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ANXIETE ANGOISSE
CONFIANCE EN SOI
MAIGRIR
EMOTIONS
GERER LE PASSE
EJACULATION PRECOSE
TIMIDITE
JOIE DE VIVRE
ATTIRER L’ABONDANCE
DESIR SEXUEL
INTUITION
LACHER PRISE
STRESS
MAL DE DOS
BOOSTER SA MEMOIRE
AUGMENTER VOS PERFORMANCES
ARRETER DE FUMER
CONVERGENCE INSTANTANNEE
ANTI INSOMNIE
CHARISME
MANUPILATION
DEFENSE IMMUNITAIRES
SOMMEIL
DOULEUR CHRONIQUE
EXAMEN
****************************************************************
Anxiété angoisse
https://academiehypnose.com/
Recherche 1 > Origine de lanxiete angoisse
Recherche 2 > Symptomes anxiete
Recherche 3 > Therapie anxiete
http://laurezanellacoaching.fr/dou-viennent-nos-angoisses-et-comment-
sen-liberer/
D’après ce que nous dit Christel Petitcollin dans son livre « Emotions, mode d’emploi », nos
angoisses sont le résultat de toutes les émotions que nous avons refoulées.
Elle nous explique que toutes ces émotions que nous avons enfouies en nous sont stockées
dans une sorte de grand chaudron mental sur lequel vient se poser un gros couvercle qui évite à
ces émotions refoulées de sortir.
Le couvercle en question s’appelle l’angoisse. Christel Petitcollin nous dit alors qu’à chaque fois
que quelqu’un fait une crise d’angoisse, c’est tout simplement parce que l’une des émotions que
cette personne a appris à refouler est en train de remonter et menace de sortir de son
« chaudron » mental.
En tant qu’adultes, nous devenons capables de faire nos propres choix et de sortir de certains
automatismes destructeurs ou en tout cas pesants, mais tant que nous n’avons pas pris
conscience de ce qui se passe en nous, nous ne pouvons que réagir en fonction de ce que nous
avons appris.
Et qu’avons-nous appris justement pendant nos jeunes années ?
Depuis notre plus tendre enfance, on nous a dit (que ce soit de façon directe à travers la parole
ou de façon beaucoup plus subtile) que certaines émotions étaient autorisées et d’autres non.
Globalement, il y a d’ailleurs une ligne de démarcation très nette qui se dessine entre ce qui est
autorisé ou non aux petits garçons, et ce qui est permis ou pas aux petites filles.
Du côté des émotions de base que sont la joie, la colère, la tristesse et la peur, les deux
premières ont tendance à être autorisées aux garçons, alors que les deux dernières sont plutôt
réservées aux filles.
C’est quelque chose qui est profondément imprégné dans l’inconscient collectif et qui peut
surprendre quand on met le doigt dessus, pourtant, il suffit d’examiner quelque peu la chose pour
se rendre compte à quel point la séparation est marquée.
Par exemple, quand une femme se met en colère, on aura tendance à la taxer d’hystérique, à lui
dire que c’est une emm…, à se demander si c’est la pleine lune ou à faire porter le chapeau à
ses hormones, parce que cette colère est en général perçue comme déplacée.
– La honte : On signifie à l’enfant qu’il est ridicule de vivre telle émotion, qu’il devrait avoir honte
de pleurer / d’être en colère / d’avoir peur, etc., et on lui en met une bonne couche pour qu’il
enferme au plus vite cette émotion dérangeante pour l’adulte qui se trouve en face de lui.
– Le déni : On dit cette fois à l’enfant d’arrêter de faire la comédie ou encore qu’il n’a aucune
raison d’avoir peur ou d’être triste. Au lieu d’entendre et de reconnaître le malaise de l’enfant, on
interprète la situation de son point de vue d’adulte et on considère que puisque la situation n’a
rien de problématique pour nous, c’est que l’enfant est en train de faire semblant… C’est une
façon de voir les choses qui peut coûter cher !
– La culpabilisation : L’adulte dit cette fois à l’enfant que ça le rend malade de le voir se mettre
dans tel état, ou alors il lui sort l’éternelle rengaine : « Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu es un
ingrat de te dire malheureux ». L’enfant n’a donc pas le droit d’être malheureux ici et maintenant
par rapport à une situation particulière parce que l’adulte a si bien veillé sur lui par le passé.
– La peur : Ce sont cette fois les menaces qui pleuvent pour couper net l’émotion de l’enfant
dans son élan. « Si tu continues à pleurer, tu seras puni ! » « Tu as intérêt à arrêter sinon je vais
me fâcher »
– Le pansement : « Si tu te calmes, je vais t’acheter telle chose », par exemple. On cherche un
dérivatif qui pourra distraire l’enfant de sa peur, de sa colère ou autre pour l’empêcher de vivre
son émotion.
– Le recadrage : On cherche à donner un sens autre que le sens réel à l’émotion qui est là. « S’il
pleure, c’est parce qu’il doit être fatigué ». Christel Petitcollin nous explique à ce sujet qu’une fois
devenu adulte, un enfant qui aura vécu à répétition ce type de scénario aura tendance à
connaître de brusques baisses d’énergie lorsque l’émotion interdite sera sur le point d’émerger.
S’il vous arrive fréquemment d’avoir des coups de barre que vous ne comprenez pas au courant
Renversons la vapeur
Heureusement, tout ce qui a été fait peut être défait, et la répétition de nouveaux mécanismes
finira par créer de nouveaux automatismes plus sains.
Comment donc sortir de ce piège et vider le contenu de notre « chaudron » mental?
Le premier pas est de prendre conscience de la façon dont on nous a appris à refouler nos
émotions . Si vous vous rendez compte que la façon dont vous gérez vos émotions aujourd’hui
n’est pas quelque chose d’inné, mais plutôt quelque chose pour laquelle vous avez
été conditionnédès votre plus jeune âge, vous vous rendrez compte aussi que tout ce qu’on a
pu vous laisser entendre au sujet des émotions n’était pas nécessairement vrai.
Commencez par identifier toutes les émotions avec lesquelles vous éprouvez des difficultés,
celles qui génèrent un malaise en vous, de la gêne ou de la honte, et demandez-vous quelles
sont vosidées préconçues au sujet de ces émotions. Voyez de quelle façon on vous a présenté
ces émotions durant votre enfance, et voyez de quelle façon votre entourage familial gère lui-
même ces émotions. Ça vous en dira beaucoup sur la source de vos difficultés.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’accuser qui que ce soit, car chacun fait de son mieux en
fonction de ce qu’il a lui-même appris, mais dès lors qu’on perçoit clairement le chemin qui a été
fait pour en arriver là, on peut d’autant plus facilement commencer à démonter les croyances
limitantes en place.
Ensuite, il sera important de commencer à vous autoriser à ressentir ce que vous ressentez, car
oui, il est tout à fait naturel de ressentir de la tristesse, de la colère, de la peur, et bien sûr de la
joie, que vous soyez un homme ou une femme.
Toutes les habitudes néfastes que nous avons pu adopter sans le vouloir peuvent être
démontées et remplacées.
À vous de jouer !
http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_781_anxiete.htm
Sommaire
Les troubles anxieux sont fréquents, ils affecteraient environ chaque année 2 à 8 %
de la population adulte et seraient plus fréquents chez les femmes. L'âge moyen de
survenue des premiers symptômes se situe entre 20 et 30 ans.
L'anxiété peut être normale, voire nécessaire à la vie par sa fonction adaptative, ou au
contraire pathologique et invalidante. Les limites entre la réaction anxieuse normale
qui mobilise le sujet pour affronter une situation difficile et l'anxiété pathologique est
floue.
On considère en général que l'anxiété est normale lorsqu'elle est bien tolérée par le
sujet, qu'il peut la contrôler, qu'il ne la perçoit pas comme une souffrance excessive,
qu'elle n'a pas de retentissement sur sa vie quotidienne et qu'elle est peu somatisée.
L'anxiété normale est l'expérience que chacun de nous a vécue : peur avant un
examen, inquiétude pour la santé d'un parent, réactions anxieuses lors d'accidents, de
catastrophes... L'anxiété est ainsi une émotion utile. C'est une réaction psychologique
au stress. C'est un état qui fait partie de nos réactions d'adaptation aux stimulations
extérieures en nous permettant de mobiliser notre attention, d'élever notre vigilance
dans des situations de nouveauté, de choix, de crise ou de conflit.
L'anxiété est anormale quand :
Elle n'est plus liée à des événements de la vie et qu'elle survient sans raison ;
Elle devient un état permanent ;
Elle perd sa fonction d'aide aux changements de la vie et elle favorise davantage la répétition
ou la limitation des comportements que les possibilités d'adaptation du sujet ;
Elle est une souffrance aboutissant à une demande de soins ;
Elle s'intercale entre des attaques de panique ou elle s'associe à des états névrotiques,
psychotiques ou hypocondriaques ;
Elle se complique d'états dépressifs ou de phénomènes de dépendance
(pharmacologique, alcoolique, toxicomaniaque, relationnelle).
Causes et facteurs de risque de l'anxiété
A côté des troubles névrotiques (anxiété généralisée et trouble panique) dont la cause
réelle est inconnue et fait l'objet de différentes théories, il existe des causes faciles à
reconnaître.
L'anxiété est toujours présente dans les états névrotiques et elle est même l'élément
constitutif de la névrose d'angoisse .
Dans la névrose hypocondriaque, l'anxiété se fixe sur le corps. Ces symptômes
structurés permettent de diminuer la sensation d'angoisse.
Dans la névrose hystérique , l'angoisse est convertie en symptômes physiques
n'ayant pas de support organique. Mais cette conversion est souvent incomplète et
une certaine anxiété persiste en général.
Dans la névrose phobique , l'anxiété est fixée sur des situations précises (foule,
espace fermé ou très largement ouvert, animaux...), et l'angoisse ne se manifeste que
devant ces situations et disparaît en même temps qu'elles.
Dans la névrose obsessionnelle enfin, le sujet lutte contre les pensées qui
l'envahissent et l'anxiété est toujours présente.
L'état de stress post-traumatique ( névrose post-traumatique ) est consécutif à un
événement hors du commun qui provoquerait des symptômes évidents de détresse
chez la plupart des individus. L'événement est perpétuellement revécu sous forme de
souvenirs, de rêves, d'impression qu'il va se reproduire... Le sujet s'efforce d'éviter tout
ce qui lui rappelle l'événement et souffre d'une hypertonie neurovégétative (irritabilité,
hypervigilance, hyperréactivité au stress, difficultés d'endormissement...).
L'anxiété peut aussi être l'un des éléments constitutifs de nombreuses affections :
Maladies psychiatriques : l'anxiété des psychoses est fréquente, souvent majeure et parfois
masquée :schizophrénie, dépression...
Atteintes du système nerveux central : maladie vasculaire ou dégénérative
( Parkinson), épilepsie...
Maladies endocriniennes ou métaboliques : hyper ou hypothyroïdie, hyper
ou hypoparathyroïdie, hypercorticisme, hypoglycémie, phéochromocytome...
Maladies organiques : asthme, angine de poitrine...
Intoxications : corticoïdes, alcool...
Syndromes de sevrage : barbituriques, alcool...
Ménopause ...
Enfin l'anxiété peut être un trait de personnalité simple (personne anxieuse) et donc
soit une disposition permanente, soit un état transitoire survenant dans certaines
circonstances.
L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant. Les soucis quotidiens sont
démesurément grossis. L'anxieux appréhende le pire pour lui et ses proches. Très
dépendant de son entourage, il supporte mal les séparations.
Dans l'intervalle des épisodes d'anxiété aiguë, la plupart des patients ne présentent
aucun trouble. D'autres continuent à ressentir une asthénie, des céphalées ou d'autres
manifestations d'anxiété.
Dans la névrose d'angoisse, l'anxiété est flottante et isolée, pure. Sur ce fond
d'angoisse permanent peuvent survenir des crises aiguës paroxystiques sans cause
déclenchante évidente.
Sommaire
Enfin, une attaque de panique comporte par définition au moins quatre symptômes
anxieux parmi une liste de treize :
Le patient est pâle, couvert de sueurs, agité ou prostré, crispé, tendu, couvert de
sueurs, animé de tremblements. Il peut être figé par l'angoisse ou en proie à une
agitation fébrile. La respiration est rapide, irrégulière. Nausées, vomissements,
diarrhée, douleurs diverses, palpitations, tremblements, impressions de vertiges,
brouillard visuel, réflexes vifs sont fréquents. Le coeur est rapide et les pupilles peuvent
être dilatées.
La crise dure de quelques minutes à quelques heures. Elle cède brusquement avec
une forte envie d'uriner.
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/contents/708-psychotherapie-de-l-anxiete
Thérapie cognitive
Principes
Les thérapies cognitives sont fondées sur la notion de schéma cognitif. Ce sont nos habitudes
mentales, imprimées par l'expérience, inscrites dans la mémoire à long terme du cerveau. Elles
font appel à la mémoire, aux émotions et à l'attention.
Les schémas cognitifs sont automatiques (inconscients) ou contrôlés (concients). Ils influent sur
notre comportement et notre capacité (ou incapacité) d'adaptation individuelle. Un trouble est
fondé sur le déséquilibre du schéma cognitif.
Traitement
Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. Il y a échange entre le thérapeute et le
patient, à partir de la définition du problème (une anxiété généralisée ou une phobiespécifique).
Un programme ou plan de progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape.
Cette thérapie est remboursée dans certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé
par la Sécurité sociale).
Thérapie comportementale
Principes
Les thérapies comportementales sont fondées sur le principe du conditionnement, la réponse
automatique à un stimulus. Le conditionnement peut être répondant (pavlovien) ou opérant
(skinnerien), il aboutit à un renforcement de certaines actions dans certaines situations.
Sommaire
Traitement
Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. En raison du processus d'habituation,
les séances sont assez longues (plus de 45 minutes, temps nécessaire d'exposition). Une fois le
problème identifié (une anxiété généralisée ou une phobie spécifique), un programme ou plan de
progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape. Le patient sera progressivement
exposé à la situation qui provoque angoisse ou panique. Cette thérapie est remboursée dans
certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé par la Sécurité sociale).
Un exemple : l'arachnophobie
Un patient souffre d'arachnophobie (peur panique des araignées) et désireux de dépasser cette
anxiété spécifique. Que se passe-t-il dans une TCC ?
Le thérapeute commence par s'informer du trouble exact : son apparition, son intensité, les
comportements associés.
Concernant les schémas cognitifs, le patient est informé sur les araignées, la toxicité ou la
douleur réelle de leur piqûre, etc. Il est également renseigné sur la capacité à modifier ses
représentations mentales, donc les comportements associés.
https://academiehypnose.com/anxiete-angoisse-quand-tu-nous-tiens/
L’angoisse possède les mêmes caractéristiques que l’anxiété. Mais, tandis que l’anxiété se
manifeste de façon sporadique, l’angoisse, elle, s’inscrit de manière permanente chez l’individu.
TRUCS EXPRESS POUR DIMINUER SON ANXIÉTÉ
1. Observer vos pensées et vos images internes.
2. Vérifier si ces pensées ou images sont conformes à la réalité en semant le doute dans vos
pensées.
3. Transformer ces pensées-catastrophes en hypothèses et non en réalités.
4. Prendre conscience qu’une situation vous dérange.
5. Garder l’ouverture à d’autres possibilités. Prendre contact avec vos ressources intérieures et
extérieures.
6. Cerner ce qui crée cette angoisse et la libérer.
7. Affronter vos problèmes une étape à la fois.
8. Prenez le temps d’examiner les solutions possibles.
9. Abaisser votre « amplificateur interne ».
10. Croire en votre capacité de réagir avant de dépasser le 6/10 sur votre échelle de tolérance.
CERTAINS FACTEURS CONTRIBUENT À L’APPARITION DE L’ANGOISSE
CONFIANCE EN SOI
Recherche 4 >
Sommaire
https://www.prendreconfiance.com/confiance-en-soi-definition-
mecanismes/
Voici une question à laquelle beaucoup aimerait répondre. Et sans doute vous.
Chacun y va de sa petite idée, de son expérience, de son vécu. La confiance
en soi semble être vécue comme un ressenti, un ensemble d’émotions et de
sentiments. Mais elle se traduit concrètement, au quotidien, par nos actions et
nos attitudes.
Autant de questions auxquelles je vais répondre dans les lignes suivantes ...
Définition de la confiance en
soi
Il est difficile de définir précisément ce qu’est la confiance en soi. Il s'agit avant
tout d'une perception que chacun peut ressentir face aux défis et aux imprévus
de son quotidien.
