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Modèles Nonlinéaires
Modèles de prévision, 3. Adjonction d'interaction
4. Modèles multiplicatifs
Exemples Tableau 2 - Ventes et Profit obtenu en faisant varier les coefficients du modèle de réponse
• Modèle Adbudg initial pour 2 Mil. pub 45 Mil. Ventes [ 2.1] (ADBUDG)
• Modèle Adbudg avec inflexion pour 2 Mil. pub 32 Mil. Ventes [ 2.2]
• Modèle Adbudg accéléré pour 1 Mil. pub 50 Mil. Ventes [2.3] 1
Effort
0
Ventes
30.00000
Profit
9.00000
Ventes2 Profit2 Ventes3 Profit3
30.00000 9.000000 30.0 9.00
2 1 40.00000 11.00000 36.94444 10.083333 45.0 12.50
3 2 45.00000 11.50000 41.27820 10.383459 50.0 13.00
Listing 1 4 3 48.00000 11.40000 44.24051 10.272152 52.5 12.75
5 4 50.00000 11.00000 46.39344 9.918033 54.0 12.20
6 5 51.42857 10.42857 48.02885 9.408654 55.0 11.50
1. a=60
2. b=30
3. c=1
4. d=2
y =abx (7)
ou
a1 est la pente de la droite et
ao est la valeur de Y quand X = 0
Forme : linéaire
Réponse marginale : a1
Limite inf. (X-->0) : a0
Limite sup. (X-->infinie) : illimité
1. x=seq(0,10,1)
2. y=2+3*x
3. profit=0.3*y-x
4. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y, Profit=profit)
5. y=2+4*x
6. profit=0.3*y-x
7. df$Ventes2=y
8. df$Profit2=profit
9. df
10. # show Ventes
11. matplot(x, df[,seq(2,5,2)], pch = 1:2, type = "o", col =
1:2,xlab="Effort", ylab="Reponse")
12. legend(min(x), max(df[,seq(2,5,2)]),names(df)[seq(2,5,2)], lwd=3,
col=1:2, pch=1:2)
13. # show Profits
14. matplot(x, df[,seq(3,5,2)], pch = 1:2, type = "o", col =
1:2,xlab="Effort", ylab="Reponse")
15. legend(min(x), max(df[,seq(3,5,2)]),names(df)[seq(3,5,2)], lwd=3,
col=1:2, pch=1:2)
Analyse:
Deux modèle linéaires sont calculés pour représenter les ventes (y) en fonction des dépenses marketing
(x), le première avec une pente de 3 et le deuxième avec une pente de 4. Même si les ventes
représentées par le premier modèle augmentent elles sont dépassées par les dépenses ce qui a pour
effet la baisse constante du profit. En revanche la pente plus accentuée qu'enregistrent les ventes dans
le deuxième modèle (Ventes2) permet de dépasser la croissance des dépenses et offre un profit
croissant (Profit2)
Tableau 3 - Croissance linéaire des ventes - les profit baissent quand elle est faible et augmentent
quand elle est forte
Effort Ventes Profit Ventes2 Profit2
1 0 2 0.6 2 0.6
2 1 5 0.5 6 0.8
3 2 8 0.4 10 1.0
4 3 11 0.3 14 1.2
5 4 14 0.2 18 1.4
6 5 17 0.1 22 1.6
7 6 20 0.0 26 1.8
8 7 23 -0.1 30 2.0
9 8 26 -0.2 34 2.2
10 9 29 -0.3 38 2.4
y =a 0 a 1 x a 2 x 2...a n x n (9)
Forme : différentes
Réponse marginale : a1
Limite inf. (X-->0) : a0
Limite sup. (X-->0):
Exemples :
• Modèle des séries de puissances a rythme croissant [ 2.12]
• Modèle des séries de puissances a rythme décroissant [ 2.13]
Listing 3
Le troisième coefficient du modèle affecte la forme de la courbe de réponse. Quand il est positif (ici
0.4) les rendements sont croissants. Quand il est négatif (ici -0.1) les rendements sont décroissants
(Ventes2) ce qui est plus réaliste pour une fonction de réponse en marketing.
Tableau 4 - Rendement croissant et décroissant des ventes et leur impacte sur le profit
Effort Ventes Profit Ventes2 Profit2
1 0 2.0 0.60 2.0 0.60
2 1 6.4 0.92 5.9 0.77
3 2 11.6 1.48 9.6 0.88
4 3 17.6 2.28 13.1 0.93
5 4 24.4 3.32 16.4 0.92
6 5 32.0 4.60 19.5 0.85
7 6 40.4 6.12 22.4 0.72
8 7 49.6 7.88 25.1 0.53
9 8 59.6 9.88 27.6 0.28
10 9 70.4 12.12 29.9 -0.03
11 10 82.0 14.60 32.0 -0.40
a2
y =a 0 a 1 x (10)
Forme : trois allures possibles en fonction de a2: <= -1; (-1; 1); >1
Réponse marginale : ..
Limite inf. (X-->0) : ..
Limite sup. (X-->0) : ..
Exemples :
• Modèle de Racine Fractionnelle, rythme décroissant applicable aux prix [ 2.15]
• Modèle de Racine Fractionnelle, accroissement à rythme décroissant [ 2.15_2]
Listing 4
1. a=0
2. b=1
3. c=-0.5
4. d=0
5. x=seq(1,10,1)
6. y=a+b*x^c
Analyse:
Analyse:
On calcule d'abord un modèle à racine fractionnelle avec un rythme décroissant indiqué par le
coefficient c (c=-0.5) . Il est applicable aux prix. Quand le coefficient c est positif mais inférieur a 1 Quand le coefficient c est positif et supérieur à 1 (ici c=1.5) on obtient une réponse à rythme croissant.
(ici c= 0.5) on enregistre un accroissement des ventes à rythme décroissant (Ventes2).
