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Un radier est une dalle en béton armé épaisse nervurée ou non, située sous tout ou une
partie d’un bâtiment qui prend appui sur le sol.
Les charges sont ainsi réparties sur une très grande surface de façon à réduire les pressions
sur le sol de fondation.
Un radier étant un élément coûteux, il paraît judicieux de s'attarder sur les grandeurs
qui conditionnent ses dimensions, en particulier son épaisseur. Il importe donc de connaître,
avec l'approximation la plus grande possible, la répartition des contraintes sous la fondation,
puisque cette contrainte constitue la charge du radier.
On appelle pression de contact la contrainte réelle que la fondation exercé sur le sol.
La face intérieure de la fondation applique sur le sol une distribution de contrainte qui bien
souvent n’est pas uniforme. Cette distribution varie essentiellement avec la rigidité du radier
et du sol de fondation.
Les formules classiques sont développées pour une fondation au niveau du sol. Dans
ces conditions, les contraintes aux arêtes sont infinies, ce qui n'est pas compatible avec les
propriétés mécaniques réelles d'un sol (figure 2). L'état élastique ne correspond donc
certainement pas à la réalité. Si l'on augmente la surcharge P du massif jusqu'à la limite de
portance du sous-sol, on constate une concentration des contraintes au centre de la fondation.
La répartition a lieu alors selon une parabole. La théorie des états plastiques conduit à la
notion de la charge critique de rupture statique, qu(figure 1.)
1
qᵤ= c . Nc .Sc .ic + 𝛾1 . Nq .Sq . iq + 2 𝛾2 . B .N𝛾.S𝛾.𝑖𝛾
Figure II.1. Répartition des contact lors de la rupture du sol( formation de zones plastiques)
L'état plastique (Prandtl) donne les valeurs aux arêtes, compte tenu des limites
compatibles avec la portance. A la distance x de l'axe de symétrie, les valeurs des contraintes
selon Boussinesq et Prandtl doivent être égales (figures 2 et 3).
Figure II.2. Modification des contraintes de contact sous une semelle rigide selon
Boussinesq, par suite de la formation de zones plastiques sur les arêtes.
Figure II.3. Répartition des contraintes sous une semelle rigide lors de l’accroissement de la
charge.
1. La grandeur de la surcharge (petite surcharge, concentration sur les arêtes : F 3,0 à 1,5;
grandes surcharges F1, concentration au centre de la fondation). Le cas normal
correspond à des coefficients de sécurité F de l'ordre de 2 à 3, donc à des
concentrations sur les arêtes ;
2. Beaucoup moins de la nature du terrain qu'on ne le supposait jusqu'ici ; ceci dès que la
fondation se trouve à une certaine profondeur. L'influence de la profondeur de
fondations correspond à peu de chose près à celle d'une cohésion c pour une fondation
en surface. Pour les fondations usuelles, les zones plastiques sous les arêtes sont très
étroites ;
3. La profondeur de fondation (sans cohésion a 0 en surface). Une fondation en surface
présentera plus rapidement, à charge égale, une répartition parabolique (Type A) qu'un
ouvrage fondé en profondeur ;
4. L'angle de frottement du matériau.
Notons que la répartition des contraintes ne dépend pas du module de déformation Me.
Terzaghi a montré (1955) qu'une dalle infinie reposant sur un milieu élastique, n'était
sollicitée que dans un rayon fini R par une charge isolée. Selon les portées entre appuis, les
effets se superposent ou non. Des tables ont été dressées pour les caractéristiques usuelles des
sols, permettant d'établir rapidement les tensions sous le radier et en profondeur.
exemple, sable = 35°, c= 0 ; argile sans pression neutre = 15°, c=1 t/m2 ; l/b= 0.5 et F= 2.)