Mais alors ... C’est quoi, avoir confiance en soi ? En fait, ses origines sont
directement liées à celles du manque de confiance.
Des parents qui projettent leurs espoirs et leurs rêves sur leurs
enfants : possibles inhibitions car le poids des souhaits des parents est trop
important, trop lourd.
Des parents qui refusent de voir que leur enfant a des difficultés : cela
risque de le déstabiliser et de le fragiliser. Il faut être attentif aux signes
d’inhibition. Jouer la politique de l’autruche ne les aide pas.
La surprotection : ne pas confronter une personne à la réalité de la vie
pour ne pas qu’il souffre ou qu’il soit déçu, c’est transformer une anxiété en
une peur d’affronter les autres, entraînant une impossibilité à vivre au
quotidien.
L’absence de transmission d’un idéal : si vous n’avez jamais été
encouragé à croire que vous pouviez mener une vie conforme à vos
espérances, vous allez devenir pessimiste et votre confiance en vous va
littéralement chuter.
La dévalorisation et la survalorisation : elles fragilisent car elles ne
permettent pas d’avoir une conscience objective de ses potentialités réelles.
Bien sur, tout ne se joue pas nécessairement dès l’enfance. Et il est possible
que des enfants élevés dans de "bonnes conditions" deviennent des adultes
mal dans leur peau. Et inversement. Néanmoins, l'enfance est très souvent la
source d'un manque de confiance.
Outre les parents, vos proches, vos amis et votre entourage influencent aussi
largement votre confiance de soi en fonction de l’importance que vous leur
accordez.
Mécanismes de la confiance
en soi
Chacun est différent. C’est pourquoi il importe, pour s’assurer que l’on a
confiance en soi, de faire quelques exercices, de faire des expériences, de
découvrir quelles sont ses limites, ses faiblesses, ses atouts pour reconstruire
un regard sain sur soi.
Nous nous accordons tous une certaine valeur en fonction de notre capacité à
réussir ou non dans certains domaines de la vie.
L’estime de soi connaît nécessairement des hauts et des bas selon que l’on
parvienne ou pas à atteindre nos objectifs.
Cette recherche constante de l’estime de soi est une quête périlleuse. Elle se
fonde non seulement de nos échecs ou de nos succès, mais aussi sur les
jugements et les critiques de ceux qui nous entourent et nous sont chers.
Sommaire
Les sentiments les plus communs d’un manque de confiance en soi sont :
A chacun de s’interroger et de déceler ses failles mais aussi ses forces qui,
lorsqu’elles ne sont pas prises en compte, guident nos vies dans un sens
parfois favorable et parfois défavorable.
Conclusion
Plusieurs points important ont été abordés. Ils seront repris et détaillés dans
de prochains articles.
L’essentiel est que cet article vous dresse un tableau global de la confiance en
soi : une définition, son importance, ses mécanismes, ses effets, …
Avec cela, vous pouvez déjà savoir si vous manquez de confiance en vous,
dans quels domaines de votre vie ou certaines situations, imaginer comment
en sortir et créer un premier électrochoc !
Sommaire
https://www.prendreconfiance.com/consequences-manque-confiance-
comment-eviter/
Si la confiance en soi est un sujet qui revient régulièrement, c'est qu'il s'agit
d'un point fondamental de la vie de chacun. En effet, le manque de confiance
en soi a de graves conséquences. Et aussi des symptômes permettant de le
reconnaître. Découvrons tout cela pour mieux comprendre l'importance de
lutter contre son manque de confiance en soi.
Chaque symptôme peut, et doit, être repéré et identifié afin d'être certain de
souffrir d'une carence de confiance de soi.
Vous êtes à une soirée avec un groupe d’amis. Et votre verre tombe par terre
et se brise.
Sans que personne ne vous demande pourquoi, vous vous mettez à partir à la
recherche d’explications ou à vous justifier avec des phrases du genre « oh je
suis si fatigué en ce moment ! », « je n’arrive pas à me concentrer ces temps-
ci », « mais le verre était juste sur le bord de la table ! ».
Alors qu'un simple « J'ai deux mains gauches ou quoi ?! » aurait suffi,
dédramatisé la situation et fait sourire l'assistance.
Vous prenez de la distance avec les autres et du coup, vous vous retrouvez
aussi privé de leur amour ou de leur soutien.
Vous perdez un temps précieux que vous pourriez passer auprès de ceux que
vous aimez et qui vous aiment.
Vous manquez des opportunités alors que la vie vous propose de nombreuses
expériences enrichissantes.
Dès que quelque chose va mal ou ne convient pas à l’image que vous vous
faites, vous commencez par vous blâmer.
C’est une sorte de plaisir sadique que de dire autour de vous que les choses
vont mal dans votre vie.
Vous vous rabaissez
constamment
Voici un signe de manque de confiance en soi évident.
Si vous voulez faire quelque chose, vous vous répétez que vous n’êtes pas
assez doué pour cela, que tout est voué à l’échec.
Sommaire
Les conséquences du
manque de confiance en soi
Avant de s'intéresser aux conséquences du manque de confiance en soi, il est
intéressant, et important, de noter que certains symptômes vus précédemment
sont aussi autant de conséquences du manque de confiance en soi,
Notamment ne pas vivre pas au présent ou vous rabaisser constamment.
Selon vous, pourquoi êtes-vous anxieux face à telle ou telle situation ? Parce
que vous ne pensez pas avoir une solution ou la capacité pour surmonter
ladite situation.
Sommaire
Vous passez à côté de belles
opportunités
Que ce soit au niveau des relations, amoureuses et personnelles, ou des
affaires, quand vous manquez de confiance en soi, vous laissez passer
toutes les belles opportunités qui se présentent à lui.
Pourquoi ?
Parce que vous avez peur de prendre des risques ou d'échouer. Vous vous
dites tout le temps que vous n'y arriverez jamais, que vous n'avez pas
compétences ou les capacités, que telle chose est trop belle pour être
réalisable. Surtout par vous.
Ainsi des opportunités, qui auraient pu contribuer à changer votre vie pour le
meilleur, passent sans que vous n’en profitiez.
Vous n'allez pas vers les autres, vous n'osez prendre la parole, vous ne
saisissez pas les opportunités qui se présentent, vous stagnez et vous vous
contentez de ce que vous êtes et avez.
Vous végétez.
Tout cela parce que vous n'avez pas confiance en vous.
Votre mental et votre corps sont extrêmement liés l'un à l'autre. Si vous
rencontrez ce genre de problème, en développant votre confiance en soi vous
vous rendrez compte que ces douleurs corporelles mystérieuses disparaîtront.
Conclusion
Vous le voyez, les symptômes et les conséquences du manque de
confiance en soi sont variées, désagréables et néfastes.
J'imagine que vous les reconnaissez aisément et que vous comprenez de quoi
je parle. Mais mettre des mots sur des sensations et des émotions, aussi
difficile cela soit-il, est essentiel pour retrouver confiance en soi.
Les 6 clés de la confiance en soi
1) la vie consciente
Respecter les faits, être présent à ce que l’on est en train
d’accomplir, curieux et ouvert à ce qui nous entoure, nous
intéresse, nous touche ou nous enrichit.
2) L’acceptation de soi
3) La responsabilité de soi
4) L’affirmation de soi
Etre authentique dans nos rencontres, refuser de fausser la
réalité de qui nous sommes pour éviter la désapprobation.
6) L’intégrité personnelle
https://www.psy-coach.fr/manque-de-confiance-en-soi/
Des statistiques, certaines disponibles sur le net, ont été publiées par des psychologues.
Elles permettent de comparer l’efficacité des différentes thérapies sur des problématiques
proches. Ces statistiques, corroborées par mon expérience de psy traitant le manque de
confiance en soi, m’invitent à dresser la liste suivante, assez similaire d’ailleurs à celle que
j’ai pu développer pour la timidité.
Thérapie systémique
Hypnothérapie
Gestalt thérapie
Sommaire
PNL
TCC (Thérapies Cognitives et Comportementales)
Combinées, je les utilise dans le cadre de programmes courts strictement adaptées,
elles permettent d’obtenir des résultats notables dans le cadre d’un horizon
thérapeutique relativement bref de cinq à dix séances.
MAIGRIR
https://www.passeportsante.net/fr
https://www.topsante.com
https://www.grazia.fr/beaute/forme-minceur/maigrir-10-raisons-de-
commencer-un-regime-sans-plus-tarder-820158
BEAUTÉ
FORME ET MINCEUR
On est beaucoup à avoir envie de perdre du poids…
Mais pas toutes pour les mêmes raisons ! Avant de vous
lancer dans un régime, demandez-vous si vos intentions
sont bonnes. Voulez-vous maigrir pour votre santé, pour
votre confiance en vous, pour vous améliorer en sport ?
Voici une liste des raisons acceptables de faire régime.
Maigrir pour sa santé
C’est évidemment la raison la plus importante. Vous êtes en
surpoids et votre médecin vous conseille de vous débarrasser de
quelques kilos pour améliorer votre état général ? Dans ce cas,
c’est sérieux : commencez votre régime sans plus tarder.
https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc
=pourquoi-vous-ne-maigrissez-pas
Malgré une bonne hygiène de vie, certaines personnes n’arrivent pas à perdre
du poids. Avant d’effectuer le moindre changement alimentaire, il est important
de trouver la
Sommaire
source de ces livres en trop et ce qui rend la perte difficile. Voici donc 15
raisons qui peuvent expliquer votre difficulté à maigrir.
raisons de manger. Le problème quand on mange sans avoir faim, c’est qu’on ne sait
pas quand s’arrêter. La satiété ou le rassasiement se ressent uniquement quand on
a faim. Pour plusieurs personnes, il faut revenir à la base et écouter ses signaux de
faim et satiété pour mieux gérer son poids.
Tous les lundis, ou après les vacances, vous avez de nouvelles résolutions et
décider de manger « très santé » et en petite quantité toute la semaine. Il se peut
même que vous fassiez fie des sensations de faim. Les weekends venus ou les
vacances, la routine du travail étant terminé, vous vous laissez aller et mangez ce qui
vous tente sans égard à votre faim et satiété sous prétexte que c’est les vacances
mais aussi et surtout parce qu’il est impossible de supporter des restrictions sévères
trop longtemps. Commencez donc dès maintenant à manger raisonnablement 7 jours
sur 7, sans interdits.
Seule une infime proportion de gens ayant perdu du poids suite à un régime
drastique réussit à conserver cette perte. Les autres regagnent les kilos perdus et
même plus! Puisque la majorité des gens reprennent presque tout le poids perdu, ou
plus de poids après s’être livrés à un régime amaigrissant, la propension de se
tourner vers un nouveau régime est forte. C’est ce qu’on appelle le cycle du yoyo
(perte et reprise de poids répétées). Prenez dès aujourd’hui la décision de cesser de
faire des régimes restrictifs que vous ne pourrez tenir à long terme.
Depuis votre jeunesse, vous avez toujours été sujets à prendre du poids facilement.
Il se peut que votre métabolisme soit plus bas que la moyenne. Dans ces
circonstances, ou bien vous acceptez un surplus de poids et travailler à le maintenir
via une alimentation saine et de l’exercice ou bien vous choisissez de calculer à vie
plus précisément ce que vous mangez afin de parvenir à perdre un peu de poids.
Il semble que la prise de poids due au nombre d’heures passées devant la télé ou
l’ordinateur soit plutôt liée à l’augmentation de la consommation de nourriture qu’à la
diminution de l’activité physique. Pour la télévision, L’augmentation de la
consommation de nourriture serait reliée au nombre de publicités alimentaires qui
sont diffusées. Pour ce qui est du travail à l’ordinateur, il est démontré qu’un travail
mental soutenu engendrerait un stress qui nous pousserait à manger au-delà de
notre faim réelle. Aussi, la fatigue intellectuelle pourrait être interprétée comme une
baisse d’énergie due à la faim et non comme une simple fatigue. Pour toutes ces
raisons, il recommandé de ne pas regarder la télévision plus de 2 heures par jour et
de se questionner avant de se précipiter sur un aliment et d’évaluer si nous avons
davantage besoin d’une pause que de manger.
La collation est souvent suggérée pour mieux gérer son poids. Elle permet d’éviter la
baisse d’énergie entre les repas et d’avoir trop faim au repas suivant. Parfois, l’envie
irrésistible de grignoter provient d’une mauvaise répartition des aliments au cours de
la journée. Il est souvent nécessaire de prendre une collation saine et protéinée (ex.
noix et fruit) au milieu de l’après-midi pour aider à résister à la tentation de grignoter
en soirée. De plus, amener avec soi des collations saines au travail ou dans la
voiture évite de se précipiter sur des aliments non-nutritifs lorsqu’on a faim.
Il n’est pas nécessaire de prendre un gros déjeuner, cela dépend de notre faim, mais
ne pas manger du tout entre le lever et l’heure du lunch affectera notre
consommation de nourriture à la hausse au cours de la journée. De plus, il est
démontré que les gens qui déjeunent comblent mieux leurs besoins nutritionnels
quotidiens. Si vous n’avez pas faim au lever, apportez une collation-déjeuner au
bureau comme un yogourt grec, des céréales muesli et un fruit frais.
12- Vous prenez un médicament qui peut affecter votre métabolisme ou appétit
(Megace, Remeron, Zyprexa, etc.)
Il a été démontré que percevoir l’activité physique comme une corvée augmente
notre consommation de nourriture. Ainsi, après avoir pratiqué un exercice sans
plaisir, nous avons tendance à manger des sucreries, des desserts et des
Ce comportement est amplifié par le fait que nous surestimons souvent la dépense
calorique liée à l’exercice. Plusieurs personnes consomment ainsi plus de calories
après un entraînement qu’ils en ont dépensées. Choisissez donc un type d’activité
physique que vous appréciez ou rendez votre activité physique plaisante, que ce soit
en écoutant de la musique ou votre émission de télé préférée, en ralentissant la
cadence ou tout simplement en la voyant comme une pause relaxante.
14- Vous avez un niveau de stress assez élevé depuis une longue période.
L’exposition au stress amène le corps à fabriquer des glucocorticoïdes, des
hormones qui interviennent dans la libération d’énergie. La libération de ces
hormones augmente le niveau d’insuline dans le sang qui sert à faire pénétrer le
sucre dans les cellules du corps. Ce processus favorise une transformation du sucre
en triglycérides, un type de gras, et ce dernier s’accumule dans l’abdomen. Ainsi,
une exposition répétée au stress combinée à une consommation d’aliments riches en
gras et/ou en sucre peut accroître l’accumulation de gras
Sommaire
abdominal et mener à l’obésité. Explorez les façons de diminuer votre stress afin de
moins stocker les calories.
> https://www.femina.fr/article/regime-10-erreurs-a-eviter-pour-mincir
S’affamer
L’erreur
Beaucoup de femmes pensent qu’on ne mincit qu’en ne se privant énormément, au point
d’avoir le ventre qui gargouille et l’estomac qui se crispe. Elles ont tout faux. Car le
corps, machine parfaitement huilée, s’adapte sans mal à son environnement. Si bien
qu’en ne mangeant pas assez, on le fait passer en mode « réserve ». Résultat, il se met
au met au ralenti et utilise moins d’énergie pour ses dépenses dites « incompressibles
» -ce que l’on appelle le métabolisme de base. En mettant le corps en situation de
manque, on favorise donc le stockage. Une adaptation d’autant plus importante chez la
femme, « qui a la charge de perpétuer l’espèce », et qui doit donc posséder des
réserves importantes.
A faire
Pour mincir, on contrôlera ses apports énergétiques et son alimentation, mais pas au
point d’avoir très faim.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
Se forcer à manger
L’erreur
A force de se plier aux exigences des régimes, on en oublierait presque que le respect
de nos sensations naturelles est le meilleur garant d’un poids stable. S’il est préférable
de manger le matin –pour ne pas grignoter dans la journée- il ne faut, pour autant, pas
se forcer, si l’appétit est vraiment au point mort. Selon la même logique, on ne se forcera
pas, non plus, à manger à heures fixes.
A faire
On se contentera d'écouter son corps et de se nourrir qu’au retour de l’appétit, comme le
préconise la chrononutrition.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
On l’entend partout, ne pas boire assez peut empêcher de mincir et provoquer de
la rétention d’eau. Pour autant, boire trop d’eau peut aussi provoquer des gonflements !
