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REFLEXION SUR LA

LETTRE DU 9 JANVIER 2018


COMMENTAIRES ET EXPLICATIONS
Les circonstances très particulières de ces jours d’isolement ont incité de
nombreuses personnes à réfléchir sur le sens de la vie et, dans de nombreux cas, a
éveillé un plus grand désir de DIEU
Notions à connaître
 L’amour :
Mouvement de dévotion qui porte un être vers une divinité, vers une entité idéalisée ; adhésion à une
idée, à un idéal : Amour de Dieu.
Affection ou tendresse entre les membres d'une famille : Amour paternel, filial.
On peut se permettre de définir l’amour comme étant une grande force intérieur favorisant le don de
soi le plus pur et complet en toute liberté.
 La liberté :
Situation de quelqu'un qui se détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé :
Avoir sa liberté de pensée.
Possibilité d'agir selon ses propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque : On lui
laisse trop peu de liberté.
On peut se permettre de définir la liberté comme étant la capacité de vivre en fonction de ses propres
choix, choix qui constituent nos propres règles résultant de notre réflexion et de notre culture. C’est règles
peuvent coïncider avec celle de la société.
PRESENTATION
 INTRODUCTION
 POINT 1 : L’amour de la liberté
 POINT 2 : La liberté divine & La liberté humaine
 POINT 3 : La liberté de l’amour du CHRIST & La relation entre amour et liberté
 POINT 4 : La force de la liberté divine
 POINT 5 : La liberté d’esprit
 POINT 6 : La joie
 POINT 7 : La loi divine & Consequences de la divergence entre amour et liberté
 POINT 8 : Climat de confiance et de liberté
 POINT 9 : Accepter les limites humaines
 POINT 10 : Importance de la liberté dans la formation
 POINT 11 : Le chemin divin
 POINT 12 : Eviter de s’isoler
 POINT 13 : Les bienfaits de la confiance
 POINT 14 : L’apostolat
 POINT 15 : Le prosélytisme
 POINT 16 : JESUS
 CONCLUSION
INTRODUCTION
Fernando Ocáriz Braña, né le 27 octobre 1944 à Paris, est un prélat, théologien et
philosophe catholique espagnol, vicaire général, puis vicaire auxiliaire et enfin
prélat de l'Opus Dei depuis janvier 2017. Il est auteur de la Lettre pastorale Rome,
9-I-2018 sur la liberté.
Dans cette lettre, il nous enseigne la liberté et nous apprend ce qu’est l’amour.
Son travail s’inspire des dires de Josemaría Escrivá de Balaguer.
<< Je veux vous laisser en héritage l'amour de la liberté et la bonne humeur" disait
saint Josémaria. Au fil de ses enseignements, le Prélat nous invite dans cette lettre
à être reconnaissants pour cet héritage et à réfléchir sur le don de la liberté. >>
L’argumentaire de Fernando Ocáriz se subdivise en 16 points.
POINT 1 : L’amour de la liberté

 L’amour de la liberté
En vérité, Fernando Ocáriz, s’appuyant sur les dires de Josémaria, présente la liberté comme le besoin
inévitable de tout chrétien aspirant à vivre avec DIEU. DIEU nous a fait grâce de son amour afin que
nous puissions vivre pleinement comme nous le voulons. Mais pour être en communions avec lui, il nous
faut réaliser sa volonté. Etant un DIEU infiniment bon il nous donne la chance de comprendre sa volonté
et d’être libre de choisir cette volonté au moyen de l’amour.
Malheureusement, nombreux sont ceux et celles qui se complaisent dans une liberté illusoire, une
mauvaise liberté, cela s’entrevoit à travers le non-respect des vertus de l’homme, le rejet de la nature, ou
la recherche perpétuelle de la satisfaction personnelle au moyen du matériels. Ces derniers pensent que
leur finalité ne se trouve pas en DIEU mais sur terre. Cela est explicité par le Pape François : « Certains
se croient libres lorsqu’ils marchent à l’écart du Seigneur, sans s’apercevoir qu’ils restent
existentiellement orphelins, sans un abri, sans une demeure où revenir toujours. Ils cessent d’être pèlerins
et se transforment en errants ».
POINT 2 : La liberté divine & La liberté humaine

