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ANXIETE ANGOISSE
CONFIANCE EN SOI
MAIGRIR
EMOTIONS
GERER LE PASSE
EJACULATION PRECOSE
TIMIDITE
JOIE DE VIVRE
ATTIRER L’ABONDANCE
DESIR SEXUEL
INTUITION
LACHER PRISE
STRESS
MAL DE DOS
BOOSTER SA MEMOIRE
AUGMENTER VOS PERFORMANCES
ARRETER DE FUMER
CONVERGENCE INSTANTANNEE
ANTI INSOMNIE
CHARISME
MANUPILATION
DEFENSE IMMUNITAIRES
SOMMEIL
DOULEUR CHRONIQUE
EXAMEN
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Anxiété angoisse
https://academiehypnose.com/
Recherche 1 > Origine de lanxiete angoisse
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Recherche 3 > Therapie anxiete
http://laurezanellacoaching.fr/dou-viennent-nos-angoisses-et-comment-
sen-liberer/
D’après ce que nous dit Christel Petitcollin dans son livre « Emotions, mode d’emploi », nos
angoisses sont le résultat de toutes les émotions que nous avons refoulées.
Elle nous explique que toutes ces émotions que nous avons enfouies en nous sont stockées
dans une sorte de grand chaudron mental sur lequel vient se poser un gros couvercle qui évite à
ces émotions refoulées de sortir.
Le couvercle en question s’appelle l’angoisse. Christel Petitcollin nous dit alors qu’à chaque fois
que quelqu’un fait une crise d’angoisse, c’est tout simplement parce que l’une des émotions que
cette personne a appris à refouler est en train de remonter et menace de sortir de son
« chaudron » mental.
En tant qu’adultes, nous devenons capables de faire nos propres choix et de sortir de certains
automatismes destructeurs ou en tout cas pesants, mais tant que nous n’avons pas pris
conscience de ce qui se passe en nous, nous ne pouvons que réagir en fonction de ce que nous
avons appris.
Et qu’avons-nous appris justement pendant nos jeunes années ?
Depuis notre plus tendre enfance, on nous a dit (que ce soit de façon directe à travers la parole
ou de façon beaucoup plus subtile) que certaines émotions étaient autorisées et d’autres non.
Globalement, il y a d’ailleurs une ligne de démarcation très nette qui se dessine entre ce qui est
autorisé ou non aux petits garçons, et ce qui est permis ou pas aux petites filles.
Du côté des émotions de base que sont la joie, la colère, la tristesse et la peur, les deux
premières ont tendance à être autorisées aux garçons, alors que les deux dernières sont plutôt
réservées aux filles.
C’est quelque chose qui est profondément imprégné dans l’inconscient collectif et qui peut
surprendre quand on met le doigt dessus, pourtant, il suffit d’examiner quelque peu la chose pour
se rendre compte à quel point la séparation est marquée.
Par exemple, quand une femme se met en colère, on aura tendance à la taxer d’hystérique, à lui
dire que c’est une emm…, à se demander si c’est la pleine lune ou à faire porter le chapeau à
ses hormones, parce que cette colère est en général perçue comme déplacée.
– La honte : On signifie à l’enfant qu’il est ridicule de vivre telle émotion, qu’il devrait avoir honte
de pleurer / d’être en colère / d’avoir peur, etc., et on lui en met une bonne couche pour qu’il
enferme au plus vite cette émotion dérangeante pour l’adulte qui se trouve en face de lui.
– Le déni : On dit cette fois à l’enfant d’arrêter de faire la comédie ou encore qu’il n’a aucune
raison d’avoir peur ou d’être triste. Au lieu d’entendre et de reconnaître le malaise de l’enfant, on
interprète la situation de son point de vue d’adulte et on considère que puisque la situation n’a
rien de problématique pour nous, c’est que l’enfant est en train de faire semblant… C’est une
façon de voir les choses qui peut coûter cher !
– La culpabilisation : L’adulte dit cette fois à l’enfant que ça le rend malade de le voir se mettre
dans tel état, ou alors il lui sort l’éternelle rengaine : « Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu es un
ingrat de te dire malheureux ». L’enfant n’a donc pas le droit d’être malheureux ici et maintenant
par rapport à une situation particulière parce que l’adulte a si bien veillé sur lui par le passé.
– La peur : Ce sont cette fois les menaces qui pleuvent pour couper net l’émotion de l’enfant
dans son élan. « Si tu continues à pleurer, tu seras puni ! » « Tu as intérêt à arrêter sinon je vais
me fâcher »
– Le pansement : « Si tu te calmes, je vais t’acheter telle chose », par exemple. On cherche un
dérivatif qui pourra distraire l’enfant de sa peur, de sa colère ou autre pour l’empêcher de vivre
son émotion.
– Le recadrage : On cherche à donner un sens autre que le sens réel à l’émotion qui est là. « S’il
pleure, c’est parce qu’il doit être fatigué ». Christel Petitcollin nous explique à ce sujet qu’une fois
devenu adulte, un enfant qui aura vécu à répétition ce type de scénario aura tendance à
connaître de brusques baisses d’énergie lorsque l’émotion interdite sera sur le point d’émerger.
S’il vous arrive fréquemment d’avoir des coups de barre que vous ne comprenez pas au courant
Renversons la vapeur
Heureusement, tout ce qui a été fait peut être défait, et la répétition de nouveaux mécanismes
finira par créer de nouveaux automatismes plus sains.
Comment donc sortir de ce piège et vider le contenu de notre « chaudron » mental?
Le premier pas est de prendre conscience de la façon dont on nous a appris à refouler nos
émotions . Si vous vous rendez compte que la façon dont vous gérez vos émotions aujourd’hui
n’est pas quelque chose d’inné, mais plutôt quelque chose pour laquelle vous avez
été conditionnédès votre plus jeune âge, vous vous rendrez compte aussi que tout ce qu’on a
pu vous laisser entendre au sujet des émotions n’était pas nécessairement vrai.
Commencez par identifier toutes les émotions avec lesquelles vous éprouvez des difficultés,
celles qui génèrent un malaise en vous, de la gêne ou de la honte, et demandez-vous quelles
sont vosidées préconçues au sujet de ces émotions. Voyez de quelle façon on vous a présenté
ces émotions durant votre enfance, et voyez de quelle façon votre entourage familial gère lui-
même ces émotions. Ça vous en dira beaucoup sur la source de vos difficultés.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’accuser qui que ce soit, car chacun fait de son mieux en
fonction de ce qu’il a lui-même appris, mais dès lors qu’on perçoit clairement le chemin qui a été
fait pour en arriver là, on peut d’autant plus facilement commencer à démonter les croyances
limitantes en place.
Ensuite, il sera important de commencer à vous autoriser à ressentir ce que vous ressentez, car
oui, il est tout à fait naturel de ressentir de la tristesse, de la colère, de la peur, et bien sûr de la
joie, que vous soyez un homme ou une femme.
Toutes les habitudes néfastes que nous avons pu adopter sans le vouloir peuvent être
démontées et remplacées.
À vous de jouer !
http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_781_anxiete.htm
Sommaire
Les troubles anxieux sont fréquents, ils affecteraient environ chaque année 2 à 8 %
de la population adulte et seraient plus fréquents chez les femmes. L'âge moyen de
survenue des premiers symptômes se situe entre 20 et 30 ans.
L'anxiété peut être normale, voire nécessaire à la vie par sa fonction adaptative, ou au
contraire pathologique et invalidante. Les limites entre la réaction anxieuse normale
qui mobilise le sujet pour affronter une situation difficile et l'anxiété pathologique est
floue.
On considère en général que l'anxiété est normale lorsqu'elle est bien tolérée par le
sujet, qu'il peut la contrôler, qu'il ne la perçoit pas comme une souffrance excessive,
qu'elle n'a pas de retentissement sur sa vie quotidienne et qu'elle est peu somatisée.
L'anxiété normale est l'expérience que chacun de nous a vécue : peur avant un
examen, inquiétude pour la santé d'un parent, réactions anxieuses lors d'accidents, de
catastrophes... L'anxiété est ainsi une émotion utile. C'est une réaction psychologique
au stress. C'est un état qui fait partie de nos réactions d'adaptation aux stimulations
extérieures en nous permettant de mobiliser notre attention, d'élever notre vigilance
dans des situations de nouveauté, de choix, de crise ou de conflit.
L'anxiété est anormale quand :
Elle n'est plus liée à des événements de la vie et qu'elle survient sans raison ;
Elle devient un état permanent ;
Elle perd sa fonction d'aide aux changements de la vie et elle favorise davantage la répétition
ou la limitation des comportements que les possibilités d'adaptation du sujet ;
Elle est une souffrance aboutissant à une demande de soins ;
Elle s'intercale entre des attaques de panique ou elle s'associe à des états névrotiques,
psychotiques ou hypocondriaques ;
Elle se complique d'états dépressifs ou de phénomènes de dépendance
(pharmacologique, alcoolique, toxicomaniaque, relationnelle).
Causes et facteurs de risque de l'anxiété
A côté des troubles névrotiques (anxiété généralisée et trouble panique) dont la cause
réelle est inconnue et fait l'objet de différentes théories, il existe des causes faciles à
reconnaître.
L'anxiété est toujours présente dans les états névrotiques et elle est même l'élément
constitutif de la névrose d'angoisse .
Dans la névrose hypocondriaque, l'anxiété se fixe sur le corps. Ces symptômes
structurés permettent de diminuer la sensation d'angoisse.
Dans la névrose hystérique , l'angoisse est convertie en symptômes physiques
n'ayant pas de support organique. Mais cette conversion est souvent incomplète et
une certaine anxiété persiste en général.
Dans la névrose phobique , l'anxiété est fixée sur des situations précises (foule,
espace fermé ou très largement ouvert, animaux...), et l'angoisse ne se manifeste que
devant ces situations et disparaît en même temps qu'elles.
Dans la névrose obsessionnelle enfin, le sujet lutte contre les pensées qui
l'envahissent et l'anxiété est toujours présente.
L'état de stress post-traumatique ( névrose post-traumatique ) est consécutif à un
événement hors du commun qui provoquerait des symptômes évidents de détresse
chez la plupart des individus. L'événement est perpétuellement revécu sous forme de
souvenirs, de rêves, d'impression qu'il va se reproduire... Le sujet s'efforce d'éviter tout
ce qui lui rappelle l'événement et souffre d'une hypertonie neurovégétative (irritabilité,
hypervigilance, hyperréactivité au stress, difficultés d'endormissement...).
L'anxiété peut aussi être l'un des éléments constitutifs de nombreuses affections :
Maladies psychiatriques : l'anxiété des psychoses est fréquente, souvent majeure et parfois
masquée :schizophrénie, dépression...
Atteintes du système nerveux central : maladie vasculaire ou dégénérative
( Parkinson), épilepsie...
Maladies endocriniennes ou métaboliques : hyper ou hypothyroïdie, hyper
ou hypoparathyroïdie, hypercorticisme, hypoglycémie, phéochromocytome...
Maladies organiques : asthme, angine de poitrine...
Intoxications : corticoïdes, alcool...
Syndromes de sevrage : barbituriques, alcool...
Ménopause ...
Enfin l'anxiété peut être un trait de personnalité simple (personne anxieuse) et donc
soit une disposition permanente, soit un état transitoire survenant dans certaines
circonstances.
L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant. Les soucis quotidiens sont
démesurément grossis. L'anxieux appréhende le pire pour lui et ses proches. Très
dépendant de son entourage, il supporte mal les séparations.
Dans l'intervalle des épisodes d'anxiété aiguë, la plupart des patients ne présentent
aucun trouble. D'autres continuent à ressentir une asthénie, des céphalées ou d'autres
manifestations d'anxiété.
Dans la névrose d'angoisse, l'anxiété est flottante et isolée, pure. Sur ce fond
d'angoisse permanent peuvent survenir des crises aiguës paroxystiques sans cause
déclenchante évidente.
Sommaire
Enfin, une attaque de panique comporte par définition au moins quatre symptômes
anxieux parmi une liste de treize :
Le patient est pâle, couvert de sueurs, agité ou prostré, crispé, tendu, couvert de
sueurs, animé de tremblements. Il peut être figé par l'angoisse ou en proie à une
agitation fébrile. La respiration est rapide, irrégulière. Nausées, vomissements,
diarrhée, douleurs diverses, palpitations, tremblements, impressions de vertiges,
brouillard visuel, réflexes vifs sont fréquents. Le coeur est rapide et les pupilles peuvent
être dilatées.
La crise dure de quelques minutes à quelques heures. Elle cède brusquement avec
une forte envie d'uriner.
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/contents/708-psychotherapie-de-l-anxiete
Thérapie cognitive
Principes
Les thérapies cognitives sont fondées sur la notion de schéma cognitif. Ce sont nos habitudes
mentales, imprimées par l'expérience, inscrites dans la mémoire à long terme du cerveau. Elles
font appel à la mémoire, aux émotions et à l'attention.
Les schémas cognitifs sont automatiques (inconscients) ou contrôlés (concients). Ils influent sur
notre comportement et notre capacité (ou incapacité) d'adaptation individuelle. Un trouble est
fondé sur le déséquilibre du schéma cognitif.
Traitement
Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. Il y a échange entre le thérapeute et le
patient, à partir de la définition du problème (une anxiété généralisée ou une phobiespécifique).
Un programme ou plan de progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape.
Cette thérapie est remboursée dans certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé
par la Sécurité sociale).
Thérapie comportementale
Principes
Les thérapies comportementales sont fondées sur le principe du conditionnement, la réponse
automatique à un stimulus. Le conditionnement peut être répondant (pavlovien) ou opérant
(skinnerien), il aboutit à un renforcement de certaines actions dans certaines situations.
Sommaire
Traitement
Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. En raison du processus d'habituation,
les séances sont assez longues (plus de 45 minutes, temps nécessaire d'exposition). Une fois le
problème identifié (une anxiété généralisée ou une phobie spécifique), un programme ou plan de
progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape. Le patient sera progressivement
exposé à la situation qui provoque angoisse ou panique. Cette thérapie est remboursée dans
certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé par la Sécurité sociale).
Un exemple : l'arachnophobie
Un patient souffre d'arachnophobie (peur panique des araignées) et désireux de dépasser cette
anxiété spécifique. Que se passe-t-il dans une TCC ?
Le thérapeute commence par s'informer du trouble exact : son apparition, son intensité, les
comportements associés.
Concernant les schémas cognitifs, le patient est informé sur les araignées, la toxicité ou la
douleur réelle de leur piqûre, etc. Il est également renseigné sur la capacité à modifier ses
représentations mentales, donc les comportements associés.
https://academiehypnose.com/anxiete-angoisse-quand-tu-nous-tiens/
L’angoisse possède les mêmes caractéristiques que l’anxiété. Mais, tandis que l’anxiété se
manifeste de façon sporadique, l’angoisse, elle, s’inscrit de manière permanente chez l’individu.
TRUCS EXPRESS POUR DIMINUER SON ANXIÉTÉ
1. Observer vos pensées et vos images internes.
2. Vérifier si ces pensées ou images sont conformes à la réalité en semant le doute dans vos
pensées.
3. Transformer ces pensées-catastrophes en hypothèses et non en réalités.
4. Prendre conscience qu’une situation vous dérange.
5. Garder l’ouverture à d’autres possibilités. Prendre contact avec vos ressources intérieures et
extérieures.
6. Cerner ce qui crée cette angoisse et la libérer.
7. Affronter vos problèmes une étape à la fois.
8. Prenez le temps d’examiner les solutions possibles.
9. Abaisser votre « amplificateur interne ».
10. Croire en votre capacité de réagir avant de dépasser le 6/10 sur votre échelle de tolérance.
CERTAINS FACTEURS CONTRIBUENT À L’APPARITION DE L’ANGOISSE
CONFIANCE EN SOI
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Sommaire
https://www.prendreconfiance.com/confiance-en-soi-definition-
mecanismes/
Voici une question à laquelle beaucoup aimerait répondre. Et sans doute vous.
Chacun y va de sa petite idée, de son expérience, de son vécu. La confiance
en soi semble être vécue comme un ressenti, un ensemble d’émotions et de
sentiments. Mais elle se traduit concrètement, au quotidien, par nos actions et
nos attitudes.
Autant de questions auxquelles je vais répondre dans les lignes suivantes ...
Définition de la confiance en
soi
Il est difficile de définir précisément ce qu’est la confiance en soi. Il s'agit avant
tout d'une perception que chacun peut ressentir face aux défis et aux imprévus
de son quotidien.
Mais alors ... C’est quoi, avoir confiance en soi ? En fait, ses origines sont
directement liées à celles du manque de confiance.
Des parents qui projettent leurs espoirs et leurs rêves sur leurs
enfants : possibles inhibitions car le poids des souhaits des parents est trop
important, trop lourd.
Des parents qui refusent de voir que leur enfant a des difficultés : cela
risque de le déstabiliser et de le fragiliser. Il faut être attentif aux signes
d’inhibition. Jouer la politique de l’autruche ne les aide pas.
La surprotection : ne pas confronter une personne à la réalité de la vie
pour ne pas qu’il souffre ou qu’il soit déçu, c’est transformer une anxiété en
une peur d’affronter les autres, entraînant une impossibilité à vivre au
quotidien.
L’absence de transmission d’un idéal : si vous n’avez jamais été
encouragé à croire que vous pouviez mener une vie conforme à vos
espérances, vous allez devenir pessimiste et votre confiance en vous va
littéralement chuter.
La dévalorisation et la survalorisation : elles fragilisent car elles ne
permettent pas d’avoir une conscience objective de ses potentialités réelles.
Bien sur, tout ne se joue pas nécessairement dès l’enfance. Et il est possible
que des enfants élevés dans de "bonnes conditions" deviennent des adultes
mal dans leur peau. Et inversement. Néanmoins, l'enfance est très souvent la
source d'un manque de confiance.
Outre les parents, vos proches, vos amis et votre entourage influencent aussi
largement votre confiance de soi en fonction de l’importance que vous leur
accordez.
Mécanismes de la confiance
en soi
Chacun est différent. C’est pourquoi il importe, pour s’assurer que l’on a
confiance en soi, de faire quelques exercices, de faire des expériences, de
découvrir quelles sont ses limites, ses faiblesses, ses atouts pour reconstruire
un regard sain sur soi.
Nous nous accordons tous une certaine valeur en fonction de notre capacité à
réussir ou non dans certains domaines de la vie.
L’estime de soi connaît nécessairement des hauts et des bas selon que l’on
parvienne ou pas à atteindre nos objectifs.
Cette recherche constante de l’estime de soi est une quête périlleuse. Elle se
fonde non seulement de nos échecs ou de nos succès, mais aussi sur les
jugements et les critiques de ceux qui nous entourent et nous sont chers.
Sommaire
Les sentiments les plus communs d’un manque de confiance en soi sont :
A chacun de s’interroger et de déceler ses failles mais aussi ses forces qui,
lorsqu’elles ne sont pas prises en compte, guident nos vies dans un sens
parfois favorable et parfois défavorable.
Conclusion
Plusieurs points important ont été abordés. Ils seront repris et détaillés dans
de prochains articles.
L’essentiel est que cet article vous dresse un tableau global de la confiance en
soi : une définition, son importance, ses mécanismes, ses effets, …
Avec cela, vous pouvez déjà savoir si vous manquez de confiance en vous,
dans quels domaines de votre vie ou certaines situations, imaginer comment
en sortir et créer un premier électrochoc !
Sommaire
https://www.prendreconfiance.com/consequences-manque-confiance-
comment-eviter/
Si la confiance en soi est un sujet qui revient régulièrement, c'est qu'il s'agit
d'un point fondamental de la vie de chacun. En effet, le manque de confiance
en soi a de graves conséquences. Et aussi des symptômes permettant de le
reconnaître. Découvrons tout cela pour mieux comprendre l'importance de
lutter contre son manque de confiance en soi.
Chaque symptôme peut, et doit, être repéré et identifié afin d'être certain de
souffrir d'une carence de confiance de soi.
Vous êtes à une soirée avec un groupe d’amis. Et votre verre tombe par terre
et se brise.
Sans que personne ne vous demande pourquoi, vous vous mettez à partir à la
recherche d’explications ou à vous justifier avec des phrases du genre « oh je
suis si fatigué en ce moment ! », « je n’arrive pas à me concentrer ces temps-
ci », « mais le verre était juste sur le bord de la table ! ».
Alors qu'un simple « J'ai deux mains gauches ou quoi ?! » aurait suffi,
dédramatisé la situation et fait sourire l'assistance.
Vous prenez de la distance avec les autres et du coup, vous vous retrouvez
aussi privé de leur amour ou de leur soutien.
Vous perdez un temps précieux que vous pourriez passer auprès de ceux que
vous aimez et qui vous aiment.
Vous manquez des opportunités alors que la vie vous propose de nombreuses
expériences enrichissantes.
Dès que quelque chose va mal ou ne convient pas à l’image que vous vous
faites, vous commencez par vous blâmer.
C’est une sorte de plaisir sadique que de dire autour de vous que les choses
vont mal dans votre vie.
Vous vous rabaissez
constamment
Voici un signe de manque de confiance en soi évident.
Si vous voulez faire quelque chose, vous vous répétez que vous n’êtes pas
assez doué pour cela, que tout est voué à l’échec.
Sommaire
Les conséquences du
manque de confiance en soi
Avant de s'intéresser aux conséquences du manque de confiance en soi, il est
intéressant, et important, de noter que certains symptômes vus précédemment
sont aussi autant de conséquences du manque de confiance en soi,
Notamment ne pas vivre pas au présent ou vous rabaisser constamment.
Selon vous, pourquoi êtes-vous anxieux face à telle ou telle situation ? Parce
que vous ne pensez pas avoir une solution ou la capacité pour surmonter
ladite situation.
Sommaire
Vous passez à côté de belles
opportunités
Que ce soit au niveau des relations, amoureuses et personnelles, ou des
affaires, quand vous manquez de confiance en soi, vous laissez passer
toutes les belles opportunités qui se présentent à lui.
Pourquoi ?
Parce que vous avez peur de prendre des risques ou d'échouer. Vous vous
dites tout le temps que vous n'y arriverez jamais, que vous n'avez pas
compétences ou les capacités, que telle chose est trop belle pour être
réalisable. Surtout par vous.
Ainsi des opportunités, qui auraient pu contribuer à changer votre vie pour le
meilleur, passent sans que vous n’en profitiez.
Vous n'allez pas vers les autres, vous n'osez prendre la parole, vous ne
saisissez pas les opportunités qui se présentent, vous stagnez et vous vous
contentez de ce que vous êtes et avez.
Vous végétez.
Tout cela parce que vous n'avez pas confiance en vous.
Votre mental et votre corps sont extrêmement liés l'un à l'autre. Si vous
rencontrez ce genre de problème, en développant votre confiance en soi vous
vous rendrez compte que ces douleurs corporelles mystérieuses disparaîtront.
Conclusion
Vous le voyez, les symptômes et les conséquences du manque de
confiance en soi sont variées, désagréables et néfastes.
J'imagine que vous les reconnaissez aisément et que vous comprenez de quoi
je parle. Mais mettre des mots sur des sensations et des émotions, aussi
difficile cela soit-il, est essentiel pour retrouver confiance en soi.
Les 6 clés de la confiance en soi
1) la vie consciente
Respecter les faits, être présent à ce que l’on est en train
d’accomplir, curieux et ouvert à ce qui nous entoure, nous
intéresse, nous touche ou nous enrichit.
2) L’acceptation de soi
3) La responsabilité de soi
4) L’affirmation de soi
Etre authentique dans nos rencontres, refuser de fausser la
réalité de qui nous sommes pour éviter la désapprobation.
6) L’intégrité personnelle
https://www.psy-coach.fr/manque-de-confiance-en-soi/
Des statistiques, certaines disponibles sur le net, ont été publiées par des psychologues.
Elles permettent de comparer l’efficacité des différentes thérapies sur des problématiques
proches. Ces statistiques, corroborées par mon expérience de psy traitant le manque de
confiance en soi, m’invitent à dresser la liste suivante, assez similaire d’ailleurs à celle que
j’ai pu développer pour la timidité.
Thérapie systémique
Hypnothérapie
Gestalt thérapie
Sommaire
PNL
TCC (Thérapies Cognitives et Comportementales)
Combinées, je les utilise dans le cadre de programmes courts strictement adaptées,
elles permettent d’obtenir des résultats notables dans le cadre d’un horizon
thérapeutique relativement bref de cinq à dix séances.
MAIGRIR
https://www.passeportsante.net/fr
https://www.topsante.com
https://www.grazia.fr/beaute/forme-minceur/maigrir-10-raisons-de-
commencer-un-regime-sans-plus-tarder-820158
BEAUTÉ
FORME ET MINCEUR
On est beaucoup à avoir envie de perdre du poids…
Mais pas toutes pour les mêmes raisons ! Avant de vous
lancer dans un régime, demandez-vous si vos intentions
sont bonnes. Voulez-vous maigrir pour votre santé, pour
votre confiance en vous, pour vous améliorer en sport ?
Voici une liste des raisons acceptables de faire régime.
Maigrir pour sa santé
C’est évidemment la raison la plus importante. Vous êtes en
surpoids et votre médecin vous conseille de vous débarrasser de
quelques kilos pour améliorer votre état général ? Dans ce cas,
c’est sérieux : commencez votre régime sans plus tarder.
https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc
=pourquoi-vous-ne-maigrissez-pas
Malgré une bonne hygiène de vie, certaines personnes n’arrivent pas à perdre
du poids. Avant d’effectuer le moindre changement alimentaire, il est important
de trouver la
Sommaire
source de ces livres en trop et ce qui rend la perte difficile. Voici donc 15
raisons qui peuvent expliquer votre difficulté à maigrir.
raisons de manger. Le problème quand on mange sans avoir faim, c’est qu’on ne sait
pas quand s’arrêter. La satiété ou le rassasiement se ressent uniquement quand on
a faim. Pour plusieurs personnes, il faut revenir à la base et écouter ses signaux de
faim et satiété pour mieux gérer son poids.
Tous les lundis, ou après les vacances, vous avez de nouvelles résolutions et
décider de manger « très santé » et en petite quantité toute la semaine. Il se peut
même que vous fassiez fie des sensations de faim. Les weekends venus ou les
vacances, la routine du travail étant terminé, vous vous laissez aller et mangez ce qui
vous tente sans égard à votre faim et satiété sous prétexte que c’est les vacances
mais aussi et surtout parce qu’il est impossible de supporter des restrictions sévères
trop longtemps. Commencez donc dès maintenant à manger raisonnablement 7 jours
sur 7, sans interdits.
Seule une infime proportion de gens ayant perdu du poids suite à un régime
drastique réussit à conserver cette perte. Les autres regagnent les kilos perdus et
même plus! Puisque la majorité des gens reprennent presque tout le poids perdu, ou
plus de poids après s’être livrés à un régime amaigrissant, la propension de se
tourner vers un nouveau régime est forte. C’est ce qu’on appelle le cycle du yoyo
(perte et reprise de poids répétées). Prenez dès aujourd’hui la décision de cesser de
faire des régimes restrictifs que vous ne pourrez tenir à long terme.
Depuis votre jeunesse, vous avez toujours été sujets à prendre du poids facilement.
Il se peut que votre métabolisme soit plus bas que la moyenne. Dans ces
circonstances, ou bien vous acceptez un surplus de poids et travailler à le maintenir
via une alimentation saine et de l’exercice ou bien vous choisissez de calculer à vie
plus précisément ce que vous mangez afin de parvenir à perdre un peu de poids.
Il semble que la prise de poids due au nombre d’heures passées devant la télé ou
l’ordinateur soit plutôt liée à l’augmentation de la consommation de nourriture qu’à la
diminution de l’activité physique. Pour la télévision, L’augmentation de la
consommation de nourriture serait reliée au nombre de publicités alimentaires qui
sont diffusées. Pour ce qui est du travail à l’ordinateur, il est démontré qu’un travail
mental soutenu engendrerait un stress qui nous pousserait à manger au-delà de
notre faim réelle. Aussi, la fatigue intellectuelle pourrait être interprétée comme une
baisse d’énergie due à la faim et non comme une simple fatigue. Pour toutes ces
raisons, il recommandé de ne pas regarder la télévision plus de 2 heures par jour et
de se questionner avant de se précipiter sur un aliment et d’évaluer si nous avons
davantage besoin d’une pause que de manger.
La collation est souvent suggérée pour mieux gérer son poids. Elle permet d’éviter la
baisse d’énergie entre les repas et d’avoir trop faim au repas suivant. Parfois, l’envie
irrésistible de grignoter provient d’une mauvaise répartition des aliments au cours de
la journée. Il est souvent nécessaire de prendre une collation saine et protéinée (ex.
noix et fruit) au milieu de l’après-midi pour aider à résister à la tentation de grignoter
en soirée. De plus, amener avec soi des collations saines au travail ou dans la
voiture évite de se précipiter sur des aliments non-nutritifs lorsqu’on a faim.
Il n’est pas nécessaire de prendre un gros déjeuner, cela dépend de notre faim, mais
ne pas manger du tout entre le lever et l’heure du lunch affectera notre
consommation de nourriture à la hausse au cours de la journée. De plus, il est
démontré que les gens qui déjeunent comblent mieux leurs besoins nutritionnels
quotidiens. Si vous n’avez pas faim au lever, apportez une collation-déjeuner au
bureau comme un yogourt grec, des céréales muesli et un fruit frais.
12- Vous prenez un médicament qui peut affecter votre métabolisme ou appétit
(Megace, Remeron, Zyprexa, etc.)
Il a été démontré que percevoir l’activité physique comme une corvée augmente
notre consommation de nourriture. Ainsi, après avoir pratiqué un exercice sans
plaisir, nous avons tendance à manger des sucreries, des desserts et des
Ce comportement est amplifié par le fait que nous surestimons souvent la dépense
calorique liée à l’exercice. Plusieurs personnes consomment ainsi plus de calories
après un entraînement qu’ils en ont dépensées. Choisissez donc un type d’activité
physique que vous appréciez ou rendez votre activité physique plaisante, que ce soit
en écoutant de la musique ou votre émission de télé préférée, en ralentissant la
cadence ou tout simplement en la voyant comme une pause relaxante.
14- Vous avez un niveau de stress assez élevé depuis une longue période.
L’exposition au stress amène le corps à fabriquer des glucocorticoïdes, des
hormones qui interviennent dans la libération d’énergie. La libération de ces
hormones augmente le niveau d’insuline dans le sang qui sert à faire pénétrer le
sucre dans les cellules du corps. Ce processus favorise une transformation du sucre
en triglycérides, un type de gras, et ce dernier s’accumule dans l’abdomen. Ainsi,
une exposition répétée au stress combinée à une consommation d’aliments riches en
gras et/ou en sucre peut accroître l’accumulation de gras
Sommaire
abdominal et mener à l’obésité. Explorez les façons de diminuer votre stress afin de
moins stocker les calories.
> https://www.femina.fr/article/regime-10-erreurs-a-eviter-pour-mincir
S’affamer
L’erreur
Beaucoup de femmes pensent qu’on ne mincit qu’en ne se privant énormément, au point
d’avoir le ventre qui gargouille et l’estomac qui se crispe. Elles ont tout faux. Car le
corps, machine parfaitement huilée, s’adapte sans mal à son environnement. Si bien
qu’en ne mangeant pas assez, on le fait passer en mode « réserve ». Résultat, il se met
au met au ralenti et utilise moins d’énergie pour ses dépenses dites « incompressibles
» -ce que l’on appelle le métabolisme de base. En mettant le corps en situation de
manque, on favorise donc le stockage. Une adaptation d’autant plus importante chez la
femme, « qui a la charge de perpétuer l’espèce », et qui doit donc posséder des
réserves importantes.
A faire
Pour mincir, on contrôlera ses apports énergétiques et son alimentation, mais pas au
point d’avoir très faim.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
Se forcer à manger
L’erreur
A force de se plier aux exigences des régimes, on en oublierait presque que le respect
de nos sensations naturelles est le meilleur garant d’un poids stable. S’il est préférable
de manger le matin –pour ne pas grignoter dans la journée- il ne faut, pour autant, pas
se forcer, si l’appétit est vraiment au point mort. Selon la même logique, on ne se forcera
pas, non plus, à manger à heures fixes.
A faire
On se contentera d'écouter son corps et de se nourrir qu’au retour de l’appétit, comme le
préconise la chrononutrition.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
On l’entend partout, ne pas boire assez peut empêcher de mincir et provoquer de
la rétention d’eau. Pour autant, boire trop d’eau peut aussi provoquer des gonflements !
Si l’on boit vraiment trop, les reins seront « désorientés » et stockeront une partie de
cette eau. Une idée reçue veut aussi que l’eau soit un coupe-faim naturel. Si cela est vrai
dans le cas d’une faim psychologique (due à un stress, un moment de déprime…), ce
n’est pas le cas pour la véritable faim, physique. Si le corps a besoin de nutriments, de
protéines ou de lipides, il ne sera pas satisfait par du liquide. « Votre corps est plus
intelligent que l’on ne vous laisse croire. »
A lire, L'eau en questions
A faire
Pour vérifier si notre apport hydrique est satisfaisant, on tiendra compte :
1) du nombre de passages journaliers aux toilettes (4 fois au minimum, 7 fois au
maximum, très rarement la nuit)
2) de la couleur de l’urine (elle doit être jaune clair, ni plus foncée, ni plus claire).
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Les édulcorants reproduiraient –approximativement- le goût du sucre, sans effets
néfastes sur notre silhouette ? Quand une histoire est trop belle, c’est qu’elle n’est pas
réelle. Les papilles ne sachant pas faire la différence entre le vrai sucre et ses doublures
presque dépourvues de calories, elles déclenchent le processus classique d’assimilation
des glucides. Le corps, pour les digérer, sécrète de l’insuline. Insuline qui diminue le taux
de sucre dans le sang. Résultat, on se retrouve « en hypoglycémie faute de sucre », ce
qui incite à manger, parfois de manière compulsive. La stévia blanche –en quelque sorte
un concentré du principe sucrant de la plante originelle, la stévia verte- bien que
naturelle, entraîne donc les mêmes effets. Itou du côté des sodas light.
A faire
Diaboliser le sucre ne finira par créer…qu’une forte envie de sucre. Privilégier le « vrai
Sommaire
sucre » au sucre blanc -donc raffiné- qui a perdu les minéraux, oligo-éléments, vitamines
et fibres naturellement présents dans la canne à sucre. On choisira donc du sucre
intégral (ou sucre complet, rapadura, mascobado ou panela), qui ne contient que 80 %
de saccharose, assimilé plus lentement grâce à sa teneur en fibres. On se méfiera du
sucre roux vendu en supermarché, qui n’est en général que du sucre blanc coloré au
caramel.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Non, les graisses ne font pas grossir…tant qu’on ne les ingère pas en excès et qu’on sait
les différencier. Se priver d’un type d’aliment est le meilleur moyen de se frustrer et donc
de craquer. Il est pourtant naturel d’être attirée par le gras. D’abord parce qu’il a participé
à notre survie pendant des millénaires, en nous permettant de faire des réserves. C’est
pourquoi notre « mémoire ancestrale » est tant attirée par lui. Ensuite, parce que le gras
confère une texture dite « palatable », aux aliments : ils sont « moelleux et agréables en
bouche » -contrairement aux fromages allégés cartonneux.
A faire
Pour s’autoriser le gras, on apprend à connaître la grande famille des lipides sur le bout
des doigts :
1) Les lipides structurent les cellules Chaque cellule –sur les dix mille milliards que
nous possédons- possède une membrane faite de…lipides. Pour que nos cellules soient
en bonne santé, il faut donc ingérer du gras, vital pour notre organisme.
2) Les lipides protègent l’organisme Les lipides sont indispensables au corps pour
fabriquer certaines substances –au doux nom d’eicosanoïdes- qui régulent notamment
l’inflammation, les allergies et l’immunité.
3) Acides gras « cis » ou « trans » Les lipides sont constitués d’acides gras. Parmi
eux, on trouve principalement les saturés (sans propriétés nutritionnelles intéressantes),
et les insaturés. Au sein des insaturés, on trouve les acides gras cis (qui sont la forme
naturelle) et les trans (qui se forment à température élevée lors des transformations
industrielles). On évitera les trans (néfastes pour le système cardio-vasculaire), souvent
présents dans le pain de mie, les viennoiseries, les chips et les plats cuisinés. On les
trouve notamment sous les appellations : matières grasses hydrogénées, margarines
végétales… On privilégiera les insaturés, les monoinsaturés (huile d’olive) et les
polyinsaturés (huile de noix).
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
Ne pas mâcher
L’erreur
Engloutir la nourriture sans la mâcher joue tant sur le transit…que sur la silhouette !
A faire
Bien mastiquer réduit, par essence, les aliments en petits morceaux facilement
digérables (ce qui évite ballonnements et problèmes de digestion). Cela permet aussi de
bien enduire la nourriture de salive, qui détruit certains microbes et permet d’entamer la
digestion. Mais si mâcher permet de bien digérer, cela empêche aussi de trop manger.
