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LES ESSAIS EN BTP

Présenté par

HAMANE AMEKLOUL MAKHCHAN BOUNOUA BONEGO


Houssam Ziad Hicham Oussama Axel
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PLAN

01 03

ESSAIS SUR GRANULATS

ESSAIS

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ESSAIS SUR GRANULATS

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ESSAIS SUR BITUME

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ESSAIS SUR GRANULATS ESSAIS IN-SITUE

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ESSAIS SUR BITUME

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ESSAIS SUR GRANULATS ESSAIS IN-SITUE

ESSAIS
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ESSAIS SUR BITUME ESSAIS NON DESTRUCTIVES

02 04
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ESSAIS SUR
GRANULATS
1 Préparation et réduction des échantillons

• Par échantillonneur, NM EN 932-2 : Verser le


matériau à l'aide de la pelle dans le diviseur (la
longueur des couloirs doit être supérieure ou égale à
2xD, tel que D est la plus grande dimension)

• Par Quartage, NM EN 932-1 : Brasser le matériau et


constituer un tas homogène, étaler sur une surface
lisse puis séparer le tas étalé en quatre parties à peu
près égales suivant deux axes perpendiculaires et
prélever deux parties opposées
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2 Mesure de coefficient de friabilité des sables NM 10.1.150

 But de l’essai :

L'essai consiste à mesurer l'évolution granulométrique des sables produite par fragmentation

dans un cylindre en rotation à l'aide d'une charge en présence d'eau. Les éléments fins du

sable, inférieurs à 0,2 mm ne sont pas étudiés. Le sable est écrêté à 2 ou 4 mm

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 Mode opératoire :

Tamiser par voie humide le matériau sur homogénéiser et peser l'échantillon pour
essai qui doit être de 500 g ± 2 g
les tamis 0,2 mm et 2 mm ou 4 mm, sécher
à l'étuve à 105°C, jusqu'à masse constante.

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Prendre 9 billes de 30 mm de Ajouter 21 billes de 18 mm de compléter avec des billes de 10
diamètre, dont la masse doit être diamètre, dont la masse doit être mm de diamètre, de façon que
comprise entre 925 g et 985 g comprise entre 440 g et 500 g la masse totale de la charge soit
de 2500g ± 4 g

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 EXECUTION DE L’ESSAI

Introduire la charge dans le Ajouter 2.5 l d'eau Mettre le cylindre en rotation


cylindre d'essai et les 500 g à la vitesse de 100tr/min ±
de matériau 5tr/min pendant 1500tr ou
15 min

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Laver l'ensemble sous un jet puis sécher le refus au tamis de Tamiser à sec le refus à 0.1 mm,
d'eau, jusqu'à eau claire dans un 0.1 mm à l'étuve à 105°C, jusqu’à puis peser le refus sur ce tamis,
tamis de 0,1 mm masse constante. soit m’cette masse.

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 EXPRESSION DES RESULTATS

Le coefficient de friabilité mesuré est :

F=

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3 Coefficient d’aplatissement NF EN 933-3

 But de l’essai :

Le coefficient d'aplatissement d'une classe correspond au passant en pourcentage du tamisage sur la


grille à fentes correspondante. La détermination du coefficient d'aplatissement est l'un des tests
permettant de caractériser la forme plus ou moins massive des granulats.

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 Appareillage :

• Balance
• Etuve ventilée (110±5c°)
• Tamis d’essai : entre 100mm et 4mm
• Tamis à barre correspondant : comprenant des barres
cylindrique parallèles conformes aux exigences
données dans le tableau

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 Mode opératoire :

Tamiser la prise d’essai sur le tamis de 4mm Tamiser la prise d’essai sur le tamis de 4mm

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Peser et refuser séparément tous les grains Pour chaque granulat élémentaire, peser le
de chaque granulat élémentaire matériau passant à travers le tamis à barre
correspondant

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 Expression des résultats

Le coefficient d’aplatissement
global A exprimé en (%) est :

