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Sommaire

 ANXIETE ANGOISSE
 CONFIANCE EN SOI
 MAIGRIR
 EMOTIONS
 GERER LE PASSE
 EJACULATION PRECOSE
 TIMIDITE
 JOIE DE VIVRE
 ATTIRER L’ABONDANCE
 DESIR SEXUEL
 INTUITION
 LACHER PRISE
 STRESS
 MAL DE DOS
 BOOSTER SA MEMOIRE
 AUGMENTER VOS PERFORMANCES
 ARRETER DE FUMER
 CONVERGENCE INSTANTANNEE
 ANTI INSOMNIE
 CHARISME
 MANUPILATION
 DEFENSE IMMUNITAIRES
 SOMMEIL
 DOULEUR CHRONIQUE
 EXAMEN

****************************************************************

Anxiété angoisse

Les sites de référence :


http://laurezanellacoaching.fr/
http://www.doctissimo.fr/
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr

https://academiehypnose.com/
Recherche 1 > Origine de lanxiete angoisse
Recherche 2 > Symptomes anxiete
Recherche 3 > Therapie anxiete

 http://laurezanellacoaching.fr/dou-viennent-nos-angoisses-et-comment-
sen-liberer/

D’où viennent nos angoisses et comment s’en libérer

D’après ce que nous dit Christel Petitcollin dans son livre « Emotions, mode d’emploi », nos
angoisses sont le résultat de toutes les émotions que nous avons refoulées.
Elle nous explique que toutes ces émotions que nous avons enfouies en nous sont stockées
dans une sorte de grand chaudron mental sur lequel vient se poser un gros couvercle qui évite à
ces émotions refoulées de sortir.

Le couvercle en question s’appelle l’angoisse. Christel Petitcollin nous dit alors qu’à chaque fois
que quelqu’un fait une crise d’angoisse, c’est tout simplement parce que l’une des émotions que
cette personne a appris à refouler est en train de remonter et menace de sortir de son
« chaudron » mental.

En partant de là, voyons ce qui nous pousse à refouler nos émotions.

La base de départ : l’enfance !


Tous les mécanismes qui composent la base de notre mode de fonctionnement ont été adoptés
durant l’enfance.

En tant qu’adultes, nous devenons capables de faire nos propres choix et de sortir de certains
automatismes destructeurs ou en tout cas pesants, mais tant que nous n’avons pas pris
conscience de ce qui se passe en nous, nous ne pouvons que réagir en fonction de ce que nous
avons appris.
Et qu’avons-nous appris justement pendant nos jeunes années ?

Depuis notre plus tendre enfance, on nous a dit (que ce soit de façon directe à travers la parole
ou de façon beaucoup plus subtile) que certaines émotions étaient autorisées et d’autres non.
Globalement, il y a d’ailleurs une ligne de démarcation très nette qui se dessine entre ce qui est
autorisé ou non aux petits garçons, et ce qui est permis ou pas aux petites filles.

Du côté des émotions de base que sont la joie, la colère, la tristesse et la peur, les deux
premières ont tendance à être autorisées aux garçons, alors que les deux dernières sont plutôt
réservées aux filles.
C’est quelque chose qui est profondément imprégné dans l’inconscient collectif et qui peut
surprendre quand on met le doigt dessus, pourtant, il suffit d’examiner quelque peu la chose pour
se rendre compte à quel point la séparation est marquée.
Par exemple, quand une femme se met en colère, on aura tendance à la taxer d’hystérique, à lui
dire que c’est une emm…, à se demander si c’est la pleine lune ou à faire porter le chapeau à
ses hormones, parce que cette colère est en général perçue comme déplacée.

Il en va exactement de même en ce qui concerne les hommes et la tristesse. Combien d’hommes


peuvent s’autoriser à laisser couler leurs larmes sans ressentir de la gêne, de la honte ou
recevoir des remarques désagréables de leur entourage. Ces larmes sont tout juste tolérées lors
d’une cérémonie d’enterrement, mais s’il s’agit d’un fait plus « anodin », soit ces messieurs
devront aller se cacher pour pouvoir pleurer en paix, ou alors on leur collera une étiquette
négative sur le dos.

Des mécanismes tout à fait naturels


La colère autant que la tristesse sont pourtant des mécanismes naturels qui ont un rôle bien
précis pour maintenir l’équilibre dans le mental et le corps.
La colère sert à poser ses limites et à « chasser les intrus » lorsque notre territoire personnel
est envahi, que ce soit notre territoire physique ou psychologique.
La tristesse quant à elle permet de se rendre disponible pour aborder une nouvelle étape sur
son chemin. Elle sert à faire un deuil, à fermer une porte pour qu’une autre puisse ensuite
s’ouvrir.
Il ne s’agit nullement d’émotions déplacées ou injustifiées, et pourtant, depuis l’enfance, des tas
d’adultes autour de nous n’ont eu de cesse de nous pousser à refouler nos émotions, même si
dans bien des cas cela s’est fait inconsciemment, sans aucune intention de nuire.

La chasse aux sorcières


Il existe pour ça ce que Christel Petitcollin appelle des « techniques anti-émotion ».

– La honte : On signifie à l’enfant qu’il est ridicule de vivre telle émotion, qu’il devrait avoir honte
de pleurer / d’être en colère / d’avoir peur, etc., et on lui en met une bonne couche pour qu’il
enferme au plus vite cette émotion dérangeante pour l’adulte qui se trouve en face de lui.
– Le déni : On dit cette fois à l’enfant d’arrêter de faire la comédie ou encore qu’il n’a aucune
raison d’avoir peur ou d’être triste. Au lieu d’entendre et de reconnaître le malaise de l’enfant, on
interprète la situation de son point de vue d’adulte et on considère que puisque la situation n’a
rien de problématique pour nous, c’est que l’enfant est en train de faire semblant… C’est une
façon de voir les choses qui peut coûter cher !
– La culpabilisation : L’adulte dit cette fois à l’enfant que ça le rend malade de le voir se mettre
dans tel état, ou alors il lui sort l’éternelle rengaine : « Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu es un
ingrat de te dire malheureux ». L’enfant n’a donc pas le droit d’être malheureux ici et maintenant
par rapport à une situation particulière parce que l’adulte a si bien veillé sur lui par le passé.
– La peur : Ce sont cette fois les menaces qui pleuvent pour couper net l’émotion de l’enfant
dans son élan. « Si tu continues à pleurer, tu seras puni ! » « Tu as intérêt à arrêter sinon je vais
me fâcher »
– Le pansement : « Si tu te calmes, je vais t’acheter telle chose », par exemple. On cherche un
dérivatif qui pourra distraire l’enfant de sa peur, de sa colère ou autre pour l’empêcher de vivre
son émotion.
– Le recadrage : On cherche à donner un sens autre que le sens réel à l’émotion qui est là. « S’il
pleure, c’est parce qu’il doit être fatigué ». Christel Petitcollin nous explique à ce sujet qu’une fois
devenu adulte, un enfant qui aura vécu à répétition ce type de scénario aura tendance à
connaître de brusques baisses d’énergie lorsque l’émotion interdite sera sur le point d’émerger.
S’il vous arrive fréquemment d’avoir des coups de barre que vous ne comprenez pas au courant

de votre journée, cherchez peut-être de ce côté-là


Voilà donc tout un tas de façons d’apprendre à refouler ses émotions. À force d’obtenir ce type
de réactions à chaque fois qu’une émotion intervient, nous finissons par adopter certains
mécanismes qui deviennent des automatismes. Tout ceci est valable lorsqu’une émotion
négative se manifeste, mais également en ce qui concerne la joie. Combien d’entre nous ont
entendu étant enfants qu’ils devaient se calmer lorsqu’ils sautillaient dans tous les sens et
laissaient déborder leur joie naturelle, parce que les adultes autour d’eux étaient fatigués ou
n’avaient pas la tête à ça par exemple ?

Renversons la vapeur
Heureusement, tout ce qui a été fait peut être défait, et la répétition de nouveaux mécanismes
finira par créer de nouveaux automatismes plus sains.
Comment donc sortir de ce piège et vider le contenu de notre « chaudron » mental?

Le premier pas est de prendre conscience de la façon dont on nous a appris à refouler nos
émotions . Si vous vous rendez compte que la façon dont vous gérez vos émotions aujourd’hui
n’est pas quelque chose d’inné, mais plutôt quelque chose pour laquelle vous avez
été conditionnédès votre plus jeune âge, vous vous rendrez compte aussi que tout ce qu’on a
pu vous laisser entendre au sujet des émotions n’était pas nécessairement vrai.
Commencez par identifier toutes les émotions avec lesquelles vous éprouvez des difficultés,
celles qui génèrent un malaise en vous, de la gêne ou de la honte, et demandez-vous quelles
sont vosidées préconçues au sujet de ces émotions. Voyez de quelle façon on vous a présenté
ces émotions durant votre enfance, et voyez de quelle façon votre entourage familial gère lui-
même ces émotions. Ça vous en dira beaucoup sur la source de vos difficultés.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’accuser qui que ce soit, car chacun fait de son mieux en
fonction de ce qu’il a lui-même appris, mais dès lors qu’on perçoit clairement le chemin qui a été
fait pour en arriver là, on peut d’autant plus facilement commencer à démonter les croyances
limitantes en place.
Ensuite, il sera important de commencer à vous autoriser à ressentir ce que vous ressentez, car
oui, il est tout à fait naturel de ressentir de la tristesse, de la colère, de la peur, et bien sûr de la
joie, que vous soyez un homme ou une femme.

Redonnez-vous les permissions qui vous


reviennent de droit
Ces émotions n’ont rien d’anormal et si elles sont présentes, c’est parce que votre corps et votre
mental réagissent face à certaines circonstances extérieures pour maintenir un équilibre en
vous.
Plus vous luttez contre une émotion, plus vous vous sentez mal. Prenez l’habitude d’écouter ce
qui se passe en vous, et autorisez-vous à ressentir ce qui est là, en comprenant aussi que vous
n’avez nulle obligation de garder ces émotions en vous.
Vous pouvez simplement les reconnaître, accepter leur existence, et choisir de les laisser aller.
Le fait de vous confronter à vos émotions et de les accueillir, quelles qu’elles soient, vous
permettra de ne plus les accumuler dans votre « chaudron » mental et vous évitera ainsi de
ressentir de l’angoisse lorsque l’une de ces émotions cherchera à remonter à la surface.
Plus vite vous réagissez en acceptant votre émotion, plus vite vous pourrez aller de l’avant et
mieux vous vous sentirez.

Toutes les habitudes néfastes que nous avons pu adopter sans le vouloir peuvent être
démontées et remplacées.

À vous de jouer !
 http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_781_anxiete.htm

Sommaire

Les troubles anxieux sont fréquents, ils affecteraient environ chaque année 2 à 8 %
de la population adulte et seraient plus fréquents chez les femmes. L'âge moyen de
survenue des premiers symptômes se situe entre 20 et 30 ans.

Les signes de l'anxiété

L'anxiété peut être normale, voire nécessaire à la vie par sa fonction adaptative, ou au
contraire pathologique et invalidante. Les limites entre la réaction anxieuse normale
qui mobilise le sujet pour affronter une situation difficile et l'anxiété pathologique est
floue.

On considère en général que l'anxiété est normale lorsqu'elle est bien tolérée par le
sujet, qu'il peut la contrôler, qu'il ne la perçoit pas comme une souffrance excessive,
qu'elle n'a pas de retentissement sur sa vie quotidienne et qu'elle est peu somatisée.
L'anxiété normale est l'expérience que chacun de nous a vécue : peur avant un
examen, inquiétude pour la santé d'un parent, réactions anxieuses lors d'accidents, de
catastrophes... L'anxiété est ainsi une émotion utile. C'est une réaction psychologique
au stress. C'est un état qui fait partie de nos réactions d'adaptation aux stimulations
extérieures en nous permettant de mobiliser notre attention, d'élever notre vigilance
dans des situations de nouveauté, de choix, de crise ou de conflit.
L'anxiété est anormale quand :

 Elle n'est plus liée à des événements de la vie et qu'elle survient sans raison ;
 Elle devient un état permanent ;
 Elle perd sa fonction d'aide aux changements de la vie et elle favorise davantage la répétition
ou la limitation des comportements que les possibilités d'adaptation du sujet ;
 Elle est une souffrance aboutissant à une demande de soins ;
 Elle s'intercale entre des attaques de panique ou elle s'associe à des états névrotiques,
psychotiques ou hypocondriaques ;
 Elle se complique d'états dépressifs ou de phénomènes de dépendance
(pharmacologique, alcoolique, toxicomaniaque, relationnelle).
Causes et facteurs de risque de l'anxiété

A côté des troubles névrotiques (anxiété généralisée et trouble panique) dont la cause
réelle est inconnue et fait l'objet de différentes théories, il existe des causes faciles à
reconnaître.
L'anxiété est toujours présente dans les états névrotiques et elle est même l'élément
constitutif de la névrose d'angoisse .
Dans la névrose hypocondriaque, l'anxiété se fixe sur le corps. Ces symptômes
structurés permettent de diminuer la sensation d'angoisse.
Dans la névrose hystérique , l'angoisse est convertie en symptômes physiques
n'ayant pas de support organique. Mais cette conversion est souvent incomplète et
une certaine anxiété persiste en général.
Dans la névrose phobique , l'anxiété est fixée sur des situations précises (foule,
espace fermé ou très largement ouvert, animaux...), et l'angoisse ne se manifeste que
devant ces situations et disparaît en même temps qu'elles.
Dans la névrose obsessionnelle enfin, le sujet lutte contre les pensées qui
l'envahissent et l'anxiété est toujours présente.
L'état de stress post-traumatique ( névrose post-traumatique ) est consécutif à un
événement hors du commun qui provoquerait des symptômes évidents de détresse
chez la plupart des individus. L'événement est perpétuellement revécu sous forme de
souvenirs, de rêves, d'impression qu'il va se reproduire... Le sujet s'efforce d'éviter tout
ce qui lui rappelle l'événement et souffre d'une hypertonie neurovégétative (irritabilité,
hypervigilance, hyperréactivité au stress, difficultés d'endormissement...).
L'anxiété peut aussi être l'un des éléments constitutifs de nombreuses affections :

 Maladies psychiatriques : l'anxiété des psychoses est fréquente, souvent majeure et parfois
masquée :schizophrénie, dépression...
 Atteintes du système nerveux central : maladie vasculaire ou dégénérative
( Parkinson), épilepsie...
 Maladies endocriniennes ou métaboliques : hyper ou hypothyroïdie, hyper
ou hypoparathyroïdie, hypercorticisme, hypoglycémie, phéochromocytome...
 Maladies organiques : asthme, angine de poitrine...
 Intoxications : corticoïdes, alcool...
 Syndromes de sevrage : barbituriques, alcool...
 Ménopause ...
Enfin l'anxiété peut être un trait de personnalité simple (personne anxieuse) et donc
soit une disposition permanente, soit un état transitoire survenant dans certaines
circonstances.

LES SIGNES DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE


L'anxiété généralisée se manifeste par un sentiment d'insécurité permanente avec
ruminations sur le passé et craintes diverses concernant l'avenir. L'anxieux chronique
a beaucoup de mal à prendre une décision ou de choisir, étant soumis au doute
perpétuel. Il est hyperémotif, instable, et réagit vivement aux stimuli extérieurs.
Phobies et dépression sont habituelles.

L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant. Les soucis quotidiens sont
démesurément grossis. L'anxieux appréhende le pire pour lui et ses proches. Très
dépendant de son entourage, il supporte mal les séparations.

Dans l'intervalle des épisodes d'anxiété aiguë, la plupart des patients ne présentent
aucun trouble. D'autres continuent à ressentir une asthénie, des céphalées ou d'autres
manifestations d'anxiété.
Dans la névrose d'angoisse, l'anxiété est flottante et isolée, pure. Sur ce fond
d'angoisse permanent peuvent survenir des crises aiguës paroxystiques sans cause
déclenchante évidente.

Il existe souvent des facteurs prédisposants constitutionnels ou conséquences d'un


environnement défavorable. Des états anxieux similaires sont parfois retrouvés chez
les parents.

EVOLUTION DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE


L'évolution se fait par des phases de rémission et d'exacerbation des symptômes.
Certaines décompensations sont possibles : dépression, suicides, toxicomanies,
alcoolisme... Le patient peut évoluer vers une organisation névrotique phobique,
hystérique ou hypocondriaque.
TRAITEMENT DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE
Le traitement de fond repose sur la psychothérapie et la relaxation. Les tranquillisants
ou anxiolytiques ( benzodiazépines notamment) sont utilisés par périodes de courte
durée pour éviter une dépendance.
Le traitement de la crise d'angoisse aiguë repose sur l'attitude du médecin qui doit être
calme et compréhensive, l'isolement, les anxiolytiques en injectable pour une action
rapide et puissante.

Sommaire

Le thermalisme apporte également une aide précieuse à travers des cures


spécialisées, qui permettent de réduire le sentiment d'anxiété mais aussi la
consommation de psychotropes.
Le trouble panique

QU'EST-CE QUE LE TROUBLE PANIQUE ?


Le trouble panique se caractérise par la survenue d'attaques d'angoisse ou crises
d'angoisse aiguë. Par définition, pour parler de trouble panique, il faut que le patient
fasse au moins quatre attaques de panique en quatre semaines (ou au moins une si
elle est suivie de la peur persistante d'avoir une nouvelle attaque). Ces attaques de
panique sont imprévisibles et non déclenchées par des situations particulières (trac)
ou des facteurs organiques.

Enfin, une attaque de panique comporte par définition au moins quatre symptômes
anxieux parmi une liste de treize :

 Sensations de souffle coupé ou sensation d'étouffement ;


 Etourdissements, sensations d'instabilité ou impression d'évanouisement ;
 Palpitations, tachycardie ;
 Tremblements ou secousses musculaires ;
 Transpiration ;
 Sensation d'étranglement ;
 Nausée, gêne abdominale ;
 Dépersonnalisation ou déréalisation ;
 Sensations d'engourdissement ou de picotements (paresthésies) ;
 Bouffées de chaleur ou frissons ;
 Douleur ou gêne thoracique ;
 Peur de mourir ;
 Peur de devenir fou ou de commettre un acte non contrôlé.
LES SIGNES DU TROUBLE PANIQUE
Le trouble panique (crise aiguë d'angoisse) est de début brutal. Le patient éprouve un
sentiment de danger imminent, violent, imprécis (peur d'une mort imminente, de
devenir fou, de ne plus contrôler ses pensées ou ses actes, d'une catastrophe
prochaine...), sentiment d'impuissance, de détresse, de peur intense, sans objet.

Le patient est pâle, couvert de sueurs, agité ou prostré, crispé, tendu, couvert de
sueurs, animé de tremblements. Il peut être figé par l'angoisse ou en proie à une
agitation fébrile. La respiration est rapide, irrégulière. Nausées, vomissements,
diarrhée, douleurs diverses, palpitations, tremblements, impressions de vertiges,
brouillard visuel, réflexes vifs sont fréquents. Le coeur est rapide et les pupilles peuvent
être dilatées.

La crise dure de quelques minutes à quelques heures. Elle cède brusquement avec
une forte envie d'uriner.

Le syndrome d' hyperventilation associe polypnée, respiration superficielle,


paresthésies autour de la bouche, fourmillements et engourdissements des extrémités
; il est à rapprocher de la tétanie (spasmophilie).
Les équivalents somatiques sont très fréquents :

 Cardiovasculaires : palpitations, lipothymies, pseudo-angor...


 Respiratoires : dyspnée, toux...
 Digestifs : spasmes, coliques...
Le trouble panique peut être simple ou associé à une agoraphobie et son intensité est
graduée en légère, moyenne, sévère ou en rémission partielle ou totale.

NE PAS CONFONDRE AVEC...


La crise aiguë d'angoisse peut simuler certains diagnostics viscéraux : embolie
pulmonaire, infarctus du myocarde, affection chirurgicale...
La fréquence et la sévérité des épisodes aigus varient beaucoup d'un sujet à l'autre.
Ils cèdent en général spontanément.

TRAITEMENT DU TROUBLE PANIQUE


Dans les formes légères d'anxiété, on prescrit des anxiolytiques comme
des benzodiazépines à faibles doses.
Lorsque l'anxiété prend la forme de crises d'angoisse, physiquement et psychiquement
douloureuses :
 Une benzodiazépine à dose plus élevée ;
 Les autres familles de tranquillisants.
Dans les attaques de panique, les tranquillisants sont parfois insuffisants et
les antidépresseurs sont alors les seuls produits actifs. Ils sont également utilisés en
prévention.
La psychothérapie est intéressante quand le patient recherche le dialogue. Elle est
d'autant plus efficace que l'anxiété est liée à un problème psychologique, surtout si le
patient est isolé, sans grande aide de l'entourage. La relaxation donne de bons
résultats dans l'anxiété généralisée.

Dans les phobies spécifiques (agoraphobie, peur de la conduite, de l'avion, des


magasins, des ascenseurs, etc.), les techniques comportementales donnent
d'excellents résultats lorsque les patients adhèrent complètement au programme de
désensibilisation et aux tâches quotidiennes à faire à domicile. L'adhésion au
traitement est une condition indispensable au succès de ce type de prise en charge.

La psychanalyse est souvent décevante.

 https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/contents/708-psychotherapie-de-l-anxiete

traitement des anxiétés


Deux formes de psychothérapies sont particulièrement adaptées au traitement des anxiétés et
des phobies : la thérapie cognitive et la thérapie comportementale. Elles peuvent être associées,
et l'on parle alors de thérapies cognitives-comportementales (TCC).

Thérapie cognitive

Principes

Les thérapies cognitives sont fondées sur la notion de schéma cognitif. Ce sont nos habitudes
mentales, imprimées par l'expérience, inscrites dans la mémoire à long terme du cerveau. Elles
font appel à la mémoire, aux émotions et à l'attention.

Les schémas cognitifs sont automatiques (inconscients) ou contrôlés (concients). Ils influent sur
notre comportement et notre capacité (ou incapacité) d'adaptation individuelle. Un trouble est
fondé sur le déséquilibre du schéma cognitif.
Traitement

Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. Il y a échange entre le thérapeute et le
patient, à partir de la définition du problème (une anxiété généralisée ou une phobiespécifique).
Un programme ou plan de progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape.

Cette thérapie est remboursée dans certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé
par la Sécurité sociale).

Thérapie comportementale

Principes
Les thérapies comportementales sont fondées sur le principe du conditionnement, la réponse
automatique à un stimulus. Le conditionnement peut être répondant (pavlovien) ou opérant
(skinnerien), il aboutit à un renforcement de certaines actions dans certaines situations.

La thérapie joue sur le phénomène de sensibilisation-habituation : identification du phénomène


auquel le patient est excessivement sensible, habituation progressive à ce phénomène avec
contrôle de la réponse automatique.

Sommaire

Traitement

Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. En raison du processus d'habituation,
les séances sont assez longues (plus de 45 minutes, temps nécessaire d'exposition). Une fois le
problème identifié (une anxiété généralisée ou une phobie spécifique), un programme ou plan de
progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape. Le patient sera progressivement
exposé à la situation qui provoque angoisse ou panique. Cette thérapie est remboursée dans
certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé par la Sécurité sociale).

Un exemple : l'arachnophobie
Un patient souffre d'arachnophobie (peur panique des araignées) et désireux de dépasser cette
anxiété spécifique. Que se passe-t-il dans une TCC ?

Le thérapeute commence par s'informer du trouble exact : son apparition, son intensité, les
comportements associés.

Concernant les schémas cognitifs, le patient est informé sur les araignées, la toxicité ou la
douleur réelle de leur piqûre, etc. Il est également renseigné sur la capacité à modifier ses
représentations mentales, donc les comportements associés.

Concernant les schémas comportementaux, le patient est progressivement mis en présence et


habitué à l'objet de sa phobie (araignées, d'abord en photo ou vidéo, puis réelles). Il apprend à
contrôler ses réactions impulsives, très progressivement si nécessaire (araignées petite ou
grande, enfermée ou libre, touchée avec un crayon ou avec la main, etc.).

 https://academiehypnose.com/anxiete-angoisse-quand-tu-nous-tiens/

ANXIÉTÉ, ANGOISSE QUAND TU NOUS TIENS!


Par Ginette Plante
Qu’est-ce que l’anxiété ?
Il est de la nature humaine d’avoir des préoccupations et des émotions :

 Est-ce que j’ai trop pris de dossiers?


 Mon enfant a des difficultés scolaires, va-t-il réussir?
 Ma santé se détériore. Est-ce grave?
 Je ne ressens plus la passion dans mon couple. Est-ce la fin de notre amour?

Beaucoup d’événements de la vie suscitent des préoccupations et amènent à ressentir des


émotions : colère, peine, jalousie, peur, etc. Ces préoccupations et ces émotions sont des
indicateurs de problèmes à régler dans notre vie (et la vie apporte une multitude de problèmes à
régler…). Il demeure important que nous réglions nos problèmes pour vivre une vie satisfaisante.
Si nous ne faisons pas face à cette réalité, que nous la fuyons plutôt que la régler, alors notre
organisme va réagir à cette insatisfaction par ce qu’on appelle l’anxiété. L’anxiété est signal que
quelque chose nous dérange, nous tracasse. Elle est liée à une idée fixe qui nous porte à
surestimer le danger et à sous-estimer notre capacité à y faire face. L’imagination joue un rôle
primordial dans ces cas. L’individu imagine souvent tout événement sous forme de catastrophe et
ses réactions sont alors amplifiées tout comme si cela était réalité. Si nous ne faisons pas face à
la peur qui est sous-jacente, un état d’urgence apparaîtra d’où la naissance de l’angoisse. Quand
nous ignorons les choses qui nous affectent, que nous les négligeons, elles se transforment en
inquiétudes sourdes qui à leur tour deviennent des insécurités. La peur étant toujours présente,
notre jugement se trouve altéré, et la réalité peut être amplifiée.
Dans l’insécurité nous sommes confrontés à la perte du contrôle de soi. L’amplificateur étant à «
ON », on passe au mode ANXIÉTÉ tant que nous ne prenons pas un temps d’arrêt; en effet, si l’on
ne prend pas un temps de recul pour découvrir le problème à la source, la montée d’anxiété se
poursuivra. À cela s’ajoute bien souvent des pensées irréalistes telles que :

 Mon fils ne pourra réussir sa vie, car il n’aime pas l’école.


 Mon mari travaille tard, il a sûrement trouvé une maîtresse.
 Mon patron a rencontré quelqu’un dans son bureau aujourd’hui, il songe sûrement à me
remplacer ou à me congédier.
 Etc.

La peur de perdre le contrôle s’intensifie.


L’angoisse se pointe doublée de pensées anticipatoires :

 Mon fils va devenir délinquant.


 Mon conjoint va me laisser.
 Oh! Je vais étouffer, je vais faire un arrêt cardiaque.
 Etc.
L’organisme envoie ces messages nous invitant à autoréguler, à équilibrer nos pensées et nos
sentiments.
Il y a une raison qui justifie l’angoisse constante : c’est que l’individu ignore souvent les événements
qui l’affectent et fuit ses émotions.
L’organisme, par ces manifestations d’inquiétude, d’anxiété, d’angoisse, envoie un signal répétitif
informant du danger que l’individu encoure s’il persiste à nier ou négliger certains domaines de sa
vie qui sont affectés. Il est donc continuellement sollicité par cette angoisse tant et aussi longtemps
qu’il ne fera pas face et qu’il ne prendra pas en charge le poids de ses préoccupations.
L’anxiété et l’angoisse croissent au fur et à mesure que s’ajoutent d’autres préoccupations. Les
problèmes non réglés en engendrent d’autres; voilà un cycle perpétuel sans fin. Cela devient
étouffant; l’individu peut avoir de la difficulté à respirer. Cela devient pathologique, car l’anxiété et
l’angoisse sont sources de grandes souffrances psychiques : elles nuisent aux performances et se
manifestent par un dérèglement au niveau du sommeil et de la qualité de vie. Elles peuvent amener
jusqu’à la crise de panique qui se manifeste par des crises aiguës d’angoisse, de terreur soudaine,
d’un sentiment de perte de contrôle. L’angoisse est une expérience émotive plus intense que
l’anxiété, mais n’est pas une émotion, à proprement parler.
SYMPTÔMES
L’ANXIÉTÉ se manifeste par :

 des nœuds ou papillons dans l’estomac;


 des serrements ou une compression au thorax;
 l’impression d’avoir l’estomac tordu;
 une contraction ou pression pouvant aller de la région du plexus solaire à la gorge;
 des battements de cœur accélérés;
 de la sudation (épaississement des sécrétions);
 des étourdissements (hyperventilation);
 des pensées liées à une impression de danger imminent;
 de la difficulté à respirer;
 la vision brouillée;
 l’ouïe perturbée;
 des spasmes.

L’angoisse possède les mêmes caractéristiques que l’anxiété. Mais, tandis que l’anxiété se
manifeste de façon sporadique, l’angoisse, elle, s’inscrit de manière permanente chez l’individu.
TRUCS EXPRESS POUR DIMINUER SON ANXIÉTÉ
1. Observer vos pensées et vos images internes.
2. Vérifier si ces pensées ou images sont conformes à la réalité en semant le doute dans vos
pensées.
3. Transformer ces pensées-catastrophes en hypothèses et non en réalités.
4. Prendre conscience qu’une situation vous dérange.
5. Garder l’ouverture à d’autres possibilités. Prendre contact avec vos ressources intérieures et
extérieures.
6. Cerner ce qui crée cette angoisse et la libérer.
7. Affronter vos problèmes une étape à la fois.
8. Prenez le temps d’examiner les solutions possibles.
9. Abaisser votre « amplificateur interne ».
10. Croire en votre capacité de réagir avant de dépasser le 6/10 sur votre échelle de tolérance.
CERTAINS FACTEURS CONTRIBUENT À L’APPARITION DE L’ANGOISSE

CONFIANCE EN SOI

Les sites de référence :


https://www.prendreconfiance.com
https://www.prendreconfiance.com/
https://www.psy-coach.fr

Recherche 1 > Qu'est-ce que la confiance en soi ?

Recherche 2 > les symptômes et les conséquences du manque de


confiance en soi

Recherche 3 > Les 6 clés de la confiance en soi

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mecanismes/

Qu'est-ce que la confiance en soi ?

Voici une question à laquelle beaucoup aimerait répondre. Et sans doute vous.
Chacun y va de sa petite idée, de son expérience, de son vécu. La confiance
en soi semble être vécue comme un ressenti, un ensemble d’émotions et de
sentiments. Mais elle se traduit concrètement, au quotidien, par nos actions et
nos attitudes.

Mais peut-on réellement définir la confiance en soi ? Comment se manifeste-t-


elle ? A quoi reconnaît-on une personne qui n’a pas ou plus confiance en elle
?

Autant de questions auxquelles je vais répondre dans les lignes suivantes ...

Définition de la confiance en
soi
Il est difficile de définir précisément ce qu’est la confiance en soi. Il s'agit avant
tout d'une perception que chacun peut ressentir face aux défis et aux imprévus
de son quotidien.

La confiance en soi, c’est avoir confiance en sa capacité de penser et


d’apprendre, de prendre des décisions et de faire des choix, d'agir, de réagir et
de s’adapter aux changements qui s’offrent à soi.
C’est aussi savoir que l’on mérite d’être heureux.

