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Premières conséquences
a, b, a’ , b’ sont des réels
a + i b = a’ + i b’ a = a’ et b = b’
a+ib=0 a = 0 et b = 0
Définition
Conséquence
z + z = 2 Re(z) et z - z = 2 i Im(z).
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Théorèmes
z unZnombre
Soit Soit un nombre complexe.
complexe
z est réel
Z estsiun
etréel
seulement si z si= zZ = 𝑍
si seulement
z est imaginaire pur si
Z est imaginaire si et seulement
seulement - 𝑍= - z
si Zsi= z
Propriétés
Pour
Pour tous
tous complexes
complexes zz et
et z’z’: :
z z z z
z z' z z z'z' zet z'z et
z' zzz'z' z z'
Ces Ces résultats
résultats s’étendent
s’étendent à une
à une somme
somme algébrique
algébrique de de n termes.
n termes.
zz' zzz' z' z z'
Ces résultats s’étendent à un produit de n termes :
Ces résultats s’étendent à un produit de nn termes :
pour tout entier naturel n,n z n z .
n
pour tout entier naturel n, z z .
1 1
1si z 1 0
z z si z 0
z z
z' z'
z'si
z z'
0
z z z z si z 0
Si z = a + i b avec a et b réels alors z z = a2 + b22donc2 pour z 0, soit
Si z = a + i b avec a et b réels alors z z = a + b
1 z z a b
si (a ;b) (0 ;0), on a 12 z2 2 z 2 i a 2 . C’est
la
b
si (a ;b) (0 z;0), zz
on a a b a2 b2 2 a 2 b
2
i 2 . C’est la
z zz a b a b a b2
méthode utilisée pour écrire sous forme algébrique un inverse ou un quotient.
méthode utilisée pour écrire sous forme algébrique un inverse ou un quotient
o u a
- Le vecteur V (a;b) est le vecteur image de z.
On le note souvent V(z) .
- Le complexe z = a + i b est l’affixe du point M(a,b) et l’affixe du vecteur V (a, b)
On le note souvent 𝒁𝑴 ou 𝒁⃗𝑽 .
⃗⃗ et 𝑽
Pour tous vecteurs 𝑼 ⃗⃗ et pour tout réel α
𝑍𝐴 +𝑍𝐵
𝑍𝐼 =
2
⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
Par conséquence : 2𝑂𝐼 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐴 + 𝑂𝐵
Théorème
Soit ⃗𝑼
⃗ et ⃗𝑽 deux vecteurs tels que ⃗𝑽 non nul
𝒁𝑼
Les vecteurs ⃗⃗⃗𝑼 e 𝑽
⃗ sont colinéaires si et seulement ⃗⃗
est réel
𝒁𝑽
⃗
𝒁𝑼
Les vecteurs ⃗𝑼
⃗ et ⃗𝑽 sont orthogonaux si et seulement si ⃗⃗
𝒁𝑽
est imaginaire
⃗
On a donc :
z = r = OM
arg(z) = = u, OM [2 ]
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Remarques
Conséquences
Si Z = a + ib alors
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Théorème
Définition
Pour tout réel on pose : ei cos i sin .
Alors, si z est un nombre complexe non nul de module r et dont un argument est 𝜽
on appelle forme exponentielle de z l’écriture : z r ei .
