 mai 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un examen professionnel
d’accès au grade d’inspecteur du permis de conduire et de la sécurité routière de 2e classe
NOR : IOMA2408609A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 6 mai 2024, est autorisée, au titre de
l’année 2025, l’ouverture d’un examen professionnel d’accès au grade d’inspecteur du permis de conduire et de la
sécurité routière de 2e classe.
L’annexe I du présent arrêté fixe le calendrier prévisionnel d’organisation de l’examen professionnel
susmentionné.
Le nombre de postes offerts à l’examen professionnel sera fixé par arrêté ministériel.
Les formulaires d’inscription sont disponibles :
– par téléchargement sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, onglet « les recrutements
ouverts » : https://www.interieur.gouv.fr/ministere/metiers-du-ministere/je-suis-deja-agent-public/inspecteur-
du-permis-de-conduire-et-de ;
– par voie postale en joignant une enveloppe (format A4) affranchie au tarif en vigueur pour une lettre jusqu’à
100 g (libellée aux nom et adresse) au ministère de l’intérieur et des outre-mer, SG/DRH/SDRF/BRPP/Sec
tion concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
L’enregistrement de l’inscription s’effectue au choix du candidat :
– par voie électronique sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer (même adresse) ;
– par voie postale. Le candidat adresse son dossier d’inscription au centre d’examen choisi, mentionné
en annexe II.
Tout dossier incomplet ou mal renseigné est rejeté.
Dans la mesure où au moins une candidature serait enregistrée, des centres d’examen mentionnés en annexe II
seront ouverts dans les départements et les collectivités d’outre-mer suivants : Guadeloupe, Martinique, Guyane,
La Réunion, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Wallis-et-Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie.
En vue des épreuves, les candidats adressent les documents requis pour l’inscription au plus tard à la date de
clôture des inscriptions fixée à l’annexe I du présent arrêté.
Les candidats en situation de handicap peuvent obtenir des aménagements d’épreuve. Ils doivent pour cela
produire un certificat médical établi par un médecin agréé, daté de moins de six mois avant le déroulement des
épreuves et précisant la nature des aides et aménagements sollicités.
La date limite d’envoi (le cachet de la poste faisant foi) ou de dépôt du certificat médical au service organisateur
est fixée à trois semaines avant le début des épreuves, délai de rigueur, conformément au décret no 2020-523
du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer qui sera affiché, de
manière à être accessible au public, sur les lieux des épreuves pendant toute leur durée ainsi que, jusqu’à la
proclamation des résultats, sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
ANNEXES
ANNEXE I
17 mai 2024
Date limite
d’envoi
des documents
Examen professionnel Session en vue
Date limite des épreuves
Date d’ouverture de retrait Date de clôture Date Lieu par voie Date Lieu
des inscriptions du formulaire des inscriptions électronique
d’inscription ou postale
(le cachet
de la poste
faisant foi)
Inspecteur de 2e classe
2025 3 juin 2024 8 juillet 2024 8 juillet 2024 / / / 5 septembre 2024 Centres d’examen
(examen professionnel)
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Texte 3 sur 139
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 139
ANNEXE II
CENTRES D’EXAMEN
CENTRES D’EXAMEN
RÉGION DOMICILIATION DU CANDIDAT OUVERTS SERVICE GESTIONNAIRE
Ministère de l’intérieur
Direction des Ressources Humaines
Sous-Direction du Recrutement et de la Formation
Bureau du Recrutement et de la Promotion Profes
ÎLE-DE-FRANCE sionnelle
(75) PARIS, (77) SEINE-ET-MARNE, (78) YVELINES, (91) ESSONNE, (92) LOGNES Section Concours
HAUTS-DE-SEINE, (93) SEINE-ST-DENIS, (94) VAL-DE-MARNE, (95) VAL- 27, cours des Petites-Écuries
D’OISE.
77185 Lognes
Tél. : 01-60-37-13-34
01-60-37-13-76
sdrf-exapro-ipcsr2@interieur.gouv.fr
PREFECTURE DE LA CORSE-DU-SUD
Bureau du Recrutement
rue Sergent-Casalonga
CORSE
AJACCIO B.P. 401
(20A) CORSE-DU-SUD, (20B) HAUTE-CORSE.
20188 Ajaccio Cedex 1
Tél. : 04-95-11-12-13
www.corse-du-sud.gouv.fr
PREFECTURE DE LA COTE-D’OR
BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE Bureau du Recrutement
(21) COTE-D’OR, (25) DOUBS, (39) JURA, (58) NIEVRE, BESANCON 53, rue de la Préfecture
(70) HAUTE-SAONE, (71) SAONE-ET-LOIRE, (89) YONNE, DIJON 21041 Dijon Cedex
(90) TERRITOIRE-DE-BELFORT. Tél. : 03-80-44-64-00
www.cote-dor.gouv.fr
PREFECTURE DU LOIRET
Bureau du Recrutement
CENTRE-VAL DE LOIRE
181, rue de Bourgogne
(45) LOIRET, (18) CHER, (28) EURE-ET-LOIR, (36) INDRE, ORLEANS
45042 Orléans Cedex
(37) INDRE-ET-LOIRE, (41) LOIR-ET-CHER.
Tél. : 02-38-81-40-00
www.loiret.gouv.fr
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 139
CENTRES D’EXAMEN
RÉGION DOMICILIATION DU CANDIDAT OUVERTS SERVICE GESTIONNAIRE
PREFECTURE DU NORD
Section concours et recrutements
12-14, rue Jean-Sans-Peur
HAUTS-DE-FRANCE AMIENS
59039 Lille Cedex
(59) NORD, (02) AISNE, (60) OISE, (62) PAS-DE-CALAIS, (80) SOMME. LILLE
Tél. : 03-20-30-59-59
concours@nord.gouv.fr
www.nord.gouv.fr
PREFECTURE DU BAS-RHIN
GRAND EST Bureau du Recrutement
CHALONS EN CHAMPAGNE
(67) BAS-RHIN, (08) ARDENNES, (10) AUBE, (51) MARNE, (52) HAUTE- 5, place de la République
METZ
MARNE, (54) MEURTHE-ET-MOSELLE, (55) MEUSE, (57) MOSELLE, (68) 67073 Strasbourg Cedex
HAUT-RHIN, (88) VOSGES. STRASBOURG
Tél. : 03-88-21-67-68
www.bas-rhin.gouv.fr
PRÉFECTURE DU RHÔNE
Secrétariat Général Commun du Rhône
AUVERGNE-RHONE-ALPES Bureau du Recrutement et de la Mobilité
(69) RHONE, (01) AIN, (03) ALLIER, (07) ARDECHE, (15) CANTAL, 18, rue de Bonnel
(26) DROME, (38) ISERE, (42) LOIRE, (43) HAUTE-LOIRE, LYON
69003 Lyon
(63) PUY-DE-DOME, (73) SAVOIE, (74) HAUTE-SAVOIE. Tél. : 04-72-61-66-83
sgc-concours@rhone.gouv.fr
www.rhone.gouv.fr
PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME
Bureau du Recrutement
NORMANDIE CAEN 7, Place de la Madeleine
(76) SEINE-MARITIME, (14) CALVADOS, (27) EURE, (50) MANCHE, (61) ROUEN 76036 Rouen Cedex
ORNE.
Tél. : 02-32-76-50-00
www.seine-maritime.gouv.fr
Préfecture
Palais d’Orléans
rue de Lardenoy
97109 Basse-Terre Cedex
(971) GUADELOUPE BASSE-TERRE
Tél. : 05-90-99-39-00
05-90-99-38-22
05-90-99-75-24
www.guadeloupe.pref.gouv.fr
Préfecture
Secrétariat Général Commun
111, rue Ernest-Déproge
(972) MARTINIQUE FORT-DE-FRANCE 97200 Fort-de-France
Tél. : 05-96-39-49-13
05-96-39-49-58
sgc-concours@martinique.gouv.fr
CENTRES D’EXAMEN
RÉGION DOMICILIATION DU CANDIDAT OUVERTS SERVICE GESTIONNAIRE
Préfecture
Place du Lieutenant-Colonel-Pigeaud
B.P. 4200
97500 Saint-Pierre-et-Miquelon
(975) SAINT-PIERRE ET MIQUELON SAINT-PIERRE ET MIQUELON
Tél. : 05-08-41-10-10
05-08-41-10-49
www.saint-pierre-et-miquelon.pref.gouv.fr
plate-forme-rh@spm975.gouv.fr
Haut-commissariat de la République
Av. Pouvanaa a Oopa
B.P. 115 Papeete
(987) POLYNÉSIE FRANÇAISE TAHITI
98713 TAHITI
Tél. : 06-89-40-46-87-00
www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr
Haut-commissariat de la République
1, Av. du Maréchal-Foch
B.P. C5
98844 Noumea Cedex
(988) NOUVELLE-CALÉDONIE NOUMEA
Tél. : (00-687) 23-04-11
(00-687) 23-04-50
formation-concours@nouvelle-caledonie.gouv.fr
www.nouvelle-caledonie.gouv.fr
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 mai 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un examen professionnel
d’accès au grade d’inspecteur du permis de conduire et de la sécurité routière de 1re classe du
ministère de l’intérieur
NOR : IOMA2412690A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 6 mai 2024, est autorisée, au titre de
l’année 2025, l’ouverture d’un examen professionnel d’accès au grade d’inspecteur du permis de conduire et de la
sécurité routière de 1re classe.
L’annexe du présent arrêté fixe le calendrier prévisionnel d’organisation de l’examen professionnel
susmentionné.
Le nombre de postes offerts à l’examen professionnel sera fixé par arrêté ministériel.
Les formulaires d’inscription sont disponibles :
– par téléchargement sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, « https://www.interieur.
gouv.fr/ministere/metiers-du-ministere/je-suis-deja-agent-public/inspecteur-du-permis-de-conduire-et-de »,
onglet « les recrutements ouverts » ;
– par voie postale en joignant une enveloppe (format A4) affranchie au tarif en vigueur pour une lettre jusqu’à
100 g (libellée aux nom et adresse du candidat) au ministère de l’intérieur et des outre-mer,
SG/DRH/SDRF/BRPP/Section concours, 27, cours des Petites-Écuries, 77185 Lognes.
L’enregistrement de l’inscription s’effectue au choix du candidat :
– par voie électronique sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer (même adresse) ;
– par voie postale. Le candidat adresse son dossier d’inscription au ministère de l’intérieur et des outre-mer,
SG/DRH/SDRF/BRPP/Section concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
Tout dossier incomplet ou mal renseigné est rejeté.
En vue des épreuves, les candidats adressent les documents requis pour l’inscription au plus tard à la date de
clôture des inscriptions fixée à l’annexe du présent arrêté.
L’épreuve orale d’admission à l’examen professionnel se déroulera en région Ile-de-France.
Pour passer cette épreuve, les candidats résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la
Constitution (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-
Pierre-et-Miquelon, îles Wallis et Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie) ou à l’étranger, en situation de
handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite peuvent bénéficier, à leur demande, de la
visioconférence, dans les conditions prévues par l’arrêté du 22 décembre 2017 fixant les conditions de recours à la
visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à la fonction publique de l’Etat.
Ce choix peut s’effectuer au moment de l’inscription. Les candidats devront produire dans les meilleurs délais et
au plus tard dix jours avant le début de l’épreuve orale d’admission, un justificatif de domicile pour les résidents
dans les DOM-COM ou à l’étranger. Pour les candidats en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état
de santé le nécessite, un certificat médical délivré par un médecin agréé par l’administration et comportant la
mention de l’aménagement relatif à la visioconférence devra être communiqué au service organisateur.
L’absence de transmission de justificatif rend la demande irrecevable.
Les candidats en situation de handicap peuvent obtenir des aménagements d’épreuve. Ils doivent pour cela
produire un certificat médical établi par un médecin agréé, daté de moins de six mois avant le déroulement des
épreuves et précisant la nature des aides et aménagements sollicités.
La date limite d’envoi (le cachet de la poste faisant foi) ou de dépôt du certificat médical au service organisateur
est fixée à trois semaines avant le début des épreuves, délai de rigueur, conformément au décret no 2020-523
du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 139
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer qui sera affiché, de
manière à être accessible au public, sur les lieux des épreuves pendant toute leur durée ainsi que, jusqu’à la
proclamation des résultats, sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
ANNEXE
CALENDRIER PRÉVISIONNEL D’ORGANISATION DE L’EXAMEN PROFESSIONNEL
17 mai 2024
Inspecteur de 1re classe du PCSR (examen Les dates seront communiquées Région
professionnel) 2025 3 juin 2024 8 juillet 2024 8 juillet 2024 8 juillet 2024 ultérieurement Île-de-France
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Texte 4 sur 139
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 mai 2024 modifiant l’arrêté du 8 avril 2024 fixant les conditions d’organisation du
recrutement sans concours d’adjoints administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer pour les
services localisés au sein de la préfecture de police de Paris ouvert au titre de l’année 2024
NOR : IOMA2413070A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 13 mai 2024, l’arrêté du 8 avril 2024 fixant les
conditions d’organisation du recrutement sans concours d’adjoints administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer
pour les services localisés au sein de la préfecture de police de Paris ouvert, au titre de l’année 2024, est ainsi
modifié :
La phrase : « Les quarante postes offerts au recrutement feront l’objet d’une affectation dans les services de la
préfecture de police de Paris. » est remplacée par la phrase suivante : « Les trente postes offerts au recrutement
feront l’objet d’une affectation dans les services de la préfecture de police de Paris. »
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 mai 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un examen professionnel
d’accès au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat relevant du ministre de
l’intérieur et des outre-mer
NOR : IOMA2412691A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 14 mai 2024, est autorisée, au titre de
l’année 2025, l’ouverture d’un examen professionnel d’accès au grade d’attaché principal d’administration de
l’Etat relevant du ministre de l’intérieur et des outre-mer.
L’annexe du présent arrêté fixe le calendrier prévisionnel d’organisation de l’examen professionnel
susmentionné.
Le nombre de postes offerts à l’examen professionnel sera fixé par arrêté ministériel.
Les formulaires d’inscription sont disponibles :
– par téléchargement sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, « https://www.interieur.
gouv.fr/ministere/metiers-du-ministere/je-suis-deja-agent-public/attache-dadministration », onglet « les recru
tements ouverts » ;
– par voie postale en joignant une enveloppe (format A4) affranchie au tarif en vigueur pour une lettre jusqu’à
100 g (libellée aux nom et adresse du candidat) au ministère de l’intérieur et des outre-mer,
SG/DRH/SDRF/BRPP/Section concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
L’enregistrement de l’inscription s’effectue au choix du candidat :
– par voie électronique sur le site internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer (même adresse) ;
– par voie postale. Le candidat adresse son dossier d’inscription au ministère de l’intérieur et des outre-mer,
SG/DRH/SDRF/BRPP/Section concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
Tout dossier incomplet ou mal renseigné est rejeté.
En vue des épreuves, les candidats adressent les documents requis pour l’inscription au plus tard à la date de
clôture des inscriptions fixée à l’annexe jointe au présent arrêté.
L’épreuve orale d’admission à l’examen professionnel se déroulera en région Ile-de-France.
Pour passer cette épreuve, les candidats résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la
Constitution (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-
Pierre-et-Miquelon, îles Wallis et Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie) ou à l’étranger, en état de
grossesse ou dont l’état de santé le nécessite peuvent bénéficier, à leur demande, de la visioconférence, dans les
conditions prévues par l’arrêté du 22 décembre 2017 fixant les conditions de recours à la visioconférence pour
l’organisation des voies d’accès à la fonction publique de l’Etat.
Ce choix peut s’effectuer au moment de l’inscription. Les candidats devront produire dans les meilleurs délais et
au plus tard dix jours avant le début de l’épreuve orale d’admission un justificatif de domicile pour les résidents
dans les DOM-COM ou à l’étranger. Pour les candidats en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, un
certificat médical délivré par un médecin agréé et comportant la mention de l’aménagement relatif à la
visioconférence devra être transmis au service organisateur.
L’absence de transmission de justificatif rend la demande irrecevable.
Les candidats en situation de handicap peuvent obtenir des aménagements d’épreuve. Ils doivent pour cela
produire un certificat médical établi par un médecin agréé, daté de moins de 6 mois avant le déroulement de
l’épreuve et précisant la nature des aides et aménagements sollicités.
La date limite d’envoi (le cachet de la poste faisant foi) ou de dépôt du certificat médical au service organisateur
est fixée à trois semaines avant le début de l’épreuve, délai de rigueur, conformément au décret no 2020-523
du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer qui sera affiché, de
manière à être accessible au public, sur les lieux des épreuves pendant toute leur durée ainsi que, jusqu’à la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 139
proclamation des résultats, dans les locaux de la sous-direction du recrutement et de la formation et sur le site
internet du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
ANNEXE
CALENDRIER PRÉVISIONNEL D’ORGANISATION DE L’EXAMEN PROFESSIONNEL
17 mai 2024
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 mai 2024 fixant les tarifs maxima de remboursement des frais d’impression
et d’affichage des documents électoraux pour l’élection des représentants au Parlement
européen
NOR : IOMA2411956A
18,33 € 22,45 €
Les travaux de composition et d’impression des circulaires font l’objet du taux réduit de TVA.
Le remboursement des frais d’impression des circulaires est déterminé en fonction du nombre total de circulaires
imprimées par le candidat tête de liste.
Les frais d’impression des circulaires sont réglés dans la limite du nombre de circulaires réglementaires (soit le
nombre d’électeurs majoré de 5 %).
2. Bulletins de vote :
Les tarifs maxima de remboursement des frais d’impression des bulletins de vote sont fixés comme suit :
BV recto le mille Hors Taxe (HT) BV recto verso le mille Hors Taxe (HT)
15,89 € 19,38 €
Les travaux de composition et d’impression des bulletins de vote font l’objet du taux réduit de TVA.
Le remboursement des frais d’impression des bulletins de vote est déterminé en fonction du nombre total de
bulletins de vote imprimés par le candidat tête de liste.
Les frais d’impression des bulletins de vote sont réglés dans la limite du nombre de bulletins de vote
réglementaires (soit le double du nombre d’électeurs majoré de 10 %).
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 139
3. Affiches :
Les tarifs maxima de remboursement des frais d’impression des affiches sont fixés comme suit :
– affiches format maximal 594 × 841 mm : 186,12 € le mille ;
– affiches format maximal 297 × 420 mm : 113,74 € le mille.
Les affiches dont les dimensions seraient inférieures aux formats maximaux indiqués ci-dessus se verront
appliquer un tarif résultant de l’application d’un coefficient de proportionnalité surfacique aux tarifs applicables.
Les travaux de composition et d’impression des affiches sont soumis au taux normal de TVA.
Les frais d’impression des affiches sont réglés dans la limite du nombre d’affiches réglementaires (soit, pour
chaque type d’affiches, le double du nombre d’emplacements d’affichage électoral).
4. Apposition des affiches :
Les tarifs maxima de remboursement des frais d’apposition des affiches sont fixés comme suit :
– affiche au format maximal de 594 × 841 mm : 2,80 € l’unité ;
– affiche au format maximal de 297 × 420 mm : 1,66 € l’unité.
Les frais d’apposition des affiches sont soumis au taux normal de TVA.
Il ne sera remboursé que le nombre d’affiches effectivement apposées lors de la campagne électorale, dans la
limite du nombre d’affiches ayant fait l’objet d’un remboursement au titre de l’impression.
Seules les prestations effectuées par des entreprises professionnelles ouvrent droit à remboursement de ces frais
d’affichage, à l’exclusion de tout organisme occasionnel ou de toute personne morale de droit public.
Art. 3. – Tous les tarifs visés au présent arrêté constituent un maximum et non un remboursement forfaitaire.
Le remboursement des frais d’impression et d’affichage des documents électoraux s’effectue dans la limite du tarif
le moins élevé entre le tarif mentionné dans le présent arrêté et le tarif indiqué par le prestataire sur la facture.
Tous les tarifs visés au présent arrêté doivent inclure les prestations obligatoires qui ne peuvent donner lieu à
remboursement supplémentaire au titre de l’article R. 39 du code électoral (achat du papier et de l’encre,
composition, montage, corrections d’auteurs, façonnage, massicotage, empaquetage, pliage, transport, livraison).
Art. 4. – Le remboursement aux candidats têtes de liste s’effectuera sur présentation de pièces justificatives.
Les factures correspondant à ces dépenses, libellées au nom du mandataire du candidat tête de liste et
accompagnées du relevé d’identité bancaire de ce dernier et d’une éventuelle subrogation, sont à adresser :
– pour le remboursement des frais d’impression des circulaires, des bulletins de vote et des affiches : au
ministère de l’intérieur et des outre-mer, SG/DMATES/Bureau des élections politiques, place Beauvau,
75800 Paris Cedex 08 ;
– pour le remboursement des frais d’apposition des affiches : à la préfecture du département dans lequel ont été
apposées les affiches.
Art. 5. – Le présent arrêté est applicable en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française et dans les îles Wallis
et Futuna, sous réserve des adaptations suivantes :
1o A l’article 2, les références aux taux de la TVA sont remplacées par des références aux taux des taxes
applicables localement ;
2o A l’article 4, les mots : « à la préfecture du département dans lequel ont été apposées les affiches » sont
remplacés par les mots : « aux services du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ou en
Polynésie française ou à l’administration supérieure des îles Wallis et Futuna ».
Art. 6. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 mai 2024.
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
BRUNO LE MAIRE
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie,
des finances et de la souveraineté industrielle et numérique,
chargé des comptes publics,
THOMAS CAZENAVE
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’intérieur et des outre-mer,
chargée des outre-mer,
MARIE GUÉVENOUX
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
16. Mme la lieutenante-colonelle Marie Roquet, chef du bureau de l’administration, dans la limite des
attributions de la sous-direction administrative et financière.
Art. 2. – Délégation est donnée, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer ou du
ministre des armées, dans le cadre de leurs attributions d’agent d’ordonnancement du bureau de la préparation et du
pilotage de la masse salariale, tous actes ou documents relatifs aux opérations de dépenses et de recettes,
notamment ceux concernant l’engagement, la liquidation, l’ordonnancement et les opérations de régularisation
ainsi que les ordres de recouvrement, à :
1. M. le lieutenant-colonel Marc Trézières, chef du bureau de la préparation et du pilotage de la masse salariale ;
2. Mme Nathalie Pisko, adjointe au chef du bureau de la préparation et du pilotage de la masse salariale ;
3. M. le lieutenant-colonel Philippe Mazéas, chef de la section pilotage de la masse salariale du bureau de la
préparation et du pilotage de la masse salariale ;
4. M. le commandant Yannick Carthéry, chef de la section préparation études et analyse des coûts du bureau de
la préparation et du pilotage de la masse salariale.
Art. 3. – Délégation est donnée, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer ou du
ministre des armées, dans le cadre de leurs attributions d’agent d’ordonnancement du bureau de la préparation et du
pilotage du fonctionnement et de l’investissement, tous actes ou documents relatifs aux opérations de dépenses et
de recettes, notamment ceux concernant l’engagement, la liquidation, l’ordonnancement et les opérations de
régularisation ainsi que les ordres de recouvrement, à :
1. M. le colonel Cédric Le Goff, chef du bureau de la préparation et du pilotage du fonctionnement et de
l’investissement ;
2. M. le lieutenant-colonel Alexandre Merleng, adjoint au chef du bureau de la préparation et du pilotage du
fonctionnement et de l’investissement ;
3. M. le lieutenant-colonel Arnaud Méric, chef de la section budget opérationnel de programme central ;
4. Mme Florence Etchessahar, cheffe de la section programme et travaux budgétaires ;
5. Mme la commandante Arbia Belkaoussa, adjointe au chef de la section budget opérationnel de programme
central ;
6. M. le lieutenant Renaud Taillandier, adjoint à la cheffe de la section programme et travaux budgétaires ;
7. Mme Sakina Régnier, conceptrice au sein de la section programme et travaux budgétaires ;
8. Mme la maréchale des logis-cheffe Fanny Teissier, gestionnaire au sein de la section programme et travaux
budgétaires ;
9. Mme la maréchale des logis Cheyenne Mou, gestionnaire au sein de la section programme et travaux
budgétaires ;
10. Mme la lieutenante Quitterie de la Cropte de Chantérac, conceptrice au sein de la section budget opérationnel
de programme central ;
11. M. Clément Baumgart, concepteur au sein de la section budget opérationnel de programme central ;
12. M. Nicolas Mariani, concepteur au sein de la section budget opérationnel de programme central ;
13. M. l’adjudant-chef Fabrice Battagliotti, gestionnaire au sein de la section budget opérationnel de programme
central ;
14. Mme Emeline Queuille, gestionnaire au sein de la section budget opérationnel de programme central ;
15. Mme la maréchale des logis Ansifarati Madi, gestionnaire au sein de la section budget opérationnel de
programme central ;
16. Mme la maréchale des logis Anfiati Abdou, gestionnaire au sein de la section budget opérationnel de
programme central ;
17. Mme la maréchale des logis Wénéhéo Diko, gestionnaire au sein de la section budget opérationnel de
programme central ;
18. M. Cyriak Moisan, gestionnaire au sein de la section programme et travaux budgétaires.
Art. 4. – Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer ou du
ministre des armées, tous actes ou documents relatifs aux opérations de dépenses et de recettes du fonds de secours
et d’entraide des cercles mixtes de la gendarmerie nationale, à :
1. Mme la lieutenante-colonelle Marie Roquet, chef du bureau de l’administration ;
2. M. le capitaine Jean-Charles Bourbigot, chef de la section cercles mixtes.
Art. 5. – Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer ou du
ministre des armées, tous actes ou documents relatifs aux opérations de dépenses et de recettes sur l’unité
opérationnelle fonds européens – innovations – transformations, à :
1. M. le colonel Antoine Lagoutte, chef du bureau de la synthèse budgétaire ;
2. M. le lieutenant-colonel Ronan Lelong, adjoint au chef du bureau de la synthèse budgétaire ;
3. M. le lieutenant-colonel Silvère Giop, chef de la section des ressources hors programme ;
4. Mme la cheffe d’escadron Laetitia Koob, adjointe au chef de la section des ressources hors programme ;
5. Mme la capitaine Corinne Battais, officier traitant au sein de la section des ressources hors programme ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 139
6. Mme la maréchale des logis Kallatoumi Nizari, gestionnaire au sein de la section des ressources hors
programme ;
7. M. le major Pascal Quesnot, réserviste au sein de la section des ressources hors programme.
Art. 6. – La présente décision abroge et remplace la décision du 29 janvier 2024 portant délégation de
signature (direction générale de la gendarmerie nationale – direction des soutiens et des finances).
Art. 7. – La présente décision entrera en vigueur le lendemain de sa publication.
Art. 8. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 6 mai 2024.
F. DESMADRYL
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2024-441 du 15 mai 2024 relatif aux modalités de commissionnement des agents de
contrôle des organismes servant des allocations et prestations de sécurité sociale mentionnés
à l’article L. 114-22-3 du code de la sécurité sociale
NOR : TSSS2401686D
Décrète :
Art. 1 . – Après l’article R. 114-8 du code de la sécurité sociale, sont insérés les articles R. 114-9 à R. 114-9-6
er
ainsi rédigés :
« Art. R. 114-9. – L’autorité mentionnée à l’article L. 114-22-3 délivre le commissionnement à l’agent de
contrôle mentionné à l’article L. 114-10 sur proposition de son employeur.
« Pour délivrer le commissionnement, celle-ci vérifie que l’agent dispose d’une expérience en matière de
contrôle, des compétences techniques et juridiques nécessaires, et a suivi une formation de droit pénal et de
procédure pénale.
« Art. R. 114-9-1. – L’autorité mentionnée à l’article L. 114-22-3 notifie le commissionnement à l’employeur
de l’agent de contrôle concerné, si ce dernier n’est pas directement placé sous son autorité.
« Elle délivre à l’agent une carte d’agent de contrôle commissionné qui comporte la photographie de son titulaire
et mentionne ses nom et prénom ainsi que ses attributions. La carte atteste de son agrément, de son assermentation
et mentionne le ressort territorial de ses fonctions.
« Suivant le cas, le commissionnement est publié au Bulletin officiel du ministère chargé de la sécurité sociale ou
du ministère chargé de l’agriculture.
« Art. R. 114-9-2. – Lorsqu’il exerce les missions définies à l’article L. 114-22-3, l’agent est muni de sa carte
d’agent de contrôle commissionné. Il la présente à toute personne qui en fait la demande.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 139
« Art. R. 114-9-3. – L’agent de contrôle conserve son commissionnement en cas de mobilité au sein d’un autre
organisme de la même branche du régime général ou au sein de la mutualité sociale agricole, sous réserve qu’il
continue d’exercer des fonctions de contrôle avec des pouvoirs de police judiciaire. L’autorité mentionnée à
l’article L.114-22-3 transmet le commissionnement au nouvel employeur de l’agent de contrôle.
« Art. R. 114-9-4. – Le commissionnement est retiré par l’autorité mentionnée à l’article L. 114-22-3 :
« 1o En cas d’affectation dans un nouvel emploi qui ne comporte pas l’exercice de fonctions de contrôle ;
« 2o En cas de retrait de l’agrément mentionné à l’article L. 114-10 ;
« 3o En cas de rupture du contrat de travail, à l’exception du cas prévu à l’article R. 114-9-3.
« En cas de suspension de l’agrément, le commissionnement est suspendu pour la même durée.
« Art. R. 114-9-5. – Lorsque le comportement de l’agent de contrôle se révèle incompatible avec le bon
exercice des missions définies à l’article L. 114-22-3 ou lorsque ses aptitudes professionnelles sont insuffisantes, le
commissionnement peut être retiré ou suspendu pour une durée de six mois au plus, renouvelable une fois, par
décision motivée de l’autorité mentionnée à l’article L. 114-22-3, après avoir invité l’intéressé à faire connaître ses
observations dans un délai déterminé.
« Art. R. 114-9-6. – La décision de retrait est notifiée à l’agent concerné et à son employeur par tout moyen
permettant de conférer date certaine. Elle est également transmise au procureur de la République du tribunal
judiciaire de la résidence administrative de l’agent de contrôle.
« Selon le cas, la décision de retrait du commissionnement est publiée au Bulletin officiel du ministère chargé de
la sécurité sociale ou du ministère chargé de l’agriculture.
« La carte d’agent de contrôle commissionné est restituée sans délai. »
Art. 2. – La ministre du travail, de la santé et des solidarités et le ministre de l’agriculture et de la souveraineté
alimentaire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 15 mai 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
CATHERINE VAUTRIN
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
MARC FESNEAU
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 mai 2024 fixant pour l’année 2023 les dotations régionales mentionnées à
l’article L. 174-1 du code de la sécurité sociale, les dotations régionales de financement des
missions d’intérêt général et d’aide à la contractualisation, les dotations urgences, les
dotations relatives à la psychiatrie mentionnées aux 1o, 3o, 5o, 6o, 8o de l’article R. 162-31-1 du
même code, ainsi que le montant des transferts prévus à l’article L. 174-1-2 du même code
NOR : TSSH2412591A
Arrêtent :
Art. 1 . – Les montants des dotations régionales suivantes sont fixés conformément aux tableaux de l’annexe I
er
du présent arrêté :
1o Les dotations mentionnées au 1o de l’article L. 174-1 du code de la sécurité sociale (DAF MCO) ;
2o Les dotations mentionnées au 2o de l’article L. 174-1 du code de la sécurité sociale (DAF USLD) ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 139
3o Les dotations (PSY) mentionnées aux 1o (dotation populationnelle), 3o (dotations activités spécifiques), 5o
(dotation structuration recherche), 6o (dotation nouvelles activités) et au 8o (dotations transformation) de
l’article R. 162-31-1 du code de la sécurité sociale ;
4o La dotation mentionnée au 1o de l’article L. 174-1-1 du code de la sécurité sociale dans sa version antérieure à
l’entrée en vigueur des IV et V de l’article 78 de la loi no 2015-1702 du 21 décembre 2015 de financement de la
sécurité sociale pour 2016 (DAF SMR) ;
5o Les montants dotations mentionnées à l’article L. 162-22-13 du code de la sécurité sociale (MIGAC MCO) ;
6o Les dotations mentionnées à l’article L. 162-23-8 du code de la sécurité sociale (MIGAC SMR) ;
7o Les dotations mentionnées aux 1o et 3o de l’article L. 162-22-8-2 du code de la sécurité sociale (DOTATIONS
URGENCES).