Si l’on pouvait résumer, la confiance en soi est un véritable acte d’éveil


suivi d’une pratique régulière qui consiste à savoir qui l’on est et qui l’on
n’est pas.
La confiance en soi est un acte d’éveil suivi d’une pratique régulière qui
consiste à savoir qui on est et qui on n’est pas
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Et le manque de confiance en soi
?
Le manque de confiance en soi, au contraire, est tout de suite reconnaissable.
Il existe des symptômes, des attitudes, des comportements qui témoignent
d’un véritable mal-être, d’une incapacité de faire face à ce que la vie propose
comme défis et projets à relever.

Il y a cette peur constante du regard et du jugement des autres. Une peur


d’être considéré négativement qui pousse chacun à se replier sur soi et à ne
plus oser s’ouvrir vers l’extérieur.

C’est un mal auquel de nombreuses personnes sont confrontées chaque jour,


que ce soit dans leur épanouissement personnel ou professionnel.

Les origines de la confiance


en soi
Les origines du manque de confiance en soi sont multiples : une petite
remarque désobligeante, une éducation trop permissive ou trop stricte, la peur
d’échouer ou de mal faire, un manque d’encouragement, la peur des on-dit, ...
Et leur accumulation, bien entendu.

Mais alors ... C’est quoi, avoir confiance en soi ? En fait, ses origines sont
directement liées à celles du manque de confiance.

Exprimer son manque de confiance en soi est en quelque sorte un cri


intérieur qui révèle que quelque chose ne va pas dans sa relation à soi-même
ou avec les autres.
Exprimer son manque de confiance en soi est un cri intérieur révélant un
problème dans sa relation à soi ou avec les autres
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Plusieurs origines sont possibles pour expliquer cette confiance en soi ou
cette carence de croyance en ses capacités :

 Des parents qui projettent leurs espoirs et leurs rêves sur leurs
enfants : possibles inhibitions car le poids des souhaits des parents est trop
important, trop lourd.
 Des parents qui refusent de voir que leur enfant a des difficultés : cela
risque de le déstabiliser et de le fragiliser. Il faut être attentif aux signes
d’inhibition. Jouer la politique de l’autruche ne les aide pas.
 La surprotection : ne pas confronter une personne à la réalité de la vie
pour ne pas qu’il souffre ou qu’il soit déçu, c’est transformer une anxiété en
une peur d’affronter les autres, entraînant une impossibilité à vivre au
quotidien.
 L’absence de transmission d’un idéal : si vous n’avez jamais été
encouragé à croire que vous pouviez mener une vie conforme à vos
espérances, vous allez devenir pessimiste et votre confiance en vous va
littéralement chuter.
 La dévalorisation et la survalorisation : elles fragilisent car elles ne
permettent pas d’avoir une conscience objective de ses potentialités réelles.
Bien sur, tout ne se joue pas nécessairement dès l’enfance. Et il est possible
que des enfants élevés dans de "bonnes conditions" deviennent des adultes
mal dans leur peau. Et inversement. Néanmoins, l'enfance est très souvent la
source d'un manque de confiance.

Outre les parents, vos proches, vos amis et votre entourage influencent aussi
largement votre confiance de soi en fonction de l’importance que vous leur
accordez.

Mais tout ne s’explique par l'enfance ou des intervenants extérieurs …


Comme dans d’autres domaines, nous ne sommes pas tous égaux. Certains
ont une confiance innée en eux. D’autres non. De même, nous n’interprétons
et n’intégrons pas tous de la même façon nos expériences et nos échecs.
Certains rebondissent après chaque erreur ou échec, voire même apprennent
de ces expériences. D’autres non.

Mécanismes de la confiance
en soi
Chacun est différent. C’est pourquoi il importe, pour s’assurer que l’on a
confiance en soi, de faire quelques exercices, de faire des expériences, de
découvrir quelles sont ses limites, ses faiblesses, ses atouts pour reconstruire
un regard sain sur soi.

Confiance en soi et estime de soi


La confiance en soi découle de l’estime de soi.

Nous nous accordons tous une certaine valeur en fonction de notre capacité à
réussir ou non dans certains domaines de la vie.

L’estime de soi connaît nécessairement des hauts et des bas selon que l’on
parvienne ou pas à atteindre nos objectifs.

Cette recherche constante de l’estime de soi est une quête périlleuse. Elle se
fonde non seulement de nos échecs ou de nos succès, mais aussi sur les
jugements et les critiques de ceux qui nous entourent et nous sont chers.

Confiance en soi et peur


Le manque de confiance en soi amène inévitablement à la peur. Qui elle-
même entretient le manque de confiance en soi. Un véritable cercle vicieux
que vous contribuez à maintenir …
1. Absence ou manque de confiance en soi. Plusieurs facteurs expliquent un
manque de confiance initial. Il peut aussi simplement s'agir d'une banale
crainte.Mais si vous êtes victime de ces facteurs et que vous ne faites rien
pour vous les dépasser, vous nourrissez alors votre manque de confiance. Et
l’élément clé de ce processus est la peur.
2. Peur de l’échec, peur du rejet ... Peur d’agir. La peur est à la fois une cause
du manque de confiance en soi et un facteur de son accroissement. Quel que
soit le domaine (relations, projets d’entreprises, emploi, etc.), se sentir
incapable d’atteindre un objectif ou de faire face à une situation implique une
certaine peur. Le souci, c'est lorsque cette peur amène à l’inaction.

3. L’inaction. La peur de passer à l’action débouche souvent sur le choix simple


de ... ne pas agir. L’inaction, ou la fuite, est le premier choix. Les
conséquences de cette inaction sont la déception, la honte et la culpabilité.
4. Honte et culpabilité. Cet état émotionnel de honte et de culpabilité implique
une nouvelle dévalorisation de soi, une baisse de son estime de soi, et
contribue énormément à accroître le manque de confiance en soi.
Le remède ? Agir. Malgré la peur.

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Confiance en soi et enfance


Au milieu des années 60, une étude américaine dirigée par le professeur
Stanley Coopersmith a démontré que l’estime que se portent les parents entre
eux est le meilleur modèle pour développer une forte estime de soi chez
l’enfant.
En vivant dans un environnement aimant et respectueux, les parents et les
enfants peuvent mettre en place des règles pour communiquer.
Il n’y a alors aucune humiliation, aucune contradiction, aucun ridicule. Et
chacun fait preuve de confiance en ses compétences et en sa bonne volonté.

Les attitudes des personnes


qui n’ont pas confiance en
elles
Les personnes qui manquent de confiance en elles sont reconnaissables.
Elles ont des attitudes, des mots, des comportements significatifs.

Les sentiments les plus communs d’un manque de confiance en soi sont :

 Le sentiment d’infériorité : le seuil de tolérance de chacun face aux


épreuves n’est pas le même. Lorsque ce seuil est dépassé, la fragilité
s’installe et s'amplifie. Et des symptômes apparaissent.

 Le sentiment de découragement : la personne se juge négativement, elle


pense que toute action de sa part est vouée à l’échec, incapable de faire la
part des choses et une tendance çà exagérer les difficultés.

 Les symptômes courants sont le bégaiement, le rougissement, la pâleur, le


tremblement des jambes ou des mains, l’incapacité de choisir, la peur de
tout engagement affectif ou professionnel mais aussi la capacité à se
montrer arrogant ou vaniteux pour montrer un masque.

A chacun de s’interroger et de déceler ses failles mais aussi ses forces qui,
lorsqu’elles ne sont pas prises en compte, guident nos vies dans un sens
parfois favorable et parfois défavorable.
Conclusion
Plusieurs points important ont été abordés. Ils seront repris et détaillés dans
de prochains articles.

L’essentiel est que cet article vous dresse un tableau global de la confiance en
soi : une définition, son importance, ses mécanismes, ses effets, …

Avec cela, vous pouvez déjà savoir si vous manquez de confiance en vous,
dans quels domaines de votre vie ou certaines situations, imaginer comment
en sortir et créer un premier électrochoc !

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 https://www.prendreconfiance.com/consequences-manque-confiance-
comment-eviter/

Quelles sont les symptômes et les conséquences du


manque de confiance en soi ?

Si la confiance en soi est un sujet qui revient régulièrement, c'est qu'il s'agit
d'un point fondamental de la vie de chacun. En effet, le manque de confiance
en soi a de graves conséquences. Et aussi des symptômes permettant de le
reconnaître. Découvrons tout cela pour mieux comprendre l'importance de
lutter contre son manque de confiance en soi.

Le manque de confiance en soi ne serait pas autant connoté négatif et nuisible


s'il n'avait pas d’énormes conséquences ... négatives.
Voyons dans un premier temps les symptômes du manque de confiance en
soi puis, dans un second temps, ses conséquences.
Vous comprendrez alors un peu mieux l'importance de retrouver confiance en
soi.

Les symptômes du manque


de confiance en soi
Les personnes qui manquent de confiance en soi ont des symptômes
singuliers. La plupart de ces symptômes sont facilement reconnaissables.
Certains sont cependant plus discrets mais tout aussi significatifs.

Chaque symptôme peut, et doit, être repéré et identifié afin d'être certain de
souffrir d'une carence de confiance de soi.

Découvrez dès à présent les principaux symptômes.

Vous cherchez toujours à


expliquer vos actes
Alors que tout va bien, un événement imprévu vient perturber vos habitudes
ou votre tranquillité habituelle.

Prenons un exemple bête et simple. Et pourtant vécu ...

Vous êtes à une soirée avec un groupe d’amis. Et votre verre tombe par terre
et se brise.

Sans que personne ne vous demande pourquoi, vous vous mettez à partir à la
recherche d’explications ou à vous justifier avec des phrases du genre « oh je
suis si fatigué en ce moment ! », « je n’arrive pas à me concentrer ces temps-
ci », « mais le verre était juste sur le bord de la table ! ».
Alors qu'un simple « J'ai deux mains gauches ou quoi ?! » aurait suffi,
dédramatisé la situation et fait sourire l'assistance.

Les personnes confiantes ne se justifient pas à tort ou à raison. Vous êtes un


être humain et l’erreur est humaine. Surtout, cela ne va pas changer qui vous
êtes.

Vous ne vivez pas pleinement


votre vie
Quand vous n’avez pas confiance en vous, vous cherchez à vous protéger
notamment du regard ou du jugement des autres.

Vous prenez de la distance avec les autres et du coup, vous vous retrouvez
aussi privé de leur amour ou de leur soutien.

Vous perdez un temps précieux que vous pourriez passer auprès de ceux que
vous aimez et qui vous aiment.

Vous manquez des opportunités alors que la vie vous propose de nombreuses
expériences enrichissantes.

Vous n’êtes à l’aise avec le


succès
Comme vous vous dépréciez constamment, vous estimez que vous ne méritez
pas de réussir ou d’être reconnu pour votre talent ou vos capacités.

Dès que quelque chose va mal ou ne convient pas à l’image que vous vous
faites, vous commencez par vous blâmer.

C’est une sorte de plaisir sadique que de dire autour de vous que les choses
vont mal dans votre vie.
Vous vous rabaissez
constamment
Voici un signe de manque de confiance en soi évident.

Si vous voulez faire quelque chose, vous vous répétez que vous n’êtes pas
assez doué pour cela, que tout est voué à l’échec.

Vous emmagasinez continuellement des ondes négatives qui deviennent, petit


à petit, des croyances.

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Vous n’êtes jamais satisfait de


vous-même
Vous avez beau faire du mieux que vous pouvez, vous passez votre temps à
vous plaindre.

Dès qu’une situation se présente à vous, vous ne voyez jamais le verre à


moitié plein. Vous ne voyez que le négatif de la situation. Et vous imaginez ce
qui peut éventuellement survenir. De pire bien sur.

A la longue, ce cynisme ronge votre propre estime de vous-même et érode


votre confiance en vous.
Vous ne vivez pas au présent
Un autre signe du manque de confiance en soi : votre incapacité à vivre le
moment présent.

C’est un symptôme qui se rapproche du fameux « c’était mieux avant ». Ou «


ce sera mieux demain », c'est selon (ma mère aime beaucoup cette variante :)
Ce type de personnes vit toujours en regardant dans son rétroviseur ou en
imaginant le futur. Elle ne pense qu’au passé ou alors s’inquiète du futur.

Jamais elle ne vit le moment présent. Elle en oublie de profiter pleinement de


la vie.

C’est un cercle vicieux qui s’autoalimente et qui vous empêche de sortir de


votre négativité.

Les conséquences du
manque de confiance en soi
Avant de s'intéresser aux conséquences du manque de confiance en soi, il est
intéressant, et important, de noter que certains symptômes vus précédemment
sont aussi autant de conséquences du manque de confiance en soi,
Notamment ne pas vivre pas au présent ou vous rabaisser constamment.

Mais il y a aussi d'autres conséquences ...

Vous vous inquiétez de ce qui


peut arriver ou ne pas marcher
L'anxiété est l’une des conséquences du manque de confiance en soi.
C’est un état émotionnel potentiellement lié au manque de confiance en soi ou
en la vie en général. Tant que vous ne développerez pas votre confiance en
vous, vous vivrez toujours dans l'angoisse et l'anxiété de ce qui peut arriver ou
survenir dans certains domaines de votre vie.

Selon vous, pourquoi êtes-vous anxieux face à telle ou telle situation ? Parce
que vous ne pensez pas avoir une solution ou la capacité pour surmonter
ladite situation.

En développant votre confiance, en vous et en la vie, vous surmonterez


l’anxiété car vous aurez la ferme assurance de pouvoir résoudre toutes les
épreuves qui se présenteront à vous.

Vous êtes incapable de vous


affirmer
Être incapable de s'affirmer et d'exprimer son point de vue, même, et surtout,
quand on ne partage pas les idées et les opinions des autres.

Les personnes qui souffrent du manque de confiance en soi n'arrivent


malheureusement pas à exprimer et affirmer leur opinion en société. De
peur de ne pas plaire aux autres ou de se confronter à d'autres personnes qui
ne partagent pas leurs points de vue.
Ainsi, au lieu d'être le berger qui dirige le troupeau, elles deviennent les brebis
et se laissent conduire par d'autres personnes qui ne partagent pas leurs
valeurs.

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Vous passez à côté de belles
opportunités
Que ce soit au niveau des relations, amoureuses et personnelles, ou des
affaires, quand vous manquez de confiance en soi, vous laissez passer
toutes les belles opportunités qui se présentent à lui.
Pourquoi ?

Parce que vous avez peur de prendre des risques ou d'échouer. Vous vous
dites tout le temps que vous n'y arriverez jamais, que vous n'avez pas
compétences ou les capacités, que telle chose est trop belle pour être
réalisable. Surtout par vous.

Ainsi des opportunités, qui auraient pu contribuer à changer votre vie pour le
meilleur, passent sans que vous n’en profitiez.

Vous stagnez et végétez, vous


n'évoluez pas
Ces mots sont un peu forts. Mais je les ai choisis volontairement. Et ils ne sont
pas loin d'une certaine vérité ...

En fait, ils représentent la conséquence logique et directe des 3 points


précédents.

Vous n'allez pas vers les autres, vous n'osez prendre la parole, vous ne
saisissez pas les opportunités qui se présentent, vous stagnez et vous vous
contentez de ce que vous êtes et avez.

Vous végétez.
Tout cela parce que vous n'avez pas confiance en vous.

Cela est d'autant plus vrai dans la vie professionnelle. Le manque de


confiance en soi au travail a souvent des conséquences néfastes : conserver
la même fonction dans la même entreprise, occuper une fonction non désirée,
ne pas augmenter son pouvoir d'achat, se retrouver au chômage. Tout cela
parce que le manque de confiance amène à ne pas évoluer et à laisser passer
des opportunités.

Les problèmes physiques


On le dit très peu. Mais les mystérieuses douleurs physiques sont l'une
des conséquences du manque de confiance en soi. La plupart de temps,
ces douleurs se manifestent au niveau de l'estomac ou de la poitrine. Et les
visites médicales ne déterminent rien sur ces douleurs physiques.
Sans parler des mains moites, de la bouche sèche, du coup de chaud et des
aisselles qui suintent ...

Votre mental et votre corps sont extrêmement liés l'un à l'autre. Si vous
rencontrez ce genre de problème, en développant votre confiance en soi vous
vous rendrez compte que ces douleurs corporelles mystérieuses disparaîtront.

Conclusion
Vous le voyez, les symptômes et les conséquences du manque de
confiance en soi sont variées, désagréables et néfastes.
J'imagine que vous les reconnaissez aisément et que vous comprenez de quoi
je parle. Mais mettre des mots sur des sensations et des émotions, aussi
difficile cela soit-il, est essentiel pour retrouver confiance en soi.
Les 6 clés de la confiance en soi

1) la vie consciente
Respecter les faits, être présent à ce que l’on est en train
d’accomplir, curieux et ouvert à ce qui nous entoure, nous
intéresse, nous touche ou nous enrichit.

2) L’acceptation de soi

Se donner la permission et avoir le courage de s’approprier


nos pensées, nos émotions et nos actions, sans s’en
échapper, ni les nier ou les dénigrer.

3) La responsabilité de soi

Réaliser que nous sommes les créateurs de nos choix


et actions, que nous sommes responsables de
l’aboutissement de nos projets. Se poser la question : "
Que faut-il faire ? ", et non : " Qui faut-il blâmer ? ".
Personne ne va venir nous sauver de notre vie.

4) L’affirmation de soi
Etre authentique dans nos rencontres, refuser de fausser la
réalité de qui nous sommes pour éviter la désapprobation.

5) L’identification de nos objets


Discerner, à court et long terme, quelles sont les actions
nécessaires ou les comportements adéquats pour atteindre
nos buts. Vérifier chaque étape pour être sûr de rester dans
le bon axe. Observer les résultats pour reconnaître ce qui a
besoin de changer, puis s’ajuster.

6) L’intégrité personnelle

Vivre en harmonie entre ce que nous savons, ce que nous


professons et ce que nous vivons. Dire la vérité, tenir nos
engagements et montrer l’exemple pour les valeurs que
nous admirons.

 https://www.psy-coach.fr/manque-de-confiance-en-soi/

Les thérapies efficaces pour retrouver confiance


en soi
Le manque de confiance en soi ? En parler ne sert à rien. On vous a déjà dit que vous
valiez le coup et chaque fois vous en avez douté. Et plus on vous le disait et plus vous en
doutiez. C’est le cœur du mécanisme du manque de confiance en soi. Les preuves, les
arguments, l’écoute ne suffisent généralement pas pour apprendre ou retrouver la
confiance en soi.

Cependant stratégies thérapeutiques existent pour retrouver l’estime de soi. Efficaces,


elles ont aussi le mérite primordiale de s’envisager dans un horizon thérapeutique bref car
il n’est pas acceptable de rester pendant des années dans un état de souffrance
psychologique.

Des statistiques, certaines disponibles sur le net, ont été publiées par des psychologues.
Elles permettent de comparer l’efficacité des différentes thérapies sur des problématiques
proches. Ces statistiques, corroborées par mon expérience de psy traitant le manque de
confiance en soi, m’invitent à dresser la liste suivante, assez similaire d’ailleurs à celle que
j’ai pu développer pour la timidité.
 Thérapie systémique
 Hypnothérapie
 Gestalt thérapie
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PNL
 TCC (Thérapies Cognitives et Comportementales)
Combinées, je les utilise dans le cadre de programmes courts strictement adaptées,
elles permettent d’obtenir des résultats notables dans le cadre d’un horizon
thérapeutique relativement bref de cinq à dix séances.

MAIGRIR

Les sites de référence :


https://www.grazia.fr/
https://www.femina.fr/

https://www.passeportsante.net/fr
https://www.topsante.com

Recherche 1 > Pourquoi maigrir ?

Recherche 2 > Raison à ne pas y parvenir à maigrir

Recherche 3 > Les erreurs à éviter pour bien maigrir

 https://www.grazia.fr/beaute/forme-minceur/maigrir-10-raisons-de-
commencer-un-regime-sans-plus-tarder-820158

On a toutes nos raisons de vouloir suivre un


régime. Et vous, pourquoi voulez vous maigrir.
Par Clémence Rigny Le 01 août 2016 mis à jour 08 août 2016

 BEAUTÉ
 FORME ET MINCEUR
On est beaucoup à avoir envie de perdre du poids…
Mais pas toutes pour les mêmes raisons ! Avant de vous
lancer dans un régime, demandez-vous si vos intentions
sont bonnes. Voulez-vous maigrir pour votre santé, pour
votre confiance en vous, pour vous améliorer en sport ?
Voici une liste des raisons acceptables de faire régime.
Maigrir pour sa santé
C’est évidemment la raison la plus importante. Vous êtes en
surpoids et votre médecin vous conseille de vous débarrasser de
quelques kilos pour améliorer votre état général ? Dans ce cas,
c’est sérieux : commencez votre régime sans plus tarder.

Un régime pour se sentir belle


Il s’agit probablement de la raison la plus fréquente : on a envie
de maigrir pour s’aimer dans le miroir, pour renvoyer une image
qui correspond à nos envies. C’est un but parfaitement valable,
mais attention à ne pas soumettre votre corps à des privations
inutiles et à suivre votre régime dans de bonnes conditions.

Maigrir pour exceller en sport


Vous pratiquez le volley, la natation ou la course à pied, mais
vous avez l’impression d’avoir atteint vos limites ? Parfois,
un régime amaigrissant peut être une bonne manière de devenir
plus rapide, plus légère, et d’améliorer vos performances.

Un régime pour rééquilibrer votre alimentation


Maigrir, c’est bien, mais améliorer son alimentation de manière
générale, c’est mieux. Un régime est souvent l’occasion de
commencer à manger de manière plus équilibrée… et de garder
la ligne sur le long terme !

Maigrir pour se reprendre en main


Après un événement difficile (rupture, divorce, licenciement, etc.),
le régime peut être une manière de reprendre le contrôle sur votre
image et de prouver au monde (et à vous-même) que vous ne
vous laissez pas sombrer.

Reprendre confiance en soi grâce à un régime


Vous n’êtes pas au top de votre forme en ce moment ? Si vous
avez quelques kilos en trop, maigrir pourrait vous aider à
reprendre le dessus et à vous sentir plus à l’aise, notamment lors
d’un entretien d’embauche, d’une présentation, d’une conférence,
etc.

Maigrir pour pouvoir porter ce qu’on veut


Pour les fans de shopping, c’est évidemment une raison
importante de commencer un régime ! En attendant que les
marques les plus populaires élargissent leur gamme de
vêtements dans toutes les tailles…

Suivre un régime avant un événement important


Vous êtes sur le point de vous marier, de célébrer votre
anniversaire ou de participer à une fête importante ? Il n’est pas
rare de faire un petit régime avant l’événement, histoire de
pouvoir briller en société !

Se prouver qu’on est capable de maigrir


C’est un défi comme un autre : maigrir demande une grande force
de caractère. Malgré tout, inutile de faire un régime de principe :
ne vous lancez ce défi que si vous avez réellement des kilos qui
vous gênent.

Et si on faisait un régime pour la peau ?


On l’oublie parfois, mais améliorer son alimentation permet aussi
de mieux hydrater sa peau, de se débarrasser de bien des
boutons et petites imperfections cutanées. Dans ce domaine, un
régime adapté peut faire des miracles !

 https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc
=pourquoi-vous-ne-maigrissez-pas

Malgré une bonne hygiène de vie, certaines personnes n’arrivent pas à perdre
du poids. Avant d’effectuer le moindre changement alimentaire, il est important
de trouver la

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source de ces livres en trop et ce qui rend la perte difficile. Voici donc 15
raisons qui peuvent expliquer votre difficulté à maigrir.

1- Vous mangez ou grignotez sans égard à vos signaux de faim et de satiété.

Beaucoup de gens, particulièrement ceux en surpoids, avouent ne presque jamais


ressentir la faim. Ce qui signifie qu’ils mangent presque toujours avant qu’un besoin
physiologique de faim se manifeste (petit creux, gargouillement, ventre vide, etc.).
L’heure, les circonstances (fêtes, vacances, etc.), les émotions positives ou
négatives, la peur d’avoir trop faim sont devenus leurs

raisons de manger. Le problème quand on mange sans avoir faim, c’est qu’on ne sait
pas quand s’arrêter. La satiété ou le rassasiement se ressent uniquement quand on
a faim. Pour plusieurs personnes, il faut revenir à la base et écouter ses signaux de
faim et satiété pour mieux gérer son poids.

2- Vous alternez entre des périodes de restriction et de laisser-aller


alimentaires.

Tous les lundis, ou après les vacances, vous avez de nouvelles résolutions et
décider de manger « très santé » et en petite quantité toute la semaine. Il se peut
même que vous fassiez fie des sensations de faim. Les weekends venus ou les
vacances, la routine du travail étant terminé, vous vous laissez aller et mangez ce qui
vous tente sans égard à votre faim et satiété sous prétexte que c’est les vacances
mais aussi et surtout parce qu’il est impossible de supporter des restrictions sévères
trop longtemps. Commencez donc dès maintenant à manger raisonnablement 7 jours
sur 7, sans interdits.

3- Vous tentez tous les nouveaux régimes.

Seule une infime proportion de gens ayant perdu du poids suite à un régime
drastique réussit à conserver cette perte. Les autres regagnent les kilos perdus et
même plus! Puisque la majorité des gens reprennent presque tout le poids perdu, ou
plus de poids après s’être livrés à un régime amaigrissant, la propension de se
tourner vers un nouveau régime est forte. C’est ce qu’on appelle le cycle du yoyo
(perte et reprise de poids répétées). Prenez dès aujourd’hui la décision de cesser de
faire des régimes restrictifs que vous ne pourrez tenir à long terme.

4- Vous avez un métabolisme génétiquement bas.

Depuis votre jeunesse, vous avez toujours été sujets à prendre du poids facilement.
Il se peut que votre métabolisme soit plus bas que la moyenne. Dans ces
circonstances, ou bien vous acceptez un surplus de poids et travailler à le maintenir
via une alimentation saine et de l’exercice ou bien vous choisissez de calculer à vie
plus précisément ce que vous mangez afin de parvenir à perdre un peu de poids.

5-Vous utilisez la nourriture comme réconfort ou récompense.

Plusieurs personnes mangent lorsqu’ils ressentent des émotions comme la colère, la


peine, la tristesse pour apaiser leur état ou se récompense avec la nourriture après
un effort ou une réussite. Dans les deux cas, il ne s’agit pas de vrais faims mais de
fausses-faims. Reconnaître ces fausses-faims et trouver un autre moyen que la
nourriture pour passer à travers ou se féliciter est au cœur de la saine gestion de son
poids.

6- Vous manquez de sommeil depuis longtemps.

Il semble que le manque de sommeil favorise la consommation d’aliments riches en


énergie et l’adoption d’habitudes alimentaires non optimales. Une étude faite auprès
de travailleurs japonais sur une durée de 4 ans a démontré que les personnes qui
dormaient moins de 6 heures par nuit consommaient plus d’aliments riches en gras
et mangeaient plus souvent à l’extérieur que les personnes qui dormaient entre 7 et
9 heures par nuit. De plus, ces personnes avaient tendance à sauter le petit-déjeuner
et à grignoter dans la journée. Pour mieux gérer votre poids, il est peut-être temps de
chercher des solutions pour mieux dormir.

7- Vous passez beaucoup d’heures devant les écrans.

Il semble que la prise de poids due au nombre d’heures passées devant la télé ou
l’ordinateur soit plutôt liée à l’augmentation de la consommation de nourriture qu’à la
diminution de l’activité physique. Pour la télévision, L’augmentation de la
consommation de nourriture serait reliée au nombre de publicités alimentaires qui
sont diffusées. Pour ce qui est du travail à l’ordinateur, il est démontré qu’un travail
mental soutenu engendrerait un stress qui nous pousserait à manger au-delà de
notre faim réelle. Aussi, la fatigue intellectuelle pourrait être interprétée comme une
baisse d’énergie due à la faim et non comme une simple fatigue. Pour toutes ces
raisons, il recommandé de ne pas regarder la télévision plus de 2 heures par jour et
de se questionner avant de se précipiter sur un aliment et d’évaluer si nous avons
davantage besoin d’une pause que de manger.

8- Vous cuisinez peu.

Le meilleur moyen pour contrôler la qualité de notre alimentation et la quantité


d’aliments ingurgités est de cuisiner à la maison à partir d’aliments pas ou peu
transformés. Mieux vaut éviter une grande partie des aliments ultra transformés
(repas congelés, céréales très sucrées, boissons sucrées, etc.) parce que leur teneur
en sucre, en gras et en sel joue sur les hormones qui régulent l’appétit. Pour mieux
gérer votre poids, mettez-vous à vos chaudrons!.

9- Vous mangez toujours dans de gros couverts (assiettes, verres, etc.)

Depuis 1960, la grosseur de la vaisselle a augmenté de 36%. La tendance est aux


grandes assiettes carrées, aux verres à vin gigantesques et aux grosses fourchettes.
Ces nouveaux formats peuvent nous inciter à manger

plus. La faute revient à l’illusion de Delboeuf, une illusion d’optique documentée en


1860 par le philosophe belge Franz Joseph Delboeuf qui nous fait percevoir une
quantité insuffisante de nourriture quand celle-ci est placée dans une assiette
beaucoup plus grande que la portion de nourriture. Puisqu’il est difficile de laisser de
la nourriture dans son assiette, il est préférable d’utiliser de plus petites assiettes et
de plus petits verres afin de réduire nos portions et de percevoir une quantité
suffisante.

10- Vous ne prenez jamais de collations et mangez trop au souper.

La collation est souvent suggérée pour mieux gérer son poids. Elle permet d’éviter la
baisse d’énergie entre les repas et d’avoir trop faim au repas suivant. Parfois, l’envie
irrésistible de grignoter provient d’une mauvaise répartition des aliments au cours de
la journée. Il est souvent nécessaire de prendre une collation saine et protéinée (ex.
noix et fruit) au milieu de l’après-midi pour aider à résister à la tentation de grignoter
en soirée. De plus, amener avec soi des collations saines au travail ou dans la
voiture évite de se précipiter sur des aliments non-nutritifs lorsqu’on a faim.

11- Vous ne déjeunez pas du tout

Il n’est pas nécessaire de prendre un gros déjeuner, cela dépend de notre faim, mais
ne pas manger du tout entre le lever et l’heure du lunch affectera notre
consommation de nourriture à la hausse au cours de la journée. De plus, il est
démontré que les gens qui déjeunent comblent mieux leurs besoins nutritionnels
quotidiens. Si vous n’avez pas faim au lever, apportez une collation-déjeuner au
bureau comme un yogourt grec, des céréales muesli et un fruit frais.

12- Vous prenez un médicament qui peut affecter votre métabolisme ou appétit
(Megace, Remeron, Zyprexa, etc.)

Plusieurs médicaments, comme ceux pour traiter la dépression et les crises


d’épilepsie, ont comme effet secondaire une prise de poids. Voilà un autre facteur
jouant contre la perte de poids et son maintien à long terme Même si vous prenez un
médicament qui peut favoriser la prise de poids, n’arrêtez pas de le prendre; parlez à
votre médecin de son effet potentiel sur votre poids et des solutions possibles.

13- Vous n’appréciez pas l’activité physique que vous pratiquez.

Il a été démontré que percevoir l’activité physique comme une corvée augmente
notre consommation de nourriture. Ainsi, après avoir pratiqué un exercice sans
plaisir, nous avons tendance à manger des sucreries, des desserts et des

collations moins saines, et en grande quantité, pour compenser le manque de plaisir


durant l’exercice. Par contre, quelqu’un qui perçoit l’activité physique comme
plaisante, a tendance à faire des choix alimentaires plus sains.