 La liberté divine
La liberté divine, est la liberté de DIEU. Selon les évangiles, DIEU, être omnipotent et omniscient,
créa le monde, nulle part il est affirmé qu’il le créa sous une quelconque contrainte. Il a toujours agit
par amour. On remarque donc que la liberté de DIEU réside dans son amour, on peut même se
permettre d’affirmer que cet amour atteint son paroxysme lorsqu’il nous le lègue.
 La liberté humaine
Nous ne sommes que des créatures de DIEU, contrairement à lui, notre liberté n’est pas divine, elle
est humaine, de ce fait, elle a des limites. En outre, étant affaibli par le péché originel, notre volonté
à faire le bien a été entachée, cela a augmenté la faiblesse de notre liberté. Nous sommes devenus
esclaves du péché et nous avons perdus au fil des années le véritable amour, confondant, amour et
plaisir (physique). La liberté humaine sans l’amour et la recherche de DIEU n’est qu’une illusion.
POINT 3 : La liberté de l’amour du CHRIST & La relation entre
amour et liberté

 La liberté de l’amour du CHRIST


La liberté de l’amour du CHRIST est l’expression ultime de l’amour que DIEU a pour nous les
hommes. En effet, cet être surpuissant, s’est abaissé à notre niveau, pour que nous soyons sauvés et a
choisi de donner sa vie. On n’a pas pris la vie du CHRIST, s’est lui qui nous l’a donné, il a librement
fait ce choix.
 La relation entre amour et liberté
Au vu des point précédents, on remarque qu’il y’a une sorte de cohésion intrinsèque entre la liberté
et l’amour. En effet, on ne peut pas parler d’amour sans liberté et vice versa. En analysant les notions
clés définies plus haut, on remarque que, l’amour, ce don total de sois se fait sans contrainte. On ne
force pas l’amour, par conséquent on ne se force pas à aimer DIEU. En l’aimant, on décide de se
donner librement à lui en acceptant son fils afin que JESUS nous guides.
POINT 4 : La force de la liberté divine

Une liberté profonde est la conséquence de se laisser remplir par l’Esprit Saint, ce
qui nous permet d’évoluer sur cette terre comme Jésus l’a fait. C’est pourquoi nous
sommes bien conscients que Jésus-Christ doit se trouver au centre de notre vie.
Pour découvrir le sens le plus profond de la liberté, il nous faut le contempler.
Nous sommes remplis d’admiration devant la liberté d’un Dieu qui, par pur amour,
décide de s’anéantir en prenant une chair comme la nôtre. Une liberté qui se
manifeste devant nous, au cours de son passage sur la terre qui le conduit au
sacrifice de la Croix. C’est notre filiation divine qui permet à notre liberté de se
développer avec toute la force que Dieu lui a conférée. Ce n’est pas en nous
éloignant de la maison du Père que nous trouvons la liberté, mais en embrassant
notre condition d’enfants.
POINT 5 : La liberté d’esprit

On comprend que favoriser la liberté ne signifie pas pour


autant être moins exigeant. Plus nous sommes libres, plus
nous pouvons aimer. Et l’amour est exigeant : « l’amour
supporte tout, croit tout, espère tout » (1 Cor 13, 7). En même
temps, croître en amour c’est grandir en liberté, être plus libre.
Nous agissons également avec liberté d’esprit lorsque, sans
envie de réaliser quelque chose, ou si cela nous coûte
particulièrement, nous le faisons par amour : non pas parce
que cela nous plaît mais parce que nous l’avons décidé.
POINT 6 : La joie