Art. 2. – Le montant des transferts autorisés à partir de la dotation régionale mentionnée à l’article L. 174-1 du
code de la sécurité sociale vers la dotation mentionnée à l’article L. 1435-8 du code de la santé publique est fixé
conformément au tableau de l’annexe II du présent arrêté.
Art. 3. – L’arrêté du 28 mars 2024 fixant pour l’année 2023 les dotations régionales mentionnées à
l’article L. 174-1 du code de la sécurité sociale, les dotations régionales de financement des missions d’intérêt
général et d’aide à la contractualisation, les dotations urgences, les dotations relatives à la psychiatrie mentionnées
aux 1o, 3o, 5o, 6o, 8o de l’article R. 162-31-1 du même code, ainsi que le montant des transferts prévus à
l’article L. 174-1-2 du même code est abrogé.
Art. 4. – L’arrêté du 15 avril 2024 susvisé est complété par une annexe XIX qui figure en annexe III du présent
arrêté.
Art. 5. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 6 mai 2024.
Le ministre délégué auprès de la ministre
du travail, de la santé et des solidarités,
chargé de la santé et de la prévention,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice générale
de l’offre de soins,
M. DAUDÉ
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie,
des finances et de la souveraineté industrielle et numérique,
chargé des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La cheffe de service,
adjointe au directeur de la sécurité sociale,
D. CHAMPETIER
ANNEXES
ANNEXE I
MONTANTS RÉGIONAUX DES DOTATIONS ANNUELLES DE FINANCEMENT, DES DOTATIONS AFFECTÉES
AUX MISSIONS D’INTÉRÊT GÉNÉRAL ET D’AIDE À LA CONTRACTUALISATION, DES DOTATIONS DE
LA PSYCHIATRIE ET DES DOTATIONS URGENCES
MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE
Régions LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION
POPULATIONNELLE MIGAC DAF HORS USLD DAF SSR MIGAC SSR DAF USLD
URGENCES
Auvergne-Rhône-Alpes 357 120 1 239 752 0 836 244 92 820 165 105
Centre-Val de Loire 135 692 347 766 0 237 359 22 586 54 409
Grand Est 270 665 892 622 0 676 385 52 684 120 764
Hauts-de-France 301 400 917 205 0 665 485 54 727 120 051
Ile-de-France 558 263 2 636 226 3 566 1 328 900 107 074 233 593
MONTANT DE
LA DOTATION MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE MONTANT DE
Régions POPULATIONNELLE LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION LA DOTATION
URGENCES MIGAC DAF HORS USLD DAF SSR MIGAC SSR DAF USLD
Nouvelle-Aquitaine 300 408 890 202 0 577 341 38 328 139 082
Occitanie 264 434 940 800 9 145 527 113 62 820 136 058
Pays de la Loire 143 070 530 752 0 414 559 14 928 73 005
Provence-Alpes-Côte d’Azur 259 442 779 903 0 366 650 74 761 73 449
Auvergne-Rhône-Alpes 1 000 062 5 361 27 728 5 749 111 277 1 150 176
Centre-Val de Loire 309 706 2 615 9 300 278 25 055 346 955
Grand Est 706 960 3 838 58 675 1 073 66 068 836 613
Ile-de-France 1 690 353 7 980 46 673 1 360 106 428 1 852 794
Pays de la Loire 474 078 3 197 5 318 278 34 268 517 139
Provence-Alpes-Côte d’Azur 609 632 3 882 38 760 479 59 273 712 026
Mayotte 0 0 0 0 0 0
ANNEXE II
CRÉDITS TRANSFÉRABLES AU TITRE DE L’ARTICLE L. 174-1-2 DU CODE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
MONTANTS TRANSFERABLES
Régions au titre de l’article L. 174-1-2 du code de la sécurité sociale (en milliers d’euros)
Auvergne-Rhône-Alpes 1 651,1
Bourgogne-Franche-Comté 591,3
Bretagne 651,8
MONTANTS TRANSFERABLES
Régions au titre de l’article L. 174-1-2 du code de la sécurité sociale (en milliers d’euros)
Corse 88,4
Hauts-de-France 1 200,5
Ile-de-France 2 371,6
Normandie 683,2
Nouvelle-Aquitaine 1 390,8
Occitanie 1 452,0
Guadeloupe 115,4
Guyane 14,8
Martinique 77,7
Mayotte 2 977,9
La Réunion 50,0
ANNEXE III
ANNEXE XIX
LISTE DES TARIFS DES SUPPLÉMENTS BIOLOGIE AUX FORFAITS ÂGE URGENCES DES ÉTABLISSEMENTS
MENTIONNÉS AUX A, B ET C DE L’ARTICLE L.162-22 DU CODE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE, AINSI QUE CEUX
APPLICABLES POUR LES ÉTABLISSEMENTS MENTIONNÉS AUX D ET E DU MÊME ARTICLE, Y COMPRIS
POUR LES ÉTABLISSEMENTS SITUÉS DANS LES TERRITOIRES DE LA GUADELOUPE, DE LA MARTINIQUE,
DE LA GUYANE ET DE LA RÉUNION
I. – Tarifs des suppléments biologie des établissements de santé mentionnés aux a, b et c de l’article L. 162-22
du code de la sécurité sociale :
Pour les établissements situés en métropole :
SUPPLEMENT CODE ASSURANCE MALADIE TARIF
II. – Tarifs des suppléments biologie des établissements de santé mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22 du
code de la sécurité sociale :
Pour les établissements situés en métropole :
SUPPLEMENT CODE ASSURANCE MALADIE TARIF
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : TSSS2412004A
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux prévue au premier alinéa
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe I. La fiche d’information
thérapeutique prévue à l’article R 163-2 du code de la sécurité sociale pour RIMMYRAH figure en annexe II du
présent arrêté.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
ANNEXES
ANNEXE I
(2 inscriptions)
Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes, pour
lesquelles la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous :
chez l’adulte :
– traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) exsudative avec une néovascularisation
choroïdienne rétrofovéolaire ;
– traitement de la baisse d’acuité visuelle due à l’œdème maculaire diabétique, en cas de forme diffuse ou de
fuites proches du centre de la macula, chez les patients adultes ayant une acuité visuelle inférieure ou égale
à 5/10 et chez lesquels la prise en charge du diabète a été optimisée ;
– traitement de la baisse d’acuité visuelle due à un œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche
veineuse rétinienne (OBVR) ou u de la veine centrale de la rétine (OVCR) ;
– traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne secondaire à une myopie forte ;
– traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne secondaire à toute autre cause que
la myopie forte ou que la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Code CIP Présentation
34009 302 839 5 0 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) (laboratoires ORION PHARMA S.A.)
34009 302 839 6 7 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) + 1 aiguille filtre (laboratoires ORION
PHARMA S.A.)
Ces spécialités sont prescrites conformément à la fiche d’information thérapeutique figurant à l’annexe II.
ANNEXE II
FICHE D’INFORMATION THÉRAPEUTIQUE
RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab)
(Laboratoire ORION PHARMA S.A.)
Médicament d’exception
Ce médicament est un médicament d’exception car il est particulièrement coûteux et d’indications précises (cf.
article R. 163-2 du code de la sécurité sociale).
Pour ouvrir droit à remboursement, la prescription doit être effectuée sur une ordonnance de médicament
d’exception (www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/formulaires/S3326.pdf) sur laquelle le prescripteur s’engage à
respecter les seules indications mentionnées dans la présente fiche d’information thérapeutique qui peuvent être
plus restrictives que celles de l’autorisation de mise sur le marché (AMM).
RIMMYRAH 10 mg/ml, solution injectable.
Boîte de 1 flacon de 0,23 ml + 1 aiguille-filtre (CIP : 34009 302 839 6 7).
Boîte de 1 flacon de 0,23 ml (CIP : 34009 302 839 5 0).
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 139
(1) HAS. Avis pour la prise en charge à titre dérogatoire de certaines spécialités pharmaceutiques, produits ou prestations
prévue à l’article L. 162-17-2-1. LUCENTIS dans le traitement du pseudoxanthome élastique. https://www.has-sante.
fr/portail/upload/docs/application/pdf/2011-05/lucentis_pxe_art_56.pdf.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 139
5. SMR/ASMR (*)
Service médical rendu de RIMMYRAH 10 mg/ml
Date avis SMR Libellé du SMR
DMLA 19/09/2018 important dans le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) exsudative avec une
(réévaluation) néovascularisation choroïdienne rétrofovéolaire.
OMD 07/07/2021 important dans le traitement de la baisse d’acuité visuelle due à l’œdème maculaire diabétique, en cas de
(réévaluation) forme diffuse ou de fuites proches du centre de la macula, chez les patients adultes ayant une acuité
visuelle inférieure ou égale à 5/10 et chez lesquels la prise en charge du diabète a été optimisée.
OBVR et OVCR 19/09/2018 important dans le traitement de la baisse d’acuité visuelle due à un œdème maculaire secondaire à une
(réévaluation) OBVR ou une OVCR.
NVC myopique 19/09/2018 important dans « le traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne
(réévaluation) secondaire à une myopie forte.
Autres causes de NVC que 19/09/2018 important dans le « traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne
la myopie forte et la (réévaluation) secondaire à toute autre cause que la myopie forte ou que la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
DMLA
DMLA 28/03/2007 amélioration du service médical rendu importante (niveau II) dans la prise en charge des patients atteints
de DMLA avec une néovascularisation choroïdienne rétrofovéolaire.
OMD 07/07/2021 pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) dans la stratégie thérapeutique, comportant
(réévaluation) EYLEA (aflibercept) et OZURDEX (dexaméthasone), de la baisse d’acuité visuelle due à un œdème
maculaire diabétique chez l’adulte en cas formes diffuses ou de fuites proches du centre de la macula,
lorsque l’acuité visuelle est inférieure ou égale à 5/10 et que la prise en charge du diabète a été
optimisée.
OBVR et OVCR 21/01/2015 amélioration du service médical rendu mineure (ASMR IV) par rapport à OZURDEX dans le traitement de
(réévaluation) la baisse visuelle due à un oedème maculaire secondaire à une occlusion de branche veineuse
rétinienne ou de la veine centrale de la rétine.
NVC myopique 04/12/2013 amélioration du service médical rendu modérée (ASMR III) en termes d’efficacité par rapport à VISUDYNE
dans le traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne secondaire à une
myopie forte.
Autres causes de NVC que 21/02/2018 amélioration du service médical rendu mineure (ASMR IV) dans le traitement de la baisse visuelle due à
la myopie forte et la une néovascularisation choroïdienne secondaire à toute autre cause que la myopie forte ou que la
DMLA DMLA.
34009 302 839 5 0 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) (laboratoires 325,62 €
ORION PHARMA S.A.)
34009 302 839 6 7 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) + 1 aiguille filtre 325,62 €
(laboratoires ORION PHARMA S.A.)
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(2 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
chez l’adulte :
– traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) exsudative avec une néovascularisation
choroïdienne rétrofovéolaire ;
– traitement de la baisse d’acuité visuelle due à l’œdème maculaire diabétique, en cas de forme diffuse ou de
fuites proches du centre de la macula, chez les patients adultes ayant une acuité visuelle inférieure ou égale à
5/10 et chez lesquels la prise en charge du diabète a été optimisée ;
– traitement de la baisse d’acuité visuelle due à un œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche
veineuse rétinienne (OBVR) ou u de la veine centrale de la rétine (OVCR) ;
– traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne secondaire à une myopie forte ;
– traitement de la baisse visuelle due à une néovascularisation choroïdienne secondaire à toute autre cause que
la myopie forte ou que la dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Code CIP Présentation
34009 302 839 5 0 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) (laboratoires ORION PHARMA S.A.)
34009 302 839 6 7 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) + 1 aiguille filtre (laboratoires ORION PHARMA S.A.)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics
est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH E. COHN
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(8 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
Pomalidomide Viatris est indiqué, en association avec le bortézomib et la dexaméthasone, dans le traitement du
myélome multiple chez les patients adultes ayant déjà reçu au moins un traitement antérieur comportant le
lénalidomide.
Pomalidomide Viatris est indiqué, en association avec la dexaméthasone, dans le traitement du myélome
multiple en rechute et réfractaire chez les patients adultes ayant déjà reçu au moins deux traitements antérieurs
comportant le lénalidomide et le bortézomib et dont la maladie a progressé pendant le dernier traitement.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 139
34009 302 912 6 9 POMALIDOMIDE VIATRIS 1mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) - Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/14) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 912 8 3 POMALIDOMIDE VIATRIS 1mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/21) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 913 0 6 POMALIDOMIDE VIATRIS 2 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/14) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 913 2 0 POMALIDOMIDE VIATRIS 2 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/21) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 913 4 4 POMALIDOMIDE VIATRIS 3 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/14) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 913 6 8 POMALIDOMIDE VIATRIS 3 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/21) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 913 8 2 POMALIDOMIDE VIATRIS 4 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/14) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 914 1 2 POMALIDOMIDE VIATRIS 4 mg, gélule, 1 gélule (plaquettes unitaires) – Plaquette (PVC-PCTFE/Alu) (B/21) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH E. COHN
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(1 inscription)
Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux la spécialité suivante.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour la spécialité visée ci-dessous, celle qui figure à l’autorisation de mise sur le marché à la date de
publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 649 5 9 LIVMARLI 9,5 mg/ml (maralixibat), solution buvable, 30 ml en flacon (B/1) + 3 seringues pour administration orale (laboratoires
MIRUM PHARMACEUTICALS INTERNATIONAL B.V.)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(1 inscription)
La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des collectivités
et divers services publics.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous, celle qui figure à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 649 5 9 LIVMARLI 9,5 mg/ml (maralixibat), solution buvable, 30 ml en flacon (B/1) + 3 seringues pour administration orale (laboratoires MIRUM
PHARMACEUTICALS INTERNATIONAL B.V.)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(1 inscription)
La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des collectivités
et divers services publics :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous « en association à la prednisone ou la prednisolone, dans le traitement des patients adultes avec un
cancer de la prostate métastatique, résistant à la castration précédemment traités par un traitement à base de
docétaxel ».
Code CIP Présentation
34009 550 926 5 0 CABAZITAXEL TILLOMED 60 mg, solution à diluer et solvant pour solution pour perfusion, 1,5 mL en flacon (verre) + 5,67 mL de
solvant en flacon (en verre) (laboratoires MEDIPHA SANTE)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 7 mai 2024 relatif aux conditions de prise en charge de spécialités pharmaceutiques
disposant d’une autorisation de mise sur le marché inscrites sur la liste visée à l’article L. 5126-6
du code de la santé publique
NOR : TSSS2412263A
liste prévue à l’article L. 5126-6 du code de la santé publique qui figurent en annexe sont prises en charge par
l’assurance maladie conformément à l’article L. 162-17, deuxième alinéa, du code de la sécurité sociale. Cette
annexe précise les seules indications thérapeutiques et, le cas échéant, les conditions de prescription ouvrant droit à
la prise en charge ou au remboursement des spécialités.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH E. COHN
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(4 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes, pour lesquelles la participation de l’assuré est fixée par l’Union
nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM), est inscrite sur la liste visée à l’article L. 162-17, deuxième
alinéa, du code de la sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie, pour les spécialités visées ci-dessous, sont celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date du présent arrêté.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 139
Pomalidomide Viatris est indiqué, en association avec le bortézomib et la dexaméthasone, dans le traitement du
myélome multiple chez les patients adultes ayant déjà reçu au moins un traitement antérieur comportant le
lénalidomide.
Pomalidomide Viatris est indiqué, en association avec la dexaméthasone, dans le traitement du myélome
multiple en rechute et réfractaire chez les patients adultes ayant déjà reçu au moins deux traitements antérieurs
comportant le lénalidomide et le bortézomib et dont la maladie a progressé pendant le dernier traitement.
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus
des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité
sociale
NOR : TSSS2413066A
l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La cheffe du pôle
du financement Recherche et accès à l’innovation,
du système de soins, J. LAGRAVE
C. DELPECH
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 139
ANNEXE
(1 inscription)
La spécialité suivante est inscrite sur la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations
d’hospitalisation visée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge en sus par l’assurance maladie est, pour la
spécialité visée ci-dessous :
– en association à la prednisone ou la prednisolone, traitement des patients adultes présentant un cancer de la
prostate métastatique, hormono-résistant, précédemment traités par un traitement à base de docétaxel.
Dénomination Laboratoire exploitant
Commune Libellé de la spécialité Code UCD Libellé de l’UCD ou titulaire de l’autorisation
Internationale pharmaceutique de mise sur le marché
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 mai 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus
des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-23-6 du code de la sécurité
sociale
NOR : TSSS2413080A
l’article L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La cheffe du pôle
du financement Recherche et accès à l’innovation,
du système de soins, J. LAGRAVE
C. DELPECH
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(4 inscriptions)
Les spécialités suivantes sont inscrites sur la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des
prestations d’hospitalisation visée à l’article L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge en sus par l’assurance maladie sont, pour
les spécialités visées ci-dessous :
– en association avec le bortézomib et la dexaméthasone, dans le traitement du myélome multiple chez les
patients adultes ayant déjà reçu au moins un traitement antérieur comportant le lénalidomide ;
– en association à la dexaméthasone, dans le traitement du myélome multiple en rechute et réfractaire chez les
patients adultes ayant déjà reçu au moins deux traitements antérieurs comportant le lénalidomide et le
bortézomib et dont la maladie a progressé pendant le dernier traitement.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 mai 2024 relatif à la mise en place d’un programme de financement destiné à
encourager la production, le déploiement et l’exploitation au sein de Mon espace santé du
programme personnalisé de soins en cancérologie
NOR : TSSD2309767A
Le ministre délégué auprès de la ministre du travail, de la santé et des solidarités, chargé de la santé et de la
prévention,
Vu la décision de la Commission du 20 décembre 2011 (2012/21/UE) relative à l’application de l’article 106,
paragraphe 2, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ;
Vu le code de la santé publique ;
Vu la convention constitutive du groupement d’intérêt public « Agence du numérique en santé », modifiée en
dernier lieu par un avenant approuvé par arrêté du 8 avril 2021, notamment ses articles 3 et 4 ;
Vu la convention constitutive du groupement d’intérêt public « Institut national du cancer », modifiée en dernier
lieu par un avenant approuvé par arrêté du 18 décembre 2019,
Arrête :
Art. 1 . – Un programme de financement, destiné à encourager l’évolution des dossiers communicants de
er
cancérologie, outils de production des documents du parcours de soins en cancérologie, proposés par les
plateformes numériques régionales sous la coordination des Agences régionales de santé, est mis en place.
Les financements relevant du programme créé par le présent arrêté sont attribués aux Dispositifs spécifiques
régionaux du cancer visés à l’article R. 6123-90-1 du code de la santé publique et aux Groupements régionaux
d’appui au développement de l’e-Santé, opérateurs des plateformes régionales mentionnées à l’article 1er, afin
d’atteindre des cibles techniques de développement et de déploiement opérationnel des programmes personnalisés
de soins en cancérologie permettant leur dépôt dans l’espace numérique de santé, dans le respect des référentiels de
l’article L. 1470-5 du même code.
Art. 2. – Le financement mentionné à l’article 1er est attribué dans le cadre d’un appel à projets mis en œuvre
par l’Agence du numérique en santé, groupement d’intérêt public visé à l’article L. 1111-24 du code de la santé
publique, en application des dispositions du troisième alinéa du même article. Cet appel à projet est organisé selon
une procédure transparente, assurant un libre et égal accès aux opérateurs intéressés. Le nombre d’opérateurs admis
à y participer ne peut être contingenté.
Art. 3. – I. – L’Agence du numérique en santé est chargée de la gestion technique, administrative et financière
du programme de financement défini par le présent arrêté. Elle rend compte régulièrement à l’Etat des engagements
et des versements exécutés au titre du présent arrêté. L’Agence du numérique en santé procède, préalablement à la
mise en œuvre de l’appel à projets, à une publicité destinée à permettre à tout opérateur intéressé de se manifester.
Cette publicité est notamment effectuée au moyen d’un avis publié au Journal officiel et sur le site internet de
l’Agence du numérique en santé. L’Agence du numérique en santé peut déléguer certaines compétences prévues au
présent article ou faire appel à un ou plusieurs prestataires pour concourir à l’exécution des missions précitées.
II. – L’Agence du numérique en santé s’appuie sur l’Institut national du cancer pour la réception des
candidatures, l’expertise des dossiers et le suivi des projets financés.
III. – Les modalités de mise en œuvre de l’appel à projet sont précisées dans une convention bipartite entre
l’Agence du numérique en santé et l’Institut national du cancer.
Art. 4. – I. – Une convention est également conclue entre chaque bénéficiaire de l’appel à projets et l’Agence
du numérique en santé. Cette convention définit les droits et obligations réciproques des parties.
II. – Tout opérateur mentionné à l’article 1er ayant conclu la convention mentionnée au I du présent article peut
prétendre à un financement afin de réaliser l’opération informatique permettant l’évolution des dossiers
communicants de cancérologie.
III. – La résiliation de la convention mentionnée au I emporte de plein droit, pour l’opérateur mentionné à
l’article 1er, la perte du droit d’accès au programme de financement défini par le présent arrêté.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 139
Art. 5. – I. – L’Agence du numérique en santé réalise, ou peut faire réaliser par tout tiers, les contrôles
nécessaires à la vérification du respect, par tout opérateur bénéficiaire du financement, des dispositions légales,
réglementaires et des stipulations de la convention mentionnée au I de l’article 4. Ces contrôles peuvent avoir lieu à
tout moment et être réalisés sur place ou sur pièces. L’opérateur susvisé tient à disposition de l’Agence du
numérique en santé tout document permettant d’effectuer ces contrôles. Toute entrave à ces contrôles peut donner
lieu, après que le bénéficiaire a été mis en mesure de présenter ses observations dans un délai raisonnable, à
l’obligation de reverser les financements perçus sur son fondement.
II. – En cas de non-respect des dispositions légales ou réglementaires ou des dispositions de la convention
mentionnée au I de l’article 4, l’Agence du numérique en santé et ses prestataires éventuels peuvent, après mise en
demeure de l’opérateur concerné de remédier aux manquements constatés ou de présenter ses observations dans un
délai raisonnable, ordonner le reversement des financements perçus sur son fondement, avant de procéder au
recouvrement des sommes correspondant à ces financements.
III. – En cas de fraude affectant l’attribution et le versement des financements ou l’exécution de la convention
visée au I de l’article 4, l’Agence du numérique en santé peut, après avoir mis l’opérateur concerné en mesure de
présenter ses observations dans un délai raisonnable, ordonner le reversement des financements perçus sur son
fondement, recouvrer les sommes correspondant à ces financements et engager des poursuites pénales.
IV. – Le retrait du financement emporte de plein droit l’obligation pour l’opérateur bénéficiaire de reverser les
financements perçus.
Art. 6. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 mai 2024.
Pour le ministre et par délégation :
La déléguée au numérique en santé,
H. GHARIANI
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 mai 2024 fixant pour l’année 2024 l’objectif de dépenses et le montant total annuel
des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité
pour l’autonomie mentionnée à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles et
fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code
NOR : TSSS2413502A
Arrêtent :
Art. 1er. – L’objectif de dépenses mentionné au I de l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles
est fixé à 31 480,59 millions d’euros pour l’année 2024, dont 16 255,32 millions d’euros pour les établissements et
services accueillant des personnes âgées dépendantes mentionnés aux 2o et 3o de l’article L. 314-3-1 du même code
et 15 225,27 millions d’euros pour les établissements et services accueillant des personnes handicapées mentionnés
aux 1o et 2o du même article.
Art. 2. – Le montant total annuel des dépenses prises en compte pour le calcul des dotations globales, forfaits,
prix de journée et tarifs afférents aux prestations des établissements et services mentionnés à l’article L. 314-3-1 du
code de l’action sociale et des familles est fixé, sur la base de l’objectif de dépenses mentionné à l’article 1er,
à 31 517,59 millions d’euros pour 2024, dont 16 255,32 millions d’euros pour les établissements et services
accueillant des personnes âgées dépendantes mentionnés aux 1o et 3o de l’article L. 314-3-1 du même code et
15 262,27 millions d’euros pour les établissements et services accueillant des personnes handicapées mentionnés
aux 1o et 2o du même article.
Art. 3. – Le montant total des dépenses afférentes aux placements de personnes handicapées dans les
établissements visés au 4o du I de l’article L. 314-3-1 du code de l’action sociale et des familles qui exercent cette
activité en Belgique est fixé à 322,03 millions d’euros pour l’exercice 2024.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 mai 2024.
La ministre du travail,
de la santé et des solidarités,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur de la sécurité sociale,
P. PRIBILE
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
des politiques sociales et de l’emploi,
A. SAUVEPLANE
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Art. 2. – Les vétérinaires spécialistes qui se prévalaient dans l’exercice de leur profession, du titre de
vétérinaire spécialiste en « pathologie clinique vétérinaire » peuvent continuer de se prévaloir de ce titre
jusqu’au 31 décembre 2024. A compter de cette date, ils peuvent se prévaloir du titre de vétérinaire spécialiste en
« biologie médicale vétérinaire » sous réserve d’être inscrits sur la liste, prévue à l’article R. 241-28 du code rural
et de la pêche maritime, tenue à jour par le Conseil national de l’ordre des vétérinaires.
Art. 3. – Le directeur général de l’enseignement et de la recherche et le président du Conseil national de l’ordre
des vétérinaires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 2 mai 2024.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général
de l’enseignement et de la recherche,
B. BONAIMÉ
ANNEXE
SPÉCIALITÉS VÉTÉRINAIRES
Chirurgie équine
Dermatologie vétérinaire
SPÉCIALITÉS VÉTÉRINAIRES
Neurologie vétérinaire
Ophtalmologie vétérinaire
Reproduction animale
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 3 mai 2024 modifiant l’arrêté du 17 octobre 2023 portant nomination des membres des
comités techniques nationaux de prévention des accidents du travail et des maladies
professionnelles des salariés agricoles
NOR : AGRS2411911A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 3 mai 2024, l’arrêté
du 17 octobre 2023 portant nomination des membres des comités techniques nationaux de prévention des accidents
du travail et des maladies professionnelles des salariés agricoles est modifiée comme suit :
1o La composition du comité technique national de prévention no 1 « Exploitations agricoles et assimilées » est
modifié comme suit :
Le b En qualité de représentants des employeurs de main-d’œuvre agricole est complété par les dispositions
suivantes :
« Au titre de l’Union française des semenciers :
« Titulaire : Mme Isabelle PAUCHET-MATTLER. » ;
2o La composition du comité technique national de prévention no 5 « Organismes de services » est modifiée
comme suit :
Le b En qualité de représentants des employeurs de main-d’œuvre agricole est complété par les dispositions
suivantes :
« Au titre de la Fédération nationale des sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER) :
« Titulaire : M. Hubert BOURGOIS. »
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 3 mai 2024 modifiant l’arrêté du 5 février 2024 fixant au titre de l’année 2024
le contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à des emplois civils
NOR : AGRS2412694A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 3 mai 2024, les dispositions de
l’arrêté du 5 février 2024 fixant au titre de l’année 2024 le contingent d’emplois offerts aux militaires candidats à
des emplois civils, sont modifiées comme suit :
– les mots : « de catégorie B » sont supprimés ;
– sont insérés après les mots : « ainsi qu’il suit : »
« – 1 emploi d’infirmier de l’Etat ;
« – 3 emplois d’attaché d’administration de l’Etat ; ».
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 7 mai 2024 modifiant l’arrêté du 28 février 2024 autorisant au titre de l’année 2024
l’ouverture de concours externes et internes pour le recrutement d’ingénieurs d’études de
classe normale du ministère chargé de l’agriculture
NOR : AGRS2412215A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 7 mai 2024, l’arrêté
du 28 février 2024 autorisant, au titre de l’année 2024, l’ouverture de concours externes et internes pour le
recrutement d’ingénieurs d’études de classe normale du ministère chargé de l’agriculture est modifié comme suit :
1o Au lieu de :
« Le nombre total de places offertes est fixé à 19. »
Lire :
« Le nombre total de places offertes est fixé à 18. »
2o Au lieu de :
« Concours internes : 10 places sont offertes dans le grade d’ingénieur d’études de classe normale afin de
pourvoir les postes suivants :
«
Branches d’activités Descriptions des emplois-types Nombre Affectations
professionnelles de places
BAP E : informatique et calcul E2B02 Administrateur système et ressources informatiques 1 AgroParisTech - Campus Agro Paris-
scientifique Saclay
»,
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 139
Lire :
« Concours internes : 9 places sont offertes dans le grade d’ingénieur d’études de classe normale afin de pourvoir
les postes suivants :
«
Branches d’activités Nombre
professionnelles Descriptions des emplois-types de places Affectations
BAP E : informatique et calcul E2B02 Administrateur système et ressources informatiques 1 AgroParisTech - Campus Agro Paris-
scientifique Saclay
».
(Le reste sans changement).
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 10 mai 2024 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’examens professionnels
pour l’avancement aux grades de technicien principal et de chef technicien du ministère chargé
de l’agriculture
NOR : AGRS2412835A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 10 mai 2024, est autorisée au
titre de l’année 2024, l’ouverture d’examens professionnels pour l’avancement aux grades de technicien principal
et de chef technicien du ministère chargé de l’agriculture.
Le nombre de places offertes est fixé comme suit :
– technicien principal : 76 places ;
– chef technicien : 65 places.
Les inscriptions se feront par internet sur le site : https://www.concours.agriculture.gouv.fr/ du 21 mai
au 21 juin 2024 à minuit (heure de Paris). La date limite de dépôt des pièces justificatives est fixée au 5 juillet 2024.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par voie électronique, les candidats pourront obtenir un dossier d’inscription
sur demande écrite, en recommandé simple, au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,
secrétariat général, service des ressources humaines, SDDPRS, bureau des concours et des examens professionnels,
78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
La date limite de retour des dossiers papier complets d’inscription est fixée au 5 juillet 2024 (le cachet de la poste
faisant foi). Ils devront être renvoyés obligatoirement par voie postale et en recommandé simple à l’adresse
ci-dessus.
Aucun dossier posté hors délai ne sera pris en compte.
Les candidats devront donc veiller à demander leur dossier d’inscription suffisamment tôt pour tenir compte des
délais d’acheminement du courrier.
Les épreuves écrites de ces deux examens professionnels se dérouleront le 17 septembre 2024 dans les centres
ouverts sur le territoire national.
Les candidats en situation de handicap qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat
médical établi par un médecin agréé par l’administration. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de
six mois avant le déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des
aménagements nécessaires pour permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de
composer dans des conditions compatibles avec leur situation.
Le certificat médical doit être téléversé par le candidat dans son espace candidat, par internet sur le site :
https://www.concours.agriculture.gouv.fr/ dès l’inscription et au plus tard 3 semaines avant le déroulement des
épreuves, soit le 26 août 2024, conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des
équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des
procédures de recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap.
L’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel de chef technicien se déroulera à Paris à partir
du 2 décembre 2024.
Les candidats déclarés admissibles téléverseront leur dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience
professionnelle dans leur espace candidat personnel accessible depuis le site internet du ministère de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire : https://www.concours.agriculture.gouv.fr/.La date limite de téléversement de ces
dossiers est fixée au 4 novembre 2024, dernier délai.
Tout candidat résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution ou à l’étranger,
en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, bénéficie, à sa demande, du
recours à la visioconférence pour passer l’épreuve orale dans les conditions fixées par l’arrêté du 22 décembre 2017
fixant les conditions de recours à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à la fonction publique de
l’Etat.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 139
Sa demande écrite doit être adressée au bureau des concours et des examens professionnels au plus tard le
4 novembre 2024 :
– soit par voie électronique, à l’adresse suivante : concours.sg@agriculture.gouv.fr ;
– soit par voie postale, à l’adresse suivante : ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,
secrétariat général, service des ressources humaines, SDDPRS, bureau des concours et des examens
professionnels, 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
Par ailleurs, les candidats en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, ayant
demandé à bénéficier du recours à la visioconférence, devront produire à la même adresse, dans les meilleurs délais
et au plus tard 15 jours avant le début des épreuves orales, un certificat médical délivré par un médecin agréé par
l’administration et comportant la mention de l’aménagement relatif à la visioconférence.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
que modifié sur proposition de la commission permanente du comité national des indications géographiques
protégées, labels rouges et spécialités traditionnelles garanties de l’Institut national de l’origine et de la qualité, est
homologué.
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-d8f15341-
daf3-40a0-9423-1ef962e16a38.
