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LE TRANSPORT ET LA ROUTE
Le Transport est branche très importante et très spéciale de l'économie nationale. Il a pour but de
réaliser des déplacements des personnes et des marchandises d'un lieu à l’autre. Pas comme les
autres touches, le transport ne vise pas à valoriser ses objectifs. Lors de son processus, il ne
fabrique rien sur les marchandises, sans dire de les détériorer.
Le coût de Transport en surface est spécialement moins cher parce qu’il consomme très
économique de l'énergie. Par contre, il dépend beaucoup des conditions naturelles, notamment la
météorologie. La vitesse de Transport est basse. Les marchandises appropriées au transport en
surface sont ceux encombrants comme de la parole, des machines, des céréaux…
2. Le transport aérien
Avantage évident de ce mode est sa vitesse (la vitesse croisière environ de 900km / h). Des années
récentes, il a amélioré beaucoup de sa sécurité, son confort, et a abaissée beaucoup son coût tic
transport et maintenant il est à la portée de presque lotit le monde. I:n 1994, Viet Nam Airlines a
transporté 1.2 million de passagers, et il connait une croissance mutuelle dès stable.
3. Le transport ferroviaire
Avec une vitesse assez, grande, 100km/ h pour les trains et environ 300km/ h pour les TGV et un
cout de transport acceptable, le transport ferroviaire assume une quantité élimine dès marchandises
et des personnelles. On a éliminé presque toutes les locomotives à chaudière. Pour le moment ceux
sont des locomotives électriques ou à diesel. Les marchandises transportent par le chemin de fer
notamment sont matières première, fuel, céréale, les produits chimiques et pétrole. Dommage, il
exige un très grand investissement. C’est pourquoi dans des conditions économiques, notre pays n'a
pas encore une politique de développement ce mode transport.
4. Le transport routier
Le transport routier est un mode très important parmi les autres. Il a ces particularités:
-une bonne mobilité, il peut transporter directement de "porte a porte" sans besoin des
transbordements.
–un investissement plus modeste que pour le chemin de fer. Il peut aborder des milieux les plus
accidentés. C’est pourquoi, au plan de défense nationale et politique, il est très important.
-Sa vitesse acceptable. Plus rapide que celui en surface. Sur les autoroutes, on peut rouler avec l00
au 120 km/h. Sur les distances inférieures de 500 km, il peut rivaliser avec les avions.
D'après des standards vietnamiens (TCVN 4654 :1998 et TCVN 5724:1999), toutes les sortes de
véhicules peuvent se rouler sur les roules, sauf des voitures a chaine. Sur des autoroutes, par contre
seulement des véhicules assurant une vitesse supérieure de 50 km/h peuvent y circuler. Les
véhicules lents, des cyclomoteurs inférieurs de 70 cm3 des machines d'agricultures ... sont
prohibitifs.
Pour les automobiles provenances de beaucoup des maisons productives du monde une uniformité
des poids, des dimensions sont très indispensables pour une circulation internationale. A cet égard,
la Convention internationale sur la Circulation Routière (signé à Genève le 19 Sept. 1949) a posé
des principes généraux et laisse aussi à chaque état, sa réglementation propre et appropriée.
En France, selon le code de Route, de toute façon, le poids total ne peut excéder 19 tonnes pour les
véhicules à deux essieux, 26 tonnes pour les trois essieux et .18 tonnes pour ceux articules. L’essieu
le plus chargé ne peut dépasser 13 tonnes et le poids total ne peut dépasser 5 tonnes sur mètre
linéaire de distances entre deux essieux extrêmes.
Aux Etat - Unis le poids imposé dans la grande majorité des États est de 8,2 tonnes / essieux. Cela
veut dire de même débit les poids lourds français montrent plus agressifs aux chaussées que ceux
américains.
Les roues des véhicules sont des bandages pneumatiques. Les bandages métalliques sont interdits.
La pression aux chambres des pneus ne dépasse pus 2,5 kg/cm2 pour les voilures légères. 8 kg/cm2
pour les voitures lourds, quant y avion, ça limite de 14 à 15 kg/cm-2 les avions militaires.
Longueur, m Large, m
Voitures légères 5,00 1,80
Camion Routier 11.00 2,50
Semi-remorque 15,00 2,50
Les dimensions des Véhicules-types Vietnamiens d’après son standard 1998 se représentent
dans le tableau ci-dessous :
Le véhicule ayant une dimension excédante des valeurs du tableau est considéré comme celui
spécial, avant de rouler, il faut avoir le Permis d’autorités.
Les deux roues :
Les deux roues es un mode très écologique, son prix est a la portée de presque toute le monde,
c’est la raison qu’il prend un grande pourcentage dans le trafic, notamment dans les zones
urbaines.
Les Bicyclettes et les motocycles vietnamiens ont sa largeur (du guidon) environ 0.8m, sa
longueur 1,80m. La vitesse croisière de la bicyclette est environ 12km/h, du motocycle est de 30
à 40km/h. Sa prolifération, sa mobilité et son indiscipliné causent un grand nombre des
accidents routiers.