Si l’on boit vraiment trop, les reins seront « désorientés » et stockeront une partie de
cette eau. Une idée reçue veut aussi que l’eau soit un coupe-faim naturel. Si cela est vrai
dans le cas d’une faim psychologique (due à un stress, un moment de déprime…), ce
n’est pas le cas pour la véritable faim, physique. Si le corps a besoin de nutriments, de
protéines ou de lipides, il ne sera pas satisfait par du liquide. « Votre corps est plus
intelligent que l’on ne vous laisse croire. »
A lire, L'eau en questions
A faire
Pour vérifier si notre apport hydrique est satisfaisant, on tiendra compte :
1) du nombre de passages journaliers aux toilettes (4 fois au minimum, 7 fois au
maximum, très rarement la nuit)
2) de la couleur de l’urine (elle doit être jaune clair, ni plus foncée, ni plus claire).
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Les édulcorants reproduiraient –approximativement- le goût du sucre, sans effets
néfastes sur notre silhouette ? Quand une histoire est trop belle, c’est qu’elle n’est pas
réelle. Les papilles ne sachant pas faire la différence entre le vrai sucre et ses doublures
presque dépourvues de calories, elles déclenchent le processus classique d’assimilation
des glucides. Le corps, pour les digérer, sécrète de l’insuline. Insuline qui diminue le taux
de sucre dans le sang. Résultat, on se retrouve « en hypoglycémie faute de sucre », ce
qui incite à manger, parfois de manière compulsive. La stévia blanche –en quelque sorte
un concentré du principe sucrant de la plante originelle, la stévia verte- bien que
naturelle, entraîne donc les mêmes effets. Itou du côté des sodas light.
A faire
Diaboliser le sucre ne finira par créer…qu’une forte envie de sucre. Privilégier le « vrai
Sommaire
sucre » au sucre blanc -donc raffiné- qui a perdu les minéraux, oligo-éléments, vitamines
et fibres naturellement présents dans la canne à sucre. On choisira donc du sucre
intégral (ou sucre complet, rapadura, mascobado ou panela), qui ne contient que 80 %
de saccharose, assimilé plus lentement grâce à sa teneur en fibres. On se méfiera du
sucre roux vendu en supermarché, qui n’est en général que du sucre blanc coloré au
caramel.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Non, les graisses ne font pas grossir…tant qu’on ne les ingère pas en excès et qu’on sait
les différencier. Se priver d’un type d’aliment est le meilleur moyen de se frustrer et donc
de craquer. Il est pourtant naturel d’être attirée par le gras. D’abord parce qu’il a participé
à notre survie pendant des millénaires, en nous permettant de faire des réserves. C’est
pourquoi notre « mémoire ancestrale » est tant attirée par lui. Ensuite, parce que le gras
confère une texture dite « palatable », aux aliments : ils sont « moelleux et agréables en
bouche » -contrairement aux fromages allégés cartonneux.
A faire
Pour s’autoriser le gras, on apprend à connaître la grande famille des lipides sur le bout
des doigts :
1) Les lipides structurent les cellules Chaque cellule –sur les dix mille milliards que
nous possédons- possède une membrane faite de…lipides. Pour que nos cellules soient
en bonne santé, il faut donc ingérer du gras, vital pour notre organisme.
2) Les lipides protègent l’organisme Les lipides sont indispensables au corps pour
fabriquer certaines substances –au doux nom d’eicosanoïdes- qui régulent notamment
l’inflammation, les allergies et l’immunité.
3) Acides gras « cis » ou « trans » Les lipides sont constitués d’acides gras. Parmi
eux, on trouve principalement les saturés (sans propriétés nutritionnelles intéressantes),
et les insaturés. Au sein des insaturés, on trouve les acides gras cis (qui sont la forme
naturelle) et les trans (qui se forment à température élevée lors des transformations
industrielles). On évitera les trans (néfastes pour le système cardio-vasculaire), souvent
présents dans le pain de mie, les viennoiseries, les chips et les plats cuisinés. On les
trouve notamment sous les appellations : matières grasses hydrogénées, margarines
végétales… On privilégiera les insaturés, les monoinsaturés (huile d’olive) et les
polyinsaturés (huile de noix).
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
Ne pas mâcher
L’erreur
Engloutir la nourriture sans la mâcher joue tant sur le transit…que sur la silhouette !
A faire
Bien mastiquer réduit, par essence, les aliments en petits morceaux facilement
digérables (ce qui évite ballonnements et problèmes de digestion). Cela permet aussi de
bien enduire la nourriture de salive, qui détruit certains microbes et permet d’entamer la
digestion. Mais si mâcher permet de bien digérer, cela empêche aussi de trop manger.
Car la mastication permet de manger plus lentement, de déguster, et donc, de mieux
contrôler sa satiété.
A lire, Le régime mastication
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
A faire
Garder en tête qu’aucun aliment ne fait grossir ou maigrir en soi. Seule la quantité
consommée aura un impact sur notre silhouette. On peut grossir en se gavant de salade
et mincir en picorant du saucisson. Il s’agit d’adapter son alimentation à son appétit et à
ses envies (qui varient chaque jour), en écoutant les besoins profonds de notre corps.
On tentera donc de réintroduite les aliments « interdits », en évitant d’aller au-delà de
son rassasiement.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Après une journée de dur labeur, il est très tentant de manger devant un écran de
télévision ou d’ordinateur. Pourtant, ces technologies, en nous captivant, nous «
détournent de nos signaux internes ». Résultat, nous ne mangeons plus en fonction de
notre faim, mais jusqu’à ce que l’assiette soit vide. Il en va de même pour le téléphone,
la lecture d’un magazine...
A lire, Conditionnés pour trop manger
A faire
Celles qui ne peuvent vraiment pas s’empêcher de regarder un écran en se nourrissant
se contenteront de le faire uniquement entre les bouchées, jamais la bouche pleine. Les
autres essaieront de se concentrer pleinement sur leur assiette, en savourant le goût, la
texture et les odeurs de chaque aliment.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Tout le monde n’a pas les yeux verts ou les cheveux bruns. Il en va de même pour la
corpulence. Si l’exercice physique et une alimentation équilibrée permettent de ne pas
être trop enveloppée, la nature, qui aime la diversité, crée des rondes, des minces, des
grosses, des maigres, des petites, des grandes… Chacun tend naturellement vers
son poids de forme, c’est-à-dire celui que l’on pèse lorsqu’on écoute parfaitement ses
sensations alimentaires. Certaines auront des hanches, d’autres des fesses, d’autres
encore pas assez de cuisses…Or, pour être en-dessous de son propre poids de forme, il
faut constamment se priver. Une discipline de fer à laquelle peu de personnes savent se
plier à vie. La majorité d’entre elles seront frustrées, craqueront. Et grossiront.
A faire
Accepter sa corpulence naturelle –même si des ajustements sont possibles. Et ne plus
se peser. Le poids, tout relatif, dépend en effet de l’âge, de la taille, de la masse grasse,
de la masse maigre, de l’eau que l’on a bue ou éliminée… L’étalon ne doit pas être le
poids, mais le volume. Car, hormis votre balance, qui se souciera de savoir que vous
avez pris ou perdu 2 kilos, si cela ne se voit absolument pas ? On choisira donc un
vêtement témoin, qui nous serre un peu, pour juger de des résultats de notre
rééquilibrage alimentaire.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
En mangeant la même chose que son partenaire on pense, à tort que ce même apport
calorique aura un effet identique sur notre silhouette à tous les deux. Malheureusement,
il n’en est rien. Dame nature a doté nos hommes d’hormones qui accentuent la
fabrication du muscle et « diminuent la quantité de cellules adipeuses au niveau des
fesses et des hanches » -bien qu’à un certain âge, ou avec le surpoids, leur bedaine ne
soit pas épargnée par le gras. Au contraire, les hormones féminines stimulent la
production de cellules adipeuses plus grosses, situées sur les fesses et les hanches.
Résultat, la femme stocke…deux fois plus facilement la graisse que l’homme (pour faire
face à une éventuelle grossesse et à l’allaitement). La perte de poids est également plus
difficile, car, toujours selon la même logique, la femme est plus équipée face au manque
et aux périodes de disette.
A faire
Là encore, on essaiera –tant que possible- de ne se concentrer que sur ses propres
sensations. Si on n’a plus faim et que l’on continue de manger inconsciemment parce
que notre homme fait de même, on court à la catastrophe. De même, tant pis si notre
partenaire nous accuse de ne pas être une bonne vivante parce qu’on ne finit pas le
paquet de chips quand lui en a mangé deux. On pense à soi. Et uniquement à soi.
https://www.topsante.com/minceur/regimes-minceur/autres-
regimes/une-nouvelle-therapie-pourrait-aider-a-perdre-du-poids-613585
Sommaire
a été observé après avoir été divisé en deux groupes. Un groupe a suivi un
Résultat au bout d'un an, le groupe ABT a perdu 13.3 % de son poids
groupe a réussi à perdre plus de poids après la fin du régime sur l'année
A S S U ME R S E S C H O I X A L I M E NT A I R E S E T L E M A N Q U E D E
PLAISIR ASSOCIÉ AU RÉGIME
Le secret de l'efficacité de la méthode ABT repose sur plusieurs principes. Il
Sommaire
gestion de ses facultés pour maigrir peut aider à poursuivre les choix
EMOTIONS
https://deman-hypnose.com/
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https://sante.journaldesfemmes.com/psychologie/bien-
etre/conseil/apprenez-a-maitriser-vos-emotions/pourquoi-apprendre-
a-gerer-ses-emotions.shtml
Bon, c'est vrai, vous partez parfois pleurer aux toilettes ou il vous arrive de briser un
ou deux crayons, de rage, de temps en temps... Et alors, pourquoi réfréner ces
pulsions naturelles qui, au fond, semblent vous procurer un certain soulagement, au
moins temporaire ?
Tout simplement parce que ces émotions, poussées à leur paroxysme, peuvent
devenir destructrices. Pour l'esprit comme pour le corps. En laissant les émotions
s'exprimer délibérément, dans toute leur puissance, on ouvre la porte à un cercle
vicieux : sans barrières, elles s'auto-alimentent et peuvent prendre des proportions
non souhaitables.
La colère à son paroxysme est dangereuse dans l'immédiat, car elle peut conduire
à la violence, verbale ou même physique. Une violence qui, même si elle ne nuit
pas nécessairement à autrui, risque de toute façon d'être interprétée très
négativement.
De même, la peur, transformée en terreur, est néfaste, aussi bien
physiquement que psychologiquement. On peut littéralement mourir de peur, pour
peu que l'on ne soit pas dans une excellente condition physique : le cœur, trop
sollicité à cause des palpitations, peut tout simplement lâcher, complètement épuisé.
Au-delà de ces conséquences tout de même rarissimes, l'effroi paralyse souvent, ce
qui n'est pas forcément une bonne idée lorsque l'on se retrouve en situation de
danger. Sans compter qu'à long terme, être "peureux" contribue souvent à miner la
confiance en soi.
Ce n'est pas une surprise, une tristesse "exagérée" est également dangereuse.
Déjà parce qu'elle ternit l'ensemble de la vie de sa victime (ne dit-on pas que
lorsqu'un seul être nous manque, tout est dépeuplé ?). Mais aussi parce que la
tristesse peut engendrer la dépression, qui elle-même constitue un facteur de risque
de suicide. Sans aller aussi loin, une grande tristesse provoque souvent une sorte
d'apathie, un manque de goût pour les choses qui nous plaisaient auparavant, un
manque d'allant.
Avoir la honte de sa vie n'est pas aussi grave, heureusement. D'ailleurs, il paraît
que le ridicule ne tue pas. Mais cela peut tout de même être assez destructeur pour
l 'ego, surtout s'il s'agit d'une sensation persistante. Sans compter que la fébrilité
provoquée par une honte liée à un incident risque de vous faire perdre vos moyens
et là, ce sont les bourdes en série assurées !
https://www.huffingtonpost.fr/dr-travis-bradberry/11-signes-que-vous-
manquez-dintelligence-emotionnelle_a_21893631/
Aujourd'hui, des décennies de recherches désignent l'intelligence émotionnelle comme le facteur critique
différenciant les meilleurs éléments de la majorité. Le lien de causalité est si net que 90% des personnes
les plus performantes ont un quotient émotionnel élevé.
"Bien sûr, l'intelligence émotionnelle est plus rare que l'intelligence classique mais, selon mon
expérience, elle est en fait plus importante pour façonner un leader. On ne peut pas se contenter de
l'ignorer." – Jack Welch
LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ
L'intelligence émotionnelle, c'est ce "petit quelque chose" d'intangible en chacun de nous. Elle affecte notre
manière de nous comporter, de gérer les complexités de la vie sociale et de prendre les décisions
personnelles qui mèneront aux meilleurs résultats.
Malgré la grande importance du QE, son aspect intangible empêche bien souvent de savoir si l'on en à quel
point on en est pourvu et comment l'améliorer dans le cas contraire. Vous pouvez toujours faire un test,
validé scientifiquement, comme celui que je fournis avec le livre Emotional Intelligence 2.0.
Malheureusement, les tests de QE de qualité (scientifiques) ne sont pas gratuits. J'ai donc analysé les
données concernant les sujets testés par TalentSmart – plus d'un million de personnes – afin d'identifier les
comportements caractéristiques d'une faible intelligence émotionnelle. Ce sont ces réactions-là qu'il serait
judicieux d'éliminer.
10. Vous blâmez les autres pour les réactions qu'ils provoquent chez vous
Les émotions sont un processus interne. Il est tentant de pointer du doigt les actions des autres pour
justifier son état émotionnel, mais il vaut mieux en assumer la responsabilité. Personne ne peut vous forcer
à ressentir quoi que ce soit contre votre gré. Croire le contraire ne fera que vous freiner.
Sommaire
dont dépendaient nos habitudes néfastes disparaissent. Vous commencerez vite à faire preuve
d'intelligence émotionnelle en réaction à votre environnement, de manière tout à fait naturelle.
N'hésitez pas à vous exprimer dans un commentaire: je m'enrichis tout autant à votre contact que vous au
mien. Si vous voulez en savoir davantage sur l'intelligence émotionnelle, mon livre Emotional Intelligence
2.0 est un bon point de départ.
https://www.penser-et-agir.fr/gerer-ses-emotions/
Les émotions ne sont pas uniquement des états que nous sommes contraints de subir. Il y a quelques
semaines, je vous ai parlé de l’intelligence émotionnelle et l’un des aspects de celle-ci consiste
prête suffisamment attention et qu’on écoute ce qu’elles ont à nous dire. Par leur manifestation, les
émotions visent avant tout à apporter des informations. Il faut les décoder et s’en servir dans les
Voici quelques étapes à suivre pour mieux utiliser vos émotions et développer vos capacités en la
matière.
propre bien-être.
La toute première étape pour gérer ses émotions consiste à être attentif à son propre état émotionnel.
Plutôt que de subir ses émotions, il est possible d’anticiper les choses en étant davantage conscient
de l’émotion qui naît en soi. Maîtriser ses émotions est donc avant tout un acte d’introspection.
Face à une difficulté ou une situation qui suscite en vous des sentiments, posez-vous les questions
suivantes :
toute urgence alors que vous êtes déjà submergé. Vous êtes obligé de laisser ce que vous êtes en
train de faire, au risque de prendre du retard sur des dossiers importants. Votre responsable ne
Dans ce contexte, que ressentez-vous ? Et avec quelle intensité ? Cela vous met-il en colère, vous
rend-il irritable ?
Dans ce type de situation, vous pourriez fermer les yeux sur ce que vous ressentez… vous dire que le
monde du travail est ainsi fait ! Ou alors, vous pouvez considérer que ce type de demande arrive trop
fréquemment. Du coup, il est difficile de maîtriser ses émotions, puisque l’envie vous vent d’exploser.
TÉLÉCHARGER
Dans le premier cas de figure, vous subissez complètement vos émotions. Le problème risque de
s’accroître sans que vous ne compreniez ce qui se passe. Dans le second cas, vous vous rendez
compte que la situation empire au fil du temps. Vous comprenez exactement ce qui se passe en vous,
et vous pouvez agir. Cette façon de faire aide à mieux contrôler ses émotions, et à prendre la bonne
décision.
Pour contrôler ses émotions, on commence donc toujours par les accepter. Vous êtes furieux,
heureux, frustrée, irritée, ébahie, ou enjouée ? Il faut le reconnaître pour bien agir.
cherchez pas simplement à savoir comment maîtriser ses émotions. Demandez-vous plutôt : Quel
Ces instants d’introspection personnelle permettent de prendre un peu de recul par rapport à
Les émotions négatives sont souvent le signe qu’il vous manque quelque chose d’essentiel dans votre
vie, dans votre environnement ou que vous ne tenez pas compte d’un besoin fondamental.