A=

M1 : Somme des masses des granulats


élémentaires
M2 : Somme des masses de passants sur les grilles

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ESSAIS SUR
BITUME
1 Généralités

Le bitume est un mélange d’hydrocarbures issus de la


distillation du pétrole.  À température ambiante, c’est un
solide inerte, mais une fois chauffé, il ramollit pour
devenir un liquide visqueux et adhésif

les émulsions de bitume les bitumes ; bitume pure les enrobés bitumineux
( Bitume + Emulsifiant et fluidifié ( Granulat + Bitume ) 21
+ L’eau )
Il est léger, ductile et souple C'est un excellent isolant

1 thermique et électrique

Il est
principalement
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choisi car

Sa résistance dans le temps et

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sa stabilité aux températures Il est insoluble dans
ambiantes l’eau.
2 ESSAI SUR BITUME

 Essai de point de ramollissement du


bitume par la méthode bille anneau
« TBA » NM 13.1.211 2018

• Principe :
c’est la détermination du point de ramollissement
des bitumes et des liantes bitumineux à des
températures de 28C° et 150C°.

• Appareillage :
 un bécher
 un système bille-anneau (anneaux, Une bille en acier (diamètre = 9,53 mm, masse = 3,5 ± 0,05 g )
est placée sur la pastille de la prise d'essai au milieu de l'anneau, support)
l'eau
 un agitateur magnétique chauffant
 un chronomètre
 un thermomètre 23
h = 25.4 mm
3.6 g / 9.5 mm
 Mode opératoire
 On élevé la température de 5 °C par minute, Lorsque la
première bille enrobée de bitume touche le fond du
support, on enregistre la température.

 Résultat Te = 100 °C +TBA

 Interprétation des résultats

 Le point de ramollissement est élevé plus ce bitume est dur


→ donc ce bitume est plastique → La phénomène causé est
Orniérage

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• Le point de ramollissement est petite ce bitume est mou → donc ce bitume est élastique → La phénomène
causé est Ressuage

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 Essai de pénétrabilité à l’aiguille
Principe :
La pénétrabilité détermination la profondeur, en dixième de millimètre, correspondant à la pénétration
verticale d’une aiguille de référence dans un échantillon d’essai de matériau, dans des conditions prescrites
de température, de charge et de durée d’application de la charge.
Appareillage et mode opératoire :

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• Résultat

• Noter la moyenne arrondie à l’unité la plus proche, des résultats des 3 mesures effectuées
exprimées en dixièmes de millimètre.
• Mesure de l’enfoncement en 1/10 mm :
 Classes : 20/30, 35/50, 50/70, 70/100, 160/220

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2 ESSAI SUR L’ENROBÉ  Essai de MARSHALL
Principe :
Détermination pour un compactage donné, la résistance à la compression d’une éprouvette
d’enrobé de poids et de secteur déterminés. Il permet également de définir la tenue à l’eau de
l’enrober par le rapport des résistances à la compression avec ou sans immersion de l’éprouvette.
Appareillage et mode opératoire :
• Teneur en vides de l’enrobé
[%-vol.]
• Masse volumique apparente
de l’enrobé
[g/cm ]
• Stabilité S [kN] et la valeur
de fluage F [mm]

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Résultat

01 La stabilité Marshall est la valeur de la charge


maximale à la rupture de l'éprouvette

02 Le fluage Marshall est la valeur de


l'affaissement de l'éprouvette

Le pourcentage de vides
03 V% =100 ( 1 - MVA ÷ MVR )
04 MVR la masse volumique réelle du mélange
hydrocarboné.
ESSAIS IN-SITU
ESSAI Â LA PLAQUE

Principe : Ces essais sont effectués avec une plaque de 0.6 m de


diamètre sur laquelle est exercée une charge à l’aide d’un vérin
prenant appui sous un massif de réaction. Les comportements du
sols appelées « déformations » sont ensuite mesurées avec une
poutre de Benkelman munie à son extrémité d’un comparateur au
centième.
Mode opératoire : comporte deux cycles de chargement. Le
premier cycle est effectué de 0 à 0.25 MPa puis le second de 0 à
0.20 MPa. Chaque cycle de chargement est maintenu jusqu’à la
stabilisation de la déformation et suivi d’un déchargement.

