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DT478 - Micropieux PDF
DT478 - Micropieux PDF
LES ICROPIEUX
Mars 1986
AYANT-PROPOS
. M . J . RENAULT S .E .T .R .A . - BAGNEUX
. CADILHAC L .R . DU BOURGET
. SOUCHE S .E .T .R .A . - BAGNEUX
S O M M A I R E
4 .1 . Généralités 15
6 .1 . Reprises en sous-oeuvre 22
6 .2 . Fondations d ' ouvrages neufs 27
7 .1 . Généralités 28
7 .2 . Calcul des déformations et des tassements 28
BIBLIOGRAPHIE 33
On peut cependant citer d ' autres domaines d ' utilisation des mi-
cropieux, tout-à-fait différents, tels que :
Le micropieu de type I
Les "pieux racines" brevetés par FONDEDILE ont été les premiers
micropieux de cette catégorie .
Le micropieu de type II
Le micropieu à tube
Le micropieu à barres
Coulis de scellement
Coulis de scellement
2 .3 .1 . Réalisation du forage
- l ' Entrepreneur doit justifier par des essais préalables tout système
d ' assemblage des armatures,
L ' ancrage des micropieux au terrain peut être réalisé de deux fa-
çons suivant le type de micropieux.
a} - Micropieux de type I
1 t
1
Forage avec circulation
ext rleur Miss en place ds Injection
l 'armature
b) - Micropieux de type II
L ' ancrage est obtenu par injection sous pression d ' un coulis de
scellement après durcissement du coulis de gaine ; le D .T .U impose, pour le
coulis d ' injection, un dosage minimal en ciment de 1 .200 kg/m i ce qui cor-
respond à un rapport pondéral ciment/eau (C/E) de 2 environ . Dans certains
cas, la charge en ciment peut être supérieure et ce rapport atteindre 2,2.
Les coulis utilisés pour sceller les micropieux sont donc beau-
coup plus riches en ciment que les coulis d ' injection de traitement des
sols pour lesquels le rapport C/E varie généralement entre 0,5 et 1 . En
fait, en matière de traitement de sols, on recherche des coulis de faible
viscosité leur permettant de pénétrer suffisament dans les sols par impré-
gnation ou claquage pour améliorer leurs caractéristiques ; par contre,
l ' objectif poursuivi ici est de contenir le coulis autour de l ' armature
pour former le bulbe de scellement et d ' obtenir un coulis de forte résis-
tance pour mobiliser des contraintes d ' adhérence élevées entre l ' acier et
le coulis d ' une part et entre le coulis et le sol d ' autre part.
10
- Figure 4 -
Schéma de principe
d'un micropieu avec
séparateur injectable
Si l ' on veut éviter les pertes de coulis on arrête alors l ' injec-
tion et on passe à un autre point d'injection . Pendant ce temps, le coulis
mis en place fait prise . Puis on revient injecter au même point pour at-
teindre la pression d'injection désirée . C ' est généralement un essai préli-
minaire ou une connaissance préalable des terrains d ' ancrage qui permet de
fixer la pression finale d ' injection.
3 .2 . Frottement latéral
3 .2 .1 . Généralités
A
QL en MN
2 /1111
1
V+ Vp ( en m3 )
0 1 2 3 4 5 6 7
QL = n .0s .L .f
Os : diamètre du bulbe de scellement fictif de volume Vs
2
.L
Vs = ri-4s etVs = V +Vp
4
Avec :
Le raisonnement précédent n ' est bien sûr pas applicable aux for-
mations rocheuses pour lesquelles l ' expansion ne peut se produire . Dans ces
terrains le diamètre de scellement est voisin du diamètre de forage.