La prise en compte de ses propres besoins et désirs vous permettra de prendre de bonnes
décisions. Vous percevrez la situation sous un angle nouveau. Vous imaginerez une issue plus
Précisons
vous faites toujours une scène à votre homme quand il rentre après 21 heures. C’est sans doute
parce que vous êtes jalouse. Mais pourquoi l’êtes-vous ? Que révèle cette jalousie ? Serait-ce
parce qu’il a une attitude équivoque envers d’autres femmes ? Est-ce parce que vous manquez de
confiance en vous et avez besoin d’être rassurée ? Ou alors, est-ce parce que vous êtes
possessive ? Celui qui trouve l’origine d’un sentiment récurrent contrôle ses émotions plus
efficacement.
Maîtriser ses émotions est un travail quotidien. En effet, on les ressent tous à différents moments du
jour. Il faut donc s’en servir pour mieux vivre. Lorsqu’une émotion est joyeuse, elle peut vous booster
et favoriser le bien-être. Mais certaines émotions comme la peur, le sentiment d’insécurité ou la colère
Contrôler ses émotions suppose que vous tentiez de résoudre un problème lorsque celle-ci est
passée. Vous savez sans doute que dans la colère, nous disons ou faisons des choses que nous ne
pensons pas. Certaines actions qu’on pose sous le coup de l’émotion peuvent nous porter préjudice.
Alors n’oubliez pas d’utiliser vos émotions intelligemment pour faire la part des choses.
Ceci est valable quelle que soit l’émotion ressentie. Dans un moment de joie euphorique, vous pouvez
faire une promesse que vous regrettez ensuite. Lorsque vous êtes furieux ou jaloux, vous pourriez
Apprenez donc à agir quand vous êtes suffisamment calme. Si vous avez du mal à exploser par
jalousie, prenez des mesures concrètes : sortez prendre de l’air au lieu de vous disputer avec votre
conjoint. Réfléchissez avant de punir votre enfant au lieu de lui lancer des insultes au visage. Utilisez
les astuces qui suivent pour maîtriser ses émotions quand celles-ci vous submergent. N’oubliez pas
qu’en France, la jalousie est une motivation courante à l’origine de nombreux délits.
Sommaire
avons besoin de nous reconstruire affectivement. Pour gérer correctement vos émotions, commencez
par lutter contre ces tendances émotives qui peuvent être destructrices. Il s’agit notamment de :
L’instabilité: les personnes instables passent d’un sentiment extrême à l’autre. Elles alternent des
périodes de déprime et de bonne humeur. Dans ces conditions, elles peuvent faire preuve
d’imprudence au volant, et devenir irascibles et difficiles à vivre. Une instabilité chronique de ce
type est parfois l’indice d’une maladie psychologique plus profonde comme la schizophrénie. Si
vous constatez que votre humeur est très instable, prenez des mesures concrètes pour vous faire
aider. Autrement, vous aurez beaucoup de mal à gérer vos émotions.
L’anxiété: une personne anxieuse s’inquiète de tout, et devient vite une plaie pour ses proches et
ses collègues. J’ai grandi avec une tante qui était si anxieuse qu’elle se rendait dans notre salle
pendant les heures de cours, pour s’assurer que son fils allait bien ! Celui qui n’apprend pas à
réduire son anxiété aura toujours du mal à gérer ses émotions. Les 5 étapes contenues dans cet
article permettent justement de venir à bout de cette tendance maladive !
L’impulsivité : une personne impulsive trahit un manque de patience. En cas de conflit, elle ne
prend donc jamais le temps d’écouter l’autre partie. Une personne aussi réactive conduit de façon
dangereuse, parce qu’elle se laisse dominer par sa colère. Celui qui veut contrôler ses émotions
plus efficacement devrait commencer par être un peu moins impulsif et sanguin.
À vous de jouer !
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager sur vos réseaux sociaux préférés en cliquant sur le
Pour vous, gérer ses émotions est-il quelque chose d’évident ou de totalement inconnu ? Comment
percevez-vous la façon dont vous pouvez utiliser vos émotions pour résoudre des problèmes ou faire
https://deman-hypnose.com/l-hypnose/les-applications/gerer-ses-
emotions/
Hypo- ou hyper-sensible
Face à un évènement soudain et inattendu, il peut arriver de perdre son sang froid ou d’avoir les
nerfs qui lâchent ; c’est naturel et tout à fait compréhensible. Mais quand des émotions intenses
et incontrôlables surgissent de manière intempestive, parfois sans qu’on puisse même en trouver
les causes, c’est fatiguant. Au contraire lorsqu’aucun évènement, aussi dramatique soit-il, ne
provoque la moindre émotion, avoir conscience de ce « décalage » peut faire naître un sentiment
de culpabilité.
Dans certaines situations, avoir un excès d’empathie ou d’apathie peut engendrer des effets
indésirables sur notre moral et nos relations sociales. Gérer ses émotions requière une bonne
maîtrise de soi, qu’il est souvent difficile d’obtenir par le seul effort de la conscience. Pour de
meilleurs résultats, il est utile d’apprendre à canaliser ses émotions au niveau de l’inconscient.
Maîtriser sa colère : quand quelque chose vous irrite, sachez comment le signifier sans
exploser de rage ni vous laisser ronger de l’intérieur.
Gérer son stress : la frontière est ténue entre un stress qui dynamise et un stress qui
épuise. Apprenez à mettre votre stress au service de votre efficacité et à ne plus
mélanger stress du travail et stress de la maison.
Ressentir ses émotions : autorisez-vous à pleurer, à rire, à être déçu, à aimer, à vous
émerveiller,… Soyez en phase avec vous-même et avec les autres.
Prendre du recul : quand une émotion vous saisit, ne vous laissez pas submerger,
libérez le trop-plein et dosez votre émotion à sa juste mesure, en chaque situation.
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GERER LE PASSE
http://www.doctissimo.fr/
http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-
personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Je-vis-dans-le-passe
Pourquoi ?
Feuilleter les albums photo de son enfance, évoquer ses souvenirs de lycée
entre anciens élèves, se rappeler ses amours passées, autant de façons de «
prendre conscience de ce que l’on a été et de ce que l’on est devenu, explique
la psychothérapeute Catherine Aimelet-Périssol (auteur de Comment
apprivoiser son crocodile Robert Laffont 2002). Se référer au passé permet de
se repositionner dans le présent et d’anticiper le futur. »
Quel qu’il soit, heureux ou malheureux, le passé est toujours un espace dans
lequel on se reconnaît, une bulle rassurante. Le risque ? Ne plus pouvoir s’en
détacher. Dès lors, on ampute une part de sa personnalité en restant sur ses
acquis et en ne développant pas son potentiel.
Sommaire
Refuser d’oublier
Bien souvent, rester prisonnier de son passé est la preuve que certaines
choses n’ont pas été réglées, qu’un fort traumatisme n’a pas été "digéré" à
temps. Il nous tire vers l’arrière et nous empêche d’avancer. Si le travail de
deuil est toujours difficile à faire, c’est aussi parce qu’il renvoie à la notion de
"finitude", de révolu et, par extension, à l’idée de notre propre mort. Mais aussi
parce que, dans le cas de la disparition d’un proche, par exemple, on pense
que "faire le deuil" reviendrait à "oublier", ce que l’on se refuse à faire.
Inconsciemment, on s’efforce donc de faire survivre cet autre en restant tourné
vers lui, dans le passé.
Refuser la séparation
Derrière l’incapacité à tourner la page se cache une difficulté à "rompre", à
"partir". Les psychanalystes l’apparentent à l’angoisse infantile de la rupture
avec la mère, premier deuil auquel l’enfant est confronté. Quand ce deuil n’a
pas été correctement assimilé, on cherchera, à travers la régression, à se
replonger dans cette relation fusionnelle, soit parce que l’on a le sentiment
d’en avoir été privé, soit parce que, au contraire, on n’en est jamais sorti.
L’absence, réelle ou symbolique, du père en est souvent la cause.
Témoignage
Annabelle, 40 ans, documentaliste
« A l’âge de 25 ans, j’ai vécu une histoire d’amour, qui s’est soldée par une
rupture brutale après sept ans de vie commune. Je n’avais rien vu venir :
l’homme que j’aimais passionnément est parti du jour au lendemain,
emmenant ses affaires et la plupart des meubles que nous avions choisis
ensemble. Il m’a fallu des années pour m’en sortir. Je ne pensais qu’à lui,
revoyais les moments que nous avions passés ensemble, rêvais de le
rencontrer à nouveau…
Créer
La création artistique permet de s’inscrire dans le temps. L’objet que l’on peint
ou sculpte porte la marque d’un progrès auquel on peut se référer pour
prendre conscience de sa propre évolution. La création est également un
moyen efficace de reprendre confiance en soi : elle nous fait découvrir que l’on
peut produire de la nouveauté.
Se libérer du passé
La nostalgie dépend d’une tendance naturelle à idéaliser le passé. L’endroit,
l’ambiance, les sensations associées au souvenir sont magnifiés. Revisiter les
lieux qui nous hantent peut nous libérer de l’image idyllique que l’on en a
gardée. Dans certains cas, ce sera aussi l’occasion de régler ses comptes
avec d’autres éléments de ce passé et de repartir sur des bases saines.
https://nospensees.fr/ne-lachez-passe-pouvez-saisir-futur/
3 étapes à franchir pour ne plus vivre dans le passé
Lisez la suite de cet article, et vous découvrirez 3 étapes simples qui, si vous
les franchissez, vous permettront de ne plus vivre dans le passé :
Accepter
Le passé ne peut pas changer, contrairement au présent et au futur.
Alors, acceptez ce qui est arrivé et libérez-vous de la culpabilité que
vous portez sur vos épaules et qui vous empêche d’envisager le futur ainsi
que de vivre le moment présent.
L’acceptation est fondamentale si l’on veut affronter les problèmes de front.
Apprendre
Dans la vie, on peut tirer une leçon de chaque expérience passée. On sait
déjà ce qu’on ne doit pas reproduire, et ce que l’on doit éviter.
Si on commet de nouveau la même erreur que dans le passé, il ne
s’agira alors plus d’une erreur, mais d’un choix.
Pardonner
Souvent, on ne parvient pas à pardonner une personne qui nous a fait du
mal ou un ami qui nous a trompé.
Généralement, avec le temps, la rancune finit par s’atténuer et se diluer, car
pardonner, c’est une façon de dépasser cette paix avec nous-même et avec
les autres.
Pardonnez les autres, mais pardonnez-leur vraiment, sans fausseté, et
pardonnez-vous également à vous-même.
Il n’y a que de cette façon que vous vous libérerez des chaînes qui vous
attachent à un passé que vous ne pouvez pas changer.
Saisissez le futur
Octroyez-vous le droit de rêver, respirez un bon coup, pensez à la vie
future que vous aimeriez vivre, et faites votre possible et votre impossible
afin que vous rêves deviennent réalité.
Fixez-vous un objectif, ainsi que les étapes à franchir afin de l’atteindre. A
quoi ressemble la maison où vous aimeriez vivre ? Les lieux que vous
voudriez visiter ? Le travail que vous aimeriez avoir ? Votre
compagnon/compagne idéal(e) ?
Si vous vous posez toutes ces questions et que vous pensez que tout
dépend de la chance ou des autres, vous vous trompez complètement,
car la seule personne capable de réaliser vos rêves, c’est vous-même.
Personne ne viendra sonner à votre porte et vous offrir le travail de vos
rêves, l’homme ou la femme dont vous avez toujours rêvé ne tombera pas
nez à nez avec vous un beau jour, tout comme cette maison au bord de la
mer dont vous rêvez tant n’apparaîtra pas comme par magie.
Sortez et saisissez le futur ! Une fois vos objectifs fixés, pensez à toutes
les étapes à franchir afin de les atteindre, élaborez un calendrier et planifiez
tous les détails.
Chaque période de votre vie contrôle vos progrès et corrige les erreurs
commises. Tenez-compte du fait qu’un objectif doit être clair et concis,
mesurable et réaliste.
« Le futur a beaucoup de noms. Pour les faibles, c’est l’insaisissable. Pour
les téméraires, l’inconnu. Pour les courageux, c’est l’opportunité »
-Victor Hugo-
http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dans_sa_peau/15875-
souvenirs-douloureux.htm
" Il existe un lien entre la mémorisation et les émotions, qu'elles soient agréables ou désagréables" explique Jean-Louis Monestés, docteur
en psychologie et psychothérapeute. D'un point de vue adaptatif, on se souvient d'événements inhabituels associés à un danger, de façon
à être en alerte si une situation analogue se représente, pour ne pas commettre les mêmes erreurs.
A l'inverse, d'autres évènements plus agréables jouent le rôle de renforcement. On se souvient bien des lieux, des personnes, des
situations qui sont associés à un sentiment de bien-être et à une sensation de sécurité. S'en souvenir permet de chercher à les reproduire.
En règle générale, ce qui est de l'ordre du banal ou devenu habituel, suscite peu d'émotions, nous marque moins.
Certaines personnes cultivent une certaine nostalgie : à la clé des regrets, des remords, c'est le temps des "si j'avais su" ou "j'aurais dû",
avec le vain espoir de reconstruire le passé.
D'autres procèdent plutôt par évitement, mobilisant une énergie incroyable pour oublier, comme si ça n'avait pas existé. Ce qui a pour
effet de produire le résultat inverse : plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l'oublier, plus il revient en force malgré
nous. En cherchant à effacer un souvenir, on le renforce. En cherchant à le supprimer, on nourrit le feu.
En ce qui concerne des souvenirs dits "traumatiques" (viols, accident, etc.) il est absolument recommandé de faire appel à un
professionnel. De nouvelles thérapies dites "thérapies de la pleine conscience" et "thérapie d'acceptation et d'engagement" donnent de
bons résultats. Toutefois pour les souvenirs plus anodins, néanmoins capables de parasiter notre vie, voici quelques pistes intéressantes
à suivre.
********************************************************************
https://nospensees.fr/oublier-souvenirs-tristes-negatifs/
« Si vous n’avez pas entre vos mains le pouvoir de changer une situation qui
vous provoque une douleur, vous pourrez toujours choisir l’attitude avec
laquelle vous ferez face à cette souffrance. »
(Viktor Frankl)
Le psychologue argentin Walter Riso suggère dans son livre « Manuel pour
ne pas mourir d’amour » une technique pour oublier un ex, qu’il appelle « La
technique du stop ».
Chaque fois que nous viennent à l’esprit des souvenirs de cette
personne, il faut taper dans nos mains et dire à haute voix: STOP!
Cela nous permettra de faire un arrêt dans nos pensées, qui vont se
désordonner et nous donner alors une pause. Ce n’est pas une technique
infaillible, mais comme le dit Riso, cela soulage.
Enfin, une pratique très utile pour nous détendre et contrôler nos pensées,
nos souvenirs et nos sentiments est le mindfulness.
Le mindfulness peut être défini comme une technique de méditation
qui consiste à placer une pleine conscience dans le moment présent,
sans jugement, avec acceptation et curiosité.
D’autre part, la méditation est un exercice intellectuel qui vise à atteindre un
état de concentration sur une pensée, un objet ou nous-mêmes, à travers la
respiration, par exemple.
La pratique du mindfullness nous montre qu’un plein état d’attention et
de conscience peut nous aider à réduire le stress, à être plus créatifs et à
évaluer les situations avec plus d’objectivité pour mieux profiter de ce que
nous faisons et ainsi entraîner notre résistance face à nos émotions.
Par conséquent, laissez vos mauvais souvenirs derrière vous, suivez le
chemin de votre vie et profitez-en au maximum!
EJACULATION PRECOCE
http://www.durerpluslongtemps.fr
https://nicoleaudette.com/
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http://www.durerpluslongtemps.fr/causes-ejaculation-precoce
https://nicoleaudette.com/therapie-ejaculation-precoce/
Pensons aussi à Viagra, Cialis, Lévitra, qui ne sont nullement appropriés pour traiter
l’éjaculation précoce, mais pour les hommes souffrant d’impuissance. Lorsqu’un
éjaculateur précoce compte sur ces médicaments pour retrouver plus facilement une
autre érection, il ne doit pas oublier que ce sont des dilatateurs de vaisseaux
sanguins. Il n’est peut-être donc pas prudent de les utiliser lorsqu’on est déjà très
puissant.