Ce comportement est amplifié par le fait que nous surestimons souvent la dépense
calorique liée à l’exercice. Plusieurs personnes consomment ainsi plus de calories
après un entraînement qu’ils en ont dépensées. Choisissez donc un type d’activité
physique que vous appréciez ou rendez votre activité physique plaisante, que ce soit
en écoutant de la musique ou votre émission de télé préférée, en ralentissant la
cadence ou tout simplement en la voyant comme une pause relaxante.

14- Vous avez un niveau de stress assez élevé depuis une longue période.
L’exposition au stress amène le corps à fabriquer des glucocorticoïdes, des
hormones qui interviennent dans la libération d’énergie. La libération de ces
hormones augmente le niveau d’insuline dans le sang qui sert à faire pénétrer le
sucre dans les cellules du corps. Ce processus favorise une transformation du sucre
en triglycérides, un type de gras, et ce dernier s’accumule dans l’abdomen. Ainsi,
une exposition répétée au stress combinée à une consommation d’aliments riches en
gras et/ou en sucre peut accroître l’accumulation de gras

Sommaire

abdominal et mener à l’obésité. Explorez les façons de diminuer votre stress afin de
moins stocker les calories.

15- Vous ne consommez pas suffisamment d’aliments rassasiants

Le modèle alimentaire le plus associé à un poids santé est un modèle qui


s’apparente au régime méditerranéen et qui comprend beaucoup d’aliments
rassasiants : fruits, légumes, grains entiers, noix, poissons, fruits de mer,
légumineuses, produits laitiers faibles en gras. Inspirez-vous du modèle
méditerranéen pour mieux gérer votre poids et limitez la consommation d’aliments
non-rassasiants comme l’alcool, les breuvages sucrés et les grains raffinés.

En conclusion, plusieurs causes peuvent expliquer votre difficulté à retrouver un


poids d’équilibre. La gestion de son poids se fait en ajustant plusieurs
comportements et en choisissant des changements que nous aimons et qui
conviennent à notre horaire et style de vie, bref des changements qui dureront dans
le temps.

> https://www.femina.fr/article/regime-10-erreurs-a-eviter-pour-mincir

Régime : 10 erreurs à éviter pour mincir


La plupart des régimes bannissent le gras, diabolisent certains aliments, préconisent
les produits light…autant d’interdits qui nous feraient finalement grossir, selon la
diététicienne Hélène Lemaire, auteure de 1001 secrets de minceur. Voici
10 erreurs à éviter pour mincir

S’affamer
L’erreur
Beaucoup de femmes pensent qu’on ne mincit qu’en ne se privant énormément, au point
d’avoir le ventre qui gargouille et l’estomac qui se crispe. Elles ont tout faux. Car le
corps, machine parfaitement huilée, s’adapte sans mal à son environnement. Si bien
qu’en ne mangeant pas assez, on le fait passer en mode « réserve ». Résultat, il se met
au met au ralenti et utilise moins d’énergie pour ses dépenses dites « incompressibles
» -ce que l’on appelle le métabolisme de base. En mettant le corps en situation de
manque, on favorise donc le stockage. Une adaptation d’autant plus importante chez la
femme, « qui a la charge de perpétuer l’espèce », et qui doit donc posséder des
réserves importantes.

A faire
Pour mincir, on contrôlera ses apports énergétiques et son alimentation, mais pas au
point d’avoir très faim.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Se forcer à manger

L’erreur
A force de se plier aux exigences des régimes, on en oublierait presque que le respect
de nos sensations naturelles est le meilleur garant d’un poids stable. S’il est préférable
de manger le matin –pour ne pas grignoter dans la journée- il ne faut, pour autant, pas
se forcer, si l’appétit est vraiment au point mort. Selon la même logique, on ne se forcera
pas, non plus, à manger à heures fixes.

A faire
On se contentera d'écouter son corps et de se nourrir qu’au retour de l’appétit, comme le
préconise la chrononutrition.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Boire trop d’eau, ou pas assez

L’erreur
On l’entend partout, ne pas boire assez peut empêcher de mincir et provoquer de
la rétention d’eau. Pour autant, boire trop d’eau peut aussi provoquer des gonflements !
Si l’on boit vraiment trop, les reins seront « désorientés » et stockeront une partie de
cette eau. Une idée reçue veut aussi que l’eau soit un coupe-faim naturel. Si cela est vrai
dans le cas d’une faim psychologique (due à un stress, un moment de déprime…), ce
n’est pas le cas pour la véritable faim, physique. Si le corps a besoin de nutriments, de
protéines ou de lipides, il ne sera pas satisfait par du liquide. « Votre corps est plus
intelligent que l’on ne vous laisse croire. »
A lire, L'eau en questions

A faire
Pour vérifier si notre apport hydrique est satisfaisant, on tiendra compte :
1) du nombre de passages journaliers aux toilettes (4 fois au minimum, 7 fois au
maximum, très rarement la nuit)
2) de la couleur de l’urine (elle doit être jaune clair, ni plus foncée, ni plus claire).

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ingérer des édulcorants, naturels ou non

L’erreur
Les édulcorants reproduiraient –approximativement- le goût du sucre, sans effets
néfastes sur notre silhouette ? Quand une histoire est trop belle, c’est qu’elle n’est pas
réelle. Les papilles ne sachant pas faire la différence entre le vrai sucre et ses doublures
presque dépourvues de calories, elles déclenchent le processus classique d’assimilation
des glucides. Le corps, pour les digérer, sécrète de l’insuline. Insuline qui diminue le taux
de sucre dans le sang. Résultat, on se retrouve « en hypoglycémie faute de sucre », ce
qui incite à manger, parfois de manière compulsive. La stévia blanche –en quelque sorte
un concentré du principe sucrant de la plante originelle, la stévia verte- bien que
naturelle, entraîne donc les mêmes effets. Itou du côté des sodas light.

A faire
Diaboliser le sucre ne finira par créer…qu’une forte envie de sucre. Privilégier le « vrai

Sommaire

sucre » au sucre blanc -donc raffiné- qui a perdu les minéraux, oligo-éléments, vitamines
et fibres naturellement présents dans la canne à sucre. On choisira donc du sucre
intégral (ou sucre complet, rapadura, mascobado ou panela), qui ne contient que 80 %
de saccharose, assimilé plus lentement grâce à sa teneur en fibres. On se méfiera du
sucre roux vendu en supermarché, qui n’est en général que du sucre blanc coloré au
caramel.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ne plus manger de graisses

L’erreur
Non, les graisses ne font pas grossir…tant qu’on ne les ingère pas en excès et qu’on sait
les différencier. Se priver d’un type d’aliment est le meilleur moyen de se frustrer et donc
de craquer. Il est pourtant naturel d’être attirée par le gras. D’abord parce qu’il a participé
à notre survie pendant des millénaires, en nous permettant de faire des réserves. C’est
pourquoi notre « mémoire ancestrale » est tant attirée par lui. Ensuite, parce que le gras
confère une texture dite « palatable », aux aliments : ils sont « moelleux et agréables en
bouche » -contrairement aux fromages allégés cartonneux.

A faire
Pour s’autoriser le gras, on apprend à connaître la grande famille des lipides sur le bout
des doigts :
1) Les lipides structurent les cellules Chaque cellule –sur les dix mille milliards que
nous possédons- possède une membrane faite de…lipides. Pour que nos cellules soient
en bonne santé, il faut donc ingérer du gras, vital pour notre organisme.
2) Les lipides protègent l’organisme Les lipides sont indispensables au corps pour
fabriquer certaines substances –au doux nom d’eicosanoïdes- qui régulent notamment
l’inflammation, les allergies et l’immunité.
3) Acides gras « cis » ou « trans » Les lipides sont constitués d’acides gras. Parmi
eux, on trouve principalement les saturés (sans propriétés nutritionnelles intéressantes),
et les insaturés. Au sein des insaturés, on trouve les acides gras cis (qui sont la forme
naturelle) et les trans (qui se forment à température élevée lors des transformations
industrielles). On évitera les trans (néfastes pour le système cardio-vasculaire), souvent
présents dans le pain de mie, les viennoiseries, les chips et les plats cuisinés. On les
trouve notamment sous les appellations : matières grasses hydrogénées, margarines
végétales… On privilégiera les insaturés, les monoinsaturés (huile d’olive) et les
polyinsaturés (huile de noix).

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ne pas mâcher

L’erreur
Engloutir la nourriture sans la mâcher joue tant sur le transit…que sur la silhouette !

A faire
Bien mastiquer réduit, par essence, les aliments en petits morceaux facilement
digérables (ce qui évite ballonnements et problèmes de digestion). Cela permet aussi de
bien enduire la nourriture de salive, qui détruit certains microbes et permet d’entamer la
digestion. Mais si mâcher permet de bien digérer, cela empêche aussi de trop manger.
Car la mastication permet de manger plus lentement, de déguster, et donc, de mieux
contrôler sa satiété.
A lire, Le régime mastication

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Se poser trop d’interdits


L’erreur
« L’interdit crée l’envie », écrit l’auteur. Un phénomène bien connu des parents qui, à
peine ont-ils empêché leur enfant de toucher à un objet, le voient quelques minutes plus
tard en train de le manipuler. Les régimes, en diabolisant certains aliments à bannir
complètement, sont souvent les premiers responsables des grignotages nocturnes et
autres orgies boulimiques. La frustration est telle qu’elle conduit à ingérer de la
nourriture de manière compulsive, sans rapport avec ses besoins physiologiques réels.
L’auteur explique même que « plus les privations ont été fortes, plus les compensations
seront importantes » (c'est le fameux effet yo-yo).

A faire
Garder en tête qu’aucun aliment ne fait grossir ou maigrir en soi. Seule la quantité
consommée aura un impact sur notre silhouette. On peut grossir en se gavant de salade
et mincir en picorant du saucisson. Il s’agit d’adapter son alimentation à son appétit et à
ses envies (qui varient chaque jour), en écoutant les besoins profonds de notre corps.
On tentera donc de réintroduite les aliments « interdits », en évitant d’aller au-delà de
son rassasiement.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Manger devant un écran

L’erreur
Après une journée de dur labeur, il est très tentant de manger devant un écran de
télévision ou d’ordinateur. Pourtant, ces technologies, en nous captivant, nous «
détournent de nos signaux internes ». Résultat, nous ne mangeons plus en fonction de
notre faim, mais jusqu’à ce que l’assiette soit vide. Il en va de même pour le téléphone,
la lecture d’un magazine...
A lire, Conditionnés pour trop manger
A faire
Celles qui ne peuvent vraiment pas s’empêcher de regarder un écran en se nourrissant
se contenteront de le faire uniquement entre les bouchées, jamais la bouche pleine. Les
autres essaieront de se concentrer pleinement sur leur assiette, en savourant le goût, la
texture et les odeurs de chaque aliment.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Etre obsédée par un poids idéal

L’erreur
Tout le monde n’a pas les yeux verts ou les cheveux bruns. Il en va de même pour la
corpulence. Si l’exercice physique et une alimentation équilibrée permettent de ne pas
être trop enveloppée, la nature, qui aime la diversité, crée des rondes, des minces, des
grosses, des maigres, des petites, des grandes… Chacun tend naturellement vers
son poids de forme, c’est-à-dire celui que l’on pèse lorsqu’on écoute parfaitement ses
sensations alimentaires. Certaines auront des hanches, d’autres des fesses, d’autres
encore pas assez de cuisses…Or, pour être en-dessous de son propre poids de forme, il
faut constamment se priver. Une discipline de fer à laquelle peu de personnes savent se
plier à vie. La majorité d’entre elles seront frustrées, craqueront. Et grossiront.

A faire
Accepter sa corpulence naturelle –même si des ajustements sont possibles. Et ne plus
se peser. Le poids, tout relatif, dépend en effet de l’âge, de la taille, de la masse grasse,
de la masse maigre, de l’eau que l’on a bue ou éliminée… L’étalon ne doit pas être le
poids, mais le volume. Car, hormis votre balance, qui se souciera de savoir que vous
avez pris ou perdu 2 kilos, si cela ne se voit absolument pas ? On choisira donc un
vêtement témoin, qui nous serre un peu, pour juger de des résultats de notre
rééquilibrage alimentaire.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Manger comme son homme

L’erreur
En mangeant la même chose que son partenaire on pense, à tort que ce même apport
calorique aura un effet identique sur notre silhouette à tous les deux. Malheureusement,
il n’en est rien. Dame nature a doté nos hommes d’hormones qui accentuent la
fabrication du muscle et « diminuent la quantité de cellules adipeuses au niveau des
fesses et des hanches » -bien qu’à un certain âge, ou avec le surpoids, leur bedaine ne
soit pas épargnée par le gras. Au contraire, les hormones féminines stimulent la
production de cellules adipeuses plus grosses, situées sur les fesses et les hanches.
Résultat, la femme stocke…deux fois plus facilement la graisse que l’homme (pour faire
face à une éventuelle grossesse et à l’allaitement). La perte de poids est également plus
difficile, car, toujours selon la même logique, la femme est plus équipée face au manque
et aux périodes de disette.

A faire
Là encore, on essaiera –tant que possible- de ne se concentrer que sur ses propres
sensations. Si on n’a plus faim et que l’on continue de manger inconsciemment parce
que notre homme fait de même, on court à la catastrophe. De même, tant pis si notre
partenaire nous accuse de ne pas être une bonne vivante parce qu’on ne finit pas le
paquet de chips quand lui en a mangé deux. On pense à soi. Et uniquement à soi.

 https://www.topsante.com/minceur/regimes-minceur/autres-
regimes/une-nouvelle-therapie-pourrait-aider-a-perdre-du-poids-613585

Sommaire

Accepter les sentiments négatifs


qui accompagnent un régime
pourrait aider à déloger plus
efficacement les kilos que les
méthodes classiques.
Démotivation, fatigue, envie de grignoter, morosité. Ces sentiments

désagréables et d'inconfort qui accompagnent souvent un régime

devraient être pleinement acceptés pour atteindre cet objectif de perte de

poids. Cette méthode psychologique basée sur l'acceptation des effets

déplaisants du régime serait un moyen plus efficace que les thérapies

classiques pour mincir durablement.

La revue Obesity détaille dans une étude l'intérêt de cette nouvelle

"thérapie" pour perdre du poids. Les chercheurs de l'université de Drexel à

Philadelphie aux Etats-Unis ont pu tester les atouts de leur nouvelle

méthode qu'ils ont appelée Acceptance based-behavioral treatment ou

méthode ABT (traitement comportemental basé sur l'acceptation).


Les psychologues ont comparé l'impact de cette thérapie avec celui des

méthodes classiques de perte de poids basées uniquement sur un régime

et de l'activité physique. Un panel de 200 personnes obèses ou en surpoids

a été observé après avoir été divisé en deux groupes. Un groupe a suivi un

programme classique pour maigrir tandis que l'autre a suivi la même

méthode avec en complément la thérapie ABT.

Résultat au bout d'un an, le groupe ABT a perdu 13.3 % de son poids

contre 9.8 % pour le groupe sous traitement classique. Pour les

chercheurs, cela suggère que la méthode ABT constitue une stratégie

sérieuse pour aider à lutter plus efficacement contre l'obésité. Le premier

groupe a réussi à perdre plus de poids après la fin du régime sur l'année

suivante, comparé au groupe "classique".

A S S U ME R S E S C H O I X A L I M E NT A I R E S E T L E M A N Q U E D E
PLAISIR ASSOCIÉ AU RÉGIME
Le secret de l'efficacité de la méthode ABT repose sur plusieurs principes. Il

est demandé aux candidats de choisir et de se concentrer sur des objectifs

sous-jacents à ce régime comme le fait de vieillir en bonne santé ou d'être

un grand-parent en bonne santé par exemple. Autre effort à fournir, il est

demandé de reconnaître et d'assumer l'inconfort et les désagréments

quotidiens qu'entraîne ce régime, par exemple : devoir gérer les écarts et

la frustration, accepter la fatigue, troquer la télé contre une activité


physique, craquer pour un fruit plutôt qu'un biscuit... Les décisions et choix

relatifs à la prise alimentaire devaient être faits en pleine conscience.

"Les traitements standards de l'obésité insistent sur l'importance de

diminuer les apports caloriques et d'augmenter le sport, mais sont difficiles

à tenir sur le long terme", observe Evan Forman, psychologue à l'université

de Drexel et auteur de l'étude, cité par Livescience. A l'inverse, "la méthode

ABT enseigne comme l'auto-

Sommaire

gestion de ses facultés pour maigrir peut aider à poursuivre les choix

alimentaires sains après les régimes, conclut le chercheur.

EMOTIONS

Les sites de référence :


https://sante.journaldesfemmes.com/
https://www.huffingtonpost.fr/
https://www.penser-et-agir.fr/

https://deman-hypnose.com/

Recherche 1 > Pourquoi mieux gérer ses émotions ?

Recherche 2 > 11 signes de manque d'intelligence émotionnelle

Recherche 3 > Comment gérer ses émotions ?


Recherche 4 > Thérapie gérer ses émotions

**********************************************************

 https://sante.journaldesfemmes.com/psychologie/bien-

etre/conseil/apprenez-a-maitriser-vos-emotions/pourquoi-apprendre-

a-gerer-ses-emotions.shtml

Bon, c'est vrai, vous partez parfois pleurer aux toilettes ou il vous arrive de briser un
ou deux crayons, de rage, de temps en temps... Et alors, pourquoi réfréner ces
pulsions naturelles qui, au fond, semblent vous procurer un certain soulagement, au
moins temporaire ?

Tout simplement parce que ces émotions, poussées à leur paroxysme, peuvent
devenir destructrices. Pour l'esprit comme pour le corps. En laissant les émotions
s'exprimer délibérément, dans toute leur puissance, on ouvre la porte à un cercle
vicieux : sans barrières, elles s'auto-alimentent et peuvent prendre des proportions
non souhaitables.
La colère à son paroxysme est dangereuse dans l'immédiat, car elle peut conduire
à la violence, verbale ou même physique. Une violence qui, même si elle ne nuit
pas nécessairement à autrui, risque de toute façon d'être interprétée très
négativement.
De même, la peur, transformée en terreur, est néfaste, aussi bien
physiquement que psychologiquement. On peut littéralement mourir de peur, pour
peu que l'on ne soit pas dans une excellente condition physique : le cœur, trop
sollicité à cause des palpitations, peut tout simplement lâcher, complètement épuisé.
Au-delà de ces conséquences tout de même rarissimes, l'effroi paralyse souvent, ce
qui n'est pas forcément une bonne idée lorsque l'on se retrouve en situation de
danger. Sans compter qu'à long terme, être "peureux" contribue souvent à miner la
confiance en soi.
Ce n'est pas une surprise, une tristesse "exagérée" est également dangereuse.
Déjà parce qu'elle ternit l'ensemble de la vie de sa victime (ne dit-on pas que
lorsqu'un seul être nous manque, tout est dépeuplé ?). Mais aussi parce que la
tristesse peut engendrer la dépression, qui elle-même constitue un facteur de risque
de suicide. Sans aller aussi loin, une grande tristesse provoque souvent une sorte
d'apathie, un manque de goût pour les choses qui nous plaisaient auparavant, un
manque d'allant.
Avoir la honte de sa vie n'est pas aussi grave, heureusement. D'ailleurs, il paraît
que le ridicule ne tue pas. Mais cela peut tout de même être assez destructeur pour
l 'ego, surtout s'il s'agit d'une sensation persistante. Sans compter que la fébrilité
provoquée par une honte liée à un incident risque de vous faire perdre vos moyens
et là, ce sont les bourdes en série assurées !
 https://www.huffingtonpost.fr/dr-travis-bradberry/11-signes-que-vous-

manquez-dintelligence-emotionnelle_a_21893631/

11 signes que vous manquez d'intelligence émotionnelle


Contrairement au QI, le QE est très malléable. L’intelligence
émotionnelle, c’est ce “petit quelque chose” d’intangible en
chacun de nous.


 Auteur du best-seller Emotional Intelligence 2.0 et président de TalentSmart, premier
fournisseur mondial d'intelligence émotionnelle
L'intelligence émotionnelle est un choix et une discipline, pas une qualité innée propre à quelques
chanceux. Le Dr Travis Bradberry vous explique comment repérer les comportements caractéristiques d'un
faible QE et tirer parti de cette faculté.
Quand l'existence de l'intelligence émotionnelle (ou QE) a été révélée pour la première fois, elle est
apparue comme le chaînon manquant pour expliquer ce fait étrange: dans 70% des cas, des personnes au
QI moyen se montrent plus performantes que d'autres au QI plus élevé. Cette anomalie a totalement remis
en cause l'idée, globalement acceptée, selon laquelle le QI était l'unique cause du succès.

Aujourd'hui, des décennies de recherches désignent l'intelligence émotionnelle comme le facteur critique
différenciant les meilleurs éléments de la majorité. Le lien de causalité est si net que 90% des personnes
les plus performantes ont un quotient émotionnel élevé.

"Bien sûr, l'intelligence émotionnelle est plus rare que l'intelligence classique mais, selon mon
expérience, elle est en fait plus importante pour façonner un leader. On ne peut pas se contenter de
l'ignorer." – Jack Welch
LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ

L'intelligence émotionnelle, c'est ce "petit quelque chose" d'intangible en chacun de nous. Elle affecte notre
manière de nous comporter, de gérer les complexités de la vie sociale et de prendre les décisions
personnelles qui mèneront aux meilleurs résultats.

Malgré la grande importance du QE, son aspect intangible empêche bien souvent de savoir si l'on en à quel
point on en est pourvu et comment l'améliorer dans le cas contraire. Vous pouvez toujours faire un test,
validé scientifiquement, comme celui que je fournis avec le livre Emotional Intelligence 2.0.
Malheureusement, les tests de QE de qualité (scientifiques) ne sont pas gratuits. J'ai donc analysé les
données concernant les sujets testés par TalentSmart – plus d'un million de personnes – afin d'identifier les
comportements caractéristiques d'une faible intelligence émotionnelle. Ce sont ces réactions-là qu'il serait
judicieux d'éliminer.

1. Vous stressez facilement


Des sentiments refoulés ont vite tendance à faire naître tension, stress et anxiété. Les émotions que l'on
réprime mettent l'esprit et le corps sous pression. Une intelligence émotionnelle développée aide à gérer le
stress en vous permettant de repérer et de gérer les situations difficiles avant qu'elles dégénèrent.
Ceux qui ne se servent pas de leur intelligence émotionnelle risquent de recourir à des moyens moins
efficaces pour gérer leurs humeurs. Ils sont deux fois plus susceptibles de connaître l'anxiété, la
dépression, l'addiction et même les pensées suicidaires.

2. Vous avez du mal à vous affirmer


Les gens au QE élevé possèdent à la fois une bonne éducation, de l'empathie et de la bienveillance, mais
aussi la capacité de s'affirmer et de poser des limites. Cet équilibre délicat est l'idéal pour bien gérer les
conflits. La plupart des gens, quand on les contrarie, adoptent automatiquement une attitude passive ou
agressive. Les personnes émotionnellement intelligentes, elles, demeurent fermes et posées en évitant les
réactions émotives excessives. Cela leur permet de neutraliser les individus au caractère difficile, voire
toxique, sans s'en faire des ennemis.

3. Votre vocabulaire émotionnel est limité


Nous ressentons tous des émotions, mais seuls 36% des gens savent les identifier avec précision dès
qu'elles se produisent, selon nos études. Cela pose problème, car les émotions mal définies sont souvent
aussi mal comprises, ce qui entraîne des décisions irrationnelles et des actions contre-productives. Les
personnes au QE élevé contrôlent leurs émotions parce qu'elles les comprennent, et usent d'un lexique
émotionnel développé pour les décrire. Là où la majorité dira simplement qu'elle se sent "mal", les
personnes émotionnellement intelligentes sauront définir si elles sont actuellement "irritables", "frustrées",
"oppressées" ou "anxieuses". Plus les termes choisis sont précis, plus on est capable d'appréhender ce
que l'on ressent exactement, pourquoi et ce qu'il faut faire pour y remédier.

4. Vous portez des jugements rapides et les défendez avec véhémence


Les personnes au QE faible se font très vite une opinion, puis montrent un biais de confirmation, c'est-à-
dire qu'elles ne relèvent que les arguments allant dans leur sens, en ignorant tout élément contradictoire.
Le plus souvent, elles défendront leur position bec et ongles. Cette tendance est particulièrement
dangereuse chez les dirigeants, dont les idées irraisonnées définissent la stratégie de toute une équipe.
Les personnes émotionnellement intelligentes laissent le temps à leur réflexion de mûrir, conscientes que
leur première réaction est dictée par l'émotion. Elles permettent à leur pensée de se développer, tenant
compte des conséquences et des objections éventuelles. Puis elles communiquent l'idée ainsi élaborée de
la manière la plus efficace possible, sans oublier de considérer les besoins et les opinions de leurs
interlocuteurs.

5. Vous êtes rancunier


Les émotions négatives provoquées par une rancune tenace ne sont en fait qu'une réaction au stress. Le
simple fait de repenser à un événement précis provoque dans votre corps une réaction d'alarme, réflexe de
survie qui, face à une menace, vous pousse au combat ou à la fuite. Quand la menace en question est
imminente, ce mécanisme est essentiel pour votre sécurité; si elle est déjà ancienne, nourrir ce stress est
néfaste pour votre corps et peut même à long terme avoir de graves conséquences sur votre santé. En fait,
les chercheurs de l'université d'Emory ont démontré que nourrir des sentiments de stress était susceptible
de faire monter la tension artérielle et de provoquer des maladies cardiovasculaires. S'accrocher à sa
rancune, c'est s'accrocher à son stress, ce que les personnes émotionnellement intelligentes prennent
toujours soin d'éviter. Tourner la page, au contraire, offre non seulement un soulagement, mais aussi des
bienfaits pour votre santé.

6. Vous n'oubliez jamais vos erreurs


Les personnes émotionnellement intelligentes prennent du recul vis-à-vis de leurs erreurs, sans les oublier
pour autant. En gardant une distance raisonnable, mais pas au point de perdre les faits de vue, elles sont
en mesure d'adapter leur comportement afin de mieux réussir à l'avenir. Il faut une grande conscience de
soi pour trouver cet équilibre entre mémoire et rumination. Trop ruminer vos erreurs vous rendra anxieux et
craintif, alors que les oublier complètement vous condamnera à les répéter. C'est votre faculté à changer
vos erreurs en opportunités de progrès qui vous permettra de trouver un juste milieu. Elle vous rendra
d'autant plus apte à vous relever tout de suite après chaque chute.

7. Vous vous sentez souvent incompris


Quand on manque d'intelligence émotionnelle, il est difficile de comprendre comment les autres nous
perçoivent. Si vous vous sentez incompris, c'est parce que vous ne parvenez pas à faire passer vos
messages de manière intelligible pour autrui. Les personnes émotionnellement intelligentes savent que
même avec de l'expérience elles ne peuvent communiquer toutes leurs idées à la perfection. Elles
remarquent que leurs interlocuteurs ne comprennent pas ce qu'elles veulent dire, adaptent leur approche et
exposent leur pensée avec plus de clarté.
8. Vous ne connaissez pas vos points sensibles
On a tous des points sensibles: certaines personnes ou situations nous poussent à bout et provoquent chez
nous des réactions impulsives. Les personnes émotionnellement intelligentes analysent ces facteurs et les
anticipent en évitant les gens et les situations "à risque".

9. Vous ne vous mettez jamais en colère


L'intelligence émotionnelle, ce n'est pas être gentil. C'est savoir gérer ses émotions pour obtenir les
meilleurs résultats possibles, ce qui implique parfois de le montrer quand on est triste, frustré ou
bouleversé. Cacher constamment ses émotions sous un masque joyeux et positif n'est ni sincère ni
constructif. Les personnes émotionnellement intelligentes savent exprimer leurs émotions négatives ou
positives, en fonction de la situation.

10. Vous blâmez les autres pour les réactions qu'ils provoquent chez vous
Les émotions sont un processus interne. Il est tentant de pointer du doigt les actions des autres pour
justifier son état émotionnel, mais il vaut mieux en assumer la responsabilité. Personne ne peut vous forcer
à ressentir quoi que ce soit contre votre gré. Croire le contraire ne fera que vous freiner.

11. Vous vous vexez facilement


Quand on sait exactement qui on est, les autres ont bien du mal à dire ou faire quoi que ce soit qui puisse
nous faire sortir de nos gonds. Les personnes émotionnellement intelligentes sont dotées d'assurance et
d'ouverture d'esprit, ce qui les rend bien plus résistantes. Cela permet même de faire preuve d'autodérision
ou d'accepter plus facilement les plaisanteries des autres, si on est capable de faire la différence entre
humour et humiliation.

Les leçons à en tirer


Contrairement au QI, le QE est extrêmement malléable. Lorsqu'on entraîne son cerveau par la pratique
répétée de comportements émotionnellement intelligents, il bâtit les réseaux nécessaires afin de les rendre
automatiques. Plus le cerveau consolide l'usage de ces nouveaux comportements, plus les connexions

Sommaire
dont dépendaient nos habitudes néfastes disparaissent. Vous commencerez vite à faire preuve
d'intelligence émotionnelle en réaction à votre environnement, de manière tout à fait naturelle.

N'hésitez pas à vous exprimer dans un commentaire: je m'enrichis tout autant à votre contact que vous au
mien. Si vous voulez en savoir davantage sur l'intelligence émotionnelle, mon livre Emotional Intelligence
2.0 est un bon point de départ.

 https://www.penser-et-agir.fr/gerer-ses-emotions/

Gérer ses émotions pour résoudre les problèmes : voici


les astuces qui marchent !

Les émotions ne sont pas uniquement des états que nous sommes contraints de subir. Il y a quelques

semaines, je vous ai parlé de l’intelligence émotionnelle et l’un des aspects de celle-ci consiste

à gérer ses émotions.


Les émotions peuvent nous aider à résoudre un problème, à prendre une décision, pour peu qu’on y

prête suffisamment attention et qu’on écoute ce qu’elles ont à nous dire. Par leur manifestation, les

émotions visent avant tout à apporter des informations. Il faut les décoder et s’en servir dans les

situations de la vie quotidienne ou au travail.

Voici quelques étapes à suivre pour mieux utiliser vos émotions et développer vos capacités en la

matière.

Gérer ses émotions : commencez par apprendre à les


reconnaître
Dans le flot continu des actions quotidiennes et des obligations, on oublie souvent l’essentiel, son

propre bien-être.

La toute première étape pour gérer ses émotions consiste à être attentif à son propre état émotionnel.

Plutôt que de subir ses émotions, il est possible d’anticiper les choses en étant davantage conscient

de l’émotion qui naît en soi. Maîtriser ses émotions est donc avant tout un acte d’introspection.

Face à une difficulté ou une situation qui suscite en vous des sentiments, posez-vous les questions

suivantes :

 Qu’est-ce que je ressens en ce moment face à ce défi ?


 Avec quelle intensité l’émotion que je ressens se manifeste-t-elle ?
Un cas de figure pour illustrer
Supposons que votre responsable hiérarchique vous demande régulièrement de réaliser une tâche de

toute urgence alors que vous êtes déjà submergé. Vous êtes obligé de laisser ce que vous êtes en

train de faire, au risque de prendre du retard sur des dossiers importants. Votre responsable ne

tardera pas à vous reprocher par la suite.

Dans ce contexte, que ressentez-vous ? Et avec quelle intensité ? Cela vous met-il en colère, vous

rend-il irritable ?

