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L’amour de la liberté
En vérité, Fernando Ocáriz, s’appuyant sur les dires de Josémaria, présente la liberté comme le besoin
inévitable de tout chrétien aspirant à vivre avec DIEU. DIEU nous a fait grâce de son amour afin que
nous puissions vivre pleinement comme nous le voulons. Mais pour être en communions avec lui, il nous
faut réaliser sa volonté. Etant un DIEU infiniment bon il nous donne la chance de comprendre sa volonté
et d’être libre de choisir cette volonté au moyen de l’amour.
Malheureusement, nombreux sont ceux et celles qui se complaisent dans une liberté illusoire, une
mauvaise liberté, cela s’entrevoit à travers le non-respect des vertus de l’homme, le rejet de la nature, ou
la recherche perpétuelle de la satisfaction personnelle au moyen du matériels. Ces derniers pensent que
leur finalité ne se trouve pas en DIEU mais sur terre. Cela est explicité par le Pape François : « Certains
se croient libres lorsqu’ils marchent à l’écart du Seigneur, sans s’apercevoir qu’ils restent
existentiellement orphelins, sans un abri, sans une demeure où revenir toujours. Ils cessent d’être pèlerins
et se transforment en errants ».
POINT 2 : La liberté divine & La liberté humaine
La liberté divine
La liberté divine, est la liberté de DIEU. Selon les évangiles, DIEU, être omnipotent et omniscient,
créa le monde, nulle part il est affirmé qu’il le créa sous une quelconque contrainte. Il a toujours agit
par amour. On remarque donc que la liberté de DIEU réside dans son amour, on peut même se
permettre d’affirmer que cet amour atteint son paroxysme lorsqu’il nous le lègue.
La liberté humaine
Nous ne sommes que des créatures de DIEU, contrairement à lui, notre liberté n’est pas divine, elle
est humaine, de ce fait, elle a des limites. En outre, étant affaibli par le péché originel, notre volonté
à faire le bien a été entachée, cela a augmenté la faiblesse de notre liberté. Nous sommes devenus
esclaves du péché et nous avons perdus au fil des années le véritable amour, confondant, amour et
plaisir (physique). La liberté humaine sans l’amour et la recherche de DIEU n’est qu’une illusion.
POINT 3 : La liberté de l’amour du CHRIST & La relation entre
amour et liberté
Une liberté profonde est la conséquence de se laisser remplir par l’Esprit Saint, ce
qui nous permet d’évoluer sur cette terre comme Jésus l’a fait. C’est pourquoi nous
sommes bien conscients que Jésus-Christ doit se trouver au centre de notre vie.
Pour découvrir le sens le plus profond de la liberté, il nous faut le contempler.
Nous sommes remplis d’admiration devant la liberté d’un Dieu qui, par pur amour,
décide de s’anéantir en prenant une chair comme la nôtre. Une liberté qui se
manifeste devant nous, au cours de son passage sur la terre qui le conduit au
sacrifice de la Croix. C’est notre filiation divine qui permet à notre liberté de se
développer avec toute la force que Dieu lui a conférée. Ce n’est pas en nous
éloignant de la maison du Père que nous trouvons la liberté, mais en embrassant
notre condition d’enfants.
POINT 5 : La liberté d’esprit
La joie chrétienne est une participation spirituelle dans la joie infime de Dieu et des hommes qui se trouve
dans le Coeur de Jésus Christ glorifié». Avec la joie de l'espérance est liée la joie de la penitence. La
penitence est une sorte de «douleur de l'àme» qui est manifestée par une grande amertume.
Avant tout la joie - chara signifie rester en presence de Dieu. Cette signification eschatologique se trouve
dans l’Evangile selon S. Matthieu 25, 21: «Serviteur bon et fidèle ....entre dans la joie de ton seigneur» (le
mème: Mt 25, 23). La situation est identique quand on parle de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui
se repent (Le 15, 7; Le 15, 10) ainsi que de la joie du retour du fíls prodigue (Le 15, 32). Nous pouvons done
constater que la joie dans le Nouveau Testament signifie avant tout le ciel et cela lui accorde la valeur d’une
durée absolue. Beaucoup plus de citations du Nouveau Testament concernent la source de la vraie joie de
l’homme. C’est la venue au monde du Sauveur, c’est à dire, la realisation de l’attente de l’Ancien Testament
«car voici queje vous annonce une grande joie.... aujourd’hui vous est né un Sauveur qui est le Christ
Seigneur» (Le 2, 10-11). C’est le motif de la joie des Mages («A la vue de l’astre ils se réjouirent d’une très
grande joie» - Mt 2, 10), mais aussi de ceux qui écoutent la Parole de Dieu et l’acceptent immédiatement (Mt
13, 20). De la mème faęon il faut comprendre la joie des femmes qui se dépèchent pour annoncer aux
disciples que le Christ est ressuscité (Mt 28, 8).
POINT 7 : La loi divine & Consequence de la divergence entre
amour et liberté
CONTRAIREMENT AUX LOIS décrites par la science moderne, la Loi divine immuable est d’essence morale et elle est le fondement de l’éthique humaine.