Figure 8 - Modèle de réponse à rythme croissant
Figure 7 - Réponse à rythme décroissant et réponse avec accroissement à rythme
décroissant
1. a=10
y =a 0 a 1 ln x (11)
2. b=-10 Forme : concave
3. c=-1 Réponse marginale : b ea0/a1 quand x = e-a0/a1
4. x=seq(1,10,1) Limite inf. (X-->0) : 0 quand x = e-a0/a1
5. y=a+b*x^c
6. matplot(x, y, pch = 1:2, type = "o", col = 1:2,xlab="Valeurs de Limite sup. (X-->0) : illimité
x", ylab="Ventes et/ou Profits")
Listing 7
Analyse 1. a=1
2. b=1
3. x=seq(1,10,1)
Une forme particulière de réponse obtenue du même modèle de racine fractionnelle, est le modèle de 4. y=a+b*log(x)
saturation. Dans ce cas le coefficient c=-1. Le modèle devient alors y=a+b/x ou a exprime le niveau de 5. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y)
saturation (ici a=10) et b est négatif. Ici b=-a pour que la réponse soit égale à zéro quand x = 1. 6. a=0
7. y=a+b*log(x)
8. df$Ventes2=y
Figure 9 - Modèle de saturation 9. b=2
10. y=a+b*log(x)
11. df$Ventes3=y
12. matplot(x, df[,2:4], pch = 1:3, type = "o", col =
1:3,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits"
13. legend(min(x), max(df[,2:4]),names(df)[2:4], lwd=3, col=1:3,
pch=1:3)
Analyse:
Vue les contraintes imposées par la définition des logarithme ici la valeur minimum de x est 1. La
première formulation de la réaction de ventes pose a=1 qui indique la valeur minimum de la fonction.
Dans les autre deux formulations a=0 d'abord avec b=1 pour donner un deuxième courbe (Ventes2) et
ensuite b=2 ce qui imprime au ventes une croissance plus importante (Ventes3).
Analyse:
Deux forme du modèle sont construites un qui approche lentement la saturation (b=0.2) et un autre qui
l'approche plus rapidement (b=0.4)
C. - Modèles nonlinéaires
Modèle Exponentiel Modifié
ax
y =minmax−min1−e (12)
Forme : concave
Réponse marginale : a0 a1
Limite inf. (X-->0) : a2
Limite sup. (X-->0) : a0+a2
Exemples:
• Modèle Exponentiel Modifie, approche lentement la saturation [ 2.17]
• Modèle Exponentiel Modifie, approche rapidement la saturation [ 2.17_2]
Listing 8
1. a=10
2. b=0.2
max−min
y =min (13)
1e− a b x
Forme : forme en S
Réponse marginale : a0a2e-a1/(1+e-a1) 2
Limite inf. (X-->0) : a0/(1+e-a1) + a3
Limite sup. (X-->0) : a0+a3
Exemples:
• Modèle Logistique, approche lentement la saturation [2.18]
• Modèle Logistique, approche rapidement la saturation [ 2.18_2]
Listing 9
1. a=10
2. b=-2
3. c=0.3
4. d=3
5. x=seq(0,10,1)
6. y=a*(1/(1+exp(-b-c*x)))+d
7. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y)
8. c=0.6
9. y=a*(1/(1+exp(-b-c*x)))+d
10. df$Ventes2=y
11. df
12. matplot(x, df[,2:3], pch = 1:2, type = "o", col =
1:2,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits")
• Modèle Logistique, décroissant applicable aux prix [ 2.18_3]
13. legend(min(x), max(df[,2:3]),names(df)[2:3], lwd=3, col=1:2,
pch=1:2)
Listing 10
1. a=10
Analyse: 2. b=-2
3. c=-0.3
4. d=3
Deux forme du modèle sont construites une qui approche lentement la saturation (c=0.3) et un autre 5. x=seq(0,10,1)
qui l'approche plus rapidement (c=0.6) 6. y=a*(1/(1+exp(-b-c*x)))+d
7. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y)
8. df
9. matplot(x, y, type="l", xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou
Profits")
La seule différence par rapport aux formulation précédentes est que le coefficient c est négatif (ici
1. a=10
c=-0.3). Cela rend la rend le modèle décroissant et apte pour représenter la réponse (Ventes) par 2. b=0.1
rapport aux prix par exemple. 3. c=0.2
4. d=0
Figure 13 - Modèle Logistique décroissant 5. x=seq(0,10,1)
6. y=a*b^c^x+d
7. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y)
8. c=0.6
9. y=a*b^c^x+d
10. df$Ventes2=y
11. c=0.9
12. y=a*b^c^x+d
13. df$Ventes3=y
14. b=0.2
15. c=0.6
16. y=a*b^c^x+d
17. df$Ventes4=y
18. df
19. matplot(x, df[,2:5], pch = 1:4, type = "o", col =
1:4,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits")
20. legend(min(x), max(df[,2:5]),names(df)[2:5], lwd=3, col=1:4,
pch=1:4)
Analyse:
Les premières trois formulations du modèle Gompertz jouent sur l'augmentation du coefficient c.
Quand c=0.2, la réponse (Ventes) approche rapidement la saturation. Quand c=0.6 elle approche la
saturation à une vitesse moyenne (Ventes2) et quand c=0.9 elle approche lentement la saturation
(Ventes3). La modification du coefficient b augmente le niveau de l'origine de la réponse (Ventes4)
Modèle Gompertz
y =minmax−min a b (14)
y a 3 a 0 a a1 2
Forme : S
Réponse marginale : a0a1ln(a2 ln(a3))
Limite inf. (X-->0) : a0 a1 + a3
Limite sup. (X-->0): a0 + a3
Exemples :
• Modèle Gompertz, approche lentement la saturation [ 2.19]
• Modèle Gompertz, approche la saturation à une vitesse moyenne [ 2.19_2]
• Modèle Gompertz, approche rapidement la saturation [ 2.19_3]
• Modèle Gompertz, modification de l'origine [ 2.19_4]
1. a=10
2. b=1
3. c=0.5
4. d=2
5. x=seq(0,10,1)
6. y=b+(a-b)*(x^c/(d^c+x^c))
7. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y)
8. c=2
9. y=b+(a-b)*(x^c/(d^c+x^c))
10. df$Ventes2=y
11. df
12. matplot(x, df[,2:3], pch = 1:2, type = "o", col =
1:2,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits"
13. legend(min(x), max(df[,2:3]),names(df)[2:3], lwd=3, col=1:2,
pch=1:2)
Analyse:
Deux forme du modèle sont construites une (Ventes) qui approche lentement la saturation (c=0.5) et
une autre (Ventes2) qui l'approche plus rapidement (c=2)
Modèle ADBUDG
a
x
y =minmax−min a a
(15)
b x
Forme : S quand a2 >1 et concave autrement
Réponse marginale : 0 pour a2 >1 et infinie autrement
Limite inf. (X-->0) : a1
Limite sup. (X-->0) : ao
Exemples:
• Modèle Adbudg, approche lentement la saturation [2.20]
• Modèle Adbudg, approche rapidement la saturation (forme en S) [2.20_2]
Analyse:
On utilise le modèle Adbudg légèrement plus sensible grâce au coefficient d=1.5 pour représenter la
réponse (Ventes.Pub) aux budget de publicité, et un modèle légèrement moins sensible d=2 pour
représenter la réaction (Ventes.ForceV) à taille de la force de ventes.
Modèles Nonlinéaires
Listing 12
1. a=10
2. b=0
Analyse:
Malgré le faite que le marché est légèrement plus sensible à la publicité, la force de vente est plus
efficace avec un poids de 1.6 par rapport a seulement 1 pour la publicité dans le modèle qui regroupe
les deux variables. Pour mettre en valeur cette différence d'efficacité on calcule deux cas de figure
extrêmes. La première représente la réponse (Ventes.Pub) quand la taille de la force de ventes est
réduite à zéro et la publicité varie. La deuxième représente la réponse (Vente.ForceV) quand la
publicité est réduite à zéro et la taille de la force de vente varie.
Figure 17 - Modèle
Listing 13
1. a=10
2. b=0
3. c=2
4. d1=2
5. d2=1.5
6. x1=seq(0,9,1) # varie
7. x2=rep(0,10) # fix
8. g1=b+(a-b)*x1^c/(d1^c+x1^c) #Force V
9. g2=b+(a-b)*x2^c/(d2^c+x2^c) #Pub
10. y=15+1.6*g1+1*g2
11. df=data.frame(Effort=x1, Ventes.ForceV=y)
12. x1=rep(0,10) # fix
Adjonction d'interaction
13. x2=seq(0,9,1) # varie
14. g1=b+(a-b)*x1^c/(d1^c+x1^c)
15. g2=b+(a-b)*x2^c/(d2^c+x2^c)
16. y=15+1.6*g1+1*g2 y =a 0 a 1 g 1 x 1 a 2 g 2 x 2 a 3 g 1 x 1 g 2 x 2 (18)
17. df$Ventes.Pub=y Exemples :
Listing 14
1. a=10
2. b=0
3. c=2
4. d1=2
5. d2=1.5
6. x1=seq(0,9,1) # publicite varie
7. x2=rep(5,10) # force de vent fixé a 5
8. g1=b+(a-b)*x1^c/(d1^c+x1^c)
9. g2=b+(a-b)*x2^c/(d2^c+x2^c)
10. y=15+1.6*g1+1*g2
11. df=data.frame(Effort=x1, Ventes.Interaction0 = y)
12. y=15+1.6*g1+1*g2+0.05*g1*g2
13. df$Ventes.Interact.Pos = y
14. y=15+1.6*g1+1*g2-0.05*g1*g2
15. df$Ventes.Interact.Neg = y
16. df
17. matplot(x1, df[,2:4], pch=1:4, type = "o", col = 1:3,
xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits"
18. legend(min(x), max(df[,2:4]),names(df)[2:4], lwd=3, col=1:3,
pch=1:3)
Modèles multiplicatifs
Analyse:
Pour illustrer les effets d'interaction entre les variables du mix marketing le modèle précédent est modèle Log-Linéaire
a1 a2 ak
repris en utilisant un budget de publicité qui varie et un taille de la force de vente fixé à 5. Trois cas de y =a 0 x 1 x 2 ... x k (19)
figure sont présentés: le premier sans interaction entre les deux variables, le deuxième avec un on peut montrer que a1, a2 .. an sont des coefficients d'élasticité
interaction positive et le dernier avec un interaction négative
dy a 1 y
= (20)
dx 1 x 1
dy / y
a1= (21)
dx 1 / x 1
Ce modèle est est linéaire pour les logarithmes des variables.
ln y =ln a 0 a 1 ln x 1 a 2 ln x 2 ...a k ln x k (22)
Exemples :
• Modèle loglinéaire recherche du prix optimum en gardant la pub. Fixé à 2 [ 2.30]
• Modèle loglinéaire recherche du prix optimum en gardant la pub. Fixé à 8 [ 2.30_2]
En posant le prix a son niveau optimum déterminé précédemment (x2=6) on fait varier le budget du
publicité pour obtenir une première courbe du profit (Profit6). Ensuite on double le prix (x2=12) et on
applique la même variation de la publicité. Résulte une deuxième courbe du profit (Profit12)
Analyse:
max −min
y =min − a0a1 x 1a2 x 2a3 x 1 x 2
(23)
1e
Exemple :
Modèle d'interaction additif avec transformation logistique [ 2.34]
max−min
y =min a1 a2 ak (24)
1e −a x x ... x
0 1 2 k
Exemple
Modèle d'interaction multiplicatif avec transformation logistique [ 2.35]
Modèles de part de marché
Modèles multiplicatifs
Listing 17
L'attractivité d'une offre est souvent modélisé comme une fonction de réponse multiplicative, ayant
1. x1=seq(0,9,1) comme variable explicatives les caractéristiques de l'offre (xk) qui ont comme exposants des
2. x2=rep(1,10) coefficients bk . Ces coefficients sont les inconnues qui seront trouvé par le processus d'estimation du
3. y=7/(1+exp(-(-3+x1+1.6*x2-0.05*x1*x2))) modèle.
4. df=data.frame(Effort=x1, Ventes.Logit.Lin=y)
5. y=7/(1+exp(-(x1^0.5*x2^-2))) A j =b 0 x b11 x b2 2 ... x bk k (25)
6. df$Ventes.Logit.Mult=y
7. df
La part de marché est le rapport entre l'attractivité de notre offre et la somme des attractivités de toutes Analyses de sensibilité par rapport à « notre » publicité
les offres présentes sur le marché. Dans des situations de "duopole" ou on regarde notre offre par • Modèle de part de marché - Sensibilité à la Publicité 1 [2.43-49.1]
rapport à celle de la concurrence dans son ensemble la formule de calcul de la part de marché est la • Modèle de part de marché - Sensibilité à la Publicité 2 [2.43-49.2]
suivante: • Modèle de part de marché - Sensibilité à la Publicité 3 [2.43-49.3]
nous • Modèle de part de marché - Sensibilité à la Publicité 4 [2.43-49.4]
notre part = (26)
nous eux
Listing 18
En générale on prend en compte de manière explicite plusieurs concurrents ce qui corresponde à des
situation d'oligopole et la formule appliqué est
1. mshare=function(){
Aj 2. # Attractions
S j= J
3. na=1*(b1+(a1-b1)*((x1)^c1/(d1^c1+
(27) (x1)^c1)))^0.6*(a2+b2*(x2)^c2)^0.4
∑ Aj 4. ca=1*(b4+(a4-b4)*((+1*x4)^c4/(d4^c4+
(+1*x4)^c4)))^0.6*(a5+b5*(x5)^c5)^0.4
j =1
5. # Part de marché
6. nms=na/(na+ca)
ou 7. return(nms)
8. }
K 9.
10. # attribuer valeurs aux coefs
A j =e
b0
∏ X bj k ε j k
(28) 11.
12.
a1=2; b1=0.5; c1=2; d1=7
a2=0; b2=3; c2=-1.5; d2=0
k =1
13. a4=2; b4=0.5; c4=2 ; d4=7
ou j = 1 à J le nombre de marques sur le marché 14. a5=0; b5=3; c5=-1.5; d5=0
15.
16. # Valeurs des variables marketing
17. x1=seq(0,40,1) # notre pub
Particularités du choix spatial 18. # Variables fixes
19. # Notre Prix; Leur pub ; Leur Prix
20. x2=rep(2,41); x4=rep(3,41) ; x5=rep(2,41)
Quand le choix est spatial, chaque situation de choix se caractérise par un positionnement dans 21. df=data.frame(Notre.Pub=x1, Part1=mshare())
l'espace définie par des coordonnées horizontales (x) et verticales (y). 22.
L'attractivité vue d'une situation de choix i dépend aussi de la distance entre le positionnement spatial 23. # Leur pub (+)
de la situation de choix i et celui du point d'offre (alternative de choix) j. 24. x4=rep(6,41)
25. df$Part2=mshare()
La formule de calcul de l'attractivité devra inclure cette variable supplémentaire qui est la distance 26.
(?.?). 27. # Leur pub (); Leur Prix (-)
b 28. x4=rep(3,41); x5=rep(1.6,41)
A ij = A j d ijd (29) 29. df$Part3=mshare()
La formule de la part de marché sera aussi corrigé pour faire ressortir cette particularité du choix 30.
31. # Notre Prix (-); Leur Prix (-/+))
spatial. 32. x2=rep(1.6,41); x5=rep(2,41)
A ij 33. df$Part4=mshare()
S ij = J
34.
(30) 35. matplot(x1, df[,2:5], pch = 1:4, type = "o", col =
∑ A ij 1:4,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits"
36. legend(min(x), max(df[,2:5]),names(df)[2:5], lwd=3, col=1:4,
j =1 pch=1:4)
ou
K
A ij =e
b0
∏ X bijk ε j k
(31)
k =1
Listing 19
1. # mshare() necessaire
2.
3. # attribuer valeurs aux coefs
4. a1=2; b1=0.5; c1=2; d1=7 # Pub Adbudg
5. a2=0; b2=3; c2=-1.5; d2=0 # Prix Fracroot
6. a4=2; b4=0.5; c4=2 ; d4=7 # Pub Adbudg
7. a5=0; b5=3; c5=-1.5; d5=0 # Prix Fracroot
8.
9. # Valeurs des variables marketing
Recherche du budget de publicité qui assure un profit optimum quand notre prix et celui de la
10. x2=seq(1,6,1) # notre prix concurrence = 2 et la publicité du concurrent = 2.
11. # Variables fixes
12. # Notre Prix; Leur pub ; Leur Prix
Sensibilité du profit par rapport au prix quand la publicité = 7 elle met en evidence un prix optimal de
4.5. Dépenses publicitaires optimales quand on applique le prix optimal (4.5)
K
b0
A ij =e ∏ X ijkb ε j k
(32)
k=1
A ij
S ij = J
(33)
∑ A ij
j =1
la forme linéarisé du modèle de part de marché (Si) est:
K
S ij X
log =a*i ∑ b k log kij ε *i (34)
S i. k=1 X ki.
ou S , X et e sont les moyennes géométriques de Sij, X kij et
*
a =a i a
i (35)
e
e *i =log i (36)
ei.
Figure 27 -
∏
J J
J 1
Xki . = X kij =exp
J
∑ ln X kij (37)
j =1 j=1
Example [2.50.1]
Listing 21
1. dynamic=function(){
2. yct=100*x1^0.5*x2^-2
3. ylt=rep(0,10)
4. ylt[1]=yct[1]
5. for(i in 2:10){
6. ylt[i]=alfa*yct[i]+lambda*ylt[i-1]
7. }
8. return(y)
9. }
10.
11. x1=rep(15,10); x2=rep(6,10)
12. alfa=0.8; lambda=0.2
13. y=dynamic()
14. df=data.frame(Ventes=y, Profit1=(x2-1.5)*y-x1)
15.
16. x1=rep(c(25,5),5)
17. alfa=0.8; lambda=0.2
18. df$Profit2=(x2-1.5)*dynamic()-x1
19.
20. x1=rep(15,10)
21. alfa=0.2; lambda=0.8
22. df$Profit3=(x2-1.5)*dynamic()-x1
23.
24. x1=rep(c(25,5),5)
25. alfa=0.2; lambda=0.8
26. df$Profit4=(x2-1.5)*dynamic()-x1
27.
Modèle de Bass ou modèle de diffusion des nouveaux produit
28. x1=rep(5,10)
29. alfa=0.2;lambda=0.8
30. df$Profit5=(x2-1.5)*dynamic()-x1
31.
Un autre effet dynamique à part celui du retard et de la mémorisation est celui de la diffusion de
32. x1=rep(c(9,1),5) nouveau produits ou des innovation technologique. Le prototype des modèles de diffusion utilisés en
33. alfa=0.2; lambda=0.8 marketing est celui de Bass (19??).
34. df$Profit6=(x2-1.5)*dynamic()-x1 Le modèle de Bass postule que le nombre d'adopteurs d'un nouveau produit dépend à chaque période
35.
36. df
du nombre de clients potentiels n'ayant pas encore acheté le produit. Ce potentiel est stimulé par un
37. matplot(1:10, df[,2:7], pch = 1:6, type = "o", col = facteur externe comme la publicité par exemple et par un facteur interne. Le facteur interne exprime
1:6,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits") l'effet de bouche à oreille qui lui dépend aussi du nombre cumulé d'adopteurs.
38. legend(1, max(df[,2:7]),names(df)[2:7], lwd=3, col=1:6, pch=1:6)
dy t
= aby t N − y t (47)
dt
ou a= facteur externe, b= facteur interne, N= nombre potentiel de clients, y t = nombre total d'adopteurs
jusqu'en période t
Listing 22
Analyse
Les premières quatre lignes de code donnent des valeurs aux variables a, b et initialisent la variable yt
et le vecteur dy à zéro.
Les lignes 5 et 8 renferment une boucle ou i progresse de 1 à 20. Pour chaque i à la ligne 6 la ième
valeur du vecteur dy est le produit de 1000 moins yt et d'une fonction linéaire de sa valeur précédente
yt. yt est la somme cumulée durant i étapes du vecteur dy. La ligne 9 affiche les valeurs du vecteur dy à
la fin du processus (boucle) et la ligne dix représente graphiquement les valeurs de dy qui
Estimation nonlinéaire du modèle de Bass
correspondent à chaque période.
La relation dans la boucle veut dire que dy[i], le nombre d'adopteurs du nouveau produit à la période
i , dépend du nombre de nombre de clients potentiels n'ayant pas encore adopté le produit (1000-yt) De la formulation récursive sous forme d'équation différentielle qu'on retrouve dans l'expression (47)
pondéré par un facteur externe comme l'effet de la publicité (a) et un effet de bouche à oreille (b) qui on peut obtenir par intégration la fonction de diffusion des innovations ayant comme seule variable
lui dépend du nombre de personnes ayant déjà acheté (adopté) yt. explicative le temps (Srinivasan et Mason , 1986)
Comme il s'agit d'une fonction nonlinéaire, pour estimer ces indicateurs qui caractérisent le processus
de diffusion, le recours à une procédure d'estimation nonlinéaire s'impose. Parmi les difficultés que
Listing 23 Analyse:
Exemple
Modèles de réaction au mix marketing • Politique de produit - Modèles de valeur espérée [ 4.1-3]
Présentation
Listing 24
Les sections suivantes s'organisent autour de la notion de mix marketing et focalisent sur chacune des
variables qui composent le mix marketing et présente des modèles qui représentent l'impact de chaque
variable, c'est à dire:
1. # Modèles de valeur espérée
• Modèles de choix de produits 2. K=2 # no critères
• Modèles de prix 3. I=10 # no individus
• Modèles publicitaires 4. # Perception produit echelle 1-7
• Modèles de Promotion de ventes 5. # input (1)
6. x=round(runif(I*K, min=1, max=7))
• Modèles de la Force de ventes 7. dim(x)=c(I,K)
Modèles de choix des caractéristiques des produits 8.
9.
colnames(x)=colnames(x, do.NULL=F, prefix="x")
# Importance des critères par individu
Présentation 10. # input (2)
11. w=round(runif(I*K, min=1, max=5))
12. dim(w)=c(I,K)
On s'intéresse ici aux caractéristiques qui affectent le positionnement perçu des produits. Les limites 13. colnames(w)=colnames(w, do.NULL=F, prefix="w")
cognitives de l'homme font en générale que lors du choix d'un produit un nombre restreint de critères 14. # Scores Individuels proportionnels aux probabilités d`achat
soit réellement pris en compte. 15. s=(x*w)%*%c(1,1)
16. dim(s)=c(I,1)
17. colnames(s)="s"
Modèles de la Valeur Espérée 18. maxprob=0.3
19. p=maxprob/max(s)*s
20. colnames(p)="p"
Les modèles de la valeur espérée sont fondés sur le principe d'accumulation, où "l'utilité" totale est la 21. df=data.frame(cbind(x,w,s,p))
somme des niveaux de perception ( x k i ) de l'objet sur chacun des critères, pondérée par 22. df
23. cat("Ventes")
l'importance ( w ki ) associée à ce niveau de perception par l'interview: 24.
25.
(sum(df[,"p"]))
# Effets de la modification des caractéristiques d`un produit
K 26. # input (3)
s i =∑ k=1 w k i x k i (50) 27. deltax=c(0,2)
28. deltaVentes=sum(((w%*%diag(deltax))%*%c(1,1))%*%(maxprob/maxp))
où si est l'utilité associé au produit par l'individu i
Ces scores d'utilité individuelle si peuvent être transformés en probabilités individuelles d'achat par
simple multiplication avec une constante issue du rapport de la probabilité d'achat maximum et le
Analyse:
pmax
score d'utilité maximum. pi = s . La somme de ces probabilités donne les ventes
max s i Les données d'entrée sont les niveaux de perception des attributs du produit et l'importance accordé à
espérées: ces attributs (critères) par chaque individu.
I Chacun des 10 répondant (r=10) donne une note entre 1 et 7 pour le niveau de perception et une note
y =∑ p i (51) de 1 à 5 pour l'importance qu'ils accordent à chacun des 2 critères (K=2)
i=1
Observations : si , pi sont inconnues d'avance et le Wik et Xik sont des mesures déclaratives ..
Dans la continuité de cette démarche on peut aussi estimer l'effet sur les ventes de changements Exemple:
perçus dans les attributs. Dix répondants évaluent un produit en terme de niveau de perception et d'importance sur deux attributs
Il s'agit d'abord de calculer la différence dans la valeur espéré pour chaque répondant et de transformer comme dans le tableau 6.
les valeurs espérés individuelles en probabilités d'achat comme précédemment:
Les évaluations collectées servent au calcul de la valeur espéré du produit pour chaque répondant et
une probabilité d'achat proportionnelle à cette valeur espérée. La probabilité d'achat du répondant avec Analyse:
la plus grande valeur espérée est maximum et fixée d'avance par jugement d'expert (..).
La somme des probabilités indique les ventes potentielles du produit soit 1,65 produits pour 10 client
ce qui indique que de manière générale 16% des prospects achèteront le produit. Les niveaux de perception des attributs des produits par les répondants sont simulés à la ligne 6 et
utilisés pour calculer des scores de préférence (p i) en utilisant des pondérations d'importance fixés
Régression de la Préférence
d'avance (ligne 12). Pour rendre la relation entre perceptions et scores de préférence moins
déterministe on rajoute un terme d'erreur distribué normalement (ligne 14).
De la collecte des données ainsi simulée (voir Tableau 7) on passe à l'estimation des poids
Dans la régression de préférence ce sont les coefficients d'importance qui sont à estimer à partir des d'importance par régression linéaire (ligne 20 et 21, voir Tableau 8.).
jugements de préférence et des évaluations des attributs des produits recueillis auprès d'un répondant.
Il s'agit d'un modèle linéaire de la forme suivante:
K Tableau 7 - Scores de préférences et perceptions des caracteristique d'un produit
p i =∑ k=1 w k x k i (53)
ScorePref Percp.1 Percp.2
pi = le jugement de préférence du produit pour l'individu i (peut être un score où un classement de Obs.1 6 3 7
préférence) Obs.2 4 4 3
Wk = importance à estimer par le modèle de la caractéristique Xki. Obs.3 8 5 6
Obs.4 5 1 6
x k i = évaluation par l'individu i du produit suivant la caractéristique k. Obs.5 6 3 5
Obs.6 7 4 5
Obs.7 6 2 7
Les coefficients d'importance sont obtenus par régression linéaire à partir des données collectées. Obs.8 7 4 7
Obs.9 5 2 5
Exemple Obs.10 3 1 2
• Politique de produit - Régression de la préférence[4.4]
Estimation par régression de l'importance accordée aux caractéristiques par un même groupe
d'individus
L'analyse Conjointe
K P
Tableau 9 - Analyse conjointe sur 24 concepts de produits
Ordre de préférence en fonction
p ℑ =∑ ∑ λ k p d mkp (54) Plan d'expériences complet
des niveaux des attributs
(a)
k =1 p =1 (b)
ou pim = est la préférence de l'individu i pour le produit m (exprimé sous forme d'un classement ou
scores) a b c ordre a1 a2 b2 b3 b4 c2 c3
λimk = utilité partielle de l'individu i estimé pour le produit m sur la caractéristique k 1 1 1 1 1 17 1 0 0 0 0 0 0
dmkp = variable muette indiquant la présence (d=1) ou l'absence (d=0) du niveau p de la caractéristique 2 1 1 2 2 4 1 0 0 0 0 1 0
3 1 1 3 3 21 1 0 0 0 0 0 1
k dans le produit m 4 1 2 1 4 22 1 0 1 0 0 0 0
Exemple : 5 1 2 2 5 1 1 0 1 0 0 1 0
• Politique de produit - Analyse conjointe [4.5] 6 1 2 3 6 14 1 0 1 0 0 0 1
7 1 3 1 7 6 1 0 0 1 0 0 0
8 1 3 2 8 24 1 0 0 1 0 1 0
Listing 26 9 1 3 3 9 2 1 0 0 1 0 0 1
10 1 4 1 10 16 1 0 0 0 1 0 0
11 1 4 2 11 18 1 0 0 0 1 1 0
12 1 4 3 12 5 1 0 0 0 1 0 1
1. # Plan dexperience complet des niveaux dattributs 13 2 1 1 13 10 0 1 0 0 0 0 0
2. dd = data.frame(a = gl(2,12), b = gl(4,3,24), c=gl(3,1,24)) # 14 2 1 2 14 3 0 1 0 0 0 1 0
balanced 3-way 15 2 1 3 15 12 0 1 0 0 0 0 1
3. dd 16 2 2 1 16 20 0 1 1 0 0 0 0
4. # Modèle de préférence individuelle 17 2 2 2 17 23 0 1 1 0 0 1 0
5. mm=model.matrix(~ 0+ a + b + c, dd) 18 2 2 3 18 15 0 1 1 0 0 0 1
6. pref=order(runif(24)) 19 2 3 1 19 7 0 1 0 1 0 0 0
7. df=data.frame(cbind(pref,mm)) 20 2 3 2 20 13 0 1 0 1 0 1 0
8. colnames(df)=c("ordre", "a1", "a2", "b2", "b3", "b4", "c2", "c3") 21 2 3 3 21 8 0 1 0 1 0 0 1
9. df 22 2 4 1 22 19 0 1 0 0 1 0 0
10. #Utilités partielles 23 2 4 2 23 9 0 1 0 0 1 1 0
11. attach(df) 24 2 4 3 24 11 0 1 0 0 1 0 1
12. conj.lm=lm(df$ordre~ 0 + df$a1+ df$a2 + df$b2 + df$b3 + df$b4 +
df$c2 + df$c3)
13. conj.lm[[1]]
14. # Utilités de concepts (profils) Estimation (ici par régression linéaire) des utilités partielles accordées par l'individu (client) aux
15. u = predict(conj.lm) différents niveaux d'attributs (voir Tableau 10)
16. # u=mm %*% conj.lm[[1]]
17. # parts de marche des concepts
18. ms=u/sum(u)
Tableau 10 - Utilités partielles estimées (ici par régression) des niveaux d'attributs
La ligne 2 génère un plan d'expérience complet qui correspond à toute les combinaisons possibles des
2x4x3 niveaux des trois attributs qui décrivent autant de concepts de produits différents (Tableaux
9.a). Chaque niveau des attributs a, b et c est transformé dans des variables muettes en ligne 5. Tous
les concepts de produits sont classés selon un ordre de préférence (généré de manière aléatoire à la
Listing 27
1. a=35
2. b=-2
3. c=1
1. int K = noindiv; 4. d=-4
2. int[] L ; // AttrLevels[].Count; 5. x=seq(0,5,1)
3. int LM=nolevels ; // // ou i=1, …Lj, et j=1, … M (also 6. y=a*(1/(1+exp(-b-c*x)))+d
4. // primary data input (p. 494 last) 7. profit=0.7*y-x
5. float partworthstab = new float [K] 8. df=data.frame(PerGarantie=x, Ventes=y, Profit=profit)
9. df
10. matplot(x, df[,2:3], pch = 1:2, type = "o", col =
1:2,xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profits")
Utilités partielles individuelles 11. legend(1, max(df[,2:3]),names(df)[2:3], lwd=3, col=1:2, pch=1:2)
Un profil (concept) s est défini par ses niveaux d’attributs (un vecteur des niveaux d’attributs is avec
(i1s, … iMs) Analyse
La part de marché d’un profile par rapport à d’autres profils présents dans le plan d’expériences
présenté à l’individu k sera alors :
Le même raisonnement s’applique au niveau du marché quand plusieurs individus appartiennent à des
segments caractérisés par des utilités partielles données. Les parts de marché π k,s calculées au niveau
individuel (et cette fois par rapport à des profils de produits existant sur le marché) peuvent alors être
pondérées en utilisant , ou W(k) est le poids des individus appartenant à la catégorie de structure
préférentielle k, ( W(k) >=0 ; =1). On obtient ainsi la part de marché d’un profil par rapport
Segments de marché
Le système de pondérations peut continuer pour inclure des critères de segmentation démographique
qui se superposeraient à la segmentation par la structure préférentielle.
Analyse:
Modèles de Prix
Le modèle Classique
Fonction linéaire
• Modèle de demande à élasticité de prix constante[4.13-14]
y =a−bP (55)
Fonction de Demande à élasticité constante de Prix
Listing 30
y =aP b (56)
Exemples
• Modèle de demande linéaire par rapport au prix[4.10-11] 1. x=seq(1,10,1)
2. y=90*x^-1.5
3. profit=y*(x-1.5)
Listing 29 4. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y, Profit=profit)
5. df
6. matplot(x, df, pch = 1:2, type = "o", col =
rainbow(2),xlab="Valeurs de x", ylab="Ventes et/ou Profit")
1. x=seq(0,10,1)
7. legend(1, max(df[,2:3]),names(df)[2:3], lwd=3, col=1:2, pch=1:2)
2. y=+30-4*x
3. profit=y*(x-1.5)
4. df=data.frame(Effort=x, Ventes=y, Profit=profit)
5. df
1. # Prix psychologique
2. ptropbas=pnorm(30:130,60,15)
3. ptropcher=pnorm(30:130, 100,15)
4. prixopt=(ptropbas-ptropcher)
5. df=data.frame(TropBas=ptropbas, Optimum=prixopt,
TropCher=ptropcher)
6. matplot(30:130, df, pch = 1:3, type = "o", col = 1:3,xlab="Valeurs
de x", ylab="Ventes et/ou Profits")
7. legend(40, max(df),names(df), lwd=3, col=1:2, pch=1:3)
Analyse:
Le prix psychologique
Gabor et Granger (1966) et Sowter, Gabor et Granger (1971) caractérisent le rapport entre le prix et la
qualité par le concept de limite - une relation connue en littérature économique comme le prix de
réservation.
Un consommateur ayant l'intention d'acheter le produit à deux limites des prix à l'esprit: une limite
supérieur au-dessus de la quelles il trouvera le produit trop cher et une limite inférieure en-dessous de
la quelle il doute de la qualité du produit.
Lilien et Kotler affirment que les sociétés n'excellent pas dans la détermination du prix optimal. Elle
ne tiennent pas suffisamment compte de l'intensité de la demande et de la psychologie du client. Les
prix sont fixés souvent indépendamment de la stratégie de positionnement. Il ne varient suffisamment
pour qu'on puisse enregistrer les différences de réaction en fonction de articles et des segments de
marché.
Listing 32
Listing 33
1. # Effets dynamiques
2. alpha1=0.8
3. lambda=0.2
4. # Modèle pblicitaire 1
5. print("Stratégie de publicité constante")
6. at=rep(1.2,10) # pub constante
7. rat=2.5*(1-exp(-0.25*at))+0.45 # réaction à long terme des ventes
à la pub (index)
8. S0=100 # Ventes initiales
9. et=rep(1,10)
10. for(i in 2:10)
11. et[i]=alpha1*et[i-1]+lambda*rat[i] # indice d`effet de la
publicité
12. St=S0*et # Ventes par periode
13. df=data.frame(Temps=1:10, Ventes=St)
14. # Modèle pblicitaire 2
15. print("Stratégie de publicité par impulsions")
16. at=rep(c(1.4,1),5) # pub par impulsions
17. rat=2.5*(1-exp(-0.25*at))+0.45 # réaction à long terme des ventes
à la pub (index)
18. S0=100 # Ventes initiales
19. et=rep(1,10)
20. for(i in 2:10)
21. et[i]=alpha1*et[i-1]+lambda*rat[i] # indice d`effet de la
publicité La Réaction à la Publicité - État des connaissances
22. St=S0*et # Ventes par periode
23. df$Ventes2=St
24. df Il existe un grand nombre de modèles. La plupart sont linéaires ou multiplicatifs avec des effets
25. matplot(df[,2:3], pch = 1:2, type = "o", col = 1:2,xlab="Valeurs dynamiques estimés avec des données empiriques. Il y à aussi des formes complexes de modèles
de x", ylab="Ventes et/ou Profits" paramètres par des estimations subjectives.
26. legend(1, max(df[,2:3]),names(df)[2:3], lwd=3, col=1:2, pch=1:2)
Listing 34
Analyse:
L'effet sur les ventes dépend du volume du marché (ici 20), de l'impacte de la promotion (une mesure
d'accessibilité à la promotion pour ce qui ne bénéficient pas directement - ici x1^0.3) , le potentiel ou
la fraction du marché qui n'est pas touché par la mesure à l'instant présent - ici (1-x1) et l'ampleur de la
promotion (ou la mesure dans laquelle l'importance de la promotion arrive à tenter l'individu, en
général un courbe en "S" en fonction de la valeur de la promotion - ici une fonction ADBUDG) .
Modèle Promotionnel - niveau de la promotion optimum pour un part de marché donnée [ 4.22-25.2]
Listing 35
Analyse:
Analyse:
xx ..
La figure 39 montre que le nombre de vendeurs optimum dans l'exemple donné est d'environ 12
Le modèle proposé par Lucas, Weinberg et Clowes (1975) exprime les ventes comme une fonction du
potentiel du territoire et la charge de travail estimée. Il utilise à la fois une structure linéaire et log-
linaire.
P b W b1 2
y=ax (71)
x x
Profit=my−Cx (72)
Exemples :
• Modèle de la Force de vente [ 4.27-29]
Analyse:
La figure 40 montre un profit optimum quand l'élasticité au prix dépend du niveau de la publicité et un
profit croissant quand l'élasticité au prix est fixe et correspond à l'élasticité calculé précédemment pour
une publicité optimale de 1.5, ce qui explique que les deux courbes du profit ce croisent à ce niveau de
publicité.
Exemples
• Modèle ou l'élasticité du prix est fonction de l'effort publicitaire [ 5.1-3]
En simplifiant l'état des connaissance actuel en la matière on peut dire qu'un publicité destiné à
différencier nettement un produit peut faire baisser l'élasticité aux prix, et qu'un publicité destiné à
mettre en valeur le rapport qualité/prix peut accroître cette élasticité.
Listing 37
Analyse:
Listing 38
Analyse:
Réaction de la concurrence
Exemples
Figure 42 - Profits quand l'interaction des variables du mix et positive, négative ou • Modèle de concurrence [5.10-12]
zéro
Listing 40
1. # Modèle de Concurrence
2. nx1=seq(6,10.5,0.5)
3. nx2=rep(2,10)
4. nattr=(5*nx1^-2)*(0.3+2*nx2^2/(2^2+nx2^2))
5. cx1=rep(9,10)
6. cx2=rep(2,10)
7. cattr=(5*cx1^-2)*(0.3+2*cx2^2/(2^2+cx2^2))
8. npart1=nattr/(nattr+3*cattr) # notre part - cas de référence
9. npart2=nattr/(nattr+6*cattr) # notre part - marché plus large plus
de concurrents
10. y=1600*(cx1+cx2)^-1.5
11. profit1=npart1*y*(nx1-3)-nx2
12. profit2=npart2*y*(nx1-3)-nx2
13. df=data.frame(Effort=nx1, Part1=npart1, Profit1=profit1,
Part2=npart2, Profit2=profit2)
Analyse:
La figure 43 montre l'évolution de nos profits en fonction du budget de publicité pratiqué dans trois
situation différentes:
1) quand le marché est petit avec seulement 3 concurrents,
2) quand le marché est plus grand avec 6 concurrents (dans les premiers deux cas notre publicité est 2
et égale à celle des concurrents, et le prix des concurrents est 9),
3) quand le marché est grand et les concurrents pratiquent une politique publicitaire agressive par
rapport à nos prix (quand nos prix sont en dessous de 9 ils ajoutent à leur budget de pub un somme
égale à deux fois notre réduction de prix).
Estimer un modèles signifie attribuer des valeurs aux paramètres du modèle. Pour qu'un modèle soit
réaliste et capable d'offrir de l'aide à la décision il doit reposer sur des mesures. Ces mesures s'appuient
sur des données récoltées directement ou indirectement.
On peut distinguer de catégories de méthodes d'estimation des modèles, l'estimation objective et
subjective. L'estimation subjective se distingue par le faite que le données qu'elle utilisent reposent sur
des jugement d'experts.
Estimation objective
Présentation
{ }
nao a 1 Σx 1 a 2 Σx 2 ......... a k Σx k =Σy
Le modèle linéaire a o Σ x 1 a 1 Σ x 1 x 1a 2 Σx 2 x 1.... a k Σx k x 1= Σ yx 1
a 0 Σx 2a 1 Σx 1 x 2 a 2 Σx 2 x 2....a k Σx k x 2 =Σyx 2 (80)
Si la corrélation est linéaire alors
y = ao+ a1x1+ a2x2 + ... + akxk; (74) .. .... ......
exprime de manière matricielle cela correspond à: a o Σx k a 1 Σx 1 x k a 2 Σx 2 x k .... a k Σ x k x k = Σyx k
a 0
n
a
y= 1 x 1 x 2 ... x k ∗ 1 (75) ou ∑ x j=∑ x ij
... i=1
a k
Solution matricielle
Indicateurs statistiques
Variation non expliquée VN = Σ (Y-Yc)2
Variation expliquée VE = Σ (Yc - Y )2
Variation totale a
= + (77) 0
VT = Σ (Y- y= − a1 a2 x
a 3 )2
1e
La MCO
Coefficient de détermination multiple R2 = VE/VT
Coefficient de corrélation multiple R
Disposant de séries de données pour les valeurs de y, x1, x2 etc. on peut calculer les valeurs des Variance expliquée (factorielle) S2F = 1/k*VE
coefficients ao, a1, a2 etc. telle que f(xj) (qu'on va appeler tout simplement f) approxime au mieux la Variance non expliquée (résiduelle) S2R = 1/(n-k-1)*VN
corrélation existante. Autrement dit la moyenne de ses erreurs en valeur absolue doit être minime, ce
Erreur standard de la régression SR
Gary Lilien (1987) Analyse des Décisions Marketing (avec Lotus 1-2-3), Economica,
Adbudg ln((a0-y)/(y-a1))=a2ln(a 3)-a2ln(x) G. Lilien, Ph. Kotler et K. S. Moorthy (1992) "Marketing Models", Prentice Hall, Englewood Cliffs,
a2 New Jersey.
x
y=a1 a 0 – a 1 3a a
J. Eliashberg et G.L. Lilien (Eds.) (1993) Handbooks in Operations Research and Management
a x 2 2
Science, Vol. 5, Marketing, Elsevier Science Publishers BV.
Log-Linéaire ln(y)=ln(a0)+a1ln(x1)+a 2ln(x2)+ ..
y=a0 x 1a x a2 ... x ak
1 2 k
Notes
Notes
Régression non-linéaire
Présentation 1 La plupart des modèles sont adaptés de l'ouvrage de Gary Lilien "Analyse des Décisions Marketing
(avec Lotus 1-2-3)" traduit en français par Pierre Desmet et publié aux éditions Economica en 1987.
Méthode Newton-Gauss 2 Le système S est un langage de très haut niveau et un environnement d'analyse de données et
Méthode du Gradient graphiques. C'est le seul système statistique à avoir reçu le prestigieux Software System Award (1998)
Le gradient de plus grande pente de la Association for Computing Machinery (ACM) qui lui reconnaît le mérite d'avoir « définitivement
Le gradient conjugué changé la manière dans laquelle les gens analysent, visualisent et manipulent les données ».
Méthode Levenberg-Marquard
Méthode Simplex
Les polynômes orthogonaux
Estimation pour variables dépendantes binaires
Estimation Logit
Estimation Probit
Solution d'équation multiples
2SLS
LISREL, PLS