Dans ce type de situation, vous pourriez fermer les yeux sur ce que vous ressentez… vous dire que le

monde du travail est ainsi fait ! Ou alors, vous pouvez considérer que ce type de demande arrive trop

fréquemment. Du coup, il est difficile de maîtriser ses émotions, puisque l’envie vous vent d’exploser.
TÉLÉCHARGER
Dans le premier cas de figure, vous subissez complètement vos émotions. Le problème risque de

s’accroître sans que vous ne compreniez ce qui se passe. Dans le second cas, vous vous rendez

compte que la situation empire au fil du temps. Vous comprenez exactement ce qui se passe en vous,

et vous pouvez agir. Cette façon de faire aide à mieux contrôler ses émotions, et à prendre la bonne

décision.

Pour contrôler ses émotions, on commence donc toujours par les accepter. Vous êtes furieux,

heureux, frustrée, irritée, ébahie, ou enjouée ? Il faut le reconnaître pour bien agir.

2ème étape pour gérer ses émotions : interpréter


correctement le message

La prochaine fois que vous ressentirez de la colère, de la peur, de la jalousie ou de la joie… ne

cherchez pas simplement à savoir comment maîtriser ses émotions. Demandez-vous plutôt : Quel

besoin se cache derrière ce sentiment?

Ces instants d’introspection personnelle permettent de prendre un peu de recul par rapport à

l’émotion, de recueillir certaines informations sur ses besoins et attentes.

Les émotions négatives sont souvent le signe qu’il vous manque quelque chose d’essentiel dans votre

vie, dans votre environnement ou que vous ne tenez pas compte d’un besoin fondamental.

La prise en compte de ses propres besoins et désirs vous permettra de prendre de bonnes

décisions. Vous percevrez la situation sous un angle nouveau. Vous imaginerez une issue plus

sereine et positive à votre situation.

Précisons
vous faites toujours une scène à votre homme quand il rentre après 21 heures. C’est sans doute

parce que vous êtes jalouse. Mais pourquoi l’êtes-vous ? Que révèle cette jalousie ? Serait-ce

parce qu’il a une attitude équivoque envers d’autres femmes ? Est-ce parce que vous manquez de

confiance en vous et avez besoin d’être rassurée ? Ou alors, est-ce parce que vous êtes
possessive ? Celui qui trouve l’origine d’un sentiment récurrent contrôle ses émotions plus

efficacement.

3ème étape pour la gestion de ses émotions : exploiter


ces sentiments pour progresser

Maîtriser ses émotions est un travail quotidien. En effet, on les ressent tous à différents moments du

jour. Il faut donc s’en servir pour mieux vivre. Lorsqu’une émotion est joyeuse, elle peut vous booster

et favoriser le bien-être. Mais certaines émotions comme la peur, le sentiment d’insécurité ou la colère

exigent de résoudre un problème.

Contrôler ses émotions suppose que vous tentiez de résoudre un problème lorsque celle-ci est

passée. Vous savez sans doute que dans la colère, nous disons ou faisons des choses que nous ne

pensons pas. Certaines actions qu’on pose sous le coup de l’émotion peuvent nous porter préjudice.

Alors n’oubliez pas d’utiliser vos émotions intelligemment pour faire la part des choses.

Ceci est valable quelle que soit l’émotion ressentie. Dans un moment de joie euphorique, vous pouvez

faire une promesse que vous regrettez ensuite. Lorsque vous êtes furieux ou jaloux, vous pourriez

blesser vos proches, ou même commettre un crime.

Apprenez donc à agir quand vous êtes suffisamment calme. Si vous avez du mal à exploser par

jalousie, prenez des mesures concrètes : sortez prendre de l’air au lieu de vous disputer avec votre

conjoint. Réfléchissez avant de punir votre enfant au lieu de lui lancer des insultes au visage. Utilisez

les astuces qui suivent pour maîtriser ses émotions quand celles-ci vous submergent. N’oubliez pas

qu’en France, la jalousie est une motivation courante à l’origine de nombreux délits.

Sommaire

Combattez les émotions néfastes !


Certaines émotions profondément ancrées en nous sont en fait des carences, qui indiquent que nous

avons besoin de nous reconstruire affectivement. Pour gérer correctement vos émotions, commencez

par lutter contre ces tendances émotives qui peuvent être destructrices. Il s’agit notamment de :

 L’instabilité: les personnes instables passent d’un sentiment extrême à l’autre. Elles alternent des
périodes de déprime et de bonne humeur. Dans ces conditions, elles peuvent faire preuve
d’imprudence au volant, et devenir irascibles et difficiles à vivre. Une instabilité chronique de ce
type est parfois l’indice d’une maladie psychologique plus profonde comme la schizophrénie. Si
vous constatez que votre humeur est très instable, prenez des mesures concrètes pour vous faire
aider. Autrement, vous aurez beaucoup de mal à gérer vos émotions.
 L’anxiété: une personne anxieuse s’inquiète de tout, et devient vite une plaie pour ses proches et
ses collègues. J’ai grandi avec une tante qui était si anxieuse qu’elle se rendait dans notre salle
pendant les heures de cours, pour s’assurer que son fils allait bien ! Celui qui n’apprend pas à
réduire son anxiété aura toujours du mal à gérer ses émotions. Les 5 étapes contenues dans cet
article permettent justement de venir à bout de cette tendance maladive !
 L’impulsivité : une personne impulsive trahit un manque de patience. En cas de conflit, elle ne
prend donc jamais le temps d’écouter l’autre partie. Une personne aussi réactive conduit de façon
dangereuse, parce qu’elle se laisse dominer par sa colère. Celui qui veut contrôler ses émotions
plus efficacement devrait commencer par être un peu moins impulsif et sanguin.

À vous de jouer !
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Pour vous, gérer ses émotions est-il quelque chose d’évident ou de totalement inconnu ? Comment

percevez-vous la façon dont vous pouvez utiliser vos émotions pour résoudre des problèmes ou faire

face à une situation en particulier ?

 https://deman-hypnose.com/l-hypnose/les-applications/gerer-ses-

emotions/

Hypo- ou hyper-sensible
Face à un évènement soudain et inattendu, il peut arriver de perdre son sang froid ou d’avoir les
nerfs qui lâchent ; c’est naturel et tout à fait compréhensible. Mais quand des émotions intenses
et incontrôlables surgissent de manière intempestive, parfois sans qu’on puisse même en trouver
les causes, c’est fatiguant. Au contraire lorsqu’aucun évènement, aussi dramatique soit-il, ne
provoque la moindre émotion, avoir conscience de ce « décalage » peut faire naître un sentiment
de culpabilité.
Dans certaines situations, avoir un excès d’empathie ou d’apathie peut engendrer des effets
indésirables sur notre moral et nos relations sociales. Gérer ses émotions requière une bonne
maîtrise de soi, qu’il est souvent difficile d’obtenir par le seul effort de la conscience. Pour de
meilleurs résultats, il est utile d’apprendre à canaliser ses émotions au niveau de l’inconscient.

Des émotions qui vous ressemblent


Dans une situation donnée, quelle réaction émotionnelle est la plus adéquate et la mieux
proportionnée ? Évidemment, toute réponse à cette question serait subjective. Nous réagissons
tous différemment face aux aléas de la vie, chacun possède une personnalité qui lui est propre et
qu’il convient de respecter.
L’hypnose s’emploie pour rééquilibrer la sensibilité émotionnelle subconsciente, dans le but
d’offrir une réaction émotionnelle adéquate et proportionnée dans chaque situation. En vous
reconnectant à votre sensibilité émotive profonde, vous rétablissez une émotivité qui vous
corresponde vraiment et qui participe à votre épanouissement personnel.
Quelques exemples concrets :

 Maîtriser sa colère : quand quelque chose vous irrite, sachez comment le signifier sans
exploser de rage ni vous laisser ronger de l’intérieur.
 Gérer son stress : la frontière est ténue entre un stress qui dynamise et un stress qui
épuise. Apprenez à mettre votre stress au service de votre efficacité et à ne plus
mélanger stress du travail et stress de la maison.
 Ressentir ses émotions : autorisez-vous à pleurer, à rire, à être déçu, à aimer, à vous
émerveiller,… Soyez en phase avec vous-même et avec les autres.
 Prendre du recul : quand une émotion vous saisit, ne vous laissez pas submerger,
libérez le trop-plein et dosez votre émotion à sa juste mesure, en chaque situation.

*******************************************************************

GERER LE PASSE

Les sites de référence :


http://www.psychologies.com
https://nospensees.fr/

http://www.doctissimo.fr/

Recherche 1 > Pourquoi vivre dans le passe ?

Recherche 2 > Etapes pour ne plus vivre dans le passe

Recherche 3 > Faire la paix avec son passe

Recherche 4 > comment oublier son passe ?

 http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-
personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Je-vis-dans-le-passe

Pourquoi ?
Feuilleter les albums photo de son enfance, évoquer ses souvenirs de lycée
entre anciens élèves, se rappeler ses amours passées, autant de façons de «
prendre conscience de ce que l’on a été et de ce que l’on est devenu, explique
la psychothérapeute Catherine Aimelet-Périssol (auteur de Comment
apprivoiser son crocodile Robert Laffont 2002). Se référer au passé permet de
se repositionner dans le présent et d’anticiper le futur. »

Quel qu’il soit, heureux ou malheureux, le passé est toujours un espace dans
lequel on se reconnaît, une bulle rassurante. Le risque ? Ne plus pouvoir s’en
détacher. Dès lors, on ampute une part de sa personnalité en restant sur ses
acquis et en ne développant pas son potentiel.

Refuser ses émotions


Renoncer au passé, c’est en faire le deuil, un processus émotionnel qui se
décline en plusieurs phases. D’abord le déni : refuser de croire que ce qui a
été ne sera plus. Puis la colère : en "vouloir" au temps qui passe. Ensuite la
peur : « Que va-t-il se passer maintenant ? » Enfin l’acceptation, qui aboutit…
au renoncement. « Les personnes qui vivent accrochées au passé n’arrivent
pas à suivre ce processus, parce qu’elles refusent leurs émotions », explique
le psychothérapeute Olivier Nunge. Selon lui, cette attitude tient souvent à
l’éducation que l’on a reçue enfant : c’est la petite fille à qui l’on a interdit de se
mettre en colère ou le petit garçon à qui l’on a répété qu’« un homme ne doit
pas avoir peur ».

« Tout le monde n’a pas eu la possibilité de faire un juste apprentissage de


ses émotions, c’est-à-dire de les recevoir et de les exprimer quand elles se
présentent à lui. » Résultat : des individus "coincés" dans une émotion –
colère, ressentiment… – et incapables de la dépasser.

Sommaire

Refuser d’oublier
Bien souvent, rester prisonnier de son passé est la preuve que certaines
choses n’ont pas été réglées, qu’un fort traumatisme n’a pas été "digéré" à
temps. Il nous tire vers l’arrière et nous empêche d’avancer. Si le travail de
deuil est toujours difficile à faire, c’est aussi parce qu’il renvoie à la notion de
"finitude", de révolu et, par extension, à l’idée de notre propre mort. Mais aussi
parce que, dans le cas de la disparition d’un proche, par exemple, on pense
que "faire le deuil" reviendrait à "oublier", ce que l’on se refuse à faire.
Inconsciemment, on s’efforce donc de faire survivre cet autre en restant tourné
vers lui, dans le passé.
Refuser la séparation
Derrière l’incapacité à tourner la page se cache une difficulté à "rompre", à
"partir". Les psychanalystes l’apparentent à l’angoisse infantile de la rupture
avec la mère, premier deuil auquel l’enfant est confronté. Quand ce deuil n’a
pas été correctement assimilé, on cherchera, à travers la régression, à se
replonger dans cette relation fusionnelle, soit parce que l’on a le sentiment
d’en avoir été privé, soit parce que, au contraire, on n’en est jamais sorti.
L’absence, réelle ou symbolique, du père en est souvent la cause.

En effet, c’est lui qui, en s’interposant dans la relation mère-enfant, incite ce


dernier à sortir de cette fusion pour se tourner vers le reste du monde. Et c’est
donc lui qui, indirectement, l’aide à s’inscrire dans le présent et à se projeter
vers l’avenir. Qu’il vienne à manquer, et l’enfant restera "collé"
symboliquement à sa mère. Adulte, il vivra avec l’idée qu’« avant, c’était
toujours mieux ».

Témoignage
Annabelle, 40 ans, documentaliste
« A l’âge de 25 ans, j’ai vécu une histoire d’amour, qui s’est soldée par une
rupture brutale après sept ans de vie commune. Je n’avais rien vu venir :
l’homme que j’aimais passionnément est parti du jour au lendemain,
emmenant ses affaires et la plupart des meubles que nous avions choisis
ensemble. Il m’a fallu des années pour m’en sortir. Je ne pensais qu’à lui,
revoyais les moments que nous avions passés ensemble, rêvais de le
rencontrer à nouveau…

L’amour, pour moi, ne pouvait se conjuguer qu’au passé. J’ai dû entrer en


thérapie pour parler de cet homme qui m’obsédait et comprendre ce que je ne
voulais pas “lâcher”. Il y a peu de temps, Je l’ai rencontré en bas de ma rue. Il
était vieilli, avait un peu grossi, et m’a évitée en chuchotant : “Je ne peux pas
te parler, ma femme est très jalouse…” Le revoir ainsi a eu un effet radical :
j’ai enfin tiré un trait sur ce passé idéalisé. »

Se libérer du connu de Jiddu Krishnamurti.


Une exhortation à vivre le présent dans sa totalité, par l’un des plus grands
maîtres contemporains de la spiritualité orientale (LGF, 1995).

Vivre corporellement dans le présent


Le carpe diem n’est pas une pensée, mais une pratique : vivre l’instant
présent, c’est s’y sentir physiquement inscrit. La pratique du sport, la marche,
les exercices de relaxation, la maîtrise de sa respiration, l’éveil des sens…
Toutes ces activités permettent de se réapproprier son corps et de prendre
pleinement conscience de son existence dans l’ici et maintenant.

Créer
La création artistique permet de s’inscrire dans le temps. L’objet que l’on peint
ou sculpte porte la marque d’un progrès auquel on peut se référer pour
prendre conscience de sa propre évolution. La création est également un
moyen efficace de reprendre confiance en soi : elle nous fait découvrir que l’on
peut produire de la nouveauté.

Lister ses peurs


Il est impossible de prévoir et de se prémunir contre tous les risques que l’on
encourt lorsque l’on fait des projets. Mais lister ses peurs, même les plus
futiles, permet d’avoir une vision plus claire et moins angoissante de l’avenir.
On ne l’envisage plus alors sous le coup de l’émotion mais de la raison.

Se libérer du passé
La nostalgie dépend d’une tendance naturelle à idéaliser le passé. L’endroit,
l’ambiance, les sensations associées au souvenir sont magnifiés. Revisiter les
lieux qui nous hantent peut nous libérer de l’image idyllique que l’on en a
gardée. Dans certains cas, ce sera aussi l’occasion de régler ses comptes
avec d’autres éléments de ce passé et de repartir sur des bases saines.

 https://nospensees.fr/ne-lachez-passe-pouvez-saisir-futur/
3 étapes à franchir pour ne plus vivre dans le passé

Il existe de nombreuses façons de lâcher le passé et de s’en défaire, de


laisser de côté les mauvais souvenirs et de faire place au fameux « carpe
diem » afin de vivre le moment présent, ici et maintenant.
Vous êtes-vous déjà arrêté pour penser à ces beaux moments de bonheur
que vous vivez chaque jour ?
Une conversation avec un ami, un sourire échangé avec votre
compagnon/compagne, un câlin de votre enfant, etc.
Le fait de penser à ces actes ne suffit pas. Vivez-les lorsqu’ils se produisent,
ne cédez pas à la distraction, rangez votre téléphone portable, éteignez la
télévision et écoutez comment sonne ce présent qui vous entoure, profitez-
en avec vos cinq sens.

« Si le présent essaie de juger le passé, il perdra le futur »


-Winston Churchill-
Pour profiter du présent et voir le futur, on doit lâcher ce passé auquel on
s’attache si souvent et sans raison. Laissez-le aller, mettez-le de côté et
continuez à vivre. Votre vie n’attend que d’être vécue.

Lisez la suite de cet article, et vous découvrirez 3 étapes simples qui, si vous
les franchissez, vous permettront de ne plus vivre dans le passé :

Accepter
Le passé ne peut pas changer, contrairement au présent et au futur.
Alors, acceptez ce qui est arrivé et libérez-vous de la culpabilité que
vous portez sur vos épaules et qui vous empêche d’envisager le futur ainsi
que de vivre le moment présent.
L’acceptation est fondamentale si l’on veut affronter les problèmes de front.

Apprendre
Dans la vie, on peut tirer une leçon de chaque expérience passée. On sait
déjà ce qu’on ne doit pas reproduire, et ce que l’on doit éviter.
Si on commet de nouveau la même erreur que dans le passé, il ne
s’agira alors plus d’une erreur, mais d’un choix.

Si vous aviez le choix, que préféreriez-vous ; rester ancré dans vos


souvenirs, ou exploiter chaque seconde du moment présent ?

Pardonner
Souvent, on ne parvient pas à pardonner une personne qui nous a fait du
mal ou un ami qui nous a trompé.
Généralement, avec le temps, la rancune finit par s’atténuer et se diluer, car
pardonner, c’est une façon de dépasser cette paix avec nous-même et avec
les autres.
Pardonnez les autres, mais pardonnez-leur vraiment, sans fausseté, et
pardonnez-vous également à vous-même.
Il n’y a que de cette façon que vous vous libérerez des chaînes qui vous
attachent à un passé que vous ne pouvez pas changer.
Saisissez le futur
Octroyez-vous le droit de rêver, respirez un bon coup, pensez à la vie
future que vous aimeriez vivre, et faites votre possible et votre impossible
afin que vous rêves deviennent réalité.
Fixez-vous un objectif, ainsi que les étapes à franchir afin de l’atteindre. A
quoi ressemble la maison où vous aimeriez vivre ? Les lieux que vous
voudriez visiter ? Le travail que vous aimeriez avoir ? Votre
compagnon/compagne idéal(e) ?
Si vous vous posez toutes ces questions et que vous pensez que tout
dépend de la chance ou des autres, vous vous trompez complètement,
car la seule personne capable de réaliser vos rêves, c’est vous-même.
Personne ne viendra sonner à votre porte et vous offrir le travail de vos
rêves, l’homme ou la femme dont vous avez toujours rêvé ne tombera pas
nez à nez avec vous un beau jour, tout comme cette maison au bord de la
mer dont vous rêvez tant n’apparaîtra pas comme par magie.
Sortez et saisissez le futur ! Une fois vos objectifs fixés, pensez à toutes
les étapes à franchir afin de les atteindre, élaborez un calendrier et planifiez
tous les détails.
Chaque période de votre vie contrôle vos progrès et corrige les erreurs
commises. Tenez-compte du fait qu’un objectif doit être clair et concis,
mesurable et réaliste.
« Le futur a beaucoup de noms. Pour les faibles, c’est l’insaisissable. Pour
les téméraires, l’inconnu. Pour les courageux, c’est l’opportunité »
-Victor Hugo-

 http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dans_sa_peau/15875-
souvenirs-douloureux.htm

Faire la paix avec son passé, c'est


possible !
VOIR AUSSI

 Les secrets du bonheur


 Changer son comportement
 Types de personnalité
On a beau savoir que la clé du bonheur réside dans l'instant présent, le passé n'a de cesse de hanter nos pensées. Eprouver
des regrets, de la nostalgie ou tenter de remiser le passé au placard n'y change pas grand-chose. Il vient s'immiscer dans nos
relations amoureuses et notre vie professionnelle, et pas toujours pour le meilleur ! Comment s'en libérer ? Découvrez nos
pistes.
Un ex qu'on aimerait n'avoir jamais rencontré, une soirée d'anniversaire qu'on préfèrerait oublier, des mots qu'on n'aurait jamais dû
prononcer… Ils sont nombreux les épisodes qu'on souhaiterait effacer de notre mémoire, un peu comme dans le film " Eternal Sunshine
of the Spotless Mind". Mais dans la "vraie vie", ce n'est pas si simple. La preuve, ils refont parfois surface sans crier gare : un nouvel
amoureux qui adore Hitchcock comme votre ex, une amie qui vous invite dans sa maison de campagne à côté d'un patelin où vous avez
passé les pires années de votre vie… Alors comment on s'y prend avec les souvenirs pour éviter l'effet boomerang ?

Mais qu'est-ce que le passé en réalité ?


Le passé n'est pas constitué d'unités d'informations, auxquelles nous aurions librement accès. Chaque événement que nous vivons nous
transforme définitivement, particulièrement ceux chargés d'émotions. Un phénomène qui s'explique par les neurosciences.

" Il existe un lien entre la mémorisation et les émotions, qu'elles soient agréables ou désagréables" explique Jean-Louis Monestés, docteur
en psychologie et psychothérapeute. D'un point de vue adaptatif, on se souvient d'événements inhabituels associés à un danger, de façon
à être en alerte si une situation analogue se représente, pour ne pas commettre les mêmes erreurs.

A l'inverse, d'autres évènements plus agréables jouent le rôle de renforcement. On se souvient bien des lieux, des personnes, des
situations qui sont associés à un sentiment de bien-être et à une sensation de sécurité. S'en souvenir permet de chercher à les reproduire.
En règle générale, ce qui est de l'ordre du banal ou devenu habituel, suscite peu d'émotions, nous marque moins.

Regretter ou tenter d'oublier : deux impasses


Echecs, ruptures, voyages qui se transforment en cauchemar… Face à des souvenirs douloureux, il existe généralement deux types de
comportements :

 Certaines personnes cultivent une certaine nostalgie : à la clé des regrets, des remords, c'est le temps des "si j'avais su" ou "j'aurais dû",
avec le vain espoir de reconstruire le passé.
 D'autres procèdent plutôt par évitement, mobilisant une énergie incroyable pour oublier, comme si ça n'avait pas existé. Ce qui a pour
effet de produire le résultat inverse : plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l'oublier, plus il revient en force malgré
nous. En cherchant à effacer un souvenir, on le renforce. En cherchant à le supprimer, on nourrit le feu.

Mais il existe une 3ème voie.

Nos souvenirs sont de bons guides


" Nous sommes tous plus ou moins piégés par l'illusion que nous pouvons contrôler nos souvenirs" déclare Jean-Louis Monestés. Or, plus
nous tentons de maîtriser l'impact de "l'ancien" sur nos vies et moins nous laissons de place au nouveau. Il y a comme une sorte de
compétition entre les deux…
Nos souvenirs ne sont pas nos ennemis, lutter contre eux ne peut que nous empêcher d'avancer. " A l'opposé de cette fâcheuse habitude
que nous avons tous, nous pouvons cesser de considérer nos souvenirs comme nos ennemis, et en accepter la trace que nous en portons,
pour s'apaiser" propose le psychologue. Le but est de prendre conscience de nos pensées, de nos émotions et donc de nos souvenirs
même les plus désagréables. Ce faisant, il est possible de parvenir à une régulation émotionnelle.

En ce qui concerne des souvenirs dits "traumatiques" (viols, accident, etc.) il est absolument recommandé de faire appel à un
professionnel. De nouvelles thérapies dites "thérapies de la pleine conscience" et "thérapie d'acceptation et d'engagement" donnent de
bons résultats. Toutefois pour les souvenirs plus anodins, néanmoins capables de parasiter notre vie, voici quelques pistes intéressantes
à suivre.

Faire la paix avec son passé en pratique

1. ACCEPTEZ LES SOUVENIRS, COMME FAISANT PARTIE DE VOUS.


Une musique qui vous rappelle votre ex, une robe sur une collègue qui vous évoque celle qui vous a piqué votre projet…
Cet événement a réellement fait partie de votre vie, et il vous a sans doute transformé(e). L'idée principale consiste à faire corps avec ses
souvenirs. Ce qui demande de prendre pleinement conscience des vagues qu'ils créent encore en vous, et c'est le plus difficile. En se
laissant traverser, sans s'y identifier, il est possible de prendre du recul.

2. CESSEZ D'ÉVITER LES SITUATIONS EN LIEN AVEC CE SOUVENIR.


Un lieu, un livre, un centre d'intérêt… de nombreux éléments sont reliés à un souvenir douloureux. Eviter d'être en contact demande de
mobiliser beaucoup d'énergie en réalité. Lâchez prise et si vous vous y retrouvez confrontés, rien ne vous empêche d'y associer de
nouvelles sensations, émotions…positives cette fois !

********************************************************************
 https://nospensees.fr/oublier-souvenirs-tristes-negatifs/

« Si vous n’avez pas entre vos mains le pouvoir de changer une situation qui
vous provoque une douleur, vous pourrez toujours choisir l’attitude avec
laquelle vous ferez face à cette souffrance. »
(Viktor Frankl)

Tout au long de notre existence, nous vivons des situations ou des


circonstances douloureuses qui restent dans nos mémoires comme
des souvenirs que nous n’arrivons pas à oublier, conditionnant ainsi
notre comportement et notre façon d’être.
Ces situations douloureuses peuvent être très différentes: la mort d’un être
cher, un cœur brisé, un échec dans le travail, etc.
Si vous vous arrêtez un moment pour réfléchir à ce qui vous arrive, vous
vous rendrez compte que, dans une même journée, vous vivez de
nombreuses situations joyeuses et agréables.
Un baiser de votre enfant, un appel téléphonique d’une personne avec qui
vous n’avez pas parlé depuis longtemps, manger votre gourmandise
préférée, lire quelques pages d’un livre qui vous génère une grande émotion,
etc.
La vie passe à grande vitesse et nous fait oublier les moments
précieux, que nous avons devant nos yeux et que nous ignorons.
Une bonne idée est de chérir ces moments et d’essayer de se rappeler la
sensation qu’ils provoquent en nous, pour pouvoir la ressentir de nouveau
lorsqu’un souvenir négatif nous revient.

Comment pouvons-nous oublier un souvenir


négatif ou triste?
Plusieurs scientifiques des universités de Birmingham et de Cambridge ont
publié une étude dans la revue Nature Neuroscience, dans laquelle ils ont
exposé comment ils ont réussi à isoler les mécanismes du cerveau avec
lesquels nous oublions et nous nous souvenons.
Grâce à une IRM, ils ont mesuré l’activité cérébrale d’un groupe de
volontaires, auxquels on a demandé de se rappeler des images qui leur
avaient été montrées. Grâce à cette technique, ils ont pu connaître au niveau
neuronal, les souvenirs qui ont été effacés et ceux qui ne l’ont pas été.
Le Dr. Michael Anderson, un des co-auteurs de l’étude, explique: « Les gens
sont habitués à penser à l’oubli comme quelque chose de passif. Notre
recherche montre que les personnes sont plus engagées que ce qu’elles
croient dans l’élaboration de leurs souvenirs.
L’idée que le fait de se souvenir peut provoquer l’oubli est surprenante, et
cela pourrait nous en dire plus sur la mémoire sélective »
Par conséquent, nous contrôlons nos souvenirs et nos oublis, et pour cette
raison, nous vous proposons de suivre trois étapes simples pour
apprendre à contrôler les mauvais souvenirs:
– Accepter. Nous devons être conscients que nous ne pouvons pas
changer le passé, mais nous pouvons changer le présent et l’avenir.
Alors vivez votre présent en acceptant le passé et en le laissant derrière
vous s’il vous a fait souffrir, et préparez un avenir libre de toute culpabilité
afin de profiter de chaque instant de votre vie.
– Apprendre. Peu importe à quel point ils sont négatifs, nos souvenirs
contiennent toujours un enseignement.
Le fait de réfléchir sur les enseignements que nous donnent nos souvenirs,
nous aidera à associer un souvenir négatif ou triste à un enseignement utile
pour notre avenir.
« Parfois, on gagne … Parfois, on apprend. »
(Robert Kiyosaki)

– Pardonner. Pardonnez aux autres et surtout pardonnez-vous à vous


même. Nous avons toujours des moments nouveaux et passionnants à
vivre, donc pardonnez et allez de l’avant. Nous commentons tous
des erreurs et il est inutile de se martyriser pour cela.
Enfin, nous vous proposons trois techniques simples à pratiquer pour
vous aider à oublier ces souvenirs négatifs ou tristes qui vous
assaillent parfois.
L’une des ressources les plus simples et utiles est d’écrire. L’écriture est
quelque chose de profondément thérapeutique et en écrivant, nous
pouvons mettre en lumière tout le négatif que nous avons dans notre esprit.
Écrivez de manière automatique tout ce qui vous vient à l’esprit, ne vous
arrêtez pas à penser et laissez couler l’encre sur le papier. Vous vous
rendrez compte que lorsque vous aurez fini d’écrire, vous vous sentirez
mieux.

Le psychologue argentin Walter Riso suggère dans son livre « Manuel pour
ne pas mourir d’amour » une technique pour oublier un ex, qu’il appelle « La
technique du stop ».
Chaque fois que nous viennent à l’esprit des souvenirs de cette
personne, il faut taper dans nos mains et dire à haute voix: STOP!
Cela nous permettra de faire un arrêt dans nos pensées, qui vont se
désordonner et nous donner alors une pause. Ce n’est pas une technique
infaillible, mais comme le dit Riso, cela soulage.
Enfin, une pratique très utile pour nous détendre et contrôler nos pensées,
nos souvenirs et nos sentiments est le mindfulness.
Le mindfulness peut être défini comme une technique de méditation
qui consiste à placer une pleine conscience dans le moment présent,
sans jugement, avec acceptation et curiosité.
D’autre part, la méditation est un exercice intellectuel qui vise à atteindre un
état de concentration sur une pensée, un objet ou nous-mêmes, à travers la
respiration, par exemple.
La pratique du mindfullness nous montre qu’un plein état d’attention et
de conscience peut nous aider à réduire le stress, à être plus créatifs et à
évaluer les situations avec plus d’objectivité pour mieux profiter de ce que
nous faisons et ainsi entraîner notre résistance face à nos émotions.
Par conséquent, laissez vos mauvais souvenirs derrière vous, suivez le
chemin de votre vie et profitez-en au maximum!

EJACULATION PRECOCE

Les sites de référence :

http://www.durerpluslongtemps.fr

https://nicoleaudette.com/

Recherche 1 > Cause de éjaculation précoce

Recherche 2 > contrôler l’éjaculation précoce

Recherche 3 > Thérapie éjaculation précoce

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 http://www.durerpluslongtemps.fr/causes-ejaculation-precoce

Les principales causes de l'éjaculation


précoce

30% des hommes seraient touché par l'éjaculation précoce


D'après une récente étude, près d'un homme sur trois est concerné par
l'éjaculation précoce au moins une fois dans sa vie. Un homme éjaculateur
précoce est plus facilement excitable que la moyenne, ce qui lui fait perdre
le contrôle de son éjaculation.
Souvent d'origine psychologique, l'éjaculation précoce est sans gravité et
peut être traité facilement avec une méthode complète ou des exercices
adaptés.

On parle d'éjaculation précoce quand l'éjaculation survient rapidement et


surtout lorsqu'elle n'est pas contrôlée ni désirée. On peut caractériser
l'éjaculation précoce selon deux types :

 L'éjaculation précoce est dite primaire si l'homme y à toujours été sujet


 L'éjaculation est dite secondaire si le problème est apparu subitement

L'éjaculation précoce : un problème gênant aux causes mal connues


La cause principale de l'éjaculation précoce est souvent lié à un problème
psychologique. De mauvaises habitudes prises lors des premières années
de vie sexuelle peuvent être à l'origine de l'apparition de l'éjaculation
précoce...

Le fait de se masturber rapidement en secret peut entrâiner l'habitude


chez l'homme d'éjaculer rapidement. C'est d'autant plus vrai, si l'homme
souhaite simplement relâcher la tension plutôt que par simple plaisir. Son but
est d'arriver à la détente et non de faire monter l'excitation.