1.4. LA ROUTE
La route est l’ensemble des ouvrages pour assurer les véhicules y circulent en sécurité, en
confort, raisonnablement économique avec la vitesse voulue.
La route s’exprime par 3 planches principales : Le plan, le profil en long et le profil en travers
(en Anglais : Plan, Profile and Cross section).
Alignement : une ligne continue des centres de la route (ou l’axe de la route) : des poids au
milieu de la chaussée ou de la plateforme. Pour éviter des obstacles artificiels ainsi que ceux
naturelles, les alignements doivent se briser et se connecter par des courbes.
On a des alignements droits et des courbes dont ses pluralités sont circulaires.
Le Plan : la projection des alignements sur un plan horizontal. Sur la carte on présente la
topographie du terrain par des courbes de niveau, les éléments du terrain : les collines, les
pentes, les cours d’eau…et avec importante : le tracé de la route.
Au stage d’étude préliminaire, échelle de 1 :10000 à 1 :25000 est appropriée. Pour l’étude
technique, on a des échelles de 1 :1000 a 1 :2000.
Le profil en long : est le profil vertical de l’axe de la route. L’échelle verticale es dis fois plus
grande celle horizontale. Les éléments de profil en long sont ci-dessous :
- La ligne naturelle qu’exprime l’élévation naturelle a l’axe de la route.
- La ligne rouge que exprime l’élévation du ouvrages (ponts, ponceaux, routes).
- Les pentes longitudinales (pourcentage) et son large.
- Les courbes verticales concaves et convexes, ainsi que les éléments.
- Elévation des points d’origine de destination, des points de contrôle, des points de
kilométrage.
Le profile en travers : est la projection des éléments de la route sur un plan perpendiculaire à
l’axe de la route. Les éléments sur un profil en travers sont :
- La largeur de la chaussée une partie renforcée de plate forme pour subir directement les
charges des véhicules.
- La plateforme
- Les fosses aux pieds des talus
- Le talus et peut-être les fosses de crêtes
- L’accotement : l’espace en de hors de la chaussée pour assurer la sécurité des véhicules.
Il y a des cas, on a besoin de séparer les deux sens de circulation (un grand volume, une grande
vitesse, le cas des autoroutes) doc entre les deux sens existent un terre- plain- central et on a
deux chaussées séparées.
Sur l’accotement on fait une surlargeur (dans le cas des autoroutes) et sur cela une bande de
guidage (une bande en peinture blanche ou jaune de 20cm).
Un réseau routier est l'ensemble des roules avec ses fondions différentes, le niveau de
l’équipement différent pour assurer le transport d'un pays.
1/ Classification fonctionnelle :
- Artère principale: C'est un colonne vertébrée des réseaux routiers. Les véhicules à
longue itinéraires à grande vitesse y concentrent. La route connecte des grands centres
de l'économie, de culture, de politique du pays.
- Les collectrices: Les véhicules artères principales avant d'ateindre ses buts se distribuent
sur les routes collectrices et au sens inverse, l'accès des véhicules aux artères sont
toujours sévèrement contrôles. Il faut passer par les collectrices avant d'entrer dans
l'artère.
- Les dessertes: feux sont des routes locales, de basse catégorie qui mènent des véhicules
de la collectrice aux "porte", aux riverains.
2 / Classification administrative:
- Route nationale: Qui lie des grands centres d'activités du pays. RN I: Lang Son - Ha Noi
- Vinh - Da Nang- HCM ville - Can Tho. RN5: Ha Noi - Hai Duong- Hai Phong. Son
importance, on peut la voir.
- Route provinciale: Qui lie des grands centres de In province. L’investissement,
l'entretien ... budgets provinciaux. Tandis que pour les RN sont dues aux budgets
nationaux.
- Route de district, de l’arrondissement.
- Route de commune:
3/ La classification technique:
- Autoroute classe A: spécialement pour la circulation des automobiles, interdit aux autres
même pour les machines à basse vitesse. Les carrefours sont complètement dénivelés.
- Autoroute classe B : spécialement aussi pour la circulation des automobiles mais il y en
a aussi des carrefours à niveau.
- Route pour la circulation de tous les usagers: même pour des bicyclettes et des piétons.
• Vitesse de référence : vitesse techniques dans les cas le plus difficile, d'après cela, on déduit
des caractères principaux.