 La joie chrétienne est une participation spirituelle dans la joie infime de Dieu et des hommes qui se trouve
dans le Coeur de Jésus Christ glorifié». Avec la joie de l'espérance est liée la joie de la penitence. La
penitence est une sorte de «douleur de l'àme» qui est manifestée par une grande amertume.
 Avant tout la joie - chara signifie rester en presence de Dieu. Cette signification eschatologique se trouve
dans l’Evangile selon S. Matthieu 25, 21: «Serviteur bon et fidèle ....entre dans la joie de ton seigneur» (le
mème: Mt 25, 23). La situation est identique quand on parle de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui
se repent (Le 15, 7; Le 15, 10) ainsi que de la joie du retour du fíls prodigue (Le 15, 32). Nous pouvons done
constater que la joie dans le Nouveau Testament signifie avant tout le ciel et cela lui accorde la valeur d’une
durée absolue. Beaucoup plus de citations du Nouveau Testament concernent la source de la vraie joie de
l’homme. C’est la venue au monde du Sauveur, c’est à dire, la realisation de l’attente de l’Ancien Testament
«car voici queje vous annonce une grande joie.... aujourd’hui vous est né un Sauveur qui est le Christ
Seigneur» (Le 2, 10-11). C’est le motif de la joie des Mages («A la vue de l’astre ils se réjouirent d’une très
grande joie» - Mt 2, 10), mais aussi de ceux qui écoutent la Parole de Dieu et l’acceptent immédiatement (Mt
13, 20). De la mème faęon il faut comprendre la joie des femmes qui se dépèchent pour annoncer aux
disciples que le Christ est ressuscité (Mt 28, 8).
POINT 7 : La loi divine & Consequence de la divergence entre
amour et liberté

 CONTRAIREMENT AUX LOIS décrites par la science moderne, la Loi divine immuable est d’essence morale et elle est le fondement de l’éthique humaine.
Le concept hindou du Dharma, par exemple, inclut à la fois les principes cosmologiques, éthiques, sociaux et légaux qui justifient la croyance dans le caractère
ordonné de l’univers et dans le caractère ordonné et prospère de la société. Aussi la religion ne peut pas accepter la distinction moderne entre fait et valeur : il y
a des valeurs éthiques dans la vie humaine qui sont aussi absolues que le fait que la terre tourne autour du soleil. Le salut réside dans le respect des Lois
divines et des doctrines révélées – par exemple le Tao, la Torah, le Dharma éternel, les enseignements du Coran, le Dhamma révélé par le Bouddha ou la
Parole révélée dans l’Évangile
 En conséquence si l’amour ne naît pas de la liberté, il ne peut pas être considéré comme un amour authentique. Le devoir d’aimer n’est pas
de l’amour, mais une forme d’esclavage. Celui qui doit aimer n’est plus libre d’aimer : en perdant la liberté, il perd aussi la capacité
d’aimer. Voilà l’erreur que courent les institutions sociales et religieuses. En effet elles trop souvent altérées au point de dénaturer
l’authenticité des valeurs. Plutôt que d’éduquer de l’intérieur, ou au moins de reconnaître les libres sentiments, quitte à les légitimer par la
suite et les rendre sacrés par différents rituels, elles les imposent de l’extérieur comme des valeurs morales et religieuses. Ce fait d’imposer
des valeurs anticipe la libre expérience des sentiments, réprime le sentiment de liberté et rend impossible l’expression d’un amour
authentique. De telles institutions, ainsi altérées dans leur fonction réelle, ont perdu leur vraie nature et produisent des effets dévitalisants.
Elles ont perdu la confiance en l’homme, en sa valeur, en la bonté originelle de ses potentialités. En réalité elles se méfient de l’homme,
elles ne croient pas qu’un homme libre aime forcement et elles regardent avec soupçon sa liberté. Concrètement elles entraînent l’homme
dans le doute de soi-même et de son droit à vivre en liberté. Elles lui suggèrent que sa nature n’est pas bonne, qu’elle est mauvaise, et qu’il
faut le mettre en garde contre soi-même.
POINT 8 : Climat de confiance et de liberté

climat de confiance , locution


 Sens 1 Sentiment de sécurité, d'harmonie, existant entre
différentes personnes, entre les membres d'une famille,
d'un groupe quelconque.
 Exemple : Pour le bien-être de son entreprise, le directeur
avait à cœur de maintenir un climat de confiance optimal.
Pour cela, il organisait régulièrement des repas auxquels
toute l'équipe était conviée.
POINT 9 : Accepter les limites humaines