Les rapports sexuels précipités peuvent également favoriser l'éjaculation


précoce. D'une manière générale, la tension nerveuse liée au manque de
temps et à la crainte d'être surpris tend à précipiter l'éjaculation. Prenez votre
temps, ce n'est pas une course !

Des rapports sexuels peu fréquents ou encore le manque


d'expérience peuvent aussi être des causes de léjaculation précoce. Lors
du rapport, l'excitation est si forte qu'elle peut difficilement être contrôlée. En
fait, l'éjaculateur précoce ne contrôle pas complètement son excitation, et
donc son éjaculation. Cela s'arrange lorsqu'on commence à pratiquer plus
souvent !

Être nerveux, stressé ou encore tendu pour une quelconque raison


augmente également les risques d'éjaculer rapidement. Comme par
exemple, le stress des premiers rapports sexuels est aussi une cause
courante de l'éjaculation précoce. De même, la peur de ne pas être à la
hauteur, amplifie l'angoisse de l'homme avant chaque. Le manque de
performance peut entrainer l'homme dans un cercle vicieux, et donc
d'éjaculer précocement.
Ejaculateur précoce : l'entrainement retarde l'éjaculation
Il n'y à pas de secret, pour retarder l'éjaculation précoce il faut s'entrainer.
Soit en suivant une méthode complète, soit en essayant des exercices pour
s'entrainer à éjaculer moins vite. Retenez votre excitation lorsque vous vous
sentez proche de l'éjaculation peut pour prolonger le plaisir et retarder
l'éjaculation. Vous pouvez également essayer les 3 exercices pour
renforcer son muscle PC. En suivant ces exercices, vous allez améliorer
vos performances sexuelles et ainsi retarder le moment fatidique de
l'éjaculation.

3 exercices pour contrôler votre éjaculation


précoce

L’éjaculation précoce est un vrai problème qui touche beaucoup d’hommes.


Et si vous avez déjà essayé de tenir plus longtemps au lit sans succès, voici
3 exercices que vous pouvez essayer pour mieux contrôler votre
éjaculation précoce…

Exercice #1 : La technique de la respiration


Durant le rapport, il est essentiel de vous concentrer sur votre respiration.
Respirez lentement et de manière continue, car une respiration rapide peut
être très excitante et vous amener à éjaculer. Si vous êtes dans un état calme
et détendu, vous avez beaucoup plus de chances de durer plus de temps
avant d’éjaculer. Cette technique aura d’autant plus d’impact sur vous si votre
éjaculation précoce est due à votre stress ou votre anxiété. Alors, détendez-
vous ! Ce n’est pas une course…

Exercice #2 : La technique du stop and go


Lors du rapport, l’homme doit s’arrêter au moment où il sent l’imminence de
l’éjaculation. Après que l’excitation soit passée, l’homme peut reprendre le
rapport et ainsi durer plus longtemps. C’est la technique du stop and go.
Cette technique peut être utilisée de plusieurs fois pendant l’acte et, avec
assez de pratique, vous allez obtenir assez de contrôle et de puissance, pour
pouvoir avoir des rapports sans l’utiliser.

Exercice #3. La technique du squeeze


De même, lorsque vous sentez l’éjaculation arriver, vous pouvez la contrôler
en pressant à la base de votre pénis, au niveau du frein, jusqu’à ce que
l’envie passe. Vous pouvez le faire vous-même ou demander à votre
partenaire de le faire pour vous.

Bonus #1 : Mettez un préservatif


C’est probablement la solution la plus simple. Encore faut-il y penser, surtout
pour ceux qui ont une relation à long-terme avec leur partenaire. Le
préservatif sert à vous protéger mais aussi à diminuer les sensations et donc
vous permettre de tenir plus longtemps au lit.

Bonus #2 : Relâchez la pression


Si vous vous masturbez une heure ou deux avant le rapport, vous pourrez
tenir plus longtemps durant celui-ci. Cependant, cela peut également avoir
l’effet inverse, celui de réduire votre envie d’avoir un rapport. A utiliser avec
modération !

 https://nicoleaudette.com/therapie-ejaculation-precoce/

Thérapie efficace pour l’éjaculation précoce


Depuis quelques décennies, les thérapies ou les moyens pour tenter d’enrailler
l’éjaculation précoce chez les hommes qui voudraient tellement s’en débarrasser,
se sont multipliés. Que ce soit des gels qui engourdissent les sensations du pénis,
mais en même temps, celles du vagin; les pressions sous le gland, qui n’ont rien de
confortable; le renforcement des muscles du périnée, qui a souvent un effet inverse, (je
le sais pour avoir souvent reçu des hommes qui y travaillaient parfois depuis un an); et
d’autres moyens comme la distraction cognitive qui consiste à être moins excité en
pensant à autre chose.

Pensons aussi à Viagra, Cialis, Lévitra, qui ne sont nullement appropriés pour traiter
l’éjaculation précoce, mais pour les hommes souffrant d’impuissance. Lorsqu’un
éjaculateur précoce compte sur ces médicaments pour retrouver plus facilement une
autre érection, il ne doit pas oublier que ce sont des dilatateurs de vaisseaux
sanguins. Il n’est peut-être donc pas prudent de les utiliser lorsqu’on est déjà très
puissant.

Et tous les antidépresseurs prescrits par les médecins pour répondre aux
demandes des éjaculateurs précoces. Un article sur ce site parle d’ailleurs des
antidépresseurs utilisés à cet effet. Il est documenté par des professionnels. (Éjaculation
précoce et médication)

Il y a aussi les thérapies psychologiques qui soutiennent que les problèmes


sexuels résultent de problèmes émotionnels. En tant que sexologue-clinicienne
d’expérience, je peux vous dire que l’éjaculation précoce n’entre que très rarement dans
cette définition, puisque ce problème est d’origine physiologique et non psychologique.
J’ai d’ailleurs traité des hommes qui consultaient seul ou en couple depuis près de deux
ans parfois, sans résultat.

La démarche sexocorporelle que je propose, n’a rien à voir avec toutes ces méthodes ou
moyens qui ne tiennent pas compte du plaisir, c’est-à-dire, de l’abandon et de la volupté
partagés que l’on devrait ressentir lorsqu’on fait l’amour. Il semble que la plupart de ces
moyens ne soient basés que sur une performance à réaliser à tout prix, au détriment du
plaisir, c’est-à-dire, quelles que soient les conditions qui les accompagnent ou les effets
négatifs qui en résultent, pourvu que cela dure plus longtemps. Et si « durer » tout en
ayant du plaisir était possible ? C’est l’objectif des habiletés corporelles démontrées
dans cette vidéo, mais sans effets secondaires néfastes, ni moyens artificiels dont
plusieurs deviennent dépendants.

Et si vous cessiez de chercher, de faire des détours qui ne feront que prolonger votre
cauchemars? Et si vous preniez la décision de développer les quelques habiletés
sexocorporelles qui fera toute la différence une fois pour toute pour vous? Qu’avez-vous
à perdre? Je vous garantie que vous avez tout à gagner. Prenez ma parole d’experte
en tant que experte du contrôle éjaculatoire depuis plus de 30 ans. La balle est
maintenant dans votre camp!

J’ai créé cette vidéo pour vous messieurs qui cherchez depuis trop longtemps à savoir
comment parvenir à contrôler votre excitation. Vous ne regretterez pas d’avoir fait ce
choix!

TIMIDITE
Les sites de reference :
Passeportsante.net
Psychologies.com
Doctissimo.com

Recherche 1 > origine de la timidite


Recherche 2 > timidité symptômes
Recherche 3 > timidité thérapie

https://timidite.info/comprendre/origine-de-la-timidite/

D’où vient la timidité ?

Est-on timide de naissance ? Est-ce notre éducation qui nous


rend timoré ou bien quelque événement traumatisant ? Et si la
timidité rentrait en nous plus insidieusement, à dose
homéopathique pendant notre enfance ?

Sommes-nous timides de naissance ?

Les recherches scientifiques dans le domaine de la timidité sont


de plus en plus nombreuses, et nous les suivons de très près.
Bien qu’aucun gène de la timidité n’ait pu être identifié,
certaines recherches indiquent l’existence de prédispositions à
la timidité. Selon Jérome Kagan, de l’université de Harvard, 15
à 20% des enfants naîtraient avec une telle prédisposition. Ces
enfants présenteraient un profil neurochimique particulier ;
leur amygdale cérébrale serait particulièrement sensible aux
situations stressantes.
Ainsi certaines personnes naissent probablement plus
impressionnables que d’autres. Mais la timidité ne peut
s’expliquer uniquement par un héritage génétique. En réalité, la
dimension physiologique de la timidité est plus un amplificateur
que la cause proprement dite.
Certaines personnes lient leur timidité à un défaut physique,
comme le bégaiement, la petitesse ou la laideur. Cette
explication nous paraît tout aussi insuffisante.

“Ce n’est pas à cause de son nez que Cyrano


de Bergerac est parfois timide, sinon il faudrait
bien que tous ceux qui possèdent un nez
majestueux souffrent de timidité, ce qui est
loin d’être le cas. […] C’est en réalité
l’inquiétude qui est première. Les raisons,
bonnes ou mauvaises, ne viennent
qu’ensuite.”
B. Jolibert
La preuve en est qu’on peut provoquer une crise d’intimidation
en soulignant non les défauts mais les qualités d’une personne.
On peut être timide de sa beauté ou de sa réussite autant que
de sa laideur ou de son échec. Le véritable noeud de la timidité
est la vulnérabilité au regard de l’autre.

L’environnement familial est-il responsable

L’environnement familial dans lequel un enfant évolue exerce


une influence incontestable sur le développement de sa
timidité.
Si vos parents sont eux-mêmes timides, il y a de fortes chances
qu’ils vous transmettent leurs angoisses et leurs schémas
comportementaux.
Des parents trop sévères et rigides peuvent provoquer la
timidité de leur enfant. Mais l’inverse est tout aussi vrai : des
parents qui complimentent ou idéalisent excessivement leur
enfant. Dans les deux cas, on assiste à une répression du désir
de l’enfant, lequel s’incline devant le désir castrateur ou flatteur
du parent qui projette sur lui un idéal élevé.
Des parents instables ou distants peuvent être encore plus
déstabilisants que des parents castrateurs. Les enfants dont les
efforts de communication rencontrent des réponses irrégulières,
incohérentes ou imprévisibles éprouveront des difficultés à
gérer une relation et à s’affirmer.
Freud interprète la timidité comme une peur d’abandon. Cette
peur s’exprime de manière normale à certains stades du
développement, au cours de la petite enfance et durant
l’adolescence. Si la timidité subsiste de manière vivace à l’âge
adulte, c’est probablement qu’il y a quelque chose à dénouer.
Nous conseillons aux parents de laisser leurs enfants dès que
possible voler de leurs propres ailes, d’accueillir leurs élans, de
ne pas parler à leur place en présence d’autres personnes, de
les mettre en relation, de vivre en grands groupes à certains
moments sans jamais forcer l’enfant au contact.

La culture joue-t-elle un rôle ?

Des études comparatives tendent à démontrer la dimension


culturelle de la timidité. Ainsi, au Japon, on rencontre beaucoup
plus de timides que partout ailleurs. 90% des gens y estiment
être ou avoir été timides. A Tokyo, la modestie, la retenue, la
discrétion, le tact et la gentillesse sont des valeurs sacrées
(encore bien plus importantes que chez nous). Ces valeurs
entrent en contradiction avec les impératifs modernes de la
compétitivité économique, qui exige, au contraire, une certaine
agressivité et un esprit de démarcation. Culturellement, les
Japonais se trouvent donc coincés par une double contrainte,
connue pour générer des situations de timidité. Sois le meilleur,
mets-toi en valeur et, en même temps, soit discret, ne heurte
pas ton interlocuteur.
L’acculturation ou le déracinement peuvent également
engendrer la timidité. Les expatriés ayant grandi avec d’autres
repères culturels seront démunis de normes comportementales
ou de codes de politesse. Sans nécessairement verser dans le
conformisme, ces balises nous rassurent et facilitent les
relations entre les hommes.
Le déracinement peut être géographique ou social : cela
concerne aussi bien les personnes expatriées que le
phénomène de l’ascenseur social, à savoir les personnes qui,
par leur parcours socio-professionnel, se retrouvent confrontées
à un autre milieu que leur milieu de départ. Sans tomber dans
la caricature, prenez l’exemple d’un jeune homme issu d’un
milieu ouvrier très modeste, qui par la force de son talent et de
son travail, accède à un poste de management. Ce jeune
homme pourra connaître le malaise de devoir interagir avec des
personnes de “haut rang”, dont les codes sociaux et
comportementaux sont différents de lui (la manière de parler,
de s’habiller, de blaguer, etc.).

“C’est la politesse qui fixe les limites en excès


ou en défaut de cette réserve au-delà de
laquelle on est craintif ou impudent. Seule une
vision superficielle de la politesse en fait une
barrière hypocrite entre les hommes.”
B. Jolibert
Un événement traumatisant peut-il vous

inhiber ?

Une humiliation subie en présence d’autres personnes. Une


moquerie publique. Un échec douloureux. Une remarque
blessante. Une rupture inexpliquée. Certains événements
peuvent laisser des traces et engendrer une timidité durable.
Essayez de vous souvenir : depuis quand êtes-vous timide ?
Peut-être êtes-vous victime de l’étiquette désobligeante que
vous a donnée un professeur du lycée ? Un échec amoureux a
peut-être anéanti votre confiance en vous ? Au collège, vous
avez fait l’objet de moqueries ?
En ce qui me concerne, la timidité m’a ramené au suicide de
mon père. Mon père s’est donné la mort lorsque j’avais 11 ans.
J’ai longtemps cru pouvoir faire abstraction de sa disparition.
Mon adolescence ne s’est pas construite avec la même
confiance dont j’étais animé étant enfant. Certaines crises de
timidité tardives m’ont clairement ramené au malaise engendré
par le suicide de mon père. Au fond de moi, je ne pouvais
comprendre cette rupture totale et sans préavis, tellement
empreinte d’indifférence, de la part d’un être que, par nature,
j’aimais et admirais. Sans que je ne veuille l’admettre, cet
événement a détruit une partie de la confiance que j’avais en
moi. Mes crises d’intimidation ont été comme un signal. En
cela, je les trouve utiles a posteriori.
Si vous avez vécu un épisode de timidité aiguë, il est probable
que vous vous sentiez fragilisé dans des situations similaires.
L’empreinte du traumatisme aura marqué votre psychisme, qui
se crispera au moindre élément rappelant la situation redoutée.

La timidité tisse parfois sa toile à dose

homéopathique…

Dans bien des cas, la timidité n’est pas uniquement le fruit d’un
traumatisme ni la faute d’un parent, mais le résultat
d’un mécanisme psychique qui se construit à petite dose et
insidieusement.
Dans cet extrait, l’expert en neurosciences David Lefrançois
explique de manière éloquente comment 2 ou 3 remarques en
apparence anodines, faites à un enfant, vont le conditionner à
ressentir de l’hésitation, voire de la honte, avant de prendre la
parole.

Je vous conseille d’ailleurs de visionner la vidéo complète de


David Lefrançois, extrêmement intéressante pour tout timide qui
essaye de comprendre le mécanisme.
David Lefrançois a vécu dans une famille avec quatre frères et
une ambiance permanente de compétition. Il a dû entendre un
paquet de “Toi, tu es trop petit, reste à l’écart!”. Pour ma part,
j’ai vécu dans un univers où les adultes étaient bienveillants,
mais avec de lourds secrets de famille et, donc, un climat
empreint de tabou. Etant enfant, j’ai dû souvent ressentir que
dès que je tentais de poser des questions (surtout des
questions essentielles touchant à l’histoire de famille, les morts
et les vivants), on me faisait comprendre que je n’étais pas
bienvenu. Petit à petit, même si mes parents, mes oncles et
mes tantes me donnaient beaucoup d’affection, la honte s’est
glissée en moi.
A force d’être mal accueilli dans un élan de parole, un enfant va
ainsi développer, la plupart du temps inconsciemment, une
stratégie de timidité dont il devra se défaire par la suite.

++++++++

https://www.passeportsante.net/fr/psychologie/Fiche.aspx?doc=timidite

La timidité

 Les symptômes de la timidité


 Les caractéristiques des timides
 Les situations difficiles pour un timide
 Les conséquences de la timidité
 Les citations inspirantes
Les symptômes de la timidité

La tension et l’anxiété en réponse à l’appréhension d’un résultat potentiellement négatif (échec d’une
prestation orale, jugement négatif lors des nouvelles rencontres) provoquent une augmentation de
l’excitation physiologique (un pouls élevé, des tremblements, une augmentation de la transpiration)
ainsi qu’une nervosité subjective. Les symptômes s’apparentent à ceux de l’anxiété :

 sensation de peur d’inquiétude, de panique ou malaise


 palpitations cardiaques
 sueurs (mains moites, bouffées de chaleur…)
 tremblements
 souffle court, bouche sèche
 sensation d’étouffement
 douleurs dans la poitrine
 nausées
 vertiges ou étourdissements
 picotements ou engourdissements dans les membres
 troubles du sommeil
 incapacité de réagir adéquatement lorsque la situation a lieu
 comportements d'inhibition pendant la plupart des interactions sociales
Souvent, l’anticipation d’une interaction sociale suffit à déclencher autant de ces symptômes que
lorsque l’interaction se produit vraiment.

Les caractéristiques des timides

Il est étonnant de constater que les individus s’identifient facilement comme étant
timides.Entre 30 et 40 % de la population occidentale se considèrent timides, bien que seulement 24
% d’entre eux sont prêts à demander de l’aide pour cela.

Les timides ont des caractéristiques qui sont bien documentées scientifiquement.

 Le timide est doté d’une grande sensibilité à l’évaluation et au jugement par autrui. Cela explique
pourquoi il craint les interactions sociales, qui sont des occasions de se faire évaluer
négativement.
 Le timide a une faible estime de soi, ce qui l’amène à entrer dans les situations sociales avec
l'impression qu'il ne parviendra pas à agir de façon appropriée et répondre aux attentes des
autres.
 La désapprobation des autres est une expérience très difficile qui renforce la timidité du timide.
 Les timides ont tendance à être très préoccupés, obnubilés par leurs pensées : les mauvaises
performances pendant l’interaction, les doutes sur leur capacité à être à la hauteur, l’écart entre
leur performance et ce qu’ils voudraient réellement montrer les obsèdent. Environ 85 % de ceux
qui s’estiment timides avouent s’interroger trop sur eux-mêmes.
 Les timides sont des individus très critiques, y compris à l’égard d’eux-mêmes. Ils se fixent des
objectifs très élevés et craignent l’échec plus que tout.
 Les timides parlent moins que les autres, ont moins de contact avec les yeux (difficultés à
regarder les autres dans les yeux) et ont plus de gestes nerveux. Ils rencontrent de facto moins de
gens et ont plus de difficultés à se faire des amis. De leurs propres aveux, ils ont des problèmes
de communication.
Les situations difficiles pour un timide

Les occasions de rencontres, de conversations, de réunions, de discours ou de situations


interpersonnelles peuvent être stressantes pour les timides. La nouveauté sociale comme la
nouveauté de rôle (comme par exemple assumer une nouvelle position suite à une promotion), les
situations non familières ou surprenantes peuvent également s’y prêter. Pour cette raison, les timides
préfèrent les situations habituelles, intimes, courantes.

Les conséquences de la timidité

Le fait d’être timide entraîne de nombreuses conséquences, en particulier dans le monde du


travail :

 Il amène à subir des échecs sur les plans amoureux, social et professionnel
 A être moins aimé par les autres
 Entraîne beaucoup de difficultés à communiquer
 Conduit le timide à ne pas faire valoir ses droits, ses convictions et ses opinions
 Conduit le timide à ne pas chercher à occuper des postes plus élevés au travail
 Entraîne des problèmes de contact avec des gens de hiérarchie supérieure
 Conduit le timide à ne pas être ambitieux, à être sous-employé et à rester sans succès dans son
emploi
 Aboutit à un développement de carrière limité
Les citations inspirantes

« Si vous voulez être beaucoup aimé, beaucoup et souvent, soyez borgne, bossu, boiteux, tout à
votre aise, mais ne soyez pas timide. La timidité est contraire à l'amour et c'est un mal presque
incurable ». Anatole France dans Stendhal (1920)

« La timidité tient plus de l'amour-propre que de la modestie. Le timide connaît son endroit faible et
craint de le laisser apercevoir, un sot n'est jamais timide ». Auguste Guyard dans Quintessences
(1847)

++++++++

http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Oser-les-cles-de-la-
confiance-en-soi/On-ne-nait-pas-timide-ou-complexe-on-le-devient
On ne naît pas timide ou

complexé, on le devient

C’est dans notre enfance que se consolide, ou non, notre confiance face à la
vie. L’attitude de nos parents est bien sûr déterminante. En bien ou en mal.

Isabelle Taubes
© iStock

 2

 36


 j

 


 a

 b

1/3
Sommaire

 Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs enfants

 Le refus de voir les problèmes


 La surprotection

 L’absence de transmission d’un idéal

 La survalorisation

 Les désirs parentaux inconscients

Je n’ose pas m’affirmer ", " je ne sais pas dire non ", " j’ai peur du jugement

des autres ", " je suis timide ", " je perds mes moyens quand je dois parler

en public ", " quand je suis amoureux, j’ai le sentiment de ne pas mériter

d’être aimé en retour ", " j’ai l’impression d’être sans valeur "… Autant de

façons de faire entendre que l’on n’a pas confiance en soi.
" En fait,

l’expression “manque de confiance en soi” est un fourre-tout qui, sur le

plan théorique, ne signifie rien, explique Gérard Louvain,

psychothérapeute. En l’utilisant, le patient révèle que quelque chose ne

va pas dans ses relations à lui-même ou aux autres, à l’amour ou au travail

: ça ne marche pas, “parce que” je n’ai pas confiance en moi. En outre, on

peut être très à l’aise dans le domaine professionnel et pas du tout dans

sa vie affective. Etre performant pour lancer un projet et totalement inhibé

à l’idée de négocier une augmentation de salaire. D’où la nécessité

d’inviter la personne à décrire “comment ça cloche” pour elle, afin de

comprendre l’origine du problème. "


Le constat " je n’ai pas confiance en moi " est toujours le produit d’une

histoire singulière. On ne naît pas timide ou complexé, on le devient.

Toutefois, on repère un point commun : c’est à partir des péripéties de la

relation aux parents qu’ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce

manque de confiance en soi. Plusieurs types d’attitudes parentales,

conscientes ou pas, sont en cause, même si les parents ne sont jamais

entièrement responsables des névroses de leurs enfants. C’est parce

qu’on les aime, qu’on les admire, qu’on les sacralise, qu’ils influent de la

sorte sur notre destin.

Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs

enfants

" C’est fou ce que tu manques de grâce ! " déclare la mère irritée par

l’aspect un peu pataud de sa fillette de 5 ans. Elle avait rêvé de devenir

danseuse, en vain. Pour se consoler, elle avait espéré donner le jour à un

futur petit rat de l’Opéra… On le sait depuis Freud, les parents ne peuvent

s’empêcher de projeter leurs rêves de grandeur sur leurs enfants : là où

ils ont échoué, leurs petits réussiront. Mais certains tiennent trop à leur

rêve pour accepter l’enfant tel qu’il est. Et quand ils s’aperçoivent qu’il ne

comblera pas leurs souhaits, ils en conçoivent une immense déception,

suivie de représailles en forme de dénigrement systématique. Et puisque

les paroles parentales ont valeur d’oracle, l’enfant s’imagine


qu’effectivement il ne vaut pas grand-chose. D’où des inhibitions

susceptibles de toucher divers domaines – l’amour, le travail, la relation à

autrui –, de préférence ceux qui ont été fortement investis par les parents.

Le refus de voir les problèmes

"Quoi qu’il arrive, tu réussiras dans la vie !” me répétait mon père. Je

comprends maintenant que c’était un déni de mes difficultés : il ne voulait

pas s’inquiéter pour moi. Résultat : un rien me déstabilise, confie

Catherine. Aujourd’hui, j’ai une petite fille et je sais qu’aider un enfant,

c’est être attentif aux signes d’inhibition : pourquoi il a si peu d’amis,

pourquoi il n’ose pas s’exprimer à l’oral en classe… " Des parents, déjà

encombrés par leurs propres problèmes, auront malheureusement

tendance à jouer la politique de l’autruche. Difficile de leur jeter la pierre.

Même s’il n’est pas rare que cet aveuglement signifie, plus tard, pour leur

progéniture devenue adulte, quelques années sur un divan, à traiter des

inhibitions qui, abordées dès l’enfance, auraient rapidement disparu. Autre

cas : les parents qui préfèrent ne rien voir pour se préserver

psychologiquement. Pour ceux-là, plutôt brillants et à l’aise en société, un

enfant timoré (et souvent il l’est, parce que trop intimidé par eux) entraîne

une blessure de leur amour propre.


On ne naît pas timide ou

complexé, on le devient

 2

 36


 j

 


 a

 b

2/3
© iStock

Sommaire

 Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs enfants

 Le refus de voir les problèmes

 La surprotection

 L’absence de transmission d’un idéal


 La survalorisation

 Les désirs parentaux inconscients

 Sommaire

La surprotection

" Pas question que nous t’offrions une Mobylette, tu pourrais avoir un

accident. " Les parents anxieux ont tendance à surprotéger leurs enfants

: la vie est si dangereuse, lorsqu’on la contemple sur fond d’angoisse…

Or rien n’est plus contagieux que ce sentiment qui vous envahit sans que

vous puissiez le contrôler. Papa et maman ont peur pour leur enfant, le

croient sans cesse en danger de mort ? Il intériorise leur peur et

commence à craindre lui aussi pour son existence ! Il se met à éviter les

activités susceptibles de présenter un risque. Il accumule les précautions.

Et perd peu à peu confiance en lui. " De plus, l’anxiété, affect très mobile,

peut parfaitement se métamorphoser en une peur d’affronter les autres ou

de faire face à l’autorité, observe Gérard Louvain. D’où, plus tard, des

inhibitions et des peurs dans des domaines sans lien apparent avec la

cause première de l’angoisse. "

L’absence de transmission d’un idéal

Les parents de Stéphanie, de grands pessimistes, ne lui ont jamais permis

de penser qu’elle pourrait mener une vie conforme à ses espérance. Au


contraire, ils lui ont seriné que, dans l’existence, il faut se contenter de ce

que l’on a. Du coup, devenue adulte, elle s’ennuie à mourir dans son job

mais n’ose pas en changer… " Ce qui nous incite à oser les changements,

ce sont nos idéaux intérieurs, explique Elisabeth Martin,

psychothérapeute. Mais pour les construire, il est nécessaire d’avoir eu

des parents qui croyaient en vous, qui vous ont encouragé à écouter vos

désirs. "

La survalorisation

" Ma fille est extraordinaire. Elle est d’une intelligence rare. Et quelle

beauté ! " affirme la mère, tandis que la petite, gênée, ne sait pas où se

mettre. Pour s’attribuer une valeur, se respecter soi-même, encore faut-il

avoir été respecté et valorisé. Toutefois, " la survalorisation est aussi

néfaste que la dévalorisation, poursuit Elisabeth Martin. Elle fragilise tout

autant, car elle ne permet pas d’acquérir une conscience exacte de ses

potentialités réelles. Elle condamne l’individu à se mesurer sa vie durant

à l’image surdimensionnée que ses parents lui ont demandé d’incarner.

Et il ne peut qu’échouer, se sentir insuffisant ".

Les désirs parentaux inconscients

Nettement plus ravageurs sont les désirs parentaux inconscients, surtout quand ils sont hostiles.
Parce que l’inconscient est justement ce que personne ne peut maîtriser. Or il existe des parents
suffisamment infantiles et névrosés pour voir en leurs rejetons de dangereux rivaux, dont la réussite
leur porterait ombrage. Le psychisme de l’enfant enregistre les vœux de ses parents et, effectivement,
fabrique des symptômes en forme d’empêchement, de blocages, de peurs.
Le rôle des relations parents-enfants dans l’apparition du manque de confiance en soi n’est donc plus
à démontrer. Toutefois, si une enfance peu propice à l’épanouissement est un handicap, elle est
rarement une infirmité définitive. Il reste toujours possible, à l’âge adulte, de reprendre en main les
cartes de son destin.

++++++

Surmontez votre timidité

La voix tremblante, le rouge aux joues. Près d'un Français

sur deux reconnaît être timide. Cette peur du regard de

l'autre peut vous gâcher la vie. Les trucs pour vaincre la

timidité et retrouver sa confiance en soi.

Non à la timidité

Si éprouver de l'appréhension face à des inconnus est normal,

cela peut parfois se transformer en véritable handicap. Peut-on

vaincre sa timidité ? Quels sont les traitements ? Grâce aux

conseils de Doctissimo, apprenez à parler en public sans trac ou

à aborder sans bafouiller l'amour de votre vie.


 Je suis timide mais je me soigne

 Surmonter sa timidité pour être soi-même

 Comment développer son charisme ?

 Surmonter le trac

 N'ayez plus peur de l'amour

 Mon enfant est timide

 Etes-vous timide ou extraverti(e) ?

 Craignez-vous le regard des autres ?

Reprenez confiance en vous !

La confiance en soi est l'une des qualités les moins bien

partagées ! Si certains en ont beaucoup trop, d'autres en

manque cruellement. Comment arrêter de se dévaloriser ? Quels

sont les trucs pour reprendre confiance en vous ? Des articles

pour vous affirmer !

 Je suis trop émotif... Sachez réagir !

 Arrêtez de vous faire marcher sur les pieds

 Se réconcilier avec soi-même


 Dix trucs pour renouer avec vous-même

 10 trucs pour reprendre confiance en soi

 Apprenez à vous affirmer. sans excès !

 N'ayez pas peur du regard des autres !

Aux origines de la phobie sociale

La phobie sociale est une maladie reconnue depuis peu. Ses

causes réelles sont encore floues. Mais on sait qu'elle apparaît

dès l'enfance et qu'elle est liée des influences génétiques et

éducatives. Qui est touché ? Quelles sont les personnalités "à

risque" ? Existe-t-il des maladies associées ? Tour d'horizon. 


Lire notre dossier

Les thérapies pour se réconcilier avec soi même

Lorsque la timidité vous gâchent réellement la vie, il est temps

d'envisager une thérapie. Plusieurs traitements peuvent vous

permettre de renouer avec vous même et d'affronter sereinement

le regard des autres.


 Les thérapies comportementales et cognitives

 Les thérapeutiques médicamenteuses

 L'hypnose

 Les psychothérapies à médiation corporelle

 Vaincre sa peur des autres grâce aux psychotropes ?

+++++++

Une psychothérapie peut-

elle m’aider ?

Il n’est pas facile d’avouer ses faiblesses. Notre amour propre


ou notre éducation nous dictent de rester stoïques. Pour un
timide en particulier, demander conseil ou prendre la décision
de se faire aider n’est pas une démarche aisée. Résultat : de
nombreuses personnes consultent un peu tard, lorsque la
situation est déjà bien enlisée, les réflexes d’évitement, bien
ancrés, et les pensées angoissantes, abondamment nourries.
Il ne faut ni dramatiser le recours à un psy, ni se jeter
aveuglément dans ses bras. Un professionnel du
développement personnel pourra véritablement vous aider à
rebâtir votre confiance. Il n’est pas forcément nécessaire de
rester des années allongé sur un divan. Quelques séances
suffiront, dans certains cas, à débloquer une situation.
Sur le site Doctissimo, vous trouverez un dossier
intitulé “Choisir son psy”. Ce dossier vous aidera à faire le tri
entre différents titres (psychologue, psychiatre,
psychotérapeute,…) et différentes approches thérapeutiques,
mais aussi à détecter et éviter certains abus dans un domaine
qui compte malheureusement quelques charlatans.