La relation entre les catégories techniques et la classification fonctionnelle et les conditions du
terrain :
Selon la pente transversale moyenne, on divise les terrains : plat 10%, accidente de 10 à 25%,
montagneux >25%
4/ La classification de gestion :
LE VEHICULE ET LA ROUTE
Pf = f .G (KG )
Pf - la reichstag de roulement, KG
G - le poids existe sur la route, KG
F – le coefficient de la résistance de roulement (sans dimension)
En dépassant de 50km/h, le coefficient ne soit pas reverse avent le subit une autrefois de
contact avec chaussée. Ce phénomène sera important sur les autoroutes et sur les pistes des
aérodromes
2.1.2 La résistance de l’air :
La résistance de l’air est le résultant de la pression de l’air sur la section transversale du
véhicule du frottement de l’air sur la carrosserie du véhicule et enfin de la succion de vide en
arrière de véhicule
Mathématiquement, on s la relation :
Pw = k .F .v 2 (KG)
D’où :
Pw - la résistance de l’air
F – la section transversale du véhicule, m 2
V – la vitesse relative (s’il on compte de la vitesse du vent) m/sec
K – le coefficient de résistance de l’air dépend de la concentration de ‘air et de la
forme de la carrosserie du véhicule. Ce coefficient est déterminé par le test
d’aérodynamique. Pour les poids lourds 0.06 – 0.07 les bus : 0.04-0.06, les
voitures légères : 0.025 – 0.035. Si la vitesse a dimension km/h comme
d’habitude technique :
K .F .V 2
Pw = (KG)
13
Pi
G
α
G.h
Pi = = ±G.i
l
D’où
i la pente longitudinale, qui porte le singe « + » en rampe, et « - « en pente
Sinα = tgα, car l’angle α est très petit
Pj = m. j
D’où :
M – la masse du véhicule
G – accélération gravitaire
J – l’accélération
Autre cela, il faut compter aussi les inertie des mouvements tournant des roues, des
essieux…par un cœfficient δ = 1303- 1.07
δ.G dv
Pj = ± ' (KG)
g dt
2.1.5. Les résistances routières :
La résistance en rampe et celle de l’inertie n'existent pas toujours. Tandis que la
résistance de roulement et celle de l’air apparaissent une fois que le véhicule roule. Donc, les
deux dernières portent le nom les résistances routières
On peut calculer :
Pour les voitures légères et les bus :
Pr = 0.00453 .G + 0.000073 .G.V + 0.000625 .C.F .V 2
Pour les poids lourds :
Pr = 0.00345 .G + 0.0000653 .G.V + 0.0004756 .C.F .V 2
Ce sont les formules de Taboret (1957) et des « Society of automotivité Engineerings »
(1974)
F = 0.8.B.H la section transversale, B : largeur et H : hauteur du véhicule
C – paramètre de la résistance de l’air. Voiture léger : 0.4 – 0.5. Poids lourds 0.65-0.7,
bus 0.6-0.7
Pa − Pw δ dv
= f ±i + .
G g dt
Pa − Pw
On norme le facteur motrice ou la traction pour une unité du poids du
G
véhicule
δ dv
D = f ±i + .
g dt
Le facteur motrice dépends des tours de l’axe du moteur, ca veut dire dépend de la
vitesse de véhicule (a traverser les coefficient de transmission a la boite de vitesse).
On peut établir un nomogramme de la relation entre D et la vitesse, avec condition
d’ouvrir complément le pédale de gaz.
Les documents techniques nous donnons des diagrammes des sections d’accélération et
de ralentissement d’après la vitesse et la pente longitudinales
En considérant la roue motrice, au point de son contact avec la chaussée, on peut voir la
traction vers le sens mobile Pa . C’est la force de véhicule exerce sur la route. Par contre, nous
avons une autre force de la route qui exerce sur la roue sur le même point de contact. C’est
l’adhérence nomme T, toujours égale a Pa . T est une force passive. Quand Pa est petite, elle
est aussi, quand Pa augmente elle doit augmenter pour égaliser. A ce moment la. Ce point de
contact est immobile et il devient un centre instantané de rotation. Pour que la roue tourne
autour ce point momentané. Mais la force T à sa limette. Elle ne peut pas dépasser la limite
ϕ G , ϕ est coefficient d’adhérence entre la roue et la chaussée.
Si Pa > T= ϕ.G k . On voit le patinage, la roue tourne mais le véhicule reste immobile
G k Le poids sur la roue motrice. Pour les voitures a deux points G k = G
ϕ Dépend d’abord de l’état du pneu et ensuit l’état de la chaussée. Les nouveaux
pneus avec des rainures neuves ont de meilleure qualité de frottement. Les pneus lisses sont
dangereux à ce point de vue Quand à la chaussée, l’état de l’entretien est plus important que des
matériaux de la chaussée
Le tableau 2.2 présente la valeur moyenne de ϕ dépend de l’état de l’entretien
En considérant la roue motrice, au point de son contact avec la chaussée, on peut voir la
traction vers le sens mobile Pa. C’est la force de véhicule exerce sur la route. Par contre, nous
avons une autre force de la route sur le même point de contact. C’est l’adhérence nomme T,
toujours égale a Pa. T est une force passive. Quand Pa est petit, elle est aussi, quand Pa augmente
elle doit augmenter pour égaliser. A ce moment la, ce point de contact est immobile et il devient
un centre instantané de rotation. Pour que la roue tourne autour ce point momentané. Mais, la
force T a sa limite. Elle ne peut pas dépasser la limite , est le coefficient d’adhérence
entre la roue et la chaussée.
Si Pa > T = on voit le patinage, la roue tourne mais le véhicule reste
immobile.
Gk : Le poids sur la roue motrice. Pour les voitures a deux ponts Gk= G.
: Dépend d’abord de l’état du pneu et ensuite l’état de la chaussée. Les nouveaux pneus
avec des rainures neuves ont de meilleures qualités de frottement. Les pneus lisses sont
dangereux à ce point de vue. Quant a la chaussée, l’état de l’entretien est plus important que des
matériaux de la chaussée.
