Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
COMPRENSIÓN ESCRITA
APELLIDOS:
NOMBRE:
DNI:
GRUPO Y LETRA :
CALIFICACIÓN:
CONSEJERÍA DE EDUCACIÓN, CULTURA Y DEPORTES
PRUEBAS DE CERTIFICACIÓN LINGÜÍSTICA FR_B1_CE_PR_J_2015
TAREA 1
Lisez le texte suivant. Ensuite, lisez les questions à choix multiple de la page suivante et
répondez en indiquant la lettre correspondante dans le tableau en bas de la page.
Attention, la question 0 est un exemple.
Julie, 29 ans, ne pouvait plus se passer de ses écrans. Suite à un problème de santé, forcée de
se déconnecter, elle a analysé son besoin d’être reliée en permanence, ets’est fixé des règles.
« Tweeter dix fois par jour des infos, poster des photos sur Instagram, répondre à un e-mail à 2 heures
du matin, pas une journée ne se passait sans que je sois connectée. Même pendant mon voyage de
noces en Italie ! J’ouvrais mon ordinateur avant de prendre mon petit-déjeuner, je m’endormais avec
mon Smartphone, je surfais des heures sans m’en rendre compte.Week-end ou pas.
À la limite de l’épuisement
C’était pareil pendant le sport. Je pratiquais la marche sportive les yeux rivés sur mon téléphone et les
écouteurs vissés dans les oreilles. Tout avait son importance, tout était urgent. J’aimais cette sensation
de surpuissance, de vivant. Certes, mon travail est d’animer la Toile – je gère de chez moi une
communauté de personnes qui émettent des avis sur des commerces locaux –, mais rien ne
m’obligeait à m’impliquer autant.
Je ne me rendais pas compte que je travaillais en permanence. En février dernier, je suis tombée
malade. J’étais épuisée, le cerveau prêt à exploser, à la limite de la dépression. Je n’avais même plus
l’énergie de contrôler mon image. J’ai compris que ma boulimie virtuelle masquait mon mal-être.
Je me mentais même en diffusant sur les réseaux sociaux l’image d’une Julie pétillante, dynamique,
bien dans sa peau. Mon corps était devenu un accessoire ? Il a parlé pour moi. Mon médecin m’a
prescrit un arrêt maladie. Cette coupure forcée était vertigineuse, étrange, je me sentais en dehors du
monde. Pour la première fois, je me retrouvais seule face à moi-même.
Après avoir lu le texte précédent, cochez l’option convenable (A, B ou C) dans le tableau ci-
dessous. Attention, la question 0 est un exemple.
GRILLE DE RÉPONSES
QUESTION 0 1 2 3 4 5 6 7 8
RÉPONSE A
Puntuación 1: ___ /8
CONSEJERÍA DE EDUCACIÓN, CULTURA Y DEPORTES
PRUEBAS DE CERTIFICACIÓN LINGÜÍSTICA FR_B1_CE_PR_J_2015
TAREA 2
Lisez le texte suivant et, ensuite, lisez les phrases de la page suivante. Finalement cochez les
phrases vraies ou fausses dans le tableau indiqué.
Le premier, le plus ancien, le plus bas aussi, est un pont gothique à deux arches qui date du XIVe. Un
petit bijou ! Certains disent qu’il aurait été construit par les Anglais durant la Guerre de Cent Ans.
Depuis 1934, date de la mise en eau du barrage, ce pont refait surface tous les 40 ans. La dernière
fois que Frédéric Béranger l’a vu, c’était en 1979, il avait alors 10 ans. En ce moment, ce joli pont de
pierres enjambe le cours de la Truyère qui a repris ses droits au fond de la vallée vidée de ses 300
millions de m3 d’eau.
Quant au second pont suspendu, il est situé 37 mètres au-dessus du premier. Il permet de franchir le
lac artificiel du barrage quand celui-ci est plein. Sa construction date des années 30, comme le
barrage.
26 familles vivaient là.
Cet été, Frédéric Béranger qui travaille pour la communauté de communes de Pierrefort-Neuvéglise,
s’est improvisé guide sur les berges du barrage qui ont vu réapparaître des vestiges noyés.
On trouve des vestiges d’anciennes fermes et maisons d’habitations. « Jusqu’à la mise en eau du
barrage, on avait ici une vallée très rurale. Tréboul était un hameau de paysans où les gens élevaient
des moutons et des chèvres, peu de vaches car l’endroit était trop encaissé », explique le guide.
Jusqu’à la Révolution, Tréboul était un haut lieu de passage. Le pont comportait un péage. Au XVIIIe
siècle, le hameau comptait entre 40 et 45 habitants. Avec l’arrivée du barrage, vingt-six personnes ont
dû abandonner leurs maisons et leurs terres moyennant des indemnisations. « Avant de partir, ces
gens ont démonté partiellement leurs habitations, récupérant les toitures, les charpentes, les poutres
qu’ils sciaient au ras des murs », précise Frédéric Béranger. Ils ont rebâti quelque chose de part et
d’autre de la vallée.
Cet été, des mariés ont même choisi ce décor lunaire pour se faire photographier. Le guide a accueilli
800 randonneurs au cours de ses promenades guidées. « On ne s’attendait pas à une telle
fréquentation et c’est sans compter les 9 000 visiteurs qui se sont promenés librement sur le site. »
Parmi ses « curieux », il y avait des descendants des anciens propriétaires de la vallée. « À l’époque,
ils ont vécu l’arrivée du barrage comme un traumatisme et ne voulaient plus en parler », conclut le
guide.
Le barrage de Sarrans sera remis en eau entre le 15 et le 30 octobre. Certains regardent déjà avec
nostalgie ce paysage qui va disparaître pendant encore 40 ans, Frédéric Béranger le premier.
Sophie Vigroux
http://www.ladepeche.fr
CONSEJERÍA DE EDUCACIÓN, CULTURA Y DEPORTES
PRUEBAS DE CERTIFICACIÓN LINGÜÍSTICA FR_B1_CE_PR_J_2015
VRAI OU FAUX ? Après avoir lu le texte précédent, cochez dans le tableau ci-dessous les
phrases vraies ou fausses. Attention, la phrase 0 est un exemple.
GRILLE DE REPONSES
VRAI FAUX
5. Les anciens habitants ont dû quitter leur village sans recevoir rien en échange.
6. Au moment de partir ils n’ont touché à rien, ils ont tout laissé tel quel.
7. Le nombre des visites de ces sites a été bien supérieur à ce qui était prévu.
PUNTUACIÓN
TAREA 1 TAREA 2
TOTAL
/ 16