Car la mastication permet de manger plus lentement, de déguster, et donc, de mieux
contrôler sa satiété.
A lire, Le régime mastication
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
A faire
Garder en tête qu’aucun aliment ne fait grossir ou maigrir en soi. Seule la quantité
consommée aura un impact sur notre silhouette. On peut grossir en se gavant de salade
et mincir en picorant du saucisson. Il s’agit d’adapter son alimentation à son appétit et à
ses envies (qui varient chaque jour), en écoutant les besoins profonds de notre corps.
On tentera donc de réintroduite les aliments « interdits », en évitant d’aller au-delà de
son rassasiement.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Après une journée de dur labeur, il est très tentant de manger devant un écran de
télévision ou d’ordinateur. Pourtant, ces technologies, en nous captivant, nous «
détournent de nos signaux internes ». Résultat, nous ne mangeons plus en fonction de
notre faim, mais jusqu’à ce que l’assiette soit vide. Il en va de même pour le téléphone,
la lecture d’un magazine...
A lire, Conditionnés pour trop manger
A faire
Celles qui ne peuvent vraiment pas s’empêcher de regarder un écran en se nourrissant
se contenteront de le faire uniquement entre les bouchées, jamais la bouche pleine. Les
autres essaieront de se concentrer pleinement sur leur assiette, en savourant le goût, la
texture et les odeurs de chaque aliment.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
Tout le monde n’a pas les yeux verts ou les cheveux bruns. Il en va de même pour la
corpulence. Si l’exercice physique et une alimentation équilibrée permettent de ne pas
être trop enveloppée, la nature, qui aime la diversité, crée des rondes, des minces, des
grosses, des maigres, des petites, des grandes… Chacun tend naturellement vers
son poids de forme, c’est-à-dire celui que l’on pèse lorsqu’on écoute parfaitement ses
sensations alimentaires. Certaines auront des hanches, d’autres des fesses, d’autres
encore pas assez de cuisses…Or, pour être en-dessous de son propre poids de forme, il
faut constamment se priver. Une discipline de fer à laquelle peu de personnes savent se
plier à vie. La majorité d’entre elles seront frustrées, craqueront. Et grossiront.
A faire
Accepter sa corpulence naturelle –même si des ajustements sont possibles. Et ne plus
se peser. Le poids, tout relatif, dépend en effet de l’âge, de la taille, de la masse grasse,
de la masse maigre, de l’eau que l’on a bue ou éliminée… L’étalon ne doit pas être le
poids, mais le volume. Car, hormis votre balance, qui se souciera de savoir que vous
avez pris ou perdu 2 kilos, si cela ne se voit absolument pas ? On choisira donc un
vêtement témoin, qui nous serre un peu, pour juger de des résultats de notre
rééquilibrage alimentaire.
D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat
L’erreur
En mangeant la même chose que son partenaire on pense, à tort que ce même apport
calorique aura un effet identique sur notre silhouette à tous les deux. Malheureusement,
il n’en est rien. Dame nature a doté nos hommes d’hormones qui accentuent la
fabrication du muscle et « diminuent la quantité de cellules adipeuses au niveau des
fesses et des hanches » -bien qu’à un certain âge, ou avec le surpoids, leur bedaine ne
soit pas épargnée par le gras. Au contraire, les hormones féminines stimulent la
production de cellules adipeuses plus grosses, situées sur les fesses et les hanches.
Résultat, la femme stocke…deux fois plus facilement la graisse que l’homme (pour faire
face à une éventuelle grossesse et à l’allaitement). La perte de poids est également plus
difficile, car, toujours selon la même logique, la femme est plus équipée face au manque
et aux périodes de disette.
A faire
Là encore, on essaiera –tant que possible- de ne se concentrer que sur ses propres
sensations. Si on n’a plus faim et que l’on continue de manger inconsciemment parce
que notre homme fait de même, on court à la catastrophe. De même, tant pis si notre
partenaire nous accuse de ne pas être une bonne vivante parce qu’on ne finit pas le
paquet de chips quand lui en a mangé deux. On pense à soi. Et uniquement à soi.
https://www.topsante.com/minceur/regimes-minceur/autres-
regimes/une-nouvelle-therapie-pourrait-aider-a-perdre-du-poids-613585
Sommaire
a été observé après avoir été divisé en deux groupes. Un groupe a suivi un
Résultat au bout d'un an, le groupe ABT a perdu 13.3 % de son poids
groupe a réussi à perdre plus de poids après la fin du régime sur l'année
A S S U ME R S E S C H O I X A L I M E NT A I R E S E T L E M A N Q U E D E
PLAISIR ASSOCIÉ AU RÉGIME
Le secret de l'efficacité de la méthode ABT repose sur plusieurs principes. Il
Sommaire
gestion de ses facultés pour maigrir peut aider à poursuivre les choix
EMOTIONS
https://deman-hypnose.com/
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https://sante.journaldesfemmes.com/psychologie/bien-
etre/conseil/apprenez-a-maitriser-vos-emotions/pourquoi-apprendre-
a-gerer-ses-emotions.shtml
Bon, c'est vrai, vous partez parfois pleurer aux toilettes ou il vous arrive de briser un
ou deux crayons, de rage, de temps en temps... Et alors, pourquoi réfréner ces
pulsions naturelles qui, au fond, semblent vous procurer un certain soulagement, au
moins temporaire ?
Tout simplement parce que ces émotions, poussées à leur paroxysme, peuvent
devenir destructrices. Pour l'esprit comme pour le corps. En laissant les émotions
s'exprimer délibérément, dans toute leur puissance, on ouvre la porte à un cercle
vicieux : sans barrières, elles s'auto-alimentent et peuvent prendre des proportions
non souhaitables.
La colère à son paroxysme est dangereuse dans l'immédiat, car elle peut conduire
à la violence, verbale ou même physique. Une violence qui, même si elle ne nuit
pas nécessairement à autrui, risque de toute façon d'être interprétée très
négativement.
De même, la peur, transformée en terreur, est néfaste, aussi bien
physiquement que psychologiquement. On peut littéralement mourir de peur, pour
peu que l'on ne soit pas dans une excellente condition physique : le cœur, trop
sollicité à cause des palpitations, peut tout simplement lâcher, complètement épuisé.
Au-delà de ces conséquences tout de même rarissimes, l'effroi paralyse souvent, ce
qui n'est pas forcément une bonne idée lorsque l'on se retrouve en situation de
danger. Sans compter qu'à long terme, être "peureux" contribue souvent à miner la
confiance en soi.
Ce n'est pas une surprise, une tristesse "exagérée" est également dangereuse.
Déjà parce qu'elle ternit l'ensemble de la vie de sa victime (ne dit-on pas que
lorsqu'un seul être nous manque, tout est dépeuplé ?). Mais aussi parce que la
tristesse peut engendrer la dépression, qui elle-même constitue un facteur de risque
de suicide. Sans aller aussi loin, une grande tristesse provoque souvent une sorte
d'apathie, un manque de goût pour les choses qui nous plaisaient auparavant, un
manque d'allant.
Avoir la honte de sa vie n'est pas aussi grave, heureusement. D'ailleurs, il paraît
que le ridicule ne tue pas. Mais cela peut tout de même être assez destructeur pour
l 'ego, surtout s'il s'agit d'une sensation persistante. Sans compter que la fébrilité
provoquée par une honte liée à un incident risque de vous faire perdre vos moyens
et là, ce sont les bourdes en série assurées !
https://www.huffingtonpost.fr/dr-travis-bradberry/11-signes-que-vous-
manquez-dintelligence-emotionnelle_a_21893631/
Aujourd'hui, des décennies de recherches désignent l'intelligence émotionnelle comme le facteur critique
différenciant les meilleurs éléments de la majorité. Le lien de causalité est si net que 90% des personnes
les plus performantes ont un quotient émotionnel élevé.
"Bien sûr, l'intelligence émotionnelle est plus rare que l'intelligence classique mais, selon mon
expérience, elle est en fait plus importante pour façonner un leader. On ne peut pas se contenter de
l'ignorer." – Jack Welch
LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ
L'intelligence émotionnelle, c'est ce "petit quelque chose" d'intangible en chacun de nous. Elle affecte notre
manière de nous comporter, de gérer les complexités de la vie sociale et de prendre les décisions
personnelles qui mèneront aux meilleurs résultats.
Malgré la grande importance du QE, son aspect intangible empêche bien souvent de savoir si l'on en à quel
point on en est pourvu et comment l'améliorer dans le cas contraire. Vous pouvez toujours faire un test,
validé scientifiquement, comme celui que je fournis avec le livre Emotional Intelligence 2.0.
Malheureusement, les tests de QE de qualité (scientifiques) ne sont pas gratuits. J'ai donc analysé les
données concernant les sujets testés par TalentSmart – plus d'un million de personnes – afin d'identifier les
comportements caractéristiques d'une faible intelligence émotionnelle. Ce sont ces réactions-là qu'il serait
judicieux d'éliminer.
10. Vous blâmez les autres pour les réactions qu'ils provoquent chez vous
Les émotions sont un processus interne. Il est tentant de pointer du doigt les actions des autres pour
justifier son état émotionnel, mais il vaut mieux en assumer la responsabilité. Personne ne peut vous forcer
à ressentir quoi que ce soit contre votre gré. Croire le contraire ne fera que vous freiner.
Sommaire
dont dépendaient nos habitudes néfastes disparaissent. Vous commencerez vite à faire preuve
d'intelligence émotionnelle en réaction à votre environnement, de manière tout à fait naturelle.
N'hésitez pas à vous exprimer dans un commentaire: je m'enrichis tout autant à votre contact que vous au
mien. Si vous voulez en savoir davantage sur l'intelligence émotionnelle, mon livre Emotional Intelligence
2.0 est un bon point de départ.
https://www.penser-et-agir.fr/gerer-ses-emotions/
Les émotions ne sont pas uniquement des états que nous sommes contraints de subir. Il y a quelques
semaines, je vous ai parlé de l’intelligence émotionnelle et l’un des aspects de celle-ci consiste
prête suffisamment attention et qu’on écoute ce qu’elles ont à nous dire. Par leur manifestation, les
émotions visent avant tout à apporter des informations. Il faut les décoder et s’en servir dans les
Voici quelques étapes à suivre pour mieux utiliser vos émotions et développer vos capacités en la
matière.
propre bien-être.
La toute première étape pour gérer ses émotions consiste à être attentif à son propre état émotionnel.
Plutôt que de subir ses émotions, il est possible d’anticiper les choses en étant davantage conscient
de l’émotion qui naît en soi. Maîtriser ses émotions est donc avant tout un acte d’introspection.
Face à une difficulté ou une situation qui suscite en vous des sentiments, posez-vous les questions
suivantes :
toute urgence alors que vous êtes déjà submergé. Vous êtes obligé de laisser ce que vous êtes en
train de faire, au risque de prendre du retard sur des dossiers importants. Votre responsable ne
Dans ce contexte, que ressentez-vous ? Et avec quelle intensité ? Cela vous met-il en colère, vous
rend-il irritable ?
Dans ce type de situation, vous pourriez fermer les yeux sur ce que vous ressentez… vous dire que le
monde du travail est ainsi fait ! Ou alors, vous pouvez considérer que ce type de demande arrive trop
fréquemment. Du coup, il est difficile de maîtriser ses émotions, puisque l’envie vous vent d’exploser.
TÉLÉCHARGER
Dans le premier cas de figure, vous subissez complètement vos émotions. Le problème risque de
s’accroître sans que vous ne compreniez ce qui se passe. Dans le second cas, vous vous rendez
compte que la situation empire au fil du temps. Vous comprenez exactement ce qui se passe en vous,
et vous pouvez agir. Cette façon de faire aide à mieux contrôler ses émotions, et à prendre la bonne
décision.
Pour contrôler ses émotions, on commence donc toujours par les accepter. Vous êtes furieux,
heureux, frustrée, irritée, ébahie, ou enjouée ? Il faut le reconnaître pour bien agir.
cherchez pas simplement à savoir comment maîtriser ses émotions. Demandez-vous plutôt : Quel
Ces instants d’introspection personnelle permettent de prendre un peu de recul par rapport à
Les émotions négatives sont souvent le signe qu’il vous manque quelque chose d’essentiel dans votre
vie, dans votre environnement ou que vous ne tenez pas compte d’un besoin fondamental.
La prise en compte de ses propres besoins et désirs vous permettra de prendre de bonnes
décisions. Vous percevrez la situation sous un angle nouveau. Vous imaginerez une issue plus
Précisons
vous faites toujours une scène à votre homme quand il rentre après 21 heures. C’est sans doute
parce que vous êtes jalouse. Mais pourquoi l’êtes-vous ? Que révèle cette jalousie ? Serait-ce
parce qu’il a une attitude équivoque envers d’autres femmes ? Est-ce parce que vous manquez de
confiance en vous et avez besoin d’être rassurée ? Ou alors, est-ce parce que vous êtes
possessive ? Celui qui trouve l’origine d’un sentiment récurrent contrôle ses émotions plus
efficacement.
Maîtriser ses émotions est un travail quotidien. En effet, on les ressent tous à différents moments du
jour. Il faut donc s’en servir pour mieux vivre. Lorsqu’une émotion est joyeuse, elle peut vous booster
et favoriser le bien-être. Mais certaines émotions comme la peur, le sentiment d’insécurité ou la colère
Contrôler ses émotions suppose que vous tentiez de résoudre un problème lorsque celle-ci est
passée. Vous savez sans doute que dans la colère, nous disons ou faisons des choses que nous ne
pensons pas. Certaines actions qu’on pose sous le coup de l’émotion peuvent nous porter préjudice.
Alors n’oubliez pas d’utiliser vos émotions intelligemment pour faire la part des choses.
Ceci est valable quelle que soit l’émotion ressentie. Dans un moment de joie euphorique, vous pouvez
faire une promesse que vous regrettez ensuite. Lorsque vous êtes furieux ou jaloux, vous pourriez
Apprenez donc à agir quand vous êtes suffisamment calme. Si vous avez du mal à exploser par
jalousie, prenez des mesures concrètes : sortez prendre de l’air au lieu de vous disputer avec votre
conjoint. Réfléchissez avant de punir votre enfant au lieu de lui lancer des insultes au visage. Utilisez
les astuces qui suivent pour maîtriser ses émotions quand celles-ci vous submergent. N’oubliez pas
qu’en France, la jalousie est une motivation courante à l’origine de nombreux délits.
Sommaire
avons besoin de nous reconstruire affectivement. Pour gérer correctement vos émotions, commencez
par lutter contre ces tendances émotives qui peuvent être destructrices. Il s’agit notamment de :
L’instabilité: les personnes instables passent d’un sentiment extrême à l’autre. Elles alternent des
périodes de déprime et de bonne humeur. Dans ces conditions, elles peuvent faire preuve
d’imprudence au volant, et devenir irascibles et difficiles à vivre. Une instabilité chronique de ce
type est parfois l’indice d’une maladie psychologique plus profonde comme la schizophrénie. Si
vous constatez que votre humeur est très instable, prenez des mesures concrètes pour vous faire
aider. Autrement, vous aurez beaucoup de mal à gérer vos émotions.
L’anxiété: une personne anxieuse s’inquiète de tout, et devient vite une plaie pour ses proches et
ses collègues. J’ai grandi avec une tante qui était si anxieuse qu’elle se rendait dans notre salle
pendant les heures de cours, pour s’assurer que son fils allait bien ! Celui qui n’apprend pas à
réduire son anxiété aura toujours du mal à gérer ses émotions. Les 5 étapes contenues dans cet
article permettent justement de venir à bout de cette tendance maladive !
L’impulsivité : une personne impulsive trahit un manque de patience. En cas de conflit, elle ne
prend donc jamais le temps d’écouter l’autre partie. Une personne aussi réactive conduit de façon
dangereuse, parce qu’elle se laisse dominer par sa colère. Celui qui veut contrôler ses émotions
plus efficacement devrait commencer par être un peu moins impulsif et sanguin.
À vous de jouer !
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager sur vos réseaux sociaux préférés en cliquant sur le
Pour vous, gérer ses émotions est-il quelque chose d’évident ou de totalement inconnu ? Comment
percevez-vous la façon dont vous pouvez utiliser vos émotions pour résoudre des problèmes ou faire
https://deman-hypnose.com/l-hypnose/les-applications/gerer-ses-
emotions/
Hypo- ou hyper-sensible
Face à un évènement soudain et inattendu, il peut arriver de perdre son sang froid ou d’avoir les
nerfs qui lâchent ; c’est naturel et tout à fait compréhensible. Mais quand des émotions intenses
et incontrôlables surgissent de manière intempestive, parfois sans qu’on puisse même en trouver
les causes, c’est fatiguant. Au contraire lorsqu’aucun évènement, aussi dramatique soit-il, ne
provoque la moindre émotion, avoir conscience de ce « décalage » peut faire naître un sentiment
de culpabilité.
Dans certaines situations, avoir un excès d’empathie ou d’apathie peut engendrer des effets
indésirables sur notre moral et nos relations sociales. Gérer ses émotions requière une bonne
maîtrise de soi, qu’il est souvent difficile d’obtenir par le seul effort de la conscience. Pour de
meilleurs résultats, il est utile d’apprendre à canaliser ses émotions au niveau de l’inconscient.
Maîtriser sa colère : quand quelque chose vous irrite, sachez comment le signifier sans
exploser de rage ni vous laisser ronger de l’intérieur.
Gérer son stress : la frontière est ténue entre un stress qui dynamise et un stress qui
épuise. Apprenez à mettre votre stress au service de votre efficacité et à ne plus
mélanger stress du travail et stress de la maison.
Ressentir ses émotions : autorisez-vous à pleurer, à rire, à être déçu, à aimer, à vous
émerveiller,… Soyez en phase avec vous-même et avec les autres.
Prendre du recul : quand une émotion vous saisit, ne vous laissez pas submerger,
libérez le trop-plein et dosez votre émotion à sa juste mesure, en chaque situation.
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GERER LE PASSE
http://www.doctissimo.fr/
http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-
personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Je-vis-dans-le-passe
Pourquoi ?
Feuilleter les albums photo de son enfance, évoquer ses souvenirs de lycée
entre anciens élèves, se rappeler ses amours passées, autant de façons de «
prendre conscience de ce que l’on a été et de ce que l’on est devenu, explique
la psychothérapeute Catherine Aimelet-Périssol (auteur de Comment
apprivoiser son crocodile Robert Laffont 2002). Se référer au passé permet de
se repositionner dans le présent et d’anticiper le futur. »
Quel qu’il soit, heureux ou malheureux, le passé est toujours un espace dans
lequel on se reconnaît, une bulle rassurante. Le risque ? Ne plus pouvoir s’en
détacher. Dès lors, on ampute une part de sa personnalité en restant sur ses
acquis et en ne développant pas son potentiel.
Sommaire
Refuser d’oublier
Bien souvent, rester prisonnier de son passé est la preuve que certaines
choses n’ont pas été réglées, qu’un fort traumatisme n’a pas été "digéré" à
temps. Il nous tire vers l’arrière et nous empêche d’avancer. Si le travail de
deuil est toujours difficile à faire, c’est aussi parce qu’il renvoie à la notion de
"finitude", de révolu et, par extension, à l’idée de notre propre mort. Mais aussi
parce que, dans le cas de la disparition d’un proche, par exemple, on pense
que "faire le deuil" reviendrait à "oublier", ce que l’on se refuse à faire.
Inconsciemment, on s’efforce donc de faire survivre cet autre en restant tourné
vers lui, dans le passé.
Refuser la séparation
Derrière l’incapacité à tourner la page se cache une difficulté à "rompre", à
"partir". Les psychanalystes l’apparentent à l’angoisse infantile de la rupture
avec la mère, premier deuil auquel l’enfant est confronté. Quand ce deuil n’a
pas été correctement assimilé, on cherchera, à travers la régression, à se
replonger dans cette relation fusionnelle, soit parce que l’on a le sentiment
d’en avoir été privé, soit parce que, au contraire, on n’en est jamais sorti.
L’absence, réelle ou symbolique, du père en est souvent la cause.
Témoignage
Annabelle, 40 ans, documentaliste
« A l’âge de 25 ans, j’ai vécu une histoire d’amour, qui s’est soldée par une
rupture brutale après sept ans de vie commune. Je n’avais rien vu venir :
l’homme que j’aimais passionnément est parti du jour au lendemain,
emmenant ses affaires et la plupart des meubles que nous avions choisis
ensemble. Il m’a fallu des années pour m’en sortir. Je ne pensais qu’à lui,
revoyais les moments que nous avions passés ensemble, rêvais de le
rencontrer à nouveau…
Créer
La création artistique permet de s’inscrire dans le temps. L’objet que l’on peint
ou sculpte porte la marque d’un progrès auquel on peut se référer pour
prendre conscience de sa propre évolution. La création est également un
moyen efficace de reprendre confiance en soi : elle nous fait découvrir que l’on
peut produire de la nouveauté.
Se libérer du passé
La nostalgie dépend d’une tendance naturelle à idéaliser le passé. L’endroit,
l’ambiance, les sensations associées au souvenir sont magnifiés. Revisiter les
lieux qui nous hantent peut nous libérer de l’image idyllique que l’on en a
gardée. Dans certains cas, ce sera aussi l’occasion de régler ses comptes
avec d’autres éléments de ce passé et de repartir sur des bases saines.
https://nospensees.fr/ne-lachez-passe-pouvez-saisir-futur/
3 étapes à franchir pour ne plus vivre dans le passé
Lisez la suite de cet article, et vous découvrirez 3 étapes simples qui, si vous
les franchissez, vous permettront de ne plus vivre dans le passé :
Accepter
Le passé ne peut pas changer, contrairement au présent et au futur.
Alors, acceptez ce qui est arrivé et libérez-vous de la culpabilité que
vous portez sur vos épaules et qui vous empêche d’envisager le futur ainsi
que de vivre le moment présent.
L’acceptation est fondamentale si l’on veut affronter les problèmes de front.
Apprendre
Dans la vie, on peut tirer une leçon de chaque expérience passée. On sait
déjà ce qu’on ne doit pas reproduire, et ce que l’on doit éviter.
Si on commet de nouveau la même erreur que dans le passé, il ne
s’agira alors plus d’une erreur, mais d’un choix.
Pardonner
Souvent, on ne parvient pas à pardonner une personne qui nous a fait du
mal ou un ami qui nous a trompé.
Généralement, avec le temps, la rancune finit par s’atténuer et se diluer, car
pardonner, c’est une façon de dépasser cette paix avec nous-même et avec
les autres.
Pardonnez les autres, mais pardonnez-leur vraiment, sans fausseté, et
pardonnez-vous également à vous-même.
Il n’y a que de cette façon que vous vous libérerez des chaînes qui vous
attachent à un passé que vous ne pouvez pas changer.
Saisissez le futur
Octroyez-vous le droit de rêver, respirez un bon coup, pensez à la vie
future que vous aimeriez vivre, et faites votre possible et votre impossible
afin que vous rêves deviennent réalité.
Fixez-vous un objectif, ainsi que les étapes à franchir afin de l’atteindre. A
quoi ressemble la maison où vous aimeriez vivre ? Les lieux que vous
voudriez visiter ? Le travail que vous aimeriez avoir ? Votre
compagnon/compagne idéal(e) ?
Si vous vous posez toutes ces questions et que vous pensez que tout
dépend de la chance ou des autres, vous vous trompez complètement,
car la seule personne capable de réaliser vos rêves, c’est vous-même.
Personne ne viendra sonner à votre porte et vous offrir le travail de vos
rêves, l’homme ou la femme dont vous avez toujours rêvé ne tombera pas
nez à nez avec vous un beau jour, tout comme cette maison au bord de la
mer dont vous rêvez tant n’apparaîtra pas comme par magie.
Sortez et saisissez le futur ! Une fois vos objectifs fixés, pensez à toutes
les étapes à franchir afin de les atteindre, élaborez un calendrier et planifiez
tous les détails.
Chaque période de votre vie contrôle vos progrès et corrige les erreurs
commises. Tenez-compte du fait qu’un objectif doit être clair et concis,
mesurable et réaliste.
« Le futur a beaucoup de noms. Pour les faibles, c’est l’insaisissable. Pour
les téméraires, l’inconnu. Pour les courageux, c’est l’opportunité »
-Victor Hugo-
http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dans_sa_peau/15875-
souvenirs-douloureux.htm
" Il existe un lien entre la mémorisation et les émotions, qu'elles soient agréables ou désagréables" explique Jean-Louis Monestés, docteur
en psychologie et psychothérapeute. D'un point de vue adaptatif, on se souvient d'événements inhabituels associés à un danger, de façon
à être en alerte si une situation analogue se représente, pour ne pas commettre les mêmes erreurs.
A l'inverse, d'autres évènements plus agréables jouent le rôle de renforcement. On se souvient bien des lieux, des personnes, des
situations qui sont associés à un sentiment de bien-être et à une sensation de sécurité. S'en souvenir permet de chercher à les reproduire.
En règle générale, ce qui est de l'ordre du banal ou devenu habituel, suscite peu d'émotions, nous marque moins.
Certaines personnes cultivent une certaine nostalgie : à la clé des regrets, des remords, c'est le temps des "si j'avais su" ou "j'aurais dû",
avec le vain espoir de reconstruire le passé.
D'autres procèdent plutôt par évitement, mobilisant une énergie incroyable pour oublier, comme si ça n'avait pas existé. Ce qui a pour
effet de produire le résultat inverse : plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l'oublier, plus il revient en force malgré
nous. En cherchant à effacer un souvenir, on le renforce. En cherchant à le supprimer, on nourrit le feu.
En ce qui concerne des souvenirs dits "traumatiques" (viols, accident, etc.) il est absolument recommandé de faire appel à un
professionnel. De nouvelles thérapies dites "thérapies de la pleine conscience" et "thérapie d'acceptation et d'engagement" donnent de
bons résultats. Toutefois pour les souvenirs plus anodins, néanmoins capables de parasiter notre vie, voici quelques pistes intéressantes
à suivre.
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https://nospensees.fr/oublier-souvenirs-tristes-negatifs/
« Si vous n’avez pas entre vos mains le pouvoir de changer une situation qui
vous provoque une douleur, vous pourrez toujours choisir l’attitude avec
laquelle vous ferez face à cette souffrance. »
(Viktor Frankl)
Le psychologue argentin Walter Riso suggère dans son livre « Manuel pour
ne pas mourir d’amour » une technique pour oublier un ex, qu’il appelle « La
technique du stop ».
Chaque fois que nous viennent à l’esprit des souvenirs de cette
personne, il faut taper dans nos mains et dire à haute voix: STOP!
Cela nous permettra de faire un arrêt dans nos pensées, qui vont se
désordonner et nous donner alors une pause. Ce n’est pas une technique
infaillible, mais comme le dit Riso, cela soulage.
Enfin, une pratique très utile pour nous détendre et contrôler nos pensées,
nos souvenirs et nos sentiments est le mindfulness.
Le mindfulness peut être défini comme une technique de méditation
qui consiste à placer une pleine conscience dans le moment présent,
sans jugement, avec acceptation et curiosité.
D’autre part, la méditation est un exercice intellectuel qui vise à atteindre un
état de concentration sur une pensée, un objet ou nous-mêmes, à travers la
respiration, par exemple.
La pratique du mindfullness nous montre qu’un plein état d’attention et
de conscience peut nous aider à réduire le stress, à être plus créatifs et à
évaluer les situations avec plus d’objectivité pour mieux profiter de ce que
nous faisons et ainsi entraîner notre résistance face à nos émotions.
Par conséquent, laissez vos mauvais souvenirs derrière vous, suivez le
chemin de votre vie et profitez-en au maximum!
EJACULATION PRECOCE
http://www.durerpluslongtemps.fr
https://nicoleaudette.com/
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http://www.durerpluslongtemps.fr/causes-ejaculation-precoce
https://nicoleaudette.com/therapie-ejaculation-precoce/
Pensons aussi à Viagra, Cialis, Lévitra, qui ne sont nullement appropriés pour traiter
l’éjaculation précoce, mais pour les hommes souffrant d’impuissance. Lorsqu’un
éjaculateur précoce compte sur ces médicaments pour retrouver plus facilement une
autre érection, il ne doit pas oublier que ce sont des dilatateurs de vaisseaux
sanguins. Il n’est peut-être donc pas prudent de les utiliser lorsqu’on est déjà très
puissant.
Et tous les antidépresseurs prescrits par les médecins pour répondre aux
demandes des éjaculateurs précoces. Un article sur ce site parle d’ailleurs des
antidépresseurs utilisés à cet effet. Il est documenté par des professionnels. (Éjaculation
précoce et médication)
La démarche sexocorporelle que je propose, n’a rien à voir avec toutes ces méthodes ou
moyens qui ne tiennent pas compte du plaisir, c’est-à-dire, de l’abandon et de la volupté
partagés que l’on devrait ressentir lorsqu’on fait l’amour. Il semble que la plupart de ces
moyens ne soient basés que sur une performance à réaliser à tout prix, au détriment du
plaisir, c’est-à-dire, quelles que soient les conditions qui les accompagnent ou les effets
négatifs qui en résultent, pourvu que cela dure plus longtemps. Et si « durer » tout en
ayant du plaisir était possible ? C’est l’objectif des habiletés corporelles démontrées
dans cette vidéo, mais sans effets secondaires néfastes, ni moyens artificiels dont
plusieurs deviennent dépendants.
Et si vous cessiez de chercher, de faire des détours qui ne feront que prolonger votre
cauchemars? Et si vous preniez la décision de développer les quelques habiletés
sexocorporelles qui fera toute la différence une fois pour toute pour vous? Qu’avez-vous
à perdre? Je vous garantie que vous avez tout à gagner. Prenez ma parole d’experte
en tant que experte du contrôle éjaculatoire depuis plus de 30 ans. La balle est
maintenant dans votre camp!
J’ai créé cette vidéo pour vous messieurs qui cherchez depuis trop longtemps à savoir
comment parvenir à contrôler votre excitation. Vous ne regretterez pas d’avoir fait ce
choix!
TIMIDITE
Les sites de reference :
Passeportsante.net
Psychologies.com
Doctissimo.com
https://timidite.info/comprendre/origine-de-la-timidite/
inhiber ?
homéopathique…
Dans bien des cas, la timidité n’est pas uniquement le fruit d’un
traumatisme ni la faute d’un parent, mais le résultat
d’un mécanisme psychique qui se construit à petite dose et
insidieusement.
Dans cet extrait, l’expert en neurosciences David Lefrançois
explique de manière éloquente comment 2 ou 3 remarques en
apparence anodines, faites à un enfant, vont le conditionner à
ressentir de l’hésitation, voire de la honte, avant de prendre la
parole.
++++++++
https://www.passeportsante.net/fr/psychologie/Fiche.aspx?doc=timidite
La timidité
La tension et l’anxiété en réponse à l’appréhension d’un résultat potentiellement négatif (échec d’une
prestation orale, jugement négatif lors des nouvelles rencontres) provoquent une augmentation de
l’excitation physiologique (un pouls élevé, des tremblements, une augmentation de la transpiration)
ainsi qu’une nervosité subjective. Les symptômes s’apparentent à ceux de l’anxiété :
Il est étonnant de constater que les individus s’identifient facilement comme étant
timides.Entre 30 et 40 % de la population occidentale se considèrent timides, bien que seulement 24
% d’entre eux sont prêts à demander de l’aide pour cela.
Les timides ont des caractéristiques qui sont bien documentées scientifiquement.
Le timide est doté d’une grande sensibilité à l’évaluation et au jugement par autrui. Cela explique
pourquoi il craint les interactions sociales, qui sont des occasions de se faire évaluer
négativement.
Le timide a une faible estime de soi, ce qui l’amène à entrer dans les situations sociales avec
l'impression qu'il ne parviendra pas à agir de façon appropriée et répondre aux attentes des
autres.
La désapprobation des autres est une expérience très difficile qui renforce la timidité du timide.
Les timides ont tendance à être très préoccupés, obnubilés par leurs pensées : les mauvaises
performances pendant l’interaction, les doutes sur leur capacité à être à la hauteur, l’écart entre
leur performance et ce qu’ils voudraient réellement montrer les obsèdent. Environ 85 % de ceux
qui s’estiment timides avouent s’interroger trop sur eux-mêmes.
Les timides sont des individus très critiques, y compris à l’égard d’eux-mêmes. Ils se fixent des
objectifs très élevés et craignent l’échec plus que tout.
Les timides parlent moins que les autres, ont moins de contact avec les yeux (difficultés à
regarder les autres dans les yeux) et ont plus de gestes nerveux. Ils rencontrent de facto moins de
gens et ont plus de difficultés à se faire des amis. De leurs propres aveux, ils ont des problèmes
de communication.
Les situations difficiles pour un timide
Il amène à subir des échecs sur les plans amoureux, social et professionnel
A être moins aimé par les autres
Entraîne beaucoup de difficultés à communiquer
Conduit le timide à ne pas faire valoir ses droits, ses convictions et ses opinions
Conduit le timide à ne pas chercher à occuper des postes plus élevés au travail
Entraîne des problèmes de contact avec des gens de hiérarchie supérieure
Conduit le timide à ne pas être ambitieux, à être sous-employé et à rester sans succès dans son
emploi
Aboutit à un développement de carrière limité
Les citations inspirantes
« Si vous voulez être beaucoup aimé, beaucoup et souvent, soyez borgne, bossu, boiteux, tout à
votre aise, mais ne soyez pas timide. La timidité est contraire à l'amour et c'est un mal presque
incurable ». Anatole France dans Stendhal (1920)
« La timidité tient plus de l'amour-propre que de la modestie. Le timide connaît son endroit faible et
craint de le laisser apercevoir, un sot n'est jamais timide ». Auguste Guyard dans Quintessences
(1847)
++++++++
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Oser-les-cles-de-la-
confiance-en-soi/On-ne-nait-pas-timide-ou-complexe-on-le-devient
On ne naît pas timide ou
complexé, on le devient
C’est dans notre enfance que se consolide, ou non, notre confiance face à la
vie. L’attitude de nos parents est bien sûr déterminante. En bien ou en mal.
Isabelle Taubes
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La survalorisation
Je n’ose pas m’affirmer ", " je ne sais pas dire non ", " j’ai peur du jugement
des autres ", " je suis timide ", " je perds mes moyens quand je dois parler
en public ", " quand je suis amoureux, j’ai le sentiment de ne pas mériter
d’être aimé en retour ", " j’ai l’impression d’être sans valeur "… Autant de
façons de faire entendre que l’on n’a pas confiance en soi. " En fait,
peut être très à l’aise dans le domaine professionnel et pas du tout dans
relation aux parents qu’ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce
qu’on les aime, qu’on les admire, qu’on les sacralise, qu’ils influent de la
enfants
" C’est fou ce que tu manques de grâce ! " déclare la mère irritée par
futur petit rat de l’Opéra… On le sait depuis Freud, les parents ne peuvent
ils ont échoué, leurs petits réussiront. Mais certains tiennent trop à leur
rêve pour accepter l’enfant tel qu’il est. Et quand ils s’aperçoivent qu’il ne
autrui –, de préférence ceux qui ont été fortement investis par les parents.
pourquoi il n’ose pas s’exprimer à l’oral en classe… " Des parents, déjà
Même s’il n’est pas rare que cet aveuglement signifie, plus tard, pour leur
enfant timoré (et souvent il l’est, parce que trop intimidé par eux) entraîne
complexé, on le devient
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La surprotection
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La surprotection
" Pas question que nous t’offrions une Mobylette, tu pourrais avoir un
accident. " Les parents anxieux ont tendance à surprotéger leurs enfants
Or rien n’est plus contagieux que ce sentiment qui vous envahit sans que
vous puissiez le contrôler. Papa et maman ont peur pour leur enfant, le
commence à craindre lui aussi pour son existence ! Il se met à éviter les
Et perd peu à peu confiance en lui. " De plus, l’anxiété, affect très mobile,
de faire face à l’autorité, observe Gérard Louvain. D’où, plus tard, des
inhibitions et des peurs dans des domaines sans lien apparent avec la
que l’on a. Du coup, devenue adulte, elle s’ennuie à mourir dans son job
mais n’ose pas en changer… " Ce qui nous incite à oser les changements,
des parents qui croyaient en vous, qui vous ont encouragé à écouter vos
désirs. "
La survalorisation
" Ma fille est extraordinaire. Elle est d’une intelligence rare. Et quelle
beauté ! " affirme la mère, tandis que la petite, gênée, ne sait pas où se
autant, car elle ne permet pas d’acquérir une conscience exacte de ses
Nettement plus ravageurs sont les désirs parentaux inconscients, surtout quand ils sont hostiles.
