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Amplificateur

Définition de amplificateur
• Un amplificateur est un dispositif électronique qui élève la tension ou le courant ou augmente
l’amplitude du signal en recevant le signal d’entrée et en l’amplifiant pour produire un plus grand
signal en sortie. L’amplificateur est utilisé pour les communications radio et radio ainsi que pour
les récepteurs faibles. La relation entre le signal d’entrée et le signal de sortie est appelée la
fonction de transfert et le rapport entre les deux taux de signal gagnant l’amplificateur ou
l’amplificateur.

Ou en d’autres termes:

Tension de sortie

Ou :

Facteur d’amplification (tension de sortie/tension d’entrée)

Le facteur d’amplification ou de gain dépend de la résistance d’entrée et de sortie dans le circuit.

C’est un circuit électronique qui augmente la puissance du signal en utilisant une source
d’alimentation externe.
• C’est un circuit électronique qui augmente la puissance du signal en utilisant une source
d’alimentation externe.
Structure de l’amplificateur


Un amplificateur électronique se compose de plusieurs parties, dont
au moins un transistor ou une vanne électronique qui traite un
signal analogique afin qu’il amplifie ses propriétés et quitte un
grossissement. C’est le trait du directeur qui donne une plus grande
capacité que le trait entrant. Les deux différences de puissance sont
acquises à partir d’une source électrique, comme une batterie ou
une source d’électricité comme la maison. Il y a des amplificateurs
pour le courant continu et donc pour la tension constante, ainsi que
des amplificateurs de fréquence et donc des tensions de fréquence.

L’une des propriétés les plus importantes d’un amplificateur


électronique est appelée linéarité
Définition amplificateur de puissance

L’amplificateur de puissance est le dernier étage d’une chaine amplificatrice. Il permet


de fournir une puissance beaucoup plus grande que celle fournie par le signal de
commande, tout en gardant la même forme du signal.
La finalité des amplificateurs est la commande d’un actionneur (haut-parleur, moteur,
inductance, résistance...) sans déformation du signal appliqué en entrée.
Dans la plupart des cas, l’amplification en puissance est une amplification en courant.
C’est pourquoi on utilise des transistors bipolaires, ou des transistors MOS de
puissance.
CARACTÉRISTIQUES D'UN AMPLIFICATEUR DE
PUISSANCE

L’alimentation du montage fournie une puissance totale Pf qui se répartit entre


la puissance utile Pu dissipée dans la charge et la puissance Pd dissipée, en
pure perte, dans l’amplificateur. La puissance Pc fournit par le circuit de
commande, est en général négligeable devant celle provenant de
l’alimentation. On peut définir
Les différents types l’amplificateurs

• Les amplificateurs, aussi connus sous le nom « d’amplis », sont les meilleurs amis
des guitaristes. Seulement, lorsqu’on débute, on a vite fait de se perdre étant
donné la diversité des amplis proposés ! Sans parler de modèles ou de marques,
qui sont innombrables, il faut avant tout distinguer plusieurs types de technologie
utilisée dans les amplificateurs. On trouve aujourd’hui quatre types principaux.
L’amplificateur à transistor

L’un des types les plus répandus se trouve être l’amplificateur à transistor.


Abordable, simple d’entretien et résistant, c’est souvent le premier amplificateur
qu’on utilise ! De plus, les amplificateurs à transistors sont assez légers, ce qui les
rend facilement transportables ! On peut leur reprocher d’avoir un son un peu
froid et qui manque de dynamique, mais tout dépend du modèle. En effet, certains
amplificateurs à transistors tels que le Roland Jazz Chorus sont réputés pour leurs
sons clairs. Le point qui pêche souvent le plus est la piètre qualité de la distorsion.
En revanche, ils ont pour avantages d’avoir une qualité de son constante. Même à
bas ou fort volume, la qualité de son reste la même.
Enfin, en termes de puissance, ne faites pas l’erreur de les comparer aux
amplificateurs à lampes. Un ampli à transistor de 50 W sera beaucoup moins
puissant qu’un ampli à lampes de 50 W ! Néanmoins, le volume des amplis à
transistors étant très progressif, il est tout à fait possible de jouer à faible volume
avec un ampli de 100 W sans déranger les voisins, ce qui n’est pas forcément le cas
des amplis à lampes.
De manière générale, ce sont de bons amplificateurs pour débuter la guitare qui
restent très abordables ! Vous pourrez passer par la suite sur des amplificateurs à
lampes si vous en ressentez le besoin. Sans compter que ça vous laisse le temps de
définir quel type de son vous recherchez.
Les amplificateurs à lampes