La dissipation des tensions en profondeur pour les charges statiques a lieu avec une
approximation suffisante, selon la théorie de Boussinesq. L'effet de la charge dynamique fait
l'objet d'études dans divers instituts. Les propriétés mécaniques du sol sous l'effet de vibration
sont cependant trop mal connues encore pour qu'il soit possible de préciser actuellement la
façon dont les contraintes d'origine dynamique se dissipent dans le sol.
Figure II.4. Répartition des contraintes sous une fondation circulaire pour l/b=0.5 et un
coefficient de sécurité à la rupture statique de 2 ( selon Prof. E. Schultze).
La capacité portante ultime ( qᵤ ) des fondations sur radier peut être déterminée par la
même équation générale utilisée pour les fondations superficielles ( isolées ou filantes ) c’est
a’ dire la théorie de MEYERHOF ou HANSEN
1
qᵤ= c . Nc .Sc .ic + q. Nq .Sq . iq + 𝛾. B .N𝛾.S𝛾.𝑖𝛾
2
∅
Nq = tan2 ( 45 + 2 ) . 𝑒 𝜋.𝑡𝑎𝑛𝜃
Nc = ( Nq - 1 ) . cot ∅
N𝛾 = 2 . ( Nq + 1 ) . tan ∅
Ces valeurs sont données sur des tableaux, soit selon le DTU 13.12 ou l’Eurocode 7
Fondations
Facteurs De forme Rectangulaire ou carrées ( B/L=1) Circulaires Filantes
S(1) 1 - 0.2B/L 0.8 0.6 1
Sc 1 + 0.2B/L 1.2 1.3 1
Sq 1 1 1 1
2
2
2
iq ic 1 , i 1
qu(net) = qu – q [II.2]
La capacité portante admissible résiduelle est calculée par l’utilisation d’un coefficient de
sécurité FS convenable.
Pour la plus part des conditions de travail le coefficient de sécurité est pris très large.
qu = C . Nc . Sc . ic + q
Pour Фu = 0
𝐵
Sc = 1 + 0.2 𝐿
Sq = 1
𝐵
qu(net) = qu – q = 5.14 . Cu . [ 1 +0.2 𝐿 ] .ic – q [II.3]
Pour un coefficient de sécurité de 3, la capacité portante admissible résiduelle est donnée par
l’équation :
La capacité portante admissible résiduelle des radiers construits sur des sols
granulaires, peut être déterminée d’une façon adéquate à partir de la résistance de pénétration
standard.
3.28𝐵+1 𝑆
qad(net) ( KN\m2 ) =11.98 . N . [ ].[ ] [II.4]
3.28𝐵 25.4
S : tassement en [mm]
Lorsque la largeur B est très importante, l’hypothèse que 3.28B + 1 ≈ 3.28B permet de
calculer la capacité portante admissible parla formule suivante :
𝑆
qad(net) ( KN\m2 ) =11.98 . N . [ ] [II.5]
25.4
La pression sur le sol appliquée par la fondation peut être exprimée par :
𝑄
q = . 𝛾 . Df [II.7]
𝐴
Dans tous les cas, la pression sur le sol appliquée par la fondation doit être inférieure à la
capacité portante admissible : q < q(net)
Q
Df
Poids propre = y
Le tassement d’une fondation peut être réduit par la diminution des pressions
appliquées au sol, celle –ci peut être faite en augmentant la profondeur de fondation Df. cette
technique est très utile pour les radiers sur des argiles tendres ou le tassement de consolidation
est très élevé. La pression moyenne appliquée au sol se calcule alors par l’équation :
𝑄
q = – 𝛾 . Df [II.8]
𝐴
Afin qu’il n’y aura pas d’augmentation de la pression résiduelle du sol sur le sol de
fondation, il faut que :
𝑄
Df = [II.9]
𝛾. 𝐴
qu(net ) qu(net )
FS = = = 𝑄 [II.10]
q – 𝛾 .Df
𝐴
𝐵
5.14𝐶𝑢 .[ 1−0.2 ]
𝐿
FS = 𝑄 [II.11]
– 𝛾 .Df
𝐴
Le calcul d’un radier est difficile, a cause du sol qui n’est homogène n’est élastique, cela veut
dire que la distribution des pressions de contact est complexe.