Et tous les antidépresseurs prescrits par les médecins pour répondre aux
demandes des éjaculateurs précoces. Un article sur ce site parle d’ailleurs des
antidépresseurs utilisés à cet effet. Il est documenté par des professionnels. (Éjaculation
précoce et médication)
La démarche sexocorporelle que je propose, n’a rien à voir avec toutes ces méthodes ou
moyens qui ne tiennent pas compte du plaisir, c’est-à-dire, de l’abandon et de la volupté
partagés que l’on devrait ressentir lorsqu’on fait l’amour. Il semble que la plupart de ces
moyens ne soient basés que sur une performance à réaliser à tout prix, au détriment du
plaisir, c’est-à-dire, quelles que soient les conditions qui les accompagnent ou les effets
négatifs qui en résultent, pourvu que cela dure plus longtemps. Et si « durer » tout en
ayant du plaisir était possible ? C’est l’objectif des habiletés corporelles démontrées
dans cette vidéo, mais sans effets secondaires néfastes, ni moyens artificiels dont
plusieurs deviennent dépendants.
Et si vous cessiez de chercher, de faire des détours qui ne feront que prolonger votre
cauchemars? Et si vous preniez la décision de développer les quelques habiletés
sexocorporelles qui fera toute la différence une fois pour toute pour vous? Qu’avez-vous
à perdre? Je vous garantie que vous avez tout à gagner. Prenez ma parole d’experte
en tant que experte du contrôle éjaculatoire depuis plus de 30 ans. La balle est
maintenant dans votre camp!
J’ai créé cette vidéo pour vous messieurs qui cherchez depuis trop longtemps à savoir
comment parvenir à contrôler votre excitation. Vous ne regretterez pas d’avoir fait ce
choix!
TIMIDITE
Les sites de reference :
Passeportsante.net
Psychologies.com
Doctissimo.com
https://timidite.info/comprendre/origine-de-la-timidite/
inhiber ?
homéopathique…
Dans bien des cas, la timidité n’est pas uniquement le fruit d’un
traumatisme ni la faute d’un parent, mais le résultat
d’un mécanisme psychique qui se construit à petite dose et
insidieusement.
Dans cet extrait, l’expert en neurosciences David Lefrançois
explique de manière éloquente comment 2 ou 3 remarques en
apparence anodines, faites à un enfant, vont le conditionner à
ressentir de l’hésitation, voire de la honte, avant de prendre la
parole.
++++++++
https://www.passeportsante.net/fr/psychologie/Fiche.aspx?doc=timidite
La timidité
La tension et l’anxiété en réponse à l’appréhension d’un résultat potentiellement négatif (échec d’une
prestation orale, jugement négatif lors des nouvelles rencontres) provoquent une augmentation de
l’excitation physiologique (un pouls élevé, des tremblements, une augmentation de la transpiration)
ainsi qu’une nervosité subjective. Les symptômes s’apparentent à ceux de l’anxiété :
Il est étonnant de constater que les individus s’identifient facilement comme étant
timides.Entre 30 et 40 % de la population occidentale se considèrent timides, bien que seulement 24
% d’entre eux sont prêts à demander de l’aide pour cela.
Les timides ont des caractéristiques qui sont bien documentées scientifiquement.
Le timide est doté d’une grande sensibilité à l’évaluation et au jugement par autrui. Cela explique
pourquoi il craint les interactions sociales, qui sont des occasions de se faire évaluer
négativement.
Le timide a une faible estime de soi, ce qui l’amène à entrer dans les situations sociales avec
l'impression qu'il ne parviendra pas à agir de façon appropriée et répondre aux attentes des
autres.
La désapprobation des autres est une expérience très difficile qui renforce la timidité du timide.
Les timides ont tendance à être très préoccupés, obnubilés par leurs pensées : les mauvaises
performances pendant l’interaction, les doutes sur leur capacité à être à la hauteur, l’écart entre
leur performance et ce qu’ils voudraient réellement montrer les obsèdent. Environ 85 % de ceux
qui s’estiment timides avouent s’interroger trop sur eux-mêmes.
Les timides sont des individus très critiques, y compris à l’égard d’eux-mêmes. Ils se fixent des
objectifs très élevés et craignent l’échec plus que tout.
Les timides parlent moins que les autres, ont moins de contact avec les yeux (difficultés à
regarder les autres dans les yeux) et ont plus de gestes nerveux. Ils rencontrent de facto moins de
gens et ont plus de difficultés à se faire des amis. De leurs propres aveux, ils ont des problèmes
de communication.
Les situations difficiles pour un timide
Il amène à subir des échecs sur les plans amoureux, social et professionnel
A être moins aimé par les autres
Entraîne beaucoup de difficultés à communiquer
Conduit le timide à ne pas faire valoir ses droits, ses convictions et ses opinions
Conduit le timide à ne pas chercher à occuper des postes plus élevés au travail
Entraîne des problèmes de contact avec des gens de hiérarchie supérieure
Conduit le timide à ne pas être ambitieux, à être sous-employé et à rester sans succès dans son
emploi
Aboutit à un développement de carrière limité
Les citations inspirantes
« Si vous voulez être beaucoup aimé, beaucoup et souvent, soyez borgne, bossu, boiteux, tout à
votre aise, mais ne soyez pas timide. La timidité est contraire à l'amour et c'est un mal presque
incurable ». Anatole France dans Stendhal (1920)
« La timidité tient plus de l'amour-propre que de la modestie. Le timide connaît son endroit faible et
craint de le laisser apercevoir, un sot n'est jamais timide ». Auguste Guyard dans Quintessences
(1847)
++++++++
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Oser-les-cles-de-la-
confiance-en-soi/On-ne-nait-pas-timide-ou-complexe-on-le-devient
On ne naît pas timide ou
complexé, on le devient
C’est dans notre enfance que se consolide, ou non, notre confiance face à la
vie. L’attitude de nos parents est bien sûr déterminante. En bien ou en mal.
Isabelle Taubes
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La survalorisation
Je n’ose pas m’affirmer ", " je ne sais pas dire non ", " j’ai peur du jugement
des autres ", " je suis timide ", " je perds mes moyens quand je dois parler
en public ", " quand je suis amoureux, j’ai le sentiment de ne pas mériter
d’être aimé en retour ", " j’ai l’impression d’être sans valeur "… Autant de
façons de faire entendre que l’on n’a pas confiance en soi. " En fait,
peut être très à l’aise dans le domaine professionnel et pas du tout dans
relation aux parents qu’ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce
qu’on les aime, qu’on les admire, qu’on les sacralise, qu’ils influent de la
enfants
" C’est fou ce que tu manques de grâce ! " déclare la mère irritée par
futur petit rat de l’Opéra… On le sait depuis Freud, les parents ne peuvent
ils ont échoué, leurs petits réussiront. Mais certains tiennent trop à leur
rêve pour accepter l’enfant tel qu’il est. Et quand ils s’aperçoivent qu’il ne
autrui –, de préférence ceux qui ont été fortement investis par les parents.
pourquoi il n’ose pas s’exprimer à l’oral en classe… " Des parents, déjà
Même s’il n’est pas rare que cet aveuglement signifie, plus tard, pour leur
enfant timoré (et souvent il l’est, parce que trop intimidé par eux) entraîne
complexé, on le devient
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Sommaire
La surprotection
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La surprotection
" Pas question que nous t’offrions une Mobylette, tu pourrais avoir un
accident. " Les parents anxieux ont tendance à surprotéger leurs enfants
Or rien n’est plus contagieux que ce sentiment qui vous envahit sans que
vous puissiez le contrôler. Papa et maman ont peur pour leur enfant, le
commence à craindre lui aussi pour son existence ! Il se met à éviter les
Et perd peu à peu confiance en lui. " De plus, l’anxiété, affect très mobile,
de faire face à l’autorité, observe Gérard Louvain. D’où, plus tard, des
inhibitions et des peurs dans des domaines sans lien apparent avec la
que l’on a. Du coup, devenue adulte, elle s’ennuie à mourir dans son job
mais n’ose pas en changer… " Ce qui nous incite à oser les changements,
des parents qui croyaient en vous, qui vous ont encouragé à écouter vos
désirs. "
La survalorisation
" Ma fille est extraordinaire. Elle est d’une intelligence rare. Et quelle
beauté ! " affirme la mère, tandis que la petite, gênée, ne sait pas où se
autant, car elle ne permet pas d’acquérir une conscience exacte de ses
Nettement plus ravageurs sont les désirs parentaux inconscients, surtout quand ils sont hostiles.
Parce que l’inconscient est justement ce que personne ne peut maîtriser. Or il existe des parents
suffisamment infantiles et névrosés pour voir en leurs rejetons de dangereux rivaux, dont la réussite
leur porterait ombrage. Le psychisme de l’enfant enregistre les vœux de ses parents et, effectivement,
fabrique des symptômes en forme d’empêchement, de blocages, de peurs.
Le rôle des relations parents-enfants dans l’apparition du manque de confiance en soi n’est donc plus
à démontrer. Toutefois, si une enfance peu propice à l’épanouissement est un handicap, elle est
rarement une infirmité définitive. Il reste toujours possible, à l’âge adulte, de reprendre en main les
cartes de son destin.
++++++
Non à la timidité
Surmonter le trac
L'hypnose
+++++++
elle m’aider ?
Sommaire
Les psychotérapeutes qui s’attaquent à la phobie sociale
s’appuieront sur un arsenal de mesures complémentaires :
1. La relaxation
2. La modification des pensées
3. L’apprentissage de la communication
4. L’exposition graduée
Si vous décidez d’entamer un travail pour vous-même, sans
faire appel nécessairement à un professionnel, nous vous
conseillons d’utiliser ces mêmes leviers.
Une thérapie n’est pas forcément individuelle. Les thérapies de
groupe ont un intérêt tout particulier dans les cas de phobies
sociales. Les professionnels qui les ont pratiquées en sont
généralement très satisfaits. Les thérapies de
groupe permettent de :
profiter de regards extérieurs ;
s’encourager mutuellement ;
effectuer des jeux de rôles ;
ne pas éterniser la thérapie (à durée généralement limitée) ;
faire preuve d’empathie ;
réaliser qu’on n’est pas le seul à souffrir du problème ;
imiter ceux qui s’en sortent ;
porter son attention sur l’autre (chose que les timides ont du
mal à faire naturellement).
D’autres thérapies existent, dont les variantes se multiplient :
hypnose, autohypnose, autosuggestion graphique,
visualisations, luminothérapie, psychogénéalogie,
psychochirurgie,… Autant le dire tout de suite, certaines ont
moins bonne presse. Mais il est bon de se rappeler que la
psychologie ou la neurologie sont des sciences fort récentes,
que leur champ d’exploration est encore infini et que les écrits
du Docteur Freud ne constituent certainement pas un point
d’arrêt.
D’autres approches, comme la sophrologie, s’intéressent
davantage à la dimension corporelle, très présente dans la
timidité. Inspirée des techniques orientales de méditation, du
yoga et de la relaxation occidentale, la sophrologie développe
la conscience de façon à harmoniser le corps et l’esprit, en
chassant peurs, angoisses et tensions, notamment la peur des
autres. Certaines personnes peuvent estimer avoir progressé
sur le plan psychologique mais continuer de sentir tout une
série de bloquages sur le plan physique : les épaules rentrées,
le regard fuyant, les mains qui transpirent, les joues qui
tremblent, la respiration qui s’emballe. La sophrologie peut
aider à prendre conscience de ces bloquages et à les dénouer.
Chers lecteurs, vos témoignages sincères à propos des
bienfaits ou méfaits de l’une ou l’autre forme de thérapie en
matière de phobie sociale nous intéressent. N’hésitez pas
à nous écrire.
+++++++
https://www.vaincre-sa-timidite.fr/timidite-maladive/
Maladive
timidité maladive ?
La Timidité Maladive
C’est ce sentiment de peur qu’elle éprouve à l’égard des autres, en particulier
les personnes inconnues. Une peur qui s’accompagne souvent d’un refus,
inconscient, de s’engager dans des relations avec les autres.
Les adultes qui souffrent de timidité maladive ont alors l’impression qu’ils ne peuvent
rien y faire, l’impression que cette peur est plus forte qu’eux…
Vaincre la timidité maladive revient donc à soigner sa peur de l’autre. Cette peur qui
est une émotion difficilement contrôlable.
Lorsqu’une personne timide déclenche des crises d’angoisses et des attaques de
panique, on dira cette fois qu’elle souffre d’une vraie maladie : la phobie
sociale ou agoraphobie.
En général, le timide est quelqu’un qui manque de confiance en lui. C’est
ce doute de soi et la crainte qui prédomineront à chaque fois qu’il s’agira d’entrer en
relations avec d’autres. Cela se remarque lorsque la personne n’ose pas faire le
premier pas.
Naturellement, à long terme, un individu qui est maladivement timide aura tendance
à éviter les autres et à se replier sur lui-même. Avec un risque de sombrer dans la
déprime ou la dépression.
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maladive ?
être timide ?
JOIE DE VIVRE
https://www.plateforme-bienetre.fr/comment-retrouver-la-joie-de-vivre/
Nous avons tous des baisses de régimes, des baisses de moral. Cela peut-être dû à
des évènements imprévus et plutôt désagréables, à un changement
d’environnement, au manque de nos proches ou encore du changement de lune ou
d’un changement de pression de l’air… Peu importe finalement. Ce qui nous importe
en revanche, c’est de savoir comment retrouver la joie de vivre qui a pu nous
quitter subitement.
Pour cela, il existe des tas de techniques mais il est bon de prendre conscience de
pourquoi la joie de vivre semble nous avoir quitté et comment la retrouver.
Cet article est une participation à l’évènement interbloggueurs A la croisée des blogs.
Ce mois-ci, c’est Brice de Sourire au Stress qui nous propose le sujet de la joie de
vivre. Vous pouvez retrouver son article de lancement ici.
Dans tous les cas, vous allez perdre votre joie de vivre quand vous n’êtes plus dans
le moment présent. Par cela, j’entends que soit vous ressassez le passé, soit
vous vous inquiétez du futur.
Un évènement survient dans votre vie et il réveille alors des douleurs du passé ou
tout simplement des inquiétudes sur comment ca va se passer. Ca peut même
être les 2 en même temps ! Imaginez que votre patron vous donne la responsabilité
d’un projet difficile à finir dans un délai très court. Cela peut réveiller en vous le
dernier échec que vous avez subi sur ce type de mission ainsi que les inquiétudes
que vous avez à pouvoir faire ce travail correctement et à temps. J’ai pris un exemple
professionnel mais cela peut être dans tous les domaines.
Donc d’un point de vue général, c’est un évènement ou une situation particulière et
souvent soudaine qui vient perturber votre joie de vivre.
Votre mission avant tout est d’accepter qu’il y a un blocage en vous. C’est une
excellente chose que vous vous sentiez mal car cela va vous permettre de
vous améliorer.
Si vous étiez au clair avec vous-même à 100% dans votre vie, rien ne vous
atteindrait personnellement sur le long terme. Vous pouvez tout à fait être peiné
ponctuellement par une situation mais vous sauriez aller de l’avant. Si vous ne le
pouvez pas, c’est qu’il y a un loup !
Certains vont me dire « Mais j’ai perdu un être cher ! Ca ne dépend pas de moi. » ou
alors « Ma femme m’a quitté et je n’ai plus goût à rien. ». Encore une fois, vous
pouvez être peiné sur l’instant même. Mais si l’évènement arrive c’est qu’il y a une
raison. Et si vous vous sentez mal ou que vous entrez en dépression, c’est
uniquement votre réaction surdimensionnée à la situation en question qui est
la cause de votre mal-être. Et cette épreuve va vous permettre de vous mettre au
clair avec vous-même et d’avancer plus sereinement dans votre vie.
Vous devez à tout prix reprendre conscience de qui vous êtes vraiment. Vous vous
identifiez peut-être à une personne que vous étiez dans le passé alors que vous
avez changé ! Tout évolue dans le monde en permanence et vous y compris.
Regardez-vous d’un point de vue objectif aujourd’hui. Regardez tous vos points
positifs. Mettez le doigt sur votre vraie valeur et voyez de l’avant. Vous pourrez ainsi
vous désidentifier de situations qui vous maintiennent dans des émotions qui ne vous
conviennent pas.
S’il est une chose universelle, c’est d’aspirer à la joie de vivre. Mais comme la vie ressemble
davantage aux montagnes russes qu’à un long fleuve tranquille, il peut arriver à tout le monde de
perdre le plaisir de vivre et de se laisser aller.
Comment retrouver le moral et la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Découvrez nos conseils pour retrouver le sourire dans l’adversité.