Ils sont considérés par beaucoup comme les meilleurs amplificateurs grâce à
leurs qualités sonores et la chaleur du son qu’ils produisent. Ils restent cependant
plutôt chers et ont des spécificités qu’il faut prendre en compte. En effet, ils sont
lourds et assez fragiles, ce qui est une contrainte pour les transporter. De plus, les
lampes ont une durée de vie limitée (elles durent tout de même plusieurs
années), ce qui implique de les faire changer de temps en temps !
Un autre point à prendre en compte est le volume sonore. Les amplificateurs à
lampes sont puissants et ont besoin d’être poussés au-delà d’un certain volume
pour utiliser leur potentiel. Ce volume minimum est en réalité nécessaire pour
faire chauffer suffisamment les lampes. Ils sont donc bien adaptés à la scène et
aux répétitions. Si vous souhaitez jouer chez vous, optez pour des modèles ayant
peu de puissance (de 1 à 20 W), ou il faudra vous équiper d’un atténuateur de
puissance, et ce n’est pas donné ! Pour un ampli de scène, évitez de dépasser 40
ou 50 W (qui à moins d’un quart du volume couvre déjà le batteur).
Mais s’ils sont si prisés par les guitaristes, c’est bien pour leur son ! Les amplis à
lampes ont une véritable personnalité en fonction des lampes et des haut-parleurs
utilisés. Cela implique aussi qu’ils ne sont pas passe-partout. Certains amplis sont
réputés pour leurs sons clairs (Fender, Rivera …) et d’autres, pour leur distorsion
(Marshall, Orange …). Autant dire qu’il vaut mieux avoir une idée claire du son que
vous recherchez ! Rassurez-vous cependant, on trouve tout de même des
amplificateurs à lampes très polyvalents.
Les amplificateurs hybrides
Il s’agit d’amplificateurs qui mélangent la technologie à
lampe et à transistor pour gagner un peu en chaleur de
son. C’est un bon compromis aussi bien au niveau de la
qualité que du prix. Ils ont les avantages des
amplificateurs à transistors (légers, qualité de son
constante, possibilité de jouer à faible volume…), et une
qualité de son, notamment en distorsion, souvent
meilleure que les amplis à transistors. Cependant, ils
n’égalent pas les amplis à lampes en termes de son. Ils
restent une très bonne alternative pour avoir un bon son
sans se ruiner !
Les amplificateurs à modélisations

Ce n’est pas une technologie d’amplification à proprement parler. Il


s’agit en général d’amplis à transistors ou hybrides qui sont équipés
d’une partie numérique. Cette dernière permet de « reproduire » des
sons d’amplificateurs connus par exemple. Ils possèdent donc une
palette sonore très large et certaines modélisations sont très sympa !
Mais elles n’égalent pas pour autant les originaux.
Le fait d’intégrer une partie numérique en fait un bon ampli de
travail. Certains intègrent un accordeur, un métronome ou une boîte
à rythmes, peuvent se connecter à un ordinateur pour s’enregistrer,
ou encore, permettent de brancher un mini-jack, pour jouer par-
dessus un MP3 par exemple. De plus, ils possèdent souvent de
nombreux effets intégrés qui permettent d’enrichir votre son sans
vous ruiner dans des pédales d’effets !
CRITÈRES DE SÉLECTION D'UNE CLASSE
D'AMPLIFICATEUR
• De nombreux critères peuvent être pris en compte lors
de la sélection d'un amplificateur. Les points importants
étant :
• La puissance de sortie ;
• Le rendement ;
• La puissance maximale que peut dissiper l'élément
actif ;
• Le gain (en tension, en puissance) ;
• La distorsion ;
• La fréquence maximale de travail.
CLASSE D’AMPLIFICATION DE PUISSANCE

• Soit un transistor et sa droite de charge. Selon


la position du point de repos, on définit des
classes de fonctionnement différentes.
Amplificateurs de puissance classe A

• L'amplificateur est constitué d'un étage de


sortie ne comportant qu'un seul transistor. Le
point de repos se situe approximativement au
milieu de la droite de charge. En fonction du
signal à amplifier, il peut donc se déplacer de
part et d'autre de ce point le long de la droite
de charge. Les composants actifs conduisent
pendant toute la période du signal d’entrée.
Amplificateurs de puissance classe B
• L'amplificateur est constitué d'un étage de sortie
comportant deux transistors complémentaires.
Le point de repos se situe à la limite du blocage
de chaque transistor. Pour pouvoir amplifier les
deux alternances d'un signal sinusoïdal, il faut
que l'un des transistors amplifie les alternances
positives et le second les alternances négatives.
Les composants actifs conduisent durant une
demi-période du signal d’entrée
Amplificateurs de puissance classe AB

• L'amplificateur est constitué d'un étage de


sortie comportant deux transistors
complémentaires. C’est la structure de base
de la sortie d’un amplificateur classe B,
modifiée au niveau de la polarisation. Le point
de repos se situe alors très proche de la limite
du blocage des transistors. C'est-à-dire entre
la classe A est la classe B, mais plus proche de
la classe B.
Amplificateurs de puissance classe C

• L'étage de sortie est constitué d'un seul


transistor. Le point de repos se situe
largement dans la région bloquée des
caractéristiques de ce dernier. Seules les
crêtes des alternances positives du signal
d'entrée feront apparaître un signal de sortie.
Les composants actifs conduisent durant
moins d’une demi-période du signal d’entrée.
Amplificateurs de puissance classe D
• L'étage de sortie fonctionne en commutation, c'est-
à-dire entre deux niveaux de tension. La fréquence
de commutation est fixe mais le rapport cyclique de
commutation est variable. Le signal basse
fréquence (BF) à amplifier est donc codé en
modulation de largeurs d'impulsions (MLI ou PWM).
La fréquence de commutation est au moins d'un
ordre de grandeur supérieur à la fréquence
maximum du signal BF. Ce signal est reconstitué par
filtrage passe bas à la sortie

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