2.5 LE FREINAGE
Il y a beaucoup des cas, on a besoin de freiner pour éviter des obstacles, ne pas causer des
accidents. La distance de freinage est très importante sous l’aspect de la sécurité routière.
Lors du freinage, la roue est immobile et patine sur la chaussée. La force de freinage ne peut
dépasser la valeur :
Le coefficient est déjà explique ci-dessus. On écrit G au lieu de parce que sur les
véhicules modernes, tous essieux sont de freinage même les essieux des remorques.
Déraillement, toutes les résistances ont ses influences dans le freinage. La résistance de l’air peut
être délaissée lors du freinage, la résistance de roulement f est trop petit en comparant à , il faut
compter la pente i quand la valeur de i plus grand que 4 . Nous avons pour le moment la force f
de freinage :
2.6. LA VISIBILITÉ
Pour assurer la sécurité, le chauffeur doit voir avant lui une distance raisonnable pour traiter,
éviter ou freiner sans accident. Cette distance, on la nomme la visibilité. Etudions 4 cas possibles
suivant.
Cas 1 : le véhicule doit freiner avant un obstacle immobile sur la chaussée. Cet obstacle peut
être une roche, par cause de rupture de falaise, une voiture en panne…
Cette visibilité se compose par : une section de réaction, une section de freinage et la section
de sécurité.
Section de réaction a sa longueur suffisante pour percevoir l’obstacle, pour agir sur la
pédale du freine a son effet.
Le cas du schéma 2 est très rare, mais possible pour des cas d’indisciplinée des
conducteurs.
Cas 3 : Il est en même le cas 2, mais le conducteur en erreur avec la même vitesse retourne
à sa voie.
Application :
Schéma 1
Schéma 2 : Pour les routes à chaussée unique, absence de la terre plein central, appliqué
spécialement pour le cas de déterminer de la courbe verticale concave.
S2
1 1 2 2
lpu1 Sh1 l0 Sh2 lpu2
Schéma 2
1 2 2 r
a
r 1
l1 l2 lo l3 l'1
Schéma 3
Schéma 4 : En effet, ce n’est que le cas des routes à chaussée unique. Malgré ça, on
l’applique pour l’autoroute pour assurer psychologiquement pour que le conducteur puisse
rouler avec la vitesse voulue.
S4
Sh1-Sh2 0
1 Sh2+l0 3 3
1 2 2 2 1
l1 l2 0 l' l3
Schéma 4
Fig. 2.8. Les 4 schémas de la visibilité
Ce sont des critères importantes, par ce que c’est elles qui influencent sur le coût de
transport et influencent sur le choix des options du trace. Le volume de fuel nécessaire:
Le fuel nécessaire pour avoir un cheval vapeur (75kgm) pendant une heure ce
facteur dépend du nombre des tours de l’axe du moteur, du coefficient de transmission (de la
boîte de vitesse)
N – Puissance du moteur pour surmonter des résistances sur la route
V – Vitesse roulante du véhicule
- Densité du fuel g/litre
À son tour, la puissance demandée:
On a des abaques pour déterminer directement la consommation de fuel des types des
véhicules d’après sa vitesse.
Fig. 2.9. La consommation du fuel :
1. 21 – 110 ; 2. GA 312 ; 3. Moscovite 402
L’usure des pneus est aussi un critère important qui influence sur le coût de transport. Il
dépend de la vitesse roulante, des qualités superficielles de la chaussée, des éléments
géométriques. Parmi eux, très important est le rayon des courbes horizontales. Les forces
transversales lors des virages sont des causes dominantes des autres, notamment des usures non-
uniformes.
CHAPITRE III
Pour éviter des obstacles, entre les alignements droits, il faut avoir des déviations. Pour
raccorder des déviations, on doit recourir aux courbes circulaires.
1. Par rapport aux mouvements sur alignement droit, le mouvement au virage a sa
particularité : existence de la force excentrique.
m – la masse du véhicule m=
R – Le rayon du virage.
La formule nous montre que, plus la vitesse est grande, plus le rayon est petit, la
force est plus grande. Spécialement, dans des courbes à petit rayon, les usures des
pneus, la consommation des fuels augmentent rapidement.
2. Lors du virage, le véhicule a son épure plus grande que sur alignement droit. Pour un
mouvement normal, il faut élargir la largeur de la voie de circulation. On l’appelle
la surlargeur.
3. Dans beaucoup de cas de virage, la visibilité n’est pas assurée, notamment dans le
cas de la courbe à petit rayon et dans déblai. Pour la circulation nocturne (à nuit). La
visibilité est limite parce que le phare projecteur toujours sur la tangente.
Nous étudierons dans ce chapitre, toutes les façons pour améliorer, alléger des effets
nuisibles qu’on vient considérer.
Le cas du devers, le sens de la partie du poids est inversé au celui de la force
excentrique.