Parce que l’inconscient est justement ce que personne ne peut maîtriser. Or il existe des parents
suffisamment infantiles et névrosés pour voir en leurs rejetons de dangereux rivaux, dont la réussite
leur porterait ombrage. Le psychisme de l’enfant enregistre les vœux de ses parents et, effectivement,
fabrique des symptômes en forme d’empêchement, de blocages, de peurs.
Le rôle des relations parents-enfants dans l’apparition du manque de confiance en soi n’est donc plus
à démontrer. Toutefois, si une enfance peu propice à l’épanouissement est un handicap, elle est
rarement une infirmité définitive. Il reste toujours possible, à l’âge adulte, de reprendre en main les
cartes de son destin.
++++++
Non à la timidité
Surmonter le trac
L'hypnose
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elle m’aider ?
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Les psychotérapeutes qui s’attaquent à la phobie sociale
s’appuieront sur un arsenal de mesures complémentaires :
1. La relaxation
2. La modification des pensées
3. L’apprentissage de la communication
4. L’exposition graduée
Si vous décidez d’entamer un travail pour vous-même, sans
faire appel nécessairement à un professionnel, nous vous
conseillons d’utiliser ces mêmes leviers.
Une thérapie n’est pas forcément individuelle. Les thérapies de
groupe ont un intérêt tout particulier dans les cas de phobies
sociales. Les professionnels qui les ont pratiquées en sont
généralement très satisfaits. Les thérapies de
groupe permettent de :
profiter de regards extérieurs ;
s’encourager mutuellement ;
effectuer des jeux de rôles ;
ne pas éterniser la thérapie (à durée généralement limitée) ;
faire preuve d’empathie ;
réaliser qu’on n’est pas le seul à souffrir du problème ;
imiter ceux qui s’en sortent ;
porter son attention sur l’autre (chose que les timides ont du
mal à faire naturellement).
D’autres thérapies existent, dont les variantes se multiplient :
hypnose, autohypnose, autosuggestion graphique,
visualisations, luminothérapie, psychogénéalogie,
psychochirurgie,… Autant le dire tout de suite, certaines ont
moins bonne presse. Mais il est bon de se rappeler que la
psychologie ou la neurologie sont des sciences fort récentes,
que leur champ d’exploration est encore infini et que les écrits
du Docteur Freud ne constituent certainement pas un point
d’arrêt.
D’autres approches, comme la sophrologie, s’intéressent
davantage à la dimension corporelle, très présente dans la
timidité. Inspirée des techniques orientales de méditation, du
yoga et de la relaxation occidentale, la sophrologie développe
la conscience de façon à harmoniser le corps et l’esprit, en
chassant peurs, angoisses et tensions, notamment la peur des
autres. Certaines personnes peuvent estimer avoir progressé
sur le plan psychologique mais continuer de sentir tout une
série de bloquages sur le plan physique : les épaules rentrées,
le regard fuyant, les mains qui transpirent, les joues qui
tremblent, la respiration qui s’emballe. La sophrologie peut
aider à prendre conscience de ces bloquages et à les dénouer.
Chers lecteurs, vos témoignages sincères à propos des
bienfaits ou méfaits de l’une ou l’autre forme de thérapie en
matière de phobie sociale nous intéressent. N’hésitez pas
à nous écrire.
+++++++
https://www.vaincre-sa-timidite.fr/timidite-maladive/
Maladive
timidité maladive ?
La Timidité Maladive
C’est ce sentiment de peur qu’elle éprouve à l’égard des autres, en particulier
les personnes inconnues. Une peur qui s’accompagne souvent d’un refus,
inconscient, de s’engager dans des relations avec les autres.
Les adultes qui souffrent de timidité maladive ont alors l’impression qu’ils ne peuvent
rien y faire, l’impression que cette peur est plus forte qu’eux…
Vaincre la timidité maladive revient donc à soigner sa peur de l’autre. Cette peur qui
est une émotion difficilement contrôlable.
Lorsqu’une personne timide déclenche des crises d’angoisses et des attaques de
panique, on dira cette fois qu’elle souffre d’une vraie maladie : la phobie
sociale ou agoraphobie.
En général, le timide est quelqu’un qui manque de confiance en lui. C’est
ce doute de soi et la crainte qui prédomineront à chaque fois qu’il s’agira d’entrer en
relations avec d’autres. Cela se remarque lorsque la personne n’ose pas faire le
premier pas.
Naturellement, à long terme, un individu qui est maladivement timide aura tendance
à éviter les autres et à se replier sur lui-même. Avec un risque de sombrer dans la
déprime ou la dépression.
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maladive ?
être timide ?
JOIE DE VIVRE
https://www.plateforme-bienetre.fr/comment-retrouver-la-joie-de-vivre/
Nous avons tous des baisses de régimes, des baisses de moral. Cela peut-être dû à
des évènements imprévus et plutôt désagréables, à un changement
d’environnement, au manque de nos proches ou encore du changement de lune ou
d’un changement de pression de l’air… Peu importe finalement. Ce qui nous importe
en revanche, c’est de savoir comment retrouver la joie de vivre qui a pu nous
quitter subitement.
Pour cela, il existe des tas de techniques mais il est bon de prendre conscience de
pourquoi la joie de vivre semble nous avoir quitté et comment la retrouver.
Cet article est une participation à l’évènement interbloggueurs A la croisée des blogs.
Ce mois-ci, c’est Brice de Sourire au Stress qui nous propose le sujet de la joie de
vivre. Vous pouvez retrouver son article de lancement ici.
Dans tous les cas, vous allez perdre votre joie de vivre quand vous n’êtes plus dans
le moment présent. Par cela, j’entends que soit vous ressassez le passé, soit
vous vous inquiétez du futur.
Un évènement survient dans votre vie et il réveille alors des douleurs du passé ou
tout simplement des inquiétudes sur comment ca va se passer. Ca peut même
être les 2 en même temps ! Imaginez que votre patron vous donne la responsabilité
d’un projet difficile à finir dans un délai très court. Cela peut réveiller en vous le
dernier échec que vous avez subi sur ce type de mission ainsi que les inquiétudes
que vous avez à pouvoir faire ce travail correctement et à temps. J’ai pris un exemple
professionnel mais cela peut être dans tous les domaines.
Donc d’un point de vue général, c’est un évènement ou une situation particulière et
souvent soudaine qui vient perturber votre joie de vivre.
Votre mission avant tout est d’accepter qu’il y a un blocage en vous. C’est une
excellente chose que vous vous sentiez mal car cela va vous permettre de
vous améliorer.
Si vous étiez au clair avec vous-même à 100% dans votre vie, rien ne vous
atteindrait personnellement sur le long terme. Vous pouvez tout à fait être peiné
ponctuellement par une situation mais vous sauriez aller de l’avant. Si vous ne le
pouvez pas, c’est qu’il y a un loup !
Certains vont me dire « Mais j’ai perdu un être cher ! Ca ne dépend pas de moi. » ou
alors « Ma femme m’a quitté et je n’ai plus goût à rien. ». Encore une fois, vous
pouvez être peiné sur l’instant même. Mais si l’évènement arrive c’est qu’il y a une
raison. Et si vous vous sentez mal ou que vous entrez en dépression, c’est
uniquement votre réaction surdimensionnée à la situation en question qui est
la cause de votre mal-être. Et cette épreuve va vous permettre de vous mettre au
clair avec vous-même et d’avancer plus sereinement dans votre vie.
Vous devez à tout prix reprendre conscience de qui vous êtes vraiment. Vous vous
identifiez peut-être à une personne que vous étiez dans le passé alors que vous
avez changé ! Tout évolue dans le monde en permanence et vous y compris.
Regardez-vous d’un point de vue objectif aujourd’hui. Regardez tous vos points
positifs. Mettez le doigt sur votre vraie valeur et voyez de l’avant. Vous pourrez ainsi
vous désidentifier de situations qui vous maintiennent dans des émotions qui ne vous
conviennent pas.
S’il est une chose universelle, c’est d’aspirer à la joie de vivre. Mais comme la vie ressemble
davantage aux montagnes russes qu’à un long fleuve tranquille, il peut arriver à tout le monde de
perdre le plaisir de vivre et de se laisser aller.
Comment retrouver le moral et la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Découvrez nos conseils pour retrouver le sourire dans l’adversité.
Rendue célèbre par la littérature et la psychologie, l’expression « joie de vivre » a traversé la mer
puisqu’elle est même utilisée par nos voisins anglophones pour désigner un état heureux et une
forme d’exaltation de l’esprit. Pour l’illustre médecin et généticien français Axel Kahn, le bonheur
est une « adéquation entre ce que l’on vit et ce à quoi on aspire ». C’est pourquoi savoir ce que
l’on veut est une condition nécessaire pour trouver la joie de vivre.
Attendre toute la journée que ce soit la soirée, toute la semaine qu’arrive le vendredi et toute
l’année le temps des vacances : c’est le fonctionnement de bon nombre d’entre nous. Nous
vivons ainsi une vie à laquelle nous cherchons à échapper en permanence. Et si nous
apprenions à cueillir le plaisir de vivre ici et maintenant, plutôt que de nous laisser aller à
l’insatisfaction ? Cela passe par une chose simple : désacraliser la joie de vivre. Le bonheur n’est
effectivement pas une quête sacrosainte ; le plaisir de vivre peut se trouver ici et maintenant. Le
sourire d’un inconnu, un fou rire entre amis, un geste d’amour, l’observation d’un animal, une
parole empathique : les petites choses quotidiennes aident à retrouver la joie de vivre.
Comment retrouver la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Écrivez chaque soir trois choses agréables et positives qui vous sont arrivées dans la
journée.D’une part, des études ont démontré qu’écrire contribuait à retrouver la joie de vivre.
D’autre part, se concentrer sur les choses positives déclenche le cercle vertueux suivant : une
pensée positive engendre une émotion positive qui conduit à entreprendre une action positive,
action donnant elle-même naissance à une nouvelle pensée positive, et ainsi de suite.
Pratiquez une activité physique. Si vous avez tendance à vous laisser aller, essayez le sport. Il
permet la libération d’endorphine dans l’organisme. Contraction de « morphine endogène »,
l’endorphine est une substance qui non seulement diminue la douleur, mais apporte également
une sensation de bien-être qui permet de retrouver le sourire et le plaisir de vivre dans
l’adversité. C’est également la substance que notre corps produit après l’orgasme.
Prenez des initiatives altruistes. Qu’il s’agisse simplement d’un geste, comme aider un voisin
ou une voisine à monter ses courses, d’une parole réconfortante ou agréable, comme un
compliment sincère et désintéressé, ou encore d’une action, comme proposer à votre partenaire
ou à une amie de sortir pour fêter un évènement heureux de sa vie, les
initiatives altruistes aident à retrouver le sourire, la joie et le plaisir de vivre. Rendre quelqu’un
heureux rend heureux, c’est aussi simple que cela.
Recentrez-vous sur l’essentiel. Compte Facebook et autres réseaux sociaux, séries télévisées
à n’en plus finir, jeux vidéo, accès facile à l’information en temps réel, contact permanent avec
ses proches via les applications des smartphones : le moins que l’on puisse dire, c’est que le 21e
siècle a son lot de distraction. Si vous avez perdu le plaisir de vivre suite à une dépression et
que vous cherchez comment retrouver le moral, ou que vous vous demandez comment retrouver
la joie de vivre après un deuil ou une rupture, vous recentrer sur vous-même et prendre du recul
face au brouhaha du monde pourrait vous être bénéfique. Vous pouvez par exemple essayer de
faire une journée sans smartphone ou un week-end sans écrans.
Changez votre rapport au temps pour donner priorité à l’essentiel. Combien de fois
entendons-nous ou prononçons-nous la phrase « J’ai pas le temps » ? Autant être clair : c’est
faux. Tout le monde dispose de 24 heures dans une journée. Ce que nous faisons de ce temps
est ensuite une question de choix. Si vous voulez absolument faire une chose, donnez-lui la
priorité sur une autre qui vous prend du temps et est moins essentielle. Sortez des sentiers
battus, aménagez votre temps et votre vie à votre guise car vous avez le temps de vivre vos
passions. Prenez votre courage à deux mains, arrachez-vous aux habitudes et lancez-vous dans
de nouvelles expériences : faites enfin ce que vous avez toujours voulu faire.
Écoutez votre cœur et votre intuition. Votre instinct et vos sentiments constituent votre vérité.
Les refouler, les ignorer ou perdre le contact avec eux ne les élimine pas. Faites de
votre intuition votre alliée ; elle constitue la plus fiable des boussoles pour déterminer ce qui est
bon pour vous et ce qui ne l’est pas.
Vous voulez d’autres conseils sur comment retrouver le moral et la joie de vivre après un deuil,
une dépression ou une rupture ? Vous voulez retrouver le sourire et découvrir ce que l’avenir
vous réserve après un coup dur ? Découvrez notre équipe de médiums et de voyants.
Choisissez le consultant qui vous convient et profitez d’une première consultation gratuite sans
complaisance.
https://nospensees.fr/retrouver-sa-joie-de-vivre/
Il est important de savoir où vous voulez aller. Si tout va mal dans votre
vie, et que vous vous focalisez sur tout en même temps, vous aurez envie de
jeter l’éponge, car vos pensées seront si désordonnées que vous ne serez
pas par où commencer.
De la même façon, quand vous avez beaucoup de taches à accomplir, si
vous commencez à penser à la multitude de choses que vous devez faire,
vous n’aurez plus envie de rien faire. Il faut avancer petit à petit, et ne pas
laisser votre esprit mélanger tous les problèmes.
Pensez seulement à une chose que vous souhaitez. Vouloir trop de
choses à la fois peut faire que votre attention parte dans tous les sens
et qu’au final vous ne parveniez à rien.
Il n’est pas nécessaire de grimper les escaliers deux par deux. Si les choses
vont mal, acceptez la situation, et soyez conscient du fait que les êtres
humains ont un esprit créatif et qu’ils peuvent atteindre leurs objectifs, mais
petit à petit.
Pensez à tous ces aspects qui ne vont pas si bien, et écoutez votre voix
intérieure. À quelle situation avez-vous envie de remédier sur le court
terme ? Qu’est-ce qui vous redonnera le sourire aux lèvres?
La réponse à ces questions se trouve dans votre cœur, et non dans votre
tête. Chaque personne est un monde et les moyens de retrouver la joie de
vivre sont propres à chacun. La priorité de l’une peut être d’avoir de bons
amis avec qui elle peut partager ses passions, alors qu’une autre préférerait
trouver le partenaire idéal, etc…
Écoutez cette petite voix à l’intérieur de vous, et essayez de trouver ce
qui réveillera votre joie. Une fois que vous saurez dans quelle direction
avancer, vous commencerez à sentir la motivation pour obtenir ce que
vous désirez.
Arrêter de se positionner comme victime
Si vous adoptez l’attitude de la victime, si vous pensez que plus rien ne vaut
la peine, que vous n’êtes bon à rien, oubliez dès à présent ce type de
comportement.
Si vous voulez allez de l’avant, le fait de vous placer comme victime ne
vous mènera nulle part. Les personnes qui parviennent à se relever après
être tombées sont celles qui croient en elles.
Action et persévérance
Vous n’obtiendrez rien en restant inactif, c’est pourquoi si vous savez déjà ce
qui vous redonnera le sourire, commencez dès maintenant à penser aux
actions à entreprendre pour y parvenir.
Il n’est pas nécessaire de faire beaucoup si vous êtes vraiment
démotivé, mais si vous faites ne serait-ce qu’un pas, vous verrez que le
reste suivra de lui-même.
Nos exigences sont le plus grand problème qui se pose à l’heure
d’entreprendre n’importe quelle action. Nous voulons tout avoir tout de suite
et sans effort, mais si vous n’y mettez pas du vôtre, vous n’arriverez à rien.
En outre, vous pouvez vous inscrire à de nouvelles activités pour rencontrer
de nouvelles personnes, car le simple fait de vous ouvrir aux autre vous
aidera énormément à sortir de la négativité.
Le bonheur est sur votre chemin
Obtenir ce que nous voulons est important, mais le plus important est de
profiter de l’instant présent, d’autant plus si nous traversons une période
difficile. Si vous empruntez le chemin vers vos rêves, vous verrez que vous
serez de plus en plus motivé.
Profitez de tout ce qui vous entoure, et contentez-vous des choses
simples. Réapprendre à apprécier les petites choses est ce qui aide le
plus à sortir d’un état de pessimisme et de tristesse. En effet, la plupart
des personnes n’apprécient plus ce qu’elles ont, et ne voient plus le grand
pouvoir qui est à leur portée.
Si nous n’avions pas la capacité de penser, il n’y aurait pas de place pour la
tristesse. Notre esprit ne se focaliserait pas sur les problèmes, mais
profiterait du monde qui nous entoure, comme si chaque jour était notre
dernier jour.
Essayez de garder un esprit calme, et de profiter de ce qu’il y a autour de
vous. Tous les chemins sont semés de bonnes choses, mais si vous fermez
les yeux, vous ne les verrez pas.
Continuez d’avancer, et autorisez-vous à ressentir ce que vous
ressentez. De cette façon, vous trouverez de nouvelles choses qui
vous réjouiront et qui réveilleront votre âme.
Remplissez votre vie de musique entraînante
ATTIRER L’ABONDANCE
Recherche 1 > Signes de problèmes financiers
Sommaire
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> https://debtsolutions.bdo.ca/fr/solution-dette/signes-de-probleme-financier/
http://laurezanellacoaching.fr/comment-attirer-labondance-dans-sa-vie/
Je me suis mise dans l’embarras un nombre incalculable de fois, j’ai passé de nombreuses nuits
sans dormir avec la boule au ventre, j’ai dû demander de l’aide à mes parents à un âge où on est
censé pouvoir se débrouiller seul depuis un moment… Bref, ça n’a pas été des plus digeste pour
mon ego.
Mais, ce que je trouve très intéressant aujourd’hui, c’est d’avoir un recul suffisant et de
comprendre concrètement ce qui a fait que j’ai créé dans ma vie tous ces bas et ces hauts aussi,
pour pouvoir orienter à présent ma vie financière en toute conscience.
Ça m’a demandé un peu d’entraînement, mais si j’y suis arrivée, vous pouvez le faire vous
aussi, et je vais vous expliquer aujourd’hui comment.
Alors bien sûr, il y a toute la partie théorie que vous connaissez sûrement si vous me suivez
depuis un petit moment. Il est important de définir clairement ses objectifs, de se libérer de ses
croyances limitantes (entre autres : tu ne mérites pas l’abondance, tu ne vaux rien, etc.) et de
faire en sorte de diriger son attention la majorité du temps vers cette abondance qu’on veut attirer
à soi plutôt que de ne penser qu’aux dépenses, aux difficultés et aux dettes.
Mais ce que je vous dirais aussi, c’est que finalement, la mise en pratique de tout ceci n’a pas à
être compliquée et à représenter un travail de titan. Elle peut aussi être beaucoup plus légère et
naturelle, et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui…
Sommaire
L’intérieur et l’extérieur
Premières difficultés
Je vous propose à présent une petite excursion au sein de mon passé, où nous allons visiter les
résultats obtenus d’un point de vue concret d’un côté, et mon état d’esprit de l’autre …
Je vous invite d’ailleurs pendant ce voyage à ramener tout ceci à vous et à voir où vous-même
en étiez à tel ou tel moment de votre vie, à l’intérieur aussi bien qu’à l’extérieur, sur le plan
concret. Ceci vous permettra de tisser plus clairement le lien qui existe entre ce qui se passe en
vous et ce qui se déroule au-dehors, car une fois cette cohérence clairement perçue, il vous sera
d’autant plus facile d’utiliser ce processus délibérément.
À quel moment ai-je rencontré mes premières difficultés financières ? Eh bien, c’était en 2006,
lorsque j’ai pris mon premier appartement.
Avant de me lancer dans cette nouvelle aventure, j’avais fait mes petits calculs, j’avais de l’argent
de côté et comme j’avais déjà un certain recul sur mon activité professionnelle, je savais que je
pouvais quitter le nid familial tranquillement et que je m’en sortirais sans peine.
Puis arrivée sur place, un premier imprévu est tombé au bout d’un mois, suite à un malentendu
avec mon opérateur téléphonique… Une grosse facture supplémentaire du coup. J’avais
heureusement rentré suffisamment d’argent pour pouvoir couvrir cette facture en plus, donc
jusque-là tout allait bien…
Par contre, j’avais le sentiment d’avoir été dupée par mon opérateur et ça m’avait mise très en
colère… Et devinez ce qui s’est passé ensuite… Eh bien d’autres imprévus ont commencé à
tomber, à répétition. Pas du côté de mon opérateur téléphonique, mais à bien d’autres niveaux.
Je suis donc restée focalisée sur cet imprévu => J’ai attiré à moi d’autres imprévus
Pendant un temps, je réussis malgré tout à gérer la situation et à rester à flots… Jusqu’au jour où
un service de paiement que j’avais testé à l’époque avant d’utiliser Paypal ne ferme boutique en
emmenant avec eux les 1400€ qu’ils devaient encore me régler…
Là, il ne s’agissait plus d’un petit imprévu, mais d’une énorme partie de mes revenus qui
disparaissait d’un coup + un immense sentiment d’injustice parce que j’avais travaillé dur pour
gagner cet argent, je m’étais beaucoup impliquée dans ce que je faisais et ça m’a mis un coup de
massue sur la tête.
Sans que je n’aie rien demandé, mes parents m’ont spontanément donné une bonne partie de la
somme pour me permettre de rebondir, mais intérieurement, j’étais terriblement mal. J’étais
écoeurée de ce qui s’était passé, et ma motivation a en même temps fait une chute libre parce
que je me disais « A quoi bon me donner autant de mal si c’est pour qu’on me vole mon argent
ensuite »
À ce moment-là, mon positionnement intérieur était donc le suivant : Je ne crois pas en moi + Je
me sens démotivée + J’ai peur de ne pas m’en sortir => Et au niveau des résultats, les
déséquilibres s’enchaînaient…
Ensuite, à partir du moment où je me suis mise en couple, j’ai retrouvé mon élan, ma motivation
et mon enthousiasme et j’ai pu lâcher petit à petit mes inquiétudes par rapport à l’argent.
Résultat : L’abondance a commencé à circuler à nouveau dans ma vie et je gagnais toujours
assez pour payer la totalité de mes factures et tout ce qui était nécessaire.
Bascule suivante
Quelques années plus tard, lorsque j’ai divorcé, voilà ma grande copine la peur qui a refait
surface. Même si j’avais eu des résultats financiers réguliers les années passées et que
techniquement j’étais censée bien m’en sortir seule, j’ai commencé à avoir peur de ne pas y
arriver, et qu’est-ce qui s’est passé ?
Les difficultés sont réapparues… Plus ça avançait, plus j’étais stressée, et plus les problèmes et
imprévus en tout genre déboulaient de tous les côtés…
À l’inverse, dès que j’arrivais à m’apaiser, tout se remettait à bouger dans le bon sens.
J’ai aussi remarqué que lorsque certains événements détournaient totalement mes pensées de
l’argent, celui-ci se mettait spontanément à couler à flots. Je l’ai malheureusement constaté lors
de deux décès dans ma famille, mais il a été intéressant de constater que dès que j’arrêtais de
penser à l’argent (et donc de ruminer mes inquiétudes) tout se mettait à bouger quasi
instantanément, et c’en était même impressionnant.
C’était comme appuyer sur un interrupteur… Je mettais celui-ci sur OFF et l’abondance coulait à
nouveau librement vers moi…
Et dès que l’interrupteur à inquiétudes était de nouveau sur ON, les difficultés revenaient.
Trouver l’équilibre
Alors bien sûr, j’ai utilisé toutes sortes d’outils pour travailler sur mes croyances limitantes,
pour reprogrammer mon subconscient également, ce qui m’a permis de faire sauter de gros
verrous de ce côté et de faire passer ma vie financière à un tout autre niveau, mais je vous dirais
aussi que dès lors qu’on perçoit clairement cette bascule qui s’effectue en nous, au niveau de
notre état d’esprit, et qu’on observe les résultats associés, il devient de plus en plus facile d’agir
délibérément pour créer cette bascule et nous permettre de revenir constamment vers le positif.
Ces derniers mois, à chaque fois que je remarquais que j’étais stressée au sujet de l’argent, je
remarquais aussi que le plan concret avait tendance à freiner….
Et à chaque fois que j’ai travaillé sur mon stress, l’abondance s’est à nouveau mise à circuler
librement.
La seule chose que vous ayez à faire au final, c’est d’observer ce qui se passe en vous, de voir si
vous êtes plutôt dans la confiance et la sérénité, ou si c’est de l’inquiétude et du stress qui
occupent l’espace, et si c’est le cas, de faire quelque chose de concret pour vous libérer de ces
sentiments pesants.
Vous pouvez utiliser « Le Travail » de Byron Katie dont je vous ai déjà parlé pour remettre en
question vos pensées stressantes, vous pouvez utiliser la méthode Sédona, commencer à vous
demander quelles seraient les solutions possibles pour vous si vraiment vous deviez rencontrer
de grosses difficultés jusqu’à vous sentir parfaitement en sécurité en sachant que d’une façon ou
d’une autre, vous rebondirez, vous pouvez faire du sport ou tout un tas d’autres choses qui vous
permettront d’évacuer votre stress et de revenir à un état intérieur plus serein…
Il n’y a pas une seule méthode qui est capable de résoudre tous les problèmes de tout le monde,
mais il existe suffisamment de techniques et d’outils pour que chacun puisse trouver ceux qui lui
permettront de trouver la paix en lui et d’avancer comme il le souhaite.
L’abondance est pour vous aussi !
Créer l’abondance dans sa vie n’est pas une sorte de luxe réservé à des élus… L’abondance
est accessible à tous, et sans aucune limite.
Ce qu’il est important de comprendre ici, c’est que la seule chose qui va permettre ou non à
l’abondance de circuler librement vers vous est ce qui se passe EN VOUS.
À chaque fois que j’ai été dans la peur ou les doutes, le « robinet » d’abondance s’est refermé. Et
de la même façon, à chaque fois que j’ai lâché prise, que j’ai décidé de laisser faire et de faire
confiance à la Vie, le « robinet » s’est à nouveau ouvert en grand.
J’ai répété ces scénarios un nombre suffisant de fois pour ne plus pouvoir douter une seule
seconde du lien qui existe entre l’intérieur et l’extérieur, et si vous prenez un peu de temps pour
examiner ce qui se passe en vous et les résultats que vous obtenez, vous en arriverez sans
doute très vite à la même conclusion.
Et ceci est bien évidemment valable dans tous les domaines de la Vie.
Alors peut-être que finalement, on pourrait se mettre un peu moins la pression avec la théorie et
prendre simplement le temps d’observer ce qui se passe en dedans, car c’est de la que tout
part, et c’est en faisant de petits ajustements progressifs de ce côté que toute votre vie pourra
En vous souhaitant à tous une jolie journée, et que l’abondance puisse couler vers vous de façon
illimitée !
Laure
https://www.hypnosecsnm.com/problematiques-traitees/suscitez-
labondance
La réalité dans laquelle nous vivons est créée par nos pensées et nos comportements. Pour amener l’abondance
dans notre vie, il faut amener nos pensées et nos comportements vers une zone de positivisme et laisser aller
nos pensées négatives.
L’abondance peut toucher plusieurs parties de notre vie:
L’abondance sociale
L’abondance financière
L’abondance au niveau du temps
L’abondance dans l’intimité
L’hypnose peut vous aider à vous concentrer et à apprécier ce que vous avez déjà plutôt que ce qu’il vous
manque dans votre vie. En partant de ce point, il sera plus facile de bâtir avec se qu’il fonctionne et de vous fixer
les objectifs que vous désirer atteindre.
Faites travailler votre subconscient à votre avantage. Incluez-y de nouvelles perspectives qui viendront vous aider
à avoir une vie épanouie qui attirera l’abondance.
Vous devez être riche dans votre pensée et dans votre esprit avant de pouvoir accéder à la richesse extérieure.
L’hypnothérapie apprend à ouvrir votre esprit pour saisir toutes les chances qui s’offrent à vous. Vous êtes plus
proches de l’abondance que vous ne le croyez. En étant plus confiant en vous et par votre positiviste, vous
améliorerez vos rapports sociaux avec les autres et ainsi vous vous ouvrirez les portes menant à l’abondance.
Soyez confiant en votre potentiel et changez vos croyances négatives.
Graduellement vous vous mettrez à y croire et à voir les possibilités qui s’offrent à vous. Vous serez plus productif
et efficace à votre travail. Vous verrez les choses de manière différente et vous profiterez de toutes les chances
qui s’offrent à vous. Ne laisser plus rien vous privé de l’abondance dont vous mérité et faite appel à
l’hypnothérapie.
DESIR SEXUEL
https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido
La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Le désir
sexuel peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou
des pensées.
Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-
être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations
intimes.
Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause physique telle que :
Un problème d’ordre sexuel, par exemple de la douleur durant les relations sexuelles
ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
Une maladie. Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple
l’arthrite, le cancer, le diabète, une haute pression sanguine (hypertension), une
dépression ou des maladies neurologiques.
Les effets d’un médicament. Plusieurs médicaments, tels que certains
antidépresseurs (par exemple la paroxetine comme Paxil® ou Pexeva®, et la
fuoxetine comme Prozac® et Sarafem®) diminuent souvent le désir sexuel. D’autres
médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de
cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.
Si vous prenez des médicaments et que vous ressentez une diminution de désir sexuel,
commencez par lire sur votre notice les effets indésirables de votre médicament.
Une chirurgie. Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent
affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
L’alcool ou les drogues. Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la
libido.
La fatigue. L’excès de fatigue causé par exemple par le soin apporté à des parents
âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.
Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause psychologique, telle que :
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https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido-
symptomes
Références
Symptômes de la baisse de désir
Une disparition inexpliquée et prolongée du désir sexuel.
Parfois, une répulsion systématique à l'égard des activités sexuelles. Ce symptôme
se manifeste surtout en cas de blocage psychologique.
Personnes à risque de la baisse de libido
L’âge. La baisse de désir sexuel peut survenir à n'importe quel âge, mais elle se
manifeste plus fréquemment à mesure que l'homme ou la femme vieillit.
Facteurs de risque du manque de désir
Les couples vivant des conflits conjugaux.
Les personnes ne se sentant pas respectées par leur partenaire.
Les personnes souffrant de maladie chronique.
Les personnes ayant des soucis importants (chômage, accident de la vie, maladie
grave d’un proche, décès dans l’entourage…)
Les personnes abusant des images pornographiques.
Prévention de la baisse de désir
Mesures préventives de base
Afin de maintenir le désir sexuel et d’augmenter le plaisir au cours des relations sexuelles
:
Dans quels cas avoir recours à la thérapie sexuelle ? Lorsqu'une personne fait
face à un problème sexuel et décide de se faire aider par un spécialiste, la plupart
du temps, elle ne sait pas où aller, ni à quoi s'attendre de la consultation.
Découvrez l’essentiel sur la thérapie sexuelle.
Qu'est-ce que la thérapie sexuelle ?
Sexe ne veut pas dire uniquement parties intimes, ni pénétration, ni orgasme, bien qu'il
englobe tous ces aspects, et bien plus encore...Nous naissons sexués et nous le
serons jusqu'à la mort, même quand nous ne savons pas où se trouvent nos parties
génitales ou quand nous ne pratiquons pas la pénétration.
La sexologie étudie donc ce vaste concept qu'est la sexualité. Les sexologues ne sont
pas tous psychologues, il y a aussi des médecins, des sociologues, des pédagogues...
Ce sont également des thérapeutes et des éducateurs.
C'est surtout si vous avez besoin d’aide, sexuellement parlant. Chasser les doutes et
les idées reçues sur la sexualité améliore la qualité des rapports sexuels. Mais
attention, les sexologues ne peuvent pas répondre à des questions comme " Comment
réaliser de meilleures pratiques sexuelles ?" ou " Qu'est-ce qui plait à mon
partenaire ?". Chaque personne est un monde, il est impossible de généraliser les
goûts et préférences de chacun et la meilleure façon d'avoir des réponses à ces
questions, reste d'en parler avec son partenaire.
Si votre vie sexuelle a changé et vous ne parvenez pas à vous adapter (par exemple, des
changements provoqués par des troubles physiques comme les changements hormonaux
pendant la ménopause, ou des changements radicaux comme une séparation amoureuse ou
l'arrivée d'un ou plusieurs enfants dans la famille).
Si votre partenaire et vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde côté sexe.
Si vous avez remarqué une baisse notable de votre libido durant les 6 derniers mois ou depuis
moins longtemps et si celle-ci a affecté vos rapports intimes avec votre partenaire.
Si vous avez des difficultés à atteindre l'orgasme seul(e) ou à deux.
Si vous êtes une femme et ne pouvez pas pratiquer la pénétration ou que cela vous fait mal.
Si vous ne prenez pas de plaisir pendant vos rapports.
Si vous n'arrivez pas à avoir d'érection ou la perdez rapidement.
Si vous contrôlez mal votre éjaculation.
Comment savoir si mon problème n'est pas provoqué par une cause
physique ?
Certains problèmes sexuels peuvent être provoqués par des maladies ou des effets
secondaires à des médicaments. Si vous prenez un traitement, il est important de bien
lire la notice pour écarter tout risque. Les contraceptifs hormonaux peuvent par
exemple favoriser la sécheresse vaginale et pourraient avoir une influence sur la
libido.
Comment déterminer si vos problèmes sexuels sont liés à des causes physiques et si
vous devez vous rendre chez le médecin ? Demandez-vous depuis quand vous en
souffrez et si le problème se présente toujours (sans exception).
Si un homme a du mal à maintenir une érection à chaque fois qu'il veut avoir un rapport sexuel,
pour toutes les pratiques censées l'exciter ( sexe oral, masturbation...), aussi bien seul qu'à
deux, il doit aller consulter un médecin car il y a de fortes chances pour que ce soit lié à un
problème physique. Mais pour les exceptions, par exemple, si les troubles de l'érection se
présentent uniquement avec la partenaire et jamais en solitaire ou pendant la pénétration
uniquement et jamais pendant le sexe oral, alors là le problème n’est pas essentiellement
physiologique.
Quant aux problèmes d'éjaculation précoce, certaines maladies comme la prostatite peuvent
rendre difficile la discrimination de sensations et empêcher le contrôle de l'éjaculation. Mais
en général, ce problème est lié à des causes psychologiques comme l'anxiété et la
surexcitation ou à une méconnaissance de sa propre réponse sexuelle.
En cas de douleur pendant la pénétration, il est conseillé d'aller consulter un gynécologue pour
écarter toutes causes physiologiques. Ces causes sont écartées si la femme peut introduire
un sextoy de taille similaire au pénis de son partenaire, sans aucun problème mais qu'elle
souffre de douleurs pendant les rapports. Si le spécialiste ne trouve aucune pathologie, il faut
alors avoir recours à une thérapie sexuelle.
Les problèmes de baisse de désir ou d'absence de désir, hormis ceux liés aux hormones, se
traitent toujours par une thérapie sexuelle.
En quoi consiste une thérapie sexuelle ?
Le travail individuel en dehors des consultations est très important, le sexologue donne
des "devoirs" ou des exercices à faire à la maison seul(e) ou en couple. La personne
qui vient consulter doit avoir une réelle envie de changer la situation actuelle car c'est
elle, avec l'aide et les conseils du thérapeute, qui, pas à pas, améliorera les choses
pour atteindre son objectif.
Le travail éducatif est essentiel, une grande partie des problèmes sexuels sont dus à
une éducation sexuelle insuffisante ou erronée. Il est primordial de chasser de votre
esprit toutes les idées reçues et d'avoir une vision plus large de la sexualité.
Lorsqu'elle aura terminé la thérapie, la personne aura acquis certains réflexes et
mécanismes qui lui permettront d'être capable de travailler seule sa sexualité et de
s'adapter aux éventuels changements dans le cycle vital.
Ecrit par:
Jessica Xavier
https://www.allodocteurs.fr/sexo/pratiques-et-libido/baisse-de-la-libido/sexe-comment-
retrouver-sa-libido_3849.html
Sexe : comment retrouver sa
libido
Comment faire quand on n'a plus envie de faire l'amour, que le désir
n'est plus là ? Que faire quand la libido est au point mort ? Cuisine,
thérapies de couple, secrets de séduction… Quels sont les moyens de
raviver la flamme ?
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 28/04/2011, mis à jour le 29/04/2015 à 16:23
Sexe : comment retrouver sa libido
Sommaire
Notre cerveau est directement relié aux organes sexuels par les différents messages
hormonaux, ce qui influence en partie notre comportement sexuel. Dans les deux
sexes, ce qui est au centre du mécanisme du désir, c'est la testostérone. C'est
l'hormone sexuelle mâle mais qui existe aussi chez la femme. Elle est produite par
les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.
Mais la libido ne dépend pas uniquement des facteurs hormonaux. Les facteurs
psychologiques et environnementaux jouent aussi beaucoup.