Les approches cognitives et

comportementales ont prouvé leur

efficacité dans le traitement de la timidité

Plusieurs études semblent démontrer que les thérapies


cognitives et comportementales sont particulièrement efficaces
pour combattre les phobies sociales ou la timidité enracinée.
Ces thérapies se situent volontairement dans le “ici et
maintenant”. Elles visent des objectifs concrets et mesurables,
explicités dès le départ dans le “contrat thérapeutique” établi de
commun accord entre le psychotérapeute et son patient. Ces
approches ont une durée limitée dans le temps (quelques
semaines ou quelques mois ; entre 3 et 30 séances).

“Des études contrôlées montrent que les


thérapies assertives améliorent
significativement les patients souffrant de
phobie sociale. A court et long terme.
(Heimberg et coll., 1986 ; Lucok et Salkovskis,
1988 ; Mattick et coll., 1989)”
Gisèle George
Les thérapies cognitives et comportementales ne visent pas à
modifier en profondeur l’ensemble d’une personnalité à travers
une cure longue et contraignante. Elles ont pour but de modifier
un comportement qui gâche la vie de la personne.
Certains ardents défenseurs de
la psychanalyse argumenteront qu’on ne peut guérir une
personne sans remonter à la source de son angoisse. Ou qu’en
supprimant une angoisse, on ne fait en réalité que la déplacer,
sans chercher à comprendre ce que cette angoisse veut nous
“dire”. Leurs opposants rétorqueront que, contrairement aux
thérapies cognitives et comportementales, la psychanalyse n’a
pas réussi a prouvé de manière scientifique ses bienfaits
envers les personnes souffrant de phobie sociale. Une chose
est sûre, c’est que pour les timides qui, par définition, ont une
propension à ressasser les problèmes et une difficulté à entrer
dans l’action, le repli analytique n’est pas forcément l’approche
la plus judicieuse. Certes, l’exploration de l’inconscient peut
aider à débloquer certains noeuds. Mais l’aisance sociale ne se
construit pas sur un divan. La compréhension du passé, les
comportements au présent et les projections au futur méritent,
selon moi, une part d’attention équilibrée.

Les ingrédients et les variantes d’une

thérapie contre la timidité

Sommaire
Les psychotérapeutes qui s’attaquent à la phobie sociale
s’appuieront sur un arsenal de mesures complémentaires :
1. La relaxation
2. La modification des pensées
3. L’apprentissage de la communication
4. L’exposition graduée
Si vous décidez d’entamer un travail pour vous-même, sans
faire appel nécessairement à un professionnel, nous vous
conseillons d’utiliser ces mêmes leviers.
Une thérapie n’est pas forcément individuelle. Les thérapies de
groupe ont un intérêt tout particulier dans les cas de phobies
sociales. Les professionnels qui les ont pratiquées en sont
généralement très satisfaits. Les thérapies de
groupe permettent de :
 profiter de regards extérieurs ;
 s’encourager mutuellement ;
 effectuer des jeux de rôles ;
 ne pas éterniser la thérapie (à durée généralement limitée) ;
 faire preuve d’empathie ;
 réaliser qu’on n’est pas le seul à souffrir du problème ;
 imiter ceux qui s’en sortent ;
 porter son attention sur l’autre (chose que les timides ont du
mal à faire naturellement).
D’autres thérapies existent, dont les variantes se multiplient :
hypnose, autohypnose, autosuggestion graphique,
visualisations, luminothérapie, psychogénéalogie,
psychochirurgie,… Autant le dire tout de suite, certaines ont
moins bonne presse. Mais il est bon de se rappeler que la
psychologie ou la neurologie sont des sciences fort récentes,
que leur champ d’exploration est encore infini et que les écrits
du Docteur Freud ne constituent certainement pas un point
d’arrêt.
D’autres approches, comme la sophrologie, s’intéressent
davantage à la dimension corporelle, très présente dans la
timidité. Inspirée des techniques orientales de méditation, du
yoga et de la relaxation occidentale, la sophrologie développe
la conscience de façon à harmoniser le corps et l’esprit, en
chassant peurs, angoisses et tensions, notamment la peur des
autres. Certaines personnes peuvent estimer avoir progressé
sur le plan psychologique mais continuer de sentir tout une
série de bloquages sur le plan physique : les épaules rentrées,
le regard fuyant, les mains qui transpirent, les joues qui
tremblent, la respiration qui s’emballe. La sophrologie peut
aider à prendre conscience de ces bloquages et à les dénouer.
Chers lecteurs, vos témoignages sincères à propos des
bienfaits ou méfaits de l’une ou l’autre forme de thérapie en
matière de phobie sociale nous intéressent. N’hésitez pas
à nous écrire.
+++++++

https://www.vaincre-sa-timidite.fr/timidite-maladive/

Comment Vaincre sa Timidité

Maladive

Publié Par Michaël

Comment se débarrasser définitivement d’une

timidité maladive ?

Soyons clair : la timidité n’est pas une maladie.


Elle est un trait de la personnalité normale.
Mais quand elle est « maladive » chez un adulte, la timidité peut devenir
handicapante et vraiment gâcher la vie.
En réalité, c’est l’anxiété qui pose un vrai problème à la personne timide.

La Timidité Maladive
C’est ce sentiment de peur qu’elle éprouve à l’égard des autres, en particulier
les personnes inconnues. Une peur qui s’accompagne souvent d’un refus,
inconscient, de s’engager dans des relations avec les autres.
Les adultes qui souffrent de timidité maladive ont alors l’impression qu’ils ne peuvent
rien y faire, l’impression que cette peur est plus forte qu’eux…
Vaincre la timidité maladive revient donc à soigner sa peur de l’autre. Cette peur qui
est une émotion difficilement contrôlable.
Lorsqu’une personne timide déclenche des crises d’angoisses et des attaques de
panique, on dira cette fois qu’elle souffre d’une vraie maladie : la phobie
sociale ou agoraphobie.

En général, le timide est quelqu’un qui manque de confiance en lui. C’est
ce doute de soi et la crainte qui prédomineront à chaque fois qu’il s’agira d’entrer en
relations avec d’autres. Cela se remarque lorsque la personne n’ose pas faire le
premier pas.
Naturellement, à long terme, un individu qui est maladivement timide aura tendance
à éviter les autres et à se replier sur lui-même. Avec un risque de sombrer dans la
déprime ou la dépression.
.

Pourquoi souffre-t-on de timidité excessive ?

Le problème vient du fait que les


personnes timides sont trop
centrées sur elles-mêmes. Elles se demandent sans cesse ce que les
autres vont penser d’elles.
« je ne suis pas
Elles se répètent sans cesse des phrases négatives du genre
assez ceci ou cela… » ou « elle est trop belle pour
moi … » ou « je ne parviendrai pas à … »
Les personnes timides ont tendance à sous-estimer leurs capacités et
en même temps à se mettre la barre trop haute.
C’est ce décalage et la peur de ne pas être à la hauteur qui crée un malaise, une
peur… qu’elles sont incapables de contrôler.
Les personnes timides s’auto-dévalorisent :
« oui, j’aurais dû…, mais je suis timide »
« je n’ai pas pu le dire, j’ai bafouillé… »
« pourquoi me porterait-il un intérêt ? »
« pourquoi fréquenterait-il quelqu’un comme moi ? »
« je ne suis pas assez intelligente pour lui »
« je ne suis pas assez chic pour elle »
etc…
Si vous êtes maladivement timide, prêtez une attention à votre monologue intérieur.
En particulier, lorsque vous rencontrez une personne nouvelle.
Que vous dites-vous au fond de vous ?
Ne trouvez-vous pas que ce dialogue à l’intérieur de votre tête est inutile et auto-
dévalorisant ?
.

Quels sont les symptômes de la timidité maladive ?

Voici les principaux symptômes :


 Bafouiller ou être incapable de parler à des inconnus, à des personnes
impressionnantes ou devant un groupe (voici 5 vidéos pour améliorer vos
prises de parole en public)

 Sensation d’oreilles qui chauffent dès qu’on lui adresse la parole
 Rougeurs au niveau des joues
 Transpiration excessive
 Tremblements (mains)
 Palpitations (accélération du rythme du cœur)
 État d’anxiété ou mal à l’aise dans les situations sociales
 Manque d’aisance et maladresse à l’égard des inconnus
 Peur du regard des autres (voici 5 solutions contre cette « blemmophobie »)

 Peur d’être jugé ou critiqué
 Peur de paraître ridicule ou d’être rejeté
 Peur de sembler « faible » ou « différent » aux yeux des autres
 Peur d’être le centre d’intérêt
 Se sentir inintéressant (par exemple, sans sens de l’humour)
 Comportement d’évitement, de retrait ou de fuite
 Contrôle permanent de ses gestes
 Paniqué lorsqu’il pense à une situation sociale
 Tendance à se créer son propre monde (et à s’y renfermer)
 Vit dans la crainte de tomber sur une situation embarrassante
.

Comment vaincre sa timidité quand elle est

maladive ?

Cela est beaucoup plus facile qu’il n’y paraît.


En fait, tout se passe dans la tête !
Les peurs dont souffre le timide sont inconscientes. Le mental du timide n’a pas été
correctement programmé durant son enfance. En conséquence, le timide a une
image de lui-même qui est fausse et conditionnée par ses expériences douloureuses
du passé.
Le manque de confiance en soi sera le principal problème que la personne
timide devra surmonter.
Mais quelque soit l’âge, la solution pour combattre la timidité maladive passe
par une thérapie de « reprogrammation » du subconscient.
C’est en reprogrammant son mental que la personne timide pourra se libérer de ses
blocages et vivre des relations nouvelles et épanouissantes.
Ainsi petit à petit, la peur de l’autre s’efface et la timidité disparaît définitivement.
.

Comment se programmer mentalement pour ne plus

être timide ?

Pour vaincre la timidité maladive, je vous recommande simplement de


reprogrammer votre subconscient en écoutant des « offirmations » de confiance en
soi.
Les offirmations agissent comme des « autosuggestions » qui vont vous permettre
de vous visualiser, de vous représenter sous les traits d’une personne sûr d’elle, à
l’aise avec les autres et une personne qui ira automatiquement et sans crainte vers
les autres (en étant totalement sûr de soi).
Je vous explique ici comment avoir 100% confiance en soi pour vaincre
définitivement sa timidité maladive.

JOIE DE VIVRE

Les sites de référence :

Recherche 1 > comment retrouver la joie de vivre

 https://www.plateforme-bienetre.fr/comment-retrouver-la-joie-de-vivre/
Nous avons tous des baisses de régimes, des baisses de moral. Cela peut-être dû à
des évènements imprévus et plutôt désagréables, à un changement
d’environnement, au manque de nos proches ou encore du changement de lune ou
d’un changement de pression de l’air… Peu importe finalement. Ce qui nous importe
en revanche, c’est de savoir comment retrouver la joie de vivre qui a pu nous
quitter subitement.

Pour cela, il existe des tas de techniques mais il est bon de prendre conscience de
pourquoi la joie de vivre semble nous avoir quitté et comment la retrouver.
Cet article est une participation à l’évènement interbloggueurs A la croisée des blogs.
Ce mois-ci, c’est Brice de Sourire au Stress qui nous propose le sujet de la joie de
vivre. Vous pouvez retrouver son article de lancement ici.

POURQUOI A-T-ON DES BAISSES DE MORAL ?


Comme je l’ai dit précédemment, il peut y avoir de nombreux facteurs. Mais dans
tous les cas, la raison principale d’une baisse de moral est votre réaction à un
événement. On peut également ressentir une baisse de régime sans qu’il y ait de
changement dans notre vie mais généralement, il y a un évènement déclencheur.

Dans tous les cas, vous allez perdre votre joie de vivre quand vous n’êtes plus dans
le moment présent. Par cela, j’entends que soit vous ressassez le passé, soit
vous vous inquiétez du futur.

Un évènement survient dans votre vie et il réveille alors des douleurs du passé ou
tout simplement des inquiétudes sur comment ca va se passer. Ca peut même
être les 2 en même temps ! Imaginez que votre patron vous donne la responsabilité
d’un projet difficile à finir dans un délai très court. Cela peut réveiller en vous le
dernier échec que vous avez subi sur ce type de mission ainsi que les inquiétudes
que vous avez à pouvoir faire ce travail correctement et à temps. J’ai pris un exemple
professionnel mais cela peut être dans tous les domaines.

Donc d’un point de vue général, c’est un évènement ou une situation particulière et
souvent soudaine qui vient perturber votre joie de vivre.

ACCEPTER VOTRE SITUATION


Avant toute chose et avant de se lancer dans quoi que ce soit, il est vital d’accepter
la situation présente. Il est primordial de se dire « Ok, je ne me sens pas bien mais
j’accepte cette situation car elle est une étape obligatoire vers un mieux-être. ». Car
c’est le cas !! Vous ne vous sentez pas mal sans raison. Si vous vous sentez mal tout
à coup, c’est que ça a réveillé en vous quelque chose qui ne tourne pas rond !
Ce quelque chose existait déjà avant mais il était comme endormi.

Votre mission avant tout est d’accepter qu’il y a un blocage en vous. C’est une
excellente chose que vous vous sentiez mal car cela va vous permettre de
vous améliorer.

Si vous étiez au clair avec vous-même à 100% dans votre vie, rien ne vous
atteindrait personnellement sur le long terme. Vous pouvez tout à fait être peiné
ponctuellement par une situation mais vous sauriez aller de l’avant. Si vous ne le
pouvez pas, c’est qu’il y a un loup !

2 GUIDES OFFERTS DE 35 PAGES SUR LA MISSION DE VIE ET LA LOI


D'ATTRACTION
VALIDER
« En soumettant ce formulaire, j’accepte que mes informations soient utilisées
exclusivement dans le cadre de ma demande et de la relation commerciale éthique
et personnalisée qui pourrait en découler si je le souhaite. »
Et le fait que vous vous sentiez mal est la conséquence de cette découverte. Vous
devez alors accepter que votre blocage existe et que vous devez le nettoyer.

Certains vont me dire « Mais j’ai perdu un être cher ! Ca ne dépend pas de moi. » ou
alors « Ma femme m’a quitté et je n’ai plus goût à rien. ». Encore une fois, vous
pouvez être peiné sur l’instant même. Mais si l’évènement arrive c’est qu’il y a une
raison. Et si vous vous sentez mal ou que vous entrez en dépression, c’est
uniquement votre réaction surdimensionnée à la situation en question qui est
la cause de votre mal-être. Et cette épreuve va vous permettre de vous mettre au
clair avec vous-même et d’avancer plus sereinement dans votre vie.

Alors acceptez cette situation !

REPRENEZ CONTACT AVEC QUI VOUS ÊTES VRAIMENT


Si vous vous sentez mal, c’est aussi parce que vous vous identifiez avec une
situation qui ne vous convient pas. Aujourd’hui, il se peut que vous vous projetiez
dans le passé en repensant abondamment aux évènements qui vous pèsent. Or, ce
n’est pas en restant dans le passé que vous irez de l’avant. Votre point de
focalisation doit être maintenant ou dans votre avenir meilleur.

Vous devez à tout prix reprendre conscience de qui vous êtes vraiment. Vous vous
identifiez peut-être à une personne que vous étiez dans le passé alors que vous
avez changé ! Tout évolue dans le monde en permanence et vous y compris.

Regardez-vous d’un point de vue objectif aujourd’hui. Regardez tous vos points
positifs. Mettez le doigt sur votre vraie valeur et voyez de l’avant. Vous pourrez ainsi
vous désidentifier de situations qui vous maintiennent dans des émotions qui ne vous
conviennent pas.

BATTEZ-VOUS POUR RETROUVER LA JOIE DE VIVRE !


Maintenant que nous avons éliminer quelques mauvaises herbes, battez-vous ! Vous
n’êtes pas sur Terre pour subir les aléas de la vie.

 Aller chercher le positif dans votre vie.


 Refocalisez-vous sur des objectifs qui vous tiennent à coeur.
 Prenez la décision de ne plus subir mais d’être acteur dans votre vie et maître de vos
pensées.
 Prenez du bon temps. Allez marcher au soleil en regardant au loin.
 Prenez du temps pour vous, pour vous faire plaisir, pour apprécier votre existence.
 Chercher le positif en toute chose car il y a du positif en tout.

Il ne tient qu’à vous de faire ces différents pas vers le mieux-être.


 https://www.viversum.fr/online-magazine/joie-de-vivre

Comment retrouver la joie de vivre après un coup


dur?
de Rédaction viversum le 05.04.2017 dans Spiritualité

S’il est une chose universelle, c’est d’aspirer à la joie de vivre. Mais comme la vie ressemble
davantage aux montagnes russes qu’à un long fleuve tranquille, il peut arriver à tout le monde de
perdre le plaisir de vivre et de se laisser aller.
Comment retrouver le moral et la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Découvrez nos conseils pour retrouver le sourire dans l’adversité.

Joie de vivre, qui es-tu ?

Qu’est-ce que la joie de vivre ?

Rendue célèbre par la littérature et la psychologie, l’expression « joie de vivre » a traversé la mer
puisqu’elle est même utilisée par nos voisins anglophones pour désigner un état heureux et une
forme d’exaltation de l’esprit. Pour l’illustre médecin et généticien français Axel Kahn, le bonheur
est une « adéquation entre ce que l’on vit et ce à quoi on aspire ». C’est pourquoi savoir ce que
l’on veut est une condition nécessaire pour trouver la joie de vivre.

La joie de vivre ici et maintenant

Attendre toute la journée que ce soit la soirée, toute la semaine qu’arrive le vendredi et toute
l’année le temps des vacances : c’est le fonctionnement de bon nombre d’entre nous. Nous
vivons ainsi une vie à laquelle nous cherchons à échapper en permanence. Et si nous
apprenions à cueillir le plaisir de vivre ici et maintenant, plutôt que de nous laisser aller à
l’insatisfaction ? Cela passe par une chose simple : désacraliser la joie de vivre. Le bonheur n’est
effectivement pas une quête sacrosainte ; le plaisir de vivre peut se trouver ici et maintenant. Le
sourire d’un inconnu, un fou rire entre amis, un geste d’amour, l’observation d’un animal, une
parole empathique : les petites choses quotidiennes aident à retrouver la joie de vivre.

Comment retrouver la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?

 Écrivez chaque soir trois choses agréables et positives qui vous sont arrivées dans la
journée.D’une part, des études ont démontré qu’écrire contribuait à retrouver la joie de vivre.
D’autre part, se concentrer sur les choses positives déclenche le cercle vertueux suivant : une
pensée positive engendre une émotion positive qui conduit à entreprendre une action positive,
action donnant elle-même naissance à une nouvelle pensée positive, et ainsi de suite.
 Pratiquez une activité physique. Si vous avez tendance à vous laisser aller, essayez le sport. Il
permet la libération d’endorphine dans l’organisme. Contraction de « morphine endogène »,
l’endorphine est une substance qui non seulement diminue la douleur, mais apporte également
une sensation de bien-être qui permet de retrouver le sourire et le plaisir de vivre dans
l’adversité. C’est également la substance que notre corps produit après l’orgasme.
 Prenez des initiatives altruistes. Qu’il s’agisse simplement d’un geste, comme aider un voisin
ou une voisine à monter ses courses, d’une parole réconfortante ou agréable, comme un
compliment sincère et désintéressé, ou encore d’une action, comme proposer à votre partenaire
ou à une amie de sortir pour fêter un évènement heureux de sa vie, les
initiatives altruistes aident à retrouver le sourire, la joie et le plaisir de vivre. Rendre quelqu’un
heureux rend heureux, c’est aussi simple que cela.
 Recentrez-vous sur l’essentiel. Compte Facebook et autres réseaux sociaux, séries télévisées
à n’en plus finir, jeux vidéo, accès facile à l’information en temps réel, contact permanent avec
ses proches via les applications des smartphones : le moins que l’on puisse dire, c’est que le 21e
siècle a son lot de distraction. Si vous avez perdu le plaisir de vivre suite à une dépression et
que vous cherchez comment retrouver le moral, ou que vous vous demandez comment retrouver
la joie de vivre après un deuil ou une rupture, vous recentrer sur vous-même et prendre du recul
face au brouhaha du monde pourrait vous être bénéfique. Vous pouvez par exemple essayer de
faire une journée sans smartphone ou un week-end sans écrans.

 Changez votre rapport au temps pour donner priorité à l’essentiel. Combien de fois
entendons-nous ou prononçons-nous la phrase « J’ai pas le temps » ? Autant être clair : c’est
faux. Tout le monde dispose de 24 heures dans une journée. Ce que nous faisons de ce temps
est ensuite une question de choix. Si vous voulez absolument faire une chose, donnez-lui la
priorité sur une autre qui vous prend du temps et est moins essentielle. Sortez des sentiers
battus, aménagez votre temps et votre vie à votre guise car vous avez le temps de vivre vos
passions. Prenez votre courage à deux mains, arrachez-vous aux habitudes et lancez-vous dans
de nouvelles expériences : faites enfin ce que vous avez toujours voulu faire.
 Écoutez votre cœur et votre intuition. Votre instinct et vos sentiments constituent votre vérité.
Les refouler, les ignorer ou perdre le contact avec eux ne les élimine pas. Faites de
votre intuition votre alliée ; elle constitue la plus fiable des boussoles pour déterminer ce qui est
bon pour vous et ce qui ne l’est pas.
Vous voulez d’autres conseils sur comment retrouver le moral et la joie de vivre après un deuil,
une dépression ou une rupture ? Vous voulez retrouver le sourire et découvrir ce que l’avenir
vous réserve après un coup dur ? Découvrez notre équipe de médiums et de voyants.
Choisissez le consultant qui vous convient et profitez d’une première consultation gratuite sans
complaisance.

 https://nospensees.fr/retrouver-sa-joie-de-vivre/

Des idées pour retrouver votre joie de vivre

Il est important de savoir où vous voulez aller. Si tout va mal dans votre
vie, et que vous vous focalisez sur tout en même temps, vous aurez envie de
jeter l’éponge, car vos pensées seront si désordonnées que vous ne serez
pas par où commencer.
De la même façon, quand vous avez beaucoup de taches à accomplir, si
vous commencez à penser à la multitude de choses que vous devez faire,
vous n’aurez plus envie de rien faire. Il faut avancer petit à petit, et ne pas
laisser votre esprit mélanger tous les problèmes.
Pensez seulement à une chose que vous souhaitez. Vouloir trop de
choses à la fois peut faire que votre attention parte dans tous les sens
et qu’au final vous ne parveniez à rien.
Il n’est pas nécessaire de grimper les escaliers deux par deux. Si les choses
vont mal, acceptez la situation, et soyez conscient du fait que les êtres
humains ont un esprit créatif et qu’ils peuvent atteindre leurs objectifs, mais
petit à petit.
Pensez à tous ces aspects qui ne vont pas si bien, et écoutez votre voix
intérieure. À quelle situation avez-vous envie de remédier sur le court
terme ? Qu’est-ce qui vous redonnera le sourire aux lèvres?
La réponse à ces questions se trouve dans votre cœur, et non dans votre
tête. Chaque personne est un monde et les moyens de retrouver la joie de
vivre sont propres à chacun. La priorité de l’une peut être d’avoir de bons
amis avec qui elle peut partager ses passions, alors qu’une autre préférerait
trouver le partenaire idéal, etc…
Écoutez cette petite voix à l’intérieur de vous, et essayez de trouver ce
qui réveillera votre joie. Une fois que vous saurez dans quelle direction
avancer, vous commencerez à sentir la motivation pour obtenir ce que
vous désirez.
Arrêter de se positionner comme victime

Si vous adoptez l’attitude de la victime, si vous pensez que plus rien ne vaut
la peine, que vous n’êtes bon à rien, oubliez dès à présent ce type de
comportement.
Si vous voulez allez de l’avant, le fait de vous placer comme victime ne
vous mènera nulle part. Les personnes qui parviennent à se relever après
être tombées sont celles qui croient en elles.
Action et persévérance

Vous n’obtiendrez rien en restant inactif, c’est pourquoi si vous savez déjà ce
qui vous redonnera le sourire, commencez dès maintenant à penser aux
actions à entreprendre pour y parvenir.
Il n’est pas nécessaire de faire beaucoup si vous êtes vraiment
démotivé, mais si vous faites ne serait-ce qu’un pas, vous verrez que le
reste suivra de lui-même.
Nos exigences sont le plus grand problème qui se pose à l’heure
d’entreprendre n’importe quelle action. Nous voulons tout avoir tout de suite
et sans effort, mais si vous n’y mettez pas du vôtre, vous n’arriverez à rien.
En outre, vous pouvez vous inscrire à de nouvelles activités pour rencontrer
de nouvelles personnes, car le simple fait de vous ouvrir aux autre vous
aidera énormément à sortir de la négativité.
Le bonheur est sur votre chemin

Obtenir ce que nous voulons est important, mais le plus important est de
profiter de l’instant présent, d’autant plus si nous traversons une période
difficile. Si vous empruntez le chemin vers vos rêves, vous verrez que vous
serez de plus en plus motivé.
Profitez de tout ce qui vous entoure, et contentez-vous des choses
simples. Réapprendre à apprécier les petites choses est ce qui aide le
plus à sortir d’un état de pessimisme et de tristesse. En effet, la plupart
des personnes n’apprécient plus ce qu’elles ont, et ne voient plus le grand
pouvoir qui est à leur portée.
Si nous n’avions pas la capacité de penser, il n’y aurait pas de place pour la
tristesse. Notre esprit ne se focaliserait pas sur les problèmes, mais
profiterait du monde qui nous entoure, comme si chaque jour était notre
dernier jour.
Essayez de garder un esprit calme, et de profiter de ce qu’il y a autour de
vous. Tous les chemins sont semés de bonnes choses, mais si vous fermez
les yeux, vous ne les verrez pas.
Continuez d’avancer, et autorisez-vous à ressentir ce que vous
ressentez. De cette façon, vous trouverez de nouvelles choses qui
vous réjouiront et qui réveilleront votre âme.
Remplissez votre vie de musique entraînante

La musique est source de motivation. Même si vous n’avez pas envie,


mettez de la musique entraînante qui envoie des messages positifs. Une
goutte d’eau qui remplira petit à petit votre vide intérieur.
Lorsque l’esprit reçoit des ondes motivantes, il s’active, et synchronise le
cœur au rythme des notes musicales, ce qui vous donnera envie de réaliser
les choses avec plus d’entrain.
Photographies avec l’aimable autorisation de Pablo Fernández et Esparta
Palma.

ATTIRER L’ABONDANCE
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Sommaire

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> https://debtsolutions.bdo.ca/fr/solution-dette/signes-de-probleme-financier/

Les signes de problèmes financiers


Vous vous demandez si vous avez besoin d’aide pour résoudre vos problèmes financiers? En
considérant les signes suivants, vous pouvez faire une meilleure analyse de votre situation
financière. Plus vite vous reconnaissez les signes de problèmes financiers, plus grande sera la
variété d’options qui vous permettra de rembourser votre dette et de prévenir de plus sérieux
problèmes.

Quels sont les signes de problèmes financiers?


 Vous ne remboursez que le montant minimum demandé
 Vous utilisez une carte de crédit ou une marge de crédit pour payer le solde d’une autre carte
 Vous dépassez souvent les dates limite de paiement
 Vous évitez de payer certaines factures afin de pouvoir en rembourser d’autres
 Vous utilisez une carte de crédit comme source de financement plutôt que par commodité
 Vous dépassez les limites d’emprunt de vos cartes de crédit, de votre découvert ou de votre
marge de crédit
 Vous utilisez l’avance de fonds d’une carte de crédit afin d’en rembourser une autre
 Tout votre argent est dépensé le même jour où vous recevez votre paie
 Vous empruntez de l’argent à vos amis et votre famille
 Vous recevez des appels de créanciers et d’agences de recouvrement
 Vous ressentez du stress et de l’anxiété lorsque vous pensez à vos finances
 Vos services de télécommunications, d’électricité ou autres ont été coupés
Si vous faites face à un de ces signes d’ennuis financiers, vous devrez peut-être avoir recours à
de l’aide professionnelle afin d’en apprendre davantage sur les solutions à l’endettement. Les
conseillers de BDO analyseront soigneusement votre situation financière, répondront à toutes
vos questions et prendront le temps de vous détailler chacune des options, de manière à ce que
vous preniez la meilleure décision pour votre famille. Offrez-vous une tranquillité
d’esprit. Contactez un bureau BDO près de chez vous ou demandez à recevoir un appel, pour
une consultation gratuite et sans obligation.
Sommaire

Pourquoi avez-vous des problèmes


financiers?
Posted by Karl Roussel on 6 / Fév / 2017
Cette année, aimeriez-vous prendre le contrôle de votre vie cette année et avoir du
temps pour faire ce que vous désirez?
Croyez que vos dettes sont le résultat du hasard?
Êtes-vous conscient que vous vivez dans un système économique malade?
D’entrée de jeu, je vais me répéter, mais ces questions sont très importante :
Pourquoi voulez-vous plus de temps? Que voulez-vous accomplir dans votre vie?
Quels sont vos rêves?

Certaines personnes ne réussissent pas à passer à l’action afin de prendre le


contrôle de leur vie. Pourquoi? Parce qu’ils n’ont pas de rêves assez gros! Et la
raison pour laquelle il en est ainsi est que nous nous sommes fait retirer notre liberté
de rêver et d’imaginer un monde meilleur pour nous et pour notre famille.
Comment? Avec des phrases telles que:
 Ne rêve pas en couleur;
 La vraie vie c’est difficile;
 Tu es né pour un petit pain;
 Attention de ne pas faire d’erreur;
 Soit raisonnable;
 L’important c’est de participer;
 Ne fait pas d’ombre à ton voisin;
 C’est la faute du gouvernement, de tes parents, de ton chien, de ton enseignant de quatrième
année, de ton poisson rouge, etc.
La liste peut malheureusement s’allonger encore longtemps.
Et vous, quelles sont les phrases que vous avez déjà entendues?
Vous avez le choix de reprendre les commandes de votre vie et de votre situation
financière tel que mentionné dans ma chronique « Vos dettes vous mènent par le
bout du nez! Comment s’en sortir? ».
Oui, si vous laissez votre pouvoir entre les mains de l’argent, il mènera votre vie.
Pour rester maître de votre liberté et mettez l’argent à votre service. La raison d’être
de cet outil est de vous servir. Je vous invite à relire ma chronique en cliquant ici.
Vous méritez d’être libre, mais, pour y arriver, vous devrai faire les efforts
nécessaires. Et comme je l’ai dit dans ma chronique intitulée « Une façon infaillible
de vous enrichir! » :
Personne d’autre ne peut le faire à votre place.
Si vous avez lu ce texte jusqu’ici, je vous félicite. Vous êtes maintenant prêt à lire la
suite.

Comment prendre le contrôle de votre liberté?


D’abord, pour devenir libre, il vous faudra apprendre le fonctionnement du système
dans lequel vous vivez. L’un des premiers concepts à comprendre est que, dès votre
jeune âge, le système ne veut de vous qu’une seule chose :
Que vous arrêtiez de rêver!
Comment?
 Par le surendettement;
 Et en vous déresponsabilisant!