Art. 2. – A l’article 1er de l’arrêté du 11 août 2017 susvisé, les termes : « – no LA 05/08 “Salaisons sèches à
base de viande de porc” ; » sont supprimés.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 mai 2024.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjoint au sous-directeur Compétitivité,
N. CHEREL
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 mai 2024 modifiant l’arrêté du 22 avril 2024 relatif aux concours d’admission aux
écoles de formation des officiers de carrière de l’armée de terre et du service de l’énergie
opérationnelle à compter des concours se déroulant en 2025
NOR : ARMT2413267A
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Arrêté du 14 mai 2024 fixant pour l’année 2024 les objectifs de répartition proportionnée
des accueils des mineurs privés temporairement ou définitivement de la protection de leur famille
NOR : JUSF2411097A
définitivement de la protection de leur famille par les départements, la métropole de Lyon et la collectivité
territoriale de Corse sont fixés, pour l’année civile en cours, conformément au tableau figurant en annexe qui
précise la clé de répartition, arrondie à deux décimales, propre à chaque collectivité.
Art. 2. – La directrice de la protection judiciaire de la jeunesse est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 mai 2024.
ÉRIC DUPOND-MORETTI
ANNEXE
Département Clé de répartition
pour l’année 2024
Clé de répartition
Département pour l’année 2024
Clé de répartition
Département pour l’année 2024
Clé de répartition
Département pour l’année 2024
TEXTES GÉNÉRAUX
1o Au 2o, les mots : « l’Assemblée des communautés de France » sont remplacés par les mots :
« Intercommunalités de France » ;
2o Le 3o est ainsi modifié :
a) Au premier alinéa, les mots : « dix-neuf » sont remplacés par les mots : « vingt et un » ;
b) Le 3o est complété par deux alinéas ainsi rédigés :
« – un représentant de la Fédération française des métiers de l’incendie ; »
« – un représentant du Groupement des professionnels fédérés du diagnostic immobilier ; »
3o Au 5o, le mot : « six » est remplacé par le mot : « cinq ».
Art. 2. – Le présent décret entre en vigueur le 1er juin 2024.
Art. 3. – Le ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires et le ministre délégué auprès
du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargé du logement, sont chargés, chacun
en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République
française.
Fait le 16 mai 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
CHRISTOPHE BÉCHU
Le ministre délégué auprès du ministre
de la transition écologique et de la cohésion
des territoires, chargé du logement,
GUILLAUME KASBARIAN
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret du 15 mai 2024 portant classement, parmi les sites de la Haute-Marne, du site
de « la Haute vallée et les gorges de la Vingeanne », sur le territoire de la commune d’Aprey
NOR : TREL2317580D
Par décret en date du 15 mai 2024, est classé parmi les sites du département de la Haute-Marne, le site de
« la Haute vallée et les gorges de la Vingeanne » sur le territoire de la commune d’Aprey.
Le présent décret, ainsi que le descriptif parcellaire, la carte au 1/25 000 et le plan cadastral annexés, pourront
être consultés à la préfecture de la Haute-Marne, 89, rue Victoire-de-la-Marne, 52000 Chaumont et à la mairie
d’Aprey, 6, place du Marché, 52250 Aprey.
La délimitation de cette servitude et le présent décret pourront également être consultés sur la plateforme
nationale de consultation des servitudes d’utilité publique disponible à l’adresse suivante : https://www.geoportail-
urbanisme.gouv.fr/.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
– l’arrêté du 13 octobre 2005 portant définition du modèle d’imprimé pour l’établissement de l’état des risques
naturels et technologiques ;
– l’arrêté du 13 juillet 2018 modifiant l’arrêté du 13 octobre 2005 portant définition du modèle d’imprimé pour
l’établissement de l’état des risques naturels et technologiques ;
– l’arrêté du 9 juin 2021 portant modification de l’arrêté du 13 octobre 2005 portant définition du modèle
d’imprimé pour l’établissement de l’état des risques naturels et technologiques.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 avril 2024.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général
de la prévention des risques,
C. BOURILLET
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 139
TEXTES GÉNÉRAUX
l’Etat, adjointe au directeur du centre ministériel de valorisation des ressources humaines, à l’effet de signer, au
nom des ministres chargées de la transition écologique et de la cohésion des territoires, de la transition énergétique,
et de la mer, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions du centre
ministériel de valorisation des ressources humaines (CMVRH).
Art. 2. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 1, dans la limite des attributions
qui sont confiées à leur entité, à l’effet de signer, au nom des ministres chargées de la transition écologique et de la
cohésion des territoires, de la transition énergétique, et de la mer, tous actes et décisions, à l’exclusion des actes
suivants : décrets, arrêtés, protocoles transactionnels, baux, et actes de commande publique d’un montant égal ou
supérieur à 25 000 € hors taxes.
Art. 3. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 2, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres chargées de la transition écologique et de la
cohésion des territoires, de la transition énergétique, et de la mer, tout acte de commande publique inférieur à
25 000 € hors taxes ainsi que tous les actes cités à l’article 4.
Art. 4. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 3, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres chargées de la transition écologique et de la
cohésion des territoires, de la transition énergétique, et de la mer, tout acte relevant de leurs attributions, ainsi que
tout acte relatif à l’exécution budgétaire et comptable dans les outils de gestion budgétaire et comptable dans la
limite de 25 000 € hors taxes.
Art. 5. – La décision du 8 décembre 2023 portant délégation de signature au centre ministériel de valorisation
des ressources humaines est abrogée à la date d’entrée en vigueur de la présente décision.
Art. 6. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 mai 2024.
J. CLEMENT
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 139
ANNEXES
ANNEXE 1
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 2
Directeurs
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
Directeurs adjoints
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
BORRAS Georges à compter du ITPE HC Directeur adjoint du CVRH de Paris CVRH de Paris
18/05/24
ANNEXE 2
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 3
Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
MOOTHOOCARPEN Anne ITPE Secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités
HACHIN Laurence APAE Secrétaire générale du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
BAUGNIES Laetitia AAE Secrétaire générale adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
DANYLAK-MATON Audrey AAE Adjointe au secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités
ARRACHART Jean-Marc AAE Secrétaire général du CVRH de Mâcon Toutes les entités
ROMARY Sandra AAE Secrétaire générale du CVRH de Nancy Toutes les entités
RIGOLLET Anne-Brigitte AAE Secrétaire générale du CVRH de Nantes Toutes les entités
LENORMAND Bruno ITPE Secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités
DONUTI Gabriela AAE Chargée de mission en organisation et fonctionnement du CVRH de Toutes les entités
Rouen
BATAILLE Pauline APAE Secrétaire générale du CVRH de Tours Toutes les entités
ANNEXE 3
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 4
Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
GIRAUD Thierry TSCDD Secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités
BONHOMME Christine SACDD CE Secrétaire générale du CVRH de Toulouse Toutes les entités
LE BESQUE Bertrand SACDD CE Chargé de mission temporaire au CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités
JULIEN Jean-Paul SACDD CE Adjoint à la secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités
MACHENSKI Joëlle TSCDD Adjointe à la secrétaire générale du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
HURLUPE Delphine TSPDD Gestionnaire comptable et financier au CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
AGUIRRE Aurélien TSCDD Responsable du pôle de gestion au CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
BIREMBAUX Sophie TSPDD Chargée des ressources humaines et affaires financières au CVRH Toutes les entités
d’Arras-Valenciennes
NAVOIZAT Catherine AAP1 Gestionnaire comptable au CVRH de Mâcon Toutes les entités
LE FLOCH Mikaël SACDD CS Adjoint à la secrétaire générale du CVRH de Nantes Toutes les entités
GUGGENBUHL Céline SACDD CN Gestionnaire comptable des CVRH de Paris et Nancy Toutes les entités
FERREIRA-MARTINS Béatrice SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités
BRANILOVIC Sarah SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Rouen Toutes les entités
DUCROS Marie-Claude SACDD CS Gestionnaire financière au CVRH de Toulouse Toutes les entités
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DENES Patricia AAP1 Gestionnaire de crédits au CVRH de Tours Toutes les entités
DECONIHOUT Cindy SACDD CN Gestionnaire comptable au CVRH de Tours Toutes les entités
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 6 mai 2024, Mme Sultan (Anne) est nommée présidente du conseil d’école de l’Institut Mines-Télécom - école
de management (Institut Mines-Télécom Business School) pour une durée de quatre ans.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et de la ministre
déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargée
des entreprises, du tourisme et de la consommation, en date du 10 mai 2024, Mme Layla RAHHOU, déléguée
générale de la Fédération du commerce et de la distribution, est nommée membre titulaire de la commission
d’examen des pratiques commerciales, au titre des représentants des grossistes et des distributeurs, en
remplacement de M. Jacques CREYSSEL, pour la durée du mandat restant à courir.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique, chargé des comptes publics, en date du 13 mai 2024, M. Thierry PONSARD, inspecteur divisionnaire
des finances publiques hors classe, est nommé agent comptable intérimaire du Groupement d’intérêt public
« Centre d’Action Médico-Sociale Précoce du Jura » (CAMSP du Jura), en remplacement de Mme Christelle
DESVIGNES.
Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressé.
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et du ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics, en date
du 14 mai 2024, Mme Eliane PAILLAS, inspectrice divisionnaire des finances publiques hors classe, est nommée
agent comptable de l’établissement public local d’enseignement et de formation professionnelle agricoles de
Saint-Gaudens, en remplacement de Mme Elodie RIBES (ex CAUQUIL).
Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressée.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 14 mai 2024, M. Franck TESTANIERE, administrateur supérieur des douanes et droits indirects à Montpellier
(direction interrégionale des douanes d’Occitanie) est nommé, à compter du 15 juillet 2024, dans l’emploi
d’administrateur général des douanes et droits indirects à Marseille (direction interrégionale des douanes de
Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse) pour exercer les fonctions de directeur interrégional des douanes en
remplacement de Mme Annick BARTALA.
Il est nommé dans cet emploi pour une durée maximale de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation du même emploi de six ans.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 14 mai 2024, M. Alexis BULIARD, directeur des services douaniers de 1re classe à Marseille (direction
interrégionale des douanes de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse) est nommé, à compter du 1er juillet 2024, dans
l’emploi d’administrateur des douanes et droits indirects à Montpellier (direction interrégionale des douanes
d’Occitanie) pour exercer les fonctions d’adjoint au directeur interrégional en remplacement de M. Stéphane
MAGE.
Il est nommé dans cet emploi pour une durée maximale de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation du même emploi de six ans.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique, chargé des comptes publics, en date du 14 mai 2024, Mme Gisèle GANHI, inspectrice divisionnaire
des finances publiques de classe normale, est nommée agent comptable de l’Autorité des marchés financiers,
en remplacement de M. Gilles MENANTEAU.
Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressée.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique en date du 15 mai 2024, Mme Sophie de CASTELNAU, administratrice de l’Etat du deuxième grade,
est renouvelée dans l’emploi d’experte de haut niveau (groupe III), adjointe au délégué à l’encadrement supérieur,
au secrétariat général des ministères économiques et financiers, pour une durée de trois ans, à compter
du 15 juin 2024.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par décret en date du 15 mai 2024, M. Jean-Yves TOLOT est nommé membre du conseil d’administration de
l’Agence française de développement, en qualité de personnalité qualifiée, au titre du ministre chargé de
l’immigration.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Décret du 16 mai 2024 portant nomination de la secrétaire générale des services de l’Etat,
responsable de la coordination des politiques publiques auprès du préfet de la région Guyane,
préfet de la Guyane (groupe II) - Mme GHILBERT (Florence)
NOR : IOMA2408191D
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, Mme Florence GHILBERT, sous-préfète de
Rambouillet (groupe III), est nommée secrétaire générale des services de l’Etat (groupe II), responsable de la
coordination des politiques publiques auprès du préfet de la région Guyane, préfet de la Guyane, pour une durée de
trois ans.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, M. Laurent VIGNAUD, sous-préfet de Chinon
(groupe IV), est nommé sous-préfet de Romorantin-Lanthenay (groupe IV), pour une durée de trois ans.
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MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, M. Renaud FERRAND, administrateur de
l’Etat du grade transitoire, est nommé directeur de la Caisse nationale militaire de sécurité sociale, à compter
du 1er mai 2024.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, il est mis fin aux fonctions de directeur de la
Caisse nationale militaire de sécurité sociale exercées par M. Thierry BARRANDON, administrateur de l’Etat du
grade transitoire, à compter du 1er avril 2024.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du travail, de la santé et des solidarités et du ministre délégué auprès du ministre de
l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics, en date
du 8 avril 2024, sont nommés membres du conseil d’administration de la caisse de prévoyance et de retraite du
personnel ferroviaire :
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du travail, de la santé et des solidarités en date du 29 avril 2024, M. Mathieu LE ROCH,
inspecteur du travail, affecté à la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités de
Nouvelle-Aquitaine, est promu au grade de directeur adjoint du travail, à compter du 1er janvier 2024.
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de l’alimentation et de la ministre des sports et des jeux Olympiques et
Paralympiques en date du 25 avril 2024, Mme Marie-Aude STOFER, ingénieure en chef des ponts, des eaux et des
forêts, sous-directrice Filières forêt-bois, cheval et bioéconomie, est nommée commissaire du Gouvernement
auprès de l’établissement public Institut français du cheval et de l’équitation, en remplacement de
M. Sylvain RÉALLON.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 139
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du directeur du centre ministériel de gestion de Rennes en date du 6 mai 2024, M. Gilles
MONTOUILLOUT, ingénieur civil de la défense, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa demande, à
compter du 1er août 2024.
A cette même date, l’intéressé est radié des cadres du ministère des armées.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 139
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la directrice du centre ministériel de gestion de Toulon en date du 6 mai 2024, M. Bruno
COLEMAN, ingénieur civil de la défense hors classe, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa
demande, à compter du 1er octobre 2024.
A cette même date, l’intéressé est radié des cadres du ministère des armées.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 139
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, Mme Emmanuelle CARNIELLO, magistrate
du premier grade, est maintenue en position de détachement auprès de la direction des services judiciaires de la
Principauté de Monaco, afin d’exercer les fonctions de substitute du procureur général, pour une durée de deux ans,
à compter du 24 mai 2024.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 139
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par décret du Président de la République en date du 16 mai 2024, vu l’avis du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 23 avril 2024, sont nommées :
ADMINISTRATION CENTRALE
Première substitute à l’administration centrale du ministère de la justice : Mme Julie RAVENNE,
vice-présidente au tribunal judiciaire de Pontoise.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 139
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 mai 2024, M. Dieudonné MBELEG, directeur
des services pénitentiaires hors classe, est nommé chef d’établissement du centre pénitentiaire de Nantes, emploi de
direction du groupe III du ministère de la justice, pour une durée de quatre ans, à compter du 1er juillet 2024, avec
une période probatoire de six mois.
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MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du vice-président du Conseil d’Etat en date du 7 mai 2024, M. Stéphane BROTONS, président
honoraire du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel à compter
du 11 juillet 2024, est inscrit, à la même date, sur la liste des magistrats honoraires prévue à l’article L. 222-2-1 du
code de justice administrative.
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MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du vice-président du Conseil d’Etat en date du 7 mai 2024, M. Benjamin CHABERNAUD, premier
conseiller du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, en service
détaché, est réintégré dans son corps d’origine, à compter du 1er septembre 2024.
A la même date, M. Benjamin CHABERNAUD est affecté à la cour administrative d’appel de Nantes.
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 30 avril 2024, sont
nommés membres du conseil d’administration de l’Agence de l’eau Adour-Garonne :
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 10 mai 2024 portant nomination des membres du comité de présélection ministériel
pour la sélection de la liste d’aptitude d’accès au corps des administrateurs de l’Etat au titre
de l’année 2024
NOR : TREK2412860A
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 10 mai 2024, sont
nommés membres du comité de présélection du ministère de la transition écologique et de la cohésion des
territoires, chargé de l’établissement de la liste des candidats présélectionnés pour la sélection interministérielle au
titre de 2024 :
M. Guillaume LEFORESTIER, secrétaire général, en qualité de président ;
M. Jacques CLEMENT, directeur des ressources humaines ;
M. Laurent TAPADINHAS, délégué ministériel à l’encadrement supérieur ;
Mme Sophie MOURLON, directrice générale de l’énergie et du climat ;
Mme Isabelle LASMOLES, directrice régionale adjointe de l’environnement, de l’aménagement et du
logement ;
Mme Jeanne STRAUSZ, secrétaire générale de Météo-France ;
M. Christophe PEYREL, chef du service de défense et de sécurité, haut fonctionnaire adjoint de défense et de
sécurité, placé auprès du secrétaire général des ministères de l’éducation nationale et de la jeunesse, des sports et
des jeux Olympiques et Paralympiques et de l’enseignement supérieur et de la recherche, en qualité de personnalité
extérieure.
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du Premier ministre, du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 15 mai 2024,
Mme Coralie RUFFENACH, ingénieure en chef des mines, est nommée sous-directrice de l’efficacité énergétique
et de la qualité de l’air au sein de la direction du climat, de l’efficacité énergétique et de l’air, à la direction générale
de l’énergie et du climat, pour une durée de trois ans, à compter du 1er juin 2024, avec une période probatoire
de six mois.
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MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du Premier ministre et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date
du 15 mai 2024, dans l’arrêté du 3 mai 2024 portant nomination de Mme Emilie VOUILLEMET, les mots : « de la
qualité du cadre de vie » sont remplacés par les mots : « de l’urbanisme réglementaire et des paysages ».
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CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de la santé et des solidarités
envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant
dans son champ d’application, les stipulations de l’avenant ci-après indiqué.
Cet avenant pourra être consulté en direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs
observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de la santé et des solidarités (DGT,
bureau DS1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant départemental (Var) du 22 février 2024.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, de la santé et des solidarités.
Objet :
Prévention des incommodités d’emploi.
Signataires :
Union des industries et métiers de la métallurgie UIMM Alpes - Méditerranée.
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFDT et à la CFE-CGC.
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Par arrêté du premier président de la Cour des comptes en date du 14 mai 2024, en application de
l’article L. 122-7 du code des juridictions financières, sont nommés au comité consultatif en tant que membre de la
Cour des comptes en exercice :
Mme Maïa Wirgin, conseillère maître.
M. Fabrice Bakhouche, conseiller maître.
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service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio Voix dans le désert-
RVLD est à nouveau reconduite pour une durée de cinq ans, à compter du 5 novembre 2024.
Art. 2. – L’association Voix dans le désert est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision.
Art. 3. – I. – Sur demande expresse de l’Autorité, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui
communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste
l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
II. – Si l’Autorité constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à l’Autorité les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
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du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Voix dans le désert et publiée au Journal officiel de
la République française.
Fait au Lamentin, le 14 mars 2024.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
d’Antilles-Guyane :
Le président,
J.-M. LASO
ANNEXE I (*)
Nom du service : Radio Voix dans le désert, RVLD.
Zone géographique mise en appel : Apatou.
Fréquence : 102,4 MHz.
Adresse du site : réservoir d’eau SGDE d’Apatou, Apatou (973).
Altitude du site (NGF) : 35 mètres.
Hauteur d’antenne : 15 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 300 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 2 180 3 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Radio Voix dans le désert, RVLD.
Zone géographique mise en appel : Maripasoula.
Fréquence : 89,4 MHz.
Adresse du site : Château d’eau, Maripasoula (973).
Altitude du site (NGF) : 120 mètres.
Hauteur d’antenne : 20 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 2 90 6 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
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convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Fun Radio.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
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Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SA SERC et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Fun Radio.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 90,6 MHz.
Adresse du site : fort de Bregille, Besancon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 24 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 9 180 5 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SARL Jazz France et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 92,4 MHz.
Adresse du site : fort de Bregille, Besançon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 9 180 5 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 139
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de
radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Nostalgie.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Radio Nostalgie et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : Nostalgie.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 105,6 MHz.
Adresse du site : fort de Bregille, Besancon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 6 180 1 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Nostalgie.
Zone géographique mise en appel : Luxeuil-les-Bains.
Fréquence : 105,0 MHz.
Adresse du site : lieudit Réservoir de Saint-Valbert, Bois d’Almont, Fougerolles-Saint-Valbert (70).
Altitude du site (NGF) : 419 mètres.
Hauteur d’antenne : 32 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 139
0 6 90 4 180 0 270 1
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 0 90 2 180 7 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 139
convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 139
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS NRJ et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : NRJ.
Zone géographique mise en appel : Châtillon-sur-Seine.
Fréquence : 101,9 MHz.
Adresse du site : lieu-dit la grange emery, Châtillon-sur-Seine (21).
Altitude du site (NGF) : 274 mètres.
Hauteur d’antenne : 32 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 6 180 5 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : NRJ.
Zone géographique mise en appel : Dijon.
Fréquence : 100,6 MHz.
Adresse du site : Le Plain de la montagne, CR 20-21, chemin rural 20, Chenôve (21).
Altitude du site (NGF) : 375 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 0 180 3 270 7
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 139
la convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio Classique.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Radio Classique et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio Classique.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 94,2 MHz.
Adresse du site : fort de Bregille, Besancon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 6 180 1 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 139
convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio FG.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS FG Concept et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio FG.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 92,0 MHz.
Adresse du site : La Chapelle des Buis, Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 481 mètres.
Hauteur d’antenne : 30 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 6 180 5 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 139
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de
radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RFM.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 139
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS RFM Entreprises et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : RFM.
Zone géographique mise en appel : Dijon.
Fréquence : 99,6 MHz.
Adresse du site : Le Plain de la Montagne, CR 20-21, chemin Rural-20, Chenôve (21).
Altitude du site (NGF) : 375 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 0 180 3 270 7
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : RFM.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 98,1 MHz.
Adresse du site : fort de Bregille, Besancon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 3 90 6 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 1 90 9 180 10 270 1
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 139
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Rire et Chansons.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Rire et Chansons et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : Rire et Chansons.
Zone géographique mise en appel : Autun.
Fréquence : 99,6 MHz.
Adresse du site : Croix de la Libération, Autun (71).
Altitude du site (NGF) : 601 mètres.
Hauteur d’antenne : 38 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 1 180 6 270 3
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Rire et Chansons.
Zone géographique mise en appel : Moulins.
Fréquence : 96,1 MHz.
Adresse du site : lieudit Les Chevaliers, Bressolles (03).
Altitude du site (NGF) : 258 mètres.
Hauteur d’antenne : 41 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 139
0 0 90 1 180 7 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 6 90 5 180 0 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 139
Décide :
Art. 1 . – La SA SODERA est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexe, conformément à la
er
convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RTL2.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SA SODERA et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : RTL2.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 106,0 MHz.
Adresse du site : Fort de Bregille, Besançon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 2 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : RTL2.
Zone géographique mise en appel : Autun.
Fréquence : 96,1 MHz.
Adresse du site : Montagne Saint-Sébastien, Autun (71).
Altitude du site (NGF) : 604 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 139
0 0 90 2 180 7 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 139
Décide :
Art. 1 . – La SAS Europe 1 Télécompagnie est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexe,
er
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Europe 1.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée pour une durée de cinq ans à compter du 20 mai 2024. L’ARCOM
pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois mois après la
date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 139
ANNEXE I (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Dijon.
Fréquence : 104,7 MHz.
Adresse du site : Le Plain de la montagne, CR 20-21, chemin rural 20, Chenôve (21).
Altitude du site (NGF) : 375 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 0 180 3 270 7
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Besançon.
Fréquence : 104,9 MHz.
Adresse du site : Fort de Bregille, Besançon (25), Besançon (25).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 139
0 2 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 2 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE IV (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Autun.
Fréquence : 106,4 MHz.
Adresse du site : Montagne Saint-Sébastien, Autun (71).
Altitude du site (NGF) : 604 mètres.
Hauteur d’antenne : 37 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 139
0 0 90 0 180 7 270 5
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE V (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Chalon-sur-Saône.
Fréquence : 106,7 MHz.
Adresse du site : Plaine de la Chaume, Buxy (71).
Altitude du site (NGF) : 418 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 0 180 3 270 6
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 139
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS RTL France Radio et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 25 avril 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE I (*)
Nom du service : RTL.
Zone géographique mise en appel : Beaune.
Fréquence : 98,2 MHz.
Adresse du site : gare de péage de Beaune Sud, Beaune (21).
Altitude du site (NGF) : 206 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 7 90 20 180 12 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : RTL.
Zone géographique mise en appel : Dijon.
Fréquence : 104,2 MHz.
Adresse du site : le Mont Afrique, Flavignerot (21).
Altitude du site (NGF) : 595 mètres.
Hauteur d’antenne : 69 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 139
0 6 90 0 180 3 270 12
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 2 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE IV (*)
Nom du service : RTL.
Zone géographique mise en appel : Cosne-Cours-sur-Loire.
Fréquence : 94,3 MHz.
Adresse du site : lieudit Les Marnes, Assigny (18).
Altitude du site (NGF) : 359 mètres.
Hauteur d’antenne : 10 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 139
0 4 90 0 180 4 270 12
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE V (*)
Nom du service : RTL.
Zone géographique mise en appel : Autun.
Fréquence : 95,0 MHz.
Adresse du site : Montagne Saint-Sébastien, Autun (71).
Altitude du site (NGF) : 604 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 2 180 7 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 139
remplacent les conditions techniques d’utilisation de la même fréquence prévues à l’annexe de la décision
no 91-873 du 22 février 1991 susvisée.
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la société nationale de programme Radio France et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 2 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : France Info.
Zone géographique mise en appel : Avranches.
Fréquence : 105,5 MHz.
Adresse du site : D247, chemin de la Croix du Bas, Le Champs de la Croix, Saint-Senier-sous-Avranches (50).
Altitude du site (NGF) : 102 mètres.
Hauteur d’antenne : 67 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 200 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 5 90 6 180 0 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 139
0 1 90 1 180 9 270 1
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale. »
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 139
Art. 2. – L’annexe CXVII de la décision no 2019-635 du 18 décembre 2019 modifiée est remplacée par
l’annexe suivante :
0 22 90 2 180 2 270 9
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale. »
Art. 3. – La présente décision sera notifiée à la SAS OpeNMux et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 2 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 139
Décide :
Art. 1 . – La société nationale de programme Radio France est autorisée à utiliser la ressource radioélectrique
er
allotie mentionnée en annexe A en vue de l’exploitation d’un service de radio par voie hertzienne terrestre en mode
numérique dénommé France Bleu Belfort-Montbéliard.
Art. 2. – Le service est exploité sur la totalité de la ressource radioélectrique assignée à l’opérateur de
multiplex qui, en application des dispositions de l’article 30-2 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée
relative à la liberté de communication, sera désigné conjointement et autorisé à utiliser la ressource radioélectrique
allotie mentionnée en annexe A.
Art. 3. – L’utilisation de la ressource radioélectrique est subordonnée au respect des conditions techniques
définies par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
Les caractéristiques des signaux émis par le titulaire sont conformes à la réglementation en vigueur, aux
conditions fixées par l’annexe A, dont la norme de diffusion, ainsi qu’au document « Services et profil de
signalisation pour la diffusion de la radio numérique de terre », dont les modalités de consultation et de révision
figurent à l’annexe B.
Les travaux de planification et de coordination internationale peuvent conduire à modifier certaines conditions
techniques de diffusion. De ce fait, l’ARCOM peut substituer aux conditions techniques déjà autorisées d’autres
conditions permettant une qualité de réception équivalente.
Le titulaire communique à l’ARCOM, à titre confidentiel, les conventions conclues avec la société chargée de
faire assurer les opérations techniques nécessaires à la transmission et à la diffusion de son service auprès du
public.
Art. 4. – La ressource radioélectrique mentionnée en annexe A, sur laquelle s’exerce le droit d’usage accordé à
la société nationale de programme Radio France conformément à la présente décision, est partagée avec d’autres
services de communication audiovisuelle.
Art. 5. – La part de la ressource radioélectrique attribuée au service France Bleu Belfort-Montbéliard est fixée
conformément aux dispositions de la délibération no 2013-1 du 15 janvier 2013, modifiée par la délibération
no 2013-31 du 16 octobre 2013, susvisée.
Conformément à cette délibération modifiée, la société de programme peut échanger contractuellement, avec un
ou plusieurs éditeurs de services présents au sein du même multiplex, une partie de la ressource qui lui est
attribuée, sans que ce ou ces accords ne soient opposables à l’ARCOM, notamment en cas de recomposition du
multiplex. Ces accords sont conclus dans des conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires,
conformément aux dispositions de l’article 30-2 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 139
La part de la ressource radioélectrique utile attribuée est destinée à transmettre les composantes sonores de
chaque programme, les données associées, les informations de service (guide électronique des programmes), ainsi
que les flux de téléchargement ou de mise à jour des terminaux de réception.
Art. 6. – La société nationale de programme Radio France respecte les obligations de couverture de
l’allotissement fixées par l’annexe A.
Art. 7. – La présente décision sera notifiée à la société nationale de programme Radio France et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 2 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE A
A.1. Définition générale de la ressource radioélectrique allotie
Un allotissement est une zone géographique délimitée par un ou plusieurs contours fermés, associée à un canal
(fréquence) en bande III et assurant un niveau de service défini par le seuil du champ médian minimum.
A chaque allotissement est associée une série de points de test. Une série de points de test se présente sous la
forme d’un tableau de triplets : les coordonnées géographiques exprimées dans le système géodésique WGS 84 au
format sexagésimal DMS et une valeur limite de champ radioélectrique à 10 m par rapport au sol, exprimée
en dBµV/m.
Les contours des allotissements et les points de test sont disponibles sur le site internet de l’ARCOM (www.
arcom.fr).
La fréquence centrale, exprimée en MHz, d’un canal désigné par un nombre entier n compris entre 5 et 12 et une
lettre de l’alphabet de rang r (r compris entre 1 et 4) est donnée par la formule :
ANNEXE B
Les modifications apportées au document intitulé « Services et profil de signalisation pour la diffusion de la
radio numérique de terre » sont soumises à l’approbation de l’Autorité, après examen de la commission technique
des experts du numérique, puis sont publiées sur le site de l’Autorité. L’Autorité précise la date à laquelle les
modifications entrent en vigueur. Ces modifications s’imposent au titulaire de l’autorisation.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 139
l’audiovisuel de Marseille pour une durée de quatre ans, à compter du 1er juin 2024.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 2 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 139
l’audiovisuel de Paris pour une durée de quatre ans à compter du 2 mai 2024.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 2 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 139
pour les sites concernés, les caractéristiques techniques figurant à l’annexe 1 de la décision no 2023-1114
du 22 novembre 2023.
L’annexe entre en vigueur à compter du 22 mai 2024.
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la société GR UHD1 ainsi qu’aux éditeurs autorisés sur le
réseau R9 et sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numerique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE
PARTIE A : CANAUX PARTIE B : PROCHAINS CANAUX
et caractéristiques techniques autorisés à mettre en service
Altitude
Altitude PAR maximale PAR
maximale maximale Canal et Date de de maximale Canal et
NOM DU SITE Lieu d’émission de l’antenne et PAR polarisation mise l’antenne et PAR polarisation
(mètres) minimale [c] en service (mètres) minimale [c]
[a] [b] [a] [b]
Belvédère de la
Annecy Jeanne 746 50 W (1) 31 H [f] [f] [f] [f]
Blois Rue Auguste Poulain 147 10 W (3) 32 H [f] [f] [f] [f]
Clermont-Ferrand
Puy de Dôme Puy-de-Dôme 1516 200 W (6) 41 H [f] [f] [f] [f]
Altitude
Altitude PAR maximale PAR
maximale maximale Canal et Date de de maximale Canal et
NOM DU SITE Lieu d’émission de l’antenne et PAR polarisation mise l’antenne et PAR polarisation
(mètres) minimale [c] en service (mètres) minimale [c]
[a] [b] [a] [b]
0 4 90 3 180 27 270 8
0 14 90 8 180 2 270 6
0 1 90 1 180 1 270 1
0 19 90 27 180 23 270 1
0 27 90 9 180 6 270 5
0 1 90 2 180 20 270 30
0 3 90 2 180 12 270 18
0 12 90 3 180 3 270 3
0 3 90 0 180 5 270 3
0 17 90 0 180 4 270 3
0 0 90 0 180 0 270 0
0 7 90 6 180 6 270 0
pour le site concerné, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2015-418
du 18 novembre 2015 modifiée.
L’annexe entre en vigueur à compter du 22 mai 2024.
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) ainsi qu’aux
différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE
PARTIE A : CANAUX
et caractéristiques techniques autorisés
Altitude maxi
male PAR maximale Canal
NOM DU SITE Lieu d’émission de l’antenne et PAR minimale [b] et polarisation [c]
(mètres) [a]
0 12 90 3 180 3 270 3
pour les sites concernés, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision
no 2015-422 du 18 novembre 2015 modifiée.