Parmi les aliments que nous pouvons consommer au quotidien, certains contiennent
des substances capables d'influer sur notre libido comme le gingembre ou le wasabi.
Voici trois recettes pour réaliser un menu gastronomique (entrée, plat, dessert) pour
deux spécial dîner romantique, tel qu'il pourrait vous être servi dans un restaurant
étoilé.
- Eplucher, laver et tailler les 600 grammes de betteraves avec l'aide d'une
mandoline.
- Laver la roquette, puis tailler le demi citron confit et les 60 grammes d'olives.
- Dresser et enfin assaisonner avec l'huile de gingembre, l'huile d'olive, le piment
d'Espelette, le jus de citron et la sauce soja
Les ateliers culinaires se multiplient ces dernières années. Et parmi eux, des ateliers
de cuisine… aphrodisiaque ! Objectif : casser la routine et pimenter la relation
amoureuse.
Pour rebooster leur libido, certains n'hésitent pas à s'aider de jeux sexy et autres
accessoires coquins... Les "lovestore", version chic et moderne du sexshop, ont
d'ailleurs de plus en plus la cote. Le but de ce type d'enseignes est de proposer aux
clients en mal de libido des produits pour raviver la flamme.
Retrouver les douces sensations des débuts, surprendre, explorer, conquérir… tels
sont les objectifs des jeux et objets érotiques. Jeux sensuels, cadeaux coquins ou
petits mots doux… À chacun sa façon de réveiller le désir.
INTUITION
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Personnalite/Articles-et-
Dossiers/Developper-son-intelligence-intuitive
chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour
suivre en toute confiance notre « boussole » intérieure.
Sommaire
Pour le philosophe allemand Schopenhauer, elle était la marque de fabrique de toutes les oeuvres
de génie. Einstein, lui, la définissait comme une « sensation au bout du doigt
» (fingerspitzengefühl). Pour vous et moi, elle est une petite voix intérieure qui conseille, une
certitude fulgurante qui s’impose, ou encore une réaction corporelle plus ou moins intense. Les
plus réceptifs d’entre nous prennent en compte leur intuition, les autres la refoulent ou l’ignorent.
Même si son origine demeure mystérieuse, les neurosciences reconnaissent aujourd’hui qu’elle
peut être un allié non négligeable pour nous faciliter la vie. Ni sixième sens magique, ni don réservé
à quelques élus, l’intuition est une faculté à la portée de tous.
« La capacité intuitive consiste à percevoir des éléments contextuels et à les agencer de manière
adaptative pour trouver une solution nouvelle dans un programme préétabli ou dans une situation
répétitive, expose Roland Jouvent, professeur de psychiatrie et directeur du centre Émotion du
CNRS à la Salpêtrière, à Paris et auteur du Cerveau magicien (Ed. Odile Jacob 2002). Nous avons
une partie du cerveau rationnelle qui gère nos apprentissages et une autre plus émotionnelle,
relationnelle et adaptative, qui est capable de sortir des contraintes logiques répétitives. L’intuition
aurait à voir avec cette capacité à imaginer des réponses et des solutions hors “logique prédictible”.
» En clair, perdu en voiture dans une ville, nous pouvons soit demander notre chemin, soit suivre
notre feeling, c’està- dire nos « sensations - impressions », qui forment une sorte de certitude
flottante.
Pour autant, ce conglomérat intuitif n’est pas dépourvu de rationalité. « En réalité, pour les
neurosciences, explique la neurologue Régine Zékri-Hurstel, auteure avec Jacques Puisais
du Temps du goût (Ed. Privat 2010), il s’agit pour une bonne part d’informations sensorielles
captées par notre cerveau mais qui ne parviennent pas à notre conscience. C’est pourquoi
beaucoup de neuroscientifiques nomment l’intuition “inconscient d’adaptation”. Notre cerveau
arrive directement aux conclusions et nous fait prendre des décisions sans que nous ayons
conscience des perceptions subliminales qui nous y ont conduits. » La neurologue ajoute que notre
intuition « est connectée à notre banque de données sensorielles, toujours en mouvement, et
s’adapte en permanence pour percevoir le moindre changement. Les plus intuitifs sont donc ceux
qui ont le mieux développé leurs qualités sensorielles. L’émotion vient des sens, elle est essentielle
dans la capacité intuitive. » Une affirmation qui entre en résonance avec ce que constate le
psychanalyste Moussa Nabati. « Si l’on cesse d’être branché sur soi, si l’on entre véritablement en
empathie avec l’autre, alors on peut sentir, pressentir des choses, des événements qui ne sont pas
la projection de nos peurs, désirs ou angoisses. »
Une faculté qui embellit la vie
« Chacun a la capacité d’être intuitif, affirme Régine Zékri-Hurstel, chacun peut avoir accès à des
données diverses pour évaluer un contexte ou une personne, être averti d’un danger ou trouver
une solution nouvelle, mais le véritable “plus” de l’intelligence intuitive, c’est de contribuer à notre
bonheur. Plus précisément à notre “neuro-bonheur”, c’est-à-dire le fait d’intégrer l’ensemble des
données de notre environnement, de notre présent, pour améliorer notre devenir, et découvrir,
grâce à cette porte ouverte sur notre cerveau, les codes d’accès personnalisés de notre bien-être
sensoriel. »
Ainsi branchés sur nos sens, réceptifs à nos émotions et à notre « petite musique intérieure », nous
pouvons ressentir ce qui est vraiment bon ou mauvais pour nous. « Lorsque nous savons quelque
chose avec notre intuition, nous le savons avec nos os, notre coeur ; c’est une connaissance, une
certitude qui résonne dans l’ensemble de notre corps-être », estime Judee Gee, créatrice et
directrice de l’École de l’intuition, auteure de Comment développer votre intuition (Trajectoires
2010). Quelle relation laisser tomber ? Quelle proposition refuser ? Quelle direction suivre ? La
confusion règne souvent dans nos vies où les possibilités sont devenues infinies. L’intuition peut
être une boussole précieuse, une invitation à l’autonomie, l’opportunité de modeler son quotidien
au plus près de ses besoins, de ses envies et de ses compétences.
Selon Vanessa Mielczareck, coach spécialisée en intuition, cette faculté « nous fait gagner du
temps, nous rapproche de nos véritables aspirations, nous connecte à nos vraies ressources
intérieures. Encore faut-il oser lui faire confiance. Par essence, l’intuition est toujours juste. Lorsque
l’on se trompe, c’est parce que l’on n’est pas en présence d’une intuition, mais plutôt de l’expression
d’un désir, de l’imagination, d’une volonté, d’une peur ». Vanessa Mielczareck pointe trois
principaux obstacles : le manque de confiance en soi, l’hyperrationalisme et la négativité. Une fois
ces freins repérés et levés, on peut alors accueillir ses intuitions et choisir, en toute sérénité, de
leur faire confiance.
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=c
omment-apprivoiser-intuitions
L’intuition est une manière que choisit le cerveau pour faire passer des informations
de notre inconscient à notre conscient. Condamner ses intuitions c’est donc
prendre le risque de recommencer des erreurs que nous avons déjà faites par
le passé, ou de nous mettre en danger. On est sur la route et on a l’intuition de
ralentir parce qu’il y a de la neige. Cette intuition nous protège, alors il faut lui faire
confiance.
On nous présente une personne qui a une allure et un comportement qui nous
déplaît, mais une petite voix intérieure nous dit qu'elle pourrait nous faire du bien. Le
premier réflexe de celui qui veut tout gérer dans sa vie sera de ne pas faire attention
à cette personne, mais si on choisit de lâcher prise, alors on prendra le temps de
faire connaissance avec elle et de savoir qui elle est.
Nos intuitions nous protègent, nous devons donc partir du principe qu’il faut les
suivre. Mais il arrive que nous fassions fausse route parce que nous avons mal
interprété une intuition. En règle générale, ce sont les personnes les plus sensibles
qui sont les plus à même de comprendre et de suivre leurs intuitions. C’est pour cette
raison que l’on dit souvent que les femmes sont plus intuitives que les hommes.
Les intuitions peuvent aussi faire peur à certaines personnes parce qu’elles sont
irrationnelles. Mais ce qui est irrationnel n’est pas pour autant forcément
déraisonnable. En revanche, ce n’est pas parce que nos intuitions ont souvent
raison qu’il faut attendre d’en avoir une pour agir. Dans de nombreuses
situations, un choix devra se faire sans aucune intuition.
Ne pas craindre de se tromper
Et parce que tout ceci est irrationnel, il ne faut pas craindre de se tromper. On a
posé un choix en croyant suivre une intuition et ce choix s’est avéré hasardeux ?
Cela ne doit pas nous pousser à tourner définitivement le dos à notre « sixième
sens ». Une maman sent que son enfant est en danger et se précipite dans sa
chambre. Là, elle le découvre en train de jouer gentiment. Son intuition aura été
mauvaise, mais elle ne devra pas négliger les intuitions similaires dans le futur.
Pour finir, il faut comprendre que pour apprivoiser ses intuitions, il faut avoir
confiance en soi. Quelqu’un qui aura une image positive de lui-même parviendra
beaucoup mieux à être à l’écoute de ses intuitions qu'une personne fragile
affectivement et émotionnellement. Se faire confiance c’est accepter de tomber et de
se relever encore plus fort.
Il faudra aussi apprendre à se connaître. Plus on saura qui on est au plus profond
de soi, plus on parviendra à faire confiance à ses intuitions et à les apprivoiser.
« Nous essayons grâce à la logique, mais nous nous découvrons grâce à l’intuition »,
avançait Henri Poincaré, un philosophe et physicien français. Tout est dit.
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https://street-hypnose.fr/hypnose-intuition/
Peu de personnes prennent le temps d’y prêter attention, et pourtant j’ai trouvé en l’intuition
un des éléments essentiels qui différencie subtilement un hypnotiseur de niveau moyen
ou débutant qui cherche à maîtriser des techniques, et un autre beaucoup plus performant
qui apprend à développer (et surtout à écouter) son intuition.
Dans un contexte donné : faut-il que je sois autoritaire ou plutôt doux et bienveillant avec
cette personne ? Faut-il que j’utilise cette métaphore ou plutôt celle-là ? Devrais-je
privilégier une induction instantanée ou une autre un peu moins rapide ? Est-ce que le
volontaire est prêt à vivre une hallucination ? Quels mots utiliser pour rendre les amnésies
plus ludiques aux yeux de mon volontaire ? Est-ce que le volontaire vit une
séance agréable ou semble-t-il gêné par son expérience ? Est-ce que je peux tenter une
amnésie sans induction ? Est-ce que mon volontaire est plutôt en transe légère ou
profonde ?
Autant de questions auxquelles il est parfois difficile de répondre en ne se fiant qu’à son
esprit analytique et aux éléments visibles et concrets. De plus, cela demande un effort
conséquent de porter toute son attention sur l’ensemble des éléments permettant
d’apporter la réponse la plus objective possible. Pour répondre à la dernière question, à
savoir si le volontaire est plutôt en transe légère ou profonde, nous pouvons par exemple
nous servir des différents signes extérieurs de transe : mouvements rapide des yeux,
déglutitions plus récurrentes, relâchement musculaire, regard vitreux lorsque les
paupières sont ouvertes, catalepsies spontanées etc. Avec beaucoup de pratiques, on se
rend compte que l’on analyse de moins en moins, et que pourtant on connaît la réponse
malgré tout. L’analyse a été faite à un niveau inconscient, et souvent de manière beaucoup
plus complexe qu’on ne l’imagine. C’est à ce niveau que rentre en jeu l’intuition. Comment
se servir de son intuition peut nous rendre encore plus performant ?
Être à l’écoute de son intuition, c’est déjà se faire confiance et ne pas avoir peur de sortir
des sentiers battus ou d’aller à l’encontre de ce que pense la majorité. C’est, d’une certaine
manière, avoir la foi, mais en soi. C’est être à l’écoute de l’ensemble de ses sens, et donc
être en empathie avec l’environnement et les personnes qui nous entourent. On peut alors
percevoir des choses qui ne seraient pas visibles au premier coup d’œil. Si Street Hypnose
existe aujourd’hui, c’est parce que j’ai suivi mon intuition qui m’encourageait à créer ce
site web, alors que raisonnablement je n’y croyais pas du tout.
L’exemple de la synchronisation
Lorsque vous lisez des articles sur l’hypnose en général, vous allez souvent y trouver des
références à la synchronisation. On vous demande de vous synchroniser avec votre
volontaire et on vous donne même des techniques qui se rapprochent bien souvent du
mimétisme pur. C’est partiellement efficace. Ce n’est que la première étape.
Apprendre des techniques est un leurre. Inutile dans la finalité de l’objectif à atteindre.
Mais pourtant nécessaire. Parce qu’apprendre des techniques permet de gagner
suffisamment confiance en soi afin d’ensuite s’en libérer et réellement toucher du doigt
l’essence de la pratique.
Faites donc un test et suggérez-vous de vous synchroniser au maximum avec votre
volontaire, et vous constaterez alors que, effectivement, vous allez adapter naturellement
des postures similaires, ajuster votre intonation et modifier dans votre façon de faire un
nombre incalculable d’autres petits détails qui joueront en votre faveur. Et toute la force
de cette technique saute aux yeux quand elle est pratiquée d’inconscient à
inconscient. Si vous persistez à adapter votre posture consciemment, vous passerez à
côté de l’essentiel.
Si vous saviez le nombre de mail que je reçois de personnes déçues que mes techniques
ne fonctionnent pas parce que je cite : “j’ai fait exactement comme décrit dans le livre ou
dans vos vidéos, et pourtant ça ne marche pas ! Qu’est-ce que je dois faire de différent
pour que cela fonctionne ?”
Les personnes attendent une recette toute prête à suivre pas à pas et qui fonctionne à
tous les coups. Dommage, cela n’existe pas dans le domaine de l’hypnose ! En continuant
dans cette métaphore, je ne leur donne au final qu’une liste d’ingrédients. A eux ensuite
de trouver le mélange qui sera le plus harmonieux en fonction de chaque volontaire. Et ce
qu’il y a de plus beau, c’est qu’il n’y a pas deux recettes identiques. Chaque séance
d’hypnose diffère, même si les ingrédients restent les même.
Si l’on vous répète sans cesse qu’il faut pratiquer énormément pour progresser en tant
qu’hypnotiseur, ce n’est absolument pas parce que les techniques à apprendre sont
difficiles. C’est parce qu’il faut apprendre à se libérer de ces techniques et à écouter ce
que nous dit notre intuition. Les techniques sont importantes. Elles sont la base. Mais
prises individuellement, aucune n’est réellement complexe. La difficulté, c’est de savoir
quand exactement les utiliser. Et le delta varie pour chaque volontaire. D’où notre fameux
slogan d’hypnotiseur “chaque séance est unique”. Nous passons alors d’un état
consciemment incompétent, à un état inconsciemment compétent. Nous
commençons par des techniques à mettre en oeuvre consciemment (d’où la
difficulté), en nous dirigeant petit à petit, séance après séance, vers un savoir être
qui se substitue à l’ensemble des techniques apprises jusque là.
Pour forger notre intuition et la rendre la plus productive possible, il faut lui donner de la
matière. Pour résoudre un problème mathématique complexe, il faut auparavant avoir
résolu un certain nombre de problèmes plus simples qui vont nous ouvrir petit à petit vers
la logique attendue. Il en va de même pour votre intuition. Vous devez construire à
l’intérieur de vous une base de données sur l’hypnose la plus large possible –
correspondant à un ensemble de techniques et de savoir faire que vous avez déjà utilisés
dans différents contextes et dont vous connaissez les avantages, inconvénients et
difficultés – afin que votre inconscient puisse aller puiser la réponse la plus adaptée à la
situation.
Lorsque vous avez lu mon livre, vous avez déjà commencé à créer cette base de données.
Il suffit ensuite d’acquérir l’expérience nécessaire pour savoir quelles données utiliser, et
à quel moment. C’est essentiellement la pratique qui va venir forger cet algorithme
inconscient et vous faire gagner en efficacité. C’est pourquoi je recommande à tous les
néophytes de commencer par ma routine créée spécialement pour les débutants, qui
propose cette base dont les débutants ont besoin pour prendre confiance en eux et en
leur capacité à hypnotiser. Et un jour, à force de pratique et de lectures, votre intuition
vous guidera et vous vous surprendrez à prendre des initiatives au cours de la
séance d’hypnose. Vous vous surprendrez à OSER. Il y aura des échecs et des
réussites qui quoi qu’il arrive feront de vous un meilleur hypnotiseur.
Votre intuition
J’ai commencé par m’intéresser à la manière dont l’intuition se manifestait en moi et je me
suis imprégné de ces sensations au quotidien, observant mes réactions et me mettant
davantage à l’écoute des autres et de moi-même.
L’intuition est une question d’ouverture intérieure. Elle ne s’apprend pas, elle se
redécouvre et s’entretient. Elle est accessible à tous. Il n’y a que quelques marches à
gravir en nous-mêmes, quelques pas à faire pour franchir la porte qui nous conduit à elle.
C’est à ce voyage intérieur que je vous invite, à la rencontre de ce précieux outil qui
sommeille en chacun de nous.
Il faut oser solliciter son intuition, tout en acceptant son existence et son utilité. Il faut
apprendre à entendre sa petite voix intérieure et l’écouter de plus en plus. Et plus on
l’écoute, plus elle se manifeste. C’est en reconnaissant un réel intérêt pour son intuition
que l’on peut la développer davantage encore. Finalement, il s’agit de prendre des
décisions sans réfléchir consciemment, en laissant remonter de l’intérieur une réponse
toute faite. Le plus dur est ensuite de se faire confiance, et de ne pas rejeter la première
idée qui apparaît. Souvent, on a envie de se dire “mais non, c’est débile ce à quoi je viens
de penser”. Erreur ! Faites vous confiance. Laissez vous surprendre. Pour beaucoup
d’entre nous, trouver une réponse ou une solution qui sort de l’ordinaire possède des
connotations négatives. L’intuition déclenche souvent une peur de se tromper face à une
réponse qui nous paraît inappropriée. C’est notre créativité qui parle.
Il faut mettre de côté son intelligence rationnelle et ses idées reçues et accepter que
se tromper fait partie du jeu.
La plupart du temps, les intuitions montent sans vraiment prévenir, et c’est là qu’il faut être
à l’écoute de soi pour ne pas les louper.
Je m’amuse très souvent à demander aux gens qui me présentent un problème : “et si tu
demandais à ton inconscient ce qu’il te propose comme solution ? Pose-toi la question
à l’intérieur, et dis moi ce que tu vois ou ressens”. Généralement, la première réponse est
purement analytique et ne m’intéresse pas. Je demande ensuite à la personne de fermer
les yeux, de se détendre, puis de reposer la question et cette fois de ne pas chercher à
trouver de réponse. Au contraire, de la laisser venir toute seule. Et à chaque fois, la
réponse qui ressort est bien plus forte. Quelques fois un peu loufoque et bizarre. Mais
efficace.
Lors d’une séance d’hypnose d’il y a quelques semaines, je ne cessais de ressentir des
angoisses assez fortes émanant de ma volontaire. J’ai continué dans un premier temps
la séance sans exprimer mon ressenti, afin d’éviter de créer cette angoisse chez la
personne en lui demandant si elle était réelle. Vous le savez désormais, une personne
en état d’hypnose est très sensible aux suggestions. Si vous lui dites “tu n’as pas mal à
la tête là t’es sûr ?” vous risquez de créer ce mal de tête. Et puis, à la fin, elle me
demande si je peux l’aider à rester dans cet état super zen y compris lors de son
entretien à venir pour son futur emploi ? Je lui demande alors comment elle gère
généralement les derniers jours avant un entretien, et là elle me raconte ses angoisses
horribles. Je lui ai laissé un ancrage pour la rendre parfaitement zen à chaque fois
qu’elle serre le poing, en espérant qu’elle ait décroché cet emploi depuis. Je suis
incapable de mettre des mots sur ce que j’ai vu et qui a pu me mettre la puce à
l’oreille. Et c’est ce que je trouve fascinant avec l’intuition.
Récemment, j’ai eu un choix très délicat à faire. Est-ce que je continue mon emploi actuel,
ou est-ce que j’ose me lancer complètement dans l’hypnose ? La raison m’a dicté une
chose. Mon intuition une autre. Et bien après toutes les expériences positives que j’ai
eues, et même pour une décision aussi cruciale, j’ai décidé de suivre mon intuition.
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LACHER PRISE
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https://www.marieclaire.fr/,pourquoi-est-il-important-de-lacher-prise,795781.asp
Tw
Dans un monde qui exige de nous
performance et maîtrise en toutes
circonstances, il est important de savoir
lâcher prise pour préserver sa santé et sa
sérénité.
Le lâcher-prise est aujourd'hui cuisiné à toutes les sauces. Tous les
ouvrages de développement personnel et de nombreux courants de
psychologie insistent sur cette notion. Il faut lâcher prise au travail, à
la maison, en couple. Mais, bien souvent, la profondeur de ce
concept nous échappe et il n'est pas toujours évident de le mettre
en pratique.
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Comment lâcher prise ?
Il faut, paraît-il « lâcher prise ». C’est en tout cas ce que tout
un chacun peut lire ou entendre répéter dès qu’il est question
d’une approche spirituelle de l’existence.
Si cette expression a fait florès au point de devenir un cliché
du développement personnel, ce qu’elle recouvre n’en reste
pas moins confus. Elle est prétexte à bien des malentendus.
Qu’avons-nous, au juste, à « lâcher » ?
Quelle est donc cette « prise » qu’il conviendrait de desserrer
? Cette attitude est-elle compatible avec un positionnement
responsable ? Si oui, comment passer du concept à la
pratique ? Les enseignements de sagesse traditionnels
s’articulent tous autour de cette question. Nous pouvons
donc nous tourner vers eux et y chercher des réponses, qu’il
nous appartient ensuite de faire nôtres.
Entretien avec Gilles Farcet, écrivain français et promoteur
d'une spiritualité inspirée de l'enseignement d' Arnaud
Desjardins.
Psychologies : Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous
"tenons" ?
Gilles Farcet : Au commencement de toute "prise" se trouve l’ego, une conviction, un ressenti
dont tout découle. Moi, Pierre ou Paul, j’existe indépendamment du tout, séparé, seul face à l’autre,
c’est-à-dire tout le reste, tout ce qui n’est pas "moi" et qui, étant "autre", n’obéit pas toujours à ma
loi. L’identification à ce très cher moi se paie au prix fort : me ressentant séparé, je vis à la fois
dans la peur et dans une illusion de toute-puissance. "Seul contre tous", "Après moi le déluge",
telles sont en somme les deux croyances sur lesquelles se dresse l’ego. Lâcher-prise, c’est
abandonner une illusion, celle de la séparation.
Ce lâcher-prise ne sous-entend en rien une négation de l’individualité. Pierre reste Pierre, Paul
demeure Paul. Simplement, la partie se reconnaît comme expression du tout, la vague se sait
forme du grand océan et, du même coup, reconnaît les autres vagues comme autant d’expressions
de ce qu’elle-même est au plus profond. Par un apparent paradoxe, l’autre à la fois disparaît – nul
ne peut plus m’être essentiellement étranger – et se trouve comme jamais reconnu dans sa
différence existentielle. Le moi séparé cesse d’être l’étalon, la mesure de toute chose. Il n’y a plus
de moi pour exiger de l’autre qu’il se conforme à mes critères. Le lâcher-prise se produit dès lors
que le moi accepte de l’autre, de tout autre, qu’il soit autre.
STRESS
Recherche 1 > pourquoi je stress ?
Recherche 2 > Qu’Est ce que le stress ?
Recherche 3 > conséquences du stress
Recherche 4 > Comment gérer le stress ?
Prendre conscience que l'on est stressée est simple. En revanche, identifier les
causes de cette montée d'adrénaline est plus compliqué. Petite introspection.
En ce moment
Chaque jour c'est la même chose. Un rien vous stresse et déclenche instinctivement
une boule au ventre, les mains moites et des battements de cœur plus rapides. Qu'il
s'agisse d'être à l'heure à un verre ou à un déjeuner avec un ami, de rappeler un
ancien collègue pour raviver le réseau ou de filer prendre son train, tout fait stresser.
Les journées sont longues et angoissantes et surtout, vous ne savez pas pourquoi.
Gros plan sur un frein quotidien à la vie en mode off.
On n'y pense pas assez, pourtant la peur de l'inconnu est présente chez bon nombre
d'entre nous et entraîne bien évidemment, une source d'angoisse. La plupart des
hyperanxieuses sont ainsi des inquiètes chroniques. Peur de ne pas gérer la
situation, de ne pas savoir faire, de ne pas être à la hauteur… On imagine toujours le
pire. Sans oublier le changement, générateur de stress pour toutes. Si rater le métro
vous fait transpirer, en revanche, vous souffrez d'hyperanxiété, et c'est un cercle
vicieux. Par peur de l'échec, vous refusez les risques, créant une insatisfaction qui
accroit votre stress.
Avant de chercher une solution anti-déprime, penchez-vous sur votre mode de vie.
Un physique en mauvaise santé peut devenir cause de stress à votre insu ! Dormez-
vous suffisamment ? Mangez-vous équilibré, et assez ? Faites-vous de l'exercice
physique ? Ces trois carences suffisent à provoquer un déséquilibre favorable aux
tensions ou angoisses. Intégrer à votre routine un sommeil réparateur, un sport
antistress comme le running, la natation ou le yoga, ou des aliments alliés du
moral peuvent alléger vos idées noires. Si tel n'est pas le cas, n'hésitez pas à en
parler à votre médecin ou à un thérapeute.
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Lien > http://www.centre-de-ressources.org/single-post/2016/12/22/Mais-pourquoi-je-stresse-
courant pour décrire un ras le bol, une tension intérieure qui implose. Et c'est aussi la
première cause de longue maladie - voyez plutôt 23% des arrêts maladie de plus de
21 jours au Luxembourg sont liés au stress ou plus largement à une
dépression (source : Juillet 2013 statistiques de l’inspection de la sécurité sociale
luxembourgeoise page 4)
Et pourtant d'autres diront qu'ils ont besoin de stress pour se mettre en mouvement
ou réaliser de grandes choses !
Mais alors qu'est ce que ce "stress" qui semble pourrir la vie des uns et donner du
piquant à la vie des autres ?
Découvrez dans cet article ce qui se cache derrière le mot "stress", comment notre
organisme fonctionne et pourquoi un phénomène naturel conçu pour être salvateur
se transforme en menace pour notre organisme et notre bien-être.
En fait quand nous sommes face à un "stresseur" notre organisme se met en marche
de la tête aux pieds.
A contrario si nous sommes poursuivi par un lion, c'est tout notre organisme qui se
mobilise sur ordre du cerveau en automatique et modifie nos fonctions
habituellespour les faire passer en mode URGENCE : ainsi notre cœur pompe plus
vite, notre respiration s'accélère, notre bouche s'assèche, nos pupilles se dilatent,
nos muscles se tendent, notre sueur augmente, notre digestion, et notre libido se
suspendent, etc... En fait notre organisme met en sommeil des activités habituelles
sans nous demander notre avis et déclenche tout un tas d'autres activités pour
rassembler toute notre énergie et faire face à la situation : notre organisme tout entier
se met en mouvement pour nous permettre de prendre la fuite, d'attaquer ou de se
figer.
Humm, intéressant ! D'autant plus que c'est là que cela commence à coincer !
Car prenez 2 secondes pour y réfléchir : comment notre organisme peut-il utiliser
toute l’énergie ainsi déployée pour fuir ou attaquer dans notre vie actuelle ?
Vous vous imaginez attaquer votre patron quand il vous hurle dessus ?
Ou vous mettre à courir à toutes jambes quand la peur vous prend aux tripes face à
un jury qui va décider si oui ou non vous avez le profil pour cet emploi que vous
convoitez tant ? Pas très compatible avec notre vie quotidienne moderne ce
fonctionnement automatique ancestral qui consiste à attaquer, à fuir ou à se figer !
Mais alors... toute cette énergie déployée pour attaquer ou fuir, où va-t-elle si nous
ne l'utilisons pas pour agir ? Que devient ce feu qui monte en nous quand notre
patron crie ? Une idée... ?
Mettons cela de côté un instant et continuons de découvrir comment nous
fonctionnons !
Si le choc a l'origine du stress est trop intense (ou perçu comme tel à travers nos
filtres personnels) et que l'on n'est pas mort, et bien notre organisme lance coûte que
coûte le système de rétablissement de l'équilibre.
Et c'est ainsi que notre organisme travaille à plein régime pour retrouver le calme. Et
pendant ce moment... nous nous sentons fatigués et affaiblis, ... nous avons besoin
de calme, de temps pour récupérer.
Alors si cette phase est courte : tout va bien, nous reprenons le chemin d'une vie
classique. Mais.. si elle dure, que nous ne lui laissons pas l'espace dont elle a besoin
pour nous remettre d'aplomb et bien... cette phase peut devenir chronique...les
lésions s'installent, doucement, en silence et font le lit à des maladies parfois graves.
Ce qui est vicieux à ce stade, c'est qu'on peut alors avoir le sentiment de vivre
pleinement et intensément durant cette phase de rétablissement mais à termes c'est
en fait la déprime, le surmenage qui s'installent face à une hyperactivité sans
récupération suffisante. Et voici la dépression, le burnout qui s'invitent. Alors voilà
comment le stress, ce phénomène naturel ni positif, ni négatif peut devenir source de
danger majeur pour notre organisme.
En résumé....?
Lien>https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/ArticleComplementaire.aspx?doc
=stress_composantes_do
Quand on parle de stress, il y a forcément les trois éléments suivants, agencés selon
des combinaisons extrêmement variables :
En somme, le stress est une réaction réflexe, tant psychologique que physiologique,
de l'organisme devant une situation difficile qui demande une adaptation.
Les symptômes
Les symptômes
émotionnels et Les symptômes comportementaux
physiques
mentaux
Par la suite, le biologiste français Henri Laborit a étudié ce qui se passe quand la
personne ne peut ni dominer la situation, ni la fuir : ce qu'il a appelé l'« inhibition de
l'action ». Cette « paralysie situationnelle », a-t-il démontré, conduit précisément à
des désordres neuro-psycho-immulogiques. Laborit est également célèbre pour avoir
fait l'« éloge de la fuite », qui serait un recentrage de nos objectifs afin de sauver
notre peau... de l'intérieur. Quant à l'Américain Richard Lazarus, on lui doit
d'importantes études sur le stress psychologique et sur l'efficacité des moyens que
les gens adoptent pour y faire face (coping).
Depuis les années 1960, des milliers de recherches ont été menées dans différents
secteurs (l'immunologie, la cancérologie, la neuropsychologie, etc.) sur les multiples
facteurs intervenant dans chacune des phases du stress, et sur les impacts du stress
sur la santé. Il en reste pourtant encore beaucoup à découvrir, notamment sur les
liens entre l'esprit et le cerveau, c'est-à-dire entre la psychologie et la physiologie.
On a tendance à l'ignorer, mais les réactions de stress sont normales et utiles. Dans
de nombreuses circonstances, on parle donc de « bon stress ». On sait, par
exemple, que le niveau de performance au moment d'une tâche est meilleur lorsqu'il
y a une certaine dose de stress, car celui-ci permettrait de stimuler la motivation, de
mieux juger les paramètres de la situation et de se préparer en conséquence.
Plusieurs personnes, d'ailleurs, aiment cette excitation du stress et la
recherchent - dans la compétition, par exemple.
Bref, il existe des « tolérants » au stress et des « intolérants », mais on pourrait aussi
définir une troisième catégorie de personnes : les « accros » de l'adrénaline. Ce sont
de gros travailleurs, des workaholics, des gens à la vie sociale intense qui courent
sans cesse, mais qui ne voudraient pas se passer du stress, car il leur permet de se
sentir « vivants ». Or, celui-ci risque de les rattraper dans le tournant, comme en fait
foi la fréquence des maladies cardiovasculaires chez ce type de personnes. À noter
toutefois que le stress ne dépend pas de l'intensité de l'action, mais de celle de
la tension - puisqu'il y a des gens très actifs qui sont aussi très détendus alors que
des gens peu actifs peuvent être très tendus.
Quand les symptômes provoqués par les réactions de stress sont intenses au point
de nuire temporairement aux occupations normales, on parle de stress aigu. Ce
problème peut se manifester après un événement traumatisant (la mort d'un proche,
un accident, une perte financière, etc.), ou dans l'expectative d'un événement très
déstabilisant. Par définition, les malaises aigus sont temporaires, mais ils peuvent se
répéter à une certaine fréquence.
Le stress chronique, par contre, est un état permanent auquel on connaît plusieurs
causes :
- une personnalité anxieuse qui rend particulièrement sensible aux agents de stress;
Les personnes souffrant de stress chronique n'en sont pas toujours conscientes, ou
pensent qu'il n'y a rien à faire. Elles peuvent aussi souffrir, ponctuellement, de crises
de stress aigu.
Comme on le sait, ce qui est considéré comme « stressant » varie énormément
d'une personne à l'autre. Cela dit, certaines situations stressent la plupart des gens;
ce serait le cas, notamment, de la grossesse, l'éducation des enfants, la difficulté de
concilier travail et famille, la retraite et l'isolement social.
Les vaisseaux sanguins se voient réduits, et les artères, durcies. Aussi, pour parer à
une éventuelle blessure, le sang va s’épaissir, ce qui peut provoquer en
conséquence du stress des maladies de cœur et des accidents cérébraux.
Le cuir chevelu, plus sensible, est lui aussi touché. Il peut démanger, être douloureux
ou encore desquamer et provoquer l’apparition de pellicules en conséquence au
stress.
6. La prise de poids
Ce n’est pas toujours facile de maintenir un poids santé quand on est aux prises
avec les conséquences du stress, encore moins quand on a un rythme de vie
effréné. Par manque de temps, ou d’intérêt, nous avons alors tendance à avaler le
contenu de notre assiette d’un trait, ou à faire l’impasse sur les repas santé.
Mais un autre responsable de taille est étroitement lié à l'embonpoint relevé chez bon
nombre de personnes continuellement stressées : le fameux cortisol. Cette hormone
du stress envoie un signal de faim à notre cerveau, puisque notre organisme a
généralement besoin de nourriture pour se remettre d’une « agression ». Sauf que
ces aliments réconfortants ne sont pas toujours des plus équilibrés.
7. Les problèmes de sommeil
On le sait, stress et sommeil ne font pas bon ménage. Le soir, nous ruminons
souvent notre journée et anticipons négativement celle du lendemain. Et c’est sans
compter que, fatigués, nous faisons moins bien face à l’anxiété, qui va alors peu un
peu s’installer.
Mais l’aspect psychologique n’est pas le seul responsable face aux troubles du
sommeil. Physiologiquement, notre système nerveux sympathique nous donne aussi
du fil à retordre; il refuse de se mettre en veille pour pouvoir faire face au danger qui
nous guette.
8. La perte de mémoire
L'hippocampe joue un rôle essentiel dans le processus de mémorisation. Alors,
quand le cortisol s’empresse de détruire les cellules nerveuses de cette zone de
notre cerveau, c’est l’ensemble de nos fonctions cognitives qui sont touchées en
conséquence au stress.
Cela explique pourquoi notre concentration et notre manque de jugement nous font
aussi défaut quand nous sommes au bord de la crise de nerfs.
9. Le manque de libido
Avouons-le : après une journée difficile, nous ne nous sentons pas des plus attirants.
Alors, quand le stress s’en mêle et atteint notre précieux hypothalamus, une autre
partie du cerveau, notre production d'hormones sexuelles se voit, elle aussi, ralentie.
Les hommes, eux, voient les conséquences de ce stress à travers des problèmes
d’érection, et même voir leur production de spermatozoïdes diminuer.
4. Écouter de la musique
C’est prouvé, la musique adoucit les mœurs... et les conséquences du stress.
Classique, elle abaisserait même la tension artérielle et le rythme cardiaque. Mais le
principal est bien sûr d’écouter nos chansons préférées, puisqu’elles activeront les
fameuses hormones responsables du bien-être.
5. Visualiser
Notre imagination peut aussi nous aider à nous détendre face aux conséquences du
stress. Installé confortablement, on visualise une scène qui nous fait du bien : un lieu
rempli de souvenirs heureux, un être cher, nos prochaines vacances, etc.
Quels sont vos moyens pour faire face aux conséquences du stress, et vous calmer
au quotidien?
Le stress est un mal qui peut réellement détériorer la vie des personnes qui en souffrent.
Toutefois, le stress est créé par notre esprit, ce qui signifie qu’il peut être contrôlé et
minimisé. La première des choses consiste donc à décider de ne pas être stressé. Cela doit
être une décision consciente de ne pas permettre au stress d’entrer dans sa vie. Car cet état
n’est pas réel, vu qu’il est créé par notre esprit. En effet, quelque chose qui nous stresse
profondément n’est pas forcément stressant pour une autre personne. Il est donc possible de
décider de bannir cet état de notre vie. Cela peut sembler trop facile, mais c’est vrai. Nous
allons vous fournir des conseils qui vous permettront de gérer le stress.