En ce qui concerne le surendettement, j’ai déjà expliqué dans ma chronique « Vos


dettes vous mènent par le bout du nez! Comment s’en sortir? ». Je vous invite à
retourner y jeter un œil.
Pour ce qui est de la déresponsabilisation, maintenant, voici de quelle façon ils s’y
prennent :
Le système vous fait croire que les dirigeants vont prendre votre avenir en main et
vont régler tous vos problèmes.
Je suis désolé, mais sachez que les gouvernements ont leurs responsabilités et que
vous avez les vôtres.
Votre liberté et celle de votre famille est à votre charge. Vous êtes l’unique
responsable de vos choix financiers.
Est-ce que vous considérez que devenir de plus en plus endetté est la solution à vos
problèmes?
Je suis persuadé que vos soucis sont liés à vos dettes actuelles, donc est-ce un
choix sensé de vouloir résoudre les problèmes créés par l’endettement avec
davantage de dettes?
C’est comme prendre des médicaments pour résoudre un problème créé par un
autre médicament, parce que vous avez fait des choix qui nuisaient à votre santé. Ici,
je parle de 90 % des problèmes de santé qui sont en fait causés par de mauvais
choix.
C’est exactement la même chose avec vos finances.
Voulez-vous vraiment attendre qu’un gouvernement prenne vos responsabilités ou
vous voulez poursuivre vos actions? Je parle ici de poursuite puisque présentement
vous faites un pas d’avec la lecture de cette chronique.

 http://laurezanellacoaching.fr/comment-attirer-labondance-dans-sa-vie/

Comment attirer l’Abondance dans votre vie


Pour avoir fait les montagnes russes dans le domaine financier pendant des années, je peux
vous dire que j’ai expérimenté toutes sortes de situations plus désagréables et flippantes les
unes que les autres…

Je me suis mise dans l’embarras un nombre incalculable de fois, j’ai passé de nombreuses nuits
sans dormir avec la boule au ventre, j’ai dû demander de l’aide à mes parents à un âge où on est
censé pouvoir se débrouiller seul depuis un moment… Bref, ça n’a pas été des plus digeste pour

mon ego.

Mais, ce que je trouve très intéressant aujourd’hui, c’est d’avoir un recul suffisant et de
comprendre concrètement ce qui a fait que j’ai créé dans ma vie tous ces bas et ces hauts aussi,
pour pouvoir orienter à présent ma vie financière en toute conscience.
Ça m’a demandé un peu d’entraînement, mais si j’y suis arrivée, vous pouvez le faire vous
aussi, et je vais vous expliquer aujourd’hui comment.
Alors bien sûr, il y a toute la partie théorie que vous connaissez sûrement si vous me suivez
depuis un petit moment. Il est important de définir clairement ses objectifs, de se libérer de ses
croyances limitantes (entre autres : tu ne mérites pas l’abondance, tu ne vaux rien, etc.) et de
faire en sorte de diriger son attention la majorité du temps vers cette abondance qu’on veut attirer
à soi plutôt que de ne penser qu’aux dépenses, aux difficultés et aux dettes.

Mais ce que je vous dirais aussi, c’est que finalement, la mise en pratique de tout ceci n’a pas à
être compliquée et à représenter un travail de titan. Elle peut aussi être beaucoup plus légère et
naturelle, et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui…

Sommaire

L’intérieur et l’extérieur
Premières difficultés
Je vous propose à présent une petite excursion au sein de mon passé, où nous allons visiter les
résultats obtenus d’un point de vue concret d’un côté, et mon état d’esprit de l’autre …

Je vous invite d’ailleurs pendant ce voyage à ramener tout ceci à vous et à voir où vous-même
en étiez à tel ou tel moment de votre vie, à l’intérieur aussi bien qu’à l’extérieur, sur le plan
concret. Ceci vous permettra de tisser plus clairement le lien qui existe entre ce qui se passe en
vous et ce qui se déroule au-dehors, car une fois cette cohérence clairement perçue, il vous sera
d’autant plus facile d’utiliser ce processus délibérément.
À quel moment ai-je rencontré mes premières difficultés financières ? Eh bien, c’était en 2006,
lorsque j’ai pris mon premier appartement.

Avant de me lancer dans cette nouvelle aventure, j’avais fait mes petits calculs, j’avais de l’argent
de côté et comme j’avais déjà un certain recul sur mon activité professionnelle, je savais que je
pouvais quitter le nid familial tranquillement et que je m’en sortirais sans peine.

Puis arrivée sur place, un premier imprévu est tombé au bout d’un mois, suite à un malentendu
avec mon opérateur téléphonique… Une grosse facture supplémentaire du coup. J’avais
heureusement rentré suffisamment d’argent pour pouvoir couvrir cette facture en plus, donc
jusque-là tout allait bien…

Par contre, j’avais le sentiment d’avoir été dupée par mon opérateur et ça m’avait mise très en
colère… Et devinez ce qui s’est passé ensuite… Eh bien d’autres imprévus ont commencé à
tomber, à répétition. Pas du côté de mon opérateur téléphonique, mais à bien d’autres niveaux.
Je suis donc restée focalisée sur cet imprévu => J’ai attiré à moi d’autres imprévus
Pendant un temps, je réussis malgré tout à gérer la situation et à rester à flots… Jusqu’au jour où
un service de paiement que j’avais testé à l’époque avant d’utiliser Paypal ne ferme boutique en
emmenant avec eux les 1400€ qu’ils devaient encore me régler…
Là, il ne s’agissait plus d’un petit imprévu, mais d’une énorme partie de mes revenus qui
disparaissait d’un coup + un immense sentiment d’injustice parce que j’avais travaillé dur pour
gagner cet argent, je m’étais beaucoup impliquée dans ce que je faisais et ça m’a mis un coup de
massue sur la tête.

Sans que je n’aie rien demandé, mes parents m’ont spontanément donné une bonne partie de la
somme pour me permettre de rebondir, mais intérieurement, j’étais terriblement mal. J’étais
écoeurée de ce qui s’était passé, et ma motivation a en même temps fait une chute libre parce
que je me disais « A quoi bon me donner autant de mal si c’est pour qu’on me vole mon argent
ensuite »

Quand de mauvaises habitudes s’installent


À partir de là, j’ai commencé à me retrouver régulièrement en position de fragilité financière, et
comme mes parents, pensant bien faire, m’aidaient quand je ne m’en sortais pas seule, j’ai
commencé à intégrer l’idée que j’étais incapable de me débrouiller par moi-même, sans parler du
sentiment de culpabilité et de honte que je ressentais de ne pas pouvoir me débrouiller par moi-
même.

À ce moment-là, mon positionnement intérieur était donc le suivant : Je ne crois pas en moi + Je
me sens démotivée + J’ai peur de ne pas m’en sortir => Et au niveau des résultats, les
déséquilibres s’enchaînaient…
Ensuite, à partir du moment où je me suis mise en couple, j’ai retrouvé mon élan, ma motivation
et mon enthousiasme et j’ai pu lâcher petit à petit mes inquiétudes par rapport à l’argent.
Résultat : L’abondance a commencé à circuler à nouveau dans ma vie et je gagnais toujours
assez pour payer la totalité de mes factures et tout ce qui était nécessaire.

Bascule suivante
Quelques années plus tard, lorsque j’ai divorcé, voilà ma grande copine la peur qui a refait
surface. Même si j’avais eu des résultats financiers réguliers les années passées et que
techniquement j’étais censée bien m’en sortir seule, j’ai commencé à avoir peur de ne pas y
arriver, et qu’est-ce qui s’est passé ?
Les difficultés sont réapparues… Plus ça avançait, plus j’étais stressée, et plus les problèmes et
imprévus en tout genre déboulaient de tous les côtés…

À l’inverse, dès que j’arrivais à m’apaiser, tout se remettait à bouger dans le bon sens.
J’ai aussi remarqué que lorsque certains événements détournaient totalement mes pensées de
l’argent, celui-ci se mettait spontanément à couler à flots. Je l’ai malheureusement constaté lors
de deux décès dans ma famille, mais il a été intéressant de constater que dès que j’arrêtais de
penser à l’argent (et donc de ruminer mes inquiétudes) tout se mettait à bouger quasi
instantanément, et c’en était même impressionnant.

C’était comme appuyer sur un interrupteur… Je mettais celui-ci sur OFF et l’abondance coulait à
nouveau librement vers moi…

Et dès que l’interrupteur à inquiétudes était de nouveau sur ON, les difficultés revenaient.

Trouver l’équilibre
Alors bien sûr, j’ai utilisé toutes sortes d’outils pour travailler sur mes croyances limitantes,
pour reprogrammer mon subconscient également, ce qui m’a permis de faire sauter de gros
verrous de ce côté et de faire passer ma vie financière à un tout autre niveau, mais je vous dirais
aussi que dès lors qu’on perçoit clairement cette bascule qui s’effectue en nous, au niveau de
notre état d’esprit, et qu’on observe les résultats associés, il devient de plus en plus facile d’agir
délibérément pour créer cette bascule et nous permettre de revenir constamment vers le positif.
Ces derniers mois, à chaque fois que je remarquais que j’étais stressée au sujet de l’argent, je
remarquais aussi que le plan concret avait tendance à freiner….

Et à chaque fois que j’ai travaillé sur mon stress, l’abondance s’est à nouveau mise à circuler
librement.

La seule chose que vous ayez à faire au final, c’est d’observer ce qui se passe en vous, de voir si
vous êtes plutôt dans la confiance et la sérénité, ou si c’est de l’inquiétude et du stress qui
occupent l’espace, et si c’est le cas, de faire quelque chose de concret pour vous libérer de ces
sentiments pesants.
Vous pouvez utiliser « Le Travail » de Byron Katie dont je vous ai déjà parlé pour remettre en
question vos pensées stressantes, vous pouvez utiliser la méthode Sédona, commencer à vous
demander quelles seraient les solutions possibles pour vous si vraiment vous deviez rencontrer
de grosses difficultés jusqu’à vous sentir parfaitement en sécurité en sachant que d’une façon ou
d’une autre, vous rebondirez, vous pouvez faire du sport ou tout un tas d’autres choses qui vous
permettront d’évacuer votre stress et de revenir à un état intérieur plus serein…
Il n’y a pas une seule méthode qui est capable de résoudre tous les problèmes de tout le monde,
mais il existe suffisamment de techniques et d’outils pour que chacun puisse trouver ceux qui lui
permettront de trouver la paix en lui et d’avancer comme il le souhaite.
L’abondance est pour vous aussi !
Créer l’abondance dans sa vie n’est pas une sorte de luxe réservé à des élus… L’abondance
est accessible à tous, et sans aucune limite.
Ce qu’il est important de comprendre ici, c’est que la seule chose qui va permettre ou non à
l’abondance de circuler librement vers vous est ce qui se passe EN VOUS.
À chaque fois que j’ai été dans la peur ou les doutes, le « robinet » d’abondance s’est refermé. Et
de la même façon, à chaque fois que j’ai lâché prise, que j’ai décidé de laisser faire et de faire
confiance à la Vie, le « robinet » s’est à nouveau ouvert en grand.

J’ai répété ces scénarios un nombre suffisant de fois pour ne plus pouvoir douter une seule
seconde du lien qui existe entre l’intérieur et l’extérieur, et si vous prenez un peu de temps pour
examiner ce qui se passe en vous et les résultats que vous obtenez, vous en arriverez sans
doute très vite à la même conclusion.

Et ceci est bien évidemment valable dans tous les domaines de la Vie.
Alors peut-être que finalement, on pourrait se mettre un peu moins la pression avec la théorie et
prendre simplement le temps d’observer ce qui se passe en dedans, car c’est de la que tout
part, et c’est en faisant de petits ajustements progressifs de ce côté que toute votre vie pourra

basculer comme vous le souhaitez


Mais ne croyez pas un mot de ce que je vous dis, et allez expérimenter ceci par vous-même, car
c’est le seul moyen de vérifier de quoi il retourne.
Et si vous avez envie de partager vos expériences et réflexions à ce sujet avec les autres
lecteurs, je vous donne rendez-vous dans l’espace de commentaires en bas de page.

En vous souhaitant à tous une jolie journée, et que l’abondance puisse couler vers vous de façon
illimitée !
Laure

 https://www.hypnosecsnm.com/problematiques-traitees/suscitez-
labondance
La réalité dans laquelle nous vivons est créée par nos pensées et nos comportements. Pour amener l’abondance
dans notre vie, il faut amener nos pensées et nos comportements vers une zone de positivisme et laisser aller
nos pensées négatives.
L’abondance peut toucher plusieurs parties de notre vie:
 L’abondance sociale
 L’abondance financière
 L’abondance au niveau du temps
 L’abondance dans l’intimité
L’hypnose peut vous aider à vous concentrer et à apprécier ce que vous avez déjà plutôt que ce qu’il vous
manque dans votre vie. En partant de ce point, il sera plus facile de bâtir avec se qu’il fonctionne et de vous fixer
les objectifs que vous désirer atteindre.
Faites travailler votre subconscient à votre avantage. Incluez-y de nouvelles perspectives qui viendront vous aider
à avoir une vie épanouie qui attirera l’abondance.
Vous devez être riche dans votre pensée et dans votre esprit avant de pouvoir accéder à la richesse extérieure.
L’hypnothérapie apprend à ouvrir votre esprit pour saisir toutes les chances qui s’offrent à vous. Vous êtes plus
proches de l’abondance que vous ne le croyez. En étant plus confiant en vous et par votre positiviste, vous
améliorerez vos rapports sociaux avec les autres et ainsi vous vous ouvrirez les portes menant à l’abondance.
Soyez confiant en votre potentiel et changez vos croyances négatives.
Graduellement vous vous mettrez à y croire et à voir les possibilités qui s’offrent à vous. Vous serez plus productif
et efficace à votre travail. Vous verrez les choses de manière différente et vous profiterez de toutes les chances
qui s’offrent à vous. Ne laisser plus rien vous privé de l’abondance dont vous mérité et faite appel à
l’hypnothérapie.
DESIR SEXUEL

Recherche 1 > Causes de la baisse de libido

Recherche 2 > symptômes du baisse de libido


Recherche 3 >

 https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido

La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Le désir
sexuel peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou
des pensées.

L’intensité du désir dépend de différents facteurs tels que la qualité de la relation de


couple, la santé physique, l’état psychologique ou des événements qui jalonnent la
vie (grossesse, deuil, stress au travail, etc.). La baisse du désir sexuel fait partie des
différentes dysfonctions sexuelles que peuvent rencontrer l’homme et la femme à
tout moment de leur vie.

Une baisse de libido devient problématique lorsqu’elle inquiète la personne ou son


partenaire et affecte la relation amoureuse. Toutefois, cet état n’affecte pas toujours
la capacité d'avoir des relations sexuelles.

Causes de la baisse de libido

Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-
être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations
intimes.

Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause physique telle que :

 Un problème d’ordre sexuel, par exemple de la douleur durant les relations sexuelles
ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
 Une maladie. Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple
l’arthrite, le cancer, le diabète, une haute pression sanguine (hypertension), une
dépression ou des maladies neurologiques.
 Les effets d’un médicament. Plusieurs médicaments, tels que certains
antidépresseurs (par exemple la paroxetine comme Paxil® ou Pexeva®, et la
fuoxetine comme Prozac® et Sarafem®) diminuent souvent le désir sexuel. D’autres
médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de
cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.
Si vous prenez des médicaments et que vous ressentez une diminution de désir sexuel,
commencez par lire sur votre notice les effets indésirables de votre médicament.
 Une chirurgie. Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent
affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
 L’alcool ou les drogues. Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la
libido.
 La fatigue. L’excès de fatigue causé par exemple par le soin apporté à des parents
âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.

Des changements hormonaux :

 La ménopause. Durant la transition vers la ménopause, les niveaux d’œstrogène


des femmes chutent. Cela peut provoquer une sécheresse vaginale, donc des
relations sexuelles douloureuses ou inconfortables pouvant être à l’origine d’un
évitement des relations sexuelles. En revanche, si après la ménopause, les ovaires
secrètent très peu d’estrogènes, ils continuent à secréter des quantités relativement
importantes d’androgènes (testostérone…) ce qui explique parfois l’apparition de
quelques poils disgracieux sur le visage à cet âge. Néanmoins, ce taux d’androgènes
devient moins élevé qu’avant la ménopause, ce qui peut entrer en compte dans une
diminution de désir sexuel.
 La grossesse et l’allaitement. Les changements hormonaux durant la grossesse,
de même qu’après l’accouchement et l’allaitement peuvent affecter le désir sexuel.
Non seulement les hormones, mais la fatigue, les changements corporels et le stress
engendré par la naissance d’un nouveau bébé peuvent affecter le désir sexuel.
 La prolactine. Une élévation anormale de la prolactine (une hormone responsable,
entre autres, du déclanchement et du maintient de la lactation) bloque le désir sexuel,
chez l’homme, comme chez la femme.
 Un faible taux de testostérone. Chez les hommes, la testostérone est produite dans
les testicules. Cette hormone est essentielle au maintient de la densité osseuse, de la
distribution des graisses, de la masse musculaire, de la production de globules
rouges, de la production de spermatozoïdes et du désir sexuel. Avec l’âge, la
testostérone diminue graduellement (d’environ 1% par an après l’âge de 30 ans).
Parfois, la testostérone peut diminuer de manière très importante avec l’âge (Déficit
Androgénique lié à l’âge ou DALA). Une baisse de testostérone peut aussi être due à
une maladie (par exemple l’hypogonadisme).
 La pilule contraceptive. La prise de la pilule contraceptive a tendance à faire
diminuer la libido chez 20 à 40 % des femmes, parce qu’elle diminue la quantité de
testostérone circulant dans le sang chez les femmes.

Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause psychologique, telle que :

 Un abus sexuel dans l'enfance.


 Une dépression.
 Un stress intense relié à une situation financière ou un travail.
 Une faible estime de soi.
 Une relation amoureuse conflictuelle (manque de communication, conflits non-
résolus, infidélité, manque de confiance en son partenaire).
Les principaux facteurs de baisse du désir sexuel
Les causes de troubles du désir féminin sont donc multiples. Un certain nombre d’entre elles sont
toutefois reconnues comme fréquemment présentes. Premièrement, il existe des causes liées à
la santé physique, telles que la fatigue, le manque d’activité physique, certaines maladies
génétiques, des affections gynécologiques (par exemple infections vaginales) et/ou urologiques
(par exemple cystite), des maladies hormonales, neurologiques et infectieuses, ou encore des
maladies chroniques.
La prise de certains médicaments (notamment des antidépresseurs) peut également être la
source de troubles du désir, tout comme la consommation de drogues ou d’alcool de manière
excessive.
Certains facteurs psychologiques sont aussi connus pour avoir des répercussions sur la libido. Le
stress et l’anxiété bien sûr, mais également les troubles psychiatriques comme la dépression ou
les troubles anxieux. Des expériences sexuelles négatives du passé, une éducation sexuelle
rigide, culpabilisante, une aversion envers certaines pratiques sexuelles, des traumatismes
sexuels (abus sexuel, viol, etc.) ou encore l’anxiété de performance ou la peur de l’échec sexuel
peuvent avoir d’importants effets négatifs sur le désir.
Enfin, des facteurs relationnels comme une peur de l’engagement, des attentes négatives envers
la relation avec le partenaire (peur de l’abandon, de l’infidélité, etc.), trop de demandes et besoins
sexuels du partenaire ou encore un traitement d’infertilité peuvent altérer la libido.
L’important est de rester attentif à soi, à son corps, et ne pas hésiter à parler de ses doutes avec
un spécialiste.

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 https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido-
symptomes
 Références
Symptômes de la baisse de désir
 Une disparition inexpliquée et prolongée du désir sexuel.
 Parfois, une répulsion systématique à l'égard des activités sexuelles. Ce symptôme
se manifeste surtout en cas de blocage psychologique.
Personnes à risque de la baisse de libido
 L’âge. La baisse de désir sexuel peut survenir à n'importe quel âge, mais elle se
manifeste plus fréquemment à mesure que l'homme ou la femme vieillit.
Facteurs de risque du manque de désir
 Les couples vivant des conflits conjugaux.
 Les personnes ne se sentant pas respectées par leur partenaire.
 Les personnes souffrant de maladie chronique.
 Les personnes ayant des soucis importants (chômage, accident de la vie, maladie
grave d’un proche, décès dans l’entourage…)
 Les personnes abusant des images pornographiques.
Prévention de la baisse de désir
Mesures préventives de base
Afin de maintenir le désir sexuel et d’augmenter le plaisir au cours des relations sexuelles
:

 Assurez-vous de maintenir une bonne communication avec votre conjoint ou votre


conjointe.
 Échangez avec votre partenaire sur ce qui vous procure du plaisir lors des relations
intimes.
 Faites preuve d'imagination et de fantaisie.
 Après la ménopause, ayez une attitude ouverte et positive face à votre sexualité. Malgré le
déclin des hormones, il est tout à fait possible de maintenir une belle vitalité sexuelle.
 http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/savoir/articles/16208-therapie-sexuelle.htm

Dans quels cas avoir recours à la thérapie sexuelle ? Lorsqu'une personne fait
face à un problème sexuel et décide de se faire aider par un spécialiste, la plupart
du temps, elle ne sait pas où aller, ni à quoi s'attendre de la consultation.
Découvrez l’essentiel sur la thérapie sexuelle.
Qu'est-ce que la thérapie sexuelle ?

La sexologie étudie la sexualité des hommes. Mais concrètement qu'est-ce que la


sexualité ? La sexualité est une réalité bio-psycho-sociale, c'est-à-dire qu'elle englobe
des aspects biologiques, psychologiques et sociaux. Il s'agit d'un concept dynamique.
Notre sexualité ne sera pas la même dans toutes les étapes de notre vie, et elle est
toujours unique et différente de celle des autres personnes. Et bien évidemment, elle
est étroitement liée au sexe.

Sexe ne veut pas dire uniquement parties intimes, ni pénétration, ni orgasme, bien qu'il
englobe tous ces aspects, et bien plus encore...Nous naissons sexués et nous le
serons jusqu'à la mort, même quand nous ne savons pas où se trouvent nos parties
génitales ou quand nous ne pratiquons pas la pénétration.
La sexologie étudie donc ce vaste concept qu'est la sexualité. Les sexologues ne sont
pas tous psychologues, il y a aussi des médecins, des sociologues, des pédagogues...
Ce sont également des thérapeutes et des éducateurs.

Dans quels cas dois-je aller voir un thérapeute sexuel ?

C'est surtout si vous avez besoin d’aide, sexuellement parlant. Chasser les doutes et
les idées reçues sur la sexualité améliore la qualité des rapports sexuels. Mais
attention, les sexologues ne peuvent pas répondre à des questions comme " Comment
réaliser de meilleures pratiques sexuelles ?" ou " Qu'est-ce qui plait à mon
partenaire ?". Chaque personne est un monde, il est impossible de généraliser les
goûts et préférences de chacun et la meilleure façon d'avoir des réponses à ces
questions, reste d'en parler avec son partenaire.
 Si votre vie sexuelle a changé et vous ne parvenez pas à vous adapter (par exemple, des
changements provoqués par des troubles physiques comme les changements hormonaux
pendant la ménopause, ou des changements radicaux comme une séparation amoureuse ou
l'arrivée d'un ou plusieurs enfants dans la famille).
 Si votre partenaire et vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde côté sexe.
 Si vous avez remarqué une baisse notable de votre libido durant les 6 derniers mois ou depuis
moins longtemps et si celle-ci a affecté vos rapports intimes avec votre partenaire.
 Si vous avez des difficultés à atteindre l'orgasme seul(e) ou à deux.
 Si vous êtes une femme et ne pouvez pas pratiquer la pénétration ou que cela vous fait mal.
 Si vous ne prenez pas de plaisir pendant vos rapports.
 Si vous n'arrivez pas à avoir d'érection ou la perdez rapidement.
 Si vous contrôlez mal votre éjaculation.
Comment savoir si mon problème n'est pas provoqué par une cause
physique ?

Certains problèmes sexuels peuvent être provoqués par des maladies ou des effets
secondaires à des médicaments. Si vous prenez un traitement, il est important de bien
lire la notice pour écarter tout risque. Les contraceptifs hormonaux peuvent par
exemple favoriser la sécheresse vaginale et pourraient avoir une influence sur la
libido.
Comment déterminer si vos problèmes sexuels sont liés à des causes physiques et si
vous devez vous rendre chez le médecin ? Demandez-vous depuis quand vous en
souffrez et si le problème se présente toujours (sans exception).

 Si un homme a du mal à maintenir une érection à chaque fois qu'il veut avoir un rapport sexuel,
pour toutes les pratiques censées l'exciter ( sexe oral, masturbation...), aussi bien seul qu'à
deux, il doit aller consulter un médecin car il y a de fortes chances pour que ce soit lié à un
problème physique. Mais pour les exceptions, par exemple, si les troubles de l'érection se
présentent uniquement avec la partenaire et jamais en solitaire ou pendant la pénétration
uniquement et jamais pendant le sexe oral, alors là le problème n’est pas essentiellement
physiologique.
 Quant aux problèmes d'éjaculation précoce, certaines maladies comme la prostatite peuvent
rendre difficile la discrimination de sensations et empêcher le contrôle de l'éjaculation. Mais
en général, ce problème est lié à des causes psychologiques comme l'anxiété et la
surexcitation ou à une méconnaissance de sa propre réponse sexuelle.
 En cas de douleur pendant la pénétration, il est conseillé d'aller consulter un gynécologue pour
écarter toutes causes physiologiques. Ces causes sont écartées si la femme peut introduire
un sextoy de taille similaire au pénis de son partenaire, sans aucun problème mais qu'elle
souffre de douleurs pendant les rapports. Si le spécialiste ne trouve aucune pathologie, il faut
alors avoir recours à une thérapie sexuelle.
 Les problèmes de baisse de désir ou d'absence de désir, hormis ceux liés aux hormones, se
traitent toujours par une thérapie sexuelle.
En quoi consiste une thérapie sexuelle ?

Pendant les premières consultations, le spécialiste rassemble toutes les informations


importantes pour établir un diagnostic le plus précis possible et prend en compte les
objectifs du patient, pour travailler avec lui et l'aider.

Le travail individuel en dehors des consultations est très important, le sexologue donne
des "devoirs" ou des exercices à faire à la maison seul(e) ou en couple. La personne
qui vient consulter doit avoir une réelle envie de changer la situation actuelle car c'est
elle, avec l'aide et les conseils du thérapeute, qui, pas à pas, améliorera les choses
pour atteindre son objectif.

Le travail éducatif est essentiel, une grande partie des problèmes sexuels sont dus à
une éducation sexuelle insuffisante ou erronée. Il est primordial de chasser de votre
esprit toutes les idées reçues et d'avoir une vision plus large de la sexualité.
Lorsqu'elle aura terminé la thérapie, la personne aura acquis certains réflexes et
mécanismes qui lui permettront d'être capable de travailler seule sa sexualité et de
s'adapter aux éventuels changements dans le cycle vital.

Ecrit par:

Jessica Xavier
 https://www.allodocteurs.fr/sexo/pratiques-et-libido/baisse-de-la-libido/sexe-comment-
retrouver-sa-libido_3849.html
Sexe : comment retrouver sa
libido
Comment faire quand on n'a plus envie de faire l'amour, que le désir
n'est plus là ? Que faire quand la libido est au point mort ? Cuisine,
thérapies de couple, secrets de séduction… Quels sont les moyens de
raviver la flamme ?
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 28/04/2011, mis à jour le 29/04/2015 à 16:23
Sexe : comment retrouver sa libido

Sommaire

 Qu'est-ce que la libido ?


 L'appétit (sexuel) vient en mangeant
 Sexualité : pimentez votre assiette !
 Massages : le désir au bout des doigts
 Après la ménopause, une nouvelle vie sexuelle ?
 Des jeux érotiques pour booster sa libido

Qu'est-ce que la libido ?


Michel Cymes et Benoît Thevenet expliquent la libido.

En cas de perte de désir sexuel, on parle d'anaphrodisie, de manque de désir. Les


femmes sont plus concernées que les hommes. Selon un sondage IFOP réalisé en
juin 2010, elles sont 53 % à être confrontées au manque de désir, 44 % pour ces
messieurs.

Le terme de libido vient du latin et signifie désir. Un terme issu de la psychanalyse


freudienne et désignant en quelque sorte l'énergie sexuelle qui engendre la pulsion.
Concrètement, pour en revenir à un plan purement biologique, notre libido dépend
des sécrétions d'hormones sexuelles. Testostérone, œstrogène et progestérone
entrent "en ébullition" dès l'adolescence, et déclenchent l'apparition des caractères
sexuels secondaires.

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Notre cerveau est directement relié aux organes sexuels par les différents messages
hormonaux, ce qui influence en partie notre comportement sexuel. Dans les deux
sexes, ce qui est au centre du mécanisme du désir, c'est la testostérone. C'est
l'hormone sexuelle mâle mais qui existe aussi chez la femme. Elle est produite par
les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.

Chez la femme, d'autres hormones interviennent. Les œstrogènes sont sécrétées en


début de cycle et atteignent le sommet de la production juste avant l'ovulation, la
libido augmente alors. Puis, c'est au tour de la progestérone d'être libérée, et là
comme c'est plutôt une hormone favorisant la grossesse, la libido tant à baisser
légèrement. Une autre hormone, la prolactine, joue elle aussi un rôle majeur dans
l'appétence sexuelle : plus elle est élevée, moins on en a envie de faire un câlin. Pas
étonnant, quand on sait que c'est une hormone qui stimule la production du lait au
niveau de la glande mammaire. Sa sécrétion augmente afin de déclencher
l'allaitement.

Mais la libido ne dépend pas uniquement des facteurs hormonaux. Les facteurs
psychologiques et environnementaux jouent aussi beaucoup.

L'appétit (sexuel) vient en mangeant


Préparation d'un menu gastronomique spécial dîner romantique.

Parmi les aliments que nous pouvons consommer au quotidien, certains contiennent
des substances capables d'influer sur notre libido comme le gingembre ou le wasabi.
Voici trois recettes pour réaliser un menu gastronomique (entrée, plat, dessert) pour
deux spécial dîner romantique, tel qu'il pourrait vous être servi dans un restaurant
étoilé.

 Carpaccio de betteraves, condiment passion et petites pousses de roquette à


l'huile de gingembre

- Eplucher, laver et tailler les 600 grammes de betteraves avec l'aide d'une
mandoline.
- Laver la roquette, puis tailler le demi citron confit et les 60 grammes d'olives.
- Dresser et enfin assaisonner avec l'huile de gingembre, l'huile d'olive, le piment
d'Espelette, le jus de citron et la sauce soja

 Minute de loup flashé au piment d'Espelette, risotto de courgettes en pêle-mêle,


sauce vierge aux cerises
- Habiller et lever les filets d'un loup de 500 g.
- Les tailler en fines lamelles puis les disposer dans un emporte-pièce et réserver au
frais.
- Réaliser le risotto avec deux courgettes, 1/2 citron confit, 30 g d'olives et une
tomate.
- Ajouter les herbes : cerfeuil, aneth, ciboulette, coriandre, menthe.
- Réaliser la sauce vierge avec 60 g de cerises et une échalote.

 Sucette de chocolat blanc wasabi, coque craquante à l'éclat d'amandes

- Réaliser la crème anglaise wasabi avec 20 g de lait, 1 jaune d'œuf, 8 g de sucre et


0,04 g de wasabi.
- Ajouter les feuilles de gélatine et 60 g de chocolat blanc et faire fondre doucement.
- Laisser refroidir puis incorporer les 60 grammes de crème fouettée. Mouler, puis
laisser au frais quelques heures.
- Quand les sucettes sont gelées, les tremper dans du chocolat noir et rouler dans
les éclats d'amandes.