« Peut-il exister une liberté négative ? Peut-il exister la liberté de haïr et d’exprimer des sentiments négatifs ? Est-ce qu’il
est permis toutefois de donner libre expression à tout ce qu’on ressent ? »
On peut répondre en affirmant qu’il n’existe aucune liberté de haïr. En effet celui qui est libre et qui se sent libre ne peut
qu’aimer, ainsi qui aime ne peut que se sentir libre.
La haine ne peut pas naître de la liberté, mais au contraire elle naît de la privation de la liberté.
La haine et tous les sentiments soi-disant négatifs (rage, tristesse, envie, …) sont dus à la réaction à une longe période de
captivité. Ils tirent leur origine d’un état de privation, du manque ou de la perte de la liberté d’être soi-même, de déployer
sa propre essence, et d’exprimer librement ses propres sentiments (qui, en tant que tels, ne peuvent qu’être positifs).
La liberté conçue comme potentiellement dangereuse, la liberté d’expressive sans aucun contrôle n’est pas une vraie
liberté : elle doit, au contraire, être considérée comme un tentative d’évasion de la captivité, accompagnée de
ressentiments liés à la situation de privation, et parfois d’ intenses besoins-impulsifs destructifs.
Le contrôle, l’oppression et la captivité ne peuvent être justifiés en tant que moyens de prévention du caractère périlleux
de la liberté, puisque ces moyens la rendent dangereuse.
Cela n’est pas très différent de quand les patients psychiatriques étaient enfermés dans les asiles d’ aliénés. Leur réaction
agressive à la réclusion était utilisée, après coup, comme une explication de la réclusion même
POINT 10 : Importance de la liberté dans la formation

L’échec ou la réussite d’une formation ou d’un enseignement s’explique de façon spontanée par le


rôle joué par les stagiaires en formation. Pour réussir une formation, il est conseillé d’être motivé,
d’avoir une bonne estime de soi, un bon sentiment d’efficacité personnelle... Que ce soit dans les
synthèses sur l’apprentissage (Fenouillet et Lieury, 1996 ; Lieury et Fenouillet, 1996) ou sur
l’insertion (Roques, 2008), on s’intéresse au rôle des aspects dispositionnels (i.e., bien-être
psychologique et sentiment d’efficacité personnelle) dans l’initiation de comportements actifs
d’apprentissage ou de recherche d’emploi. L’effet du contexte ou de l’environnement est plus
rarement évoqué. Des chercheurs s’y intéressent cependant. Par exemple, dans le domaine de
l’insertion, l’idée n’est plus seulement de repérer et d’infléchir les caractéristiques personnelles des
demandeurs d’emploi, comme leur sentiment d’efficacité personnelle ou leur internalité, mais d’agir
aussi sur le contexte engageant de la rencontre entre demandeurs d’emploi et recruteurs
POINT 11 : Le chemin divin

Concrètement, ce système vous permet d’avoir une garanti au bout d’un certain
nombre de tirage. Pour cela, il vous suffit de cliquer sur la nouvelle icone qui
vient d’apparaître en bas à gauche de la bannière d’arme. Une fois sur cet
écran, vous n’avez qu’à choisir l’arme souhaitée entre les deux armes 5 étoiles.
Quand c’est fait, vous pouvez désormais commencer les tirages : le taux de
drop reste similaire à avant, et vous pouvez toujours avoir une chance d’avoir
l’arme voulue à la première garantie 5 étoiles ou vous faire shaft (ne pas
recevoir ce que vous souhaitez) encore une fois. Cependant, si vous n’avez pas
l’arme en question, vous obtiendrez un point de destin.
POINT 12 : Eviter de s’isoler

L'isolement social est un fléau qui touche une grande majorité de la


population. Depuis le confinement lié à la Covid-19, les jeunes sont, eux aussi,
touchés. Les principaux concernés restent malgré tout les personnes
handicapées et les personnes âgées en perte d'autonomie. Il existe de
nombreuses choses simples que vous pouvez faire pour vous en sortir ou aider
un proche. Une personne isolée peut ressentir une faible estime d'elle et
surtout, une grande solitude. Avec le temps, cette solitude sociale peut
provoquer chez l'individu une anxiété généralisée, une dépression ou d'autres
problèmes de santé mentale. Il est tout à fait possible d'aider ces personnes en
situation d'isolement à développer des compétences sociales. Lutter contre
l'isolement social nécessite des efforts et des stratégies visant à créer des liens
avec les autres.
POINT 13 : Les bienfaits de la confiance