Rendue célèbre par la littérature et la psychologie, l’expression « joie de vivre » a traversé la mer
puisqu’elle est même utilisée par nos voisins anglophones pour désigner un état heureux et une
forme d’exaltation de l’esprit. Pour l’illustre médecin et généticien français Axel Kahn, le bonheur
est une « adéquation entre ce que l’on vit et ce à quoi on aspire ». C’est pourquoi savoir ce que
l’on veut est une condition nécessaire pour trouver la joie de vivre.
Attendre toute la journée que ce soit la soirée, toute la semaine qu’arrive le vendredi et toute
l’année le temps des vacances : c’est le fonctionnement de bon nombre d’entre nous. Nous
vivons ainsi une vie à laquelle nous cherchons à échapper en permanence. Et si nous
apprenions à cueillir le plaisir de vivre ici et maintenant, plutôt que de nous laisser aller à
l’insatisfaction ? Cela passe par une chose simple : désacraliser la joie de vivre. Le bonheur n’est
effectivement pas une quête sacrosainte ; le plaisir de vivre peut se trouver ici et maintenant. Le
sourire d’un inconnu, un fou rire entre amis, un geste d’amour, l’observation d’un animal, une
parole empathique : les petites choses quotidiennes aident à retrouver la joie de vivre.
Comment retrouver la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Écrivez chaque soir trois choses agréables et positives qui vous sont arrivées dans la
journée.D’une part, des études ont démontré qu’écrire contribuait à retrouver la joie de vivre.
D’autre part, se concentrer sur les choses positives déclenche le cercle vertueux suivant : une
pensée positive engendre une émotion positive qui conduit à entreprendre une action positive,
action donnant elle-même naissance à une nouvelle pensée positive, et ainsi de suite.
Pratiquez une activité physique. Si vous avez tendance à vous laisser aller, essayez le sport. Il
permet la libération d’endorphine dans l’organisme. Contraction de « morphine endogène »,
l’endorphine est une substance qui non seulement diminue la douleur, mais apporte également
une sensation de bien-être qui permet de retrouver le sourire et le plaisir de vivre dans
l’adversité. C’est également la substance que notre corps produit après l’orgasme.
Prenez des initiatives altruistes. Qu’il s’agisse simplement d’un geste, comme aider un voisin
ou une voisine à monter ses courses, d’une parole réconfortante ou agréable, comme un
compliment sincère et désintéressé, ou encore d’une action, comme proposer à votre partenaire
ou à une amie de sortir pour fêter un évènement heureux de sa vie, les
initiatives altruistes aident à retrouver le sourire, la joie et le plaisir de vivre. Rendre quelqu’un
heureux rend heureux, c’est aussi simple que cela.
Recentrez-vous sur l’essentiel. Compte Facebook et autres réseaux sociaux, séries télévisées
à n’en plus finir, jeux vidéo, accès facile à l’information en temps réel, contact permanent avec
ses proches via les applications des smartphones : le moins que l’on puisse dire, c’est que le 21e
siècle a son lot de distraction. Si vous avez perdu le plaisir de vivre suite à une dépression et
que vous cherchez comment retrouver le moral, ou que vous vous demandez comment retrouver
la joie de vivre après un deuil ou une rupture, vous recentrer sur vous-même et prendre du recul
face au brouhaha du monde pourrait vous être bénéfique. Vous pouvez par exemple essayer de
faire une journée sans smartphone ou un week-end sans écrans.
Changez votre rapport au temps pour donner priorité à l’essentiel. Combien de fois
entendons-nous ou prononçons-nous la phrase « J’ai pas le temps » ? Autant être clair : c’est
faux. Tout le monde dispose de 24 heures dans une journée. Ce que nous faisons de ce temps
est ensuite une question de choix. Si vous voulez absolument faire une chose, donnez-lui la
priorité sur une autre qui vous prend du temps et est moins essentielle. Sortez des sentiers
battus, aménagez votre temps et votre vie à votre guise car vous avez le temps de vivre vos
passions. Prenez votre courage à deux mains, arrachez-vous aux habitudes et lancez-vous dans
de nouvelles expériences : faites enfin ce que vous avez toujours voulu faire.
Écoutez votre cœur et votre intuition. Votre instinct et vos sentiments constituent votre vérité.
Les refouler, les ignorer ou perdre le contact avec eux ne les élimine pas. Faites de
votre intuition votre alliée ; elle constitue la plus fiable des boussoles pour déterminer ce qui est
bon pour vous et ce qui ne l’est pas.
Vous voulez d’autres conseils sur comment retrouver le moral et la joie de vivre après un deuil,
une dépression ou une rupture ? Vous voulez retrouver le sourire et découvrir ce que l’avenir
vous réserve après un coup dur ? Découvrez notre équipe de médiums et de voyants.
Choisissez le consultant qui vous convient et profitez d’une première consultation gratuite sans
complaisance.
https://nospensees.fr/retrouver-sa-joie-de-vivre/
Il est important de savoir où vous voulez aller. Si tout va mal dans votre
vie, et que vous vous focalisez sur tout en même temps, vous aurez envie de
jeter l’éponge, car vos pensées seront si désordonnées que vous ne serez
pas par où commencer.
De la même façon, quand vous avez beaucoup de taches à accomplir, si
vous commencez à penser à la multitude de choses que vous devez faire,
vous n’aurez plus envie de rien faire. Il faut avancer petit à petit, et ne pas
laisser votre esprit mélanger tous les problèmes.
Pensez seulement à une chose que vous souhaitez. Vouloir trop de
choses à la fois peut faire que votre attention parte dans tous les sens
et qu’au final vous ne parveniez à rien.
Il n’est pas nécessaire de grimper les escaliers deux par deux. Si les choses
vont mal, acceptez la situation, et soyez conscient du fait que les êtres
humains ont un esprit créatif et qu’ils peuvent atteindre leurs objectifs, mais
petit à petit.
Pensez à tous ces aspects qui ne vont pas si bien, et écoutez votre voix
intérieure. À quelle situation avez-vous envie de remédier sur le court
terme ? Qu’est-ce qui vous redonnera le sourire aux lèvres?
La réponse à ces questions se trouve dans votre cœur, et non dans votre
tête. Chaque personne est un monde et les moyens de retrouver la joie de
vivre sont propres à chacun. La priorité de l’une peut être d’avoir de bons
amis avec qui elle peut partager ses passions, alors qu’une autre préférerait
trouver le partenaire idéal, etc…
Écoutez cette petite voix à l’intérieur de vous, et essayez de trouver ce
qui réveillera votre joie. Une fois que vous saurez dans quelle direction
avancer, vous commencerez à sentir la motivation pour obtenir ce que
vous désirez.
Arrêter de se positionner comme victime
Si vous adoptez l’attitude de la victime, si vous pensez que plus rien ne vaut
la peine, que vous n’êtes bon à rien, oubliez dès à présent ce type de
comportement.
Si vous voulez allez de l’avant, le fait de vous placer comme victime ne
vous mènera nulle part. Les personnes qui parviennent à se relever après
être tombées sont celles qui croient en elles.
Action et persévérance
Vous n’obtiendrez rien en restant inactif, c’est pourquoi si vous savez déjà ce
qui vous redonnera le sourire, commencez dès maintenant à penser aux
actions à entreprendre pour y parvenir.
Il n’est pas nécessaire de faire beaucoup si vous êtes vraiment
démotivé, mais si vous faites ne serait-ce qu’un pas, vous verrez que le
reste suivra de lui-même.
Nos exigences sont le plus grand problème qui se pose à l’heure
d’entreprendre n’importe quelle action. Nous voulons tout avoir tout de suite
et sans effort, mais si vous n’y mettez pas du vôtre, vous n’arriverez à rien.
En outre, vous pouvez vous inscrire à de nouvelles activités pour rencontrer
de nouvelles personnes, car le simple fait de vous ouvrir aux autre vous
aidera énormément à sortir de la négativité.
Le bonheur est sur votre chemin
Obtenir ce que nous voulons est important, mais le plus important est de
profiter de l’instant présent, d’autant plus si nous traversons une période
difficile. Si vous empruntez le chemin vers vos rêves, vous verrez que vous
serez de plus en plus motivé.
Profitez de tout ce qui vous entoure, et contentez-vous des choses
simples. Réapprendre à apprécier les petites choses est ce qui aide le
plus à sortir d’un état de pessimisme et de tristesse. En effet, la plupart
des personnes n’apprécient plus ce qu’elles ont, et ne voient plus le grand
pouvoir qui est à leur portée.
Si nous n’avions pas la capacité de penser, il n’y aurait pas de place pour la
tristesse. Notre esprit ne se focaliserait pas sur les problèmes, mais
profiterait du monde qui nous entoure, comme si chaque jour était notre
dernier jour.
Essayez de garder un esprit calme, et de profiter de ce qu’il y a autour de
vous. Tous les chemins sont semés de bonnes choses, mais si vous fermez
les yeux, vous ne les verrez pas.
Continuez d’avancer, et autorisez-vous à ressentir ce que vous
ressentez. De cette façon, vous trouverez de nouvelles choses qui
vous réjouiront et qui réveilleront votre âme.
Remplissez votre vie de musique entraînante
ATTIRER L’ABONDANCE
Recherche 1 > Signes de problèmes financiers
Sommaire
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> https://debtsolutions.bdo.ca/fr/solution-dette/signes-de-probleme-financier/
http://laurezanellacoaching.fr/comment-attirer-labondance-dans-sa-vie/
Je me suis mise dans l’embarras un nombre incalculable de fois, j’ai passé de nombreuses nuits
sans dormir avec la boule au ventre, j’ai dû demander de l’aide à mes parents à un âge où on est
censé pouvoir se débrouiller seul depuis un moment… Bref, ça n’a pas été des plus digeste pour
mon ego.
Mais, ce que je trouve très intéressant aujourd’hui, c’est d’avoir un recul suffisant et de
comprendre concrètement ce qui a fait que j’ai créé dans ma vie tous ces bas et ces hauts aussi,
pour pouvoir orienter à présent ma vie financière en toute conscience.
Ça m’a demandé un peu d’entraînement, mais si j’y suis arrivée, vous pouvez le faire vous
aussi, et je vais vous expliquer aujourd’hui comment.
Alors bien sûr, il y a toute la partie théorie que vous connaissez sûrement si vous me suivez
depuis un petit moment. Il est important de définir clairement ses objectifs, de se libérer de ses
croyances limitantes (entre autres : tu ne mérites pas l’abondance, tu ne vaux rien, etc.) et de
faire en sorte de diriger son attention la majorité du temps vers cette abondance qu’on veut attirer
à soi plutôt que de ne penser qu’aux dépenses, aux difficultés et aux dettes.
Mais ce que je vous dirais aussi, c’est que finalement, la mise en pratique de tout ceci n’a pas à
être compliquée et à représenter un travail de titan. Elle peut aussi être beaucoup plus légère et
naturelle, et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui…
Sommaire
L’intérieur et l’extérieur
Premières difficultés
Je vous propose à présent une petite excursion au sein de mon passé, où nous allons visiter les
résultats obtenus d’un point de vue concret d’un côté, et mon état d’esprit de l’autre …
Je vous invite d’ailleurs pendant ce voyage à ramener tout ceci à vous et à voir où vous-même
en étiez à tel ou tel moment de votre vie, à l’intérieur aussi bien qu’à l’extérieur, sur le plan
concret. Ceci vous permettra de tisser plus clairement le lien qui existe entre ce qui se passe en
vous et ce qui se déroule au-dehors, car une fois cette cohérence clairement perçue, il vous sera
d’autant plus facile d’utiliser ce processus délibérément.
À quel moment ai-je rencontré mes premières difficultés financières ? Eh bien, c’était en 2006,
lorsque j’ai pris mon premier appartement.
Avant de me lancer dans cette nouvelle aventure, j’avais fait mes petits calculs, j’avais de l’argent
de côté et comme j’avais déjà un certain recul sur mon activité professionnelle, je savais que je
pouvais quitter le nid familial tranquillement et que je m’en sortirais sans peine.
Puis arrivée sur place, un premier imprévu est tombé au bout d’un mois, suite à un malentendu
avec mon opérateur téléphonique… Une grosse facture supplémentaire du coup. J’avais
heureusement rentré suffisamment d’argent pour pouvoir couvrir cette facture en plus, donc
jusque-là tout allait bien…
Par contre, j’avais le sentiment d’avoir été dupée par mon opérateur et ça m’avait mise très en
colère… Et devinez ce qui s’est passé ensuite… Eh bien d’autres imprévus ont commencé à
tomber, à répétition. Pas du côté de mon opérateur téléphonique, mais à bien d’autres niveaux.
Je suis donc restée focalisée sur cet imprévu => J’ai attiré à moi d’autres imprévus
Pendant un temps, je réussis malgré tout à gérer la situation et à rester à flots… Jusqu’au jour où
un service de paiement que j’avais testé à l’époque avant d’utiliser Paypal ne ferme boutique en
emmenant avec eux les 1400€ qu’ils devaient encore me régler…
Là, il ne s’agissait plus d’un petit imprévu, mais d’une énorme partie de mes revenus qui
disparaissait d’un coup + un immense sentiment d’injustice parce que j’avais travaillé dur pour
gagner cet argent, je m’étais beaucoup impliquée dans ce que je faisais et ça m’a mis un coup de
massue sur la tête.
Sans que je n’aie rien demandé, mes parents m’ont spontanément donné une bonne partie de la
somme pour me permettre de rebondir, mais intérieurement, j’étais terriblement mal. J’étais
écoeurée de ce qui s’était passé, et ma motivation a en même temps fait une chute libre parce
que je me disais « A quoi bon me donner autant de mal si c’est pour qu’on me vole mon argent
ensuite »
À ce moment-là, mon positionnement intérieur était donc le suivant : Je ne crois pas en moi + Je
me sens démotivée + J’ai peur de ne pas m’en sortir => Et au niveau des résultats, les
déséquilibres s’enchaînaient…
Ensuite, à partir du moment où je me suis mise en couple, j’ai retrouvé mon élan, ma motivation
et mon enthousiasme et j’ai pu lâcher petit à petit mes inquiétudes par rapport à l’argent.
Résultat : L’abondance a commencé à circuler à nouveau dans ma vie et je gagnais toujours
assez pour payer la totalité de mes factures et tout ce qui était nécessaire.
Bascule suivante
Quelques années plus tard, lorsque j’ai divorcé, voilà ma grande copine la peur qui a refait
surface. Même si j’avais eu des résultats financiers réguliers les années passées et que
techniquement j’étais censée bien m’en sortir seule, j’ai commencé à avoir peur de ne pas y
arriver, et qu’est-ce qui s’est passé ?
Les difficultés sont réapparues… Plus ça avançait, plus j’étais stressée, et plus les problèmes et
imprévus en tout genre déboulaient de tous les côtés…
À l’inverse, dès que j’arrivais à m’apaiser, tout se remettait à bouger dans le bon sens.
J’ai aussi remarqué que lorsque certains événements détournaient totalement mes pensées de
l’argent, celui-ci se mettait spontanément à couler à flots. Je l’ai malheureusement constaté lors
de deux décès dans ma famille, mais il a été intéressant de constater que dès que j’arrêtais de
penser à l’argent (et donc de ruminer mes inquiétudes) tout se mettait à bouger quasi
instantanément, et c’en était même impressionnant.
C’était comme appuyer sur un interrupteur… Je mettais celui-ci sur OFF et l’abondance coulait à
nouveau librement vers moi…
Et dès que l’interrupteur à inquiétudes était de nouveau sur ON, les difficultés revenaient.
Trouver l’équilibre
Alors bien sûr, j’ai utilisé toutes sortes d’outils pour travailler sur mes croyances limitantes,
pour reprogrammer mon subconscient également, ce qui m’a permis de faire sauter de gros
verrous de ce côté et de faire passer ma vie financière à un tout autre niveau, mais je vous dirais
aussi que dès lors qu’on perçoit clairement cette bascule qui s’effectue en nous, au niveau de
notre état d’esprit, et qu’on observe les résultats associés, il devient de plus en plus facile d’agir
délibérément pour créer cette bascule et nous permettre de revenir constamment vers le positif.
Ces derniers mois, à chaque fois que je remarquais que j’étais stressée au sujet de l’argent, je
remarquais aussi que le plan concret avait tendance à freiner….
Et à chaque fois que j’ai travaillé sur mon stress, l’abondance s’est à nouveau mise à circuler
librement.
La seule chose que vous ayez à faire au final, c’est d’observer ce qui se passe en vous, de voir si
vous êtes plutôt dans la confiance et la sérénité, ou si c’est de l’inquiétude et du stress qui
occupent l’espace, et si c’est le cas, de faire quelque chose de concret pour vous libérer de ces
sentiments pesants.