Sexualité : pimentez votre assiette !


Si certains aliments boostent notre sexualité, encore faut-il savoir bien les utiliser.

Désinhibiteurs, stimulants, euphorisants… Les aphrodisiaques auraient de multiples


vertus. Dérivé d'Aphrodite, la déesse de l'amour dans la mythologie grecque, le
terme aphrodisiaque désigne des substances naturelles capables de stimuler notre
désir sexuel. Si le gingembre et le chocolat sont les plus connus, d'autres sont plus
inattendus.

Les ateliers culinaires se multiplient ces dernières années. Et parmi eux, des ateliers
de cuisine… aphrodisiaque ! Objectif : casser la routine et pimenter la relation
amoureuse.

Fraises, cannelle, chocolat… Les gourmandises aphrodisiaques sont au cœur de


ces ateliers. Durant plusieurs heures, les participants apprennent comment ces
aliments stimulent notre libido. Un voyage sensoriel organisé par une sexologue et
un nutritionniste.

Si certaines substances dopent nos performances sexuelles, c'est en grande


quantité qu'elles se révèlent vraiment efficaces. L'idée des ateliers est donc plutôt
d'apprendre à jouer avec les aliments pour qu'ils éveillent nos sens.
Massages : le désir au bout des doigts
Le massage ayurvédique contribue à renforcer la vitalité sexuelle.

Baisse de désir, absence de libido, difficultés à atteindre la jouissance… autant de


maux pour lesquels la sagesse ancestrale cherchait des philtres d'amour. Mais
aujourd'hui certaines de ces croyances sur les vertus nutritionnelles des plantes sont
validées par la science. Pour stimuler l'organisme, lutter contre le stress et favoriser
la circulation sanguinenotamment. Mais attention si certains produits peuvent
réveiller la féminité comme la sauge, ils ont parfois un effet inverse sur les
hommes…

Au-delà des plantes et de l'alimentation, certaines techniques corporelles peuvent


aussi jouer un rôle sur le désir sexuel. C'est le cas des massages aux huiles tels
qu'ils sont pratiqués en Inde.

Après la ménopause, une nouvelle vie sexuelle ?


La ménopause n'est pas toujours synonyme de libido en berne.

À la ménopause, la sexualité féminine peut être altérée par certains problèmes


physiques comme la sécheresse vaginale. Par ailleurs, la chronologie des rapports
change. Ces facteurs peuvent parfois entamer le désir dans un couple...
Heureusement ce n'est pas toujours le cas, certaines femmes retrouveraient même
une nouvelle jeunesse après la ménopause.

Des jeux érotiques pour booster sa libido


Comment réveiller son appétit sexuel ?

Perte du désir sexuel, baisse de la libido... En langage médical, on parle


d'anaphrodisie ou encore de désir sexuel hypoactif. Si on a longtemps pensé que
cela concernait surtout les femmes, de plus en plus d'hommes consultent aujourd'hui
pour ce problème.

Pour rebooster leur libido, certains n'hésitent pas à s'aider de jeux sexy et autres
accessoires coquins... Les "lovestore", version chic et moderne du sexshop, ont
d'ailleurs de plus en plus la cote. Le but de ce type d'enseignes est de proposer aux
clients en mal de libido des produits pour raviver la flamme.

Retrouver les douces sensations des débuts, surprendre, explorer, conquérir… tels
sont les objectifs des jeux et objets érotiques. Jeux sensuels, cadeaux coquins ou
petits mots doux… À chacun sa façon de réveiller le désir.
INTUITION

Recherche 1 > Développer son intuition


Recherche 2 > Comment apprivoiser ses intuitions
Recherche 3 >

 http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Personnalite/Articles-et-
Dossiers/Developper-son-intelligence-intuitive

Développer son intelligence intuitive


Les neurosciences le confirment : ni magie ni don, l’intuition est une forme d’intelligence présente en

chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour
suivre en toute confiance notre « boussole » intérieure.

Flavia Mazelin Salvi

Sommaire

 Une faculté qui embellit la vie


 Exercice 1 : Réveillez votre guide intérieur
 Exercice 2 : Faites le tri dans vos messages
 Exercice 3 : Testez une journée 100 % intuition
 Exercice 4 : Restez en contact avec votre guide

Pour le philosophe allemand Schopenhauer, elle était la marque de fabrique de toutes les oeuvres
de génie. Einstein, lui, la définissait comme une « sensation au bout du doigt
» (fingerspitzengefühl). Pour vous et moi, elle est une petite voix intérieure qui conseille, une
certitude fulgurante qui s’impose, ou encore une réaction corporelle plus ou moins intense. Les
plus réceptifs d’entre nous prennent en compte leur intuition, les autres la refoulent ou l’ignorent.
Même si son origine demeure mystérieuse, les neurosciences reconnaissent aujourd’hui qu’elle
peut être un allié non négligeable pour nous faciliter la vie. Ni sixième sens magique, ni don réservé
à quelques élus, l’intuition est une faculté à la portée de tous.
« La capacité intuitive consiste à percevoir des éléments contextuels et à les agencer de manière
adaptative pour trouver une solution nouvelle dans un programme préétabli ou dans une situation
répétitive, expose Roland Jouvent, professeur de psychiatrie et directeur du centre Émotion du
CNRS à la Salpêtrière, à Paris et auteur du Cerveau magicien (Ed. Odile Jacob 2002). Nous avons
une partie du cerveau rationnelle qui gère nos apprentissages et une autre plus émotionnelle,
relationnelle et adaptative, qui est capable de sortir des contraintes logiques répétitives. L’intuition
aurait à voir avec cette capacité à imaginer des réponses et des solutions hors “logique prédictible”.
» En clair, perdu en voiture dans une ville, nous pouvons soit demander notre chemin, soit suivre
notre feeling, c’està- dire nos « sensations - impressions », qui forment une sorte de certitude
flottante.
Pour autant, ce conglomérat intuitif n’est pas dépourvu de rationalité. « En réalité, pour les
neurosciences, explique la neurologue Régine Zékri-Hurstel, auteure avec Jacques Puisais
du Temps du goût (Ed. Privat 2010), il s’agit pour une bonne part d’informations sensorielles
captées par notre cerveau mais qui ne parviennent pas à notre conscience. C’est pourquoi
beaucoup de neuroscientifiques nomment l’intuition “inconscient d’adaptation”. Notre cerveau
arrive directement aux conclusions et nous fait prendre des décisions sans que nous ayons
conscience des perceptions subliminales qui nous y ont conduits. » La neurologue ajoute que notre
intuition « est connectée à notre banque de données sensorielles, toujours en mouvement, et
s’adapte en permanence pour percevoir le moindre changement. Les plus intuitifs sont donc ceux
qui ont le mieux développé leurs qualités sensorielles. L’émotion vient des sens, elle est essentielle
dans la capacité intuitive. » Une affirmation qui entre en résonance avec ce que constate le
psychanalyste Moussa Nabati. « Si l’on cesse d’être branché sur soi, si l’on entre véritablement en
empathie avec l’autre, alors on peut sentir, pressentir des choses, des événements qui ne sont pas
la projection de nos peurs, désirs ou angoisses. »
Une faculté qui embellit la vie
« Chacun a la capacité d’être intuitif, affirme Régine Zékri-Hurstel, chacun peut avoir accès à des
données diverses pour évaluer un contexte ou une personne, être averti d’un danger ou trouver
une solution nouvelle, mais le véritable “plus” de l’intelligence intuitive, c’est de contribuer à notre
bonheur. Plus précisément à notre “neuro-bonheur”, c’est-à-dire le fait d’intégrer l’ensemble des
données de notre environnement, de notre présent, pour améliorer notre devenir, et découvrir,
grâce à cette porte ouverte sur notre cerveau, les codes d’accès personnalisés de notre bien-être
sensoriel. »

Ainsi branchés sur nos sens, réceptifs à nos émotions et à notre « petite musique intérieure », nous
pouvons ressentir ce qui est vraiment bon ou mauvais pour nous. « Lorsque nous savons quelque
chose avec notre intuition, nous le savons avec nos os, notre coeur ; c’est une connaissance, une
certitude qui résonne dans l’ensemble de notre corps-être », estime Judee Gee, créatrice et
directrice de l’École de l’intuition, auteure de Comment développer votre intuition (Trajectoires
2010). Quelle relation laisser tomber ? Quelle proposition refuser ? Quelle direction suivre ? La
confusion règne souvent dans nos vies où les possibilités sont devenues infinies. L’intuition peut
être une boussole précieuse, une invitation à l’autonomie, l’opportunité de modeler son quotidien
au plus près de ses besoins, de ses envies et de ses compétences.

Selon Vanessa Mielczareck, coach spécialisée en intuition, cette faculté « nous fait gagner du
temps, nous rapproche de nos véritables aspirations, nous connecte à nos vraies ressources
intérieures. Encore faut-il oser lui faire confiance. Par essence, l’intuition est toujours juste. Lorsque
l’on se trompe, c’est parce que l’on n’est pas en présence d’une intuition, mais plutôt de l’expression
d’un désir, de l’imagination, d’une volonté, d’une peur ». Vanessa Mielczareck pointe trois
principaux obstacles : le manque de confiance en soi, l’hyperrationalisme et la négativité. Une fois
ces freins repérés et levés, on peut alors accueillir ses intuitions et choisir, en toute sérénité, de
leur faire confiance.

Exercice 1 : Réveillez votre guide intérieur


À pratiquer une fois par jour (matin ou soir), pendant au minimum une semaine.

Relaxez-vous en profondeur. Installez-vous confortablement. Expirez longuement, puis


amorcez un cycle d’inspirations-expirations calmes et profondes en relâchant vos muscles. Une
fois détendu, imaginez que vous déplacez votre conscience dans votre abdomen. À chaque
inspiration, descendez plus profondément en vous, jusqu’à vous sentir parfaitement relaxé.
Interrogez-vous : « De quoi ai-je besoin d’être plus conscient ? » Laissez la question cheminer
en vous et accueillez sans juger les réponses : images, mots, sensations, émotions… Il s’agit de
se mettre à l’écoute de votre guide intérieur. S’il est toujours muet au bout de deux ou trois jours,
essayez ces questions : « Quelle direction dois-je prendre en ce moment ? », « Que dois-je faire
maintenant ? Montre-moi. »
Notez vos messages, même s’ils vous semblent farfelus ou éloignés de votre demande.
Gardez-les pour vous. Avec le temps, un mot, un visage ou une sensation peuvent revêtir une
signifi cation qui vous a échappé au premier abord, parce que vous étiez dans une forme de pensée
causale et non analogique.

 https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=c
omment-apprivoiser-intuitions

Comment apprivoiser ses intuitions ?


Faut-il faire confiance à son « sixième sens » ? Nos intuitions ont-elles
toujours raison ? Doivent-elles guider notre conduite ou faut-il au contraire
s’en méfier ?
Les intuitions ne sont pas les mêmes selon les personnes. Certains auront un
excellent instinct dans une situation donnée et seront totalement désemparées dans
d’autres situations. Nos intuitions peuvent nous effrayer, alors comment faire pour
vivre avec sereinement ? Voici quelques règles qui vous permettront d’apprivoiser
votre « sixième sens ».

Ne pas condamner nos intuitions

Il est d’abord important de ne pas condamner nos intuitions trop rapidement.


Quelques fois, on peut confondre les préjugés et les intuitions. Si les préjugés
doivent être combattus car ils altèrent notre jugement, nos intuitions doivent être
suivies plus naturellement, car elles nous permettent de ne pas reproduire des
erreurs passées. Nos intuitions nous protègent.

L’intuition est une manière que choisit le cerveau pour faire passer des informations
de notre inconscient à notre conscient. Condamner ses intuitions c’est donc
prendre le risque de recommencer des erreurs que nous avons déjà faites par
le passé, ou de nous mettre en danger. On est sur la route et on a l’intuition de
ralentir parce qu’il y a de la neige. Cette intuition nous protège, alors il faut lui faire
confiance.

Être à l’écoute de ses intuitions

Pour suivre ses intuitions, il faut apprendre à être à l’écoute. De nombreuses


méthodes existent pour nous permettre d’être plus réceptifs à nos intuitions. Certains
choisiront le yoga, d’autres la méditation, d’autres encore auront besoin d’apprendre
à lâcher prise. Le besoin de tout contrôler dans sa vie freine notre capacité à
suivre nos intuitions.

On nous présente une personne qui a une allure et un comportement qui nous
déplaît, mais une petite voix intérieure nous dit qu'elle pourrait nous faire du bien. Le
premier réflexe de celui qui veut tout gérer dans sa vie sera de ne pas faire attention
à cette personne, mais si on choisit de lâcher prise, alors on prendra le temps de
faire connaissance avec elle et de savoir qui elle est.

L’intuition a-t-elle toujours raison ?

Nos intuitions nous protègent, nous devons donc partir du principe qu’il faut les
suivre. Mais il arrive que nous fassions fausse route parce que nous avons mal
interprété une intuition. En règle générale, ce sont les personnes les plus sensibles
qui sont les plus à même de comprendre et de suivre leurs intuitions. C’est pour cette
raison que l’on dit souvent que les femmes sont plus intuitives que les hommes.

Les intuitions peuvent aussi faire peur à certaines personnes parce qu’elles sont
irrationnelles. Mais ce qui est irrationnel n’est pas pour autant forcément
déraisonnable. En revanche, ce n’est pas parce que nos intuitions ont souvent
raison qu’il faut attendre d’en avoir une pour agir. Dans de nombreuses
situations, un choix devra se faire sans aucune intuition.
Ne pas craindre de se tromper

Et parce que tout ceci est irrationnel, il ne faut pas craindre de se tromper. On a
posé un choix en croyant suivre une intuition et ce choix s’est avéré hasardeux ?
Cela ne doit pas nous pousser à tourner définitivement le dos à notre « sixième
sens ». Une maman sent que son enfant est en danger et se précipite dans sa
chambre. Là, elle le découvre en train de jouer gentiment. Son intuition aura été
mauvaise, mais elle ne devra pas négliger les intuitions similaires dans le futur.

Pour finir, il faut comprendre que pour apprivoiser ses intuitions, il faut avoir
confiance en soi. Quelqu’un qui aura une image positive de lui-même parviendra
beaucoup mieux à être à l’écoute de ses intuitions qu'une personne fragile
affectivement et émotionnellement. Se faire confiance c’est accepter de tomber et de
se relever encore plus fort.

Il faudra aussi apprendre à se connaître. Plus on saura qui on est au plus profond
de soi, plus on parviendra à faire confiance à ses intuitions et à les apprivoiser.
« Nous essayons grâce à la logique, mais nous nous découvrons grâce à l’intuition »,
avançait Henri Poincaré, un philosophe et physicien français. Tout est dit.

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 https://street-hypnose.fr/hypnose-intuition/

L’hypnose et l’intuition : un enjeu pour la relation


hypnotique
Combien d’entre vous écoutent leur intuition au cours d’une séance d’hypnose au
point d’adapter et de modifier le contexte de la relation hypnotique avec le volontaire
?

Peu de personnes prennent le temps d’y prêter attention, et pourtant j’ai trouvé en l’intuition
un des éléments essentiels qui différencie subtilement un hypnotiseur de niveau moyen
ou débutant qui cherche à maîtriser des techniques, et un autre beaucoup plus performant
qui apprend à développer (et surtout à écouter) son intuition.

Dans un contexte donné : faut-il que je sois autoritaire ou plutôt doux et bienveillant avec
cette personne ? Faut-il que j’utilise cette métaphore ou plutôt celle-là ? Devrais-je
privilégier une induction instantanée ou une autre un peu moins rapide ? Est-ce que le
volontaire est prêt à vivre une hallucination ? Quels mots utiliser pour rendre les amnésies
plus ludiques aux yeux de mon volontaire ? Est-ce que le volontaire vit une
séance agréable ou semble-t-il gêné par son expérience ? Est-ce que je peux tenter une
amnésie sans induction ? Est-ce que mon volontaire est plutôt en transe légère ou
profonde ?

Autant de questions auxquelles il est parfois difficile de répondre en ne se fiant qu’à son
esprit analytique et aux éléments visibles et concrets. De plus, cela demande un effort
conséquent de porter toute son attention sur l’ensemble des éléments permettant
d’apporter la réponse la plus objective possible. Pour répondre à la dernière question, à
savoir si le volontaire est plutôt en transe légère ou profonde, nous pouvons par exemple
nous servir des différents signes extérieurs de transe : mouvements rapide des yeux,
déglutitions plus récurrentes, relâchement musculaire, regard vitreux lorsque les
paupières sont ouvertes, catalepsies spontanées etc. Avec beaucoup de pratiques, on se
rend compte que l’on analyse de moins en moins, et que pourtant on connaît la réponse
malgré tout. L’analyse a été faite à un niveau inconscient, et souvent de manière beaucoup
plus complexe qu’on ne l’imagine. C’est à ce niveau que rentre en jeu l’intuition. Comment
se servir de son intuition peut nous rendre encore plus performant ?

C’est quoi l’intuition ?


Lorsque l’on est confronté à plusieurs choix dans la vie de tous les jours, nous parlons
souvent dans le langage courant de “faire confiance à son intuition”. Mais au fond, qu’est-
ce que l’intuition ?

Concrètement, l’intuition est une forme d’intelligence présente en chacun de nous.


Ce qui veut dire qu’elle doit se travailler et se développer. L’intuition nous permet de sortir
des contraintes logiques qui nous limitent. L’intuition nous donnerait cette capacité à
imaginer des réponses et des solutions qui sortent du cadre de la logique
prédictible.

Personnellement, j’aime imaginer l’intuition comme une réponse (visuelle, kinesthésique


ou utilisant d’autres sens) provenant d’un vaste océan où naviguent un choix infini de
données et d’inspirations. Cet océan représenterait tout notre vécu, notre mémoire et nos
expériences passées. Une sorte de bibliothèque à idées illimitées, dans laquelle des
connexions se font et des liens se créent. L’intuition n’a pas de réalité vraie et absolue.
Elle est par définition subjective et liée à notre Moi profond. Face à une même situation,
deux personnes auront des intuitions souvent différentes. On pourrait qualifier l’intuition
“d’intelligence spontanée”, voire même “d’intelligence inconsciente”. L’intuition n’est pas
forcément une réponse exacte. On pourrait plutôt la décrire comme la réponse la plus
sincère et naïve, dénuée d’analyse superflue.

Être à l’écoute de son intuition, c’est déjà se faire confiance et ne pas avoir peur de sortir
des sentiers battus ou d’aller à l’encontre de ce que pense la majorité. C’est, d’une certaine
manière, avoir la foi, mais en soi. C’est être à l’écoute de l’ensemble de ses sens, et donc
être en empathie avec l’environnement et les personnes qui nous entourent. On peut alors
percevoir des choses qui ne seraient pas visibles au premier coup d’œil. Si Street Hypnose
existe aujourd’hui, c’est parce que j’ai suivi mon intuition qui m’encourageait à créer ce
site web, alors que raisonnablement je n’y croyais pas du tout.

L’exemple de la synchronisation
Lorsque vous lisez des articles sur l’hypnose en général, vous allez souvent y trouver des
références à la synchronisation. On vous demande de vous synchroniser avec votre
volontaire et on vous donne même des techniques qui se rapprochent bien souvent du
mimétisme pur. C’est partiellement efficace. Ce n’est que la première étape.

Apprendre des techniques est un leurre. Inutile dans la finalité de l’objectif à atteindre.
Mais pourtant nécessaire. Parce qu’apprendre des techniques permet de gagner
suffisamment confiance en soi afin d’ensuite s’en libérer et réellement toucher du doigt
l’essence de la pratique.
Faites donc un test et suggérez-vous de vous synchroniser au maximum avec votre
volontaire, et vous constaterez alors que, effectivement, vous allez adapter naturellement
des postures similaires, ajuster votre intonation et modifier dans votre façon de faire un
nombre incalculable d’autres petits détails qui joueront en votre faveur. Et toute la force
de cette technique saute aux yeux quand elle est pratiquée d’inconscient à
inconscient. Si vous persistez à adapter votre posture consciemment, vous passerez à
côté de l’essentiel.

Si vous saviez le nombre de mail que je reçois de personnes déçues que mes techniques
ne fonctionnent pas parce que je cite : “j’ai fait exactement comme décrit dans le livre ou
dans vos vidéos, et pourtant ça ne marche pas ! Qu’est-ce que je dois faire de différent
pour que cela fonctionne ?”
Les personnes attendent une recette toute prête à suivre pas à pas et qui fonctionne à
tous les coups. Dommage, cela n’existe pas dans le domaine de l’hypnose ! En continuant
dans cette métaphore, je ne leur donne au final qu’une liste d’ingrédients. A eux ensuite
de trouver le mélange qui sera le plus harmonieux en fonction de chaque volontaire. Et ce
qu’il y a de plus beau, c’est qu’il n’y a pas deux recettes identiques. Chaque séance
d’hypnose diffère, même si les ingrédients restent les même.

Entraînez votre intuition


Les personnes qui manquent de confiance en elles auront tendance à ne pas être à
l’écoute de leur intuition. Au contraire, elles vont la refréner, par peur de se tromper ou
d’avoir l’air ridicule. Elles veulent du concret, du rassurant. C’est une faiblesse contre
laquelle il faut se battre. La seule chose que vous risquez, c’est de vous planter. Et en
voulant à tout prix éviter l’échec, vous allez purement et simplement ne jamais progresser.
Un enfant, pour apprendre à marcher, va tomber un certain nombre de fois. Et pourtant, il
recommence ! Jusqu’à ce qu’un jour, il réussisse.

Si l’on vous répète sans cesse qu’il faut pratiquer énormément pour progresser en tant
qu’hypnotiseur, ce n’est absolument pas parce que les techniques à apprendre sont
difficiles. C’est parce qu’il faut apprendre à se libérer de ces techniques et à écouter ce
que nous dit notre intuition. Les techniques sont importantes. Elles sont la base. Mais
prises individuellement, aucune n’est réellement complexe. La difficulté, c’est de savoir
quand exactement les utiliser. Et le delta varie pour chaque volontaire. D’où notre fameux
slogan d’hypnotiseur “chaque séance est unique”. Nous passons alors d’un état
consciemment incompétent, à un état inconsciemment compétent. Nous
commençons par des techniques à mettre en oeuvre consciemment (d’où la
difficulté), en nous dirigeant petit à petit, séance après séance, vers un savoir être
qui se substitue à l’ensemble des techniques apprises jusque là.

Pour forger notre intuition et la rendre la plus productive possible, il faut lui donner de la
matière. Pour résoudre un problème mathématique complexe, il faut auparavant avoir
résolu un certain nombre de problèmes plus simples qui vont nous ouvrir petit à petit vers
la logique attendue. Il en va de même pour votre intuition. Vous devez construire à
l’intérieur de vous une base de données sur l’hypnose la plus large possible –
correspondant à un ensemble de techniques et de savoir faire que vous avez déjà utilisés
dans différents contextes et dont vous connaissez les avantages, inconvénients et
difficultés – afin que votre inconscient puisse aller puiser la réponse la plus adaptée à la
situation.
Lorsque vous avez lu mon livre, vous avez déjà commencé à créer cette base de données.
Il suffit ensuite d’acquérir l’expérience nécessaire pour savoir quelles données utiliser, et
à quel moment. C’est essentiellement la pratique qui va venir forger cet algorithme
inconscient et vous faire gagner en efficacité. C’est pourquoi je recommande à tous les
néophytes de commencer par ma routine créée spécialement pour les débutants, qui
propose cette base dont les débutants ont besoin pour prendre confiance en eux et en
leur capacité à hypnotiser. Et un jour, à force de pratique et de lectures, votre intuition
vous guidera et vous vous surprendrez à prendre des initiatives au cours de la
séance d’hypnose. Vous vous surprendrez à OSER. Il y aura des échecs et des
réussites qui quoi qu’il arrive feront de vous un meilleur hypnotiseur.

Votre intuition
J’ai commencé par m’intéresser à la manière dont l’intuition se manifestait en moi et je me
suis imprégné de ces sensations au quotidien, observant mes réactions et me mettant
davantage à l’écoute des autres et de moi-même.

J’ai poursuivi en tentant de comprendre ce qui m’empêchait de mettre en


évidence certaines intuitions, en particulier les situations où je devais choisir entre raison
et intuition. Distinguer ces deux voix a été un objectif majeur, une clé importante dans le
développement de ma pratique de l’hypnose.

L’intuition est une question d’ouverture intérieure. Elle ne s’apprend pas, elle se
redécouvre et s’entretient. Elle est accessible à tous. Il n’y a que quelques marches à
gravir en nous-mêmes, quelques pas à faire pour franchir la porte qui nous conduit à elle.
C’est à ce voyage intérieur que je vous invite, à la rencontre de ce précieux outil qui
sommeille en chacun de nous.

Comment exercer son intuition ?


Il ne faut pas avoir peur de s’adresser à son inconscient.

Il faut oser solliciter son intuition, tout en acceptant son existence et son utilité. Il faut
apprendre à entendre sa petite voix intérieure et l’écouter de plus en plus. Et plus on
l’écoute, plus elle se manifeste. C’est en reconnaissant un réel intérêt pour son intuition
que l’on peut la développer davantage encore. Finalement, il s’agit de prendre des
décisions sans réfléchir consciemment, en laissant remonter de l’intérieur une réponse
toute faite. Le plus dur est ensuite de se faire confiance, et de ne pas rejeter la première
idée qui apparaît. Souvent, on a envie de se dire “mais non, c’est débile ce à quoi je viens
de penser”. Erreur ! Faites vous confiance. Laissez vous surprendre. Pour beaucoup
d’entre nous, trouver une réponse ou une solution qui sort de l’ordinaire possède des
connotations négatives. L’intuition déclenche souvent une peur de se tromper face à une
réponse qui nous paraît inappropriée. C’est notre créativité qui parle.

Il faut mettre de côté son intelligence rationnelle et ses idées reçues et accepter que
se tromper fait partie du jeu.

Le signaling est un moyen comme un autre de découvrir son intuition et son


fonctionnement. En état d’auto-hypnose, demandez à votre inconscient de produire un
phénomène idéomoteur indiquant une réponse “oui”. Cela peut être un doigt qui bouge,
un bras qui s’élève, peu importe. Faites la même chose pour le “non”. Le but étant de
pouvoir poser des questions à son inconscient et obtenir une réponse rapide. Vous pouvez
poser toutes sortes de questions, des plus folles aux plus sérieuses. A force de pratique,
vous sentirez la réponse monter en vous avant même qu’elle ne se révèle par le
phénomène idéomoteur. A ce moment là, vous serez directement connecté à votre
intuition. Ensuite, vous pourrez passer à des questions plus ouvertes. Et pour “valider”
votre intuition, vous pouvez demander à votre inconscient de l’écrire grâce à l’écriture
automatique. Il vous suffira de vous poser une question, ou simplement d’être face à une
problématique, pour qu’une réponse intuitive apparaisse. Petit à petit, les réponses se
complexifieront. Sans savoir d’où cela vient, vous ressentirez une solution surgir à
l’intérieur de vous.

La plupart du temps, les intuitions montent sans vraiment prévenir, et c’est là qu’il faut être
à l’écoute de soi pour ne pas les louper.

Quelques exemples d’utilisation


Ce week-end, j’étais avec une amie dans un Parc. Je l’hypnotise en général très rarement,
et à un moment donné j’ai eu l’intuition que je devais lui demander si elle souhaitait une
séance d’hypnose. Etrangement, elle a refusé catégoriquement. Je ne m’y attendais
vraiment pas. Comme je l’ai déjà expliqué, les ratés font partie du jeu alors je n’ai pas
insisté. Pourtant, un peu plus tard dans l’après-midi, elle a relancé le sujet et m’a avoué
qu’elle avait en réalité envie / besoin d’une séance mais qu’une peur l’en empêchait. Mon
intuition de départ était bonne. Pourquoi j’ai eu cette intuition ? Comment ? Je n’en sais
rien. Cela me dépasse. Je suis juste content de l’avoir écouté.

Je m’amuse très souvent à demander aux gens qui me présentent un problème : “et si tu
demandais à ton inconscient ce qu’il te propose comme solution ? Pose-toi la question
à l’intérieur, et dis moi ce que tu vois ou ressens”. Généralement, la première réponse est
purement analytique et ne m’intéresse pas. Je demande ensuite à la personne de fermer
les yeux, de se détendre, puis de reposer la question et cette fois de ne pas chercher à
trouver de réponse. Au contraire, de la laisser venir toute seule. Et à chaque fois, la
réponse qui ressort est bien plus forte. Quelques fois un peu loufoque et bizarre. Mais
efficace.

Lors de la dernière formation de Street Hypnose à Toulouse, nous avons cherché à


approfondir les intensités des phénomènes hypnotiques sur les différents stagiaires
présents. Pour l’un d’entre eux, qui avait une faible amnésie, on lui a demandé :
“demande à ton inconscient quelle métaphore pourrait être utilisée pour faire disparaître
complètement ce prénom de ton esprit et donne nous la première réponse qui te vient à
l’esprit”. La réponse de son inconscient a été plutôt spéciale et inattendue. Il s’est
téléporté sur une plage, avec son prénom inscrit dans le sable. Puis, c’est un nuage de
fumée rouge qui est venu le dissimuler. Son inconscient a même choisi de remplacer le
prénom original par “fumée rouge”. Lorsqu’on lui demandait son prénom, il répondait
“fumée rouge”. Cette solution, aucun hypnotiseur n’aurait pu la trouver de lui-même.
Pourtant, c’était certainement la plus efficace dans ce contexte précis, avec ce
volontaire.

Lors d’une séance d’hypnose d’il y a quelques semaines, je ne cessais de ressentir des
angoisses assez fortes émanant de ma volontaire. J’ai continué dans un premier temps
la séance sans exprimer mon ressenti, afin d’éviter de créer cette angoisse chez la
personne en lui demandant si elle était réelle. Vous le savez désormais, une personne
en état d’hypnose est très sensible aux suggestions. Si vous lui dites “tu n’as pas mal à
la tête là t’es sûr ?” vous risquez de créer ce mal de tête. Et puis, à la fin, elle me
demande si je peux l’aider à rester dans cet état super zen y compris lors de son
entretien à venir pour son futur emploi ? Je lui demande alors comment elle gère
généralement les derniers jours avant un entretien, et là elle me raconte ses angoisses
horribles. Je lui ai laissé un ancrage pour la rendre parfaitement zen à chaque fois
qu’elle serre le poing, en espérant qu’elle ait décroché cet emploi depuis. Je suis
incapable de mettre des mots sur ce que j’ai vu et qui a pu me mettre la puce à
l’oreille. Et c’est ce que je trouve fascinant avec l’intuition.

Récemment, j’ai eu un choix très délicat à faire. Est-ce que je continue mon emploi actuel,
ou est-ce que j’ose me lancer complètement dans l’hypnose ? La raison m’a dicté une
chose. Mon intuition une autre. Et bien après toutes les expériences positives que j’ai
eues, et même pour une décision aussi cruciale, j’ai décidé de suivre mon intuition.

Partagez vous aussi vos expériences sur l’intuition en commentaires juste en


dessous de l’article.

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LACHER PRISE

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 https://www.marieclaire.fr/,pourquoi-est-il-important-de-lacher-prise,795781.asp

Pourquoi est-il important de


savoir lâ