En effet il existe différentes méthodes de calculs qui différents principalement par l’hypothèse
sur la rigidité du radier :
Méthodes de la dalle rigide,
Méthodes flexible d’approximation
Méthodes des éléments finis,
Méthodes des différences finis ;
La méthode de rigidité peut être expliquée d’une manière séquentielle avec référence :
1. Radier a une section transversale de dimensions B×L, les charges Q1, Q2, Q3,…, sont
les charges des poteaux de la superstructure. Calculer la résultante de ces charges :
Q = Q1 + Q2 + Q3 + . . . [II.12]
2. Déterminer la pression du sol (q) sous le radier aux points A, B, C, D…. en utilisant
l’équation de RDM :
𝑄 𝑀𝑦 .𝑋 𝑀𝑥 .𝑌
Q= ± ± [II.13]
𝐴 𝐼𝑦 𝐼𝑥
Avec : A = B × L
Le moment d’inertie par rapport à l’axe x et y sont donnée par :
B × L3 L × B3
Ix = ; Iy =
12 12
y’ y
B1 B1 B1 B1
A B C D
Q9 Q10 Q11 Q12
B1
ex
ey B1
E
L J Q5 Q6 Q7 Q8 X
B1
B1
Q1 Q2 Q3 Q4
X’
I H B G F
(a)
FQ1 F Q2 F Q3 FQ4
I F
B1.qav (modifier)
unité de longueur
(b)
L’
d/2 d/2 d/2
d/2
L’’ L’’ L’’
d/2 d/2
d/2 d/2
ex et ey sont les excentricités dans les directions X et Y , elles peuvent être calculées en
utilisant les nouveaux cordonnées X’ et Y’ :
𝑄1.𝑋1+𝑄2.𝑋2+𝑄3.𝑋3+⋯
X’ =
𝑄
𝑄1.𝑦1+𝑄2𝑦2+𝑄3𝑦3+⋯
Y’ =
𝑄
𝐵 𝐿
ex = X’− 2 et ey =Y’− 2
1. comparer les valeurs des pressions de sol déterminées lors de la séquence 2 avec la
pression admissible résiduelle du sol pour vérifier que :
q ≤ qad(net) [II.14]
2. Diviser le radier en plusieurs bandes dans les deux directions x et y. avec B1 la largeur
de chaque bande
3. dessiner les diagrammes des efforts tranchants ( T ) et des moments fléchissants ( M )
pour chaque bande dans les deux directions x et y
pour la dernier bande dans la direction de l’axe x , la pression des sol moyenne est :
𝑞 1 +𝑞 𝐹
qav = [II.15]
2
Avec q1 et qF les pressions de sol au points I et F comme déterminé dans la séquence (2) .
la réaction totale des charge des poteaux sur la bande :
Q = Q1 + Q2 + Q3 + ….
Cette résultante des charges des poteaux ne sera pas égale à ( qav.B1.B ) parce que le
cisaillement entre les bandes adjacentes n’à pas été pris en compte , pour cela la réaction du
sol et les charges des poteaux doivent etre ajustées :
𝑞𝑎𝑣 .𝐵.𝐵1+(𝑄1+𝑄2+𝑄3+𝑄4)
Poids moyen =
2
𝑝𝑖𝑜𝑑𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛
qav(modifiée) = qav . [ ]
𝑞𝑎𝑣 .𝐵1.𝐵
𝑝𝑜𝑖𝑑𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛
F=
𝑄1+𝑄2+𝑄3+𝑄4
Ainsi, la résultante des charges modifiées données par les poteaux devient :
La bande concernée par ce chargement est montrée sur la figure 2, maintenant, le diagramme
des efforts tranchants et des moments fléchissant peuvent être représentés.