L’annexe entre en vigueur à compter du 22 mai 2024.
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 ainsi
qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE
PARTIE A : CANAUX
et caractéristiques techniques autorisés
Altitude maximale
de l’antenne PAR maximale Canal
NOM DU SITE Lieu d’émission (mètres) et PAR minimale et polarisation
[a] [b] [c]
0 19 90 26 180 28 270 1
0 3 90 0 180 3 270 4
0 23 90 0 180 4 270 3
(Kool FM)
2023-DAB10-A016 Association Cordier Broyard Étienne (CBE)
(Active Radio)
2023-DAB10-A017 Association Cordier Broyard Étienne (CBE)
(Active Radio)
2023-DAB10-A018 Association Radio Aqui FM
(Aqui FM DAB)
2023-DAB10-A019 Association Pure Azur Evènements
(Pure Radio)
2023-DAB10-A020 Association Média Radio Baby Boom
(Souvenirs FM)
2023-DAB10-A021 Association RCF en Berry, radio chrétienne francophone
en Berry
(RCF en Berry)
2023-DAB10-A022 Association Absolu
(Absolu)
2023-DAB10-A023 Association Dynamyk
(Dynamyk)
2023-DAB10-A024 Association Ciné Star Live
(Ciné Star Live)
2023-DAB10-A025 Association Yes We Can Can
(Radio Balistiq)
2023-DAB10-A026 Association pour le développement des moyens de
communication culturel et sportif
(Atomic Radio Landes)
2023-DAB10-A027 Association pour le développement des moyens de
communication culturel et sportif
(Atomic Radio Sud Aquitaine)
2023-DAB10-A028 Association Fédéracion Vivre au Pays – Radio País
(Radio País)
2023-DAB10-A029 Association Le Dhectar
(Dhectar)
2023-DAB10-A030 Association Hag’FM
(Hag’FM)
2023-DAB10-A031 Association Radio Campus Pau
(Radio Campus Pau)
2023-DAB10-A032 Association Radio Vent du Large
(RCF Calvados-Manche)
2023-DAB10-A033 Association Radio Aix Grand Lac
(Radio Grand Lac)
2023-DAB10-A034 Association Radio Cap a Cap
(Radio Cap a Cap)
2023-DAB10-A035 Association Zig Zag Médias
(ZaïZaï Radio)
2023-DAB10-A036 Association Radio Espoir
(Espoir FM)
2023-DAB10-A037 Association RCF Nièvre
(RCF Nièvre)
2023-DAB10-A038 Association Radio Cristal
(Radio Cristal)
2023-DAB10-A039 Association Mouvement Jeunesse monte le son
(Radio Campus 47)
2023-DAB10-A040 Association Hits 1
(Hits 1)
2023-DAB10-A041 Association Radio RCV
(RCV Grand Besançon)
2023-DAB10-A042 Association Quartier Orange, votre radio
(Attitude)
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 139
(Flash FM)
2023-DAB10-B033 SAS SOPRODI Médias
(Radio Star)
2023-DAB10-B034 SARL SOROPAR Group
(Plein Cœur)
2023-DAB10-B035 SARL SOROPAR Group
(Plein Cœur Auvergne)
2023-DAB10-B036 Association Magnum La Radio
(Magnum La Radio)
2023-DAB10-B037 SARL Ephata
(Métropolys Soul City)
2023-DAB10-B038 Association Magnum La Radio
(Gingko, la radio verte)
2023-DAB10-B039 SAS 47FM
(47FM)
2023-DAB10-B040 SAS VH Com
(Forever)
2023-DAB10-B041 SAS Plus FM Multimédia
(Sweet FM Centre)
2023-DAB10-B042 SARL Techniques et productions audiovisuelles (TPA)
(Forever Aquitaine)
2023-DAB10-B043 Association Musique sans frontières
(Radio Mélodie)
2023-DAB10-B044 SARL SCOP RVM
(RVM Troyes)
2023-DAB10-B045 SARL Toujours Jeunes
(100 % Souvenirs)
2023-DAB10-B046 SAS Happy Radio II
(Happy Radio Touraine)
2023-DAB10-B047 Association Magnum La Radio
(Magnum Plus)
2023-DAB10-B048 SARL RTS FM
(RTS Marseille)
2023-DAB10-B049 SARL Régie Com Atlantique
(RCA)
2023-DAB10-B050 SARL Anjou Communication
(Oxygène Radio)
2023-DAB10-B051 SAS Naboo
(Tran6stor)
2023-DAB10-B052 SARL Média7.com
(Radio Studio 1)
2023-DAB10-B053 SARL Slam Communication
(Sea FM)
2023-DAB10-B054 Association Musique sans frontières
(Radio Mélodie Gold)
2023-DAB10-B055 Association Comité d’animation de Bretagne
(RMN La Bretagne en musique)
2023-DAB10-B056 SAS Capital Active Médias
(Plein Air)
2023-DAB10-B057 SAS Max FM
(Max FM)
2023-DAB10-B058 SAS DKL
(Radio Liberté)
2023-DAB10-B059 SAS Enjoy 33 FM DAB
(Enjoy 33)
2023-DAB10-B060 SAS Démo FM
(Sweet FM Normandie)
2023-DAB10-B061 SAS Radio Marseille
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 139
(Marseille Rockstation)
2023-DAB10-B062 SAS Lead Radio
(Lead Radio)
2023-DAB10-B063 SAS Média Audio Prod
(Pyrénées FM).
Catégorie C :
2023-DAB10-C001 SAS Radio Nostalgie Réseau
(Nostalgie Charente-Maritime / Nostalgie Strasbourg /
Nostalgie Nantes / Nostalgie Lyon)
2023-DAB10-C002 SAS Radio Nostalgie Réseau
(Nostalgie Paris)
2023-DAB10-C003 SAS Chérie FM Réseau
(Chérie FM Nord / Chérie FM Nantes / Chérie FM Lyon)
2023-DAB10-C004 SAS Chérie FM Réseau
(Chérie FM Val-de-Loire / Chérie FM Paris /
Chérie FM Côte Basque / Chérie FM Auvergne /
Chérie FM Besançon)
2023-DAB10-C005 SARL Rire et Chansons Réseau
(Rire et Chansons Paris)
2023-DAB10-C006 SAS NRJ Réseau
(NRJ Lorraine)
2023-DAB10-C007 SAS NRJ Réseau
(NRJ Cherbourg / NRJ Nevers / NRJ Lille /
NRJ Vosges / NRJ Strasbourg / NRJ Niort /
NRJ Nantes)
2023-DAB10-C008 SAS Radio Cité
(Chérie FM Hauts de France)
2023-DAB10-C009 SARL Média Stratégie
(RTL2 Nord / RTL2 Nantes)
2023-DAB10-C010 SAS Europe 2 Régions
(Europe 2 Alsace-Strasbourg / Europe 2 Alsace-Mulhouse /
Europe 2 Centre / Europe 2 Charentes / Europe 2 Côte d’Opale /
Europe 2 Gironde / Europe 2 Île-de-France /
Europe 2 Lorraine / Europe 2 Midi-Pyrénées /
Europe 2 Nord-Picardie / Europe 2 Normandie /
Europe 2 Normandie-Centre / Europe 2 Pays-de-la-Loire
Europe 2 Provence / Europe 2 Rhône / Europe 2 Sud Aquitaine
Europe 2 Vendée)
2023-DAB10-C011 SAS RFM Régions
(RFM Nord / RFM Strasbourg / RFM Ile-de-France
RFM Toulouse / RFM Côte d’Emeraude /
RFM Normandie / RFM Béarn)
2023-DAB10-C012 SARL SPRGB
(Fun Radio Dunkerque / Fun Radio Atlantique)
2023-DAB10-C013 SARL FM Graffiti
(RTL2 Côte d’Azur / RTL2 Marseille)
2023-DAB10-C014 SARL Musique Nancy FM
(Fun Radio Lorraine)
2023-DAB10-C015 SARL Canal Star
(Fun Radio Provence)
2023-DAB10-C016 SARL RFM Est
(RFM Est)
2023-DAB10-C017 SARL Ondes Dauphiné Savoie
(ODS Radio)
2023-DAB10-C018 SARL Montmartre Développement
(Radio Montmartre).
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 139
Catégorie D :
2023-DAB10-D001 SAS Génération musique+ média
(Génération 50)
2023-DAB10-D002 SAS Génération musique+ média
(Styles Radio (tubes))
2023-DAB10-D003 SAS Crooner International
(Crooner Radio)
2023-DAB10-D004 Association UCB France
(Phare FM)
2023-DAB10-D005 SARL Berbère Radio Télévision
(Antinéa Radio)
2023-DAB10-D006 SAS ADO France
(ADO)
2023-DAB10-D007 SAS Oüi FM
(Oüi FM)
2023-DAB10-D008 SARL TSF Jazz
(TSF Jazz)
2023-DAB10-D009 SAS Média Bonheur France
(Radio Bonheur 100 % Chansons françaises)
2023-DAB10-D010 Association Radio Maria France
(Radio Maria)
2023-DAB10-D011 SAS FG Concept
(Radio FG)
2023-DAB10-D012 SARL LEI Radio
(Inrocks Radio)
2023-DAB10-D013 SARL Radio Nova
(Radio Nova)
2023-DAB10-D014 SAS Tropique FM
(Tropiques FM)
2023-DAB10-D015 SARL Lovely Developpement
(Lovely)
2023-DAB10-D016 SARL MBS Developpement
(MBS)
2023-DAB10-D017 SAS FG Concept
(Dance One)
2023-DAB10-D018 SARL Chante France Développement
(Chante France)
2023-DAB10-D019 SARL Vertu Média
(Speed Radio)
2023-DAB10-D020 Association Radio Espérance RNT
(Radio Espérance)
2023-DAB10-D021 SAS La Grande Musique
(La Grande Musique)
2023-DAB10-D022 SAS Harmony
(Melody)
2023-DAB10-D023 SARL 100 % Paris
(100 %)
2023-DAB10-D024 SARL 100 % Paris
(100 % Souvenirs)
2023-DAB10-D025 SAS Médias Ile-de-France
(Figaro Radio)
2023-DAB10-D026 SARL Paname
(Paname)
2023-DAB10-D027 SAS Groupe NetRadio
(Netradio)
2023-DAB10-D028 SAS Promomédia
(M40)
2023-DAB10-D029 Association Union des Fédérations des Actvités
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 139
réseau R1 de la télévision numérique terrestre énumérées dans la décision no 2015-418 du 18 novembre 2015 visée
ci-dessus pour l’édition d’un service de télévision à vocation locale diffusé en clair par voie hertzienne terrestre, à
temps complet et en haute définition dans la zone de Bayonne dénommé « TVPI ».
Le service est diffusé en haute définition au sens de l’arrêté du 24 décembre 2001 visé ci-dessus.
Art. 2. – La durée de l’autorisation est de dix ans à compter du 3 juillet 2024.
Art. 3. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’assurer la diffusion de ses programmes par voie
hertzienne terrestre. Le service est exploité sur la totalité de la zone correspondant aux sites de diffusion
mentionnés à l’annexe 1 de la présente décision.
Les conditions techniques d’utilisation des ressources radioélectriques sont précisées dans l’autorisation délivrée
à la société chargée de faire assurer les opérations techniques nécessaires à la transmission et à la diffusion auprès
du public des programmes des éditeurs de services de télévision autorisés à exploiter les ressources radioélectriques
du réseau mentionné à l’article 1er de la présente décision.
Les travaux de planification et de coordination internationale peuvent conduire à modifier certaines conditions
techniques de diffusion. De ce fait, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique peut
substituer aux conditions techniques déjà autorisées d’autres conditions permettant une qualité de réception
équivalente.
Art. 4. – L’utilisation de la ressource radioélectrique est subordonnée au respect des conditions techniques
définies par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
Les caractéristiques des signaux émis sont conformes à la réglementation en vigueur, à la configuration
technique définie à l’annexe 2 de la décision du Conseil supérieur de l’audiovisuel du 18 novembre 2015 visée ci-
dessus ainsi qu’au document intitulé « Profil de signalisation pour la diffusion des services de la télévision
numérique de terre métropolitaine et ultramarine ». Les modalités de consultation et de révision de ce document
figurent à cette même annexe.
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ANNEXES
ANNEXE 1
CONDITIONS TECHNIQUES D’UTILISATION DE LA RESSOURCE RADIOÉLECTRIQUE
DANS LA ZONE À COUVRIR
Les sites de diffusion depuis lesquels le service est exploité sont les suivants :
NOM DU SITE LIEU D’ÉMISSION
Aramits Castet
Hasparren Iraghi
Hendaye Port
Larceveau-Arros-Cibits Lantabat
Louhossoa Idiartekoborda
Saint-Jean-Pied-de-Port Jara
Urrugne Mayliarenea
Bayonne La Rhune
Le détail des conditions techniques de diffusion applicables (lieu d’émission, altitude de l’antenne, puissance
apparente rayonnée, canal, polarisation et descriptif de la limitation du rayonnement) figure en annexe de
l’autorisation délivrée à la société chargée de faire assurer les opérations techniques nécessaires à la transmission et
à la diffusion auprès du public des programmes des éditeurs de services de télévision autorisés à exploiter les
ressources radioélectriques du réseau mentionné à l’article 1er.
ANNEXE 2
CONVENTION CONCLUE ENTRE L’AUTORITÉ DE RÉGULATION DE LA COMMUNICATION AUDIOVISUELLE
ET NUMÉRIQUE ET LA SOCIÉTÉ PYRÉNÉENNE DE TÉLÉVISION CI-APRÈS DÉNOMMÉE L’ÉDITEUR,
CONCERNANT LE SERVICE DE TÉLÉVISION TVPI
Les responsabilités et les engagements qui incombent à l’éditeur sont issus des principes généraux édictés par la
loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication. En application des
dispositions de l’article 28 de ce texte, les parties se sont entendues sur les stipulations suivantes.
PREMIÈRE PARTIE
OBJET DE LA CONVENTION ET PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR
Article 1-1
Objet de la convention
La présente convention a pour objet de fixer les règles particulières applicables au service dénommé TVPI ainsi
que les pouvoirs que l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique et le comité
territorial de l’audiovisuel de Bordeaux détiennent pour assurer le respect des obligations incombant à l’éditeur.
TVPI est un service de télévision à vocation locale diffusé en clair par voie hertzienne terrestre en haute
définition dans la zone de Bayonne. Ce service fait l’objet d’une reprise intégrale et simultanée par les réseaux
n’utilisant pas des fréquences assignées par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique.
La nature et la durée de la programmation du service sont définies à l’article 3-1-1.
Article 1-2
L’éditeur
A la date de signature de la présente convention, l’éditeur est une société dénommée PYRÉNÉENNE DE
TÉLÉVISION, immatriculée le 5 juin 2003 au registre du commerce et des sociétés de Bayonne, sous
le no 448 393 025. Son siège social est situé 74, rue d’Espagne, 64100 Bayonne.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 139
Article 2-2-2
Langue française
La langue de diffusion est le français. Des langues régionales, dont le basque, peuvent être utilisées dans
certaines émissions.
Dans le cas d’une émission diffusée dans une langue étrangère, celle-ci donne lieu à une traduction simultanée
ou à un sous-titrage. Ces stipulations ne s’appliquent pas aux œuvres musicales.
L’éditeur veille à assurer un usage correct de la langue française dans ses émissions ainsi que dans les
adaptations, doublages et sous-titrages de programmes étrangers. Il s’efforce d’utiliser le français dans les titres de
ses émissions.
Article 2-2-3
Propriété intellectuelle
L’éditeur respecte la législation française en matière de propriété intellectuelle.
Article 2-2-4
Evénements d’importance majeure
L’éditeur respecte les dispositions législatives et réglementaires relatives à la retransmission des événements
d’importance majeure, en particulier les dispositions du décret no 2004-1392 du 22 décembre 2004 pris pour
l’application de l’article 20-2 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée.
Article 2-2-5
Respect des horaires
L’éditeur fait ses meilleurs efforts pour respecter, lors de la diffusion de ses émissions, les horaires de
programmation préalablement annoncés.
Article 2-3-3
Droits de la personne
L’éditeur ne peut conclure de conventions particulières ayant pour effet de porter atteinte à la dignité de la
personne humaine, même si la personne intéressée y consent.
Il ne doit diffuser aucune émission portant atteinte à la dignité de la personne humaine telle qu’elle est définie
par la loi et la jurisprudence.
Il respecte les droits de la personne relatifs à sa vie privée, à son image, à son honneur et à sa réputation tels
qu’ils sont définis par la loi et la jurisprudence.
Il veille en particulier :
– à ce qu’il soit fait preuve de retenue dans la diffusion d’images ou de témoignages susceptibles d’humilier les
personnes ;
– à éviter la complaisance dans l’évocation de la souffrance humaine ainsi que tout traitement avilissant
l’individu ou le rabaissant au rang d’objet ;
– à ce que le témoignage de personnes sur des faits relevant de leur vie privée ne soit recueilli qu’avec leur
consentement éclairé ;
– à ce que la participation de non-professionnels à des émissions de plateau, de jeu et de divertissement ne
s’accompagne d’aucune renonciation de leur part, à titre irrévocable et pour une durée indéterminée, à leurs
droits fondamentaux, notamment le droit à l’image, le droit à l’intimité de la vie privée et le droit d’exercer un
recours.
Il fait preuve de mesure lorsqu’il diffuse des informations ou des images concernant une victime ou une
personne en situation de péril ou de détresse.
Il contribue à la lutte contre les préjugés sexistes, les images dégradantes et les stéréotypes, notamment à
l’encontre des femmes, les violences faites aux femmes et les violences commises au sein du couple. Chaque
année, il rend compte de la manière dont il s’acquitte de cet engagement.
Article 2-3-4
Droits des participants à certaines émissions
Dans ses émissions, notamment les jeux et les divertissements, l’éditeur s’engage à ne pas mettre en avant de
manière excessive l’esprit d’exclusion ni à encourager des propos diffamatoires ou injurieux à l’encontre des
participants.
Il évite la mise en situation dégradante et humiliante des participants, notamment dans les relations hommes-
femmes.
En cas d’émission, notamment de jeu, impliquant un enregistrement sur une longue durée des faits, gestes et
propos des participants, l’éditeur s’engage, d’une part, à mettre en permanence à la disposition des participants un
lieu préservé de tout enregistrement et, d’autre part, à prévoir des phases quotidiennes de répit d’une durée
significative et raisonnable ne donnant lieu à aucun enregistrement sonore ou visuel ni à aucune diffusion. Les
participants doivent en être clairement informés. Des raisons de sécurité peuvent justifier un suivi permanent de la
vie des participants par les responsables de la production mais sans enregistrement ni diffusion. L’éditeur s’engage
également à informer clairement les participants des capacités du dispositif technique d’enregistrement, notamment
de l’emplacement des caméras et des micros et de leur nombre, de l’existence de caméras infrarouge ou de glaces
sans tain.
Article 2-3-5
Droits des intervenants à l’antenne
Les personnes intervenant à l’antenne sont informées du titre et du sujet de l’émission pour laquelle elles sont
sollicitées. Lorsqu’elles sont invitées à un débat en direct, ces personnes sont informées, dans la mesure du
possible, de l’identité et de la qualité des autres intervenants.
Article 2-3-6
Intervention des mineurs dans les émissions
L’éditeur respecte les délibérations prises par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique pour assurer la protection des mineurs contre les dangers que peut représenter leur participation à une
émission de télévision, notamment la délibération relative à l’intervention de mineurs dans le cadre d’émissions de
télévision diffusées en métropole et dans les départements d’outre-mer.
Article 2-3-7
Honnêteté et indépendance de l’information et des programmes
L’exigence d’honnêteté s’applique à l’ensemble des programmes.
L’éditeur respecte la délibération de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique
relative à l’honnêteté et à l’indépendance de l’information et des programmes qui y concourent.
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Dans les émissions qui ne sont ni d’information ni qui concourent à celle-ci, et sous réserve de la caricature ou
du pastiche clairement présentés comme tels au public, l’utilisation de procédés permettant de modifier le sens ou
le contenu des images, des propos ou des sons ne peut déformer le sens ou le contenu initial des images, des propos
ou des sons recueillis ni abuser le public.
Article 2-3-8
Droit d’opposition et charte déontologique
S’il emploie des journalistes, l’éditeur garantit le respect de l’article 2 bis de la loi du 29 juillet 1881 modifiée sur
la liberté de la presse.
A cet effet, il s’assure que les journalistes qu’il emploie puissent exercer librement le droit d’opposition
mentionné au premier alinéa de cet article et il transmet à l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, la charte déontologique
également mentionnée à ce même article ainsi que ses éventuels avenants dès leur signature.
Article 2-3-9
Comité relatif à l’honnêteté, à l’indépendance
et au pluralisme de l’information et des programmes
I. – Le comité relatif à l’honnêteté, à l’indépendance et au pluralisme de l’information et des programmes
mentionné à l’article 30-8 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée est institué auprès de l’éditeur du service.
Lorsqu’une personne morale contrôle plusieurs services de radio ou de télévision, ce comité peut être commun à
tout ou partie de ces services.
Ce comité est composé au minimum de trois membres lorsqu’il est institué au niveau d’un seul service et au
minimum de cinq membres lorsqu’il est commun à plusieurs services.
Un président peut être désigné en son sein par les membres du comité.
Le mandat des membres est de trois ans. Il peut être renouvelé.
II. – Les membres sont soumis à une obligation générale de discrétion. Ils sont tenus de s’abstenir de toute prise
de position publique sur les questions en cours d’examen et respectent le secret des délibérations.
Le conseil d’administration, le conseil de surveillance, l’assemblée générale ou les organes dirigeants pour toute
autre forme de société met fin, notamment à la demande des autres membres du comité, au mandat du membre qui
n’a pas respecté les prescriptions du deuxième alinéa de l’article 30-8 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, ou
qui n’a pas respecté les dispositions de l’alinéa précédent, ou encore en cas d’absences répétées.
En cas de vacance pour quelque cause que ce soit, il est pourvu à la nomination d’un nouveau membre dans un
délai de quatre mois.
III. – Les moyens humains, administratifs et techniques nécessaires à l’exercice de la mission du comité sont mis
à disposition par la personne morale auprès de laquelle est institué le comité. Les personnels éventuellement mis à
la disposition du comité respectent la confidentialité de ses travaux.
Aucune indemnité ne peut être attribuée aux membres du comité. Toutefois, ils peuvent être remboursés des frais
de déplacement et de séjour engagés dans le cadre de leurs fonctions.
IV. – Le comité délibère à la majorité des membres présents. Il ne peut délibérer que si le quorum est réuni. Le
quorum s’établit à 2/3 des membres arrondi à l’unité la plus proche.
Si l’un des membres présents en fait la demande, le vote se fait à bulletin secret.
V. – Le comité se réunit une fois au moins par semestre civil. Il peut également se réunir à tout moment à la
demande de la majorité des membres.
Le comité se réunit dans les locaux de l’éditeur ou du groupe auquel il appartient, ou dans tout autre lieu
déterminé par l’éditeur ou le groupe auquel il appartient, sur convocation qui fixe la date, l’heure et l’ordre du jour.
Cette convocation peut être envoyée par tous moyens. Il en est de même des pièces ou des documents nécessaires à
la préparation de la réunion ou établis à l’issue de celle-ci.
Chaque membre du comité peut demander l’inscription d’un point à l’ordre du jour.
Les membres du comité peuvent participer à la réunion par des moyens de communications électroniques
permettant leur identification et garantissant leur participation effective.
VI. – Le comité peut entendre toute personne et demander à la personne morale auprès de laquelle il est institué
la communication de tout document de nature à éclairer ses travaux, dans le respect des secrets protégés par la loi.
VII. – Le comité transmet à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, et aux organes dirigeants de la personne morale auprès de
laquelle il est institué, dans un délai raisonnable, tout fait susceptible de contrevenir aux principes édictés au
troisième alinéa de l’article 3-1 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée.
Le comité ne divulgue pas l’identité des personnes qui le consultent si celles-ci le demandent.
Le comité peut publier le résultat de ses délibérations dans le respect des secrets protégés par la loi et de
l’anonymat des personnes.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 139
VIII. – Le bilan annuel prévu à l’article 30-8 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée doit être publié dans les
trois mois suivant l’année écoulée. Il fait état notamment du nombre de saisines ou de demandes de consultation
reçues au cours de l’année, du nombre de dossiers transmis à l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, et aux organes dirigeants de
la personne morale auprès de laquelle il est institué, et il rend compte des résultats des délibérations du comité. Il
dresse un état des moyens mis à la disposition du comité et expose les difficultés de toute nature auxquelles ce
dernier estime être confronté dans l’exercice de ses missions.
IX. – L’éditeur assure une visibilité et une publicité appropriées à ce comité ainsi qu’à ses modalités de saisine,
notamment sur le site internet du service ou du groupe auquel il appartient.
X. – Les stipulations figurant au présent article résultent des dispositions législatives et réglementaires en
vigueur à la date de la signature de la convention.
Article 2-3-10
Information des producteurs
L’éditeur informe les producteurs, à l’occasion des accords qu’il conclut avec eux, des stipulations des articles
de la convention qui figurent dans la partie « Obligations déontologiques », en vue d’en assurer le respect.
Article 2-3-11
Indépendance éditoriale
L’éditeur s’engage à assurer son indépendance éditoriale.
Il garantit en particulier que les programmes d’information et les programmes qui concourent à cette dernière
sont réalisés dans des conditions qui ne portent pas atteinte à l’indépendance de l’information, notamment à l’égard
des intérêts économiques de ses actionnaires, directs ou indirects, et de ses annonceurs. Cette stipulation s’applique
que la rédaction soit placée sous l’autorité hiérarchique de l’éditeur ou sous celle d’une autre société du groupe
auquel il appartient ou celle de la personne morale ou physique qui le contrôle.
Il informe chaque année l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, des mesures qu’il met en œuvre dans le cadre de l’application
du présent article. Ces éléments sont communiqués dans le cadre du rapport sur les conditions d’exécution de ses
obligations et de ses engagements concernant les programmes, prévu à l’article 4-1-4 de la présente convention.
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou le comité territorial de
l’audiovisuel peuvent également demander à tout moment à l’éditeur des précisions sur le respect de cet article.
Article 2-3-12
Education aux médias, à l’information et à la citoyenneté numérique
L’éditeur transmet chaque année à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, des éléments d’information relatifs à son action, ou celle du
groupe auquel il appartient, en vue de contribuer à l’éducation aux médias, à l’information et à la citoyenneté
numérique.
I. – Programmes
Article 3-1-1
Nature et durée de la programmation
TVPI est, à titre principal, un service d’intérêt local ou régional à temps complet.
L’éditeur consacre au moins quatorze heures par jour à des programmes relatifs à la zone de diffusion à la zone
de diffusion, et le cas échéant à des zones limitrophes, en particulier le Pays Basque et les Landes.
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Ces programmes locaux comprennent au moins une heure quotidienne, inédite et en première diffusion,
consacrée à des programmes d’information. Cette heure est diffusée tous les jours entre 19 heuers et 21 heures.
L’éditeur conserve l’entière maîtrise éditoriale des émissions qu’il diffuse.
L’identification du service doit être permanente à l’écran.
Une grille de programmes figure, à titre indicatif, à l’annexe 2.
Article 3-1-2
Reprise de programmes d’un tiers identifié
L’éditeur peut diffuser des programmes provenant soit d’un autre service de télévision autorisé, conventionné ou
déclaré auprès de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, soit d’un réseau de
télévisions locales tel qu’il est défini à l’article 3-1-3 de la présente convention.
Le volume total de ces programmes ne représente pas plus de neuf heures par jour. Le fournisseur doit être
identifié à l’antenne.
Article 3-1-3
Adhésion à un réseau de télévisions locales
L’éditeur peut adhérer à un réseau constitué de plusieurs services de télévision, qui diffusent des programmes
communs (dits également « programmes syndiqués »), et géré par une structure dédiée. Les programmes communs
peuvent être produits par la structure dédiée ou par les autres services de télévision adhérant à ce réseau. Cette
adhésion ne doit pas aboutir à une remise en cause de l’indépendance éditoriale du service ou de l’indépendance
économique de la société éditrice.
Il communique à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire
du comité territorial de l’audiovisuel, le contrat de partenariat correspondant et les accords passés dans le cadre de
ce réseau en vue de la reprise de « programmes syndiqués » sur son antenne ainsi que toute modification apportée à
ces documents.
Il transmet également tout document émis par le réseau susceptible d’avoir une incidence sur la programmation
et le fonctionnement du service autorisé ou sur la composition du capital de la société éditrice.
Article 3-1-4
Communication institutionnelle
L’éditeur est autorisé à programmer, contre rémunération ou autre contrepartie, des émissions de communication
institutionnelle dès lors qu’elles n’émanent ni de partis ou groupements politiques, de syndicats, de groupements
confessionnels ou philosophiques, ni d’entreprises qui relèvent des secteurs économiques pour lesquels la publicité
fait l’objet d’une interdiction législative ou réglementaire.
Les émissions de communication institutionnelle sont placées sous la responsabilité du directeur de la
publication qui est soumis aux dispositions des articles 6, 93-2 et 93-3 de la loi no 82-652 du 29 juillet 1982
modifiée sur la communication audiovisuelle.
Elles doivent faire l’objet de contrats que l’éditeur communique à l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, dans le mois qui suit leur
signature, accompagnés des tarifs si ces émissions donnent lieu à rémunération.
Elles sont diffusées avec un générique spécifique de début et de fin d’émission, indiquant clairement l’identité
des organismes qui en sont à l’origine. Pour les collectivités territoriales, les signatures au générique sont celles de
la personne morale (commune, département, région). Les personnalités ou les assemblées élues ne peuvent être
signataires.
La durée quotidienne de l’ensemble de ces émissions (diffusion et rediffusion) n’excède pas une heure.
Ces émissions ont une vocation informative permettant de présenter les activités des organismes qui y ont accès.
Elles ne comportent aucun caractère publicitaire ou promotionnel en faveur d’un produit ou d’un service.
Lorsqu’il s’agit des émissions des collectivités territoriales et de leurs émanations, elles ne comportent aucun
caractère promotionnel en faveur des élus ou groupements politiques composant les assemblées élues. Elles
respectent les dispositions de l’article L. 52-1 du code électoral, dans ses périodes d’application.
Article 3-1-5
Financement des émissions télévisées par les collectivités territoriales
L’éditeur respecte la recommandation de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique sur le financement des émissions télévisées par les collectivités territoriales.
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Article 3-1-6
Programmes en haute définition
L’intégralité du temps de diffusion est consacrée à des programmes en haute définition réelle, à l’exception :
– des œuvres de patrimoine, c’est à dire :
– des œuvres audiovisuelles diffusées au moins vingt ans après leur première exploitation par un service de
télévision ;
– des œuvres cinématographiques diffusées au moins trente ans après leur sortie en salles en France ;
– des rediffusions, c’est à dire toute diffusion d’un programme en définition standard ayant déjà fait l’objet
d’une diffusion sur un service de télévision relevant de la compétence d’un État membre de l’Union
européenne ;
– des archives, c’est-à-dire des images, notamment des extraits de programmes, dont la première diffusion a eu
lieu plus d’un an avant une nouvelle utilisation dans le cadre d’un programme en haute définition.
Sont qualifiés de programmes en haute définition réelle :
– ceux dont les images ont bénéficié, de la captation à la diffusion, d’une résolution haute définition au moins
égale à celle de la diffusion ;
– ceux qui sont majoritairement réalisés, produits et post-produits en haute définition réelle et qui comportent
minoritairement des éléments réalisés, produits et post-produits en définition standard, convertis en haute
définition ;
– parmi les œuvres ayant bénéficié d’une captation analogique sur une pellicule argentique de taille suffisante,
celles dont le prêt-à-diffuser « éditeur » est en haute définition.
Les programmes ayant fait l’objet d’une conversion à la haute définition par traitement numérique ultérieur
(« upscaling ») ne sont pas considérés comme des programmes en haute définition réelle.
Article 3-1-7
Accès du programme aux personnes sourdes ou malentendantes
L’éditeur s’efforce, dans la mesure de ses possibilités techniques et financières, de développer par des dispositifs
adaptés l’accès des programmes aux personnes sourdes ou malentendantes.
Il veille au renforcement continu et progressif de l’accessibilité de ses programmes aux personnes sourdes ou
malentendantes.