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Règles de calcul sur les formes exponentielles
rei rei
(rei ) rei( )
rei rei' rr'ei( ')
1 1
e i
re i
r
r'ei' r' i(' )
e
r ei r
n
rei r n ei n , pour tout n de
Formules d’Euler
Remarque 1
𝝅
𝒆𝒊𝟎 =1 𝒆−𝒊𝟐 =-i
𝝅
𝒆𝒊𝟐 =i 𝒆𝒊𝝅 =-1
𝜽 𝜽
𝜽 𝜽
1-𝒆𝒊𝜽 =-2 𝐢 𝐬𝐢𝐧( ). 𝒆𝒊𝟐 1+𝒆𝒊𝜽 = 2 𝐜𝐨𝐬( ). 𝒆𝒊𝟐
𝟐 𝟐
𝜽 𝝅 𝜽 𝝅
𝜽 𝝅 𝒊( − ) 𝜽 𝝅
𝒆𝒊𝜽 -i = 2𝐢𝐬𝐢𝐧( + )𝒆 𝟐 𝟒 𝒆𝒊𝜽 +i= 2𝐜𝐨𝐬( + )𝒆𝒊(𝟐−𝟒)
𝟐 𝟒 𝟐 𝟒
Remarque 2
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Mesure de l’angle ( ⃗𝑼
⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 )
A et B étant deux points distincts
Conséquences
I)Equation 𝒁𝒏 = a ,n ≥ 1, a∈ ∁∗
Théorème et définition
Pour tout entier naturel non nul n,l’équation 𝒁𝒏 =1 admet dans C n solutions distincts
𝟐𝒌𝝅
::: définies . par : 𝒁𝑲 = 𝒆𝒊 𝒏 ,l’entier K∈{0,1,... ;(n-1)}
Les solutions de l’équation 𝒁𝒏 =1 sont appelées racines niémes de l’unité
Théorème et définition
Soit a un nombre complexe non nul d’argument 𝜽 et n un entier naturel non nul
L’équation 𝒁𝒏 = a admet dans C , n solutions distincts définies par :
𝜽 𝟐𝒌𝝅
𝒁𝑲 =r𝒆𝒊(𝒏+ 𝒏
)
, k 𝝐{0,1,…. ;n-1}, ou r est le réel strictement positif tel que 𝒓𝒏 =|a|
Ces solution sont appelées les racines nièmes du nombre complexe a,
J) Résolution dans C, de l’équation 𝒂𝒛𝟐 + bz + c = 0 , a≠ 0
Théorème
Soit a, b et c des nombres complexe tels que a ≠ 0
L’équation 𝒂𝒛𝟐 + 𝒃𝒛̇ + c = 0 , a≠ 0,admet dans C ,deux solutions
−𝒃+𝜹 −𝒃−𝜹
Définies par 𝒛𝟏 = et 𝒛𝟐 = , ou 𝜹 est une racine carrée du discriminant
𝟐𝒂 𝟐𝒂
∆ = 𝒃𝟐 - 4ac
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Conséquences
Si 𝒛𝟏 et 𝒛𝟐 sont les solution de 𝒂𝒛𝟐 + bz + c = 0 , a≠ 0 , alors
−𝒃 𝒄
𝒂𝒛𝟐 + bz + c = a ( z – 𝒛𝟏 ) ( z – 𝒛𝟐 ) , 𝒛𝟏 + 𝒛𝟐 = et 𝒛𝟏 𝒛𝟐 =
𝒂 𝒂
Théorème
Soit 𝒂𝟏 , 𝒂𝟐 ,…, 𝒂𝒏 des nombre complexes tels que 𝒂𝒏 ≠ 0 , n≥ 𝟐
Soit P(z)= 𝒂𝒏 𝒛𝒏 + 𝒂𝒏−𝟏 𝒛𝒏−𝟏 +….+𝒂𝟏 z+𝒂𝟎
Si 𝒛𝟎 est un zéro de P , alors P(z) =( z -𝒛𝟎 )g(z), ou g(z) est de la forme
𝒂𝒏−𝟏 𝒛𝒏−𝟏 + 𝒃𝒏−𝟐 𝒛𝒏+𝟐 +.....+𝒃𝟎 , avec 𝒃𝟎 , 𝒃𝟏 , ……….,𝒃𝒏−𝟐 complexes
M’(z’)
k) Transformations du plan.
; B
M(z)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Translation de vecteur ⃗𝑽=𝑶𝑩
⃗
𝒗
Soit B le point d’affixe b o
. le point M’ d’affixe z’ = z + b est l’image ⃗
𝒖
. ⃗⃗
du M d’affix z par la translation de vecteur 𝑽
Rappel
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
M’=𝒕𝑽⃗ (M)<=>𝑴𝑴 ′ =𝑽 ⃗ <=>𝒁𝑴′ –𝒁𝑴 =𝒁⃗
𝑽
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
M’=𝒉(𝒌,𝑰) (M)<=>𝑰𝑴′=𝑰𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ <=>𝒁𝑴′ -𝒁𝑰 =k(𝒁𝑴 -𝒁𝑰 )
𝑰𝑴 = 𝑰𝑴′
M’=𝑹(𝑰,𝜽) <=>{⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑰𝑴 𝑰𝑴′) ≡ 𝜽 [𝟐𝝅]
<=>𝒁𝑴′ -𝒁𝑰 =𝒆𝒊𝜽 (𝒁𝑴 -𝒁𝑰 )
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