Ces étapes de calculs sont refaites pour toutes les bandes dans les deux directions x et y :
Dans la méthode conventionnelle des dalles rigides, le radier est supposé infiniment
rigides , la distribution des contraintes sous le radier est uniforme et la résultante des forces
des poteaux agit au centre de gravité de la fondation
Dans la méthode flexible, le sol est supposé équivalent à une série de ressorts
élastique. L’élasticité des ressorts est donnée par le coefficient ( k )
Pour mieux comprendre cette méthode, soit une fondation de largeur B1 et une
longueur infinie. Cette fondation est soumise à une force concentrée Q
D’après les lois fondamentale de la RDM le moment en toute les sections est donnée par :
𝑑 2𝑧
M = EF . IF .
𝑑𝑥 2
𝐵1 . ℎ 3
IF =
12
𝑑𝑀
Cependant : = force de cisaillement = v
𝑑𝑥
𝒅𝑽
Et : = réaction du sol = q
𝒅𝒙
𝒅𝟐 𝒛
d’où : =q
𝒅𝒙𝟐
(a)
(b)
(c)
𝑑 2𝑧
EF . IF . =q
𝑑𝑥 2
Alors:
𝑑 2𝑧
EF . IF . = z . k . B1
𝑑𝑥 2
Avec A’ et A’’ deux constante et 𝛽 un coefficient appelé constante élastique donnée par
l’équation :
𝟒 𝑩𝟏 . 𝒌
𝜷=
𝟒𝑬𝑭 . 𝑰𝑭
Ce paramètre 𝛽 est très important pour décider si le radier est calculé par la méthode des
dalles rigides ou la méthode flexible. En effet :
Pour mieux comprendre la méthode flexible il est très important de savoir comment
évaluer le coefficient de raideur k du sol.
Si une fondation de largeur B est soumise à une charge uniforme q par unité de
surface, elle subit un tassement∆. Le coefficient de raideur k du sol est défini comme étant le
quotient de la charge au déplacement :
B
q
𝑞
k=
∆
Le coefficient de raideur du sol n’est pas une constante propre à chaque sol. il dépend
de plusieurs facteur tel que les dimensions B et L ainsi que la profondeur de fondation Df
La valeur du coefficient k a été beaucoup plus étudiée par TERZAGHI (1955) et rapportée
par DAS (1984). Selon cette étude la valeur de k est directement obtenue sur chantier. En
effet TERZAGHI utilisé l’essai de plaque (0.3m × 0.3m) comme test pour obtenir la valeur de
k(0.3) , ensuite il relie ce coefficient aux dimensions réelles de la fondation ( B×B ) comme
suite :
𝐵+0
k = k0.3. [ ]2
2𝐵
0.3(𝑚 )
k (KN/m 3) = k0.3 (KN/m 3). [ ]
𝐵(𝑚 )
𝐵
𝑘 𝐵 ×𝐵 . (1+ )
𝐿
k=
1.5
Cette dernière équation montre que pour une fondation infinie avec une largeur B le
coefficient est approximativement égale à 0.6k(B.B) , les deux tableaux suivantes donnent
quelques valeurs de k(0.3) pour les sols sableux et argileux
D’après SCOTT (1981) le coefficient de réaction du sol k(0.3) peut étre obtenu à l’essai SPT :
D’autre ont fait aussi l’étude pour l’obtention du coefficient k dont VESIC (1961) qui
propose l’équation suivante pour les fondations continues :
12 𝐸𝑠 .𝐵 4 𝐸𝑠
k’ = B. k = 0.65 . .
𝐸𝐹 .𝐼𝐹 1−𝑉𝑠
Ou bien :
12 𝐸𝑠 .𝐵 4 𝐸𝑠
k’ = B . k = 0.65 . .