3 .3 . Effet de groupe
- les essais sur modèles réduits (micropieu de type I), faits par
LIZZI (dont les principaux résultats sont rassemblés sur la fig . 7):
- C .1 pour 2d<S<7d
- C = 1,3 pour S voisin de 4d et pour les micropieux de plus grande
longueur (200d)
- C = 1 pour S) 7d
15
Schéma du Groupe
- •- 50d
„
••••••••• 100d /
1,4 150d d----•b
f I
200d -h~----mot
S=Var
~ 0,7 s
1d 2d 3d 4d 5d 6d 7d Bd
4 .1 . Généralités
16
TABLEAU I
Micropieux Micropieux
TYPE DE SOL Type I Type II (1)
Argiles ; Limons Q2 R5
Sables Q3 R5
Graves Q3 Q6
Craies Q5 Q6
Marnes ; Marno-calcaires Q5 Q6
~
qs (MPa)
0,3
Ill
nnNnNnnnnnnnnnn
n nnnnN oI~N nnnnnnnnn ' , i~nnnn
nnnNnnnnnnnn n~In~Nnnnnnnnn~ nnnnnn
-aria I-
nnn~nu~n:~i°n ûiô
nn ~ôn nntnnnI nnIInnn
Nnnnnnnnn nnn Q3 nnn
II
~~WEEMI11110MIEM
nnnN5i n
nnnnn
0,1
nnn~ .~~nnn
:~
~~ nnnnn - 02
/
'
~Nnnn~ nnnn n=~Nnn n
Q1
nnnnndnnn~n
dnnnnn N PI (MPa)
0 Innnnnnn =nnnnWn
0 2 3 4 5
17
18
TABLEAU II
Craies - Marnes
1,8
Marno-calcaires
4 .4 . Charge limite
QL = QpL + QsL
+ QsL
QC = QPL .,
2 1,5
19
a) - Etats-limites de service
- Combinaisons quasi-permanentes :
- Combinaisons rares :
b) - Etats-limites ultimes
- Combinaisons fondamentales :
- Combinaisons accidentelles :
a) - Justification
Remarques :
. L ' épaisseur d ' acier neutralisée par corrosion sera calculée, en rè-
gle générale, pour les ouvrages d ' art, en considérant une durée de
service de 100 ans.
. Pour les micropieux dont l ' armature est constituée d ' éléments tubu-
laires, il ne sera pas tenu compte d ' une corrosion sur la face inté-
rieure des tubes, à condition que ceux-ci soient entièrement remplis
de coulis.
6 .1 . Reprises en sous-oeuvre
24
,=~°~.'Ô= ._ . ~ :-_ i :;
:'- :
;~:s~Q-°~, :6:° . : ' . .SemeUe
%%4; 4
j;
:C-
O'.
o .~ ; G o •0 . :o a :L ~•
•p-p-C7°~~'c~~sa' . L• t -_ .
25
3 P
Ac
4
semelle rajoutée
1
H
Figure 13 : Fonctionnement en bielles
Dans tous les cas, nous préconiserons donc pour créer une semelle
monolithique de relier la nouvelle structure à l ' ancienne par des barres
précontraintes : la tension dans ces tirants devra engendrer dans la sur-
face de reprise un effort de compression suffisant pour éviter que l ' ouvra-
ge existant ne " coulisse " dans la semelle : on prévoit habituellement un
effort de compression N égal â Q, étant compris entre 2 et 3 (Cf . Fi-
gure 14) .
28
7 .1 . Généralités
7 .2 .1 . Méthodes simplifiées
N = CSc+ %Sa
N _6
Ec Ea EcSc + Ea S a
29
dN = - Ir.O f .t(z) dz
Si l ' on suppose de plus que toute la charge est reprise par frot-
tement latéral le long du pieu, on a, si L est la longueur du pieu :
L
I Z(z) .dz = No
tr .Of
(1)
o
~ = No
L Tr.0 f
N(h) = No .(1 - L)
No
= No .L
2E .S
30
L 2 TC.Of
. z
N(h) = No .(1 - h2 )
L L2
E. 2N 0 .L
3E .S
31
T (z) = - B .w(z),
oü
. B est un module de cisaillement tangent
. w(z) est le tassement du micropieu à la cote z, le tassement
w(z) restant inférieur à la limite à partir de laquelle il se
produit un glissement entre le micropieu et le terrain.
Q
d - B .1I'.0f .w = 0
dz
avec :
. Of diamètre du forage
1T TT ,of dz
. Q effort normal dans
le pieu à la cote z
dw(z) - Q
dz ES
d2 w(z) _ B lt of
,w(z) = 0
E dz2 .S
En posant =
E'S appelé longueur de transfert de la charge
B .1T.O f
axiale, on obtient l ' équation différentielle :
d 2 w(z) _
.w(z) = 0 ,
R2dz 2
32
d ' où : A = ___
E .S
d ' où . B = ?L•Q0 1
E .S thL/7L
. ch(L-zh .)
w(z) =
E .S shL/x
w(0)=-)L .QO . 1
E .S thL/,`
B I B L I 0 G R A P H I E
34
-3-
2 - MISE EN EQUATIONS
Figure 1
•Z
dT = - Kydz
•z Fi g ure 2
d2 M -
N d2 y - Ky
dz 2 y
d2 y
M = EI dz2
D'où il vient :
4 2
El - +N + Ky =0
N
On pose K2 = EI K et on effectue le changement de variable z = z 4 V K
El
r4 + a 2 r 2 + 1 = 0
i_4
C i e r iZ où C i est un nombre complexe.