Lors du virage, on peut voir deux forces appliquées sur le véhicule : son poids G et la force
excentrique C. Dans le cas ou la pente de la chaussée verse vers l’extérieure de la courbe (la section
normal à deux pentes). On projeté ces deux forces sur le plan de la chaussée (inclinée) et ils ont le
même sens. Si la pente est versée vers le centre de la courbe cas spéciale. On le nomme le dévers
(en anglais super élévation), une partie de l’allège les effets nuisibles de la force excentrique
Nous avons :
Y=C cosα + - Gsinα
Y la force transversale
C la force excentrique
G le poids de l’automobile
α l’angle entre la chaussée et la plan horizontal
+ pour le cas non dévers
- pour le cas du dévers, la pente versée au centre.
Par raison α très petite, en considérant
Cosα ≈ 1, sinα ≈ tgα =In, la pente transversale
G v2 v2
Y = C ± GIn = ± Gin = G( ± i)
g R gR
Y v2 v2
Diviser par G. on a = ± i et on le nomme µ = ± i le coefficient de la force
G gR gR
excentrique. Au plan physique, c est la force transversale qui exerce sur une unité de poids du
véhicule.
Nous aurons, l’expression pour déterminer le rayon de la courbe :
v2
R= , v a pour dimension m/sec
g ( µ ± i)
V2
R= m Va pour dimension km/h
127 (µ ± i )
C’est que pour une vitesse déterminer (d’après les exigences de circulation), le rayon
courbe dépend du coefficient de la pente du devers.
Sur l’effet de la force transversale, le véhicule peut renverser autour du point de contact entre la
roue extérieure et la chaussée. La balance entre le moment de reversement et lui tenant :
b
Y .h = ( ± ∆)
2
h- hauteur du contre gravite de véhicule
b-largeur entre deux roues
∆-le décalage entre le point milieu de b et la projection de G
De cela
Y b
= ( ± ∆)
G 2
b
∆ ≈ 0, 2b et le rapport pour les voitures modernes est de 2 a 3, pour les bus 1, 7 − 2, 2 , et la
2h
condition pour que le véhicule ne soit pas renverser est M ≤ 0,06
Au point du contact du pneu sur la chaussée, il existe une force transversale Y. n oubliez jamais a
la direction longitudinale P (la traction ou de freinage). En somme, nous avons une force Q et cela
ne peut dépasser l’adhérence G
D ou Y 2 + P 2 = Q ≤ Gϕ
L’adhérence, a son tour, peut se décomposer en deux : cella longitudinale ϕ1 et celle transversale
ϕ2 , donc
ϕ1 + ϕ2 = ϕ
Et
ϕ 2 = ϕ2 − ϕ12
C’est pourquoi contre le dérapage, il faut assurer la condition
Y
ϕ2G > Y d’ou ϕ2 > = µ et µ ≤ ϕ2 .
G
On sait que ϕ1 = (0.7 − 0.8)ϕ et ϕ2 = (0.6 − 0.7)ϕ . En se basant sur les limites connues de on
déterminer la limite du coefficient de la force transversale au plan de dérapage : sur la chaussée
humide µ ≤ 0,12 ≈ 0.24 .sur la chaussée sèche µ ≤ 0,12 ≈ 0.24
Sous la force transversale, les voyageurs sentent désagréables parfois ils ont peur du risque
de renversement. D’après les recensement sociaux, on sait :
A cet égard, il convient de prendre µ =0.15. dans des conditions ou les voyageurs ont prépare pour
accepter la force transversale (par exemple dans des carrefours) la valeur 0,31 est admissible.
Au plan économique, pour que la consommation des fuels et l’usure des pneus n’augmentent
pas énormément, on limite µ ≤ 0.1
Les normes de beaucoup des pays (Vietnam, France, USA, Chine, Japon….) ont la valeur calculée
du coefficient de la force transversale 0.15. La norme française préconise aussi, plus le rayon de
courbe est grand c’est–à-dire des conditions améliorées de virage, plus ce coefficient est diminue.
v2 V2
Rmin = =
g ( µ + id max ) 127( µ + id max )
Quand le terrain permet, on prend un rayon assez grand et pas besoin de faire le devers (non-
déverse), ce rayon peut déterminer
v2 V2
Rnd = =
g (0.08 − in ) 127(0.08 − in )
Le coefficient de la force transversale de ce cas est allégée ( µ = 0.08 ), la pente transversale prend
la signe moins (-) et égale a 0.02-0.03 pour assurer le drainage superficiel.
Les cas intermédiaire Rmin < R < Rnd
µ abaisse linéairement de 0.15 0.08 ET la pente transversale abaisse de +0.06 à 0.02
(V + 20) 2
RHN =
127( µ − (id max − 0.02)
3.4 LE DEVERS
v2
µ= ± in
gR
Pour avoir une valeur limitée de cet coefficient on peut prendre des façons suivantes :1-
augmenter le rayon R, 2- diminuer la vitesse roulante
La première façons est voulue, mais ce n’est pas faisable dans tous les cas. Beaucoup des
obstacles, naturel et artificiel nous empêchent. La deuxième est médiocre, elle amoindrit la
commodité. On ne l’utilise que dans des cas inévitables. Heureusement, on a la troisième Facon :
au lieu de faire normalement une pente transversale vers l’extérieure (qui porte la signe plus+), on
structure une pente (assez grande) vers l’intérieure (une seule pente qui porte la signe moins -).