Dès lors que les messages d’alerte sanitaire, prévus à l’article 16-1 de la loi du septembre 1986 modifiée, émis
par le ministre chargé de la santé ont été rendus accessibles aux personnes sourdes ou malentendantes, leur
diffusion doit inclure ces dispositifs. Si l’éditeur rend compte d’événements importants liés à l’actualité immédiate,
il porte une attention particulière à leur accessibilité aux personnes sourdes ou malentendantes.
L’éditeur informe l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire
du comité territorial de l’audiovisuel, dans son rapport d’exécution des obligations, des efforts réalisés chaque
année.
Article 3-1-8
Publicité
Les messages publicitaires sont insérés dans les conditions prévues par la loi du 30 septembre 1986 modifiée et
par le décret no 92-280 du 27 mars 1992 modifié fixant les principes généraux définissant les obligations des
éditeurs de services en matière de publicité, de parrainage et de téléachat.
Le temps consacré à la diffusion de messages publicitaires n’excède pas les plafonds fixés par le décret no 92-280
du 27 mars 1992 modifié sur l’ensemble des périodes de programmation au cours desquelles cette diffusion est
autorisée. Il peut inclure des messages publicitaires qui ne sont pas diffusés simultanément dans l’ensemble de la
zone de service de l’éditeur dans les limites de durée prévues au même décret.
L’éditeur veille à une claire identification des écrans publicitaires dans les émissions destinées à la jeunesse. A
cette fin, il utilise, pour l’ensemble de ces émissions, des génériques d’écrans publicitaires d’une durée minimale de
quatre secondes, composés d’éléments sonores et visuels permettant au jeune public de les identifier aisément.
Il respecte la délibération de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique relative
aux caractéristiques techniques de l’intensité sonore des programmes et des messages publicitaires de télévision.
Article 3-1-9
Parrainage
Les émissions télévisées parrainées doivent répondre aux exigences du décret no 92-280 du 27 mars 1992
modifié.
Dans les émissions destinées à la jeunesse, le rappel de parrainage doit être de taille modeste et faire l’objet de
mentions n’excédant pas cinq secondes et séparées les unes des autres par une durée raisonnable.
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Afin d’éviter toute confusion dans l’esprit des jeunes téléspectateurs, l’éditeur veille à ce qu’il n’y ait aucune
interférence entre le nom du parrain ou d’une de ses marques et celui d’une émission pour la jeunesse ou d’un
élément de celle-ci.
Article 3-1-10
Téléachat
L’éditeur respecte les dispositions fixées par le décret no 92-280 du 27 mars 1992 modifié.
Si un même bien ou service est présenté à la fois dans une émission de téléachat et dans un message publicitaire,
une période d’au moins vingt minutes doit s’écouler entre la fin de l’écran publicitaire et le début de l’émission de
téléachat et inversement.
L’éditeur fait preuve de la plus grande précision dans la description des biens ou services proposés dont il
n’omet de mentionner aucune des caractéristiques essentielles.
Article 3-1-11
Placement de produit
L’éditeur respecte la délibération de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique
relative au placement de produit dans les programmes des services de télévision.
Article 3-1-12
Communications commerciales en faveur d’un opérateur
de jeux d’argent et de hasard
L’éditeur respecte la délibération de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique
relative aux conditions de diffusion, par les services de télévision et de radio, des communications commerciales en
faveur d’un opérateur de jeux d’argent et de hasard légalement autorisé.
Article 3-3-2
Présentation de l’actualité cinématographique
S’il présente l’actualité des œuvres cinématographiques sorties en salle au sein d’émissions consacrées à cette
actualité, l’éditeur s’engage à ce que cette présentation soit diversifiée.
Article 3-4-1
Définition des données associées
Constituent des données associées les données qui sont destinées à enrichir et à compléter le programme
principal du service de télévision, au sens de l’article 2 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée.
L’éditeur du service de télévision exerce la responsabilité éditoriale sur les données associées.
Elles sont soumises aux stipulations des articles 3-4-2 à 3-4-8 de la présente convention.
Article 3-4-2
Langue française et respect de la propriété intellectuelle
L’article 2-2-2, relatif à l’usage de la langue française dans les programmes du service de télévision, s’applique
aux données associées.
L’éditeur respecte, pour les données associées, la législation française relative à la propriété intellectuelle.
Article 3-4-3
Obligations déontologiques
A l’exception des articles 2-3-1, 2-3-8 à 2-3-10, les stipulations de la convention relatives aux obligations
déontologiques s’appliquent aux données associées.
Dans ces données, l’éditeur assure l’expression pluraliste des courants de pensée et d’opinion.
Article 3-4-4
Protection du jeune public
L’éditeur classe les données associées selon les cinq catégories de programmes prévues par la recommandation
de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique aux éditeurs de services de télévision
concernant la signalétique jeunesse et la classification des programmes.
Ces données sont proposées accompagnées du pictogramme correspondant à leur catégorie.
L’éditeur ne peut proposer de données associées appartenant à d’autres catégories que celles pour lesquelles le
service de télévision est autorisé.
Pendant la diffusion des programmes destinés à la jeunesse, ou à proximité de ces derniers, l’éditeur veille à ce
que les mineurs ne soient pas incités à consulter des données associées pouvant heurter leur sensibilité.
Les messages publicitaires ou les séquences de parrainage en faveur de contenus réservés ou destinés aux adultes
ne peuvent être proposés qu’entre minuit et cinq heures du matin.
Article 3-4-5
Communication commerciale
La communication commerciale présente au sein des données associées doit être conforme aux exigences de
véracité, de décence et de respect de la dignité de la personne humaine. Elle ne peut porter atteinte au crédit de
l’Etat.
Elle doit être exempte de toute discrimination en raison de la race, du sexe ou de la nationalité, de toute scène de
violence et de toute incitation à des comportements préjudiciables à la santé, à la sécurité des personnes et des
biens ou à la protection de l’environnement.
Elle ne doit contenir aucun élément de nature à choquer les convictions religieuses, philosophiques ou politiques.
Elle doit être conçue dans le respect des intérêts des consommateurs et ne doit pas porter un préjudice moral ou
physique aux mineurs.
Elle doit être aisément identifiable comme telle.
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Article 3-4-6
Communications commerciales en faveur
d’un opérateur de jeux d’argent et de hasard
L’éditeur respecte la délibération de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique
relative aux conditions de diffusion, par les services de télévision et de radio, des communications commerciales en
faveur d’un opérateur de jeux d’argent et de hasard légalement autorisé.
La diffusion de données associées prenant la forme de communications commerciales en faveur des opérateurs
de jeux, au sens de l’article L. 320-12 du code de la sécurité intérieure est interdite pendant la diffusion de
programmes présentés comme s’adressant aux mineurs ainsi que durant les trente minutes précédant et suivant la
diffusion de ces programmes.
Article 3-4-7
Usage de la ressource radioélectrique par des données associées
La diffusion de données associées par voie hertzienne terrestre a lieu sur la ressource radioélectrique attribuée au
service de télévision qu’elles enrichissent et qu’elles complètent.
L’usage de cette ressource est effectué dans le respect des règles fixées par l’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique. Il ne doit notamment pas avoir pour effet d’entraîner une baisse
perceptible par le téléspectateur de la qualité du programme principal.
Article 3-4-8
Pénalités contractuelles
Les articles 4-2-1 à 4-2-4 de la convention s’appliquent aux données associées.
QUATRIÈME PARTIE
CONTRÔLE ET PÉNALITÉS CONTRACTUELLES
I. – Contrôle
Article 4-1-1
Evolution de l’actionnariat et des organes de direction
L’éditeur informe immédiatement l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, de toute modification du montant du capital social ainsi que
de toute modification de la répartition portant sur 1 % ou plus du capital social ou des droits de vote de la société
titulaire. La modification s’apprécie par rapport à la dernière répartition communiquée à l’Autorité.
Il informe l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du
comité territorial de l’audiovisuel, dès qu’il en a connaissance, de tout changement de contrôle ainsi que de toute
modification de la répartition portant sur 5 % ou plus du capital social ou des droits de vote de la ou des sociétés qui
contrôlent, le cas échéant, la société titulaire, au sens de l’article 41-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée,
ainsi que de la ou des éventuelles sociétés intermédiaires. La modification s’apprécie par rapport à la dernière
répartition communiquée à l’Autorité. Lorsqu’il s’agit de sociétés dont les actions sont admises aux négociations
sur un marché réglementé, l’éditeur informe l’Autorité, par l’intermédiaire du comité, de tout franchissement de
seuils de participation à leur capital social, dès qu’il en a connaissance, dans les conditions prévues à
l’article L. 233-7 du code de commerce et, le cas échéant, par leurs statuts.
Il communique, sur demande de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou du
comité territorial de l’audiovisuel, la composition détaillée du capital social et des droits de vote de la société
titulaire ainsi que de la ou des sociétés qui contrôlent, le cas échéant, la société titulaire.
Pour l’application de l’article 40 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, l’éditeur fournit à la demande de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou du comité territorial de l’audiovisuel,
les éléments permettant de déterminer la nationalité de chacun de ses actionnaires et la part de son actionnariat non
communautaire.
Les stipulations prévues aux alinéas précédents ne s’appliquent pas lorsque la société qui contrôle la société
titulaire est elle-même éditrice d’un service de télévision autorisé par l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique.
L’éditeur informe l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire
du comité territorial de l’audiovisuel, du nom du ou des représentants légaux de la société ainsi que du directeur de
la publication, au sens de l’article 93-2 de la loi no 82-652 du 29 juillet 1982 modifiée sur la communication
audiovisuelle. Ces informations sont également portées à la connaissance de l’Autorité en cas de changement.
Article 4-1-2
Informations économiques
L’éditeur transmet à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, dans le mois suivant leur signature, les contrats d’objectifs
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 139
et de moyens passés, au titre de l’article L. 1426-1 du code général des collectivités territoriales, avec les
collectivités concernées. Il transmet également, dans le mois suivant leur signature, les contrats passés au titre
d’une communication institutionnelle avec une collectivité territoriale.
Il remet à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du
comité territorial de l’audiovisuel, dans les six mois suivant la clôture de chaque exercice, le bilan, le compte de
résultat et l’annexe ainsi que le rapport de gestion et le rapport du commissaire aux comptes de la société titulaire,
tels qu’ils sont prévus à l’article L. 232-1 du code de commerce.
Il communique à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire
du comité territorial de l’audiovisuel, les documents prévus par les articles L. 233-15, L. 233-16, L. 233-20
et L. 233-26 du code de commerce ainsi que, à la demande de l’Autorité ou du comité, les documents mentionnés à
l’article L. 232-2 du même code.
Il transmet à la demande de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou du
comité territorial de l’audiovisuel, les bilans et les rapports annuels de chacune des personnes morales actionnaires
détenant pour leur propre compte au moins 5 % du capital de la société titulaire ainsi que les comptes consolidés
des sociétés ou des groupes qui la contrôlent, directement ou indirectement, au sens de l’article L. 233-3 du code de
commerce.
Il communique pour information dans le cadre du rapport annuel prévu à l’article 4-1-4 ou à la demande de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou du comité territorial de l’audiovisuel,
outre le tableau des filiales et participations, les données caractéristiques publiées sur l’activité des sociétés filiales
ou sous-filiales dont l’importance est significative au niveau des actifs ou des résultats de la société titulaire ou du
groupe.
Dans le cadre de l’exercice de leurs missions, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique ou le comité territorial de l’audiovisuel peuvent demander à l’éditeur de fournir, à titre confidentiel, des
informations sur les activités de diversification que lui-même, ou l’une de ses filiales, développe dans les secteurs
de la culture et de la communication et des recettes procurées par ces activités.
S’il n’a pas pour unique activité l’édition du service de télévision faisant l’objet de la présente convention,
l’éditeur communique en outre des éléments de comptabilité analytique, validés par un commissaire aux comptes,
permettant de distinguer le chiffre d’affaires procuré par chacun des services qu’il édite.
Article 4-1-3
Contrôle des programmes
L’éditeur communique ses programmes à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique, par l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, dans un délai raisonnable avant leur diffusion.
Il conserve quatre semaines au moins un enregistrement des émissions qu’il diffuse ainsi que les conducteurs de
programmes correspondants. L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou le
comité territorial de l’audiovisuel peuvent lui demander ces éléments dans le même délai, sur un support défini par
le demandeur. Par ailleurs, l’éditeur prend les dispositions nécessaires permettant la conservation des documents
susceptibles de donner lieu à un droit de réponse, tel qu’il est prévu à l’article 6 de la loi du 29 juillet 1982
modifiée.
Article 4-1-4
Informations sur le respect des obligations
En application des dispositions de l’article 19 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, l’éditeur communique à
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par l’intermédiaire du comité territorial
de l’audiovisuel, toutes les informations nécessaires pour s’assurer du respect par l’éditeur de ses obligations
légales et réglementaires ainsi que de celles résultant de la présente convention.
La communication des données s’effectue selon des normes et des procédures définies par l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique, après concertation avec l’ensemble des éditeurs.
L’Autorité s’attache à favoriser la transmission des informations au moyen de supports informatisés.
A la demande de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou du comité
territorial de l’audiovisuel, l’éditeur communique à titre confidentiel, des informations relatives au coût et au
financement des émissions autres que les œuvres.
Il transmet à titre confidentiel, à la demande de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique ou du comité territorial de l’audiovisuel, les études d’audience qu’il détient.
Il communique chaque année à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, au plus
tard le 31 mars, un rapport sur les conditions d’exécution de ses obligations et de ses engagements pour l’exercice
précédent. Ce rapport comprend, notamment, les informations permettant à l’Autorité de s’assurer du respect par
l’éditeur des articles 16 et 17 de la directive 2010/13/UE du 10 mars 2010, dite « Services de médias
audiovisuels ».
Il fournit annuellement à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, à titre
confidentiel, la liste des sociétés de production audiovisuelle et cinématographique, qu’elles soient de droit français
ou non, avec lesquelles il a contracté et qui ne sont pas indépendantes au sens des articles 13 et 21 du décret
no 2021-1926 du 30 décembre 2021.
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Article 4-1-5
Informations sur les programmes fournis
L’éditeur communique à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, par
l’intermédiaire du comité territorial de l’audiovisuel, dans les huit jours suivant leur conclusion, tous les accords
conclus en vue de la fourniture de programmes, en particulier lorsqu’il s’agit d’émissions en provenance d’autres
services de télévision.
Article 5-2
Modification du contrôle de la société titulaire
L’éditeur ne peut procéder à aucune modification du contrôle direct ou indirect, au sens de l’article L. 233-3 du
code de commerce, de la société titulaire de l’autorisation dans un délai de cinq ans à compter de la délivrance de
celle-ci, sauf, sous réserve des dispositions de l’article 42-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, en cas de
difficultés économiques menaçant la viabilité de la société.
Article 5-3
Communication
La présente convention est un document administratif dont toute personne peut demander copie à l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique ou au comité territorial de l’audiovisuel, en application
des articles L. 300-2 et L. 311-1 du livre III du code des relations entre le public et l’administration.
Fait à Paris, en deux exemplaire orginaux, le 25 avril 2024.
Pour l’éditeur : Pour l’Autorité de régulation
Le gérant, de la communication audiovisuelle et numérique :
O. BERHONDE Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXES
ANNEXE 1
MONTANT ET COMPOSITION DU CAPITAL
A la date de la signature de la convention, le montant du capital social de la société éditrice est de 10 000 euros.
La répartition du capital social est la suivante :
RÉPARTITION DU CAPITAL ET DES DROITS DE VOTE
ACTIONNAIRES (en %) RÉPARTITION DES PARTS
Jean-Marc CHARRITTON 15 % 15
ANNEXE 2
GRILLE DES PROGRAMMES
Cette annexe est consultable auprès de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique.
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Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2413550X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPA2413551X
Convocation
La Conférence, constituée conformément à l’article 47 du Règlement, est convoquée le mardi 21 mai 2024, à 10
heures, dans les salons de la présidence, Salon des Jeux, rez-de-chaussée de l’Hôtel de Lassay.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 139
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPA2413553X
1. Composition
Modification à la composition de la commission d’enquête
sur les manquements des politiques de protection de l’enfance
DÉMISSION
M. Jean-Claude Raux
NOMINATION
M. Sébastien Peytavie
2. Réunions
Vendredi 17 mai 2024
Commission spéciale pour l’examen du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de
vie,
A 9 h 30 (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– suite de l’examen du projet de loi.
A 15 heures (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– suite de l’examen du projet de loi.
A 21 heures (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– suite de l’examen du projet de loi.
Martin (Alpes-Maritimes), Mme Pascale Martin, M. Pierre Morel-À-L’Huissier, Mme Marie-Pierre Rixain,
M. Fabien Roussel, M. Mikaele Seo, M. Bruno Studer, Mme Mélanie Thomin
Assistaient également à la réunion. - M. Jean-Jacques Gaultier, M. Lionel Royer-Perreaut
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 11 h 05
Présents. - M. Jean-Philippe Ardouin, M. Mounir Belhamiti, M. Christophe Bex, M. Benoît Bordat, M. Vincent
Bru, M. François Cormier-Bouligeon, M. Olivier Dussopt, M. Yannick Favennec-Bécot, M. Thomas Gassilloud,
Mme Anne Genetet, M. Frank Giletti, M. Christian Girard, M. José Gonzalez, M. Hubert Julien-Laferrière,
Mme Anne Le Hénanff, Mme Patricia Lemoine, Mme Lysiane Métayer, M. Christophe Naegelen, Mme Anna Pic,
M. François Piquemal, Mme Josy Poueyto, Mme Valérie Rabault, M. Julien Rancoule, M. Aurélien Saintoul,
Mme Nathalie Serre, Mme Corinne Vignon
Excusés. - Mme Valérie Bazin-Malgras, M. Denis Bernaert, M. Christophe Blanchet, M. Frédéric Boccaletti,
Mme Yaël Braun-Pivet, M. Steve Chailloux, Mme Cyrielle Chatelain, Mme Christelle D’Intorni, Mme Geneviève
Darrieussecq, M. Emmanuel Fernandes, M. Jean-Marie Fiévet, M. Jean-Charles Larsonneur, Mme Jacqueline
Maquet, M. Olivier Marleix, Mme Alexandra Martin (Alpes-Maritimes), Mme Pascale Martin, M. Pierre Morel-À-
L’Huissier, Mme Marie-Pierre Rixain, M. Fabien Roussel, M. Mikaele Seo, M. Jean-Louis Thiériot, Mme Sabine
Thillaye, Mme Mélanie Thomin
Assistaient également à la réunion. - M. Pierre Cordier, M. Jean-Jacques Gaultier
Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 9 h 35
Présents. - M. Damien Abad, M. Henri Alfandari, M. Gabriel Amard, M. Christophe Barthès, Mme Nathalie
Bassire, M. Olivier Becht, Mme Lisa Belluco, M. Emmanuel Blairy, M. Jean-Yves Bony, Mme Pascale Boyer,
M. Guy Bricout, M. Jean-Louis Bricout, M. Anthony Brosse, Mme Danielle Brulebois, M. Pierre Cazeneuve,
Mme Claire Colomb-Pitollat, M. Mickaël Cosson, Mme Annick Cousin, Mme Catherine Couturier, M. Vincent
Descoeur, Mme Sylvie Ferrer, M. Daniel Grenon, Mme Clémence Guetté, M. Yannick Haury, Mme Chantal
Jourdan, Mme Sandrine Le Feur, M. Gérard Leseul, Mme Delphine Lingemann, M. Jean-François Lovisolo,
M. Emmanuel Maquet, M. Matthieu Marchio, M. William Martinet, Mme Manon Meunier, M. Pierre Meurin,
Mme Marjolaine Meynier-Millefert, M. Bruno Millienne, M. Hubert Ott, M. Didier Padey, Mme Sophie
Panonacle, Mme Christelle Petex, M. Bertrand Petit, Mme Marie Pochon, M. Loïc Prud’homme, M. Nicolas Ray,
Mme Véronique Riotton, Mme Anne Stambach-Terrenoir, M. Jean-Pierre Taite, M. Vincent Thiébaut, M. Nicolas
Thierry, M. Antoine Vermorel-Marques, Mme Juliette Vilgrain, M. Antoine Villedieu, M. Jean-Marc Zulesi
Excusés. - M. Damien Adam, M. Jean-Victor Castor, Mme Bérangère Couillard, M. Stéphane Delautrette,
Mme Alexandra Masson, M. Marcellin Nadeau, M. David Valence, Mme Anne-Cécile Violland
Assistaient également à la réunion. - M. Bruno Bilde, M. Maxime Minot, M. Jean-Pierre Vigier, M. Jean-Luc
Warsmann
Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 11 heures
Présents. - M. Franck Allisio, M. Christian Baptiste, M. Karim Ben Cheikh, Mme Émilie Bonnivard,
M. Mickaël Bouloux, M. Fabrice Brun, M. Philippe Brun, M. Frédéric Cabrolier, M. Jean-René Cazeneuve,
M. Florian Chauche, M. Éric Coquerel, M. Dominique Da Silva, Mme Marie-Christine Dalloz, M. Jocelyn
Dessigny, M. Fabien Di Filippo, M. Benjamin Dirx, Mme Stella Dupont, Mme Sophie Errante, M. Luc Geismar,
Mme Félicie Gérard, M. Joël Giraud, M. David Guiraud, M. Patrick Hetzel, M. François Jolivet, M. Daniel
Labaronne, M. Mohamed Laqhila, M. Michel Lauzzana, M. Marc Le Fur, Mme Constance Le Grip, M. Mathieu
Lefèvre, Mme Véronique Louwagie, M. Louis Margueritte, Mme Alexandra Martin (Gironde), M. Denis
Masséglia, M. Damien Maudet, M. Kévin Mauvieux, Mme Marianne Maximi, M. Benoit Mournet, Mme Mathilde
Paris, M. Christophe Plassard, M. Robin Reda, M. Sébastien Rome, M. Xavier Roseren, M. Michel Sala, Mme Eva
Sas, M. Charles Sitzenstuhl
Excusés. - M. Manuel Bompard, M. Alexandre Holroyd, M. Emmanuel Lacresse, M. Tematai Le Gayic,
Mme Charlotte Leduc, M. Philippe Lottiaux, Mme Lise Magnier, M. Jean-Paul Mattei, Mme Christine Pires
Beaune, M. Alexandre Sabatou, M. Emeric Salmon, M. Nicolas Sansu
Assistait également à la réunion. - Mme Delphine Batho
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 18 heures
Présents. - M. David Amiel, Mme Christine Arrighi, M. Christian Baptiste, M. Jean-René Cazeneuve, M. Éric
Coquerel, Mme Marie-Christine Dalloz, Mme Christine Decodts, M. Fabien Di Filippo, M. François Jolivet,
M. Michel Lauzzana, Mme Véronique Louwagie, M. Emmanuel Mandon, M. Sébastien Rome, Mme Eva Sas,
M. Jean-Marc Tellier
Excusés. - M. Karim Ben Cheikh, M. Manuel Bompard, M. Joël Giraud, M. Alexandre Holroyd, M. Emmanuel
Lacresse, M. Tematai Le Gayic, Mme Charlotte Leduc, Mme Lise Magnier, M. Jean-Paul Mattei, Mme Christine
Pires Beaune, M. Alexandre Sabatou, M. Emeric Salmon, M. Nicolas Sansu
Assistaient également à la réunion. - M. Henri Alfandari, M. Gabriel Amard, M. Idir Boumertit, M. Gérard
Leseul, M. Nicolas Ray
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 21 h 30
Présents. - Mme Christine Arrighi, M. Christian Baptiste, M. Jean-René Cazeneuve, Mme Marie-Christine
Dalloz, Mme Christine Decodts, Mme Perrine Goulet, M. Daniel Labaronne, Mme Marianne Maximi,
M. Christophe Plassard
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 139
Excusés. - M. Karim Ben Cheikh, M. Manuel Bompard, M. Éric Coquerel, M. Joël Giraud, M. Tematai Le
Gayic, M. Philippe Lottiaux, Mme Lise Magnier, M. Jean-Paul Mattei, Mme Christine Pires Beaune, M. Alexandre
Sabatou, M. Emeric Salmon, M. Nicolas Sansu, M. Charles Sitzenstuhl
Assistaient également à la réunion. - M. Perceval Gaillard, M. Gérard Leseul
Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 9 heures
Présents. - Mme Caroline Abadie, Mme Farida Amrani, M. Erwan Balanant, M. Clément Beaune, M. Ugo
Bernalicis, M. Florent Boudié, M. Xavier Breton, Mme Blandine Brocard, Mme Émilie Chandler, M. Jean-
François Coulomme, Mme Edwige Diaz, Mme Elsa Faucillon, M. Yoann Gillet, M. Philippe Gosselin,
M. Guillaume Gouffier Valente, M. Sacha Houlié, M. Jérémie Iordanoff, Mme Élodie Jacquier-Laforge,
Mme Marietta Karamanli, M. Andy Kerbrat, M. Philippe Latombe, M. Gilles Le Gendre, M. Didier Lemaire,
Mme Marie-France Lorho, Mme Aude Luquet, Mme Élisa Martin, Mme Emmanuelle Ménard, M. Ludovic
Mendes, Mme Laure Miller, M. Paul Molac, Mme Danièle Obono, M. Didier Paris, M. Éric Pauget, M. Jean-Pierre
Pont, M. Thomas Portes, M. Éric Poulliat, Mme Marie-Agnès Poussier-Winsback, M. Philippe Pradal, M. Aurélien
Pradié, M. Stéphane Rambaud, M. Rémy Rebeyrotte, Mme Sandra Regol, M. Charles Rodwell, Mme Béatrice
Roullaud, M. Thomas Rudigoz, M. Hervé Saulignac, M. Raphaël Schellenberger
Excusés. - M. Ian Boucard, M. Éric Ciotti, M. Philippe Dunoyer, M. Jordan Guitton, M. Timothée Houssin,
Mme Emeline K/Bidi, M. Mansour Kamardine, M. Sylvain Maillard, M. Nicolas Metzdorf, Mme Naïma
Moutchou, M. Davy Rimane, M. Philippe Schreck, Mme Sarah Tanzilli, Mme Andrée Taurinya, M. Jean Terlier,
Mme Cécile Untermaier, M. Roger Vicot, M. Guillaume Vuilletet, M. Jean-Luc Warsmann
Commission d’enquête sur le montage juridique et financier du projet d’autoroute A69
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 15 h 40
Présents. - Mme Christine Arrighi, M. Philippe Frei, M. Jean Terlier, Mme Corinne Vignon
Commission d’enquête sur le montage juridique et financier du projet d’autoroute A69
Réunion du jeudi 16 mai 2024 à 10 heures
Présents. - Mme Christine Arrighi, M. Jean-René Cazeneuve, Mme Sylvie Ferrer, M. Jean Terlier, Mme Corinne
Vignon
Commission d’enquête sur les manquements des politiques de protection de l’enfance
Réunion du jeudi 16 mai 2024 à 11 heures
Excusés. - M. Frédéric Boccaletti, Mme Astrid Panosyan-Bouvet
Commission d’enquête visant à établir les raisons de la très forte croissance de la dette française depuis
l’élection présidentielle de 2017 et ses conséquences sur le pouvoir d’achat des Français
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 9 heures
Présents. - Mme Caroline Abadie, M. David Amiel, Mme Christine Arrighi, Mme Danielle Brulebois,
M. Frédéric Cabrolier, M. Jean-René Cazeneuve, M. Fabien Di Filippo, Mme Claire Guichard, M. Philippe Juvin,
M. Daniel Labaronne, M. Mathieu Lefèvre, Mme Véronique Louwagie, Mme Lise Magnier, M. Emmanuel
Mandon, M. Kévin Mauvieux, Mme Astrid Panosyan-Bouvet, M. Stéphane Vojetta
Excusé. - M. Philippe Lottiaux
Commission spéciale pour l’examen du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de
vie
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 9 h 30
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, M. Christophe Bentz, Mme Anne Bergantz,
Mme Chantal Bouloux, M. Hadrien Clouet, M. Paul-André Colombani, M. Charles de Courson, Mme Laurence
Cristol, Mme Geneviève Darrieussecq, M. Stéphane Delautrette, M. Pierre Dharréville, Mme Sandrine Dogor-
Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Karen Erodi, Mme Sophie Errante, M. Olivier Falorni, Mme Elsa
Faucillon, M. Emmanuel Fernandes, Mme Caroline Fiat, Mme Agnès Firmin Le Bodo, M. Thierry Frappé,
Mme Annie Genevard, M. François Gernigon, M. Joël Giraud, Mme Justine Gruet, M. Jérôme Guedj, Mme Marine
Hamelet, M. Patrick Hetzel, Mme Monique Iborra, M. Cyrille Isaac-Sibille, M. Philippe Juvin, Mme Emeline
K/Bidi, Mme Julie Laernoes, M. Gilles Le Gendre, Mme Élise Leboucher, M. Hervé de Lépinau, Mme Brigitte
Liso, Mme Christine Loir, Mme Marie-France Lorho, Mme Lise Magnier, Mme Laurence Maillart-Méhaignerie,
M. Christophe Marion, M. Didier Martin, Mme Frédérique Meunier, M. Yannick Neuder, M. Laurent Panifous,
Mme Anne-Laurence Petel, Mme Michèle Peyron, M. Sébastien Peytavie, M. René Pilato, Mme Christine Pires
Beaune, Mme Lisette Pollet, M. Jean-Pierre Pont, Mme Natalia Pouzyreff, Mme Cécile Rilhac, M. Jean-François
Rousset, M. Michel Sala, Mme Danielle Simonnet, M. Nicolas Turquois, M. David Valence, Mme Annie Vidal,
M. Philippe Vigier, M. Léo Walter
Assistaient également à la réunion. - Mme Laure Lavalette, Mme Emmanuelle Ménard, M. Christophe
Naegelen, Mme Maud Petit
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 15 heures
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, M. Christophe Bentz, Mme Anne Bergantz,
Mme Chantal Bouloux, M. Hadrien Clouet, M. Paul-André Colombani, Mme Bérangère Couillard, M. Charles de
Courson, Mme Laurence Cristol, Mme Geneviève Darrieussecq, M. Stéphane Delautrette, M. Jocelyn Dessigny,
M. Pierre Dharréville, Mme Sandrine Dogor-Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Karen Erodi, Mme Sophie
Errante, M. Olivier Falorni, Mme Elsa Faucillon, Mme Agnès Firmin Le Bodo, M. Thierry Frappé, Mme Annie
Genevard, M. François Gernigon, M. Joël Giraud, Mme Justine Gruet, M. Jérôme Guedj, M. Patrick Hetzel,
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 139
Mme Monique Iborra, M. Cyrille Isaac-Sibille, M. Philippe Juvin, Mme Emeline K/Bidi, Mme Julie Laernoes,
M. Gilles Le Gendre, Mme Élise Leboucher, M. Hervé de Lépinau, Mme Brigitte Liso, Mme Christine Loir,
Mme Marie-France Lorho, Mme Laurence Maillart-Méhaignerie, M. Christophe Marion, M. Didier Martin,
M. Thomas Ménagé, Mme Frédérique Meunier, M. Yannick Neuder, M. Julien Odoul, M. Laurent Panifous,
Mme Anne-Laurence Petel, Mme Michèle Peyron, M. Sébastien Peytavie, M. René Pilato, Mme Christine Pires
Beaune, Mme Lisette Pollet, M. Jean-Pierre Pont, Mme Natalia Pouzyreff, Mme Cécile Rilhac, M. Jean-François
Rousset, M. Michel Sala, Mme Danielle Simonnet, M. David Valence, Mme Annie Vidal, M. Philippe Vigier,
M. Léo Walter
Excusés. - Mme Caroline Fiat, Mme Lise Magnier
Assistaient également à la réunion. - Mme Mireille Clapot, M. Fabien Di Filippo, Mme Emmanuelle Ménard,
M. Benoit Mournet, Mme Christelle Petex, Mme Maud Petit, Mme Sandrine Rousseau
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 21 h 15
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thibault Bazin, M. Christophe Bentz, Mme Anne Bergantz,
M. Hadrien Clouet, M. Paul-André Colombani, Mme Bérangère Couillard, M. Charles de Courson, Mme Laurence
Cristol, Mme Geneviève Darrieussecq, M. Stéphane Delautrette, M. Jocelyn Dessigny, M. Pierre Dharréville,
Mme Sandrine Dogor-Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Karen Erodi, Mme Sophie Errante, M. Olivier
Falorni, Mme Elsa Faucillon, M. Emmanuel Fernandes, Mme Caroline Fiat, Mme Agnès Firmin Le Bodo,
M. Thierry Frappé, Mme Annie Genevard, M. François Gernigon, M. Joël Giraud, Mme Justine Gruet, M. Jérôme
Guedj, M. Patrick Hetzel, Mme Monique Iborra, M. Cyrille Isaac-Sibille, M. Philippe Juvin, Mme Emeline K/Bidi,
Mme Julie Laernoes, M. Gilles Le Gendre, Mme Élise Leboucher, M. Hervé de Lépinau, Mme Brigitte Liso,
Mme Marie-France Lorho, Mme Laurence Maillart-Méhaignerie, M. Christophe Marion, M. Didier Martin,
M. Thomas Ménagé, Mme Frédérique Meunier, M. Yannick Neuder, Mme Anne-Laurence Petel, Mme Michèle
Peyron, M. Sébastien Peytavie, M. René Pilato, Mme Christine Pires Beaune, Mme Lisette Pollet, M. Jean-Pierre
Pont, Mme Cécile Rilhac, M. Jean-François Rousset, Mme Danielle Simonnet, M. David Valence, Mme Annie
Vidal, M. Philippe Vigier, M. Léo Walter
Excusé. - Mme Lise Magnier
Assistaient également à la réunion. - Mme Mireille Clapot, Mme Emmanuelle Ménard, M. Benoit Mournet,
Mme Maud Petit
Commission spéciale pour l’examen du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de
vie
Réunion du jeudi 16 mai 2024 à 9 heures
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Christophe Bentz, Mme Anne Bergantz, M. Hadrien Clouet,
M. Paul-André Colombani, Mme Bérangère Couillard, M. Charles de Courson, Mme Laurence Cristol,
Mme Geneviève Darrieussecq, Mme Christine Decodts, M. Stéphane Delautrette, M. Jocelyn Dessigny, M. Pierre
Dharréville, Mme Sandrine Dogor-Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Karen Erodi, Mme Sophie Errante,
M. Olivier Falorni, Mme Elsa Faucillon, M. Emmanuel Fernandes, Mme Caroline Fiat, Mme Agnès Firmin Le
Bodo, M. Thierry Frappé, Mme Annie Genevard, M. François Gernigon, M. Joël Giraud, Mme Justine Gruet,
M. Jérôme Guedj, Mme Marine Hamelet, M. Patrick Hetzel, Mme Monique Iborra, M. Cyrille Isaac-Sibille,
M. Philippe Juvin, Mme Emeline K/Bidi, Mme Julie Laernoes, M. Gilles Le Gendre, Mme Élise Leboucher,
M. Hervé de Lépinau, Mme Brigitte Liso, Mme Christine Loir, Mme Marie-France Lorho, Mme Lise Magnier,
Mme Laurence Maillart-Méhaignerie, M. Christophe Marion, M. Didier Martin, M. Thomas Ménagé,
Mme Emmanuelle Ménard, Mme Frédérique Meunier, M. Yannick Neuder, M. Julien Odoul, Mme Anne-
Laurence Petel, Mme Michèle Peyron, M. Sébastien Peytavie, M. René Pilato, Mme Christine Pires Beaune,
Mme Lisette Pollet, M. Jean-Pierre Pont, Mme Natalia Pouzyreff, Mme Cécile Rilhac, M. Jean-François Rousset,
M. Michel Sala, Mme Danielle Simonnet, M. Nicolas Turquois, M. David Valence, M. Philippe Vigier, M. Léo
Walter
Assistaient également à la réunion. - M. Stéphane Mazars, Mme Maud Petit, M. Dominique Potier,
Mme Sandrine Rousseau
Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation
Réunion du mercredi 15 mai 2024 à 15 h 05
Présents. - Mme Sophie Blanc, M. Pierre Cordier, Mme Edwige Diaz, Mme Martine Etienne, M. Didier Le Gac,
M. Emmanuel Mandon, M. Didier Padey, M. Lionel Royer-Perreaut, M. David Valence
Excusés. - M. Xavier Batut, Mme Patricia Lemoine, M. Laurent Marcangeli, Mme Marie-Agnès Poussier-
Winsback, M. Jean-Claude Raux, M. Stéphane Travert
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 139
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2413552X
Documents parlementaires
Dépôt du jeudi 16 mai 2024
Dépôt d’un projet de loi autorisant la ratification d’une convention
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 mai 2024, de M. le Premier ministre, un projet de loi
autorisant la ratification de l’accord se rapportant à la convention des Nations unies sur le droit de la mer et portant
sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la
juridiction nationale.