Il est également nécessaire d’arrêter de créer de faux drames et de stresser pour des choses peu
importantes. En effet, certaines personnes ont tendance à stresser pour des choses futiles telles que
faire les courses ou choisir une tenue pour une sortie entre amis. Elles doivent donc relativiser cela en
se disant qu’il y a de pires choses dans la vie et que leur problème n’est pas grave du tout. En gérant
mieux leur esprit, elles pourront éviter de stresser et évacuer cette énergie négative. C’est la même
chose pour la gestion du temps. Nous avons souvent plus de temps pour réaliser des choses que
nous ne l’imaginons. Et si ce n’est pas le cas, nous avons très souvent la possibilité d’obtenir une
rallonge de temps, juste en le demandant. Toutefois, il est à noter qu’il existe des personnes
réticentes à ces conseils de bon sens, car elles souhaitent intérieurement arranger leur stress, le
justifier ou parce qu’elles veulent avoir une raison pour leurs tourments et les drames de leur vie.266
Marcher un peu
Quittez le bureau ou quittez votre maison, allez prendre un peu d’air. Je ne parle pas du fait de faire le
tour de la ville et d’ignorer vos responsabilités. Même si ça a l’air amusant. Je dirais simplement, aller
vous promener un peu. 20 à 45 minutes d’une marche à l’extérieur, oui, l’extérieur peut complètement
ouvrir votre esprit à nouveau, vous aider à trouver le calme et une sorte de sens interne parce que
vous marchez, vous bougez, vous respirez. Pour certains d’entre nous, ça pourrait signifier du sport.
Allez courir un peu, faites du jogging. Bougez votre corps pour vous débarrasser d’un peu de cette
tension physique et de cette tension mentale, votre tension mentale pourrait partir aussi. Ça a du
sens, à n’en pas douter.
Être organisé
La majorité du stress dans nos vies pourrait être gérée si nous l’organisions. En effet, en étant
organisés et en effectuant nos tâches en temps et en heure, nous serions moins inquiets. En sachant
exactement ce qui nous attend aujourd’hui et les jours suivants, notre esprit est en paix et le stress
n’apparait pas. Demandez-vous « Comment je peux me débarrasser de la folie de ce moment et
planifier la gestion de mes tâches ? » Décidez des heures de la journée où vous irez de l’avant pour
accomplir ces choses qui vous troublent. Quand vous devenez organisé, vous pouvez mieux gérer le
stress. Votre vie sera fortement améliorée si vous êtes bien organisé.
En décidant d’agir ainsi et d’être en quelque sorte une nouvelle personne, vous serez moins stressé
qu’auparavant. Nous devrions tous devenir plus paisibles, plus réfléchis, plus présents et plus joyeux
en grandissant. N’êtes-vous pas d’accord ? Et si c’est vrai, alors il est temps de commencer
maintenant. Alors, ayez cette perspective, respirez, marchez et soyez organisé. Gérez votre énergie
du mieux que vous le pouvez, et cela deviendra presque comme un jeu. Vous posséderez plus de joie
en vous et vous vivrez une vie exceptionnelle.
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Part
Lien > http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/comment-lutter-contre-le-stress-grace-a-lhypnose-
010115-2305
Stress, angoisse, tension… Contre les pressions du quotidien, l'hypnose s'avère un outil
redoutable. Découvrez comment détendre votre inconscient en toute simplicité !
En ce moment
Vous manquez de sommeil ? Vous stressez sitôt la tête sur l'oreiller, sentez la
pression vous envahir dès le réveil ? Tachycardie, insomnies, agressivité… les
affections dues au stress sont aujourd'hui monnaie courante, et trop souvent
ignorées. Lorsque vous la raison n'a plus d'effet sur les tensions, reste l'hypnose.
Le stress est une réaction naturelle à une situation perçue comme une
menace forme ou bien-être .Votre corps réagit en déclenchant un afflux d'adrénaline,
une accélération du rythme cardiaque, une poussée de transpiration… Le stress est
un signal d'alarme. Le problème ? Parfois, le signal d'alarme ne s'arrête plus. Le
stress s'installe et la raison n'y change rien : il s'agit d'une réaction spontanée,
incontrôlable. C'est là qu'intervient l'hypnothérapie ! En déconnectant les pensées
conscientes, vous accédez à la partie inconsciente de votre cerveau… celle qui
définit votre perception d'une situation. Ne reste qu'à trouver les bons mots pour
reprogrammer, relativiser, puis gérer la source de stress.
Un hypnothérapeute pour combattre le stress
Lorsque le stress s'installe, le mal de vivre n'est pas loin. Prévenir, lutter ou guérir : à
chaque thérapie son objectif. Quant à choisir la vôtre ? Une séance d'hypnose ne
peut être efficace sans une relation de confiance avec votre hypnothérapeute.
Prenez le temps de le choisir et d'établir un lien d'échange : mieux il vous comprend,
plus il est à même d'adapter les suggestions à votre inconscient. Dans ce but, prenez
le temps d'identifier l'origine de votre stress. Si vous percevez un quelconque
blocage psychologique, optez pour un psychologue ou un psychiatre formé à
l'hypnose.
MAL DE DOS
http://www.e-sante.fr/pourquoi-ai-je-mal-dos/actualite/742
Pourquoi près de 7 Français sur 10 ont souffert, souffrent ou souffriront de leur dos au
cours de leur vie ? Le mal de dos est tellement fréquent, que l’on peut effectivement
se poser la question et lister les différentes causes du mal du dos.
I
Hernie discale : le fait de se blesser ou de porter une charge lourde peut aussi provoquer le
glissement d’un disque intervertébral ou hernie discale. Ainsi déplacé vers le canal
rachidien, le disque appuie sur les nerfs qui génèrent des douleurs au niveau du dos.
Attention, avec l’âge, les disques s’altèrent, augmentant le risque de glissement et donc
de hernie discale.
L’arthrite : maladie courante des articulations (inflammation), l’arthrite peut aussi être à l’origine
de douleurs dorsales. La spondylarthrite ankylosante, forme d’arthrite rhumatoïde, génère
également des douleurs au dos.
L’arthrose : cette autre maladie courante résulte d’une usure des articulations affectant
souvent les vertèbres et les articulations vertébrales.
Le surpoids : l’obésité fait partie des facteurs favorisant le mal de dos. En effet, l’excès
pondéral exerce des pressions excessives sur le rachis pouvant provoquer des douleurs et
aussi de l’arthrite (inflammation articulaire).
Les mauvaises postures : rien de tel qu’une mauvaise posture pour entraîner un
désalignement de la colonne vertébrale, laquelle force sur les muscles et appuie sur les nerfs.
Ces mauvaises postures sont fréquentes, lors de la simple marche ou en position assise, mais
aussi lors d’activités de toutes sortes, professionnelles et de loisirs. Et elles sont favorisées
par le stress.
Les maladies associées : le mal de dos peut faire partie des symptômes de certaines
maladies. C’est le cas de la fibromyalgie, de l’ostéoporose, des kystes des ovaires, de la
grossesse, de certaines infections et tumeurs, notamment celles de la colonne vertébrale.
En pratique, on peut prévenir le mal de dos : activité physique, perte de poids, bonnes
postures, éviter le port de charge trop lourde, lutte contre le stress, etc.
Mais en cas de mal de dos persistant ou récidivant, il convient de consulter son
médecin afin d’en explorer la cause et de mettre en place un traitement adapté.
part de vérité. Au-delà des causes physiologiques, notre mal de dos serait aussi un signal d’alarme, que
nous aurions tout intérêt à écouter pour en apprendre davantage sur nous-même et sur notre rapport aux
autres. La coach et psychothérapeute Delphine Debronde nous aide à décrypter cet autre langage du
corps.
Elyane Vignau
Un signal d’alarme
Un autre langage
Se reconnecter à soi, parler à l’autre
S’accorder le droit d’aller mieux
Le travail sur la douleur
« J’ai tout le temps mal au dos, mais avec le stress que j’endure au travail, c’est normal ! », « Ton
mal au dos ? Ne cherche pas, c’est les soucis ! » Nous sommes nombreux à avoir expérimenter
ce drôle de lien qui existe entre notre tête et notre dos. Si bien qu’il est devenu courant de voir
dans les tourments de notre esprit l’origine de nos tensions dorsales et autres lombalgies. A tort ?
« Non, on sait depuis longtemps que l’on peut associer certains troubles ou effets d’humeur - des
troubles dépressifs notamment - au risque de chronicité de la lombalgie, précise Delphine
Debronde. Pourtant, il n’existe pas de connexion directe entre la tête et le dos qui pourrait permettre
de décrypter l’origine de ce mal. Tout dépend des personnes, des situations. »
Ce lien est en réalité plus complexe qu’il n’y paraît au premier abord. Un exemple : une personne
traversant un épisode dépressif supportera moins bien la douleur qu’une autre. Et de la même
manière, une douleur installée depuis longtemps peut miner sur le long terme le bien-être et le
moral de celui qui souffre. « En consultation, on voit bien que le lien entre dos et esprit n’est pas
univoque, qu’il s’agit plutôt de croisements, poursuit la thérapeute. Cela nous montre toutefois une
chose : le plus grand risque dans la prise en charge du mal de dos, est de dissocier corps et
psyché. Car ils sont toujours en interaction. »
Un signal d’alarme
A DÉCOUVRIR
En forme ? Evaluez votre forme physique en répondant à notre test !
Que le symptôme soit physique – une douleur - ou psychique – comme l’anxiété, par exemple –
notre mal de dos serait ainsi, pour Delphine Debronde, un messager précieux : « C’est un signal
d’alarme qui nous signifie que là, nous avons dépassé nos limites ». Naissance d’un enfant,
déménagement, perte d’un être cher ou promotion professionnelle… Comme la douleur se
manifeste souvent à l’occasion de grands tournants de vie, il est tentant de la mettre directement
sur le compte de ces bouleversements « qui ont du mal à passer ». Mais la source du malaise
mérite souvent d’être recherchée un peu plus loin. « Le lien corps-esprit n’est pas toujours
apparent, précise ainsi la thérapeute. La plupart du temps, d’ailleurs, le mal de dos apparaît après
une longue symptomatologie qui évoluait à bas bruit. On commence à ressentir des tensions dans
le bas du dos quand on est stressé, et on finit un matin par ne simplement plus pouvoir se lever de
son lit. L’événement en lui-même se contente bien souvent de rendre le mal de dos plus lisible ».
Un autre langage
A DÉCOUVRIR
Mal au dos ? Avez-vous pensé aux massages ? Découvrez dans notre article 3 massages pour
prévenir le mal de dos
Pour la psychothérapeute, notre mal de dos serait donc, au-delà du signal, un autre niveau langage
que nous aurions tout intérêt à décrypter. « C’est un langage corporel. Parfois lorsqu’on est pris
dans nos émotions, dans nos difficultés à vivre, on n’est pas toujours capable d’analyser ce qui
nous arrive et ce que l’on ressent. On se retrouve sous tensions, sans trop comprendre. C’est là,
souvent, que le mal de dos peut apparaître. Car c’est parfois le seul moyen que l’on a trouvé
inconsciemment pour exprimer une souffrance ou un mal de vivre, quel qu’il soit. »
Voilà pourquoi nous aurions intérêt, dès l’apparition du mal de dos, à prendre le temps d’écouter
cette douleur. De se demander ce qui nous pèse, ce qui nous tend, ce qui a pu nous arriver dans
un passé récent, pour tenter d’établir un lien avec la douleur. Accompagné(e) d’un thérapeute,
nous pourrions ainsi explorer ce que notre dos a à nous apprendre sur nous-même. Des choses,
bien souvent, que nous ignorons. Ou que nous ne sommes pas prêts à voir.
Sommaire
Se reconnecter à soi, parler à l’autre
« Etymologiquement, être malade signifie être mal orienté,
se tromper de route, rappelle ainsi Delphine Debronde.
Quand on est malade, on a déjà à entendre dans cette
étymologie qu’il y a peut-être quelque chose à revoir en
termes d’orientation de soi. C’est là un des bénéfices
secondaires de notre mal de dos. » Car en nous alertant, la
douleur va nous réveiller. Nous remettre à l’écoute des
émotions qu’elle provoque, nous reconnecter avec nous-
mêmes. Et nous inviter à réfléchir sur nous-même, tout
simplement.
On parle du mal de dos comme mal du siècle tant ce trouble est répandu.
Le mal de dos ne désigne pas une maladie en particulier mais bien un ensemble de symptômes
qui peuvent avoir de multiples causes, grave ou non aigues ou chroniques, inflammatoires ou
mécaniques. L’immense majorité des maux de dos sont « communs » c’est à dire qu’ils ne sont
pas liés à une maladie grave sous-jacente.
Le mal de dos
o Arthroses
o Maladies cancéreuses, infectieuses, inflammatoires.
Quelque soit le lieu de la douleur, qu’elle provienne de la tête, du dos, des jambes qu’elle soit
musculaire ou articulaire la démarche thérapeutique avec l’hypnose pour soulager le mal au dos
sera la même. L’efficacité de l’hypnose sur la douleur est reconnue cliniquement et
scientifiquement.La plus grande efficacité de l’hypnose pour soulager le mal de dos ce situe par
rapport à l’éveil qui réside dans le fait qu’elle agit sur la dimension émotionnelle et non sur la
seule dimension sensorielle.
Certaines douleurs restent invalidantes malgré des traitements lourds, l’hypnose peut jouer un
rôle sur le traitement de la douleur du mal de dos.
Le thérapeute utilise des métaphores , ou propose au patient de poser sa main sur la douleur et
de ressentir l’intensité de la douleur diminuer. On va suggérer au patient de trouver par lui
même les solutions adaptées à son cas immédiat et si possible de s’engager à les respecter , il
en va de son bien être, et tout cela en état d ‘hypnose.
************************************************************************** Sommaire
Traitement de la douleur
L'hypnose
En France, les médecins s'intéressent de plus en plus à l'hypnose : psychologues,
rhumatologues, gynécologues, endocrinologues, psychologues cliniciens, médecins
généralistes… se forment à cette approche et l'utilisent dans leur pratique, notamment
pour atténuer la douleur. Le point avec le Dr Jean-Marc Benhaiem, qui a créé le premier
diplôme universitaire d'hypnose médicale à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière.
"L'hypnose ne soigne pas une maladie mais une personne", dévoile le Dr Jean Marc Benhaiem
de sa voix calme et lente. Autant dire que la relation thérapeute-patient est essentielle. Loin
de l'hypnose spectacle, cet expert propose depuis de nombreuses années "L'hypnose qui
soigne" 1.
Une hypnose en trois étapes
Le recours à l'hypnose pour traiter la douleur est validé par de nombreuses études 2. On
estime cette approche particulièrement intéressante lorsqu'elle est utilisée avant que la
douleur ne devienne chronique. Mais son succès reste toutefois fortement lié à une condition :
"être disponible à des changements", explique le Dr Jean-Marc Benhaïem, spécialiste de
l'hypnose et auteur d'un ouvrage "L'hypnose qui soigne".
Trois étapes sont proposées par le thérapeute. La première est l'induction. Elle consiste à
hypnotiser le patient en lui proposant de fixer son attention sur un objet. La deuxième est ce
que l'on appelle la dissociation-confusion : le patient se trouve coupé de ses perceptions
auditives, visuelles et tactiles. Son corps est engourdi et immobile. Vient alors la troisième
étape, qui correspond à l'ouverture, celle qui va permettre d'entrer en relation avec son corps,
condition nécessaire pour guérir. Quitter son corps pour mieux le retrouver…
Chez les patients migraineux, l'hypnose va tenter d'interrompre le cercle vicieux anxiété-
contractures-douleurs crâniennes. L'obtention de l'état hypnotique suffit souvent à stopper
la migraine. La léthargie associée à la pénombre et au calme de la séance sont autant
d'éléments d'apaisement. Les yeux fermés, le patient est invité à imaginer des couleurs
apaisantes. La suggestion de fraîcheur est souvent bénéfique.
Dans son livre, le spécialiste estime à 62 % la proportion de migraineux rebelles soulagés par
une hypnose ciblée 1. Cependant, si on remarque une atténuation, voire un espacement des
douleurs, ou une rémission, il est rarement question de guérison . Rien n'empêche alors de
refaire de nouvelles séances d'hypnose.
De bons résultats pour les lombalgies et les sciatiques
Quel que soit le lieu de la douleur, qu'elle provienne des jambes ou du dos, qu'elle soit
musculaire ou articulaire, la démarche thérapeutique sera la même, explique le Dr Benhaiem.
Et de citer l'exemple d'une patiente de 50 ans : occupée à améliorer par l'hypnose sa relation
avec sa fille, elle en a oublié ses douleurs lombaires.
Dans sa pratique, le médecin constate que les séances d'hypnose soulagent bon nombre de
patients. Ils se plaignent de moins en moins de leurs douleurs, prennent moins d'antalgiques
et continuent leur activité professionnelle.
Si l'efficacité de l'hypnose sur la douleur est reconnue cliniquement, il restait à le prouver sur
le plan scientifique. C'est ce qu'a fait Fanny Nusbaum 2, chercheur associé au laboratoire
Santé-Individu-Société (Université de Lyon). À l'aide d'un IRM, elle a mesuré l'activité
cérébrale chez 14 patients lombalgiques chroniques, au repos, en état d'éveil avec une
suggestion d'analgésie, et en état d'hypnose avec la même suggestion d'analgésie. Résultat :
les patients en éveil ont décrit une baisse de leur douleur de 28 %, contre 64 % pour ceux
sous hypnose, qui ont montré une activation d'un réseau cérébral cognitivo-émotionnel. Pour
les chercheurs, la plus grande efficacité de l'hypnose par rapport à l'éveil réside dans le fait
qu'elle agit sur la dimension émotionnelle et non sur la seule dimension sensorielle.
Soulager les douleurs du côlon
Certaines douleurs du côlon restent invalidantes, malgré des traitements lourds. L'hypnose
peut là encore jouer un rôle.
Le praticien utilise des métaphores comparant le côlon à un fleuve calme. Assis dans un
fauteuil ou un siège confortable, le patient a pour consigne d'imaginer son côlon désenflammé
ou encore de placer sa main sur le ventre et d'attendre de ressentir une chaleur calmante.
Dans son livre, le Dr Benhaiem décrit le cas d'un patient de 48 ans, qui malgré l'ablation
partielle du côlon, continuait à souffrir depuis 3 ans, au point d'arrêter de travailler. Adressé
par un collègue gastro-entérologue, il accepte de jouer le jeu de l'hypnose. Les douleurs se
sont estompées dès la première séance. A la seconde, le problème était quasiment réglé. Le
médecin a pu confirmer la guérison et le patient reprendre son travail.
Dans les cas d'amputations, il n'est pas rare de ressentir une douleur du côté du membre
devenu absent. Le cerveau cherche alors ce membre perdu et envoie des signaux
douloureux. C'est ce qu'on appelle la "douleur fantôme".
L'hypnose aura pour rôle, dans ce cas, de "mettre de l'ordre dans le cerveau", explique le
Dr Benhaiem. Il s'agit, par les séances d'hypnose, de faire accepter le handicap ou l'accident,
et mettre fin aux regrets et autres culpabilités autour de la lésion du corps. Pour cela, le
thérapeute propose au patient de visualiser le membre manquant et de l'imaginer en
mouvement. Cela aura pour effet de soulager ces douleurs dites neuropathiques.
Peut-on réduire la douleur chez le dentiste par l'hypnose ?
Sommaire
Malgré les avancées techniques, l'appréhension de la roulette et de la piqûre d'anesthésie
n'est toujours pas passée.
Et chez l'enfant, le dentiste utilise la suggestion et la métaphore des héros de contes qui
surmontent tous les dangers !
1. "L'hypnose qui soigne" de Jean-Marc Benhaiem Ed. Josette Lyon. Spécialiste de l'hypnose
qu'il pratique depuis vingt-cinq ans, le Dr Benhaiem travaille actuellement dans un centre
hospitalier de traitement de la douleur à Paris. En 2001, il crée - et dirige depuis - le premier
diplôme universitaire d'hypnose médicale à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière (seul diplôme en
Europe).
Interview du Dr Jean Marc Benhaiem le 27 /09/10
2. Études menées par Fanny Nusbaum, chercheur associé au Laboratoire Santé-Individu-
Société (S.I.S., EA-4129), dirigé par les Prs Yves Matillon et Jacques Gaucher. Elles ont été
soutenues financièrement par la Fondation APICIL et se sont déroulées au CERMEP-Imagerie
du Vivant.
Sommaire
BOOSTER SA MEMOIRE
Recherche 1 > troubles de memoires
Recherche 2 > troubles concentration
Recherche 3 > Therapie pour booster sa memoire
Les problèmes de mémoire, cela arrive à tout le monde et à tout âge. C’est peut être dû au stress,
à la fatigue, à un manque de concentration ou à une pathologie plus grave comme un AVC ou la
maladie d’Alzheimer. Les répercussions des pertes de mémoire sur le quotidien peuvent être plus
ou moins importantes. Pour résoudre les petits soucis, ralentir les plus importants et développer
une mémoire d’éléphant, il faut, en plus d’une bonne hygiène de vie, entraîner sa mémoire, la
faire travailler pour l’améliorer.
1. L’encodage : c’est le moment où l’on reçoit une information captée par l’un de nos cinq
sens.
2. Le stockage (ou rétention) : c’est le fait de retenir cette information, de la stocker dans
son cerveau et de faire durer le souvenir dans le temps.
3. Le rappel (ou récupération) : c’est le fait de chercher et d’extraire une information de
sa mémoire, de la “rappeler” pour pouvoir la réutiliser.
Perte de mémoire
La perte de mémoire, qu’elle affecte la mémoire à long terme ou la mémoire à court terme, peut
survenir brutalement, ou de façon progressive. Les causes sont physiologiques (drogue, AVC,
maladie…) ou psychologiques (choc émotionnel). Selon les causes, la perte de mémoire, peut être
permanente.
Troubles du langage
Les troubles de la mémoire affectent parfois le langage, nous laissant incapable de retrouver le
mot que l’on cherche, de s’en souvenir, alors qu’on l’a “sur le bout de la langue”. Le trouble peut
également se manifester par une confusion dans les prénoms ou l’emploi d’un mot pour un autre,
comme “mine” au lieu de “crayon”.
Trouble de l’orientation
Les problèmes de mémoire affectent également l’orientation spatiale, ce qui se traduit par des
difficultés à se repérer dans l’espace, à se diriger, faussant même la perception du haut/bas et du
dessus/dessous. La personne touchée par ce trouble oublie son itinéraire et peut se sentir perdue
dans la rue ou dans son propre salon.
L’orientation temporelle peut également être altérée par un problème de mémoire. Il devient alors
difficile de se souvenir de la date, de se repérer dans une journée, de distinguer le jour de la nuit.
On ne sait alors plus quand dormir ou se nourrir.
Trouble de la concentration
La difficulté à se concentrer résulte souvent de la fatigue et il nous arrive à tous d’avoir du mal à
fixer notre attention et à retenir une information. Qui n’est jamais arrivé dans une pièce en ne
sachant plus ce qu’il venait y faire…
Amnésie
Amnésie rétrograde
C’est la perte des souvenirs datant d’avant le début de la maladie.
Amnésie antérograde
C’est un peu l’inverse de l’amnésie rétrograde. Ici, la personne amnésique oublie les choses à
mesure qu’elles surviennent. Seuls les souvenirs antérieurs à la maladie subsistent.
Amnésie Lacunaire
L’amnésie lacunaire, c’est l’oubli d’une période donnée, survenu suite à une perte de conscience,
comme lors d’une crise d’épilepsie.
Qui n’a jamais oublié qu’il porte ses lunettes sur le bout de son nez et passe une demi-heure à les
chercher ! Ces petits oublis sont courants et anodins, et peuvent être causés par la fatigue, ou un
fait nouveau qui fait passer l’info aux oubliettes.
Les petits trous de mémoire peuvent survenir à cause de la fatigue ou de la routine. Lorsqu’on
s’interrompt brutalement en se demandant si on a bien éteint la gazinière avant de partir, on ne se
souvient plus si on l’a fait car c’est un acte routinier, qu’on fait en mode automatique et que l’on a
répété des dizaines de fois.
Lorsqu’une personne confond les mots, on parle d’aphasie. Il devient alors difficile de
communiquer. Ce trouble survient le plus souvent après un Accident Vasculaire Cérébral, un
traumatisme crânien, ou encore une tumeur au cerveau.
Apprendre par coeur peut se révéler utile dans le cadre scolaire, professionnel ou, tout simplement,
pour briller en société ou remporter un jeu télévisé. La tâche n’est pas toujours aisée et les causes
de ces difficultés sont multiples. La fatigue, le manque de concentration ou d’intérêt peuvent être
des facteurs de difficulté.
Causes : Pourquoi j’ai des problèmes de mémoire ?
Causes médicamenteuses
Les médicaments, notamment les anxiolytiques et les somnifères, peuvent provoquer une
altération, le plus souvent temporaire, de la mémoire.
Causes psychologiques
Les causes psychologiques sont nombreuses. Stress, dépression, choc émotionnel ou encore
fatigue excessive nuisent au processus de mémorisation.
Causes cérébrales
Il existe des maladies, telle qu’une tumeur ou la maladie d’Alzheimer, qui affectent la mémoire de
façon permanente et irréversible.
Causes vasculaires
L’accident vasculaire cérébral, ainsi que les maladies vasculaires (thrombose, hémorragie…),
endommagent le cerveau et peuvent causer des troubles de la mémoire. Ces causes sont
favorisées par la diabète, l’hypertension ou l’athérosclérose vasculaire.
Causes nutritionnelles
Une alimentation mal équilibrée, des carences en vitamines, ainsi que l’alcoolisme peuvent causer
des trous de mémoires.
Causes traumatiques
Un traumatisme crânien peut engendrer des séquelles telles que des troubles de la mémoire.
Causes toxiques
Les troubles de la mémoire sont une des conséquences de l’intoxication au monoxyde de carbone.
De même, l’utilisation abusive du cannabis cause des pertes de mémoire.
Le vieillissement altère les membranes neuronales. Elles ont tendance à devenir rigides, ce qui
nuit à la transmission des informations entre les neurones, rendant plus difficile le processus de
mémorisation.
Conséquences de ces troubles sur ma vie
Peur de l’oubli
Les pertes de mémoire, selon leur fréquence et leur importance, peuvent avoir des répercussion
sur votre quotidien et générer une peur de l’oubli et de ses conséquences. Est-ce que j’ai éteint la
gazinière ? Où sont mes lunettes ? Et si je ne reconnaissais plus mon enfant ?
À mon travail
La conséquence la plus évidente au travail est, évidemment, une baisse d’efficacité. Il faut sans
cesse consulter ses notes et ses dossiers, on oublie de transmettre un message de la plus haute
importance, on zappe une mission que l’on nous avait confiée…
Dans le cas d’une suspicion d’AVC ou d’un trouble de la mémoire soudain accompagné d’autres
symptômes, il est impératif de consulter en urgence.
Si les trous de mémoire sont épisodiques et sont le seul symptôme, on ne s’alarme pas, tout est
normal. La mémoire vieillit avec nous. Il faut donc prendre soin de la stimuler pour conserver ses
facultés.
Stimulation cognitive
La mémoire s’entretient comme n’importe quel muscle. L’important, c’est de l’entraîner, avec des
exercices cérébraux, une activité intellectuelle et sociale riche, une alimentation équilibrée, une
vie saine, du sport et suffisamment de sommeil.
Exercices de mémoire :
Exercices pour l’attention
Pour retenir, une des clés, c’est l’attention. Il est donc primordial de la solliciter le plus souvent
possible, pour parvenir à la maintenir chaque fois qu’on en a besoin, avec des activités spécialisées
ou, par exemple, grâce à des jeux de société et une vie sociale animée.
Vous pouvez aussi vous intéresser à notre formation « Booster Sa mémoire » gràce à
la méthode pour apprendre mieuxde Sébastien Martinez
L’alimentation
Améliorer sa mémoire passe également par une alimentation saine, variée, et équilibrée. Aucun
aliment ne booste réellement la mémoire. En revanche, les vitamines A, C et E, ainsi que les
Oméga 3, boostent les fonctions cérébrales en général.
La détox
Bien s’alimenter pour intégrer les bonnes choses dans son organisme, c’est bien. C’est encore
mieux si on le nettoie en éliminant les toxines. Une cure détox peut contribuer à lutter efficacement
contre les problèmes de mémoire.
RESSOURCES
Comment apprendre mieux ?
Le cerveau et la mémoire
Problèmes de mémoire
Troubles de la concentration
Symptômes
On recherche en vain un mot ou un nom connu. On se retrouve à la cave
sans plus savoir ce qu’on venait y faire. On n’arrive plus à résoudre les jeux
d’esprit aussi vite qu’autrefois. Les personnes qui présentent des troubles
de la concentration ont des trous de mémoire et peinent à se souvenir des
informations reçues. Un peu comme si leur cerveau était temporairement
bloqué.
Causes et origines
La concentration désigne la capacité à fixer volontairement toute son
attention sur un sujet, une personne ou un objet précis. Pendant ce temps,
tout le reste passe au second plan. La concentration demandant beaucoup
d’efforts, elle diminue avec le temps.
Concentration
Côté prévention
Il existe d’innombrables méthodes ludiques pour entraîner sa mémoire et
ses facultés de concentration.
Lien . https://www.psy-coach.fr/ameliorer-concentration-memoire/
Trous de mémoire, oublis…la mémoire, logée dans la région cérébrale de l’hippocampe décline avec
l’âge, mais pas uniquement ! En effet, moins on se sert de son cerveau et plus les oublis et pertes de
mémoires augmentent. N’attendez donc pas pour faire travailler votre mémoire au quotidien. Tous les
moyens sont bons.
Alimentation, sommeil, sport ou phytothérapie. Programme sur le cocktail spécial booster de mémoire.
PERFORMANCE
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Je performe donc je suis. Pourquoi ? Pour qui ?
Pourquoi la performance ? Après quoi court-on lorsque l'on recherche la performance ? Derrière
cette quête, ne se cache-t-il pas la peur de ne pas être aimé, la soif de reconnaissance, l'envie
d'être considéré ? Et si chercher à atteindre la performance, c'était, forcément, chercher
à prouver quelque chose. Prouver quoi et à qui ? La performance gratuite, dépourvue de
raisons existe-t-elle ou est-elle toujours motivée par une exigence, une raison, un poids,
une lacune, un héritage…?
Mais ne nous dupe-t-on pas ainsi, nous faisant croire que l’avenir appartient aux seuls gagnants et
que seuls les premiers de la classe auront accès au bonheur ? On néglige bien souvent l’essentiel :
avoir de vraies
raisons de vivre et d’agir. Car l’exigence de performance peut s’avérer réductrice.
En exacerbant le résultat,
elle dévalorise le chemin. Nous sommes dans le calcul mathématique et froid des moyens à mettre en
œuvre pour atteindre le résultat escompté. Nous ne sommes plus dans la réalité de la vie.
Le résultat atteint
peut être comme déconnecté de la réalité de la personne qui développe alors des process de réussite
plutôt qu’un apprentissage intelligent. La course à la performance poussée à l’extrême empêche
d’entrer
en soi-même pour découvrir ses ressources et aspirations. On ne cherche pas, on n’apprend pas.
On cherche à atteindre à but. Celui que l’on s’est fixé, celui que d’autres ont fixé pour nous :
un examen,
un résultat,… Le chemin ne compte plus. L’important, c’est l’arrivée, le chrono, la note.
Le point de mire devient « Sois le meilleur » alors même qu’il devrait être « Deviens toi-même ».
Dans cette société de performance, les indicateurs sont devenus rois. S’ils sont un repère indispensable
et un langage commun nécessaire, leur objectivation froide des résultats peut tendre vers une
déshumanisation
contre-productive. En nous situant les uns par rapport aux autres, par rapport à une moyenne,
une norme,
un barème, ils peuvent donner l’illusion d’un suivi scrupuleux alors même qu’ils deviennent un barrage
au
dialogue et donc à la véritable connaissance des faits. Les systèmes d’évaluation poussés
à l’extrême et jamais relativisés abolissent la communication. S’ils veulent conserver leur mission
première, ils doivent être
humanisés et désacralisés. A défaut, ils deviendront des façons de juger la personne et non sa
production.
Le danger étant d’en arriver à confondre l’ « être » et le « faire ».
Cette posture de comparaison est valable tant en terme de résultat (« Je veux être meilleur que l’autre. »)
qu’en terme de motivation (« Je veux prouver quelque chose à quelqu’un. ») En ce sens, notre
désir est en
réalité le désir de l’Autre. Ma recherche de performance ou d’excellence est en réalité une
image projetée
de ce que les autres attendent de moi ou de ce que je cherche à prouver aux autres qui m’ont,
un jour, sous-estimé ou rabaissé,…
Alors, vous trouverez ici une vidéo qui vous guide pour faire l’expérience de
cette technique simple et amusante.
—-
Prochaine étape
Vos émotions, vos besoins les plus profonds ainsi que vos croyances sont
gérées par votre inconscient. La Méthode Dolfino offre un ensemble d’outils
et de techniques pour gérer vos émotions et activer votre plein potentiel.
Curieux d’en faire l’expérience? C’est ce que nous vous proposons dans
cette formation. Vous apprendrez à vous servir de l’hypnose pour vous-
même et pour aider les gens que vous aimez.
L’HYPNOSE, le secret de
la performance sportive
Vous désirez être au top de votre performance, vous rêvez de monter sur le podium depuis
longtemps mais vous n’y parvenez pas, ou vous désirez seulement dépasser vos limites, le texte
qui suit va vous intéresser. Votre état psychologique et vos pensées peuvent faire la différence
entre quelqu’un qui a le potentiel et celui réussi parce qu’il saisit toutes les opportunités de son
plein potentiel. L’hypnose peut être utilisée à n’importe quel niveau sportif, que vous soyez amateur
ou professionnel et dans n’importe quel sport. Vous êtes un joueur de golf, de basketball, de tennis,
de baseball, de hockey pour ne nommer que ceux-ci, l’hypnose peut vous aider. Vous vous posez
surement la question comment l’hypnose peut en accédant à l’inconscient améliorer les
performances sportives. Vous apprendrez un peu plus loin comment ça fonctionne…
Il est surprenant comment l’hypnose est rarement utilisée par les athlètes malgré différentes études
qui démontrent comment l’hypnose peut être un outil pour améliorer la performance dans le sport
et dans d’autres domaines. Surtout lorsqu’on considère comment parfois quelques centièmes de
secondes peut être ce qui sépare le temps d’une médaille d’or ou d’un échec… D’ailleurs selon
le 1Dr. Brian L. Vasques, l’hypnose est une méthode sous-utilisée pour améliorer la performance
sportive. Il est probable que cette sous-utilisation soit due aux idées préconçues et erronées que
les gens ont de l’hypnose, de ce que peut faire et ne pas faire l’hypnose. Et ce, malgré les
nombreuses recherches et études qui ont démontrées les capacités de l’hypnose à améliorer les
performances d’un athlète. Ce qui est le plus pertinent, c’est que l’hypnose aide à atteindre l’état
mental optimal « le flow » que les athlètes professionnels recherchent.
Atteindre le « flow »
On peut traduire le « flow » par l’état optimal de performance. Pour les athlètes, le « flow » est
associé à un haut niveau de performance dans un sens très positif. Dans cet état tout est optimal,
l’esprit et le corps sont en harmonie, ils y a un état intense de concentration et d’absorption dans
l’activité, les pensées négatives ou les doutes sont absents et le fonctionnement du corps est
amélioré. Ont pourrait donc dire que l’état optimal de performance ou le « flow » est souvent le
but ultime que l’athlète recherche.
Selon une autre étude faite par 2Jackson (1992,1995) Différents facteurs peuvent venir influencer
l’atteinte du « Flow ». Une préparation physique non-suffisante, un environnement ou des
conditions non-optimale, un manque de confiance en soi, une attitude négative, un manque de
concentration, un manque de motivation, un esprit d’équipe négative et un manque d’interaction,
C’est pour toute ces situations que l’hypnose peut être très pertinente afin de permettre à l’athlète
d’atteindre l’état optimale de performance.
L’état d’hypnose et l’état optimal de performance ont des caractéristiques très similaires. Que ce
soit dans l’état d’hypnose ou dans un état optimal de performance vous devriez ressentir les
éléments suivants3 : un état altéré de la conscience, une augmentation du focus et de la
concentration, un sentiment de contrôle, un état ou ont est un peu dissocié de l’environnement.
Donc, l’hypnose et l’autohypnose peuvent être des outils très intéressants pour aider l’athlète à
retrouver l’état optimal de performance.
Comment ça fonctionne?