y 11 (Z) = i-1
Le discriminant de l'équation caractéristique est : A= a4 - 4
Cependant quelque soit le signe de celui-ci, on verra dans la suite qu'on
peut mettre la solution sous la forme:
Z 2 = _ z2
%/T7 - )
:
- selon que la pointe est articulée:
y II ( Z 2 ) = 0
-5-
y II (Z) = 0
ÎÎ) ( ZZ) = 0
Ce qui conduit dans tous les cas au système de deux équations linéaires
suivant:
0 = 11
A M1 + B II M3 + D II M 4
II M2 + C
0 = A II N 1 + B II N 2 + C II N 3 + D II N 4
2 .1 .1 - a2 < 2
r1 = e
ie , r2 =-e ie , r3 = e
-i9
, r 4 =-e
-ie
avec cos =V-Z--c
2
-:7
. et sin 0 = 2±â
2.
e iY + C2 e -X e -iY + C3 e X -iY + C4 e -X e iY
yII - C1 eX e
- 6 -
2 .1 .2 - oC2 >- 2
R 1 = -a 2 - 2 a~ - 4 et R2 =
' -a2 + a4 - 4
2
-7-
2 .2 - Equationsspécifiques au milieu I
z
M= =- N(y-y 1 ) + T 1 (z-z 1 ) + • M 1
El dz2
Z = z
4V
I (on note en particulier Z 1 = z 1 4 e
E La solution de l'équation différentielle peut être mise sous la forme:
M (z1) = 0 yI (2) (z 1 ) = 0
soit :
- 8 -
yI (0) = y II (0)
yi1)(0) y II (1)
= (0)
0
m m1 2 3 4 0 0 0
n n i
0 n2 3 4 0 0 0
-1 ' 0 0 -1 f 1 (0) f 2 (0) f3 (0) f4 (0)
q -a -1 0 f (1) (0) f (1) (0) f (1) (0) f (1 ) (O)
D=
0.Z 0 0 0 f 1 (2) (0) f2(2) (0)f 3(2) (0)f 4(2) (0)
o f1(3)() f2 (s3) (0)f3 (3) (0)f4 (3) (o)
q aa q
q 0 o 0 PS 1 M4
M2 M3
N o G 0 N~ N2 3 4
- 9 -
Condition en tête m1 m2 m3 mL n1 n2 n3 . n4
déplacement horizontal 1
-sin(aZ 1) cos(xZ 1 ) 0 0 0 0 0
libre-rotation bloquée
TABLEAU 1
a 0 0 0 0i
q --a . f (1) (0) f2(1) (0) f (1)(0)f (1) (O)
(2)
0 f 11 (2) (o) f2 (0)f 3(2) (0)f 4 (2) (0)
A f1(3)
3
q aa
(0) f2 (3) (0) f3 (3) (O) f4 (3) (0)
q 0 M1 M2 M3 M4
N4
q 0 N1 N2 N3
a 0 0 0 0
_
q O M1 M2 M3 M4
q 0 N1 N2 N3 N4
- 10 -
On trouve facilement, en remarquant que n 4 est nul dans tous les cas
(cf tableau 1) et en développant D par rapport à sa 4ème colonne puis par rapport
à la 3ème colonne des déterminants 7x7 ainsi obtenus, l ' expression suivante de D
en fonction de A , IY et W :
D =da
L =m3n1-n3m1' b =m n - n
3 2 3m2,
+m4 d~a =n 1 ' b =n 2 + W
Il est à remarquer que W est non nul dans le seul cas où la tête est encastrée
parfaitement.
dans tous les cas susceptibles de se présenter . Ces évaluations donnent lieu à
des calculs très simples mais fastidieux qui ne seront pas rapportés ici . Les
résultats obtenus sont rassemblés dans les tableaux2 et 3 ci-après:
- 11 -
~bleau 2(*)
POINTE ARTICULEE ' POINTE ENCASTREE
a <1(2
~
~ [a = 1,b~ =0 a 3sin22s(ch 2X-cos 2Y) an
3 si 28( sinBsh%chX-cosBcosXsinY)
'
Q Ea = o ;b -I~ sin29(-cos5BcosYainY+sin5Och%ahX) 1+cos4B(ch 2X-sin 2Y+cos6B(cos 2 Y-ch2X)]
2t
~ ' -
St ' 2asin29(sin8sh%chX-cosBcosYsinY) 2a( -cos 2 2B+cos 28cos 2Y+sin 29ch2X)
(téte encastrée)
Z Z Z2
a2 ( a4 -4)cosâ osaZ 2 ~a2 Va4 -4(acos'sinaZ 2- â sinâ osaZ 2 )
%~ir
Z Z Z Z2
ü (a = Q .b = 1] ( Scoç II2 cinaZ 2-a 5 oing osaZ 2 ) 2 - (a -2)cosF oaaZ2 a2(a4 -3)sinzsinaZ2
4
Z Z
(tète encastrée)
W . 200 4-4
Z
[a os g2 sina22 -asing osaZ2 1 2xJ
r
2 sinaZ22cosâ osaZ
a4-2-asing
Z
i=
Figure 3
(*) ainsi qu ' on peut le constater au §2, les calculs effectués jusqu ' ici ne conce)
nent que les caso(> 1 et .( .4 1[2; lorsqu ' on étudie le cas = el, l ' équation caraco
'DA.