Vous pouvez utiliser « Le Travail » de Byron Katie dont je vous ai déjà parlé pour remettre en
question vos pensées stressantes, vous pouvez utiliser la méthode Sédona, commencer à vous
demander quelles seraient les solutions possibles pour vous si vraiment vous deviez rencontrer
de grosses difficultés jusqu’à vous sentir parfaitement en sécurité en sachant que d’une façon ou
d’une autre, vous rebondirez, vous pouvez faire du sport ou tout un tas d’autres choses qui vous
permettront d’évacuer votre stress et de revenir à un état intérieur plus serein…
Il n’y a pas une seule méthode qui est capable de résoudre tous les problèmes de tout le monde,
mais il existe suffisamment de techniques et d’outils pour que chacun puisse trouver ceux qui lui
permettront de trouver la paix en lui et d’avancer comme il le souhaite.
L’abondance est pour vous aussi !
Créer l’abondance dans sa vie n’est pas une sorte de luxe réservé à des élus… L’abondance
est accessible à tous, et sans aucune limite.
Ce qu’il est important de comprendre ici, c’est que la seule chose qui va permettre ou non à
l’abondance de circuler librement vers vous est ce qui se passe EN VOUS.
À chaque fois que j’ai été dans la peur ou les doutes, le « robinet » d’abondance s’est refermé. Et
de la même façon, à chaque fois que j’ai lâché prise, que j’ai décidé de laisser faire et de faire
confiance à la Vie, le « robinet » s’est à nouveau ouvert en grand.
J’ai répété ces scénarios un nombre suffisant de fois pour ne plus pouvoir douter une seule
seconde du lien qui existe entre l’intérieur et l’extérieur, et si vous prenez un peu de temps pour
examiner ce qui se passe en vous et les résultats que vous obtenez, vous en arriverez sans
doute très vite à la même conclusion.
Et ceci est bien évidemment valable dans tous les domaines de la Vie.
Alors peut-être que finalement, on pourrait se mettre un peu moins la pression avec la théorie et
prendre simplement le temps d’observer ce qui se passe en dedans, car c’est de la que tout
part, et c’est en faisant de petits ajustements progressifs de ce côté que toute votre vie pourra
En vous souhaitant à tous une jolie journée, et que l’abondance puisse couler vers vous de façon
illimitée !
Laure
https://www.hypnosecsnm.com/problematiques-traitees/suscitez-
labondance
La réalité dans laquelle nous vivons est créée par nos pensées et nos comportements. Pour amener l’abondance
dans notre vie, il faut amener nos pensées et nos comportements vers une zone de positivisme et laisser aller
nos pensées négatives.
L’abondance peut toucher plusieurs parties de notre vie:
L’abondance sociale
L’abondance financière
L’abondance au niveau du temps
L’abondance dans l’intimité
L’hypnose peut vous aider à vous concentrer et à apprécier ce que vous avez déjà plutôt que ce qu’il vous
manque dans votre vie. En partant de ce point, il sera plus facile de bâtir avec se qu’il fonctionne et de vous fixer
les objectifs que vous désirer atteindre.
Faites travailler votre subconscient à votre avantage. Incluez-y de nouvelles perspectives qui viendront vous aider
à avoir une vie épanouie qui attirera l’abondance.
Vous devez être riche dans votre pensée et dans votre esprit avant de pouvoir accéder à la richesse extérieure.
L’hypnothérapie apprend à ouvrir votre esprit pour saisir toutes les chances qui s’offrent à vous. Vous êtes plus
proches de l’abondance que vous ne le croyez. En étant plus confiant en vous et par votre positiviste, vous
améliorerez vos rapports sociaux avec les autres et ainsi vous vous ouvrirez les portes menant à l’abondance.
Soyez confiant en votre potentiel et changez vos croyances négatives.
Graduellement vous vous mettrez à y croire et à voir les possibilités qui s’offrent à vous. Vous serez plus productif
et efficace à votre travail. Vous verrez les choses de manière différente et vous profiterez de toutes les chances
qui s’offrent à vous. Ne laisser plus rien vous privé de l’abondance dont vous mérité et faite appel à
l’hypnothérapie.
DESIR SEXUEL
https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido
La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Le désir
sexuel peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou
des pensées.
Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-
être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations
intimes.
Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause physique telle que :
Un problème d’ordre sexuel, par exemple de la douleur durant les relations sexuelles
ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
Une maladie. Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple
l’arthrite, le cancer, le diabète, une haute pression sanguine (hypertension), une
dépression ou des maladies neurologiques.
Les effets d’un médicament. Plusieurs médicaments, tels que certains
antidépresseurs (par exemple la paroxetine comme Paxil® ou Pexeva®, et la
fuoxetine comme Prozac® et Sarafem®) diminuent souvent le désir sexuel. D’autres
médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de
cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.
Si vous prenez des médicaments et que vous ressentez une diminution de désir sexuel,
commencez par lire sur votre notice les effets indésirables de votre médicament.
Une chirurgie. Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent
affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
L’alcool ou les drogues. Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la
libido.
La fatigue. L’excès de fatigue causé par exemple par le soin apporté à des parents
âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.
Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause psychologique, telle que :
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https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido-
symptomes
Références
Symptômes de la baisse de désir
Une disparition inexpliquée et prolongée du désir sexuel.
Parfois, une répulsion systématique à l'égard des activités sexuelles. Ce symptôme
se manifeste surtout en cas de blocage psychologique.
Personnes à risque de la baisse de libido
L’âge. La baisse de désir sexuel peut survenir à n'importe quel âge, mais elle se
manifeste plus fréquemment à mesure que l'homme ou la femme vieillit.
Facteurs de risque du manque de désir
Les couples vivant des conflits conjugaux.
Les personnes ne se sentant pas respectées par leur partenaire.
Les personnes souffrant de maladie chronique.
Les personnes ayant des soucis importants (chômage, accident de la vie, maladie
grave d’un proche, décès dans l’entourage…)
Les personnes abusant des images pornographiques.
Prévention de la baisse de désir
Mesures préventives de base
Afin de maintenir le désir sexuel et d’augmenter le plaisir au cours des relations sexuelles
:
Dans quels cas avoir recours à la thérapie sexuelle ? Lorsqu'une personne fait
face à un problème sexuel et décide de se faire aider par un spécialiste, la plupart
du temps, elle ne sait pas où aller, ni à quoi s'attendre de la consultation.
Découvrez l’essentiel sur la thérapie sexuelle.
Qu'est-ce que la thérapie sexuelle ?
Sexe ne veut pas dire uniquement parties intimes, ni pénétration, ni orgasme, bien qu'il
englobe tous ces aspects, et bien plus encore...Nous naissons sexués et nous le
serons jusqu'à la mort, même quand nous ne savons pas où se trouvent nos parties
génitales ou quand nous ne pratiquons pas la pénétration.
La sexologie étudie donc ce vaste concept qu'est la sexualité. Les sexologues ne sont
pas tous psychologues, il y a aussi des médecins, des sociologues, des pédagogues...
Ce sont également des thérapeutes et des éducateurs.
C'est surtout si vous avez besoin d’aide, sexuellement parlant. Chasser les doutes et
les idées reçues sur la sexualité améliore la qualité des rapports sexuels. Mais
attention, les sexologues ne peuvent pas répondre à des questions comme " Comment
réaliser de meilleures pratiques sexuelles ?" ou " Qu'est-ce qui plait à mon
partenaire ?". Chaque personne est un monde, il est impossible de généraliser les
goûts et préférences de chacun et la meilleure façon d'avoir des réponses à ces
questions, reste d'en parler avec son partenaire.
Si votre vie sexuelle a changé et vous ne parvenez pas à vous adapter (par exemple, des
changements provoqués par des troubles physiques comme les changements hormonaux
pendant la ménopause, ou des changements radicaux comme une séparation amoureuse ou
l'arrivée d'un ou plusieurs enfants dans la famille).
Si votre partenaire et vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde côté sexe.
Si vous avez remarqué une baisse notable de votre libido durant les 6 derniers mois ou depuis
moins longtemps et si celle-ci a affecté vos rapports intimes avec votre partenaire.
Si vous avez des difficultés à atteindre l'orgasme seul(e) ou à deux.
Si vous êtes une femme et ne pouvez pas pratiquer la pénétration ou que cela vous fait mal.
Si vous ne prenez pas de plaisir pendant vos rapports.
Si vous n'arrivez pas à avoir d'érection ou la perdez rapidement.
Si vous contrôlez mal votre éjaculation.
Comment savoir si mon problème n'est pas provoqué par une cause
physique ?
Certains problèmes sexuels peuvent être provoqués par des maladies ou des effets
secondaires à des médicaments. Si vous prenez un traitement, il est important de bien
lire la notice pour écarter tout risque. Les contraceptifs hormonaux peuvent par
exemple favoriser la sécheresse vaginale et pourraient avoir une influence sur la
libido.
Comment déterminer si vos problèmes sexuels sont liés à des causes physiques et si
vous devez vous rendre chez le médecin ? Demandez-vous depuis quand vous en
souffrez et si le problème se présente toujours (sans exception).
Si un homme a du mal à maintenir une érection à chaque fois qu'il veut avoir un rapport sexuel,
pour toutes les pratiques censées l'exciter ( sexe oral, masturbation...), aussi bien seul qu'à
deux, il doit aller consulter un médecin car il y a de fortes chances pour que ce soit lié à un
problème physique. Mais pour les exceptions, par exemple, si les troubles de l'érection se
présentent uniquement avec la partenaire et jamais en solitaire ou pendant la pénétration
uniquement et jamais pendant le sexe oral, alors là le problème n’est pas essentiellement
physiologique.
Quant aux problèmes d'éjaculation précoce, certaines maladies comme la prostatite peuvent
rendre difficile la discrimination de sensations et empêcher le contrôle de l'éjaculation. Mais
en général, ce problème est lié à des causes psychologiques comme l'anxiété et la
surexcitation ou à une méconnaissance de sa propre réponse sexuelle.
En cas de douleur pendant la pénétration, il est conseillé d'aller consulter un gynécologue pour
écarter toutes causes physiologiques. Ces causes sont écartées si la femme peut introduire
un sextoy de taille similaire au pénis de son partenaire, sans aucun problème mais qu'elle
souffre de douleurs pendant les rapports. Si le spécialiste ne trouve aucune pathologie, il faut
alors avoir recours à une thérapie sexuelle.
Les problèmes de baisse de désir ou d'absence de désir, hormis ceux liés aux hormones, se
traitent toujours par une thérapie sexuelle.
En quoi consiste une thérapie sexuelle ?
Le travail individuel en dehors des consultations est très important, le sexologue donne
des "devoirs" ou des exercices à faire à la maison seul(e) ou en couple. La personne
qui vient consulter doit avoir une réelle envie de changer la situation actuelle car c'est
elle, avec l'aide et les conseils du thérapeute, qui, pas à pas, améliorera les choses
pour atteindre son objectif.
Le travail éducatif est essentiel, une grande partie des problèmes sexuels sont dus à
une éducation sexuelle insuffisante ou erronée. Il est primordial de chasser de votre
esprit toutes les idées reçues et d'avoir une vision plus large de la sexualité.
Lorsqu'elle aura terminé la thérapie, la personne aura acquis certains réflexes et
mécanismes qui lui permettront d'être capable de travailler seule sa sexualité et de
s'adapter aux éventuels changements dans le cycle vital.
Ecrit par:
Jessica Xavier
https://www.allodocteurs.fr/sexo/pratiques-et-libido/baisse-de-la-libido/sexe-comment-
retrouver-sa-libido_3849.html
Sexe : comment retrouver sa
libido
Comment faire quand on n'a plus envie de faire l'amour, que le désir
n'est plus là ? Que faire quand la libido est au point mort ? Cuisine,
thérapies de couple, secrets de séduction… Quels sont les moyens de
raviver la flamme ?
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 28/04/2011, mis à jour le 29/04/2015 à 16:23
Sexe : comment retrouver sa libido
Sommaire
Notre cerveau est directement relié aux organes sexuels par les différents messages
hormonaux, ce qui influence en partie notre comportement sexuel. Dans les deux
sexes, ce qui est au centre du mécanisme du désir, c'est la testostérone. C'est
l'hormone sexuelle mâle mais qui existe aussi chez la femme. Elle est produite par
les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.
Mais la libido ne dépend pas uniquement des facteurs hormonaux. Les facteurs
psychologiques et environnementaux jouent aussi beaucoup.
Parmi les aliments que nous pouvons consommer au quotidien, certains contiennent
des substances capables d'influer sur notre libido comme le gingembre ou le wasabi.
Voici trois recettes pour réaliser un menu gastronomique (entrée, plat, dessert) pour
deux spécial dîner romantique, tel qu'il pourrait vous être servi dans un restaurant
étoilé.
- Eplucher, laver et tailler les 600 grammes de betteraves avec l'aide d'une
mandoline.
- Laver la roquette, puis tailler le demi citron confit et les 60 grammes d'olives.
- Dresser et enfin assaisonner avec l'huile de gingembre, l'huile d'olive, le piment
d'Espelette, le jus de citron et la sauce soja
Les ateliers culinaires se multiplient ces dernières années. Et parmi eux, des ateliers
de cuisine… aphrodisiaque ! Objectif : casser la routine et pimenter la relation
amoureuse.
Pour rebooster leur libido, certains n'hésitent pas à s'aider de jeux sexy et autres
accessoires coquins... Les "lovestore", version chic et moderne du sexshop, ont
d'ailleurs de plus en plus la cote. Le but de ce type d'enseignes est de proposer aux
clients en mal de libido des produits pour raviver la flamme.
Retrouver les douces sensations des débuts, surprendre, explorer, conquérir… tels
sont les objectifs des jeux et objets érotiques. Jeux sensuels, cadeaux coquins ou
petits mots doux… À chacun sa façon de réveiller le désir.
INTUITION
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Personnalite/Articles-et-
Dossiers/Developper-son-intelligence-intuitive
chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour
suivre en toute confiance notre « boussole » intérieure.
Sommaire
Pour le philosophe allemand Schopenhauer, elle était la marque de fabrique de toutes les oeuvres
de génie. Einstein, lui, la définissait comme une « sensation au bout du doigt
» (fingerspitzengefühl). Pour vous et moi, elle est une petite voix intérieure qui conseille, une
certitude fulgurante qui s’impose, ou encore une réaction corporelle plus ou moins intense. Les
plus réceptifs d’entre nous prennent en compte leur intuition, les autres la refoulent ou l’ignorent.
Même si son origine demeure mystérieuse, les neurosciences reconnaissent aujourd’hui qu’elle
peut être un allié non négligeable pour nous faciliter la vie. Ni sixième sens magique, ni don réservé
à quelques élus, l’intuition est une faculté à la portée de tous.
« La capacité intuitive consiste à percevoir des éléments contextuels et à les agencer de manière
adaptative pour trouver une solution nouvelle dans un programme préétabli ou dans une situation
répétitive, expose Roland Jouvent, professeur de psychiatrie et directeur du centre Émotion du
CNRS à la Salpêtrière, à Paris et auteur du Cerveau magicien (Ed. Odile Jacob 2002). Nous avons
une partie du cerveau rationnelle qui gère nos apprentissages et une autre plus émotionnelle,
relationnelle et adaptative, qui est capable de sortir des contraintes logiques répétitives. L’intuition
aurait à voir avec cette capacité à imaginer des réponses et des solutions hors “logique prédictible”.
» En clair, perdu en voiture dans une ville, nous pouvons soit demander notre chemin, soit suivre
notre feeling, c’està- dire nos « sensations - impressions », qui forment une sorte de certitude
flottante.