L’état d’hypnose est un état naturel que nous traversons quotidiennement. Par exemple, lorsque
vous êtes dans la lune, que vous êtes tellement concentré que vous n’entendez plus les bruits
autour, que vous faites quelque chose qui vous passionne et que vous perdez la notion du temps.
Combien de fois avez-vous remarqué quand vous conduisez que vous êtes surpris en arrivant à
votre destination de ne pas avoir remarqué le paysage? Que vous avez eu l’impression d’être sur
le pilote automatique tandis que votre esprit conscient était concentré ailleurs? Ce genre d’hypnose
de route est un bon exemple d’aller en transe les yeux ouverts comme des golfeurs, des joueurs
de tennis, ou des gardiens de but qui utilisent l’autohypnose pendant le jeu.
Si vous avez déjà vécu un de ses exemples énumérés précédemment, vous avez expérimenté
l’état d’hypnose par vous même sans le vouloir. Il est possible d’aller rechercher cet état
volontairement grâce à l’hypnothérapie. En utilisant les techniques hypnotiques tel la relaxation, le
focus et des suggestions, l’hypnose peut avoir un impact majeur sur l’entrainement mentale pour
développer des bonnes techniques. Je vous résume avec l’acronyme SUCCÈS comment
l’hypnose peut aider à améliorer les performances sportives :
SUCCÈS
S avoir gérer le stress
Le stress est perçu de façon négative mais dans certaine situation il peut être un allié considérable.
Il s’agit en fait de trouver le bon équilibre pour être au maximum de son potentiel. Le niveau de
acceptable de stress peut être différent selon chaque athlète. Il doit être ni trop haut ni trop bas
pour optimiser la performance. Un certain niveau de stress est de mise pour que l’athlète puisse
atteindre le « flow »4. De plus la perception du défi et des habilitées doit se joindre.
U ne visualisation
Ayant tous la capacité de nous mettre sous hypnose plusieurs fois par jour sans en être conscient,
imaginer être capable d’utiliser cette habileté pour visualiser et vous concentrer sur les choses
positives qui vont vous permettre de performer au maximum. Vous pourriez utiliser programme
d’hypnose individuel ou de groupe pour votre équipe pour visualiser le succès et les habiletés que
vous avez pour exceller.
C oncentration
La concentration est un des éléments majeurs pour la performance sportive. Sans une bonne
concentration l’athlète peut égarer ses pensées vers des choses sans importance qui viendront le
distraire. Avec l’hypnose et l’autohypnose, l’athlète peut être en mesure de mettre son focus sur
ce qui est vraiment important. Imaginer avoir la possibilité d’être totalement concentré au moment
de frapper la balle au golf ou bien lorsque vous lancer le ballon pour faire un panier de 3 points au
basketball.
C onfiance en soi
La confiance en soi joue un rôle important dans l’évaluation de nos capacités et des ressources
personnelles que nous avons pour atteindre les objectifs. Elle est primordiale dans la performance
sportive. D’ailleurs, une recherche effectué un 1986 (Howard & Reardon)6 démontre que dans une
compétition individuelle avec 2 personnes ayant des capacité physique de même niveau, celui qui
a la plus grande confiance en soi performe mieux.
E stime de soi
Contrairement à la confiance en soi, l’estime de soi se situe plus au niveau de notre valeur. En
travaillant l’estime de soi vous serez en mesure de mieux vous connaitre, modifier et améliorer
votre image personnelle et par le fait même augmenter votre potentiel.
S e motiver
Vous devez savoir ce qui est important pour vous et vous concentrez sur ce que vous voulez et
surtout mettre de côté tout ce que vous ne voulez pas. Vous allez vous diriger votre attention sur
se qui est important. Avoir des buts précis inconsciemment peut vous aider à atteindre votre but
consciemment.
Conclusion
L’hypnose peut vous aider à modifier vos pensées et vos comportements. En fait, elle peut vous
permettre de contrôler votre dialogue interne qui peut parfois saboter une performance. Les
pensées négatives, la sensation de perdre le contrôle ou la peur d’échouer peuvent venir miner la
confiance et la performance. Avec l’hypnose, vous pouvez inviter vos pensées à être seulement
positives pour trouver l’état optimal de performance. Que ce soit pour la performance individuelle
ou en équipe, l’hypnose peut vous aider.
Alors est-ce que vous désirez être un athlète avec plein de potentiel ou utiliser l’hypnose pour être
un athlète qui utilise tout son potentiel?
ARRETER DE FUMER
Recherche 1 > Pourquoi fume t-on ?
Recherche 2 > conséquences de fumer
Recherche 3 > arrêter de fumer thérapie hypnose
Pourquoi fumer ?
Cette question très courte est la base de toute démarche pour arrêter de fumer.
Non…
Vous êtes d’accord avec moi, personne ne vous met de couteau sous la gorge pour
que vous fumiez.
Je vais répondre à votre interrogation pour que vous puissiez comprendre d’où vient
votre envie de fumer.
Comme ça, vous aurez plus de facilités à réduire vos envies et à arrêter de
fumer.
C’est toujours plus simple de combattre quelque chose qu’on connaît, qui est visible,
plutôt qu’un ennemi fantôme qui est invisible…
Parfois il arrive que vous ayez vraiment envie de vous arrêter de fumer mais
vous n’y arrivez pas.
Vous avez testé tout ce qui était possible pour sortir de l’enfer de la clope, de la
prison dans laquelle votre paquet de cigarettes vous enferme, mais sans succès.
Après avoir gobé des cachetons, vous être collé des timbres anti-tabac sur l’épaule,
avoir transformé votre corps en passoire suite à votre visite chez l’acupuncteur, ou
avoir lâché des sommes folles chez un hypnotiseur…
Vous fumez toujours autant.
Cette situation est beaucoup plus fréquente que ce que vous imaginez.
Le problème est que l’arrêt du tabac est quelque chose de très difficile et très
subtil.
Très subtile car le tabagisme est le résultat d’un nombre extraordinaire de facteurs,
psychologiques, médicaux, sociaux, chimiques, conscients, inconscients, etc.
C’est pourquoi les méthodes traditionnelles ne fonctionnent pas, car elles traitent en
général qu’un ou deux éléments, mais pas la totalité.
Je veux dire, vous ne planifiez pas de fumer vos cigarettes plusieurs heures à
l’avance ?
Non, nous sommes d’accord, d’un coup vous avez envie de fumer donc vous en
grillez une, si votre environnement vous le permet…
Ce phénomène vient du fait que l’envie de fumer était déjà présente en vous
inconsciemment, et qu’elle se révèle spontanément à la partie consciente de
votre cerveau.
L’origine du manque est donc plus profonde que vous ne l’imaginez, elle est dans
votre inconscient…
Nous allons tout de suite voir pourquoi votre inconscient vous pousse tant que ça à
fumer.
Je vais également vous montrer qu’en fait la quasi-totalité de ces raisons ne tiennent
pas la route et qu’elles sont fausses.
Qu’elles ne sont que des mythes !
Et vous allez prendre conscience que vous vous imposez de fausses barrières qui
vous empêchent d’arrêter de fumer…
La cigarette me déstresse
Ce qui vous stresse est en général un problème, relativement grave ou important
pour vous.
Par exemple un problème financier, des relations tendues avec votre entourage, une
vie professionnelle qui stagne…
Pensez-vous vraiment que fumer une clope permet de régler ces problèmes ?
Non, cela ne fait que les repousser, car vous les oubliez le temps d’un instant, mais
dans les faits ils sont toujours là et vont toujours vous stresser après avoir fumé…
J’aime fumer
Est-ce que vous aimez réellement fumer comme vous aimez le chocolat par
exemple ?
Mais je veux dire une plaquette de chocolat qui vous plaît, que vous aimez vraiment,
vous pouvez la dévorer d’une seule traite si vous vous écoutez.
Cette simple métaphore (aussi bête soit-elle ) vous fait comprendre qu’en réalité
vous n’aimez pas la cigarette, vous avez juste un manque de nicotine dans le sang
qui vous fait croire que vous prenez plaisir à inhaler la fumer.
D’ailleurs ça vous est peut-être déjà arrivé de ne plus avoir envie de fumer
avant la fin de votre clope, et donc de la jeter…
Si vous êtes ici, ce n’est pas par hasard, et en plus vous avez déjà tenté d’arrêter
plusieurs fois.
Sûrement car vous n’avez pas essayé la bonne méthode, celle qui vous
correspondait parfaitement, personnellement, en fonctions de vos singularités, de
votre personnalité et de votre caractère…
Les études sur l’impact des cigarettes sur votre organisme montrent que même les
petits fumeurs, ceux qui fument moins de 7 cigarettes par jour, courent un risque de
contracter un cancer du poumon jusqu’à 10 fois supérieur aux non-fumeurs.
Que ne plus toucher à une cigarette se fait comme ça, du jour au lendemain.
S’il y a des gens autour de vous qui vous disent ça, c’est qu’ils n’ont jamais
fumé de leur vie !
Ils ne peuvent donc pas comprendre ce que vous vivez, n’accordez pas d’importance
à ce qu’ils disent.
Enfin n’ayez pas peur de rater, pour la simple et bonne raison qu’échouer c’est aussi
apprendre.
Si vous ne réussissez pas du premier coup ce n’est pas grave, ce n’était sans doute
pas le bon moment, mais peut-être que la prochaine tentative sera la bonne.
Alors vous voyez, la perspective des quelques mois de manque est bien moins
effrayante que ce qui vous attend si vous continuez à fumer.
Pourquoi fumer ? Pourquoi ne pas arrêter ?
Nous venons de le voir, de nombreuses idées reçues circulent sur les motivations qui
vous poussent à fumer.
C’est vraiment très important car sinon votre inconscient peut se bloquer sur une de
ces raisons.
Et il mettra en échec, sans que vous vous en rendiez compte, toutes vos tentatives
d’arrêt du tabac…
La plupart des personnes qui arrêtent de fumer tiennent bon plusieurs jours, puis
craquent après quelques semaines et recommencent à fumer.
Pourtant toutes ces personnes étaient vraiment décidées à arrêter, mais alors que
s’est-il passé ?
La réponse est toujours la même : Elles n’ont pas choisi la bonne méthode pour
arrêter de fumer. Elles n’ont pas suivi une méthode qui leur correspondait
personnellement en fonction de leur âge, de leur volonté, de leurs habitudes, de
leurs angoisses…
Elles n’ont pas réussi à trouver un moyen simple pour arrêter de fumer, une solution
qui leur permette d’arrêter rapidement et sans être rongé par l’envie de fumer au
quotidien.
Ne faites pas la même erreur et trouvez la méthode qui sera la plus efficace pour
vous :
Pourquoi fume-t-on ?
Les risques sanitaires liés au comportement tabagique sont bien connus depuis le milieu du
20e siècle, et la communauté scientifique et les associations de lutte contre le tabac notamment
communiquent très largement depuis plusieurs décennies sur les dangers de la cigarette. Pour autant,
les statistiques de consommation ne baissent pas. Pire encore, elles montrent, sur certaines tranches
d’âge et chez les femmes en particulier, des hausses non négligeables, malgré l’arsenal législatif et
réglementaire mis en place et les campagnes de sensibilisation menées par les pouvoirs publics.
Dommages esthétiques, maladies graves, impact non négligeable sur un budget, pourquoi donc tant
de fumeurs ?
Pourquoi commence-t-on à fumer ?
C’est surtout cette question qu’il convient de se poser car, une fois les dépendances installées,
chacun sait que l’arrêt de la cigarette est une démarche longue et difficile. Les raisons pour lesquelles
on commence à fumer et celles pour lesquelles on continue sont bien différentes.
Le rôle des parents, des éducateurs, de l’entourage familial et social pour prévenir l’entrée des jeunes
générations dans le tabagisme est un enjeu vital. Mieux comprendre pourquoi les jeunes commencent
à fumer est important pour ouvrir le dialogue avec eux et les guider vers une vie sans tabac.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, le tabac est l'une des principales cause de mortalité
dans le monde mais aussi la principale cause évitable de décès. Chaque année, le tabagisme tue
5,7 millions de personnes. Il s'agit du seul produit légalement en vente qui entraîne la mort
lorsqu'il est utilisé exactement comme le prévoit le fabricant.
On sait parfaitement que la moitié des fumeurs réguliers aujourd'hui, environ 1 milliard de
personnes, finiront par mourir du tabagisme. Il est tout aussi alarmant de constater que des
centaines de milliers de personnes qui n'ont jamais fumé meurent chaque année de maladies dues
à l'inhalation de la fumée des autres.
Ainsi, fumer implique aussi la santé de son entourage, celui que l'on côtoie tous les jours, au travail,
chez nous et dans les lieux publics. En effet, la moitié des fumeurs consommant plus de 15
cigarettes par jour meurent d'une maladie liée au tabac et des milliers de fumeurs passifs en
décédent tous les ans.
Le tabagisme
Dans le monde
Durant le XXe siècle, le tabac a entraîné la mort de 100 millions de personnes et ce nombre risque
de s'élever à 1 milliard pour le XXIème siècle si les comportements n'évoluent pas (OFDT, 2005).
Le tabac est actuellement responsable du décès d'un adulte sur 10 (soit environ 7 millions de morts
par an), selon l'OMS.
Plus de 80 % de ces décès prématurés surviendraient dans les pays à revenu faible ou
intermédiaire – c'est-à-dire précisément là où il est le plus difficile d'atténuer les effets de l'épidémie
et où ces énormes pertes qu'elle provoque sont le plus difficile à supporter.
Selon une étude de 2015 menée de sur l'impact de la cigarette sur l'espérance de vie entre 1980
et 2010, 20% de la mortalité totale des adultes dans 63 pays analysés (24% chez les hommes
et 12% chez les femmes) sont liés au tabagisme. Sans ses décès, l'espérance de vie des
adultes augmenterait en moyenne de 2,4 ans chez les hommes (4,8 ans en Hongrie) et de 1 an
chez les femmes (jusqu'à près de 3 ans aux Etats-Unis).
Tabagisme passif
Le tabagisme passif provoque environ 602 000 décès prématurés par an dans le monde : c'est 1%
de tous les décès. Les maladies et infections à l'origine de ces morts sont : 379 000 maladies
cardiaques ischémiques ; 165 000 infections des voies respiratoires inférieures ; 36 900 asthmes
et 21 400 cancers des poumons. Une analyse de la répartition montre que 47% des décès causés
par le tabagisme passif concernent les femmes ; quant aux enfants et aux hommes, ils sont touchés
à 28 (soit 165 000 enfants par an) et 26% respectivement.
En Europe
Sur le même sujet :
Des chenilles se servent de la nicotine du tabac pour éloigner leurs prédateurs
Tabac : alertes visuelles agrandies, arômes interdits, cigarette électronique autorisée dans le
commerce
En France
Selon l'OFDT, Quelque 78 000 personnes meurent chaque année des conséquences du tabac
(soit plus de 10% des décés) dont 27 000 par un cancer du poumon (90% sont dus au tabac) selon
la ligue nationale contre le cancer.
Pour un fumeur sur quatre, la perte moyenne d'espérance de vie est de vingt ans et se solde par
une mort avant 65 ans, selon une étude de l'Observatoire régional de santé d'Ile-de-France.
La France compte environ 15 millions de fumeurs et ce sont les jeunes entre 20 et 25 ans qui
fument le plus (48% de la classe d'âge selon l'OFDT).
Par rapport à un non-fumeur, le risque de cancer d'un fumeur est multiplié par :
La fréquence des cancers du poumon est proportionnelle au nombre de cigarettes fumées chaque
jour. Cette fréquence est déjà augmentée dès 5 cigarettes par jour... En effet si l'on fume 5 x 365
jours, pendant 15 à 20 ans, cela représente plusieurs dizaines de milliers de cigarettes.
L'apparition du cancer survient en général après 15 à 20 ans d'exposition à la fumée du
tabac.
Tabagisme passif
En France, un million de personnes sont exposées au tabagisme passif. Lequel provoque 2 500 à
3 000 morts par an à la suite de maladies respiratoires et de maladies cardio-vasculaires
notamment.
Il est prouvé que les produits du tabac contiennent et émettent de nombreuses substances nocives
ainsi que des agents cancérigènes connus, dangereux pour la santé humaine après combustion.
Les principaux effets sont, chez l'adulte, une augmentation d'environ 25 % des risques de
cardiopathie ischémique et de cancer du poumon. Chez les enfants, l'exposition à la fumée de
tabac augmente le risque de mort subite du nourrisson, d'infections respiratoires, d'otites et
d'asthme.
Il a été clairement démontré sur le plan scientifique que le tabagisme passif est la cause de décès,
de maladies et d'incapacités et comporte des dangers, notamment pour les enfants à naître et les
nourrissons. Il peut provoquer ou aggraver des problèmes respiratoires chez les personnes qui
inhalent la fumée.
Lorsque vous inhalez de la fumée de cigarette, vous vous exposez à un cocktail de 4 000
substances chimiques dont plus de 250 sont nocives et une cinquantaine cancérigènes. En
voici un aperçu :
Acétaldéhyde (irritant des voies respoiratoires)
Acroléine (irritant des voies respoiratoires)
Acétone (dissolvant)
Naphtylamine (cancérogène, probablement impliqué dans le cancer de la vessie)
Acroléine (irritant des voies respoiratoires)
Méthanol (carburant utilisé pour les fusées)
Pyrène (toxique pour les reins et le foie)
Diméthylnitrosamine (probablement cancérigène)
Naphtalène (antimite)
Nicotine (utilisée comme herbicide et insecticide)
Cadmium (utilisé dans les batteries)
Monoxyde de carbone (mortel à une certaine dose)
Benzopyrène (agent mutagène très cancérogène)
Chlorure de vinyle (utilisé dans les matières plastiques, diminue la libido)
Mercure (hautement toxique)
Acide cyanhydrique (était employé dans les chambres à gaz)
Toluidine (cancérogène)
Ammoniac (détergent)
Uréthane (cancérogène)
Toluène (solvant industriel)
Arsenic (poison violent)
Dibenzacridine (très toxique, cancérogène)
Phénol (très irritant, utilisé pour tuer des prisonniers pendant la seconde Guerre Mondiale)
Butane (irritant des voies respoiratoires)
Polonium 210 (élément radioactif qui aurait servi à empoisonner Yasser Arafat)
Styrène (toxique, probablement cancérogène)
DDT (insecticide interdit aux USA)
Goudrons (les plus cancérogènes)
Plomb (interdit dans l'essence car toxique)
Contrairement à une idée reçue, si il est moins cher, le tabac à rouler est bien plus toxique que les
cigarettes. En effet, "à poids inférieur, il contient 2 fois plus de goudrons ( jusqu’à 17 mg si le papier
est épais), plus de nicotine (1,2 à 1,7 mg) et de CO, selon la machine à fumer. Le tabac est moins
tassé, il brûle mal, les cigarettes roulées s’éteignent plus facilement, mais la combustion se fait à
une température plus élevée, engendrant une fumée plus toxique. Peu de fumeurs utilisent un filtre
qui pourtant diminuerait le rendement en nicotine et en goudrons." précise l'association DNF qui
ajoute : "La façon de fumer une cigarette roulée est différente : inhalation plus profonde et plus
longue, plus de bouffées (M Epton et coll., BMC Public Health, Sept 2009). Et comme la toxicité
dépend de la façon de fumer et de la façon de rouler son tabac, au minimum le fumeur inhale 2
fois plus de goudrons, de nicotine et de CO, qu’avec les cigarettes manufacturées et plus encore,
si le tabac est issu de la contrefaçon. Les doses de plomb, d’arsenic et de cadmium y sont alors
particulièrement élevées."
Le tabac reste également un facteur de risque très important d'un grand nombre de pathologies :
cancer de l'estomac, de la vessie, du col de l'utérus, maladies cardio-vasculaires, probabilité
accrue de mort subite du nourisson pour les fumeuses enceintes...
Ainsi, on constate une augmentation préoccupante du nombre de cancers du poumon chez des
fumeurs de moins de 40 ans. En France, la mortalité par cancer du poumon continue à augmenter
de façon préoccupante, surtout au dessous de 40 ans, en particulier chez la femme.
En France, les femmes, surtout les jeunes, fument de plus en plus comme en Angleterre et aux
USA, où la fréquence des cancers du poumon est maintenant la même chez les femmes que chez
les hommes; on commence à fumer de plus en plus jeune: 26 % dès 12 / 14 ans et 58 % dès 15/16
ans.
Selon une étude publiée par Le British Medical Journal, chaque cigarette fumée réduit la vie de
onze minutes. Des chercheurs de l'Université de Bristol sont parvenus à ce résultat en prenant en
compte dans leurs calculs d'une part les différences observées d'espérance de vie des hommes
fumeurs et non-fumeurs, d'autre part les dernières données démographiques concernant la
population masculine anglaise et écossaise. Ils rapportent avoir trouvé une différence de 6,5 ans
dans l'espérance de vie entre fumeurs et non-fumeurs. Sachant que le nombre annuel moyen de
cigarettes consommé est estimé à 5772 (soit un peu moins d'un paquet par jour), les auteurs ont
calculé que si un homme fume à partir de 17 ans et jusqu'à sa mort à l'âge de 71 ans, il
consommera au total 311.688 cigarettes au cours de sa vie. Un simple calcul permet ainsi de
déterminer que chaque cigarette contribue à raccourcir la vie de 11 minutes. Pour mieux illustrer
leur propos, ces chercheurs précisent que fumer un paquet de 20 cigarettes, c'est abréger sa vie
de 3 heures et 40 minutes, ce qui équivaut à voir un "très long film (par exemple, Titanic), deux
matchs de football, faire un voyage entre Londres et Paris en Eurostar, aller au café, courir le
marathon de Londres, avoir une expérience sexuelle tantrique ". Voilà encore de quoi faire
réfléchir…" (Shaw et al 2000).
Depuis des enquêtes effectuées dans tous les pays industrialisés ont confirmé le rapport
tabac/cancer.
L'une des plus célèbres porta sur l'ensemble des médecins anglais (environ 40 000 personnes).
La mortalité par cancer du poumon était 17 fois plus élevée chez les fumeurs de cigarettes, que
chez ceux qui avaient déclaré ne pas fumer.
Aux U.S.A. pour la première fois en 1985, les décès par cancer du poumon ont dépassé ceux par
cancer du sein chez les femmes âgées de 55 à 74 ans.
En Angleterre, la proportion des cancers mortels de la vessie dus au tabac est passée entre 1945
et 1970 chez les hommes de 50% à 85% et chez les femmes de 4% à 27%.
Cigarette : les conséquences sur l'environnement
On l'évoque peu mais 5 millions d'hectares de forêts sont détruits chaque année pour sécher le
tabac, contribuant à la déforestation...
4 300 milliards de mégots sont jetés dans la nature le monde. Malheureusement, les filtres ne sont
pas biodégradables et contiennent nombre de substances toxiques. En France, 30 milliards de
mégots sont jetés chaque année dont 40 % dans la nature finissent à la poubelle chaque année
sont jetés dans la nature.
Or, un seul mégot peut contaminer plusieurs centaines de litres d’eau en raison du grand nombre
de substances chimiques dangereuses qu’il contient (composés aromatiques, métaux lourds,…)
et met plus de 10 ans à se dégrader.
De plus, les filtres à cigarettes, les paquets de cigarettes et les modes d'emploi pour les cigares
représentent 40 % de tous les déchets marins dans la Méditerranée, tandis qu'en Équateur,
des déchets liés au tabac représentent plus de la moitié du total des déchets côtiers "capturés" en
2005 (Marine Litter: A Global Challenge - PNUE, 06/2009)
Les résultats de ces recherches ont toujours pour but de relativiser et de nier la gravité des
maladies liées à la consommation de cigarettes, alors que le tabagisme est un fléau sanitaire
démontré sans sans avoir recours à l'utilisation d'animaux. Mais le véritable but est l'étude des
possibles effets collatéraux des nouveaux additifs chimiques destinés à rendre les cigarettes
encore « meilleures ».
Pour vous détendre ou vous crisper, voici une publicité "anti-tabac" de l'INPES et de l'Alliance
contre le Tabac diffusée sur la télévision française en août 2007.
Ces quelques informations ne laissent aucune place au doute : fumer entraîne une mort
prématurée qui ne doit pas seulement être vue comme une affaire personnelle et égoiste mais
aussi comme un drame dans l'entourage familial.
Enfin, pensez aussi à respecter les fumeurs passifs qui en souffrent et en décèdent chaque année.
Le congrès de la société européenne des maladies respiratoires qui s'est tenu à Berlin début 2002
a révélé que le fait de reprendre la consommation de cigarettes est aussi malsain que de
commencer à fumer.
En effet, une étude menée sur 10 ans (1985-1996) auprès de 40 000 personnes dont 10 000
fumeurs, nommée OLIN ("Obstructive Lung Disease in Northern Sweden Studies") montre que les
capacités pulmonaires des participants ayant re-consommé du tabac sont encore plus faibles que
ceux n'ayant jamais cessé de fumer.
Ces travaux confirment l'étude du pneumologue américain Duane Sherill ("Lung health Study")
menée de 1984 à 1989 sur 6 000 patients.
Les explications viendraient du système immunitaire rodé et actif lorsque la personne fume
régulièrement mais inefficace lorsque celle-ci n'est plus habituée à consommer.
Dans tous les cas, la solution est simple : il ne faut jamais commencer ou bien s'arrêter une bonne
fois pour toutes.
Méthode Commentaire
Patch (ou timbre) à la nicotine Il délivre de façon continue la nicotine dans le sang.
Cet anti-dépresseur réduit les symptômes de manque et
l'envie de fumer. En association avec des substituts
Zyban nicotiniques, le taux de succès seraient plus élevés.
Attention, ce produit présente des effets secondaires et
sa prescription demande la plus grande prudence.
L’hypnose est une technique efficace dans la prise en charge médicale de l’arrêt du tabac. Le
patient, longtemps immobilisé par cette dépendance, prend enfin sa décision. Il perçoit la
cigarette comme inutile, étrangère ou comme un bourreau dont il est la victime. La motivation du
tabagique doit être personnelle. Si le sujet est poussé à l’arrêt du tabac par son entourage
familial ou professionnel, alors, l’échec est probable.
Diverses suggestions sont délivrées pendant la séance d’hypnose pour arrêter de fumer. Le
patient se saisit de celles qui sont, pour lui, les plus mobilisatrices. Par exemple, l’association
tabac-nausées, le plaisir de respirer, le désir de se débarrasser d’un produit toxique, de vaincre
une dépendance ou d’être à nouveau présent à son corps.
La qualité de la relation médecin – patient est décisive. Le patient se sent en sécurité. Il échange
avec le thérapeute, expose son point de vue, ses peurs. Tous ces aspects doivent être abordés
au cours de la séance afin de répondre au mieux à la demande.
La technique pour arrêter de fumer par hypnose fonctionne sur les sujets faiblement ou très
fortement dépendants à la nicotine. Elle calme les symptômes de manque sévère aux
composants du tabac et aux gestes et comportements addictifs.
Suggérer directement au fumeur un changement : le patient n’est plus dans son labyrinthe.
Modifier la perception du comportement de dépendance.
Utiliser l’hypnose pour visualiser l’avenir sans tabac.
Utiliser l’hypnose en technique aversive : tabac = nausée.
Autohypnose pour autonomiser le patient dans sa démarche.
Une seule séance d’hypnose peut suffire. Mais le thérapeute se sent prêt à accueillir son patient
en cas de difficultés et proposer des séances de soutien pour confirmer ou poursuivre le
détachement. Si le sevrage n’apparaît toujours pas, il ne sert à rien de multiplier les séances. Il
faut attendre quelques semaines avant de renouveler le traitement d’hypnose.
L’arrêt brusque et immédiat s’est révélé toujours préférable à l’arrêt progressif. Le patient choisit
l’hypnose justement parce qu’il souhaite être débarrassé au plus vite du tabac.
Toutefois, de nombreux patients ont besoin d’étapes pour affermir leur décision et s’habituer au
changement. Il faut donc assurer un suivi pour améliorer les résultats.
Séance d’arrêt du tabac par hypnose
Les patients sont traités le plus souvent en petit groupe.
Puis les patients rejoignent un petit groupe de 3 à 6 personnes. La séance d’hypnose pour
arrêter de fumer se déroule ensuite classiquement.
Tests de suggestibilité.
Induction en position assise dans un fauteuil.
Phase de pesanteur.
Phase d’engourdissement.
Suggestions thérapeutiques :
o Valorisantes : avoir en soi la capacité d’exclure le tabac.
o Aversives : la vue, l’odeur, l’évocation du tabac provoquent aussitôt de fortes nausées.
o Modifiant le comportement : les gestes, les images du tabac sont oubliés, fumer fait partie du
passé.
o Renforçatrices : redécouvrir le plaisir de respirer, de vivre.
Réveil.
Peu de commentaires.
conseils hygiéno-diététiques.
Le médecin confie alors au patient une liste de conseils à suivre. Celui-ci se doit d’être vigilant et
de considérer l’arrêt du tabac comme un événement trop important pour le remettre en cause.
Toute tentative, même éphémère, de fumer est un danger de rechute, même des années plus
tard. Le patient doit modifier son environnement, jeter cigarettes et briquet, ranger les cendriers,
parfumer son habitation, faire en sorte que le monde dans lequel il évolue ressemble bien à un
monde non-fumeur. Ce qu’il désire est cohérent avec ce qu’il vit.
Le sevrage peut provoquer des effets secondaires qui relèvent d’un traitement médical. Une prise
de poids négligée, une anxiété mal évaluée, des éléments dépressifs insuffisamment corrigés,
font craindre une rechute précoce. Traiter rapidement les effets secondaires éventuels d’un arrêt
du tabac par hypnose permet de garantir la durabilité du sevrage.
Les patients :
CONVERGENCE INSTANTANEE
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ANTI INSOMNIE
Si votre travail ou son environnement sont stressants, votre perte de sommeil pourrait
être exponentielle. « Un environnement de travail malsain peut mener à la frustration
et à la détresse et nuire à la qualité du sommeil », affirme Eva Libman, psychologue
clinicienne, spécialisée dans le sommeil à Montréal.
Elle suggère de regarder la télévision en soirée plutôt que d’utiliser un ordinateur, car
la lumière vive proche du visage peut faire disparaître la mélatonine. Si vous persistez à
utiliser votre ordinateur avant de vous coucher, Eva Libman vous recommande de porter
des lunettes de soleil teintées orange. « Elles neutralisent les ondes lumineuses
bleues qui sont les plus nocives. »
Il y a également les quarts de travail qui peuvent être en conflit avec votre rythme
naturel circadien et vous forcer à travailler lorsque vous êtes fatigué et à dormir lorsque
vous sentez alerte. Pour rétablir votre cycle de sommeil-réveil, si vous travaillez de nuit,
la lumière vive devrait être administrée durant la nuit, explique Eva Libman.
Il faut donc traiter l’allergie avec les médicaments appropriés selon Eva Libman qui
suggère d’améliorer l’environnement de la chambre à coucher avec l’installation d’un
purificateur d’air, par exemple. « Si le blocage de vos voies respiratoires dérange votre
sommeil, essayez aussi les bandes nasales pour les dégager », conseille-t-elle.
« Les gens ne se rendent pas compte que ce qu’ils font durant la journée a un impact
direct sur leur sommeil », poursuit Eva Libman. « Si le stress, la tension ou les
inquiétudes ne sont pas traités de façon appropriée, la qualité du sommeil risque de s’en
ressentir et plus encore si vous êtes prédisposé à l’insomnie. »
Elle suggère de passer une demi-heure à la fin de la journée à rédiger une liste de tout
ce qui vous tracasse avec les solutions respectives dans un échéancier précis. Ainsi,
lorsque ces questions vous assailliront durant la nuit, vous saurez que vous avez la
solution et pourrez vous rendormir.
N’oubliez pas que l’exercice peut également vous aider à faire face au stress et à la
tension et à évacuer les hormones du stress. Cependant, il est conseillé de s’arrêter
assez tôt pour ne pas garder un trop-plein d’énergie au coucher.
Vous débarrasser de vos enfants n’est pas la solution pour gagner du sommeil.
Cependant, leur assurer une nuit reposante et contrôler tout ce qui pourrait la
déranger devrait vous garantir des heures précieuses de sommeil réconfortant et
reposant.
Pour ce qui est des aliments qui vous aident à dormir, Eva Libman cite le lait chaud.
« C’est parce que le lait contient certains précurseurs du tryptophane qui est reconnu
pour ses effets soporifiques », nous dit-elle.
Cependant, toute nourriture qui enlève la sensation de faim pourrait vous aider à
dormir, précise-t-elle.
Un bon repos a des effets réparateurs et peut même libérer les toxines du cerveau,
comme l’a démontré une étude faite en 2013 au Centre médical de l’université de
Rochester, à New York, et au Langone Medical Center de l’université de New York.
Selon cette étude publiée dans le journal Science, « l’effet réparateur du sommeil peut
résulter de l’élimination accrue des produits résiduels potentiellement neurotoxiques qui
peuvent s’accumuler dans le système nerveux central à l’état d’éveil. » Ce « lavage de
cerveau » élimine également les bêta-amyloïdes, des peptides qui peuvent
s’accumuler et former une plaque sur les cellules nerveuses – une conséquence qui peut
entraîner le développement de la démence, selon Libman.
Cela dit, alors que certaines personnes se reposent avec cinq ou six heures de sommeil,
d’autres ont besoin d’une nuit de neuf à dix heures. Le nombre d’heures de sommeil
nécessaire varie selon la personne et s’établit d’après le nombre d’heures qui sont
requises pour être efficace et en pleine forme durant la journée, conclut Eva Libman.
Lien > https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=insomnie-pm-
symptomes-de-l-insomnie
Références
Symptômes
De la difficulté à s’endormir.
Des réveils intermittents durant la nuit.
Un réveil prématuré.
De la fatigue au réveil.
De la fatigue, de l’irritabilité et des troubles de concentration durant le jour.
Une diminution de la vigilance ou des performances.
Une anticipation anxieuse de l’arrivée de la nuit.
On parle d’insomnie soit lors que l’on a une difficulté à s’endormir à l’heure du
coucher (insomnie initiale), soit lorsque l’on fait des réveils nocturnesfréquents ou
prolongés, soit enfin quand on se réveille prématurément le matin avec une
incapacité à retrouver le sommeil. Une personne peut souffrir d’un mélange de ces
symptômes, ou encore peut changer avec le temps de symptômes.
Prendre plus de 30 minutes pour s’endormir, ou passer plus de 30 minutes éveillé au
milieu de la nuit, avec une durée de sommeil inférieur à 6 heures 30 par nuit représente
un problème d’insomnie. Si vous dormez 6 ou 7 heures par nuit et que vous vous
sentez reposé le jour suivant, vous ne souffrez pas d’insomnie. Si vous avez de la
difficulté à resté endormi ou à vous endormir au moins trois fois par semaine, vous
faites probablement de l’insomnie.
Des problèmes d'hygiène de vie peuvent être à l'origine de ces difficultés à s'endormir.
Ainsi, la consommation abusive d'excitants (café, thé, alcool, tabac) ou le fait
de manger trop ou pas assez le soir peuvent être responsables des difficultés à
trouver le sommeil. Le manque d'activité physique ou au contraire une activité
physique trop intense peuvent également être en cause. Il ne faut pas oublier
des causes tout simplement liées à l'environnement : chambre bruyante ou trop
lumineuse, sommier ou matelas de mauvaise qualité…
Les causes organiques de l'insomnie
L'insomnie peut parfois avoir une cause organique, telle que le syndrome des jambes
sans repos ou l'apnée du sommeil. Le syndrome des jambes sans repos est fréquent
chez les femmes enceintes et les personnes de plus de 60 ans. Il se traduit par
sensations de brûlures, d'agacements, de picotements (paresthésies) dans les
jambes au moment du coucher. Ces sensations obligent la personne à se lever, à
marcher, à se rafraîchir les jambes sous la douche et empêchent l'endormissement.
Ce syndrome s'accompagne de mouvements périodiques des jambes durant la nuit,
qui peuvent gêner le conjoint. L'apnée du sommeil est une autre cause organique qui
occasionne des insomnies. Elle est très difficile à déceler et entraîne une fatigue
importante le matin et des troubles de la mémoire et de la concentration. Ces
problèmes de jambes sans repos et d'apnée du sommeil sont généralement mis en
évidence grâce au témoignage du conjoint.
L'insomnie liée à l'âge
Les personnes souffrent plus souvent d’insomnie en avançant dans l’âge, car le
vieillissement du cerveau change le fonctionnement de l’horloge biologique.
Les maladies chroniques et les médicaments liés à l'insomnie
Dans un grand nombre de cas, l'insomnie est en fait liée à des causes psychologiques.
Elle est souvent liée à un épisode traumatisant (opération chirurgicale,
accouchement…) qui, bien que passé, a laissé une angoisse de la nuit blanche. Dès
que la personne se couche, les systèmes d'éveil sont activés, empêchant
l'endormissement. Les problèmes de dépression sous-jacente ainsi que l'anxiété et
le stress sont également des causes majeures d'insomnie.