- 13 -
- z1
cw =
h
h 4 K
m
= c El
rr
N roc m
c = h2EI 2
2 l c
Nc h2
0
- 14 -
- lieu "m nul" : il s'agit d'une droite parallèle à l'axe des abscisses,
éventuellement confondue avec celui-ci (ceci n'a lieu que dans le cas où la
pointe est articulée et la tête est entièrement libre, mais n'apparait cependant
pas sur l'abaque afférent à cette configuration en raison de l ' échelle semi-
logarithmique) ; ce lieu où m = o traduit les cas où K est nul ou bien négligeable
devant EI (le cas où h est nul étant sans intérêt), c'est-à-dire que la valeur
de la force critique de flambement est celle donnée par EULER (la valeur de
l'ordonnée de cette droite lue sur les différents abaques en atteste);
2
- lieu "m infini" : il s'agit de la fonction 1/o( à un facteur
multiplicateur constant près qui diffère selon les configurations aux extrémités.
Ce cas correspond notamment à celui où K est infini, et la force critique de flam-
bement est donc celle d'une poutre de lcngueur wh encastrée à une de Ees extrémités et
présentant à l'autre extrémité les mêmes conditions que la poutre, initialement
étudiée en tête . Dans tous les cas, on constate là encore que les valeurs issues
de l'abaque coincident avec celles prévues par la théorie d'EULER . Le cas où h
est infini sans que K le soit n'a besoin d'être signalé que pour mémoire, de
même que celui où El est nul : il s'agit en effet dans l'une comme dans l'autre
hypothèse, du cas où, dès lors que w est non nul, la force critique de flambe-
ment est nulle (ce qui peut d'ailleurs être déduit de façon triviale de la
lecture des abaques) . Enfin, comme on pouvait s'y attendre les points notés A
et B sur la figure 5 ne sont distincts l'un de l'autre que dans les cas où la
pointe est articulée.
- lieu "m égal à mo " : étant donné le choix qui a été fait des
axes ce lieu est évidemment inscrit dans le domaine limité par les deux lieux
précédents . Il est systématiquement issu en 4)= 1 du point A (dont il est
rappelé qu ' il est confondu avec B lorsque la pointe est encastrée) . Pour des
valeurs de w suffisamment éloignées de 0 et de 1, on constate que, pour des
valeurs m o du paramètre m supérieures à 10, le lieu m = m o est très voisin
du lieu "m infini " ; c ' est d'ailleurs dans cet intervalle de valeurs de w
(] O 1() que les renseignements fournis par les abaques, constituent une
contribution vraiment originale . Enfin en w= o (cas du pieu totalement immergé)
on retrouve les résultats auxquels était antérieurement parvenu MANDEL (cf § 1):
on s ' aperçoit en effet que dans toutes les configurations il existe une valeur
du paramètre m, au-dessus de laquelle 2 à Soute valeur de m corresponde
(en w = 0) une valeur du paramètre N ch /SY EI de plus en plus proche de 1 ou
2 fois m2 , selon les cas de figure, au fur et à mesure que m augmente ;
- 15-
3 Articulation
Jr 4 Encastreme t
Encastrement n
Î
3 3
I
tl ~
MM 4
d.
2
2'3
,
mh Y - h ;~
- îc EI m x El
1 ~ -~ ►
o s 10 o 5 Io
Figure 6 Figure 7
Ces diagrammes ne diffèrent de celui proposé par MANDEL que par les
échelles différentes et un plus grand nombre de configurations envisagées.
Remarque : Ainsi que cela a été dit ci-dessus les abaques présentés comportent
en ordonnée une échelle logarithmique telle que deux puissances successives de
10 soient espacées de 50 mm ; ceci a pour conséquence que, sous réserve que la
condition de la lecture de l ' abaque ad hoc permette de localiser le point
représentatif de la configuration à traiter, avec une incertitude absolue au
plus égale à + 0,5 mm (ce qui est relativement aisé à réaliser), alors on peut
énoncer que l ' incertitude relative sur le paramètre lu,(N c h 2 /Tc 2 EI) est égale à
+ 2,3% quelle que soit l'ampliture de celui-ci.