Le concept hindou du Dharma, par exemple, inclut à la fois les principes cosmologiques, éthiques, sociaux et légaux qui justifient la croyance dans le caractère
ordonné de l’univers et dans le caractère ordonné et prospère de la société. Aussi la religion ne peut pas accepter la distinction moderne entre fait et valeur : il y
a des valeurs éthiques dans la vie humaine qui sont aussi absolues que le fait que la terre tourne autour du soleil. Le salut réside dans le respect des Lois
divines et des doctrines révélées – par exemple le Tao, la Torah, le Dharma éternel, les enseignements du Coran, le Dhamma révélé par le Bouddha ou la
Parole révélée dans l’Évangile
En conséquence si l’amour ne naît pas de la liberté, il ne peut pas être considéré comme un amour authentique. Le devoir d’aimer n’est pas
de l’amour, mais une forme d’esclavage. Celui qui doit aimer n’est plus libre d’aimer : en perdant la liberté, il perd aussi la capacité
d’aimer. Voilà l’erreur que courent les institutions sociales et religieuses. En effet elles trop souvent altérées au point de dénaturer
l’authenticité des valeurs. Plutôt que d’éduquer de l’intérieur, ou au moins de reconnaître les libres sentiments, quitte à les légitimer par la
suite et les rendre sacrés par différents rituels, elles les imposent de l’extérieur comme des valeurs morales et religieuses. Ce fait d’imposer
des valeurs anticipe la libre expérience des sentiments, réprime le sentiment de liberté et rend impossible l’expression d’un amour
authentique. De telles institutions, ainsi altérées dans leur fonction réelle, ont perdu leur vraie nature et produisent des effets dévitalisants.
Elles ont perdu la confiance en l’homme, en sa valeur, en la bonté originelle de ses potentialités. En réalité elles se méfient de l’homme,
elles ne croient pas qu’un homme libre aime forcement et elles regardent avec soupçon sa liberté. Concrètement elles entraînent l’homme
dans le doute de soi-même et de son droit à vivre en liberté. Elles lui suggèrent que sa nature n’est pas bonne, qu’elle est mauvaise, et qu’il
faut le mettre en garde contre soi-même.
POINT 8 : Climat de confiance et de liberté
« Peut-il exister une liberté négative ? Peut-il exister la liberté de haïr et d’exprimer des sentiments négatifs ? Est-ce qu’il
est permis toutefois de donner libre expression à tout ce qu’on ressent ? »
On peut répondre en affirmant qu’il n’existe aucune liberté de haïr. En effet celui qui est libre et qui se sent libre ne peut
qu’aimer, ainsi qui aime ne peut que se sentir libre.
La haine ne peut pas naître de la liberté, mais au contraire elle naît de la privation de la liberté.
La haine et tous les sentiments soi-disant négatifs (rage, tristesse, envie, …) sont dus à la réaction à une longe période de
captivité. Ils tirent leur origine d’un état de privation, du manque ou de la perte de la liberté d’être soi-même, de déployer
sa propre essence, et d’exprimer librement ses propres sentiments (qui, en tant que tels, ne peuvent qu’être positifs).
La liberté conçue comme potentiellement dangereuse, la liberté d’expressive sans aucun contrôle n’est pas une vraie
liberté : elle doit, au contraire, être considérée comme un tentative d’évasion de la captivité, accompagnée de
ressentiments liés à la situation de privation, et parfois d’ intenses besoins-impulsifs destructifs.
Le contrôle, l’oppression et la captivité ne peuvent être justifiés en tant que moyens de prévention du caractère périlleux
de la liberté, puisque ces moyens la rendent dangereuse.
Cela n’est pas très différent de quand les patients psychiatriques étaient enfermés dans les asiles d’ aliénés. Leur réaction
agressive à la réclusion était utilisée, après coup, comme une explication de la réclusion même
POINT 10 : Importance de la liberté dans la formation
Concrètement, ce système vous permet d’avoir une garanti au bout d’un certain
nombre de tirage. Pour cela, il vous suffit de cliquer sur la nouvelle icone qui
vient d’apparaître en bas à gauche de la bannière d’arme. Une fois sur cet
écran, vous n’avez qu’à choisir l’arme souhaitée entre les deux armes 5 étoiles.
Quand c’est fait, vous pouvez désormais commencer les tirages : le taux de
drop reste similaire à avant, et vous pouvez toujours avoir une chance d’avoir
l’arme voulue à la première garantie 5 étoiles ou vous faire shaft (ne pas
recevoir ce que vous souhaitez) encore une fois. Cependant, si vous n’avez pas
l’arme en question, vous obtiendrez un point de destin.
POINT 12 : Eviter de s’isoler
La confiance en soi permet de résister aux pressions de ses pairs et dire « NON »
aux conduites à risque comme l’usage de substances.
La confiance en soi est la clé du bien-être, de la motivation, de la définition
d’objectifs et de l’accomplissement. Elle nous permet de gérer la pression, les
défis personnels et professionnels.
La confiance en soi nous fait aller de l’avant, donne de l’espoir, favorise les
relations saines et la confiance envers autrui. Les jeunes avec des amitiés saines
ont souvent plus confiance en eux et sont moins susceptibles de souffrir de
problèmes de santé mentale.
La confiance en soi aide à prendre des décisions et influence des aspects de la vie
aussi divers que la capacité d’apprentissage ou le choix d’un bon conjoint.
POINT 14 : L’apostolat
Nous avons donc mené une réflexion sur la liberté et sur les limites qu'il était
nécessaire de nous fixer.
Les différents arguments consentis nous ont permis d'aboutir aux conclusions
suivantes : les lois et les devoirs sont essentiels dans une société afin de garantir
la liberté individuelle mais également collective. L'individu doit en outre agir
avec moralité en usant de sa raison pour ne pas nuire à son bonheur et à celui
d'autrui. L'Homme ne pourra en outre être totalement libre (Spinoza) bien qu'il
soit pourtant condamné à l'être (Sartre). La seule chose qui puisse maintenant
influer sur l'égalité se situe au sein de notre modèle et dans les mains de ceux
que nous élisons pour diriger notre Monde. L'intérêt général et la responsabilité
sont donc les deux notions qui s'imposent quand il s'agit de faire régner la
liberté au sein d'une société.