Pour autant, ce conglomérat intuitif n’est pas dépourvu de rationalité. « En réalité, pour les
neurosciences, explique la neurologue Régine Zékri-Hurstel, auteure avec Jacques Puisais
du Temps du goût (Ed. Privat 2010), il s’agit pour une bonne part d’informations sensorielles
captées par notre cerveau mais qui ne parviennent pas à notre conscience. C’est pourquoi
beaucoup de neuroscientifiques nomment l’intuition “inconscient d’adaptation”. Notre cerveau
arrive directement aux conclusions et nous fait prendre des décisions sans que nous ayons
conscience des perceptions subliminales qui nous y ont conduits. » La neurologue ajoute que notre
intuition « est connectée à notre banque de données sensorielles, toujours en mouvement, et
s’adapte en permanence pour percevoir le moindre changement. Les plus intuitifs sont donc ceux
qui ont le mieux développé leurs qualités sensorielles. L’émotion vient des sens, elle est essentielle
dans la capacité intuitive. » Une affirmation qui entre en résonance avec ce que constate le
psychanalyste Moussa Nabati. « Si l’on cesse d’être branché sur soi, si l’on entre véritablement en
empathie avec l’autre, alors on peut sentir, pressentir des choses, des événements qui ne sont pas
la projection de nos peurs, désirs ou angoisses. »
Une faculté qui embellit la vie
« Chacun a la capacité d’être intuitif, affirme Régine Zékri-Hurstel, chacun peut avoir accès à des
données diverses pour évaluer un contexte ou une personne, être averti d’un danger ou trouver
une solution nouvelle, mais le véritable “plus” de l’intelligence intuitive, c’est de contribuer à notre
bonheur. Plus précisément à notre “neuro-bonheur”, c’est-à-dire le fait d’intégrer l’ensemble des
données de notre environnement, de notre présent, pour améliorer notre devenir, et découvrir,
grâce à cette porte ouverte sur notre cerveau, les codes d’accès personnalisés de notre bien-être
sensoriel. »
Ainsi branchés sur nos sens, réceptifs à nos émotions et à notre « petite musique intérieure », nous
pouvons ressentir ce qui est vraiment bon ou mauvais pour nous. « Lorsque nous savons quelque
chose avec notre intuition, nous le savons avec nos os, notre coeur ; c’est une connaissance, une
certitude qui résonne dans l’ensemble de notre corps-être », estime Judee Gee, créatrice et
directrice de l’École de l’intuition, auteure de Comment développer votre intuition (Trajectoires
2010). Quelle relation laisser tomber ? Quelle proposition refuser ? Quelle direction suivre ? La
confusion règne souvent dans nos vies où les possibilités sont devenues infinies. L’intuition peut
être une boussole précieuse, une invitation à l’autonomie, l’opportunité de modeler son quotidien
au plus près de ses besoins, de ses envies et de ses compétences.
Selon Vanessa Mielczareck, coach spécialisée en intuition, cette faculté « nous fait gagner du
temps, nous rapproche de nos véritables aspirations, nous connecte à nos vraies ressources
intérieures. Encore faut-il oser lui faire confiance. Par essence, l’intuition est toujours juste. Lorsque
l’on se trompe, c’est parce que l’on n’est pas en présence d’une intuition, mais plutôt de l’expression
d’un désir, de l’imagination, d’une volonté, d’une peur ». Vanessa Mielczareck pointe trois
principaux obstacles : le manque de confiance en soi, l’hyperrationalisme et la négativité. Une fois
ces freins repérés et levés, on peut alors accueillir ses intuitions et choisir, en toute sérénité, de
leur faire confiance.
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=c
omment-apprivoiser-intuitions
L’intuition est une manière que choisit le cerveau pour faire passer des informations
de notre inconscient à notre conscient. Condamner ses intuitions c’est donc
prendre le risque de recommencer des erreurs que nous avons déjà faites par
le passé, ou de nous mettre en danger. On est sur la route et on a l’intuition de
ralentir parce qu’il y a de la neige. Cette intuition nous protège, alors il faut lui faire
confiance.
On nous présente une personne qui a une allure et un comportement qui nous
déplaît, mais une petite voix intérieure nous dit qu'elle pourrait nous faire du bien. Le
premier réflexe de celui qui veut tout gérer dans sa vie sera de ne pas faire attention
à cette personne, mais si on choisit de lâcher prise, alors on prendra le temps de
faire connaissance avec elle et de savoir qui elle est.
Nos intuitions nous protègent, nous devons donc partir du principe qu’il faut les
suivre. Mais il arrive que nous fassions fausse route parce que nous avons mal
interprété une intuition. En règle générale, ce sont les personnes les plus sensibles
qui sont les plus à même de comprendre et de suivre leurs intuitions. C’est pour cette
raison que l’on dit souvent que les femmes sont plus intuitives que les hommes.
Les intuitions peuvent aussi faire peur à certaines personnes parce qu’elles sont
irrationnelles. Mais ce qui est irrationnel n’est pas pour autant forcément
déraisonnable. En revanche, ce n’est pas parce que nos intuitions ont souvent
raison qu’il faut attendre d’en avoir une pour agir. Dans de nombreuses
situations, un choix devra se faire sans aucune intuition.
Ne pas craindre de se tromper
Et parce que tout ceci est irrationnel, il ne faut pas craindre de se tromper. On a
posé un choix en croyant suivre une intuition et ce choix s’est avéré hasardeux ?
Cela ne doit pas nous pousser à tourner définitivement le dos à notre « sixième
sens ». Une maman sent que son enfant est en danger et se précipite dans sa
chambre. Là, elle le découvre en train de jouer gentiment. Son intuition aura été
mauvaise, mais elle ne devra pas négliger les intuitions similaires dans le futur.
Pour finir, il faut comprendre que pour apprivoiser ses intuitions, il faut avoir
confiance en soi. Quelqu’un qui aura une image positive de lui-même parviendra
beaucoup mieux à être à l’écoute de ses intuitions qu'une personne fragile
affectivement et émotionnellement. Se faire confiance c’est accepter de tomber et de
se relever encore plus fort.
Il faudra aussi apprendre à se connaître. Plus on saura qui on est au plus profond
de soi, plus on parviendra à faire confiance à ses intuitions et à les apprivoiser.
« Nous essayons grâce à la logique, mais nous nous découvrons grâce à l’intuition »,
avançait Henri Poincaré, un philosophe et physicien français. Tout est dit.
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https://street-hypnose.fr/hypnose-intuition/
Peu de personnes prennent le temps d’y prêter attention, et pourtant j’ai trouvé en l’intuition
un des éléments essentiels qui différencie subtilement un hypnotiseur de niveau moyen
ou débutant qui cherche à maîtriser des techniques, et un autre beaucoup plus performant
qui apprend à développer (et surtout à écouter) son intuition.
Dans un contexte donné : faut-il que je sois autoritaire ou plutôt doux et bienveillant avec
cette personne ? Faut-il que j’utilise cette métaphore ou plutôt celle-là ? Devrais-je
privilégier une induction instantanée ou une autre un peu moins rapide ? Est-ce que le
volontaire est prêt à vivre une hallucination ? Quels mots utiliser pour rendre les amnésies
plus ludiques aux yeux de mon volontaire ? Est-ce que le volontaire vit une
séance agréable ou semble-t-il gêné par son expérience ? Est-ce que je peux tenter une
amnésie sans induction ? Est-ce que mon volontaire est plutôt en transe légère ou
profonde ?
Autant de questions auxquelles il est parfois difficile de répondre en ne se fiant qu’à son
esprit analytique et aux éléments visibles et concrets. De plus, cela demande un effort
conséquent de porter toute son attention sur l’ensemble des éléments permettant
d’apporter la réponse la plus objective possible. Pour répondre à la dernière question, à
savoir si le volontaire est plutôt en transe légère ou profonde, nous pouvons par exemple
nous servir des différents signes extérieurs de transe : mouvements rapide des yeux,
déglutitions plus récurrentes, relâchement musculaire, regard vitreux lorsque les
paupières sont ouvertes, catalepsies spontanées etc. Avec beaucoup de pratiques, on se
rend compte que l’on analyse de moins en moins, et que pourtant on connaît la réponse
malgré tout. L’analyse a été faite à un niveau inconscient, et souvent de manière beaucoup
plus complexe qu’on ne l’imagine. C’est à ce niveau que rentre en jeu l’intuition. Comment
se servir de son intuition peut nous rendre encore plus performant ?
Être à l’écoute de son intuition, c’est déjà se faire confiance et ne pas avoir peur de sortir
des sentiers battus ou d’aller à l’encontre de ce que pense la majorité. C’est, d’une certaine
manière, avoir la foi, mais en soi. C’est être à l’écoute de l’ensemble de ses sens, et donc
être en empathie avec l’environnement et les personnes qui nous entourent. On peut alors
percevoir des choses qui ne seraient pas visibles au premier coup d’œil. Si Street Hypnose
existe aujourd’hui, c’est parce que j’ai suivi mon intuition qui m’encourageait à créer ce
site web, alors que raisonnablement je n’y croyais pas du tout.
L’exemple de la synchronisation
Lorsque vous lisez des articles sur l’hypnose en général, vous allez souvent y trouver des
références à la synchronisation. On vous demande de vous synchroniser avec votre
volontaire et on vous donne même des techniques qui se rapprochent bien souvent du
mimétisme pur. C’est partiellement efficace. Ce n’est que la première étape.
Apprendre des techniques est un leurre. Inutile dans la finalité de l’objectif à atteindre.
Mais pourtant nécessaire. Parce qu’apprendre des techniques permet de gagner
suffisamment confiance en soi afin d’ensuite s’en libérer et réellement toucher du doigt
l’essence de la pratique.
Faites donc un test et suggérez-vous de vous synchroniser au maximum avec votre
volontaire, et vous constaterez alors que, effectivement, vous allez adapter naturellement
des postures similaires, ajuster votre intonation et modifier dans votre façon de faire un
nombre incalculable d’autres petits détails qui joueront en votre faveur. Et toute la force
de cette technique saute aux yeux quand elle est pratiquée d’inconscient à
inconscient. Si vous persistez à adapter votre posture consciemment, vous passerez à
côté de l’essentiel.
Si vous saviez le nombre de mail que je reçois de personnes déçues que mes techniques
ne fonctionnent pas parce que je cite : “j’ai fait exactement comme décrit dans le livre ou
dans vos vidéos, et pourtant ça ne marche pas ! Qu’est-ce que je dois faire de différent
pour que cela fonctionne ?”
Les personnes attendent une recette toute prête à suivre pas à pas et qui fonctionne à
tous les coups. Dommage, cela n’existe pas dans le domaine de l’hypnose ! En continuant
dans cette métaphore, je ne leur donne au final qu’une liste d’ingrédients. A eux ensuite
de trouver le mélange qui sera le plus harmonieux en fonction de chaque volontaire. Et ce
qu’il y a de plus beau, c’est qu’il n’y a pas deux recettes identiques. Chaque séance
d’hypnose diffère, même si les ingrédients restent les même.
Si l’on vous répète sans cesse qu’il faut pratiquer énormément pour progresser en tant
qu’hypnotiseur, ce n’est absolument pas parce que les techniques à apprendre sont
difficiles. C’est parce qu’il faut apprendre à se libérer de ces techniques et à écouter ce
que nous dit notre intuition. Les techniques sont importantes. Elles sont la base. Mais
prises individuellement, aucune n’est réellement complexe. La difficulté, c’est de savoir
quand exactement les utiliser. Et le delta varie pour chaque volontaire. D’où notre fameux
slogan d’hypnotiseur “chaque séance est unique”. Nous passons alors d’un état
consciemment incompétent, à un état inconsciemment compétent. Nous
commençons par des techniques à mettre en oeuvre consciemment (d’où la
difficulté), en nous dirigeant petit à petit, séance après séance, vers un savoir être
qui se substitue à l’ensemble des techniques apprises jusque là.
Pour forger notre intuition et la rendre la plus productive possible, il faut lui donner de la
matière. Pour résoudre un problème mathématique complexe, il faut auparavant avoir
résolu un certain nombre de problèmes plus simples qui vont nous ouvrir petit à petit vers
la logique attendue. Il en va de même pour votre intuition. Vous devez construire à
l’intérieur de vous une base de données sur l’hypnose la plus large possible –
correspondant à un ensemble de techniques et de savoir faire que vous avez déjà utilisés
dans différents contextes et dont vous connaissez les avantages, inconvénients et
difficultés – afin que votre inconscient puisse aller puiser la réponse la plus adaptée à la
situation.
Lorsque vous avez lu mon livre, vous avez déjà commencé à créer cette base de données.
Il suffit ensuite d’acquérir l’expérience nécessaire pour savoir quelles données utiliser, et
à quel moment. C’est essentiellement la pratique qui va venir forger cet algorithme
inconscient et vous faire gagner en efficacité. C’est pourquoi je recommande à tous les
néophytes de commencer par ma routine créée spécialement pour les débutants, qui
propose cette base dont les débutants ont besoin pour prendre confiance en eux et en
leur capacité à hypnotiser. Et un jour, à force de pratique et de lectures, votre intuition
vous guidera et vous vous surprendrez à prendre des initiatives au cours de la
séance d’hypnose. Vous vous surprendrez à OSER. Il y aura des échecs et des
réussites qui quoi qu’il arrive feront de vous un meilleur hypnotiseur.
Votre intuition
J’ai commencé par m’intéresser à la manière dont l’intuition se manifestait en moi et je me
suis imprégné de ces sensations au quotidien, observant mes réactions et me mettant
davantage à l’écoute des autres et de moi-même.
L’intuition est une question d’ouverture intérieure. Elle ne s’apprend pas, elle se
redécouvre et s’entretient. Elle est accessible à tous. Il n’y a que quelques marches à
gravir en nous-mêmes, quelques pas à faire pour franchir la porte qui nous conduit à elle.
C’est à ce voyage intérieur que je vous invite, à la rencontre de ce précieux outil qui
sommeille en chacun de nous.
Il faut oser solliciter son intuition, tout en acceptant son existence et son utilité. Il faut
apprendre à entendre sa petite voix intérieure et l’écouter de plus en plus. Et plus on
l’écoute, plus elle se manifeste. C’est en reconnaissant un réel intérêt pour son intuition
que l’on peut la développer davantage encore. Finalement, il s’agit de prendre des
décisions sans réfléchir consciemment, en laissant remonter de l’intérieur une réponse
toute faite. Le plus dur est ensuite de se faire confiance, et de ne pas rejeter la première
idée qui apparaît. Souvent, on a envie de se dire “mais non, c’est débile ce à quoi je viens
de penser”. Erreur ! Faites vous confiance. Laissez vous surprendre. Pour beaucoup
d’entre nous, trouver une réponse ou une solution qui sort de l’ordinaire possède des
connotations négatives. L’intuition déclenche souvent une peur de se tromper face à une
réponse qui nous paraît inappropriée. C’est notre créativité qui parle.
Il faut mettre de côté son intelligence rationnelle et ses idées reçues et accepter que
se tromper fait partie du jeu.
La plupart du temps, les intuitions montent sans vraiment prévenir, et c’est là qu’il faut être
à l’écoute de soi pour ne pas les louper.
Je m’amuse très souvent à demander aux gens qui me présentent un problème : “et si tu
demandais à ton inconscient ce qu’il te propose comme solution ? Pose-toi la question
à l’intérieur, et dis moi ce que tu vois ou ressens”. Généralement, la première réponse est
purement analytique et ne m’intéresse pas. Je demande ensuite à la personne de fermer
les yeux, de se détendre, puis de reposer la question et cette fois de ne pas chercher à
trouver de réponse. Au contraire, de la laisser venir toute seule. Et à chaque fois, la
réponse qui ressort est bien plus forte. Quelques fois un peu loufoque et bizarre. Mais
efficace.
Lors d’une séance d’hypnose d’il y a quelques semaines, je ne cessais de ressentir des
angoisses assez fortes émanant de ma volontaire. J’ai continué dans un premier temps
la séance sans exprimer mon ressenti, afin d’éviter de créer cette angoisse chez la
personne en lui demandant si elle était réelle. Vous le savez désormais, une personne
en état d’hypnose est très sensible aux suggestions. Si vous lui dites “tu n’as pas mal à
la tête là t’es sûr ?” vous risquez de créer ce mal de tête. Et puis, à la fin, elle me
demande si je peux l’aider à rester dans cet état super zen y compris lors de son
entretien à venir pour son futur emploi ? Je lui demande alors comment elle gère
généralement les derniers jours avant un entretien, et là elle me raconte ses angoisses
horribles. Je lui ai laissé un ancrage pour la rendre parfaitement zen à chaque fois
qu’elle serre le poing, en espérant qu’elle ait décroché cet emploi depuis. Je suis
incapable de mettre des mots sur ce que j’ai vu et qui a pu me mettre la puce à
l’oreille. Et c’est ce que je trouve fascinant avec l’intuition.
Récemment, j’ai eu un choix très délicat à faire. Est-ce que je continue mon emploi actuel,
ou est-ce que j’ose me lancer complètement dans l’hypnose ? La raison m’a dicté une
chose. Mon intuition une autre. Et bien après toutes les expériences positives que j’ai
eues, et même pour une décision aussi cruciale, j’ai décidé de suivre mon intuition.
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LACHER PRISE
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https://www.marieclaire.fr/,pourquoi-est-il-important-de-lacher-prise,795781.asp