Cette élévation anormale, vers le centre de la courbe est nommée devers (en anglais : super
élévation)
La pente du devers a pour l’effet de contrôles des influences négatives de la force transversale,
elle n’est pas illimitée. Il faut compter des cas de verglas. C’est pourquoi, en Russe (un pays
glacial) on limite le devers inferieure de 6% tandis que les pays au Sud (France, Espagne), c’est
10%. Au notre pays, un pays chaud, mais dans le trafic, il y en beaucoup des véhicules lentes, nous
prenons 6% la valeur maximale du devers. Pour les autoroutes, le trafic est plus uniforme, on le
prend 7%. On vous présente la dépendance de la pente du devers aux rayons de ce courbures
(d’après la norme TCVN4054 :1998)
Rayon de courbures, m
B: largeur de la chaussée, m
Il y a des pays qui contrôlent une variation de dévers inférieure à 2% par secondes
Supposons que la vitesse de référence V, d’où:
d – la pente du dévers, %
dmin – la pente transversale minimale de la chaussée, %
La matérialisation du raccordement du dévers se fait par 3 manières de rotation:
• Soit autour de l’axe de la chaussée pour obtenir un profil à seule pente, ensuite
tourner autour de bord inférieure de la chaussée pour atteindre la pente de dévers.
• Soit autour de l’axe de la chaussée, d’abord pour avoir une chaussée à seule pente,
ensuite continuer à tourner autour de l’axe pour atteindre la pente du dévers.
• Soit autour d’une ligne fictive, à l’écart de 7,0 m du bord extérieure cas dont la
largeur supérieure de 7,0 m.
Fig. 3.6 a
Fig. 3.6 b
- La force centrifuge de 0 à
Ces changements peuvent causer des désagréables pour voyageurs, il faut avoir du
temps. Pour assurer un changement régularisé de la force centrifuge, de l’angle α… il
faut structurer une courbe de transition, qui se pose entre l’alignement droit et la courbe.
De plus, au plan esthétique, les courbes de transition nous donne une vue plus agréable,
plus harmonisé, intégré au paysage. C’est pourquoi. Pour les autoroutes, il y en a
beaucoup de cas, cette courbe devient un élément fondamental du tracé.
Supposons que:
- Sur la courbe de transition la vitesse est uniforme et égale à la vitesse de référence.
On peut identifier que c’est la courbe clothoïd (ou spirale d’Euler). C = RL = A 2. A nommé
paramètre de la courbe clothoïde.
Pour faciliter la matérialisation de la courbe, on la remplace par l’équation paramétrique:
L’équation a sa convergence très rapide, il est suffit de calculer deux premiers termes.
En outre, on peut profiter le tableau des ordonnées de la courbe clothoïde pour faciliter sa
matérialisation (voir tableau 3.6)
La tangente:
La longueur de la courbe circulaire
avec α: radian
2. Déterminer le paramètre de la courbe de transition soit A = RL
Soit d’après des conditions du terrain, de paysage, de circulation. Pour que le tracé soit
douce, soit intégréau environnement…
3. Déterminer l’angle formant entre l’alignement droit et la tangente au point final de
L
courbe ϕ0 =
R
Y
O
ϕο ϕ
ο
α −2
ϕο
R1
R
NC
R1 R
TC
KO
P
T§
p
ϕο
YO
X
N§ t T §
XO
Les remplaçants
Si on remplace, dans l’équation polaire, s par a, lacorde, nous aurons la courbe lemniscate
de Bernoulli, toujours sous forme d’une équation polaire
ρ = 3Csin 2ω
une autre simplification, remplace s par x, l’abscisse, on a donc un parabole à troisième
degré:
Le long du tracé, pour éviter les surprises désagréable aux conducteurs, il convient
d’éviter des grandes différences entre les courbes. Pour les courbes consécutives, les rayons
sont préférés de ne pas dépasser le rapport 1 : 1,5.
Après un assez long alignement droit, il est déconseillé d’implanter une courbe de rayon
minimal. Il convient de concentrer les courbes à petit rayon dans une section, pour que les
conducteurs puissent concentrer leur attention, il convient d’avoir un bon aménagement des
panneaux de signalisation. Outre ça, aux deux bouts de cette section, structurer des courbes
à rayon minimal normal.
1.5
Le but : dégagement des obstacles (le talus, des bâtiments, …) pour assurer la
visibilité.
Les conditions : position de l’œil du conducteur : une hauteur de 1,20m (norme de
vietnamienne), 1,00 (français et américaine)
D’emplacement : un écart 1,5m au bord intérieur de la chaussée.
m
a. b.
La façon de déterminer l’aire de dégagement. Faire l’attention pour une marge de sécurité
0,5m, où les herbes peuvent y pousser.
CHAPITRE IV
D’après le chapitre III, on peut donc déterminer la pente longitudinale surmontée par
le véhicule dans des cas particuliers. C’est seulement au plan mécanique. Au plan technique,
sur terrain, l’ingénieur rencontre toujours un problème à plusieurs solutions. Soit prendre
une forte pente pour abaisser le coût de travaux, mais de petite vitesse, de grande
consommation de fuel, de longtemps de parcours …. Soit prendre une pente assez douce
pour améliorer la vitesse roulante, le temps de parcours, le coût de maintenance …. Mais
une dépense énorme de l’investissement.