Ecrit par:
Dr Alain Dubos
Mis à jour le 22 février 2018
Sources :
Fondation Sommeil
**********************************************************************************************
Le contenu de cette page à été possible grâce à Diane B. Boivin MD, PhD.
Directrice du Centre d’étude et de traitement des rythmes circadiens humains à
l’IUSM Douglas
Professeure agrégée de médecine et de psychiatrie à l’université Mc Gill
Cet article est extrait du livre : Le sommeil et vous – Édition Trécarré
1. Maintenez la plus grande régularité possible dans vos heures de sommeil. Réglez
d’abord votre heure de lever et couchez-vous le soir lorsque vous ressentez le besoin
de dormir. Même si c’est très tard dans la nuit, les heures de coucher finiront par se
régulariser progressivement.
5. Quittez votre chambre si vous vous réveillez la nuit et que vous avez du mal à vous
rendormir. Détendez-vous dans la lumière tamisée d’une autre pièce jusqu’à ce que
vous ressentiez le besoin de vous rendormir. Évitez les activités stimulantes (ménage,
travail, courriel, Internet) en pleine nuit.
6. Résistez à tout prix au désir de regarder l’heure la nuit ! Réglez votre réveil pour
qu’il sonne à l’heure voulue et régulière de votre levée le matin.
8. Réservez votre chambre à coucher pour le sommeil (et les activités sexuelles).
Bannissez-en le travail, la télévision, le i-pad, les cellulaires et toute autre activité
stimulante.
10. Planifiez un temps de repos et de loisirs tous les jours, particulièrement en soirée.
Guérir des insomnies ? Avoir des attentes
réalistes
Il faut préciser qu’on ne devrait pas tenter de guérir de ses insomnies, mais plutôt
apprendre à en minimiser les impacts. Vouloir à tout prix dormir d’un sommeil normal,
voire parfait, et cela toutes les nuits, ne fait qu’aggraver les tensions et préoccupations
liées aux insomnies.
En fait, c’est un peu comme vouloir guérir de l’anxiété en se forçant coûte que coûte à
se détendre. Mieux vaut lâcher prise et apprendre à relativiser ses attentes par rapport
au sommeil.
En fait, c’est à l’anxiété de performance liée au sommeil qu’il faut s’attaquer. La bonne
nouvelle, c’est que l’insomnie tue rarement, et que même si elle détériore la santé
physique et mentale, ce processus se fait très lentement. Les cas d‘insomnie
fatale sont extrêmement rares. Les personnes doivent se fixer des buts réalistes. Il est
préférable de réviser ses perceptions par rapport à son sommeil, d’autant plus que de
nombreux insomniaques ont tendance à sous-estimer la durée du sommeil obtenu la
nuit. Il faut cultiver un certain état de détachement vis à vis de ses insomnies : c’est un
état chronique qui s’est installé à long terme. Il faut s’attendre à ce que beaucoup de
temps soit nécessaire pour regagner un sommeil de meilleur qualité.
Il faut éviter les activités trop stimulantes telles que répondre à ses courriels, jouer à
des jeux vidéos. Lorsque le besoin de dormir s’intensifie, le patient est invité à
retourner dans sa chambre pour s’y endormir. S’il n’y parvient pas au bout 10-15
minutes, il faut à nouveau changer de pièce. Le patient doit répéter ce scénario aussi
souvent que nécessaire.
Thérapies de relaxation
Dans l’insomnie psycho-physiologique chronique, on note beaucoup d’anxiété et de
préoccupation en rapport avec le sommeil. Les thérapies de relaxation se révèlent très
utiles dans le traitement à long terme de cette forme d’insomnie.
Médicaments
Les somnifères ne soignent généralement pas l’insomnie, mais ils procurent souvent
un soulagement symptomatique. L’usage quotidien d’hypnotiques pendant plus de 4
semaines augmente de risque de problèmes d’insomnie :
– Soit parce que l’on est obligé d’augmenter les doses, à cause de la tolérance acquise
à l’effet hypnotique.
– Soit pour l’effet de provoquer une insomnie de rebond : aggravation temporaire des
symptômes d’insomnie dès qu’on arrête la médication, ce qui a pour effet de pousser
la personne à reprendre les médicaments au lieu de patienter.
– Soit pour des symptômes de sevrages et la dépendance psychologique et physique.
CHARISME
Le charisme est devenu un atout importantmaintenant dans la vie, car il permet de sortir de la masse. Il est
moins dur d’être en haut de la pyramide. D’avoir de l’ambition, de réussir. Plutôt que de rester dans la masse,
car il y a moins de compétition.
Mais tout d’abord commençons par la définition du mot Charisme
Le charisme est la qualité d’une personne qui séduit, influence, voire fascine les autres par ses discours, ses attitudes,
son tempérament, ses actions. Un charisme puissant, c’est-à-dire fascinant, trouble et neutralise le jugement d’autrui ;
c’est pourquoi on peut si aisément diriger, voire manipuler, les autres quand on a du charisme. Le charisme est souvent
un don naturel ou une façon d’être, mais il est possible de travailler sur soi pour le développer. Le charisme est aussi lié
a la confiance en soi, la personnalité, l’intérieur de la personne.
Allons-y tout de suite voir quelques idées reçues : le charisme n’a pas grand chose à voir avec la beauté, pas plus
qu’avec la richesse (ou alors, seulement la richesse intérieure). J’ai connu des gens très beaux qui n’avaient pas un poil
de charisme. Et j’ai connu des gens relativement communs qui rayonnaient. Le fait est que le charisme confère en lui
même une certaine beauté.
b)..Vous avez des principes forts, que vous suivez en toutes circonstances. Vous savez ce qui est juste et ce qui ne l’est
pas, vous connaissez vos limites, ce que vous êtes prêt à faire ou à ne pas faire, et il est par conséquent difficile de
vous faire changer d’avis. Vous savez dire non quand il le faut, sans pour autant froisser votre interlocuteur.
c)..Comme vous ne doutez pas de vous, vous ne ressentez pas le besoin de protéger à tout prix votre petit amour
propre. Par conséquent, vous n’êtes ni borné ni têtu, vous n’avez pas non plus peur de changer d’avis si vous constatez
que vous êtes dans l’erreur, ni d’avouer vos petites imperfections, sans pour autant vous auto-dévaluer. Vous acceptez
les critiques et n’avez pas peur de vous remettre en question.
d)..Votre cohérence intérieure vous permet d’agir conformément à vos principes et à vos valeurs. Vous n’avez pas peur
de vous mettre en danger pour obtenir ce que vous désirez, parce que vous avez confiance en votre faculté de retomber
sur vos pattes. Vous vivez donc sereinement dans la certitude d’être dans le droit chemin. Vous agissez conformément
à vos pensées, et vous acquérez petit à petit une réputation de fiabilité et de crédibilité.
e)..Votre confiance en vous vous permet de ne pas rechercher sans cesse la validation de vos actes par autrui, mais
plutôt à l’intérieur de vous. Cette force intérieure vous permet de devenir proactif et de prendre des initiatives. Quand les
autres restent indécis, vous êtes capable de décider pour eux. Cette faculté de décider par vous même vous conférera
un leadership naturel, et vous entraînerez facilement ceux qui sont moins sûrs d’eux.
f)..Vous êtes de fait une personne de confiance, puisque vous ne donnez pas votre parole ni ne faites de promesses à
la légère. Vous arrivez à l’heure à vos rendez vous, et tenez vos engagements. Comme vous êtes ferme dans vos
opinions et dans vos décisions, les autres savent que vous êtes fiable, qu’ils peuvent s’appuyer sur vous et vous faire
confiance.
L’autre conséquence, c’est qu’on écoute vos paroles, puisqu’on sait que vous ne parlez pas en l’air. Il vous est donc
plus facile de faire prendre en compte votre opinion.
b)..En devenant plus visible, vous marquerez les esprits à plusieurs niveaux. Supposons que vous fassiez montred’une
grande visibilité au cours d’une soirée ou vous ne connaissez pas tout le monde. D’abord, il vous sera plus facile de
nouer de nouvelles relations : les gens recherchent la compagnie de ceux qui ont une grande aisance sociale Ensuite,
quand les gens repenseront à cette soirée, ils repenseront aussi à vous. Vous aurez donc marqué leur mémoire, c’est
pas génial, ça ?!
c)..Comment accroître votre visibilité ? Ce n’est pas si compliqué, croyez moi. N’hésitez pas à utiliser tous les sens à
votre disposition. Pour vous faire voir, soyez dynamique, déplacez vous, ayez l’air sûr de vous, et adoptez un style
vestimentaire qui vous est propre. Faites des choses, soyez celui qui danse comme un Dieu, ou fait de la magie.
d)..Pour être entendu, parlez haut, et même parlez tout court. Prenez part active à une conversation, et n’ayez pas peur
de parler. Lancez des sujets, racontez des choses intéressantes, des anecdotes amusantes, valorisez vous en
racontant vos exploits (mais faites le de manière subtile, pour ne pas passer pour un gros lourd). N’hésitez pas à utiliser
une voix forte, pour être entendu (toujours sans en abuser, bien entendu).
e)..Ne négligez pas les sensations kinesthésiques, touchez les gens sur le dos, l’épaule, la main, le bras, etc. Un
simple contact par-ci par-là fera des miracles, notamment en matière de séduction. N’oubliez pas que
les contactscorporels sont des signaux très puissants. Utilisez les à bon escient.
Pour vous faire sentir, vous pourriez peut-être utiliser un léger parfum ? Et pour le goût…. Bon, là, je vous laisse le soin
de trouver des idées
Quelques techniques relativement simples vous permettront d’accroître votre visibilité de manière impressionnante.
Commencez par être réellement présent. Cessez de planer, redescendez sur terre, et soyez à ce que vous faites.
Concentrez vous sur la conversation en cours, focalisez vous sur le moment présent. Si vous flottez, les gens s’en
apercevront, et si vous donnez l’air de ne pas vous intéresser, vous n’intéresserez pas.
Entraînez vous à appeler les gens par leur nom, vous marquerez leur esprit et leur mémoire. C’est une méthode qui ne
coûte qu’un petit effort de mémoire, et qui donne des résultats spectaculaires. De plus, retenir le nom d’une personne
vous forcera à vous concentrer et à vous intéresser à elle.
Développez un style vestimentaire bien à vous. Vous devez prendre conscience que votre apparence véhicule un
message, et que les gens se font une opinion sur vous en 30 secondes. Vous n’y pouvez rien, alors acceptez le, et
prenez le temps de soigner votre apparence.
Travaillez votre contact visuel, jusqu’à obtenir un regard franc et amical. N’ayez pas peur de regarder les gens dans les
yeux (sans les fixer au point de les mettre mal à l’aise). Un regard fuyant et timoré est le meilleur moyen pour
devenir invisible.
Accroître votre visibilité aura un autre effet : vous serez soumis à une pression sociale plus forte, c’est à dire que vous
deviendrez sans doute la cible de commentaires, et serez plus souvent jugés que d’autres. Restez confiant ! Si vous
montrez que vous êtes à l’aise avec ça, vous prouverez que vous avez l’habitude d’être regardé, et votre charisme
montera en flèche.
4:..Soyez visionnaire
Un orateur passionné communique une vie incroyable à son sujet, et dégage une énergie puissante qui rayonne autour
de lui. La passion est un excellent moyen de booster son charisme, parce qu’elle confère de la puissance, elle est
capable de transformer une personne timide en interlocuteur exaltant. Celui qui est passionné, parce qu’il est
extrêmement intéressé, prend toute l’apparence de quelqu’un d’extrêmement intéressant, et c’est pourquoi il est capable
d’attirer les foules. Mais plus que la passion, c’est la vision qui confère le plus de charisme. Pensez aux hommes
politiques qui haranguent les foules en promettant un monde meilleur. Ce sont leurs visions passionnées et leur faculté
à les partager qui ont donné tant de pouvoir à Gandhi et Bill Gates qui, à la base, étaient des hommes somme toute très
communs. L’aisance relationnelle, la personnalité, et même le charisme ne sont que des moyens. Mais la vision est une
fin. Des moyens sans fins ne mènent nulle part, et développer son charisme sans avoir de vision également.
Vous seriez sûrement surpris de connaître le nombre réel de personnes qui ont des projets à long terme (plus d’1 ou 2
ans). Ça ne fait pas beaucoup. Les gens sont attirés pas les visionnaires, parce qu’ils donnent un sens à leur existence.
Ils leur épargne la peine de concevoir leurs propres projets, et leurs fournissent des buts dans la vie.
Si vous avez des projets, que vous êtes prêt à les partager, et savez les « vendre », si vous êtes capable de faire appel
à l’imaginaire des gens pour leur prédire ce qu’ils désirent le plus, vous détiendrez sur eux un pouvoir fabuleux, et les
effets pour votre charisme seront extraordinaire. Vous deviendrez un leader, quelqu’un qu’on a envie de suivre, qu’on
écoute, et qu’on admire.
Conclusion : Pour détenir du charisme, il faut un mélange de tous ces éléments. Si vous avez confiance en vous mais
que vous ne vous intéressez pas aux autres, ou si vous avez une vision mais êtes incapable de communiquer, vous ne
deviendrez pas charismatique.
HTTPS://WWW.PENSERCHANGER.COM/ETRE-CHARISMATIQUE-POURQUOI-ET-
SURTOUT-COMMENT
Vous avez sans doute tous entendu parler du charisme, ce talent rare et très convoité
dont disposent certaines personnes dans le monde. Toutefois, avant d’en parler, il va falloir
le définir.
Et bien, même les psychologues et sociologues de tout bord ont du mal à s’entendre sur
une définition. Pour faire simple, c’est la capacité de captiver et de fasciner un auditoire
par ses compétences en communication et langage corporel,tout en laissant une
impression de confiance et de maîtrise de soi.
Le charisme étant basé sur des compétences en communication, ceux-ci peuvent être
appris et développés. Donc il est possible de développer votre charisme, même si vous
partez de zéro.
Maintenant je vois certains se dire « Mais pourquoi aurais-je besoin de charisme ? J’ai
déjà un emploi/activité qui me convient, je ne suis pas un homme politique ou une
célébrité. » ou encore « Je suis retraité/mère au foyer, ce sujet ne m’intéresse pas ! »
Et bien c’est vrai, quand on demande aux gens de penser à des personnes
charismatiques, immédiatement ce sont des noms de personnalités politiques, de célébrité
ou encore de leaders. Pourtant, dans votre quotidien et autour de vous, il y a des
personnes charismatiques. Ça peut être l’enfant populaire à l’école, le vendeur qui vous
donne le plus de conseils sur ses produits, ou l’employé de bureau qui est ami avec tout
le monde.
Le charisme ne s’arrête pas là non plus. Si vous pouviez inspirer confiance et respect à
votre conjoint, vos enfants, vos collègues, vos amis tout en leur laissant une impression
plus positive, n’y auriez-vous pas tout à y gagner ? Et pour ça, pas besoin de faire des
discours devant un public ou s’engager dans des élections :)
Voici 5 astuces pour devenir plus charismatique dès maintenant !
1 – Inspirer de la confiance
Le charisme n’est pas de la confiance en soi, mais être confiant vous rendra
certainement plus charismatique parce que cette confiance en vous permettra de mettre
à l’aise les autres et on vous trouvera plus capable. Si les gens vous voient comme une
personne qui a confiance en elle, ils voudront naturellement communiquer avec vous. Voici
quelques trucs qui vous aideront à apparaître plus confiant :
Soyez positif. Ne commencez pas de conversation en vous plaignant ou en critiquant
une autre personne, un endroit ou une figure politique. À la place, concentrez-vous sur
ce que vous aimez, cela permettra aux gens de participer et leur donnera envie de rester
à parler avec vous. Le professeur Martin Seligman de l’université de Pennsylvanie dans
« La force de l’optimisme » a montré que la majorité des gens préfèrent fréquenter
des personnes optimistes.
Si vous commencez par parler de ce que vous détestez, les gens s’inquiéteront de
l’ambiance négative que vous générez et s’éloigneront de peur que cela déteigne sur
eux.
Parlez avec confiance. Parler avec confiance ne veut pas dire parler plus que tout le
monde, ou parler plus fort que tout le monde. Dites quelque chose d’important et dites-
le avec conviction. Parlez à un rythme détendu et parlez clairement. Variez votre ton,
votre rythme et volume de voix pour appuyer sur les mots importants et rendre votre
discours plus intéressant à écouter. Pour vous entraîner à parler avec confiance, vous
pouvez vous enregistrer en train de parler, puis assurez-vous de percevoir cette
confiance en vous en vous réécoutant.
Pour apparaître confiant, vous devez d’abord avoir confiance en vous. Les
personnes qui ont vraiment confiance en elles aiment qui elles sont, ce qu’elles font et
à quoi elles ressemblent. Si vous ne vous sentez pas confiant, travaillez sur vos
meilleures qualités en les mettant en avant, cherchez à corriger vos défauts et améliorez
votre apparence, pour permettre aux autres de vous voir sous votre meilleur jour. N’ayez
pas peur de discuter de sujets que vous ne maîtrisez pas, restez ouverts et curieux,
vous serez ainsi bien plus communicatif et cela montrera que vous avez confiance en
vous même sur des sujets dont vous ignorez tout.
Si vous travaillez déjà sur votre confiance en vous, sachez qu’une voix posée et
confiante, des vêtements qui vous mettent en valeur et un langage corporel adapté peut
fortement vous aider à montrer aux autres l’image d’une personne qui a confiance en
elle.
Votre langage corporel peut en dire long sur la façon dont vous vous percevez, et cela
peut vous aider à paraître plus accessible pour les autres. Un mauvais langage corporel
peut vous donner l’air d’être replié sur vous-même ou indécis, c’est pourquoi il est
important de montrer que vous être confiant, déterminé et que vous existez. Voici
comment procéder:
Améliorez votre posture. Rien ne montre plus de confiance qu’une bonne posture.Une
personne charismatique se tient droite et marche avec un pas sûr et déterminé, sans
être rigide, même dans une salle rempli d’étrangers. Ils font également des gestes de
leurs mains plutôt que de croiser les bras sur leur poitrine. Lorsque vous rencontrez
quelqu’un, serrez-lui fermement la main et regardez la personne dans les yeux.
Montrez un langage corporel positif lorsque vous parlez à quelqu’un ou même
lorsque vous êtes en train d’attendre. Asseyez-vous en face de la personne ou des gens
auxquels vous parlez et décroisez les jambes et les bras, tout en éloignant vos mains
de votre visage. Soyez à l’aise, ne gigotez pas et n’ayez pas l’air nerveux.
Pensez à vos propres gestes. Lorsque vous parlez, est-ce que votre langage corporel
vous soutient ou bien vous dessert ? Avez-vous l’air nerveux, froid ou ennuyé ? Si vous
êtes passionné par quelque chose, est-ce que vos gestes communiquent bien cela ?
Soyez attentif à votre gestuelle, et améliorez-la progressivement.
Pratiquez devant un miroir. Regardez-vous dans un miroir et faites un discours ou
bien faites semblant d’avoir une conversation avec quelqu’un. Où va votre regard ?
Quels gestes faites-vous avec vos mains ? Avez-vous l’air d’une personne timide ou
bien de quelqu’un de charismatique ? Quelqu’un pourrait-il savoir quelle émotion vous
affichez sans qu’il n’ait à écouter vos mots ? Pratiquez régulièrement et notez ce qui
nécessite d’être amélioré.
Mimez le langage corporel de la personne avec qui vous conversez, ainsi vous
vous rapprocherez d’elle du point de vue du langage non-verbal. Si vous êtes face à
quelqu’un qui a beaucoup de gestuelle, vous pouvez faire pareil, tandis que si vous êtes
face à une personne plus réservée, vous ne devriez pas faire trop de gestes.
Regardez les gens dans les yeux lorsque vous leur parler. Ne les regardez pas
fixement, mais ne balayez pas non plus la pièce du regard tout en cherchant à éviter le
contact visuel. Impliquez-vous visuellement et pas seulement avec votre voix. Ne
regardez pas votre téléphone ou votre montre, ou d’autres personne à qui parler, parce
que vous n’apparaîtrez pas impliqué dans la discussion.
Observez attentivement la gestuelle des autres personnes autour de
vous. Remarquez comment la gestuelle de certains orateurs semblent fausse ou en
décalage avec le message qu’ils tentent de transmettre. Ces personnes ont alors l’air
sournoises ou bien hésitantes. D’autres orateurs au contraire, savent utiliser leur
langage corporel avec brio. Ce qu’ils disent marque les esprits et semblent plus dignes
de confiance mais aussi plus compétents. Ces personnes sont souvent des acteurs
célèbres, des leaders ou des experts dans leur domaine. Prenez le temps d’observer
les bons et les mauvais exemplesd’utilisation du langage corporel, et apprenez.
Souriez véritablement lorsque vous saluez quelqu’un, cela peut changer du tout au
tout vos relations. Votre sourire devrait montrer que vous êtes heureux de faire leur
connaissance et de passer du temps avec eux. Et en plus il est contagieux.
Peu importe à qui vous parlez, vous devriez toujours essayer de ravir la personne
et qu’elle se sente importante à vos yeux. Il faut qu’après vous avoir quitté, cette
personne se sente mieux vis-à-vis d’elle-même. Pour dégager un vrai charisme, vous
devriez être capable de parler à n’importe qui sur n’importe quel sujet, et d’écouter la
personne attentivement. Voici comment faire :
Soyez l’égal de tout le monde. Si vous parlez à un potentiel employeur, un groupe de
riches donateurs, un enfant, un étranger, un handicapé ou un pauvre, ne les placez pas
sur un piédestal mais ne les traitez pas avec condescendance non plus. Soyez
respectueux envers les autres, mais respectez-les en tant qu’égaux, et attendez qu’ils
vous acceptent en tant que tel.
Montrez un intérêt sincère dans la vie des gens. Soyez un peu curieux, posez des
questions aux gens sur leur vie, leurs expériences, ou leurs opinions sur certains sujets.
Faites-leur ressentir que ce qu’ils ont vécu a de l’importance pour vous, et que vous
appréciez leurs pensées dans la discussion. Il est vrai que vous pourriez penser que
« les gens en général ne sont pas si intéressants que ça », mais ce n’est qu’une fausse
croyance, tout le monde a toujours au moins quelque chose d’intéressant à raconter.
Écoutez activement lorsque les autres parlent, sans émettre de
jugement. Accordez toute votre attention à quelqu’un lorsque celui-ci vous parle.
Comme si vous regardiez un film ou lisiez un livre dans lequel vous cherchez à en
apprendre plus sur le personnage principal, ne pensez pas à ce que vous allez
répondre ensuite, obligez-vous à faire une pause de deux secondes après que la
personne ait fini de parler. Concentrez-vous sur votre respiration, si vous sentez que
vous n’êtes plus « présent » dans la conversation.
Un autre conseil fondamental : n’oubliez pas non plus d’acquiescer de la tête et de
faire de brèves interjections, comme « Je vois » ou « D’accord », pour rassurer la
personne sur le fait que vous l’écoutez, et que vous êtes intéressé parce ce qu’elle a
à dire. Un bref contact physique sur le haut du bras peut également souligner votre
accord ou empathie avec ce que dit la personne, et permette que la personne se
sente plus connectée à vous.
Apprenez et rappelez-vous des noms des personnes à qui vous parlez, et adressez-
vous à ces gens par leur nom ou prénom, une fois que les connaissez un peu. Cela
vous permettra de mieux les retenir mais aussi de renforcer le lien que vous avez avec
ces personnes, cela les fera se sentir privilégiés.
Complimentez les gens de temps à autre, mais faites-le sincèrement, et acceptez
également de bonne grâce les compliments qu’on vous fait sans jouer les faux
modestes.
Rappelez-vous qu’être charismatique ne veut pas dire chercher à plaire aux gens.
Les personnes charismatiques ne cherchent pas à plaire à tout le monde, et se fichent
d’ailleurs pas mal de ce que les autres pensent d’eux. Le fait qu’elles plaisent aux gens
n’est qu’un effet de leur façon d’être et de communiquer.
Une personne charismatique devrait être capable d’amuser les gens sans en faire trop. Le
charismatique a la capacité de rassembler des personnes autour de lui en racontant des
histoires drôles ou anecdotes amusantes. Vous devriez être capable d’attirer les gens à
vous avec un fin sens de l’humour. Voici comment le devenir :
Apprenez l’auto-dérision. Si vous arrivez à rire de vous, cela montrera aux autres que
vous êtes confiants en vos capacités et ils seront bien plus à l’aise avec vous. Vous
n’avez pas besoin de vous déprécier pour montrer que vous êtes conscient de vos
défauts, quelques anecdotes sur votre vie peuvent suffire. Être en mesure de laisser les
autres rire de nos échecs sans en être affecté est un signe de vrai charisme.
Apprenez à plaisanter avec une grande variété de personne. Vous devriez être en
phase avec le sens de l’humour de la personne ou du groupe de personnes à qui vous
parlez. Toutefois si vous parlez avec des personnes âgées ou sensibles, tenez-vous en
à des plaisanteries courtes et inoffensives. Lorsque vous êtes avec une personne que
vous ne connaissez pas, restez léger là-dessus. Vous ne voudriez pas risquer de
l’offenser ou que celle-ci se ferme complètement après une blague indécente.
N’essayez pas d’être absolument drôle. Vous n’avez pas à faire des blagues toutes
les cinq secondes, n’oubliez pas que les blagues les plus courtes sont les meilleures.
Visez la qualité plutôt que la quantité et limitez-vous à quelques plaisanteries tout au
long d’une conversation.
Sommaire
5 – Soyez passionnant
Pour être vraiment charismatique, vous devez non seulement impressionner, attirer et
écoutez les autres, mais vous devez également être doué pour intéresser les gens, en
ayant toujours quelque chose d’intéressant à dire. Ainsi, certains graviteront naturellement
autour de vous. Voici comment procéder :
Soyez ouvert d’esprit. Une personne charismatique doit être capable de parler aux
gens d’une variété de sujets. Soyez instruits, soyez au fait des dernières nouvelles, et
ayez divers centres d’intérêts, comme le développement personnel, l’économie, l’art ou
les langues étrangères.
Renseignez-vous sur les grands domaines qui intéressent les personnes : les
sciences, la politique, l’histoire et la littérature, ainsi vous pourrez vous adapter à chaque
personne avec qui vous discutez. Parlez également de vos propres passions, de ce que
vous aimez faire, les personnes qui parlent de leurs hobbies sont immédiatement plus
charismatiques car l’attitude passionnée amène de l’enthousiasme.
Réfléchissez avant de parler. Réduisez vos discussions sur la pluie et le beau temps
et essayez de faire en sorte que chaque mot soit utile, en pensant à la formulation de
vos phrases avant de les prononcer. Si vous n’avez rien d’important à dire, restez
silencieux. Cela peut paraître surprenant, mais moins vous en direz et plus ce que vous
dites paraîtra important.
Soyez connecté avec vos émotions. Des recherches ont montré que les personnes
qui étaient perçues comme charismatiques, ressentaient fortement leurs émotions et
pouvaient être affectés par les émotions des autres mais sans être submergées par
elles. Ainsi, n’ayez pas peur de montrer que vous ressentez de la colère, de la tristesse
ou de la joie sans trop en faire.
Dites ce que vous pensez/ressentez. Les gens ont en général tendance à cacher
leurs pensées et ressentis des autres sans aucune mauvaise intention, mais en même
temps, tout le monde apprécie de discuter avec une personne vraiment honnête. Bien
sûr, il y a quelques exceptions, ne dites pas des choses qui pourraient mettre les autres
mal à l’aise ou les éloigner de vous.
Développer son charisme est un art. Ces quelques conseils vous aideront à devenir
plus charismatique, mais votre charisme est quelque chose qui vient de l’intérieur et doit
vous refléter sans quoi cela paraîtra faux. Heureusement, tout le monde a la capacité de
devenir charismatique, il faut simplement pratiquer et prendre en note ce qui fonctionne
pour vous et ce qu’il faut améliorer :)
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Sommaire
Lien > https://developpement-personnel-club.com/les-8-piliers-de-la-
personnalite-charismatique/
« Les 8 Piliers de la
Personnalité
Charismatique »
« Les individus à la personnalité charismatique adoptent des attitudes singulières qu’ils maîtrisent et
appliquent en société » (c) parleravecaisance.com
# 1. Restez simple !
Une personne charismatique est simple. Elle est comme elle est
elle-même. Elle n’a pas besoin d’arrogance, de se vanter.
Dans un groupe, elle n’a pas besoin d’attirer l’attention des autres,
de se mettre en valeur. Une attitude naturelle est souvent mieux
perçue que d’adopter une certaine « suffisance ».
Cette simplicité ne passe pas forcément par des légèreté de
langage, non, mais par le fait de remarquer, parler, prendre en
compte toutes les personnes qui l’entoure. Les employés
subalternes sont remarqués et mis au même rang d’importance par
un leader charismatique.
# 2. Plus vous écoutez les autres et plus vous êtes écouté
# 5. Montrez l’exemple !
Il n’existe pas d’engagements “mineurs”. Un engagement est
toujours important.
On vous jugera aussi bien sur votre ponctualité à un rendez-vous
(même entre amis), que sur la manière de payer vos dettes ou de
respecter un délai de livraison. Les personnes charismatiques sont
des êtres sur lesquels on peut compter.
Je me rappelle dans une de mes première entreprise où je
travaillais comme salarié, il y a avait deux chefs de services. L’un
était écouté et apprécié. L’autre était souvent rejeté et même détesté.
Ce que j’ai vite constaté, c’est que le premier arrivait toujours le
premier le matin. Il montrait l’exemple à ses collègues sous ses
ordres. Alors, que le second était toujours « limite » le matin pour
embaucher. Quel exemple pouvait-il donner quand il nous demandait
de faire des efforts de ponctualité ?
# 6. Trouvez un équilibre
Être bien dans sa peau n’a rien à voir avec la beauté physique. La
beauté n’a rien à voir avec le magnétisme personnel.
Les leaders charismatiques font très attention à leur équilibre. Ils
exercent souvent une activité en dehors de leur travail pour évacuer
un trop grand stress. En réalité, leur démarche est celle-ci :
Comme tout un chacun, la personne charismatique accumulent des
tensions nerveuses.
Mais, ils font le nécessaire pour ne pas la rejeter sur leurs
collaborateurs. Ils essaient donc de trouver des périodes de
calme pour être (et paraître) bien dans leur peau tout le temps.
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https://www.alexandrecormont.com/developpement-personnel/comment-avoir-du-
charisme/
Le simple fait d’admettre que l’on ressent un manque et que vous soyez en
phase de réflexion en recherchant des conseils montre bien que vous
souhaitez aller de l’avant et que vous n’envisagez pas de procrastiner bien
qu’il s’agisse d’une situation parfois difficile à accepter.
Je veux être charismatique Pour mieux
affronter le regard des autres !
Il peut également y avoir le regard des autres qui joue dans votre souhait
d’évoluer et d’aller de l’avant. Avoir du charisme c’est évidemment être
vu différemment par les hommes et les femmes qui vous entourent et cela
apportera donc automatiquement un plus dans votre socialisation.
Le regard des autres peut parfois être un moteur même si je considère qu’il
ne faut pas faire une fixation sur cet aspect.
Pour aller plus loin, je vous invite à me poser toutes vos questions dans les
commentaires et à débattre autour d’une question principale “Comment
faire pour devenir une femme charismatique ?”.
Encore hier, j’étais en coaching avec une femme qui me disaient “Je ne
sais pas pourquoi mais tout le monde se confie à moi”. Et pourtant rien
n’est dû au hasard, il existe des raisons qui expliquent cette attraction. La
principale que j’ai pu observer, c’est qu’en général toutes les femmes
charismatiques prennent la vie du bon côté. Elles possèdent une telle
confiance en elle qui attire immédiatement, et surtout elles savent rire de
leurs faiblesses.
Ne vous laissez pas perturber par des émotions négatives qui vous
empêchent de voir à quel point vous êtes une femme formidable. C’est le
premier conseil si vous vous demandez comment devenir une femme
charismatique.
Si vous souhaitez gagner en confiance personnelle, je vous invite à
regarder cette vidéo car je détaille quelques secrets qui vous aideront à
avancer.
Commencez par faire une liste de toutes les personnes
charismatiques, que vous enviez ou que vous admirez autour de vous.
Essayez alors de noter leurs “caractéristiques” et vous remarquerez
qu’elles ont toutes ce don d’être naturel(le) même avec un bout de salade
coincée entre les dents… Là où vous auriez tendance à rougir et à vous
décomposer…
Ce sont toutes les ondes que vous émettez et dans n’importe quelle
circonstance vous devez apprendre à voir la vie avec ce petit plus, pour
cela il est indispensable de mettre de l’énergie dans ses paroles, dans ses
gestes et bien évidemment dans ses émotions.
Pour puiser de l’énergie positive, vous devez apprendre à vous ouvrir aux
autres. Cela commence par un changement physiologie. Pensez à
respecter la règle des trois attitudes du charisme et de la prestance :
– Se tenir droite
– Avoir un sourire naturel
– Parler bien distinctement, c’est-à-dire ni trop fort ni trop bas
C’est en respectant ces trois attitudes que vous pourrez avoir une énergie à
toute épreuve et surtout, que vous allez améliorer votre manière de
communiquer. C’est bien entendu la base pour se montrer attirante.
Si vous remarquez bien encore une fois, les personnes que vous trouvez
charismatique vont avoir cette tendance à “vivre leurs paroles”. C’est une
manière d’attirer l’attention, d’avoir le regard posé sur soi et bien
évidemment de plaire en étant naturel.
L’être humain est fait pour parler de lui, pour qu’on s’intéresse à sa
personne. Alors il n’y a pas plus forte connexion que lorsqu’il se sent
compris et apprécier.
En effet, toutes les personnes puissantes prennent soin de leur image, que
ce soit par le sport ou par le look. Alors la méthode est simple, il faut se
construire un corps qui nous plaira vraiment et avec lequel on sera en
adéquation, qui nous permettra de nous sentir différent et de l’accompagner
par un look vestimentaire qui nous mettra en valeur.
Ne vous baladez pas avec des t-shirts troués, des chemises trop larges, ou
des jeans mal taillés. Il faut qu’en un coup d’œil les gens qui vous entourent
prennent conscience de votre importance et force est de constater que la
première chose que les autres verront sera lié à votre style vestimentaire.
C’est une sorte de carte de visite qui expliquera instantanément qui vous
êtes comme c’est expliqué dans cet article sur le look à adopter pour être
bien dans sa peau.
Faites une expérience. Baladez-vous dans la plus grande rue de votre ville
quand il y a du monde. Mettez-vous en survêtement de sport un jour et
revenez le lendemain dans un costume bien coupé. Vous constaterez très
vite que le regard des gens va changer.
C’est simple, je connais une personne qui a tenté cette expérience en plein
Paris. Lorsqu’il était en jogging il a été contrôlé par la police. Lorsqu’il était
en costume d’une très célèbre marque Allemande en 4 lettres, les regards
ont totalement changé !
Alors au final qu’est-ce que le charisme pour un homme ? C’est aussi être
en mesure de prendre des décisions puissantes et pour cela il ne faut pas
avoir peur d’entreprendre. Il n’est pas simple de monter sa boite et je ne
suis pas en train de vous dire qu’il faut quitter votre boulot et tout
abandonner du jour au lendemain mais pensez à un projet qui vous tient à
cœur et montez-le.
Lorsque les premiers effets se font sentir, la machine est lancée et je peux
vous garantir qu’elle ne s’arrête jamais car vous allez vous sentir tellement
bien dans votre peau que verrez toutes les portes s’ouvrir.
Le regard par exemple, est d’une importance capitale quand on veut plaire
à quelqu’un.
Avoir du charisme c’est quoi au final ? Cela consiste à ne pas baisser les
yeux en parlant, c’est regarder droit dans les yeux, celui ou celle qui nous
plait, mais également ceux avec qui l’on travaille ou avec lesquels on a des
rapports privilégiés. Cela consiste aussi à ne pas se ronger les ongles, ne
pas bafouiller quand on parle en public…
Ces aspects sont nécessaires si l’on veut réussir à être celui ou celle que
l’on veut. C’est aussi dans le comportement que l’on va adopter. On
confond souvent le charisme avec la prétention et je sais que certains
d’entre vous font cette erreur. Se comporter de manière assez hautaine en
pensant que cela impressionne alors que ce n’est pas le cas.
Objectif
L’objectif du MP3 d’hypnose Par l’hypnose… je développe mon charisme… est le suivant :
favoriser le plein développement de votre charisme.
Durée
La durée de ce MP3 pour avoir du charisme (offert en exclusivité sur MP3-auto-hypnose) est
d’environ 27 minutes.