Ce projet de loi, no 2628, est renvoyé à la commission des affaires étrangères, en application de l’article 83 du
règlement.
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPS2413546X
COMMISSIONS
Membres présents ou excusés
Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées
Séance du mardi 14 mai 2024
Présents : Pascal Allizard, Jérôme Darras, Catherine Dumas, Nicole Duranton, Philippe Folliot, Annick Girar
din, Michelle Gréaume, André Guiol, Ludovic Haye, Loïc Hervé, Alain Houpert, Patrice Joly, Gisèle Jourda,
Roger Karoutchi, Jean-Baptiste Lemoyne, Ronan Le Gleut, Vivette Lopez, Claude Malhuret, Didier Marie, Jean-
Jacques Panunzi, Philippe Paul, Cédric Perrin, Évelyne Perrot, Jean-Luc Ruelle, Hugues Saury, Bruno Sido,
Rachid Temal, Mickaël Vallet, Jean-Marc Vayssouze-Faure.
Excusé : Alain Joyandet.
Ont délégué leur droit de vote : Étienne Blanc, François Bonneau, Gilbert Bouchet, Olivier Cadic, Olivier Cigo
lotti, Sylvie Goy-Chavent.
Assistaient en outre à la séance : Agnès Canayer (commission des lois constitutionnelles, de législation, du
suffrage universel, du Règlement et d’administration générale), Maryse Carrère (commission des affaires sociales).
Mission d’information sur le thème : « L’avenir de la santé périnatale et son organisation territoriale »
Séance du mardi 14 mai 2024
Présents : Véronique Guillotin, Annick Jacquemet, Patrice Joly, Florence Lassarade, Annie Le Houerou,
Marie Mercier, Émilienne Poumirol, Marie-Pierre Richer.
Commission des affaires économiques
1re séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : Viviane Artigalas, Martine Berthet, Yves Bleunven, Michel Bonnus, Denis Bouad, Jean-Luc Brault,
Bernard Buis, Frédéric Buval, Henri Cabanel, Alain Cadec, Guislain Cambier, Anne Chain-Larché, Patrick Chaize,
Alain Chatillon, Patrick Chauvet, Evelyne Corbière Naminzo, Pierre Cuypers, Laurent Duplomb, Domi
nique Estrosi Sassone, Daniel Fargeot, Gilbert Favreau, Stéphane Fouassin, Amel Gacquerre, Fabien Gay,
Daniel Gremillet, Philippe Grosvalet, Antoinette Guhl, Annick Jacquemet, Micheline Jacques, Yannick Jadot,
Anne-Catherine Loisier, Vincent Louault, Marianne Margaté, Pierre Médevielle, Franck Menonville, Serge Méril
lou, Jean-Jacques Michau, Franck Montaugé, Sylviane Noël, Sebastien Pla, Sophie Primas, Christian Redon-
Sarrazy, Évelyne Renaud-Garabedian, Olivier Rietmann, Daniel Salmon, Lucien Stanzione, Jean-Claude Tissot.
Excusés : Jean-Marc Boyer, Rémi Cardon.
Ont délégué leur droit de vote : Jean-Marc Boyer, Amel Gacquerre.
Assistait en outre à la séance : Stéphane Sautarel (commission des finances).
Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées
2e séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : François Bonneau, Alain Cazabonne, Olivier Cigolotti, Hélène Conway-Mouret, Édouard Courtial,
Jérôme Darras, Catherine Dumas, Nicole Duranton, Philippe Folliot, Guillaume Gontard, Michelle Gréaume,
André Guiol, Ludovic Haye, Loïc Hervé, Alain Houpert, Patrice Joly, Gisèle Jourda, Alain Joyandet,
Roger Karoutchi, Jean-Baptiste Lemoyne, Ronan Le Gleut, Vivette Lopez, Claude Malhuret, Didier Marie,
Thierry Meignen, Akli Mellouli, Jean-Jacques Panunzi, Philippe Paul, Évelyne Perrot, Stéphane Ravier, Jean-
Luc Ruelle, Hugues Saury, Bruno Sido, Rachid Temal, Mickaël Vallet, Jean-Marc Vayssouze-Faure.
Ont délégué leur droit de vote : Étienne Blanc, Valérie Boyer, Olivier Cadic, Sylvie Goy-Chavent, Cédric Per
rin.
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable
2e séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : Pierre Barros, Cédric Chevalier, Guillaume Chevrollier, Marta de Cidrac, Franck Dhersin,
Jacques Fernique, Fabien Genet, Hervé Gillé, Jean-François Longeot, Didier Mandelli, Pascal Martin,
Clément Pernot, Bernard Pillefer, Kristina Pluchet, Hervé Reynaud, Philippe Tabarot.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 139
Excusés : Jocelyne Antoine, Nicole Bonnefoy, Éric Gold, Nadège Havet, Georges Naturel, Simon Uzenat.
Ont délégué leur droit de vote : Franck Dhersin, Christine Herzog, Denise Saint-Pé.
Assistaient en outre à la séance : Marie-Jeanne Bellamy (commission de la culture, de l’éducation, de la
communication et du sport), Max Brisson (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du
sport), Colombe Brossel (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport),
Christian Bruyen (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Laure Darcos
(commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Sabine Drexler (commission de la
culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Bernard Fialaire (commission de la culture, de
l’éducation, de la communication et du sport), Patrick Kanner (commission de la culture, de l’éducation, de la
communication et du sport), Claude Kern (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du
sport), Laurent Lafon (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Gérard Lahellec
(commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Jean-Jacques Lozach (commission de
la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Pauline Martin (commission de la culture, de
l’éducation, de la communication et du sport), Mathilde Ollivier (commission de la culture, de l’éducation, de la
communication et du sport), Pierre Ouzoulias (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du
sport), Jean-Gérard Paumier (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport),
Michel Savin (commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Anne Ventalon
(commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport), Adel Ziane (commission de la culture,
de l’éducation, de la communication et du sport).
Commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport
2e séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : Marie-Jeanne Bellamy, Max Brisson, Colombe Brossel, Christian Bruyen, Laure Darcos,
Sabine Drexler, Bernard Fialaire, Patrick Kanner, Claude Kern, Laurent Lafon, Gérard Lahellec, Jean-
Jacques Lozach, Pauline Martin, Mathilde Ollivier, Pierre Ouzoulias, Jean-Gérard Paumier, Michel Savin,
Anne Ventalon, Adel Ziane.
Assistaient en outre à la séance : Pierre Barros (commission de l’aménagement du territoire et du développe
ment durable), Cédric Chevalier (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable),
Guillaume Chevrollier (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Marta de Cidrac
(commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Franck Dhersin (commission de
l’aménagement du territoire et du développement durable), Jacques Fernique (commission de l’aménagement du
territoire et du développement durable), Fabien Genet (commission de l’aménagement du territoire et du
développement durable), Hervé Gillé (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable),
Jean-François Longeot (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Didier Mandelli
(commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Pascal Martin (commission de
l’aménagement du territoire et du développement durable), Clément Pernot (commission de l’aménagement du
territoire et du développement durable), Bernard Pillefer (commission de l’aménagement du territoire et du
développement durable), Kristina Pluchet (commission de l’aménagement du territoire et du développement
durable), Hervé Reynaud (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable),
Philippe Tabarot (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable).
Commission d’enquête portant sur la production, la consommation et le prix de l’électricité aux horizons
2035 et 2050
1re séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : François Bonneau, Guillaume Chevrollier, Vincent Delahaye, Christine Herzog, Franck Montaugé,
Denise Saint-Pé, Daniel Salmon.
Excusés : Martine Berthet, Didier Mandelli.
2e séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : François Bonneau, Vincent Delahaye, Franck Montaugé.
Excusés : Martine Berthet, Didier Mandelli.
Mission d’information sur le thème : « Complémentaires santé, mutuelles : l’impact sur le pouvoir
d’achat des Français »
Séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : Marie-Claire Carrère-Gée, Annie Le Houerou, André Reichardt, Silvana Silvani.
Excusés : Catherine Di Folco, Xavier Iacovelli, Serge Mérillou.
Mission d’information sur « Architectes des Bâtiments de France : périmètre et compétences »
2e séance du mercredi 15 mai 2024
Présents : Sabine Drexler, Marie-Pierre Monier, Pierre-Jean Verzelen.
Commission d’enquête sur « les moyens mobilisés et mobilisables par l’État pour assurer la prise en
compte et le respect par le groupe TotalEnergies des obligations climatiques et des orientations de la
politique étrangère de la France »
Séance du jeudi 16 mai 2024
Présents : Pierre Barros, Catherine Belrhiti, Bernard Buis, Marie-Claire Carrère-Gée, Brigitte Devésa,
Gilbert Favreau, Philippe Folliot, Yannick Jadot, Roger Karoutchi, Didier Mandelli, Pierre Médevielle,
Sophie Primas, Pierre-Alain Roiron, Jean-Claude Tissot, Jean-Marc Vayssouze-Faure, Michaël Weber.
Excusés : Yves Bleunven, Dominique de Legge.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 139
Convocations
Commission des Affaires économiques
I. – Mardi 21 mai 2024
À 9 h 30
(Salle A263 - 2e étage Ouest)
1o Examen des amendements de séance déposés sur le texte de la commission no 587 (2023-2024) sur la
proposition de loi no 292 (2023-2024) visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif (Mme Sylviane Noël,
rapporteure) ;
2o Examen des amendements de séance déposés sur le texte de la commission no 598 (2023-2024) sur la
proposition de loi no 406 (2023-2024) visant à faciliter la transformation des bureaux en logements (Mme Martine
Berthet, rapporteure) ;
3o Questions diverses.
II. – Mercredi 22 mai 2024
À 9 h 30
(Salle A263 - 2e étage Ouest)
Captation
1o Audition de M. Arthur Mensch, cofondateur de l’entreprise Mistral AI ;
2o Questions diverses.
Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées
Mercredi 22 mai 2024
(Salle René Monory)
À 9 h 30
1o Audition de M. Thierry Francou, président-directeur général d’Eurenco.
À 11 heures
2o Audition de M. Nicolas Kassianides, Consul général de France à Jérusalem (En téléconférence).
3o Questions diverses.
Commission des Affaires sociales
Mardi 21 mai 2024
À 17 heures
(Salle Clemenceau)
Captation
1o Audition de M. Frédéric Valletoux, ministre délégué chargé de la santé et de la prévention ;
2o Questions diverses.
Mercredi 22 mai 2024
À 10 heures
(Salle A213 - 2e étage Est)
1o Examen du rapport et du texte de la commission sur la proposition de loi, présentée par M. Xavier Iacovelli,
ouvrant la possibilité de concilier une activité professionnelle avec la fonction d’assistant familial (no 522,
2023-2024) ; (rapporteure : Mme Solanges Nadille)
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : Vendredi 17 mai à 12 heures
2o Examen du rapport et du texte de la commission sur la proposition de loi, présentée par Mme Jacqueline
Eustache-Brinio et plusieurs de ses collègues, visant à encadrer les pratiques médicales mises en oeuvre dans la
prise en charge des mineurs en questionnement de genre (no 435, 2023-2024) ; (rapporteur : M. Alain Milon)
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : Vendredi 17 mai à 12 heures
3o Questions diverses.
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable
Mercredi 22 mai 2024
À 9 h 30
(Salle Clemenceau)
1o Examen du rapport et élaboration du texte de la commission sur la proposition de loi no 514 (2023-2024),
adoptée par l’Assemblée nationale en première lecture, visant à protéger la population des risques liés aux
substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (M. Bernard Pillefer, rapporteur)
Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission (Ameli commission), est
fixé au 20 mai 2024 à 12 heures
2o Demande de saisine pour avis et désignation d’un rapporteur pour avis sur la proposition de loi no 555
(2023-2024), présentée par M. Daniel Gremillet, Mme Dominique Estrosi Sassone et M. Bruno Retailleau, portant
programmation nationale et simplification normative dans le secteur économique de l’énergie
3o Questions diverses
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 139
À 16 h 30
(Salle Clemenceau)
Captation
1o Table ronde relative à la « Politique européenne des transports : enjeux et défis de la prochaine mandature »,
conjointement avec la commission des affaires européennes, avec :
– Mme Marie-Ange Debon, Présidente de l’Union française des Transports Publics et ferroviaires (UTP)
– M. Pierre Leflaive, responsable transports de Réseau Action Climat - France
– M. Florent Moretti, conseiller transports à la Représentation permanente de la France auprès de l’Union
européenne (sous réserve)
– M. Denis Saada, Président de la verticale Nouvelles Mobilités au sein de l’Alliance des mobilités
2o Questions diverses
Commission des Finances
Mardi 21 mai 2024
À 9 h 30
(Salle de la commission des finances)
1o Examen des amendements éventuels aux articles délégués au fond du texte de la commission des affaires
économiques no 587 (2023-2024) sur la proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de
la procédure accélérée, visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif1 (M. Jean-François Husson,
rapporteur pour avis)
Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : Jeudi 16 mai 2024, à 12 heures
2o Examen des amendements éventuels aux articles délégués au fond du texte de la commission des affaires
économiques no 598 (2023-2024) sur la proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de
la procédure accélérée, visant à faciliter la transformation des bureaux en logements2 (M. Stéphane Sautarel,
rapporteur pour avis)
Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : Vendredi 17 mai 2024, à 12 heures
3o Questions diverses.
Mercredi 22 mai 2024
À 9 heures
(Salle de la commission des finances)
1o Examen du rapport de Mme Christine Lavarde, rapporteur, et élaboration du texte de la commission sur la
proposition de loi no 513 (2022-2023), adoptée par l’Assemblée nationale, visant à mieux indemniser les dégâts sur
les biens immobiliers causés par le retrait-gonflement de l’argile
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : Vendredi 17 mai 2024, à 12 heures
2o Audition de M. Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations
3o Contrôle budgétaire - communication de M. Olivier Paccaud, rapporteur spécial, sur les personnels
administratifs du ministère de l’Éducation nationale
4o Désignation des candidats pour faire partie de la commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur
les dispositions restant en discussion sur la proposition de loi visant à accroître le financement des entreprises et
l’attractivité de la France
5o Questions diverses.
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale
Mercredi 22 mai 2024
À 9 h 30
(Salle A216 – 2e étage aile Est)
1o Désignation des candidats pour faire partie de l’éventuelle commission mixte paritaire chargée de proposer un
texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à prévenir les ingérences étrangères en
France ;
2o Désignation d’un rapporteur sur la proposition de loi no 556 (2023-2024) visant à assouplir la gestion des
compétences « eau » et « assainissement », présentée par M. Jean-Michel Arnaud ;
3o Examen des amendements éventuels au texte no 596 (2023-2024) de la commission sur la proposition de loi
o
n 479 (2023-2024), adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, visant à
prévenir les ingérences étrangères en France (rapporteur : Mme Agnès Canayer) ;
4o Examen, en deuxième lecture, du rapport de Mme Cécile Cukierman et du texte proposé par la commission
sur la proposition de loi no 310 (2023-2024), modifiée par l’Assemblée nationale en première lecture, encadrant
l’intervention des cabinets de conseil privés dans les politiques publiques ;
Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission (Ameli Commission), est
fixé au : Vendredi 17 mai 2024, à 12 heures.
5o Questions diverses.
Commission d’enquête sur les politiques publiques face aux opérations d’influences étrangères
Jeudi 23 mai 2024
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 139
À 11 h 15
(Salle A263 - 2e étage Ouest)
Captation
1o Audition de M. Didier Migaud, président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique
(HATVP) ;
2o Questions diverses.
À 15 heures
(Salle A245 - 2e étage Ouest)
À huis clos
1o Audition de Mmes Béatrice Oeuvrard et Elisa Borry-Estrade, responsables des affaires publiques de Meta
France ;
2o Questions diverses.
Mission d’information sur le thème : « L’avenir de la santé périnatale et son organisation territoriale »
Mercredi 22 mai 2024
À 13 h 30
(Salle 213 de la commission des affaires sociales)
Captation
1o Audition de Mme Véronique Hamayon, présidente de la sixième chambre de la Cour des comptes, sur le
rapport de la Cour des comptes sur la politique de périnatalité ;
2o Questions diverses.
Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la
proposition de loi renforçant l’ordonnance de protection et créant l’ordonnance provisoire de protection
immédiate
Mardi 21 mai 2024
À 9 heures
à l’Assemblée nationale
6e bureau
(Salle de la commission des lois)
– Nomination du Bureau
– Désignation des Rapporteurs
– Examen des dispositions de la proposition de loi restant en discussion
Désignations de rapporteurs
Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées
La commission désigne rapporteurs :
– M. Alain Cazabone pour l’accord sur la création d’un espace aérien commun entre l’Union européenne et ses
États membres, d’une part, et la République d’Arménie, d’autre part et de l’accord sur la création d’un espace
aérien commun entre l’Union européenne et ses États membres, d’une part, et l’Ukraine, d’autre part ;
– M. Étienne Blanc pour l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la
République d’Indonésie relatif à la coopération dans le domaine de la défense.
Commission des affaires sociales
Le 15/05/2024, la commission des affaires sociales du Sénat a désigné Mme Laurence Muller-Bronn et
Mme Corinne Féret comme rapporteures sur la proposition de loi pour améliorer la prise en charge de la sclérose
latérale amyotrophique et d’autres maladies évolutives graves, présentée par MM. Gilbert BOUCHET et Philippe
MOUILLER (no 542, 2023-2024).
Proposition de loi visant à mieux indemniser les dégâts sur les biens immobiliers causés par le retrait-gonflement
de l’argile
Vendredi 17 mai 2024 12h00
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale
Proposition de loi encadrant l’intervention des cabinets de conseil privés dans les politiques publiques
Vendredi 17 mai 2024 12h00
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES
NOR : INPS2413542X
Présents : Michel Canévet, Pierre Cuypers, Guillaume Gontard, Lauriane Josende, Olivier Rietmann, Anne-
Sophie Romagny, Simon Uzenat.
Excusés : Yves Bleunven, Michel Bonnus, Jean-Luc Brault, Marion Canalès, Emmanuel Capus, Patrick Chauvet,
Jérôme Darras, Nathalie Delattre, Gilbert Favreau, Stéphane Fouassin, Laurence Garnier, Antoinette Guhl,
Else Joseph, Christian Klinger, Daniel Laurent, Pierre-Antoine Levi, Martin Lévrier, Pauline Martin,
Michel Masset, Damien Michallet, Anne-Marie Nédélec, Cyril Pellevat, Dominique Théophile.
Convocations
Délégation aux Collectivités territoriales et à la décentralisation
Jeudi 23 mai 2024, à 8h30, Grande salle Delavigne
Communication de Mme la Présidente Françoise Gatel, sur la cellule d’information et de réponse aux
collectivités (CIRCÉ) ;
Examen du rapport « trois recommandations » relatif à la différenciation des collectivités territoriales
(Rapporteurs : Mme Françoise Gatel, M. Max Brisson) ;
Présentation des lignes directrices du renforcement des procédures de contrôle parlementaire, issues des
conclusions du rapport « Renforcer le contrôle parlementaire », par Mme Pascale Gruny ;
Table-ronde relative à la mission de suivi des recommandations du rapport « ANCT : se mettre au diapason
des élus locaux ! », avec la participation de :
– Mme Cécile Raquin, Directrice générale des collectivités locales (DGCL) ;
– Mme Fabienne Balussou, Préfète, Directrice du Management de l’administration territoriale et de
l’encadrement supérieur (DMATES) ;
– M. Christophe Bouillon, Président de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) accompagné
de M. Stanislas Bourron, directeur général de l’ANCT.
Table-ronde relative à la mission d’information intitulée « Relever le défi de l’ingénierie dans les petites
communes : les bonnes pratiques » avec la participation de :
– Mme Fanny Lacroix, Vice-Présidente de l’Association des Maires ruraux de France (AMRF), Maire de de
Châtel-en-Triève ;
– Mme Chloé Brillon, Présidente de l’association « 1000 cafés » ;
– M. Jean-Marc Labbé, Vice-Président de l’association BRUDED, Maire de La Méaugon, accompagné de
Mme Ivana Potelon, co-directrice et chargée de développement de BRUDED.
Examen du rapport « trois recommandations » relatif au défi de l’ingénierie dans les petites communes
(Rapporteurs : M. Daniel Guéret, M. Jean-Jacques Lozach).
Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes
Jeudi 23 mai 2024, à 8h30, salle Monory
Dans le cadre de la mission d’information sur les femmes dans la rue, table ronde sur la situation des enfants
dans la rue :
– Mme Anina Ciuciu, marraine et avocate du Collectif #Ecolepourtous ;
– Mmes Julie Lignon, chargée de plaidoyer sur les questions de lutte contre la pauvreté infantile, et Mina Stahl,
chargée de relations avec les pouvoirs publics, chez Unicef France ;
– M. Raphaël Vulliez, porte-parole de l’association Jamais sans toit.
Délégation à la prospective
Mardi 21 mai 2024, à 14 heures, salle René Monory
Examen du rapport « IA et santé »
(Rapporteurs : Christian Redon-Sarrazy et Anne Ventalon)
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2413533X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2413534X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
RAPPORTS AU PARLEMENT
NOR : INPS2413539X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPS2413537X
En souligné : Entre dans le champ de l’article 23 bis du Règlement relatif à la présence des sénateurs.
– Conclusions de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à assurer une justice
patrimoniale au sein de la famille (texte de la commission, no 592, 2023-2024)
• Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au fond
pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par groupe pour
une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne figurant sur la
liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
• Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : mardi 21 mai à 15 heures
– Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, visant à
prévenir les ingérences étrangères en France (texte de la commission, no 596, 2023-2024)
Ce texte a été envoyé à la commission des lois avec une saisine pour avis de la commission des affaires
étrangères, de la défense et des forces armées.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 13 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 15 mai matin
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : mardi 21 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : mercredi 22 mai matin
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : mardi 21 mai à 15 heures
SEMAINE DE CONTRÔLE
Mardi 28 mai 2024
A 14 h 30 et le soir
– Débat sur le bilan de l’application des lois
• Présentation du rapport sur l’application des lois : 10 minutes
• Réponse du Gouvernement : 5 minutes
• Débat interactif avec les présidents des commissions permanentes et le président de la commission des affaires
européennes : 2 minutes maximum par président, y compris la réplique, avec possibilité d’une réponse du
Gouvernement pour une durée équivalente
• Débat interactif avec les groupes à raison d’un orateur par groupe ainsi que d’un représentant des sénateurs ne
figurant sur la liste d’aucun groupe : 2 minutes maximum par orateur, y compris la réplique, avec possibilité
de réponse du Gouvernement pour une durée équivalente
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans le débat : lundi 27 mai à 15 heures
– Deuxième lecture de la proposition de loi, modifiée par l’Assemblée nationale, encadrant l’intervention des
cabinets de conseil privés dans les politiques publiques (no 310, 2023-2024) (demande du groupe
Les Républicains et du groupe Communiste Républicain Citoyen et Écologiste - Kanaky)
Ce texte a été envoyé à la commission des lois.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : vendredi 17 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 22 mai matin
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : lundi 27 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : mardi 28 mai après-midi
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 45 minutes
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : lundi 27 mai à 15 heures
– Proposition de loi visant à encadrer les pratiques médicales mises en œuvre dans la prise en charge des
mineurs en questionnement de genre, présentée par Mme Jacqueline EUSTACHE-BRINIO et plusieurs de
ses collègues (no 435, 2023-2024) (demande du groupe Les Républicains)
Ce texte a été envoyé à la commission des affaires sociales.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : vendredi 17 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 22 mai matin
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : lundi 27 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : mardi 28 mai après-midi
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : lundi 27 mai à 15 heure
– Débat sur le thème : « Le contrôle des investissements étrangers en France comme outil d’une stratégie
d’intelligence économique au service de notre souveraineté »
• Temps attribué au groupe Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants : 8 minutes
• Temps attribué aux orateurs des groupes : 1 heure
• Possibilité pour le Gouvernement de prendre la parole après chaque orateur pour une durée de 2 minutes ;
possibilité pour l’orateur de répliquer pendant 1 minute
• Temps de réponse du Gouvernement : 5 minutes
• Conclusion par le groupe Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants : 5 minutes
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans le débat : mardi 28 mai à 15 heures
– Proposition de loi ouvrant la possibilité de concilier une activité professionnelle avec la fonction
d’assistant familial, présentée par M. Xavier IACOVELLI (no 522, 2023-2024)
Ce texte a été envoyé à la commission des affaires sociales.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : vendredi 17 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 22 mai matin
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : lundi 27 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : mercredi 29 mai matin
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 45 minutes
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : mardi 28 mai à 15 heures
A l’issue de l’espace réservé ou le soir
– Débat sur le thème : « La France a-t-elle été à la hauteur des défis et de ses ambitions européennes ? »
(demande du groupe SER)
• Temps attribué au groupe Socialiste, Écologiste et Républicain : 8 minutes
• Réponse du Gouvernement pour une durée équivalente
• Après la réponse du Gouvernement, séquence de 16 questions réponses :
– 2 minutes, y compris la réplique
– Possibilité de réponse du Gouvernement pour une durée équivalente
– Possibilité pour le Gouvernement de répondre à une réplique pendant 1 minute et à l’auteur de la question de
répondre de nouveau pendant 1 minute
• Conclusion par le groupe Socialiste, Écologiste et Républicain : 5 minutes
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans le débat : mardi 28 mai à 15 heures
– Sous réserve de leur dépôt, conclusions de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à
accroître le financement des entreprises et l’attractivité de la France
• Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au fond
pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par groupe pour
une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne figurant sur la
liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
• Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : vendredi 31 mai à 15 heures
– Sous réserve de leur dépôt, conclusions de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à
prévenir les ingérences étrangères en France
• Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au fond
pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par groupe pour
une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne figurant sur la
liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
• Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : vendredi 31 mai à 15 heures
– Sous réserve de leur dépôt, conclusions de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi allongeant la
durée de l’ordonnance de protection et créant l’ordonnance provisoire de protection immédiate
• Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au fond
pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par groupe pour
une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne figurant sur la
liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
• Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : vendredi 31 mai à 15 heures
Le soir
– Projet de loi de simplification de la vie économique (procédure accélérée) (no 550, 2023-2024)
Ce texte a été envoyé à une commission spéciale.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : vendredi 24 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mardi 28 mai après-midi
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : vendredi 31 mai à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : lundi 3 juin après-midi
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 31 mai à 15 heures
SEMAINE SÉNATORIALE
Lundi 10 juin 2024
A 16 heures et le soir
– Proposition de loi pour améliorer la prise en charge de la sclérose latérale amyotrophique et d’autres
maladies évolutives graves, présentée par MM. Gilbert BOUCHET et Philippe MOUILLER (no 542, 2023-
2024) (demande du groupe Les Républicains)
Ce texte a été envoyé à la commission des affaires sociales.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 3 juin à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 5 juin matin
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 139
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : vendredi 7 juin à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : lundi 10 juin après-midi
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 7 juin à 15 heures
– Proposition de loi visant à assurer le respect du principe de laïcité dans le sport, présentée par M. Michel
SAVIN et plusieurs de ses collègues (no 376, 2023-2024) (demande du groupe Les Républicains)
Ce texte a été envoyé à la commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport.
• Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 3 juin à 12 heures
• Réunion de la commission pour le rapport et le texte : mercredi 5 juin matin
• Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : lundi 10 juin à 12 heures
• Réunion de la commission pour examiner les amendements de séance : lundi 10 juin après-midi
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 7 juin à 15 heures
– Débat relatif à la francophonie (demande du groupe Les Républicains)
• Temps attribué au groupe Les Républicains : 8 minutes
• Temps attribué aux orateurs des groupes : 1 heure
• Possibilité pour le Gouvernement de prendre la parole après chaque orateur pour une durée de 2 minutes ;
possibilité pour l’orateur de répliquer pendant 1 minute
• Temps de réponse du Gouvernement : 5 minutes
• Conclusion par le groupe Les Républicains : 5 minutes
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans le débat : vendredi 7 juin à 15 heures
• Temps attribué aux orateurs des groupes dans la discussion générale : 1 heure
• Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 14 juin à 15 heures
– Sous réserve de sa transmission, suite du projet de loi d’orientation pour la souveraineté en matière agricole
et le renouvellement des générations en agriculture (procédure accélérée) (A.N., no 2436)
– Clôture de la session ordinaire 2023-2024
Informations parlementaires
COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES
NOR : INPX2413543X
1. Composition
COMMISSION MIXTE PARITAIRE
chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi renforçant l’ordonnance de protection et créant l’ordonnance
provisoire de protection immédiate
À la suite des nominations effectuées par l’Assemblée nationale le jeudi 16 mai 2024 et par le Sénat dans sa séance du mercredi 15 mai 2024, cette commission est
ainsi composée :
Députés
Titulaires Suppléants
M. Erwan Balanant N.
Sénateurs
Titulaires Suppléants
2. Réunions
Mardi 21 mai 2024
Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la
proposition de loi renforçant l’ordonnance de protection et créant l’ordonnance provisoire de protection
immédiate,
A 9 heures (6e Bureau – Palais Bourbon, 1er étage) :
– nomination du bureau ;
– nomination des rapporteurs ;
– examen des dispositions restant en discussion de la proposition de loi.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 139
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2413545X
Réunions
Jeudi 16 mai 2024
Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques,
A 9 h 30 Assemblée nationale (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– présentation du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de la sûreté nucléaire et de la
radioprotection en France en 2023, par M. Bernard Doroszczuk, président de l’ASN
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 139
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2413544X
Députés
Présents. – Mme Caroline Colombier, Mme Constance Le Grip
Excusé. – M. Thomas Gassilloud, M. Sacha Houlié
Sénateurs
Présents. – M. François-Noël Buffet, Mme Agnès Canayer, Mme Gisèle Jourda, M. Cédric Perrin
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 139
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
– de piloter la rénovation et création des diplômes professionnels et d’accompagner les régions académiques
dans l’évolution de l’offre de formation professionnelle dans les territoires ;
– de contribuer aux enjeux de la transition entre l’enseignement au lycée et l’enseignement supérieur ;
– d’animer les réseaux métiers relevant de la sous-direction : délégués régionaux aux formations
professionnelles initiale et continue, référents écoles-entreprises, directeurs opérationnels des campus des
métiers et des qualifications ;
– de poursuivre l’animation et le développement des labels des établissements et réseaux dans la voie
professionnelle : campus des métiers et des qualifications, lycée des métiers, label Qualiopi ;
– de contribuer aux travaux interministériels, particulièrement avec le ministère du travail sur l’apprentissage et
la formation professionnelle et les autres ministères certificateurs pour l’enseignement scolaire et supérieur.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat.
La durée d’occupation est de trois ans, renouvelable une fois. La période probatoire est fixée à six mois.
L’emploi de sous-directeur est classé, selon l’arrêté du 23 novembre 2022, dans le troisième niveau des emplois
supérieurs de la fonction publique d’Etat.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi.
Elle comprend :
– une part fixe brute comprise entre 41 824 € et 81 935 €. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de
l’emploi est un fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille
indiciaire ;
– une part variable brute, dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de l’emploi dont le maximum
réglementaire est de 77 000 € ;
– un complément indemnitaire annuel.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné ainsi qu’à l’arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités de recrutement
des emplois de direction au ministère chargé de l’éducation nationale et au ministère chargé de l’enseignement
supérieur et de la recherche.
L’autorité de recrutement est le secrétaire général du MENJ, du MSJOP et du MESR.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité du directeur général de l’enseignement scolaire.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Les personnes n’ayant pas la qualité
de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à l’organisation et
au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué
préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement
à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en
application du code général de la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique d’Etat.
Arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère chargé de
l’éducation nationale et au ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveau des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique d’Etat.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 139
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
Un emploi de directeur de projet (classé en groupe III) est vacant à la direction générale de la cohésion sociale
(DGCS), à l’administration centrale du ministère du travail, de la santé et des solidarités.
Date prévisible de vacance de l’emploi : 1er mai 2024.
Localisation géographique : Tour Olivier de Serres 78-84, rue Olivier-de-Serres, 75015 Paris.
Structure et fonctions
La ou le titulaire du poste est chargé de concevoir, d’impulser et de coordonner une politique publique rénovée et
ambitieuse en matière de soutien à la parentalité.
Le soutien à la parentalité constitue une priorité politique nationale, dans un contexte d’un secteur caractérisé par
la diversité des actions menées et leur exercice par des acteurs très variés. Si cette diversité constitue une richesse
permettant de proposer aux parents une palette d’offre de services, elle ne rend pas nécessairement lisible la
politique de soutien à la parentalité et ne garantit pas par nature la qualité des actions menées, ni l’équité
territoriale.
Des travaux ont été conduits récemment pour contribuer à structurer cette politique :
– la publication d’une stratégie nationale de soutien à la parentalité pour la période 2018-2022, ayant vocation à
assurer une meilleure coordination et visibilité des actions de soutien à la parentalité conduites par les
différentes administrations ;
– la définition juridique des services de soutien à la parentalité au sein du code de l’action sociale et des familles
(article L. 214-1-2) La publication d’une charte nationale de soutien à la parentalité, qui fixe huit principes qui
s’appliquent aux actions de soutien à la parentalité. Elle pose les conditions d’une identité professionnelle
partagée en faveur d’un accompagnement des familles, tout en respectant leur diversité.
Dernier chantier d’ampleur en date en matière de soutien à la parentalité, la démarche des 1000 premiers jours
fait l’objet d’un excellent accueil par les parents et futurs parents ainsi que par les professionnels qui les
accompagnent. L’enjeu pour le ou la titulaire de l’emploi est de poursuivre la dynamique « 1000 jours » tout en
élargissant à tous les autres âges de l’enfance et de l’adolescence cette approche globale, coordonnée et fondée sur
la preuve, des politiques de soutien à la parentalité.
Il ou elle aura pour mission de :
– préparer et animer une nouvelle commission scientifique interdisciplinaire chargée de conduire une démarche
structurée afin d’identifier comment mieux accompagner les parents dans l’exercice de leur fonction parentale
face aux réalités familiales actuelles ;
– à partir du bilan de la précédente stratégie, « dessine-moi un parent », proposer une nouvelle stratégie et la
mettre en œuvre ; à ce titre il ou elle fera toute proposition aux fins de refondre, restructurer et développer
l’offre de services en matière de soutien à la parentalité aux âges clés de la vie de l’enfant et de l’adolescent ;
– développer des partenariats externes et un travail collaboratif avec les autres ministères concernés par les
questions de parentalité ainsi qu’avec les acteurs, notamment collectivités locales et associations, porteuses
d’initiatives et d’innovations à l’échelle territoriale, mais aussi à l’échelle européenne et internationale ;
– suivre la nouvelle feuille de route des 1000 premiers jours, déployer les actions et préparer les budgets en lien
avec les autres administrations ;
– contribuer à la communication autour des différents chantiers, de sa conception définition à sa mise en œuvre.
Il ou elle bénéficiera à ce titre de l’appui des bureaux de la sous-direction enfance famille et des autres sous-
directions de la DGCS et devra établir des relations de travail étroites avec les autres directions d’administration
centrale concernées et la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF).
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 139
*
* *
La direction générale de la cohésion sociale conçoit, pilote et évalue, sous la tutelle de plusieurs ministres, les
politiques publiques de solidarité et de promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes :
– l’inclusion sociale et la lutte contre la pauvreté ;
– la famille et l’enfance : protection de l’enfance, protection juridique des majeurs, accueil du jeune enfant et
soutien à la parentalité ;
– les droits des femmes et l’égalité femmes-hommes ;
– l’autonomie des personnes âgées et des personnes en situation de handicap ;
– la formation, la qualification et la valorisation des métiers du social et du médico-social.
Elle est au cœur des enjeux sanitaires et sociaux actuels de natalité, parentalité, de prise en charge du handicap et
en faveur de l’autonomie dans un contexte de vieillissement de la population, de protection des personnes
vulnérables, d’inclusion sociale et de lutte contre la pauvreté, d’égalité entre les femmes et les hommes.
Elle conduit ou participe à la tutelle de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, de la Caisse nationale
des allocations familiales, du GIP France Enfance Protégée, ainsi que des établissements nationaux pour jeunes
sourds et jeunes aveugles.
La DGCS participe au pilotage de 3 réseaux territoriaux : services déconcentrés chargés de la cohésion sociale,
agences régionales de santé, réseau déconcentré des droits des femmes.
La DGCS est pilote de la préparation du projet de loi de finances pour les programmes budgétaires LOLF
rattachés à la mission « solidarité, insertion et égalité des chances » et contribue à la préparation et au suivi du
projet de loi de financement de la sécurité sociale.
Profil recherché
L’emploi s’adresse à un cadre expérimenté, fonctionnaire ou contractuel, avec une expérience minimale de six
années d’activités professionnelles diversifiées le qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions
supérieures de direction, d’encadrement ou d’expertise.
Pour les fonctionnaires, l’appartenance à un corps ou à un cadre d’emplois relevant de la catégorie A et dont
l’indice terminal brut est au moins égal à la hors-échelle B ou ayant occupé durant au moins trois ans en position de
détachement un ou plusieurs emplois culminant au moins à la hors-échelle B sera exigée.
Le ou la titulaire de l’emploi devra posséder une très bonne connaissance des politiques familiales, sociales,
sanitaires et médico-sociales et de leurs acteurs ; de l’organisation, du fonctionnement, de l’environnement
institutionnel et partenarial sur les questions de parentalité.
Il ou elle devra posséder un savoir-faire pour l’identification, la diffusion des expériences de terrain et des
bonnes pratiques ; une expérience dans la conduite d’activités en concertation avec une équipe pluridisciplinaire
dans une approche partenariale serait appréciée.
Il ou elle devra disposer de grandes compétences relationnelles, de la capacité à travailler en réseau. Il ou elle
devra en outre faire preuve de créativité et d’une grande capacité d’initiative. Une expérience confirmée dans la
conduite de projet et de la transformation de l’action publique est nécessaire.
Le ou la titulaire du poste, fonctionnaire ou contractuel, devra attester avoir occupé des postes d’encadrement
supérieur au sein des administrations sanitaires et sociales nationales ou territoriales. Une expérience en
collectivités locales serait un avantage.
Tout renseignement complémentaire sur le poste peut être obtenu auprès du directeur général, jean-benoit.
dujol@social.gouv.fr et de la cheffe du bureau des ressources humaines et affaires générales : myriam.
lemaire@social.gouv.fr.
Ce poste implique la mise en œuvre des compétences et des qualités suivantes :
Connaissances :
Maîtrise des mécanismes budgétaires et financiers ;
Politiques sociales (acteurs, organisation, financement, prestations, principaux enjeux) ;
Conduite de projet : capacité de pilotage et de mise en œuvre ;
Contrôle de gestion contrôle interne ;
Comptabilité publique ;
Savoir-faire (niveau expertise) :
Conduite de projet impliquant plusieurs catégories de partenaires ;
Identification des enjeux et prise de décisions ;
Capacité d’analyse et de synthèse des données et informations collectées ;
Définir et exprimer la stratégie de concertation et de communication associée à ces projets ;
Travail en mode projet ;
Savoir être :
Qualités relationnelles affirmées ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 139
Travail en équipe ;
Autonomie d’organisation ;
Capacité d’adaptation ;
Avoir le sens de l’écoute et du dialogue ;
Etre force de proposition ;
Il est demandé une grande disponibilité et forte réactivité, un goût prononcé pour le travail en équipe, une
participation à la continuité d’activité du service dans le cas de la survenance d’évènements exceptionnels.
Conditions d’emploi
La durée d’occupation est de trois ans, renouvelable une fois en tant que de besoin. La période probatoire est
fixée à six mois.
La rémunération dépend de l’expérience du ou de la titulaire de l’emploi et pour les personnes fonctionnaires de
son classement dans la grille indiciaire des fonctionnaires. Elle comprend une part fixe brute comprise entre
85 750 euros et 106 000 euros.
Elle peut être augmentée par un complément annuel variable.
A l’intérieur de cette fourchette, si le ou la titulaire de l’emploi est fonctionnaire, sa rémunération est établie au
regard de son classement dans la grille indiciaire des administrateurs de l’Etat. Pour les personnes n’ayant pas la
qualité de fonctionnaire, le classement dans la grille précitée est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
L’autorité de recrutement est le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité du directeur général de la cohésion sociale.
Envoi des candidatures :
Les candidatures doivent être transmises, dans un délai de 15 jours à compter de la date de publication de l’avis
de vacance de poste au Journal officiel de la République française, au secrétariat général des ministères chargés des
affaires sociales, par courriel uniquement et impérativement à l’adresse suivante : drh-stngp-ES-EncadrementSu
perieur@sg.social.gouv.fr, copie à la direction générale de la cohésion sociale à l’adresse fonctionnelle : DGCS-
candidatures@social.gouv.fr.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– un curriculum vitae comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours
professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste ;
– une lettre de motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours
professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état de service établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire ;
– d’une copie de la carte d’identité ;
– de documents attestant l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Recevabilité et examen des candidatures :
Le secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales, autorité de recrutement, fera procéder à la
vérification de la recevabilité des candidatures en fonction des conditions générales d’accès à la fonction publique
prévues aux articles L. 321-1, L. 321-2 et L. 321-3 du code général de la fonction publique et des critères définis
par le présent avis.
La présélection des candidats à auditionner sera confiée à une instance collégiale d’au moins trois personnes.
Audition des candidats :
Les candidates et candidats présélectionnés seront auditionnés par le directeur général de la cohésion sociale.
Information :
Les candidates et candidats non retenus en seront informés à l’issue de la procédure.
Déontologie
Le candidat ou la candidate pourra être amené, sur sollicitation expresse de l’administration, à déposer une
déclaration d’intérêts.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 139
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application des
articles L. 124-9 à L. 124-24 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module de formation relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Article 1er du décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois
communs aux administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de
fonctionnaires de l’Etat et de ses établissements publics.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement sur les emplois de direction des ministères chargés
des affaires sociales.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 139
Avis et communications
L’emploi de directeur ou de directrice chargé de la direction de contrôle fiscal Sud-Est sera prochainement
vacant.
Le siège de la direction est situé au 5, avenue du Général-Leclerc à Marseille.
Environnement
Créée par le décret no 2008-310 du 3 avril 2008, la direction générale des finances publiques (DGFiP) est chargée
de nombreuses missions dont elle assure la conception et la mise en œuvre. Elle dispose à cette fin de services
centraux et d’un important réseau déconcentré, présent sur l’ensemble du territoire national, en métropole, dans les
outre-mer et à l’étranger. Son action la conduit également à participer à des négociations et des coopérations
internationales.
La DGFiP est une administration d’autorité au cœur du fonctionnement de l’Etat et des finances publiques,
interlocuteur privilégié des entreprises et des collectivités locales. Chacun de ses agents incarne cette image du
service public d’Etat, avec ses valeurs d’intégrité, de neutralité et de secret professionnel.
Les attributions des directions spécialisées de contrôle fiscal (DIRCOFI) sont exposées dans un arrêté du
16 mars 2012 modifié relatif aux directions spécialisées de contrôle fiscal de la direction générale des finances
publiques. En substance, cet arrêté prévoit que les directions spécialisées de contrôle fiscal assurent, dans leur
ressort territorial, toutes opérations relatives à l’assiette et au contrôle des impôts, droits, prélèvements, cotisations
et taxes de toute nature, à l’égard : des personnes physiques ou morales, groupements de droit ou de fait ou entités
qui ont déposé ou auraient dû déposer une déclaration, un acte ou tout autre document ; des personnes,
groupements ou entités qui, même en l’absence d’obligation déclarative, ont été ou auraient dû être imposés par ces
mêmes services ou dont la résidence principale, le siège ou le principal établissement est situé dans le ressort
desdits services. Ces directions effectuent également le contrôle des systèmes de télétransmission des factures et
des procédures de signature électronique avancée.
La mission de contrôle fiscal est assurée au sein de la DIRCOFI dans toute sa dimension : la programmation, la
réalisation des contrôles sur les entreprises (PME/PMI et bas de portefeuille DVNI) et sur des particuliers, ainsi que
la prise en charge de tous les aspects contentieux au niveau des juridictions administratives et du ressort de la cour
administrative d’appel de Marseille.
La DIRCOFI est positionnée comme le relais de l’administration centrale vis-à-vis des directions territoriales de
sa zone de compétence géographique dans de nombreux domaines : pilotage fonctionnel des services de recherche
(BCR), pôle interrégional de programmation, cellule d’assistance administrative, pôle pénal interrégional, service
du contentieux d’appel déconcentré (SCAD), soutien et animation des réseaux métier interrégionaux via l’action
des Idiv Experts (contrôle des comptabilités informatisées, fiscalité internationale, activité pénale, contrôle
patrimonial, contentieux d’appel).
Les relations avec les directions territoriales (DD/RFiP) de la zone de compétence reposent sur des conventions
de partenariats et de services croisés dont l’actualisation et la mise en œuvre requièrent des rencontres annuelles
bilatérales (généralement sur site, y compris dans les DOM et en Corse), complétées par des échanges réguliers au
plus haut niveau selon les affaires spécifiques engagées par les équipes de contrôle et les incidences de l’activité
pénale.
Par décret no 2015-512 du 7 mai 2015 modifiant le décret no 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services
déconcentrés de la direction générale des finances publiques, la DIRCOFI Sud-Est dont la compétence
d’intervention concerne la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Corse, a acquis une extension de son ressort
territorial avec l’intégration des départements d’outre-mer : La Réunion, Mayotte, Martinique, Guadeloupe et
Guyane.
La DIRCOFI Sud-Est dispose de services implantés dans huit départements, dont trois en outre-mer.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 139
Déontologie
Le directeur ou la directrice chargé de la direction de contrôle fiscal est soumis à des obligations déontologiques
renforcées.
Il ou elle participe à la diffusion de la culture déontologique au sein de sa direction et s’assure du respect de leurs
obligations en la matière par l’ensemble des cadres et agents placés sous son autorité.
Le directeur ou la directrice chargé de la direction de contrôle fiscal est soumis à une déclaration d’intérêts
préalablement à sa nomination.
Il ou elle doit également déposer une déclaration de situation patrimoniale auprès de la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique (HATVP) dans les deux mois suivant l’installation dans ses fonctions, ainsi qu’une
déclaration de fin de fonctions dans les deux mois suivant son départ.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat et l’arrêté du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement de
ces emplois de direction relevant de la DGFiP, à savoir :
– pour les fonctionnaires : appartenance à un corps ou un cadre d’emploi relevant de la catégorie A dont
l’indice terminal est au moins égal à l’indice brut 1350 (ex : corps des administrateurs de l’Etat, des
administrateurs des finances publiques…) ou détachement pendant au moins 3 ans dans un emploi culminant à
l’indice brut 1350. Sont également recevables les officiers supérieurs détenant au moins le grade de lieutenant-
colonel ou ayant occupé un emploi conduisant à nomination dans la classe fonctionnelle du grade de
commandant, les membres du corps du contrôle général des armées, les magistrats de l’ordre judiciaire ainsi
que les administrateurs des services de l’Assemblée nationale et du Sénat ;
– pour les non fonctionnaires : avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux
fonctionnaires mentionnés ci-dessus.
Les personnes mentionnées aux deux alinéas précédents doivent justifier d’au moins 6 années d’activités
professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction,
d’encadrement ou d’expertise.
Le ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation de six ans, avec une période probatoire de six mois.
La rémunération résulte no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement
et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat et no 2022-1454 du
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 139
23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire applicable à l’encadrement
supérieur de l’Etat et de l’arrêté du 23 novembre 2022 relatif au régime indemnitaire.
Conformément aux dispositions de l’arrêté du 8 décembre 2022 pris pour l’application de l’article 11 du décret
no 2022-644 du 25 avril 2022 relatif aux emplois de direction de la direction générale des finances publiques et
modifiant le statut particulier des administrateurs des finances publiques et de l’arrêté du 23 novembre 2022
susmentionnés, cet emploi relève respectivement du groupe 4 et du 2e niveau qui tient compte du niveau de
responsabilité, du champ d’action, du degré d’expertise exigé et de la technicité requise pour l’occuper.
La rémunération brute globale annuelle est composée d’une part indiciaire et d’une part indemnitaire résultant de
l’application de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction
publique de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire
tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction
publique de l’Etat.
La rémunération dépend de l’expérience professionnelle du candidat et varie, pour les agents ayant la qualité de
fonctionnaire selon le grade détenu par le titulaire de l’emploi.
A titre indicatif, s’agissant de la partie indemnitaire, l’arrêté précité prévoit pour les emplois de ce niveau une
part fixe comprise entre 5 600 € minimum et 101 000 € maximum par an (1) à laquelle peut s’ajouter une part
variable (complément indemnitaire annuel) plafonnée à 44 000 € en fonction des résultats atteints.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat et par les articles 2 à 8 de l’arrêté du 3 juin 2020
fixant les modalités de recrutement des emplois de direction de l’Etat relevant de la DGFiP.
Concernant cet emploi, l’autorité de recrutement et l’autorité dont relève l’emploi est la directrice générale des
finances publiques.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française à la délégation Encadrement supérieur et talents,
exclusivement à l’adresse suivante : recrutements-emplois-direction@dgfip.finances.gouv.fr.
Le dossier de candidature doit impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics n’appartenant pas à la DGFiP, les candidatures doivent être accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– de la grille indiciaire de leur corps d’origine.
Pour les candidats ou les candidates originaires du secteur privé, les candidatures seront accompagnées du
dernier contrat de travail.
Personne à contacter
Mme Nadia GABSI, actuelle directrice en charge de la direction de contrôle fiscal Sud-Est : nadia.gabsi@dgfip.
finances.gouv.fr.
(1) Les barèmes indemnitaires applicables aux emplois de ce groupe à l’intérieur de cette fourchette sont en cours
d’actualisation dans le cadre des travaux liés à la réforme de la haute fonction publique conduits en interministériel.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 139
Avis et communications
L’emploi d’adjoint ou d’adjointe au directeur régional des finances publiques de Mayotte sera prochainement
vacant.
Il est situé avenue de la Préfecture, à Mamoudzou.
Environnement
o
Créée par le décret n 2008-310 du 3 avril 2008 modifié relatif à la direction générale des finances publiques, la
direction générale des finances publiques (DGFiP) est chargée de nombreuses missions dont elle assure la
conception et la mise en œuvre. Elle dispose à cette fin de services centraux et d’un important réseau déconcentré,
présent sur l’ensemble du territoire national, en métropole, dans les outre-mer et à l’étranger. Son action la conduit
également à participer à des négociations et des coopérations internationales.
La DGFiP est une administration d’autorité au cœur du fonctionnement de l’Etat et des finances publiques,
interlocuteur privilégié des entreprises et des collectivités locales. Chacun de ses agents incarne cette image du
service public d’Etat, avec ses valeurs d’intégrité, de neutralité et de secret professionnel.
Les directions territoriales des finances publiques sont principalement chargées des missions suivantes :
– missions fiscales : assiette, contrôle et recouvrement des impôts, cotisations et taxes de toute nature, tenue du
cadastre et de la publicité foncière ;
– missions de gestion publique : contrôle et paiement des dépenses publiques, production des comptes de l’Etat,
gestion financière et comptable des collectivités locales et de leurs établissements, vérification de l’utilisation
des fonds publics, opérations de trésorerie de l’Etat, gestion des dépôts de fonds et activité de préposé de la
Caisse des dépôts et consignations, gestion domaniale, action économique et financière.
Par ailleurs, les directions régionales des finances publiques exercent des missions spécifiques au plan régional
(politique immobilière de l’Etat, contrôle budgétaire régional, expertise économique et financière des
investissements publics, autorité de certification, tutelle sur les ordres régionaux des experts-comptables). Des
structures à compétence supra-départementale leur sont rattachées.
La direction régionale des finances publiques de Mayotte, mise en place fin 2012, remplit avec ses 160 agents
toutes les missions d’une direction de l’Hexagone dans un environnement spécifique. Département depuis 2011,
Mayotte est un territoire en pleine construction, encore très loin des standards hexagonaux dans la plupart des
domaines et politiques publiques, et est soumis à un phénomène migratoire important. Dans ce contexte la DRFiP
doit développer la fiscalité mise en place en 2014, notamment locale, soutenir la mise à niveau des collectivités
locales, développer le civisme fiscal et le recouvrement, contribuer à résorber le désordre foncier, et lutter contre
les fraudes fiscales et aux aides publiques. En outre, la DRFiP est très fortement sollicitée dans le cadre de la mise
en place des politiques publiques interministérielles compte tenu de ses missions, de ses valeurs de probité et de ses
compétences reconnues.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat et l’arrêté du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement de
ces emplois de direction relevant de la DGFiP, à savoir :
– pour les fonctionnaires : appartenance à un corps ou un cadre d’emploi relevant de la catégorie A dont
l’indice terminal est au moins égal à l’indice brut 1350 (ex : corps des administrateurs de l’Etat, des
administrateurs des finances publiques…) ou détachement pendant au moins 3 ans dans un emploi culminant à
l’indice brut 1350. Sont également recevables les officiers supérieurs détenant au moins le grade de lieutenant-
colonel ou ayant occupé un emploi conduisant à nomination dans la classe fonctionnelle du grade de
commandant, les membres du corps du contrôle général des armées, les magistrats de l’ordre judiciaire ainsi
que les administrateurs des services de l’Assemblée nationale et du Sénat ;
– pour les non fonctionnaires : avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux
fonctionnaires mentionnés ci-dessus.
Les personnes mentionnées aux deux alinéas précédents doivent justifier d’au moins 6 années d’activités
professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction,
d’encadrement ou d’expertise.
Le ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation de six ans, avec une période probatoire de six mois.
La rémunération résulte des décrets no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat et
no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire applicable
à l’encadrement supérieur de l’Etat et de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des
administrateurs de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime
indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la
fonction publique de l’Etat.
Conformément aux dispositions de l’arrêté du 8 décembre 2022 pris pour l’application de l’article 11 du décret
no 2022-644 du 25 avril 2022 relatif aux emplois de direction de la direction générale des finances publiques et
modifiant le statut particulier des administrateurs des finances publiques et de l’arrêté du 23 novembre 2022
susmentionné, cet emploi relève respectivement du groupe VII et du quatrième niveau qui tient compte du niveau
de responsabilité, du champ d’action, du degré d’expertise exigé et de la technicité requise pour l’occuper.
La rémunération brute globale annuelle est composée d’une part indiciaire et d’une part indemnitaire résultant de
l’application de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction
publique de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire
tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction
publique de l’Etat.
La rémunération dépend de l’expérience professionnelle du candidat et varie, pour les agents ayant la qualité de
fonctionnaire selon le grade détenu par le titulaire de l’emploi.
A titre indicatif, l’arrêté précité prévoit pour les emplois de ce niveau une part fixe comprise entre 4 750 €
minimum et 63 000 € maximum par an (1) à laquelle peut s’ajouter une part variable (complément indemnitaire
annuel) plafonnée à 27 000 € en fonction des résultats atteints.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 139
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat et par les articles 2 à 8 de l’arrêté
du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement des emplois de direction de l’Etat relevant de la DGFiP.
Concernant cet emploi, l’autorité de recrutement et l’autorité dont relève l’emploi est la directrice générale des
finances publiques.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française à la Délégation encadrement supérieur et talents de la
DGFiP, exclusivement à l’adresse suivante : recrutements-emplois-direction@dgfip.finances.gouv.fr.
Le dossier de candidature doit impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics n’appartenant pas à la DGFiP, les candidatures doivent être accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– de la grille indiciaire de leur corps d’origine.
Pour les candidats ou les candidates originaires du secteur privé, les candidatures seront accompagnées du
dernier contrat de travail.
(1) Les barèmes indemnitaires applicables aux emplois de ce groupe à l’intérieur de cette fourchette sont en cours
d’actualisation dans le cadre des travaux liés à la réforme de la haute fonction publique conduits en interministériel.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 139
Avis et communications
L’emploi de directeur départemental adjoint de la direction départementale des territoires (DDT) de Seine-et-
Marne est vacant.
Intérêt du poste
La direction départementale des territoires (DDT) met en œuvre, sous l’autorité du préfet de département, les
différentes politiques nationales dans les domaines de l’aménagement du territoire, de l’agriculture, de la forêt, de
l’urbanisme, de l’habitat et du logement, du renouvellement urbain, de la gestion de l’eau, de la transition
écologique et énergétique, de la prévention et de la gestion des risques, et de la préservation de la biodiversité et
des milieux naturels. Résolument tournée vers les acteurs du territoire et en particulier les différentes collectivités,
la DDT met en œuvre ces multiples politiques de façon cohérente et équilibrée, en intégrant les différents enjeux
propres au territoire. L’accompagnement des collectivités dans la définition de leur stratégie en matière
d’aménagement de leur territoire est un des leviers de cette mise en œuvre.
La DDT de Seine-et-Marne comprend une équipe de 200 agents présentant des compétences très diversifiées.
Elle assure des missions de conseil, d’appui aux territoires, d’instruction et de contrôle.
Aux côtés du directeur, qu’il seconde et supplée, le directeur adjoint exerce ses compétences, sur l’ensemble du
périmètre d’intervention de la direction en favorisant la transversalité et le mode projet. Il contribue à la définition
des stratégies, ainsi qu’au pilotage de la DDT. Il appuie le directeur dans le management de l’équipe
interministérielle et travaille en étroite collaboration avec les services. Il peut être chargé par le directeur de
missions particulières.
L’intérêt du poste réside dans l’intégration des différentes politiques sur le territoire de la grande couronne
francilienne, la variété des dossiers traités, les partenariats à nouer avec les autres services de l’Etat, les opérateurs,
les établissements publics, la profession agricole et les collectivités locales ainsi que dans la conduite du
changement dans le contexte de modernisation de l’action territoriale de l’Etat.
Missions
Le directeur départemental adjoint, « binôme » du directeur, l’appuie dans toutes ses attributions et
responsabilités et le représente en cas d’absence.
Il participe à la mise en œuvre, à l’échelle territoriale, des orientations stratégiques nationales définies par les
ministres, déclinées au niveau régional ainsi que des priorités fixées par le préfet dans le cadre d’une lettre de
mission interministérielle.
Il contribue au pilotage de la DDT en ce qui concerne la fixation des objectifs, l’organisation et la répartition des
moyens, l’évaluation des résultats et de la performance, la mise en œuvre du dialogue social, avec l’appui du
secrétariat général commun départemental (SGCD).
Il participe à la concertation avec les services et les établissements publics de l’Etat, les collectivités territoriales,
les entreprises, les organisations socio-professionnelles, et le monde associatif.
Il contribue à l’atteinte des priorités de la feuille de route du préfet sur les thématiques de la DDT.
Il participe aux dialogues de gestion. Il contribue à la définition des stratégies, au management des équipes et au
pilotage de la structure. Il peut se voir confier un certain nombre de missions particulières au regard de son
expérience et des besoins internes.
Il supplée le directeur en cas d’absence et contribue à la continuité de la fonction.
Les missions de la DDT sont définies à l’article 3 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux
directions départementales interministérielles.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 139
Environnement
Le poste est situé au siège de la DDT à Vaux-le-Pénil à proximité de la gare de Melun. La DDT dispose
également d’une implantation à Meaux et à Provins.
Le département de la Seine-et-Marne compte 1 444 950 habitants pour 507 communes. Situé à l’est de la région
parisienne, il représente 49,2 % du territoire francilien. Le département très contrasté est concerné par toutes les
problématiques d’aménagement du territoire :
– zones urbaines à l’Ouest avec les OIN de Marne-la-Vallée et de Sénart, les agglomérations de Chelles, Meaux,
Melun ;
– au sein de ces zones urbaines, la Seine-et-Marne accueille un nombre important de projets soutenus par
l’ANRU, trois projets nationaux et quatre projet régionaux ;
– zones rurales à l’Est avec une agriculture dynamique et performante ;
– zones périurbaines avec un potentiel de conflits élevé entre développement urbain et protection des espaces
naturels ;
– zones naturelles et écologiques sensibles avec des forêts d’intérêt national (Fontainebleau) et des
problématiques de qualité de l’eau (fortement impactée par la fourniture d’eau potable à l’agglomération
parisienne) et de chasse ;
– zones économiques et touristiques d’envergure avec l’aéroport de Roissy, les pôles logistiques de l’Est de
Paris, le parc Disney, les Villages nature, Fontainebleau…
Les défis très contrastés sont complexifiés du fait d’un tissu de villes moyennes entre 20 000 et 50 000 habitants,
en déprise industrielle. Dans ce contexte, les attentes des collectivités vis-à-vis des services de l’Etat dans le
département sont très fortes.