Donc, on doit prendre une compromise et la façon de le fait comme suit.
On suppose un terrain à sa topographie déterminé, sur cela une route de débit de
l’année de l’horizon est aussi déterminée. La pente longitudinale choisie influence
nettement sur le coût de travaux (la courbe 1a, sur la fig.1). Plus la pente est grande, plus le
coût de travaux s’abaisse et clairement, plus l’investissement s’abaisse. Mais au plan
d’exploitation, plus la pente est grande, plus la vitesse est abaissé, le temps de parcours est
plus long la consommation de fuel est plus grande. Le coût de maintenance est augmenté
( la courbe 2a).
La somme de deux courbes la et 2a nous donne la courbe représentant le frais totale
de construction et d’exploitation (la courbe 3a). Sur cette courbe, on peut relever une pente
optimale, avec cela, la somme des frais de construction ainsi que ceux de l’exploitation est
minimale.
Coût
Sur le même terrain, nous considérons le cas (b) pour un débit plus grand. Les
courbes 1, 2, 3 pour ce cas si ils ont la même forme du premier cas mais la pente optimale se
trouve autrement, sa valeur est plus petite celle du cas premier.
On sait bien que pour un terrain et pour un débit déterminé, c’est possible de trouver
une pente longitudinale optimale. Mais ce n’est pas facile à faire.
Pour un pays, on sait bien des terrains sur son territoire et les conditions naturelles,
on comprend bien le coût de travaux et les frais de l’exploitation ainsi que des expériences
d’exécution, donc on peut indiquer des fourchettes de la pente longitudinale pour chaque
catégorie de la route. Le tableau ci-dessous présente la pente longitudinale maximale
d’après les normes vietnamiennes TCVN 5729 :1997 et TCVN 4054 :1998.
Dans des cas difficiles, on peut prendre 1% de plus, les valeurs dans le tableau.
La pente longitudinale maximale dépend aussi la qualité technique du parc
d’automobile du pays, c’est pourquoi les valeurs maximales de la pente des autres pays (par
exemple : la norme Américaine) est plus grande que celles vietnamiennes.
Des sections à sa longueur très rampes peut influencer, tout d’abord à la vitesse,
notamment pour les poids lourds. D’après les documents américains, sur la rampe de 4%, le
camion peut perdre environ 40km/h si la longueur atteint 900m. Cette vitesse empêche le
roulement des voitures, une voie supplémentaire spéciale pour des camions est conseillée
dans ce cas.
Au sens inverse, la pente longue influence beaucoup sur la sécurité routière. Sur le
tableau 2, c’est la longueur maximale des pentes dans la norme TCVN 4054 -05
Le cas où la pente très longue, il faut l’intercaler par une pente douce (2.5%) sur une
longueur minimale de 50m.
Outre cela, il convient de ne pas structure des sections très courtes, il nous donne un
profil plein des « petitesses », des « dos d’âne » et une influence désagréable aux
monuments des véhicules. Parfois, il ne suffit pas pour la tangente des courbes verticales.
La norme TCVN inscrit aussi la longueur minimale des sections en pente.
l1 = 2 R.d1 l2 = 2 R.d 2
S = l1 + l 2 = ( d1 + d 2 ) 2R
S 2
R min = ,m
De cela
(
2 d1 + d 2
2
)
Le cas S = S1. L’obstacle est immobile ( , par la norme vietnamienne ; 0.15,
par des autres normes). On a :
2
S1
R min = ,m
2d1
Le cas où l’obstacle est une automobile aussi, S = S2 et l2 = hauteur de la voiture
mais pour la simplifier l2 = 1.2m = l1. On a :
2
S
R min = 2 ,m
8d
Ce sont les deux cas (deux formules) pour déterminer le rayon de la courbe verticale
convexe assurant la visibilité décerne.
4.4.2. Contrôle de la force centrifuge dans la courbe verticale
Le cas d’une courbe convexe, une force centrifuge presse sur le système suspendu
(le ressort) du véhicule, qui augmente sa charge. Il le faut contrôler l’accélération de
cette force
V2
R min = ,m
6,5
4.4.3. Assurance de la visibilité nocturne.
Dans la nuit, pour voir les obstacles, les véhicules sont minus des phares à hauteur
hp, et les phares ont un fuseau de lumière sous l’angle 2 . Pour assurer S1, la relation
géométrique nous donne
D’où
S12
⇒R=
2.(h p + S1 .sin α)
hp
S1
• Eviter les dangereux des remblais très hauts et les déblais très profonds,
assurer bien la stabilité des plates-formes.