 La confiance en soi permet de résister aux pressions de ses pairs et dire « NON »
aux conduites à risque comme l’usage de substances.
 La confiance en soi est la clé du bien-être, de la motivation, de la définition
d’objectifs et de l’accomplissement. Elle nous permet de gérer la pression, les
défis personnels et professionnels.
 La confiance en soi nous fait aller de l’avant, donne de l’espoir, favorise les
relations saines et la confiance envers autrui. Les jeunes avec des amitiés saines
ont souvent plus confiance en eux et sont moins susceptibles de souffrir de
problèmes de santé mentale.
 La confiance en soi aide à prendre des décisions et influence des aspects de la vie
aussi divers que la capacité d’apprentissage ou le choix d’un bon conjoint.
POINT 14 : L’apostolat

 L'apostolat consiste à propager la foi par la prédication.


 On nomme apostolat — du latin apostolatus, XVe siècle, du grec apostellô, envoyer — le ministère
 d'un apôtre et, par extension, la propagation de la foi, d'où la prédication.
 Dans les Églises multitudinistes, cet apostolat s'exerce le plus souvent à l'intérieur ou aux marges de
l'Église. Le mot est alors seulement un synonyme de ministère.
 Là où la préoccupation de l'évangélisation hors les murs est présente, c'est un ministère spécifique,
qui peut être exercé professionnellement ou non, par une personne consacrée ou non, mais
toujours envoyée par son Église. L'Église catholique au cours du XXe siècle a considéré que
l'apostolat était l'affaire de tous les baptisés : l'apostolat des laïcs a été promu notamment au 
concile Vatican II1.
 En un sens dérivé, on parle d'apostolat pour tout essai de défendre ou diffuser une idée qui tient
beaucoup à cœur. D'aucuns parlent alors, souvent négativement, de prosélytisme.
POINT 15 : Le prosélytisme

Protégé et garanti au titre de la liberté religieuse, le prosélytisme


semble, de ce fait, n’avoir aucune autonomie. Cependant, le
prosélytisme tend à devenir, en France, une question juridique à
part entière. Cette construction du prosélytisme comme
problématique juridique spécifique, à travers l’examen de la
jurisprudence française (en regard de celle de la Cour
européenne) se traduit par un encadrement et une portée
autonomes attribués au concept.
POINT 16 : JESUS

la Vérité qui est une personne : Jésus, chemin, vérité


et vie (Cf. Jn 14, 6). Aujourd'hui encore, après deux
mille ans, le Christ nous apparaît comme Celui qui
apporte à l'homme la liberté fondée sur la vérité,
comme Celui qui libère l'homme de ce qui limite,
diminue et pour ainsi dire détruit cette liberté
jusqu'aux racines mêmes, dans l'esprit de l'homme,
dans son cœur, dans sa conscience.
CONCLUSION

Nous avons donc mené une réflexion sur la liberté et sur les limites qu'il était
nécessaire de nous fixer.
Les différents arguments consentis nous ont permis d'aboutir aux conclusions
suivantes : les lois et les devoirs sont essentiels dans une société afin de garantir
la liberté individuelle mais également collective. L'individu doit en outre agir
avec moralité en usant de sa raison pour ne pas nuire à son bonheur et à celui
d'autrui. L'Homme ne pourra en outre être totalement libre (Spinoza) bien qu'il
soit pourtant condamné à l'être (Sartre). La seule chose qui puisse maintenant
influer sur l'égalité se situe au sein de notre modèle et dans les mains de ceux
que nous élisons pour diriger notre Monde. L'intérêt général et la responsabilité
sont donc les deux notions qui s'imposent quand il s'agit de faire régner la
liberté au sein d'une société.

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