Avant de commencer
Avant d’entamer votre séance d’écoute du MP3 Par l’hypnose… je développe mon charisme (pour
femme), installez-vous dans un lieu paisible, où personne ne vous dérangera. Vous pouvez vous
munir d’un oreiller. Une couverture peut aussi augmenter votre confort : la relaxation par hypnose
MP3 amènera chez certaines une faible baisse de la température corporelle.
Utilisation
Il est préférable d’écouter ce MP3 d’autohypnose au moins une fois par jour, jusqu’à ce que vous
soyez satisfaite de vos progrès. Choisissez préférablement un moment près du coucher pour les
séances. La reprogrammation par l’hypnose peut demander jusqu’à 21 jours.
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MANUPILATION
Vous arrive-t-il de vous sentir manipulé? Que ce soit au bureau avec vos collègues
de travail ou vos supérieurs, dans votre famille avec vos proches, au magasin avec
un vendeur ou par le biais des médias, vous sentez-vous parfois pris au piège de la
manipulation, avec tous les effets néfastes que cela implique sur la relation et sur
votre estime de vous-même? Voici quelques repères pour la reconnaître et
éventuellement vous en préserver.
Table des matières [Afficher]
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Quelques exemples
1. Vous voulez exprimer un besoin ou vous avez une récrimination à faire à votre
supérieur, mais il réagit tout de suite en disant que si vous n’êtes pas content, il peut
mettre quelqu’un d’autre à votre place, que bien des gens seraient contents d’avoir le
poste que vous occupez. Sous ces menaces à peine voilées, vous décidez de vous
taire.
2. Au supermarché, votre enfant hurle pour que vous le fassiez monter dans le panier
roulant, malgré votre interdiction. De guerre lasse, devant les regards réprobateurs
des autres clients qui se demandent pourquoi vous torturez ainsi votre enfant, vous
lui accordez ce qu’il demande.
3. Vous appelez un de vos parents pour prendre de ses nouvelles. Malgré vos visites
récentes, il se plaint de sa solitude, mentionne que la voisine reçoit la visite de ses
enfants, elle, allant même jusqu’à sous-entendre que tout le monde serait bien mieux
s’il n’était plus là… Vous aviez une bonne intention au départ, mais en raccrochant,
vous vous sentez mal, coupable, et décidez d’aller le voir le soir même ou le
lendemain, mettant de côté une autre de vos obligations.
Comme vous le voyez, dans tous ces exemples, vous êtes manipulé à différents
degrés. une autre personne réussit, volontairement ou non, consciemment ou pas, à
vous influencer pour que vous agissiez d’une façon qui réponde à ses besoins et non
aux vôtres, parfois d’une manière détournée, et ce au détriment du contact réel entre
vous et elle.
Pourquoi est-on vulnérable à la
manipulation?
Les raisons de notre vulnérabilité à la manipulation sont multiples et différentes d’une
personne à l’autre. De façon générale, un premier grand groupe d’explications tient à
la motivation et à ses deux grandes forces: l’évitement de la souffrance et la
recherche du plaisir.
Ainsi, une personne manipulatrice peut vous motiver à faire ce qu’elle veut parce
qu’elle touche chez-vous une corde sensible et provoque un malaise ou une émotion
que vous ne voulez pas ressentir. Personne n’aime souffrir et ressentir de la
culpabilité, de la peur, de l’insécurité, de l’impuissance, du doute, etc. Vous êtes ici
manipulé parce que vous voulez éviter une souffrance.
Lorsque votre image de vous-même est quelque peu défaillante, en d’autres termes,
lorsque vous n’êtes pas sûr de nous, de ce que vous êtes vraiment, de ce que vous
voulez, la manipulation peut plus facilement provoquer en vous le doute, la
culpabilité. Par exemple, quelqu’un boude parce que vous avez dit ou fait quelque
chose et, pour éviter la culpabilité, vous dites que vous ne le pensiez pas vraiment
plutôt que d’endurer la bouderie. Le no 3 plus haut en est une bonne illustration.
La tactique de manipulation peut aussi toucher une de nos peurs, comme celle d’être
jugé. Personne n’aime se faire reprocher d’être égoïste, incompétent, ingrat ou
inhumain. Cela peut aussi être la peur de blesser, de ne pas être aimé ou celle de
perdre un avantage, de perdre l’affection, le respect, un avantage matériel ou même
votre emploi (exemple no 2).
Cliquez pour recevoir notre newsletter avec, en prime, notre guide “12 outils
pour naviguer dans les changements” >>
Un exercice
Je vous invite à penser à une situation précise dans le passé où vous avez eu le
sentiment de vous être fait avoir, d’être manipulé.
Demandez-vous ensuite pourquoi vous vous êtes laissé faire?
Était-ce pour éviter un malaise? Si oui, lequel? Par exemple, sortir d’une émotion
désagréable (le doute, la peur, la culpabilité…), éviter des représailles, ne pas perdre
quelque chose, etc.
Était-ce dans l’espoir d’un avantage, d’un gain? Si oui, lequel? Attention, amour,
reconnaissance, statut, avancement, etc.
Était-ce un mélange des deux forces? Précisez.
Vous faites déjà un premier grand pas pour sortir du cercle vicieux de la manipulation
quand vous cherchez et trouvez ce que vous voulez éviter et/ou ce que vous avez à
gagner à vous laisser fare.
Que votre motivation soit de l’ordre de l’évitement d’un malaise, d’une émotion
désagréable ou d’une conséquence négative ou de l’ordre de l’espoir d’un gain, il
reste que la manipulation opère moins chez certaines personnes, particulièrement
celles dont les seuils du malaise ou de l’espoir sont très élevés.
Par contre, la personne qui ne tolère pas longtemps l’inconfort va réagir plus
rapidement et sera plus facile à manipuler. Par exemple, elle cèdera plus rapidement
au chantage de son enfant qui hurle plutôt que d’endurer ses pleurs. (Comprenez
bien toutefois qu’il y a un âge où il faut vraiment répondre aux pleurs de son enfant).
Elle se laissera séduire plus rapidement par la personne qui use de ses charmes
pour désarmer sa colère (exemple no 1), plutôt que de se sentir odieuse d’être en
colère. Elle pliera devant la menace pour éviter de ressentir la peur ou pour acheter
la paix.
Pour connaître la stratégie de motivation que vous privilégiez, les avantages et
inconvénients de chacune, vos seuils, je vous réfère au chapitre 5 (Apprendre à se
motiver – p. 89) de mon livre Oser changer: mettre le cap sur ses rêves où j’ai
abondamment traité de ce thème.
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1. On vous fait sentir coupable.
Jouer avec vos émotions est l’arme ultime des manipulateurs. Ceux-ci excellent dans
l’art de vous faire sentir coupable pour des trucs (ou des pensées!) que vous n’avez
même pas faits. Si vous réussissez à ne pas plier à leurs demandes, ils s’arrangent pour
vous faire sentir coupable pendant des heures… voire des jours! Ils peuvent même vous
lancer des phrases comme « Qu’est-ce que j’ai pu faire pour mériter que tu me traites
ainsi… ». Et vous voilà partie pour cohabiter avec la culpabilité! Soyez ferme et
convaincu dans vos décisions. Au besoin, écrivez pourquoi vous avez tenu tête à un
manipulateur et relisez-vous pour ne pas que la culpabilité vous ronge.
Lire aussi : Les effets néfastes de la culpabilité sur la santé (et comment s’en
protéger)
WAYHOME STUDIO/SHUTTERSTOCK
6. On vous menace.
Quand un manipulateur sent que vous lui résistez, il peut aller jusqu’à vous faire des
menaces. C’est l’un des enjeux les plus pernicieux de la manipulation. Un des derniers
retranchements de ces êtres capables de bien des bassesses. En effet, les
manipulateurs sont capables de vous dire des phrases comme « Si tu fais (ceci), je vais
faire (cela)… » (ou son contraire « Si tu ne fais pas [ceci], ne pense pas que je ferai
[cela]… »), « Voilà comment tu me montres que tu m’aimes/que tu me remercies/que tu
m’aides » ou autres phrases pleines de sous-entendus menaçants. Voilà une spirale
inquiétante dans laquelle ne jamais mettre les pieds (ou s’en sortir le plus vite
possible) : personne n’a le droit de s’en prendre à votre intégrité. N’acceptez pas les
menaces. Allez chercher de l’aide dans votre entourage ou dans une ligne d’écoute si
vous sentez que vous perdez pied dans cette spirale.
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7. On change les faits.
Pour fabriquer des excuses, pour trouver des preuves de tout ce qu’ils avancent, pour
inventer des faits ou pour avancer toutes sortes d’arguments (parfois farfelus ou
exagérés), les manipulateurs sont les champions! Ils seraient même assez hardis pour
prétendre que 2+2=3. Sans hésiter, ils prétendent être des experts et sont capables de
faire (et dire!) n’importe quoi pour vous convaincre qu’ils ont raison. Dans leur discours,
on retrouve souvent des termes catégoriques comme « jamais », « toujours, “tout le
monde”, “personne”, etc. Et s’ils ont tort et s’en aperçoivent, ils remettent la faute sur les
autres, bien sûr! Ne croyez pas tout ce que les gens manipulateurs avancent.
Questionnez-les, remettez en question leur parole et osez vous affirmer. Vous n’êtes pas
dupe et n’avez pas à subir leurs grands discours.
MARJAN APOSTOLOVIC/SHUTTERSTOCK
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Savoir s'affirmer grâce à une certaine confiance en soi semble important. En effet, le
manipulateur peut déstabiliser sa victime au point de la faire douter de ses capacités et
perdre son assurance. D'ailleurs, certains manipulateurs choisissent souvent leur victime
en fonction de son manque de confiance.
Apprendre à dire non. Travailler l'assertivité pour éviter d'entrer dans le conflit dès qu'il
ne vous sera pas possible de répondre favorablement à une demande, et ce, sans
culpabilité. En effet, le manipulateur cherche toujours des arguments pour faire
culpabiliser la victime et obtenir ce qu'il veut.
Savoir gérer ses émotions. Les émotions négatives sont néfastes à notre santé et ne
sont pas le bon outil de communication face au manipulateur. Même dans la colère, il
sait retourner la situation au désavantage de la victime. Déjouer la manipulation implique
d'énoncer ses opinions de façon claire et ferme, sans agressivité.
DEFENSES IMMUNITAIRES
Sommaire
Lien >
https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/ArticleInteret.aspx?doc=comprendre_sys
teme_immunitaire_mantha_2004_pm
Invisible à nos yeux, il assure pourtant la garde, de jour comme de nuit. Que ce soit
pour guérir une otite ou un cancer, le système immunitaire est essentiel.
Bien qu'on ne puisse encore en expliquer tous les mécanismes, on sait aujourd'hui
qu'il existe d'importantes interactions entre le système immunitaire, le système
nerveux et le système endocrinien. Certaines sécrétions des cellules immunitaires
sont comparables à des hormones sécrétées par les glandes endocrines, et les
organes lymphoïdes possèdent des récepteurs pour des messages nerveux et
hormonaux.
la réponse non spécifique, qui constitue « l'immunité innée » (nommée ainsi parce
qu'elle est présente dès la naissance), agit en ne tenant pas compte de la nature du
micro-organisme qu'elle combat;
la réponse spécifique, qui confère « l'immunité acquise », passe par la
reconnaissance de l'agent à attaquer et la mise en mémoire de cet événement.
La réponse immunitaire non spécifique
Les barrières physiques
La bouche, les yeux, les oreilles, le nez, les voies urinaires et génitales offrent tout de
même des voies de passage pour les microbes. Ces voies ont aussi leur système de
protection. Par exemple, les réflexes de la toux et de l'éternuement expulsent les
micro-organismes des voies respiratoires.
L'inflammation
En cas d'infection virale, les interférons sont des glycoprotéines qui inhibent la
multiplication des virus à l'intérieur des cellules. Une fois sécrétés, ils diffusent dans
les tissus et stimulent les cellules immunitaires voisines. La présence de toxines
microbiennes peut aussi déclencher la production d'interférons.
La fièvre est un autre mécanisme de défense parfois présent dans les premiers stades
d'une infection. Son rôle est d'accélérer les réactions immunitaires. À une température un
peu plus élevée que la normale, les cellules agissent plus rapidement. De plus, les
germes se reproduisent moins rapidement.
La réponse immunitaire spécifique
Les lymphocytes B comptent pour environ 10 % des lymphocytes qui circulent dans
le sang. Lorsque le système immunitaire rencontre un agent étranger, les
lymphocytes B sont stimulés, se multiplient et se mettent à produire des anticorps.
Les anticorps sont des protéines qui se fixent sur les protéines étrangères; c'est le
point de départ de la destruction du pathogène.
Les lymphocytes T représentent plus de 80 % des lymphocytes en circulation. Il
existe deux types de lymphocytes T : les cellules T cytotoxiques qui, lorsqu'elles sont
activées, détruisent directement les cellules infectées par des virus et les cellules
tumorales, et les cellules T facilitatrices, qui contrôlent d'autres aspects de la réponse
immunitaire.
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Lien > https://www.ponroy.com/conseils-sante/les-facteurs-pouvant-affaiblir-le-systeme-
immunitaire
Les personnes âgées ont généralement un système immunitaire plus faible et une
plus grande sensibilité aux infections que les adultes d’âge moyen. Leur plus petit
appétit et leur alimentation moins variée ainsi que la raréfaction de la flore intestinale,
essentielle dans la défense du corps, l’expliquent en partie.
Le stress
Sans aucun doute, le stress chronique a un effet néfaste sur la santé. En situation de
stress, les glandes surrénales sécrètent du cortisol et le système sympathique, de la
noradrénaline - deux substances qui diminuent la réponse du système immunitaire.
Le vieillissement
L’âge est également un facteur de fragilisation du système immunitaire.
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Rhume, toux, grippe... Pour passer à travers les maladies de l'automne ou de l'hiver
et éviter le nez rouge, les yeux larmoyants ou la gorge douloureuse, il faut savoir se
protéger et se soigner. Les remèdes naturels vous aident à rester en forme et à
soulager les symptômes.
Une étude a ainsi montré que prendre un mélange de lactobacilles, tous les jours
pendant 12 semaines, réduit le risque d’attraper un rhume. On les trouve dans
les yaourts, à raison de 1 à 2 par jour, ou dans les compléments alimentaires.
Le mieux est de presser quelques oranges ; on peut conserver son jus d’orange
deux, trois jours au réfrigérateur, les pertes en vitamines sont faibles.
le beaufort,
les sardines à l’huile,
les fruits de mer,
les escargots,
le cacao,
le café,
le chocolat noir à 70 % de cacao,
les noix de cajou,
les amandes,
les épices (graines de cumin, de coriandre, curry, gingembre
moulu…),
les pains et riz complets,
le tofu.
Dormir suffisamment
Une nuit blanche suffit à affaiblir le système immunitaire, car elle réduit le nombre
d’une certaine famille de globules blancs.
Même si le temps de sommeil reste une donnée propre à chacun, les médecins
recommandent tout de même de dormir au moins 7 à 8 heures.
Yoga, jardinage, lecture, ciné, sorties ou repas entre amis… La nature de l’activité
importe peu. Ce qui compte, c’est de se détendre car le stress, la fatigue et le
surmenage affaiblissent le système immunitaire.
Pour autant, n’en faites pas trop, un exercice intense et prolongé peut affaiblir le
système immunitaire, facilitant l’entrée et la multiplication des virus dans l’organisme
(Collège américain des médecins du sport).
Elle active des globules blancs (lymphocytes T) nécessaires pour fabriquer des
anticorps et détruire les microbes. Dans l’alimentation, on en trouve surtout dans les
poissons gras :
Le Dr Lorrain conseille aux femmes ménopausées et aux personnes âgées qui, dans
leur grande majorité manquent de vitamine D, de prendre une dose plus importante,
trois à quatre fois la dose journalière recommandée (1 000 unités), sous forme de
médicaments ou de compléments alimentaires. Deux formes sont les plus courantes,
la D2, d’origine végétale, et la D3, d’origine animale. Inutile de préférer l’une plutôt
que l’autre, il y a peu de différences d’efficacité selon les études.
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L'hypnose peut agir en renforçant cette capacité à faire face aux facteurs de stress.
En utilisant des techniques de relaxation, elle permet de diminuer le taux d'hormones
adréno-corticoïdes dans l'organisme. Grâce à l'hypnose on atteint facilement un état
de relaxation, de détente que l’on peut faire réapparaître ensuite à tout moment
nécessaire. L'état indésirable est remplacé par l'état « ressource » désiré dans les
moments difficiles, comme par exemple une chimiothérapie.
Hypnose et analgésie
L'hypnose est depuis longtemps utilisée en tant qu'une méthode naturelle d'analgésie
ou d'anesthésie aussi bien dans le cadre pré- ou postopératoire, que pour les douleurs
chroniques. Elle peut diminuer des douleurs liées à la chimiothérapie ou autre
traitement.
Résultat : Les femmes qui avaient bénéficié de l'hypnose ont eu besoin de moins
d'anesthésiques, leur opération a duré moins longtemps, et elles souffraient moins
de douleurs, nausée ou fatigue après l'opération.
(Last but not least : elles ont aussi coûté moins cher à l'hôpital, notamment parce que
l'opération a duré moins longtemps.)
L'hypnose ne se présente pas comme une panacée, ne promet pas à elle seule de
guérison et ne vise en aucun cas à se substituer au traitement médical. Cependant,
elle est de plus en plus recommandée par les centres anti-cancer, en tant que thérapie
complémentaire, et fait aujourd'hui l'objet de recherches scientifiques sérieuses. L'une
d'entre elles a démontré son efficacité pour lutter contre les effets secondaires de la
chirurgie liée aux cancers du sein.
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Le stress
L’âge
Les changements hormonaux comme la ménopause
Les modifications du rythme circadien liés au travail de nuit, au travail posté
(changement fréquent des heures de travail), le jet-lag, les retards ou les avances de
phases
Quelles sont les conséquences du manque de sommeil ?
En général, nous observons :
Il faut avant tout restreindre le temps passé au lit au sommeil et aux activités sexuelles.
En effet, il faut dissocier le lit de toute activité non compatible avec le sommeil comme lire,
regarder la télévision, manger. Au cours de vos réveils nocturnes, si vous ne parvenez pas à
vous rendormir, il vaut mieux vous relever, quitter votre chambre et vous occuper jusqu’à
l’arrivée de votre prochain cycle du sommeil. Le sommeil est d’autant plus fuyant que nous
nous acharnons à le trouver et que notre tension nerveuse est importante.
> En savoir plus sur l’origine des réveils nocturnes
Il faut au maximum que les heures du coucher et surtout du lever soient constantes. Cet
horaire constant a un effet synchroniseur sur le rythme biologique du sommeil. Se lever tard le
dimanche matin ne fera que retarder l’heure du coucher et qu’empiéter sur les heures de
sommeil de la nuit à venir… En outre, dormir le plus longtemps possible ne favorise pas
toujours un réveil “du bon pied”.
Le fonctionnement de l’insomnie
Il existe plusieurs types d’insomnies :
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DOULEURS
Nombreuses sont les infections virales à donner des myalgies. La plus fréquente est
sans conteste la grippe où le malade a l’impression d’avoir été « roué de coups ». Ces
douleurs s’accompagnent d’une fièvre et d’une fatigue d’apparition brutale avec des
maux de tête. Les hépatites A, B ou C s’accompagnent également de myalgies, de
même des les infections à VIH ou à HTLV-1. En pays tropical, il faut évoquer une
infection par un arbovirus : dengue, Chikungunya, virus Zika…
Une carence en acides aminés serait parfois la cause sous-jacente de la faiblesse
musculaire. Le muscle se compose majoritairement de protéines, et toute protéine se
compose d’acides aminés. Il s’ensuit donc que les déficits en acides aminés essentiels
seraient susceptibles de causer la faiblesse musculaire. Les carences résultent parfois
de la mauvaise digestion des protéines mais plus souvent de carence d’apport (anorexie
mentale ou végétalisme) ou de traitements. La glutamine est un acide aminé non
essentiel mais qui est souvent présente en quantité insuffisante chez les personnes
vivant avec le VIH.
Certaines parasitoses sont à même de donner des myalgies généralisées, c’est le cas
de la trichinose (ou « trichinellose ») qui est une parasitose que l’on peut attraper en
mangeant de la viande de porc, de sanglier ou de cheval mal cuite : après des douleurs
digestives et une fièvre apparaissent des douleurs musculaires diffuses de type
inflammatoires avec œdème de la face et démangeaisons généralisées (« prurit »). Il
existe une élévation des polynucléaires éosinophiles dans le sang
(« hyperéosinophilie ») et une élévation des enzymes musculaires dans le sang
(élévation des CPK).
Douleurs musculaires
La douleur musculaire est un symptôme qui peut se
manifester dans de multiples situations
En général, la douleur musculaire survient de manière aiguë ou soudaine, dans les contextes suivants :
Blessure ou traumatisme musculaire, appelé communément claquage. Les muscles les plus souvent
affectés sont le mollet, l’aine, le cou et le dos. Le claquage d’un muscle peut aussi s’accompagner d’une
entorse, lorsque les tissus mous (dont les ligaments et les tendons) subissent également des lésions. Cela
se produit surtout au niveau des poignets, des genoux et des chevilles.
Surmenage d’un muscle – c’est le risque auquel s’exposent ceux et celles qui décident de se mettre à
l’entraînement du jour au lendemain et qui sont un peu trop enthousiastes.
Foulures répétitives liées à la sollicitation excessive d’une articulation, les muscles environnants pouvant
également être affectés.
Tension ou stress entraînant des problèmes comme la raideur au niveau du cou.
Douleurs et spasmes musculaires dans le bas du dos (lumbago) après avoir soulevé un objet lourd.
Infections virales, y compris le rhume et la grippe.
La douleur musculaire peut aussi avoir d’autres causes, moins fréquentes, comme la fibromyalgie, l’utilisation de
certains médicaments ainsi que des maladies auto-immunes. Il s’agit souvent de problèmes chroniques.
La plupart des épisodes de douleur musculaire aiguë peuvent généralement être traités plutôt facilement :
Si la douleur est liée à une blessure ou encore au surmenage d’un muscle ou d’une articulation, cessez
l’activité et prenez du repos.
Appliquez un bloc réfrigérant ou une compresse de glace sur la région affectée. Si vous n’avez pas ce qu’il
faut, un sac de pois surgelés peut très bien faire l’affaire.
Au besoin, prenez un analgésique afin d’atténuer la douleur.
Ou encore, utilisez un produit à base de plantes médicinales comme le gel Arnica, qui aidera en plus à
guérir les ecchymoses consécutives à la blessure.
S’il s’agit d’une douleur plus généralisée, vous pouvez prendre des comprimés de Griffe du diable par voie
orale.
Si votre douleur musculaire est due à la grippe, un remède naturel comme Echinaforce pourrait vous
apporter un soulagement.
Si les épisodes de douleur musculaire se manifestent de façon chronique, essayez les solutions suivantes:
Un grand nombre de problèmes de santé peuvent être à l’origine de la douleur musculaire. Les causes et
traitements possibles évoqués plus haut ne concernent que les situations les plus courantes; il ne s’agit pas de
listes exhaustives.
S’il ne semble pas y avoir de cause évidente à votre douleur musculaire, si elle ne s’est pas résorbée après 7
jours ou si elle s’accompagne de symptômes plus sévères comme de la douleur dans d’autres parties du corps,
de la fièvre ou une sensation générale de malaise, consultez un médecin sans tarder.
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Lien > http://plusmagazine.levif.be/sante/douleurs-musculaires-que-faire/article-normal-465105.html
Cause : le sport
Cause : le stress
Cause : la fibromyalgie
Bon à savoir avant de bouger...
Mais que se passe-t-il exactement à l'intérieur du muscle? Voici comment faire pour éviter les
douleurs.
Cause : le sport
Les courbatures
Enfin un beau jour de printemps, et vous voilà parti pour une randonnée. Mais le lendemain,
réveil difficile : vos muscles sont raides, douloureux. Ces courbatures surviennent 24 à 48 heures
après un effort un peu soutenu. La douleur vient de l'inflammation causée par de micro-
déchirures des fibres musculaires.
Solution : Bénignes, les courbatures disparaissent généralement en 2 ou 3 jours. Buvez de l'eau
riche en potassium, prenez un cachet d'aspirine si nécessaire, et prenez un bain chaud pour
détendre et assouplir les muscles. Vous pouvez aussi masser le muscle avec une crème
décontractante et chauffante.
Les crampes
Vous êtes sur votre vélo, il fait chaud. Soudain, une crampe : le muscle de votre mollet se
contracte violemment, vous êtes tenté de plier la jambe. La crampe musculaire, contraction
douloureuse, localisée, involontaire, soutenue, survient durant ou après l'effort, que vous soyez
sportif régulier ou occasionnel. Elle est favorisée par la déshydratation, le froid ou le chaud, une
carence en sels minéraux, de mauvaises chaussures... Les crampes nocturnes sont à part : leur
origine reste mal connue.
Solution : Etirez le muscle, même si le réflexe est de se replier sur soi. Tendez la jambe en
poussant le talon le plus bas possible et en relevant les orteils. Les crampes sont généralement
bénignes. Mais si elles persistent, demandez l'avis du médecin.
L'élongation
L'élongation est un étirement des fibres d'un groupe musculaire (souvent dans la jambe) au-delà
de leurs capacités. Elle survient sur un muscle mal échauffé, lors d'un effort rapide ou violent. La
douleur disparaît au repos.
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Solution : Mettez de la glace matin et soir durant 15 minutes, laissez le muscle au repos pendant
quelques jours : reprendre trop tôt peut conduire au claquage. Prenez un antalgique
(Paracétamol), mais évitez l'aspirine en cas d'aggravation et de saignement.
La rupture
Lésion musculaire la plus grave, il s'agit d'une déchirure transversale partielle ou totale du
muscle. Impossible de marcher, pour un membre inférieur, ou de bouger pour les membres
supérieurs. Au toucher, le médecin sentira la lésion. OEdème et hématome apparaissent.
Solution : après les premiers soins (bandage,compresses froides, etc.), repos total suivi d'une
rééducation. Dans les cas plus sérieux, la chirurgie est nécessaire.
Prévention
Sans constituer une garantie infaillible, ces précautions diminuent certainement le risque :
Commencez par un échauffement méthodique, progressif, assez long (au moins 10 minutes) sur
les muscles qui seront sollicités pendant l'effort. Il est également utile de bien connaître les
gestes techniques : si vous vous lancez dans une nouvelle discipline, interrogez un spécialiste.
Gardez une activité physique régulière, une activité facile à réaliser, telle la marche. Et gardez
des objectifs raisonnables le jour où vous vous y (re)mettez ! Marchez, par exemple, à un bon
pas, près de chez vous. Et si vous vous sentez fatigué, inutile de forcer.
Buvez régulièrement, notamment après l'effort, une eau riche en sels minéraux. Emportez des
fruits secs (abricots, bananes...) riches en minéraux (potassium, magnésium, sodium...).
Après l'exercice, étirez, sans forcer, les muscles sollicités : maintenez un mouvement de tension
une dizaine de secondes, puis relâchez.
Cause : le stress
Epaules dures, nuque raide : le stress aussi peut faire mal... " Le stress est une réaction normale,
et il peut être positif, explique Christophe Fauconnier, licencié en kinésithérapie, rattaché à l'école
du dos du CHU Brugmann. Mais son excès en fréquence aura des effets indésirables. Le haut du
dos, les épaules, la nuque, entre la région cervicale et la région dorsale, sont la zone de
prédilection du stress. Il y a sollicitation au point carrefour entre ces deux zones. "
Prévention
Pour diminuer ou éviter les douleurs, plusieurs gestes possibles :
Solution : la gestion du stress ! " L'approche psychologique est utile, précise Christophe
Fauconnier. Une psychothérapie peut être indiquée si les douleurs sont récurrentes malgré les
thérapies physiques. Pourquoi ne pas essayer aussi la relaxation, les étirements, le stretching, et
des techniques actives pour traiter le stress ? Faire du sport (vélo, marche, aquagym...) permet
d'évacuer le trop plein de tensions. "
Chaud ou froid ?
Faut-il appliquer du chaud ou du froid sur un muscle endolori ? " A choisir, la chaleur aura le plus
d'effet sur le muscle : elle diminue l'impact douloureux et améliore la circulation sanguine.
Utilisez, par exemple, une crème chauffante locale. "
Et le Baume du tigre ? Un gadget, en pleine euphorie chinoise ? " Pas du tout : sa réaction
thermique sur la peau fait naître une chaleur qui se propage vers le muscle, avec action
vasodilatatrice, permettant d'évacuer et de soulager les tensions. "
Et le froid ? " Pas particulièrement recommandé pour les muscles stressés, car il a un effet
vasoconstricteur. "
Le massage est également indiqué : " Il procure détente et relâchement, ainsi que l'étirement des
différentes couches musculaires, tout en activant la circulation. "
Enfin, une bonne douche chaude ou un sauna apportera certainement une détente bénéfique.
Cause: la fibromyalgie
Avoir mal partout... C'est ce que ressentent les patients atteints de fibromyalgie. Des douleurs
diffuses, changeantes, survenant à différents endroits du corps, et qui, associées à des raideurs
musculaires et à un mauvais sommeil, perturbent la vie sociale, familiale, ou professionnelle.
Un ensemble de symptômes
" On parle de syndrome, pas de maladie, car il s'agit d'un ensemble de symptômes, sans cause
spécifique, précise le Dr Etienne Masquelier, médecin spécialiste en médecine physique et en
réadaptation (Cliniques universitaires Saint-Luc et Cliniques universitaires de Mont-Godinne).
Deux éléments sont à prendre en compte : l'existence de douleurs musculo-squelettiques
diffuses, depuis plus de 6 mois, au niveau de la colonne vertébrale, de la nuque, du bas du dos,
des membres inférieurs et supérieurs... Ensuite, il faut qu'un examen clinique mette en évidence
des " tender-points " : une pression d'environ 4 kilos exercée sur ces points provoque une
perception de la douleur. Il y a 18 points reconnus par l'American College of Rheumatology, il
faut en déceler 11 chez un patient pour parler de fibromyalgie. "
Des critères peut-être difficiles à identifier, et parfois controversés. L'Organisation mondiale de la
santé ne reconnaît d'ailleurs la fibromyalgie que depuis 1992. Environ 2 à 3 % de la population
serait touchée, les femmes davantage que les hommes. Et, aujourd'hui encore, avant de pouvoir
mettre un nom sur leur mal, les patients enchaînent souvent examens médicaux et prises de
sang, fausses pistes et déceptions...
Les causes de la fibromyalgie ? " Elles sont multifactorielles : il y a sans doute un mode de
fonctionnement trop intense pendant des années, auquel s'ajoutent un traumatisme physique ou
émotionnel, et, peut-être, une prédisposition individuelle aux problèmes musculo-squelettiques. "
Fonctionner différemment
Chaque histoire est unique : pour les uns, la douleur sera supportable, pour les autres, non. Elle
peut varier selon les activités ou être omniprésente. " Mais le malade doit fonctionner
différemment. Certains gestes demandent des niveaux d'endurance importants : repasser,
suspendre du linge... Si on fait tout comme avant, les douleurs vont s'intensifier. Et le muscle ne
supporte pas non plus de rester sans bouger : difficile de rester assis deux heures immobile,
difficile de travailler, donc. De plus, les capacités cognitives sont également perturbées. "
Une fois le syndrome identifié et traité, le patient peut retrouver une certaine qualité de vie. Le
mot d'ordre : fractionner les activités, en faire peu à la fois. " Pour certains, c'est un renversement
des valeurs à 180°, pas facile à accepter. La rééducation fonctionnelle a son importance : le
patient doit redévelopper tout ce qui développe la capacité d'endurance cardio-respiratoire
(marche, vélo, natation...). Car l'endurance peut influencer les mécanismes de la douleur. Les
traitements médicamenteux, eux, doivent être intégrés dans une approche globale, pour éviter
l'escalade. Le danger est d'avoir un médicament par symptôme. Il y a les antidouleurs, mais
aussi la gestion du stress, la relaxation, le bain chaud...
Le patient doit devenir acteur du processus de réadaptation. Mais la société doit évoluer :
beaucoup de patients souhaitent travailler, mais avec lenteur, en fractionnant, ce n'est pas
évident. "
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Pliez les genoux pour soulever un objet lourd ou un enfant, et tenez-le contre vous avant de
vous relever.
Pour ramasser un objet à terre, posez un genou sur le sol, ou utilisez la position du balancier
: penchez-vous en avant en soulevant une jambe loin derrière vous, comme contrepoids.
Rapprochez-vous de l'objet à soulever, pour ne pas le porter à bout de bras.
Portez vos courses dans deux sacs au lieu d'un, un dans chaque main pour répartir le poids
équitablement.
Si l'objet est en hauteur, mettez-vous d'abord au même niveau, avec un escabeau par
exemple.
Les torsions : évitez-les en bougeant vos pieds pour ajuster votre position. L'objectif est de
ne pas faire pivoter le bassin.
Les mouvements brusques : évoluez en douceur, vous contrôlerez mieux la situation, et les
risques de blessure.
Se baisser en gardant les jambes tendues : vous pourriez vous faire mal au dos en vous
relevant.
Sortir de son lit d'un seul mouvement : asseyez-vous d'abord, puis levez-vous.
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EXAMEN
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LIEN > HTTPS://WWW.AIDE.ULAVAL.CA/APPRENTISSAGE-ET-REUSSITE/TEXTES-
ET-OUTILS/STRATEGIES-D-APPRENTISSAGE/LA-PREPARATION-AUX-EXAMENS/
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Contrôlez votre anxiété avant l’examen
Contrôlez votre anxiété pendant l’examen
Questions à vous poser après un examen
Références
Sommaire
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secondes et tentez de vous rappelez ce que vous avez vu dans le cours de façon
générale: Quel était le sujet du cours? Qu’est-ce que vous avez vu dans les autres
chapitres? Quelles sont les autres notions du chapitre visé dans la question?
Souvenez-vous d’autres exercices que vous avez faits dans le cours, même s’ils
n’ont pas de lien avec la question. Cette façon de faire vous permettra de rediriger
plus facilement votre attention vers la matière, ce qui fera diminuer votre anxiété et
vous permettra de profiter davantage de votre préparation.
o Lisez bien la question et soulignez les mots-clés. Y a-t-il plus d’une question dans ce
qui est demandé? Prenez le temps de comprendre les éléments descriptifs de la
question (ex.: comparez, énumérez, expliquez).
o Inscrivez dans la marge ou sur une feuille brouillon ce qui vous vient à l’esprit lors de
la première lecture.
o Faites un plan de vos idées et organisez-les logiquement avant d’écrire la réponse,
cela diminuera la confusion dans les textes.
o Vous pouvez paraphraser la question en guise d’introduction de la réponse si cela est
pertinent. Par exemple, à la question «Quels sont les recours de Jean-Paul? », vous
pourriez commencez par «Les recours de Jean-Paul sont…» pour poursuivre avec
vos justifications.
o Faites des phrases courtes et rédigez lorsque vous avez bien en tête la structure de
votre réponse.
o Si vous manquez de temps, inscrivez les idées contenues dans votre plan. Vous
pourriez en retirer quelques points malgré tout.
o Récitez la réponse avant de regarder les choix. Vous serez moins influencé ou
influencée par une série de fausses hypothèses.
o Si vous hésitez entre deux énoncés, tentez de trouver les arguments qui prouvent la
fausseté de chacun d’eux. Il est souvent plus éclairant de trouver quel énoncé
semble le plus faux que de tenter d’identifier celui qui est le plus vraisemblable…
o Ne vous fiez pas aux patrons de réponses ; tout est possible (ex.: huit «c» de suite).
PRÉVOYEZ LE COUP…
Avant l’examen, pensez aux stratégies à utiliser si jamais vous devenez anxieuse ou
anxieux. Cela vous permettra de réagir plus rapidement et de garder votre calme.
Lors de l’examen, les dés sont jetés ; il s’agit donc de réfléchir du mieux que vous
pouvez à la matière.
QUESTIONS À VOUS POSER APRÈS UN EXAMEN
Afin d’améliorer votre performance lors d’un examen futur, il peut être utile de
consulter l’examen, si cela est possible, et de vous poser les questions suivantes:
Avec de telles croyances, il devient inévitable que les personnes finissent par créer
des situations qui valident leurs sentiments, c’est le travail de l’inconscient.
Ce syndrome est fréquent chez les personnes ayant des facultés intellectuelles au-
dessus de la moyenne, comme Albert Einstein par exemple, qui en souffrait
également.
La bonne nouvelle, c’est que l’hypnose est un outil formidable pour vous aider à gérer
vos niveaux de stress. En premier lieu, l’hypnose pourra agir sur les causes extérieures
qui peuvent vous empêcher de vous concentrer.
Voici quelques exemples :
Améliorer la qualité de votre sommeil
Traiter les mauvaises habitudes alimentaires
Réduire les niveaux de stress et d’anxiété