3 .2 - Exemple d'application
- 16 -
5,5m
10,1 m
Figure 8
5,5
=
5,5 + 10,1 - 0,35
3
avec une incertitude relative de + 2,3%
20 'o $ •
10
5,0 v2
w~~~~
~~_~__ soit : N c = 2 x 2 x 10 7 x 3,25 x 10 -5
~ \\ \~
0\\ =\~~ t (5,5 + 10,1)
~~~~~1~
__ ~~1~
am.. 1
.
,\" Î I = 131 , 8 t . + 3,0 t.
2
\1111 Le calcul exact donne N c = 131,484 t.
m=0
- 17 -
5,5 m ik=01
-1 -7 ~17 17-q'
Figure 9
'
Il s agit d'évaluer les mêmes paramètres w et m:
w = 5,5 = 0,23
5,5 + 18,1
4
18,1 + 5,5 2 880 x 0,2D
M = = 7 ,29
Nh 3,25 x 10- 5 x 2 x 10 7 c 2
On trouve sur l'abaque dont un extrait figure ci-contre : = 11,5
n 2 EI
~a a
20 m .3 .~ s ô avec une incertitude de + 2,3%
.-
W`~\~\~ ....... D'où :
~
11,50
z
~~n~~a~ ~~~~~n~ ,
~~~~~~~~~~ x2x10 7x3,25x105
MU~~. ~►=~1•~1•1• Nc (5,5 + 18,1)2
„~
5 \~
1. ~ ►~~~
N
`~~~~~ = 132,5 t + 3 t
~`~
3
2 1 1``\\~n ~~~~~
►
Le calcul exact donne : N c = 131,484 t.
1
i~~=rin~~~
~~OM~~~~~~~~~
o a,1 0;2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9
0,23
- 18-
Figure 10
On s ' aperçoit donc sur cet exemple que les abaques peuvent être
d'une certaine utilité même dans le cas de sols présentant plusieurs couches
aux modules de réaction différents .
- 19 -
4 . ABAQUES
N° page
4 .1 - POINTE ARTICULET 20
Condition en tête:
4 .1 .1 - Liberté totale 20
4 .1 .2 - Déplacement latéral possible-rotation bloquée 21
4 .1 .3 - Articulation 22
4 .1 .4 - Encastrement 23
4 .2 - POINTE ENCASTRÉE
Condition en tâte:
4 .2 .1 - Liberté totale 24
4 .2 .2 - Déplacement latéral possible - rotation
bloquée 25
4 .2 .3 - Articulation 26
4 .2 .4 - Encastrement 27
- 20 -
Nç h2
El
100
50'
40
30
20
10
5
4-
3
2
0,5
0,4
03
to.2s)
0,2
0,1
0 0,1 Q2 0,3 0,4 0,5 Q6 07 0,8 0,9 1
- 21 -
Nc h2
:2 E
100
3
Ô
8
50 m .5
40
30
'20
10
5
4
t K
mh~
3
~ El
2
1
>••11111111MINI n~.III0111L11WILIV
W
0,1
0 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 07 Q9 1
- 22 -
Nc h 2
•t 2 E
100
50
40
30
20
10
~~►•..
~7n~s~~.~.
5
~_~
n1~\"~\
4 ~~
~~►
\.fit\
3
2 (2,0456)
0,5
0,4
0,3
02
w
0,1
0 Q1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 07 0,8 Q9 1
A
0 0~ 0,3 Q4 05 Q5 07 Q8 Q9 1
- 24 -
N~ h2
72 E1
100
50
40
30
20
10
0,5
0,4
03
(425
02
w
Q1
0 0,1 Q2 Q3 Q4 0,5 Q6 07 Q8 Q9 1
~ch 2
: 2 E1
I I
i
1
- 26 -
Nc
i
T2 E!
100
50 m=5
40
m_<
30
20 m=3
10 - m=2 '
4
3 .m=1
m=0
2 (2.045b)
0,5 i
0.4
0,3
02
w
0,1
0 0,1 0,2 Q3 Q4 0,5 Q5 07 Q8 Q9
iNc - 27 -
Nc h2
A 72 E
m .7
100
50
40
30
20
10
05
0,4
0,3
02
G.)
0,1 >•
. 0 0,1 Q2 Q3 Q4 05 05 07 0,8 0,9 1