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ESSAI de déflexion

Principe La mesure consiste à fixer ou à poser au point de la chaussée à


mesurer un capteur destiné à mesurer un déplacement vertical
en ce point. On approche progressivement du capteur une
charge roulante qui, à un moment donné, passe à proximité de
celui-ci puis s’en éloigne. La charge mobile enduit un bassin de
déflexion. Les déflexions sont exprimées en centièmes de
millimètre.

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ESSAIS NON
DESTRUCTIVES
Définition
Les essais non destructifs (END) Comme leur nom l’indique il s’agit de mesures n’endommageant pas les
constructions. Etant entendu que quelques désordres mineurs peuvent être apportés à la structure sans
toutefois modifier ni sa performance ni son apparence , par exemple:
• Essai au scléromètre
• Essai d’auscultation dynamique

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Essai au scléromètre:

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Principe
*Dans l’essai au scléromètre une masse approximative de 1.8 kg montée sur un ressort
En pressant la tête du marteau contre la surface du béton mis à l’essai.

*Lors de son relâchement, la masse rebondit depuis la tète, toujours en contact avec la
surface du béton et la distance qu’elle parcourt, ce que l’on obtient est appelée l’indice
de rebondissement.

*Cet indice est indiqué par un curseur qui se déplace le long d’une règle graduée

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il faut tenir compte des éléments suivant:
- éviter la surface de coulée ou la face opposée, faire l’essai sur les surfaces
parfaitement planes et lisses (sans rugosités)
- éviter les régions proches des arrêtes de l’élément :
 à moins de 5 cm pour les coffrages en bois
 à moins de 3cm pour les coffrages métalliques
 la distance entre les points d’essai doit être d’au moins 2cm.
- La zone choisie doit être représentative de l’élément soumis à l’essai et comprendre
les régions fortement sollicitées.
- La tête du marteau doit toujours être positionnée de façon perpendiculaire à la
surface du béton.
- L’indice de rebondissement doit être déterminé en plusieurs points rapprochés en
général de 6 à 12

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Exemple de W.E Grieb (1982)

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Les étapes de correction
• Faire une correction à la position de scléromètre

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Les avantages/inconvénients
● C’est une méthode peu coûteuse, simple et rapide.
● L’essai peut aussi être utilisé pour vérifier si la valeur de l’indice de rebondissement a atteint la valeur désirée
correspondant à la résistance du béton.

 Les résultats sont influencés par des facteurs tels que l'égalité de la surface, la grosseur et la forme de
l'éprouvette.
 La résistance obtenue n’est que celle de la peau de béton, car l’épaisseur concernée par cet essai est d’environ
30mm.

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Essai d’auscultation dynamique

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Principe
Le principe de la méthode consiste à mesurer le temps mis par
une onde à parcourir une distance connue. Les principales
caractéristiques de tous les appareils comprennent un
générateur d’impulsions et un récepteur d’impulsions.

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Manières de mesure :

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a - Mesures En Transparence (Directe)

• Les mesures en transparence sont utilisées dans le cas des éprouvettes, des
poteaux ou de certaines poutres. Les transducteurs sont appliqués sur les deux
faces de l’élément à tester.

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b - Mesures en surface (indirecte) :
• L’émetteur est maintenu en un point fixe, le récepteur est déplacé successivement à des distances marquées à
l’avance. Après avoir relevé le temps correspondant à un point considéré, on passe au point suivant.

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La vitesse de propagation des ultrasons:
• La vitesse de propagation des ondes dans le béton est liée essentiellement à la
masse volumique et le coefficient dynamique du béton.

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Les résultats obtenus en appliquant la courbe de la RILEM sont donnés dans le cas où le
béton testé est considéré comme homogène, isotrope et élastique ,

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