𝐸𝐹 .𝐼𝐹 𝐵.(1−𝑉𝑠2 )
B : largeur de la fondation
Pour la plus part des calculs pratiques, la dernière équation est prise approximativement
égale :
𝐸𝑠
k=
𝐵.(1−𝑉𝑆2 )
Maintenant que le module de réaction du sol est déterminé, ci-dessous sera exposé la
méthode de calcul comme proposée l’AMERICAN INSTITU COMMITTEE 436 (1966). La
méthode flexible approximative est basée sur la théorie des plaques. Elle permet d’évaluer
l’effet d’une charge concentrée (moment, effort tranchant et déflexion) due à un poteau sur
une surface d’influence autour de celui-ci.
le déplacement résultant en tout point DAS (1984). Ci-dessous sont les différentes étapes à
suivre :
1. Soit une hauteur totale du radier h celle-ci est évaluée de la même manière que dans la
méthode des dalles rigide.
2. Déterminer le coefficient de rigidité flexionnelle du radier
E F. h 3
R=
12.(1−V 2F )
k : est le module de réaction du sol. la surface d’influence de la charge d’un poteau est
de l’ordre de 3 à 4L’.
4. Déterminer le moment en coordonnées polaires en un point du a la charge du poteau à
partir d’équation suivante :
𝑄 1−𝑉𝐹 .𝐴2
MI = moment tangentiel = - 4 [A1 – ]
𝑟/𝐿
𝑄 1−𝑉𝐹 .𝐴2
Mr = moment radial = - - 4 [ vfA1 – ]
𝑟/𝐿
Q : charge du poteau
Mx = Mt . sin2𝜶 + Mt . cos2𝜶
My = Mt . cos2𝜶 + Mt . sin2𝜶
6. Si le bord du radier est situé dans la zone d’influence du Poteau, calculer le moment et
l’éffort trenchant sur ce bord, en supposant que le radier est continu. Le moment et
l’éffort tranchant sont de signe opposé à ceux déjà calculés.
Une poutre-dalle est une plaque présentant deux bords libres sensiblement parallèle, distants
d’au moins trois fois l’épaisseur.
ho ≥ lx/20 pour un panneau isolé.
ho ≥ lx/25 pour une dalle continue
Certaines dalles reposent sur 4 cotés sont calculées comme des poutres-dalles reposent
seulement sur deux côtés. D’un point de vue pratique, la différenciation se fait en calculant le
rapport :
= lx/ly avec lx ≤ ly
Si ≤ 0,4 et si les charges sont uniformément réparties, la dalle (même reposent sur
4 cotés) se calcul comme une poutre-dalle portant dans le sens de la petite portée;
Si 0,4 ≤ ≤ 1on considère que la dalle (reposant sur 4 cotés ) repose effectivement
sur ses 4 cotés. En A on doit avoir la même flèche fx = fy . il en résulte que Mx ≥ My
et que les armatures principales sont placées dans la direction lx de la petite portée.
Les coefficients x, et y, sont donnés sous forme de tableau, en fonction de
𝐿
= 𝐿𝑋 . Ainsi, les moments il prendre en compte en travée et sur appuis sont obtenues à partir
𝑌
de M0x, et de M0y; selon les règles suivantes
-Moments en travée:
Pour les panneaux de rive : 𝑀𝑡𝑋 = 0.85 ∗ M0x
𝑀𝑡𝑌 = 0.85 ∗ M0X
Pour les panneaux intérieurs: 𝑀𝑡𝑋 = 0.75 ∗ M0x
𝑀𝑡𝑌 = 0.75 ∗ M0Y
-Moment sur appuis:
Pour les appuis d'extrémité : 𝑀𝑎𝑋 = −0.30 ∗ M0x
𝑀𝑎𝑌 = −0.30 ∗ M0X
Ainsi, le calcul des armatures s'effectue comme pour les poutres en considérant, selon
les deux directions, des bandes (tranches).
Dans le cas de radier sous nappe phréatique, la hauteur définie précédemment doit
aussi être suffisante pour lester le bâtiment.