La DDT porte les enjeux majeurs de l’Etat pour les politiques prioritaires liées en premier lieu à la lutte contre le
changement climatique. L’impact du changement climatique est caractérisé par une augmentation de la température
moyenne de 2 degrés Celsius en 50 ans (station météo de Melun), une multiplication par trois du nombre
d’inondations en 40 ans et des conséquences pour l’activité économique notamment agricole.
L’action de la DDT concerne ainsi l’aménagement durable des territoires et leur équilibre, le développement des
énergies renouvelables, la sobriété foncière, le développement de l’offre de logements, la préservation de
l’environnement, la prévention des risques naturels (inondations, argile…), la rénovation urbaine en liaison avec
l’ANRU et l’ANAH, la sécurité des bâtiments et des installations et leur accessibilité, la qualité de l’eau (avec
l’animation du plan départemental de l’eau), etc. La DDT pilote pour le compte du préfet certaines politiques
contractuelles structurantes comme les contrats de relance et de transition écologique, les projets petites villes de
demain et action cœur de ville, etc.
Sous l’autorité du préfet de département, la DDT entretient, à l’échelle régionale francilienne, des liens étroits
avec la direction régionale et interdépartementale de l’environnement, de l’aménagement et des transports
(DRIEAT), la direction régionale et interdépartementale de l’hébergement et du logement (DRIHL) et la direction
régionale et interdépartementale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRIAAF).
Au plan départemental, elle travaille avec les services de la préfecture et les sous-préfets, le secrétariat général
commun départemental, la direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) sur les
sujets logement et politique de la ville, la direction départementale des finances publiques sur des dossiers de
foncier public, la direction départementale de la protection des populations (DDPP) sur les sujets de santé animale,
la délégation départementale de l’Agence régionale de santé (ARS) en matière de lutte contre l’habitat indigne,
l’unité départementale de la DRIEAT sur des sujets d’environnement et sur les énergies renouvelables et l’unité
départementale de l’architecture et du patrimoine sur des dossiers d’aménagement.
Elle travaille avec plusieurs opérateurs de l’Etat comme les établissements publics d’aménagement,
l’Établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF), l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de
l’énergie (ADEME), l’Office français de la biodiversité (OFB), la Banque des territoires.
La DDT donne un avis technique au préfet au titre des mesures départementales du fonds vert.
Compétences
Le candidat devra posséder une solide expérience (au moins 6 ans) d’encadrement direct dans le champ des
politiques publiques relevant des compétences des DDT(M). Il devra témoigner d’une expérience probante en
matière de portage intégré d’enjeux de politiques publiques multiples sur un territoire ou un projet donné.
Le candidat devra être en mesure d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de conduire des
négociations de haut niveau avec des décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en situation complexe,
en environnement sensible voire en contexte de crise. Pour ce faire, il devra disposer d’une bonne connaissance des
organisations publiques. Une expérience dans l’accompagnement du changement est souhaitée. La variété des
expériences et la diversité du parcours déjà effectué constitueront un critère de choix déterminant.
Les compétences suivantes sont particulièrement attendues :
– pilotage en mode projet, aptitude au travail en réseau ;
– qualités relationnelles en externe et en interne, aptitude à la communication, à l’écoute et au dialogue social ;
– capacité à faire prévaloir les enjeux des politiques publiques, sens de la négociation avec des partenaires
variés ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 139
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment), et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer, est classé dans le groupe III en application des
dispositions de l’arrêté du 28 juillet 2010, fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des
directions départementales interministérielles en Ile-de-France.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
brute comprise entre 65 800 € et 115 000 €. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un
fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille indiciaire. Pour les personnes
n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences
professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir. Cette rémunération fixe peut être complétée par
une part variable annuelle (complément indemnitaire annuel), qui dépend de la manière de servir, et dont le
montant maximum est fixé à 8 820 €, sous réserve de la déclinaison ministérielle de la réforme de la haute fonction
publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de Seine-et-Marne.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019, qui
procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition
écologique et de la cohésion des territoires ou son représentant, la secrétaire générale du ministère de
l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ou son représentant, le secrétaire général des ministères chargés
des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la consommation, de la concurrence et de
la répression des fraudes ou son représentant.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l’emploi à
pourvoir sont informés.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 139
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante :
https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre MINT-DDTA77-2024-84264
– ou catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction)
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur et des outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, sur le site
« Choisir le service public » : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site « Choisir le service public » l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDTA77-2024-84264, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Seine-et-Marne.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
– M. Pierre ORY, préfet de Seine-et-Marne, tél. : 01-64-71-77-77, courriel : prefet@seine-et-marne.gouv.fr ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 139
– M. Sébastien LIME, secrétaire général de la préfecture de Seine-et-Marne, tél. : 01-64- 71-77-77, courriel :
secretaire-general@seine-et-marne.gouv.fr ;
– M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration,
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur et des outre-mer, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.
snoeck@interieur.gouv.fr.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 139
Avis et communications
Intérêt du poste
Aux côtés du directeur, qu’il seconde et supplée en étroite collaboration avec le second directeur départemental
adjoint, le directeur départemental adjoint exerce ses compétences sur l’ensemble du périmètre d’intervention de la
direction.
Il contribue à la définition des stratégies et au pilotage de la structure. Il est chargé par le directeur de missions
particulières et travaille en étroite collaboration avec les services. Il appuie le directeur dans le management d’une
équipe de 70 agents provenant de cinq ministères (agriculture et alimentation ; travail, emploi et insertion ;
solidarités et santé ; économie, finances et relance ; transition écologique).
Conformément aux dispositions du décret no 2020-1545 du 9 décembre 2020 relatif à l’organisation et aux
missions des directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS), des
directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) et des directions départementales, de
l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP), la DDETSPP est placée sous
l’autorité hiérarchique du préfet de département, à l’exception des actions de contrôle de la législation du travail
exercées sous l’autorité de la DREETS qui assure le pilotage, l’animation et la coordination régionale des
politiques publiques qui lui sont confiées et dont la mise en œuvre relève de la DDETSPP.
Missions
Les missions des DDETSPP sont définies à l’article 4 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif
aux directions départementales interministérielles : il s’agit des politiques du travail, de l’emploi, de la cohésion
sociale, de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ainsi que du
ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire (services vétérinaires) et notamment :
– à la prévention et à la lutte contre les exclusions, à la protection des personnes vulnérables, aux fonctions
sociales du logement, à l’inclusion des personnes en situation de handicap, à la protection de l’enfance, au
travail social et à l’intervention sociale, aux actions sociales et économiques de la politique de la ville, à la
lutte contre les discriminations et à la promotion de l’égalité des chances ;
– à l’inspection et au contrôle des conditions d’accueil et de fonctionnement des établissements et services
sociaux ;
– au travail et notamment à l’amélioration de la qualité de l’emploi et des relations du travail, ainsi qu’aux
missions d’inspection du travail ;
– à l’accès et au maintien dans l’emploi des personnes éloignées du marché du travail ;
– à l’anticipation et à l’accompagnement des mutations économiques ;
– au développement de l’emploi et des compétences ;
– au développement de l’accès à la formation professionnelle, à l’apprentissage et aux qualifications, dans le
respect des exigences de qualité ;
– à l’insertion professionnelle des jeunes et des personnes vulnérables ;
– à la protection et sécurité des consommateurs dans le domaine alimentaire, que les denrées soient d’origine
animale ou végétale, surveillance, à tous les stades de la filière depuis l’abattage, pour les animaux, et la
collecte à la ferme, pour les végétaux, de l’hygiène et de la sécurité des produits et des établissements
alimentaires, de la conformité et de la qualité des produits alimentaires, de la loyauté des transactions, de la
traçabilité des produits animaux dont il assure la certification ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 139
– à la protection juridique et économique des consommateurs (loyauté des transactions) et sécurité (conformité,
qualité et sécurité des produits industriels et des prestations de service) ;
– à la protection des animaux, à la certification des denrées alimentaires et des animaux vivants, à la protection
de la faune sauvage captive et à la lutte contre les maladies contagieuses réglementées ;
– à la prévention des risques industriels, des pollutions et des nuisances, gestion des déchets et des sous-
produits ;
– à la gestion des alertes et des crises ;
– à la détermination, en lien avec le préfet et les services régionaux, de la politique locale et des ressources
allouées.
Les enjeux de politiques publiques de la DDETSPP de l’Aude sont plus particulièrement ceux de la bonne
exécution des missions de police sanitaire, de la sécurité alimentaire dont le suivi des délégations, le déploiement
opérationnel du réseau pour l’emploi avec le nouvel opérateur France Travail ainsi que le rôle de l’Etat en
co-présidence des comités territoriaux, la nouvelle stratégie de lutte contre la pauvreté, la politique de
l’hébergement d’urgence et du logement social autour de la commission de coordination des actions de prévention
des expulsions locatives (CCAPEX), du droit au logement opposable (DALO), du plan départemental d’action
pour l’hébergement et le logement des personnes défavorisées (PDAHLPD).
Le directeur adjoint est également représentant du préfet aux commissions de surendettement de la Banque de
France qu’il préside.
Il participe à l’animation d’équipes aux compétences « métier » diversifiées provenant de plusieurs origines
ministérielles et doit être en mesure de développer les synergies possibles. Il veille à la bonne mise en œuvre par les
équipes des orientations définies par le directeur et assure les liens permanents entre l’équipe de direction et les
services.
La mobilisation du directeur adjoint dans le cadre des relations avec le SGCD est également attendue.
Le directeur départemental adjoint peut se voir confier un certain nombre de missions particulières, telles que le
pilotage de projets transversaux à l’échelle de la direction départementale, de l’animation d’un pôle ou de la
représentation du directeur départemental dans certaines instances.
Il participe au cycle d’astreintes de direction en semaine et pour certains week-ends et jours fériés.
Environnement
Le poste est situé à Carcassonne, sur le site de la cité administrative de la DDETSPP, qui dispose en outre, de
trois autres implantations : à Carcassonne, à Narbonne (section détachée du système d’inspection du travail) et à
Quillan (abattoir).
Le département de l’Aude est un département à dominante rurale avec un taux de chômage de 10,5 % parmi les
plus élevés au plan national et se situe au 4ᵉ rang en matière de taux de pauvreté.
La DDETSPP entretient, à l’échelon régional, des liens étroits avec la direction régionale de l’économie, de
l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS), la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la
forêt (DRAAF), la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), le
secrétariat général pour les affaires régionales (SGAR) et la délégation territoriale de l’Office français de
l’immigration et de l’intégration (OFII).
Au plan départemental, la DDETSPP travaille avec les services de la préfecture et les sous-préfets, la direction
départementale des territoires (DDT), la délégation territoriale de l’agence régionale de santé (ARS), les
collectivités territoriales et leurs groupements, les milieux socioprofessionnels, les chambres consulaires, les
organismes à vocation sanitaire (santé animale) et le réseau associatif (sanitaire et social, emploi et formation
professionnelle, droits des femmes, etc.). La DDETSPP joue un rôle important dans le pilotage des politiques de
l’emploi et d’insertion (sociale, professionnelle et par le logement).
Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, d’une expérience dans le pilotage de services en charge des
politiques sociales, de l’emploi, du travail, de la protection des populations et d’une bonne connaissance des
politiques publiques. La capacité à manager en mode projet et à accompagner les changements doit être
particulièrement mise en évidence dans la présentation de l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure
d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de conduire des négociations de haut-niveau avec des
décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en situation complexe, environnement sensible et contexte de
crise, et plus largement de savoir faire face à la pression.
Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du
suivi de projets. Il est également attendu un investissement réel sur l’ensemble des composantes métiers présentes
au sein de la direction départementale.
Il sera ainsi demandé aux candidats :
– une réelle capacité d’analyse, de synthèse et de réactivité ;
– une expérience et un intérêt pour l’animation d’équipes pluridisciplinaires et interministérielles ;
– une capacité à piloter des projets et faire prévaloir les enjeux de politiques publiques ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 139
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment), et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer, est classé dans le groupe IV en application des
dispositions de l’arrêté du 29 décembre 2009 modifié, fixant la liste et le classement par groupes des emplois de
direction des directions départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
brute comprise entre 59 700 € et 106 900 €. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un
fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille indiciaire. Pour les personnes
n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences
professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir. Cette rémunération fixe peut être complétée par
une part variable annuelle (complément indemnitaire annuel), qui dépend de la manière de servir, et dont le
montant maximum est fixé 8 280 €, sous réserve de la déclinaison ministérielle de la réforme de la haute fonction
publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de l’Aude.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019
susmentionné, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à
auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition
écologique et de la cohésion des territoires ou son représentant, la secrétaire générale du ministère de
l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ou son représentant, le secrétaire général des ministères chargés
des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la consommation, de la concurrence et de
la répression des fraudes ou son représentant.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l’emploi à
pourvoir sont informés.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 139
Dossier de candidature
I. – Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
1o Pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-DDETSPPA11-2024-84265 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur et des outre-mer.
2o Pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, sur le site Choisir
le service public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site Choisir le service public l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDETSPPA11-2024-84265, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Aude.
II. – Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
Mme Lucie ROESCH, secrétaire générale de la préfecture de l’Aude, tél. : 04-68-10-28-30, courriel : secretaire-
general@aude.gouv.fr ;
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 139
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur et des outre-mer, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.
snoeck@interieur.gouv.fr.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l'Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de
l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 139
Avis et communications
Un emploi de commissaire à la lutte contre la pauvreté (CLP) auprès du préfet de la région Bretagne sera
prochainement vacant.
Les emplois de commissaire à la lutte contre la pauvreté sont des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat créés par le décret no 2020-42 du 24 janvier 2020 et régis par le décret no 2019-1594 modifié
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Missions et environnement
Le commissaire à la lutte contre la pauvreté, placé sous l’autorité du préfet de région, assure la coordination et le
pilotage interministériel au niveau régional du Pacte des solidarités, en mobilisant l’ensemble des administrations
concernées par les différentes politiques publiques y concourant : petite enfance, hébergement/logement,
économie, emploi, formation, éducation, jeunesse, santé et médico-social.
Il œuvre, en lien avec les préfets de département, à la mobilisation de l’ensemble des acteurs concernés :
collectivités territoriales, personnes concernées, associations, opérateurs publics et organismes de sécurité sociale.
Il s’assure du suivi de la bonne mise en œuvre du Pacte des solidarités dans toutes ses dimensions. Une lettre de
mission signée par le préfet de région précise les priorités à mettre en œuvre dans le cadre de ses attributions.
Afin de piloter et coordonner la mise en œuvre par les préfets de département du Pacte des solidarités dans les
territoires, le commissaire à la lutte contre la pauvreté est plus précisément chargé :
– d’outiller et d’assurer le reporting régional de l’ensemble des mesures déclinant les engagements du Pacte des
solidarités ;
– de coordonner et suivre la contractualisation de l’Etat avec l’ensemble des conseils départementaux, chefs de
file de l’action sociale et les métropoles, en lien avec les préfets de département. Garant de la solidarité
nationale et de l’ambition des politiques sociales, l’Etat définit un cadre de contractualisation qui permet de
mobiliser des moyens importants centrés sur des priorités partagées, prenant en compte les réalités des
territoires sur un nombre limité d’objectifs (insertion, accompagnement social et éducatif, formation, accès
aux droits) adossés à des indicateurs robustes adaptés aux réalités des territoires ;
– d’appuyer la réponse des acteurs institutionnels et associatifs afin de garantir notamment la coordination des
acteurs de l’insertion, de l’emploi, de la formation et de l’aide alimentaire, l’effectivité de l’absence de
remises sèches à la rue, la prévention du basculement dans la pauvreté monétaire et la réduction de la fracture
numérique ;
– d’associer tous les acteurs concernés (associations, communes, départements, région, centres communaux
d’action sociale, entreprises) pour faire émerger et suivre les projets d’actions innovantes au service des
habitants les plus fragiles des territoires identifiés, dans le cadre des pactes locaux des solidarités ;
– de soutenir le montage de projets innovants dans le champ de la lutte contre la pauvreté ;
– de communiquer en région sur le Pacte des solidarités et les actions de lutte contre la pauvreté.
Le commissaire à la lutte contre la pauvreté est positionné auprès du préfet de région. Il est membre du comité de
l’administration régionale (CAR). Il est fonctionnellement rattaché à la déléguée interministérielle à la prévention
et à la lutte contre la pauvreté ainsi qu’aux préfets de département au sein de la région.
Compétences recherchées
Le candidat devra posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires et disposer d’un haut niveau d’expertise en matière de politiques
de solidarité et de bonnes connaissances des acteurs publics et privés de ces politiques.
Le candidat doit également disposer d’une capacité à fédérer des équipes, de diplomatie, d’une grande force et
autonomie de travail et d’une capacité à absorber rapidement les connaissances utiles pour la mission. De ce point
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 139
de vue, disposer d’un haut niveau d’expertise en matière de politiques de solidarité et de bonnes connaissances des
acteurs publics et privés de ces politiques constitue un atout important.
Il est souhaité une expérience professionnelle de terrain variée, en collectivité territoriale, au sein d’associations,
en entreprise ou au sein de l’Etat. Une expérience du fonctionnement de l’Etat territorial constitue un atout.
Le titulaire du poste doit être en capacité de travailler en réseau, négocier, communiquer, faire émerger et
conduire des projets, analyser et proposer.
Il doit disposer d’un sens de l’innovation, de créativité, d’un esprit de synthèse et faire preuve de réactivité et
d’une capacité à animer une équipe pluridisciplinaire.
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 modifié du 31 décembre 2019
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 notamment), et par l’arrêté du 5 septembre 2023 fixant les
modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat
général du ministère de l’intérieur (article 7) est classé dans le groupe II en application des dispositions de l’arrêté
du 27 février 2020 fixant le classement par groupes des emplois de commissaire à la lutte contre la pauvreté.
Le poste est ouvert aux fonctionnaires de catégorie A+ ou assimilés, magistrats, officiers, ainsi qu’aux agents
contractuels de niveau équivalent.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation du même emploi de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
brute comprise entre 76 000 € et 117 700 €. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un
fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille indiciaire. Pour les personnes
n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences
professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir. Cette rémunération fixe peut être complétée par
une part variable annuelle (complément indemnitaire annuel), qui dépend de la manière de servir, et dont le
montant maximum est fixé à 12 940 €, sous réserve de la déclinaison ministérielle de la réforme de la haute
fonction publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat et l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023 fixant
les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du secrétariat
général du ministère de l’intérieur.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– l’autorité dont relève l’emploi est du préfet de la région Bretagne, préfet de la zone de défense et de sécurité
Ouest, préfet d’Ille-et-Vilaine.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019, qui
procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– de la déléguée interministérielle à la lutte contre la pauvreté ou son représentant ;
– du secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant ;
– et d’un membre parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition écologique
et de la cohésion des territoires ou son représentant, la secrétaire générale du ministère de l’agriculture et de la
souveraineté alimentaire ou son représentant et la directrice générale de la consommation, de la concurrence et
de la répression des fraudes ou son représentant.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 139
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-CLP35-2024-84291 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur et des outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, sur le site Choisir
le service public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site Choisir le service public, référencé MINT-CLP35-2024-84291, est accessible en renseignant les
champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Ille-et-Vilaine.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
– Mme Anne RUBINSTEIN, déléguée interministérielle à la prévention et à la lutte contre la pauvreté, tél. :
01-40-56-52-68, courriel : anne.rubinstein@social.gouv.fr ;
– M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’adminis
tration territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur et des outre-mer, tél : 01-49-27-38-20,
courriel : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 139
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat ;
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant
pour leur gestion du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 139
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi d’adjoint à la directrice des entreprises et des partenariats de
sécurité et des armes, chef du service central des armes et explosifs (administration centrale :
direction des entreprises et partenariats de sécurité et des armes)
NOR : IOMA2413525V
L’emploi d’adjoint à la directrice des entreprises et des partenariats de sécurité et des armes, chef du service
central des armes et explosifs (classe 1), à l’administration centrale du ministère de l’intérieur et des outre-mer, est
vacant.
Missions de la direction
Créée à l’été 2023 et composée à date de près de quatre-vingt collaborateurs aux profils variés et
complémentaires (fonctionnaires, policiers, gendarmes, magistrats, ingénieurs, experts issus du secteur privé) avec
une cible à terme de 119 équivalents temps plein, la direction des entreprises et des partenariats de sécurité et des
armes (DEPSA) est chargée :
– au travers de la sous-direction des acteurs de la sécurité du quotidien et de la stratégie territoriale (SDAQST),
d’animer, au plan stratégique, la relation avec les acteurs non étatiques du continuum de sécurité (polices
municipales, professions particulièrement exposées à des risques de délinquance, acteurs de la sécurité privée,
directeurs sécurité-sûreté des entreprises, etc.) ;
– au travers du département des industries et innovations de sécurité (DIIS), de participer à la structuration de la
base technologique et industrielle de sécurité ; d’assurer, à ce titre, l’interface et le dialogue avec les
entreprises de la filière des industries de sécurité, de participer au contrôle des investissements étrangers en
France et au suivi des entreprises à protéger prioritairement, en lien avec le service du haut fonctionnaire de
défense ministériel, de coordonner la participation du ministère dans les instances nationales et internationales
de normalisation ; d’élaborer et de participer au suivi d’un plan stratégique de soutien à l’exportation des
entreprises de la filière des industries de sécurité ; de participer au renforcement de l’innovation au profit des
forces de sécurité intérieure ;
– au travers du service central des armes et des explosifs (SCAE) qui a le statut de service à compétence
nationale, d’élaborer et piloter la politique publique d’encadrement et de contrôle des armes et explosifs à
usage civil.
En tant que chef du service central des armes et des explosifs (SCAE), service à compétence nationale, composé
de la sous-direction de la réglementation et des systèmes d’information et du département de l’expertise et du
contrôle, le titulaire du poste :
– s’assure de la cohérence de la politique publique de contrôle des armes et pilote la contribution du SCAE à
l’élaboration de la politique publique de contrôle des explosifs à usage civil (y compris de leurs précurseurs) ;
– supervise l’élaboration de la doctrine du contrôle des armes et explosifs civils et veille à sa mise en œuvre ;
– assure un lien permanent avec les professionnels, les détenteurs et utilisateurs ;
– assure l’animation et la coordination du réseau territorial dans les domaines relevant de sa compétence ;
– s’assure de la représentation de la France dans les négociations européennes et internationales concernant les
armes civiles et les précurseurs d’explosifs et est amené à participer aux négociations européennes sur les
explosifs civils, aux côtés des experts du service ;
– poursuit la transformation numérique de la politique de contrôle des armes et des explosifs à usage civil.
Le titulaire du poste supervise ainsi, dans ce cadre, à la fois des missions de conception (élaboration de
politiques publiques et de la réglementation associée), de gestion (délivrance d’autorisations ministérielles), de
formation (agents des préfectures), ainsi que des missions d’ordre technique (classement des armes) et
opérationnelles (contrôles sur le terrain des titulaires d’autorisations ministérielles de commerce des armes).
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif
aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 23 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 1 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Sous-réserve de la réforme de la
haute fonction publique en cours, elle comprend une part fixe brute comprise entre 103 300 € et 140 200 € et peut
être augmentée par une part variable annuelle dont le montant maximum est fixé à 14 800 € brut.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 5 et 23 du décret
no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi de chef de service :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– l’autorité dont relève l’emploi est la directrice des entreprises et des partenariats de sécurité et des armes.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures et audition des candidats :
Les candidatures présélectionnées par l’autorité de recrutement sont auditionnées par un comité réuni sous la
présidence du secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ou de son représentant et composé des
membres prévus à l’article 23 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019. Outre son président, ce comité
comprend :
– la directrice auprès de laquelle le chef de service doit être placé ;
– une personne occupant des fonctions la qualifiant particulièrement en raison de ses compétences dans le
domaine des ressources humaines, dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre et du ministre chargé de
la fonction publique ;
– une personne extérieure à l’administration d’emploi.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 139
Le ministre peut, en outre, désigner une autre personne travaillant au sein de l’administration dont relève
l’emploi.
A l’issue des auditions, le comité établit un document précisant les appréciations portées sur chaque candidat
sélectionné au regard de ses qualifications, compétences, aptitudes, de son expérience professionnelle et de sa
capacité à exercer les missions dévolues à l’emploi à pourvoir. Ce document ainsi que la liste des candidats qu’il
estime les plus qualifiés pour occuper l’emploi à pourvoir permettra de proposer à l’autorité investie du pouvoir de
nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-CS-DEPSA-SCAE-2024-84510, est accessible en
renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-CS-DEPSA-SCAE-2024-84510 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur et des
outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, sur le site Choisir
le service public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_ MINT-CS-DEPSA-SCAE-2024-84510,
est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : chef de service ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– employeur : ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– localisation : Paris.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 du 28 décembre 2016 modifié relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Par ailleurs, le titulaire de cet emploi devra adresser, dans un délai de deux mois suivant sa nomination, à la
Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), une déclaration de situation patrimoniale qui
devra être complétée sur le site de la HATVP.
Pour les personnes qui exercent ou ont exercé une activité au cours des trois dernières années une activité privée
lucrative, l’autorité hiérarchique dont relève l’emploi apprécie la compatibilité de cette activité avec les fonctions
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 139
envisagées. Lorsque l’autorité hiérarchique a un doute sérieux, elle saisit pour avis, préalablement à sa décision, le
référent déontologue. Lorsque l’avis de ce dernier ne permet pas de lever ce doute, l’autorité hiérarchique saisit la
Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-7 du code général de la
fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 12-II).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 139
Avis et communications
Avis modifiant l’avis relatif aux concours externes et internes organisés au titre de l’année 2024
pour le recrutement d’ingénieurs d’études de classe normale du ministère chargé de
l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
NOR : AGRS2412221V
L’avis (NOR : AGRS2405735V) relatif aux concours externes et internes organisés au titre de l’année 2024 pour
le recrutement d’ingénieurs d’études de classe normale du ministère chargé de l’agriculture et de la souveraineté
alimentaire au titre de l’année 2024 est modifié comme suit :
1o Au lieu de :
« Le nombre total de places offertes est fixé à 19. »
Lire :
« Le nombre total de places offertes est fixé à 18. » ;
2o Au lieu de :
« Concours internes : 10 places sont offertes dans le grade d’ingénieur d’études de classe normale afin de
pourvoir les postes suivants :
Branches d’activités Nombre
professionnelles Descriptions des emplois-types de places Affectations
BAP E : informatique et calcul E2B02 Administrateur système et ressources informatiques 1 AgroParisTech - Campus Agro Paris-
scientifique Saclay
»,
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 139
Lire :
« Concours internes : 9 places sont offertes dans le grade d’ingénieur d’études de classe normale afin de pourvoir
les postes suivants :
Branches d’activités Nombre
professionnelles Descriptions des emplois-types de places Affectations
BAP E : informatique et calcul E2B02 Administrateur système et ressources informatiques 1 AgroParisTech - Campus Agro Paris-
scientifique Saclay
».
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 139
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société ORION
PHARMA SA, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont fixés comme suit :
No CIP Présentation PFHT PPTTC
34009 302 839 5 0 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) (laboratoires 283,34 € 325,62 €
ORION PHARMA S.A.)
34009 302 839 6 7 RIMMYRAH 10 mg/ml (ranibizumab), solution injectable, 0,23 ml en flacon (B/1) + 1 aiguille 283,34 € 325,62 €
filtre (laboratoires ORION PHARMA S.A.)
Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la
République française.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 139
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société MIRUM
PHARMACEUTICALS INTERNATIONAL B.V., les prix de la spécialité pharmaceutique visée ci-dessous sont
fixés comme suit :
No CIP Présentation PFHT PPTTC
LIVMARLI 9,5 mg/ml (maralixibat), solution buvable, 30 ml en flacon (B/1) + 3 seringues pour
34009 302 649 5 9 administration orale (laboratoires MIRUM PHARMACEUTICALS INTERNATIONAL B.V.) 23 941,16 € 24 576,81 €
Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la
République française.
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 139
Avis et communications
AVIS DIVERS
Par décision du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 26 avril 2024,
le taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités citées ci-dessous est fixé comme suit :
Code CIP Présentation Taux de participation
34009 302 649 5 9 LIVMARLI 9,5 mg/ml (maralixibat), solution buvable, 30 ml en flacon (B/1) + 3 seringues pour
administration orale (laboratoires MIRUM PHARMACEUTICALS INTERNATIONAL B.V.) 70 %
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 139
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis relatif aux décisions de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie portant fixation
des taux de participation de l’assuré applicables à des spécialités pharmaceutiques
NOR : TSSS2412261V
Par décision du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 9 avril 2024, le
taux de participation de l’assuré applicable de la spécialité pharmaceutique citée ci-dessous, est fixé comme suit :
Code UCD Libellé Taux de participation
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société VIATRIS SANTE
et en application du premier alinéa de l’article L. 162-16-5 du code de la sécurité sociale, le prix de cession hors
taxes aux établissements de santé pour les spécialités ci-après est :
Prix de vente HT
par UCD
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant aux établissements de
santé (en €)
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société VIATRIS SANTE
et du I de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, le tarif de responsabilité et le prix limite de vente des
spécialités ci-après sont :
Prix limite de
Tarif de vente HT par UCD
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant responsabilité aux établissements
HT par UCD (en €) de santé
(en €)
34008 900 380 8 9 POMALIDOMIDE VIA 1MG GELU VIATRIS 111,574 111,574
34008 900 380 9 6 POMALIDOMIDE VIA 2MG GELU VIATRIS 111,574 111,574
34008 900 381 0 2 POMALIDOMIDE VIA 3MG GELU VIATRIS 111,574 111,574
34008 900 381 1 9 POMALIDOMIDE VIA 4MG GELU VIATRIS 111,574 111,574
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Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société MEDIPHA
SANTE et du I de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, le tarif de responsabilité et le prix limite de
vente de la spécialité ci-après sont :
Prix limite de
Tarif de vente HT par UCD
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant responsabilité aux établissements
HT par UCD (en €) de santé
(en €)
34008 900 386 8 3 CABAZITAXEL TLO 60MG INJ F+F MEDIPHA SANTE 597,780 597,780
17 mai 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 139
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales (SNITEM),
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP) ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO),
les nouveaux tarifs et les nouveaux prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés ci-dessous
sont fixés comme suit :
Nouveau tarif Nouveau PLV Nouveau tarif Nouveau PLV
CODE DÉSIGNATION Tarif actuel PLV actuel en € TTC en € TTC en € TTC en € TTC
en € TTC en € TTC au 1er juin 2024 au 1er juin 2024 au 1er avril 2025 au 1er avril 2025
1138077 Autotrait., aiguille stérile non 14,77 14,77 14,53 14,53 14,42 14,42
réutilisable pour stylo
injecteur, B/100.
1112391 Autotrait., aiguille stérile non 29,56 29,56 29,09 29,09 28,85 28,85
réutilisable pour stylo
injecteur, B/200.
1151675 Autotrait., embout perfora 0,15 0,15 0,15 0,15 0,15 0,15
teur stérile adapté au
stylo à réservoir sans
aiguille.
1121243 Autotrait., ensemble stérile 2,17 2,17 2,14 2,14 2,12 2,12
non réutilisable aiguilles
et réservoir pour stylo
injecteur.
1153059 Autotrait., seringue, stérile, 27,71 27,71 27,27 27,27 27,04 27,04
non réutilisable, de 0,3ml,
0,5ml ou 1 ml, B/100.
1129210 Autotrait., seringue, stérile, 8,31 8,31 8,18 8,18 8,11 8,11
non réutilisable, de 0,3ml,
0,5ml ou 1 ml, B/30.
1194673 Autotrait., stylo à réservoir 57,37 57,37 56,45 56,45 55,99 55,99
sans aiguille et embout
perforateur stérile.
1132086 Autotrait., stylo injecteur 43,03 43,03 42,34 42,34 42,00 42,00
avec aiguille à cartouches
préremplies.
1131690 Autotrait., stylo injecteur, 43,03 43,03 42,34 42,34 42,00 42,00
avec aiguilles et réservoir
non réutilisables stériles.
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– les laboratoires COLOPLAST ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales (SNITEM),
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP) ;
– l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) ;
les prix de vente maximum hors taxes au distributeur revendant directement aux assurés sociaux (dénommés ci-
après prix de cession) en € HT et les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés
ci-dessous sont fixés comme suit :
Nouveaux prix Nouveaux
Prix de cession TARIFS/PLV de cession en € TARIFS/PLV
CODE DÉSIGNATION actuels en € HT actuels HT au en € TTC au
en € TTC 1er juillet 2024 1er juillet 2024
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche