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Conte fantastique L’intersigne - Villiers de l’Isle-Adam

L’intersigne de Villiers de l’Isle-Adam

 1867
 les plus ancien texte en prose des ‚Contes cruels’ de Villiers
 histoire entièrement bretonne
 dédicace à son oncle (breton)
 écrit à la 1ère personne (sauf l’introduction)
 Intersigne = lient entre deux faits distants et simultanés dont l’un se révèle
comme procnostic de l’autre
Ev. Pensé à Balzac „réquistiamaire“ où la mère et le fils meurent en même
temps loin l’un de l’autre
 Le ton est celui de Poe

Résumé:

 Intro: entre amis quelqu’un raconte une histoire


 Un jeune fuit de Paris pour aller voir un ami prêtre (l’abbé) en Bretagne
 spleen à Paris /b révolte de la bourgeoisie
 en arrivant, la maison du prêtre lui donne deux impressions: comme si
c’étaient deux maisons -> hallucination?
 Mots: mystérieux, fantastique, mort, hallucination
 Après le dîner, l’abbé l’ammène à la chambre
 L’abbé change de visage -> le jeune a des frissons -> encore deux
impressions différentes (comme avec la maison)
 qu’est-ce qui est réel?
 difficulté à dormir
 quelqu’un frappe à la porte
- il y a une lumière bizarre
- quelqu’un ouvre la porte lorsqu’il demande qui est là
- il y a l’abbé (on ne voit que les prunelles)
- oiseua passe (hublo = Eule)
- l’abbé lève les bras et veut lui donner un manteau
 le jeune ferme la porte avec violence et ferme à clef -> aucun bruit ne se fait
entendre lorsqu’il ferme la porte
 il se réveille dans le lit. C’était un cauchemar?
 Il se lève
- la lune était comme dans le rêve
- la porte est fermée à clef (ce qu’il n’avait pas fait avant de se mettre à
dormir)
 le lendemain tout va bien
 il veut raconter le rêve bizarre au prêtre, mais une lettre urgente arrive et le
jeune doit partir immédiatement à caus d’un procès
 l’abbé l’accompagne
- il pleut
- la nuit commence à tomber
- le jeune dit à l’abbé de rentrer
- celui-ci lui donne le manteau (on ne voit pas les yeux)
 c’est comme dans le rêve

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Conte fantastique L’intersigne - Villiers de l’Isle-Adam

 le jeune a très peur (il y a encore des oieseaux)


 il fait remmener le manteau par quelqu’un
 il est content de repartir et mécontent d’avoir promis de retourner voir l’abbé
dans quelques semaines
 en rentrant chez lui, il reçoit une lettre
- l’abbé était mort -> il a pris froid
- il était content de mouruir dans ce mantau rapporté par un serviteur
- ce manteau avait été rapporté du pèlegrinage et avait touché le tombeau!

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