Min au cas de difficultés 11000 6000 4000 2500 700 400 200
Min au cas normaux 17000 10000 5000 4000 1000 600 200
Rayon concave, m
Min au cas de difficultés 4000 3000 2000 1000 450 250 100
Min au cas normaux 6000 5000 3000 1500 700 400 200
Longueur minimale, m
100 85 70 50 35 25 20
x2=y(2R-y)
Fig 4.4. Les relations géométriques de la courbe verticale (parabol 2 degré)
L’ordonnée du point A
2. La matérialisation
Donnée : deux point A et B connus :
A( )
B( )
R le rayon de la courbe verticale
a. Déterminer le sommet C
TC
c. L’origine de la courbe, le point E ou la pente égale zéro : ( )
o Aux carrefours
(km/h)
de .
V12 − V22
S h = k.
o Par raison de traction : 254 (ϕ ± i )
Dans des documents techniques, on peut trouver les diagrammes des sections
d’accélération et de décélération.
4. Le temps de parcours.
Pour des sections a vitesse uniforme :
(min)
(min)
et le temps de parcours :
(min)
4.10 LES ELEMENTS SUPPLEMENTAIRES :
1. L’accotement.
L’accotement a pour but :
- Former un espace dégage, pour assurer des conditions de sécurité de roulement.
- Une bande d’arrêt d’urgence
- Déposer temporairement des matériaux de réparation de la route.
Il se compose par deux parties: La renforcée (ou une bande d’arrêt d’urgence) de 2.00
a 2.50m de largeur, vêtue par le même matériau de la couche de surface de la cote a
chaussée et la gazonnée (couvres des herbes pour contre l’érosion) de la largeur de
50cm (on l’appelle aussi “berme engazonnée”
2. La terre-plein central:
Son but :
- Séparer les deux sens inverses de circulation.
- Déterminer l’éblouissement des phares des véhicules de sens inverse.
Sa structure:
- Un séparateur : Y compris des dispositifs de retenues : tôles ondulées, rails a
glissement , glissière en béton, un écran végétale, des câbles tendues…
- Deux bandes de sécurité a deux cotes su séparateur.
Dimensions minimales du terre-plein central.
Dimension en mètre
Pour les cas nécessaires, on peut structurer des terres-pleines latéraux qui séparent
des circulations de même sens.
Il faut dégager tous les obstacles hors de l’espace de l’accotement même les panneaux de
signalisation les arbres…
Pour assurer un bon assainissement qui conduit rapidement les Caux hors de la
route, il faut assure rune pente transversale minimale:
Pour les chaussées:
La capacité d’âpres la définition la plus simple, est le nombre des véhicules peut traverser
un profil (ou une section de la route ) par une unité de temps dans les conditions
déterminées de qualité de circulation. Elle dépend beaucoup des autres conditions, par
exemple, des caractéristiques routières, des conditions démastiquées, des conditions du
trafic…
La capacité idéale (théorique) est la capacité dans des conditions idéales:
Du trafic : se composent seulement par des voitures
De la route :
- La chaussée a sa largeur suffise (3.75m), de bonne qualité de roulement….
- L’alignement se compose seulement par des courbes de grand rayon (>250m)
- De pente douce…
- De bonne visibilité…
- Sans carrefours…
Du climat: Des bonnes conditions climatiques.
La capacité par modèle dynamique:
Supposons sur une voie de circulation, un trafic uniforme ( seulement les voitures ) qui
roule de même vitesse v (m/s) avec une distance entre eux d(m) . La capacité dans ce cas
peut être déterminée:
3600v 1000V
P= (veh / h ) = (veh / h )
d d
∏iβ
i =1
CHAPITRE V
5.1. GENERALITES
On a su que le choix sépares des éléments du trace et du profil en long conformes
(même largement) aux normes et aux règles de l’art ne suffit pas donc pour établir un bon
projet de route. Dans l’espace, l’axe de la voie est une courbe gauche. Il faut Analyzer la
combinaison des deux plans pour avoir un trace assure la sécurité de l’usager ainsi que la
stabilité psychologique lors du mouvement du conducteur. Concrètement, elle permet:
- Distinguer la chaussée et les obstacles sur une distance suffisante a manœuvré.
- Distinguer clairement les dispositions des points particuliers carrefours, échangeurs…
- De prévoir de loin l’évolution du trace, sans être abuse par des trompe l’œil ou gènes
par des brisures ou des discontinuités.
- Assurer l’esthétique et l’équilibre écologique en adoptant bien le terrain.
La restriction du champ de vue. Cette restriction est très nette lors de l’augmentation
de la vitesse 40km/h, le champ de vision a son angle de 100 degré, a 90 km/h, il sera 40
degré.
Pour le cas des alignements droits longs, on roule sous “l’effet de tunnel”, cela conduit a
une léthargie ou le conducteur s’endort sans le savoir. Il convient de remplacer les longues
sections de l’alignement droit par des larges courbes.
On peut constater que: Plus la chaussée est large, plus le conducteur concentre sur la
chaussée. D’âpres la vitesse, le champ de vision a pour ses composants suivants:
A 40km/h, a chaussée 2 voies: Route 8%, Ciel 10%, Environnement 82%.
a chaussée 2 x 3 voies: Route 20%, Ciel 40%, Environnement 40%
A 96 km/h, a chaussée 2 x 3 voies: Route 28%, Ciel 55%, Environnement
17%
La concentration excessive aux chaussées conduit a une sous-estimation de sa
vitesse et celles des voitures parallèles et opposes.