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Titre :
Réhabilitation et Renforcement des pièces en béton armé
Janvier 2019
Réhabilitation et Renforcement des pièces en béton armé
Liste d’abréviation.........................................................................................................................................................3
Introduction................................................................................................................................................................... 5
Chapitre 1 : Pathologie des ouvrages en béton..............................................................................................................6
1.1 Introduction :...............................................................................................................................................6
1.1.1 Les causes principales de la fissuration dans le béton :...........................................................................6
1.2 Pathologie Mécanique.................................................................................................................................6
1.2.1 Pathologie Physico-chimiques :................................................................................................................6
1.3 Les investigations dans le béton armé...................................................................................................................10
Chapitre 2 : Méthodes De Renforcement....................................................................................................................15
2.1 Introduction :.............................................................................................................................................15
2.2 Adjonction d’armatures complémentaires.................................................................................................15
2.3 Béton projeté :...........................................................................................................................................15
2.4 Précontrainte additionnelle :......................................................................................................................16
2.5 Tôles d’acier collées :................................................................................................................................17
Chapitre 3 : Matériaux composites..............................................................................................................................18
3.1 Introduction :.............................................................................................................................................18
3.2 Définitions :...............................................................................................................................................18
3.3 Avantages et Inconvénients :.....................................................................................................................19
3.4 Les Matrices :...........................................................................................................................................19
3.4.1 Résines :.................................................................................................................................................20
3.5 Charges et additifs.....................................................................................................................................21
3.6 Le renfort :...............................................................................................................................................21
3.7 Caractéristique des fibres :........................................................................................................................25
Chapitre 4 : Renforcement par des matériaux composites..........................................................................................26
4.1 Renforcement des poutres :.......................................................................................................................26
4.2 Renforcement des poteaux :......................................................................................................................26
4.3 Renforcement des dalles :.........................................................................................................................27
4.4 Comportement d’un poteau confiné..........................................................................................................27
4.5.1 Stratification directe :.............................................................................................................................27
4.5.2 Enroulement Filamentaire :....................................................................................................................28
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Liste d’abréviation
DF : diamètre du filament
MV : masse volumique
MEL : module d’élasticité longitudinale
MC : module de cisaillement
CP : coefficient de poisson
CRT : contrainte à la rupture en traction
AR : allongement a la rupture
CDT : coefficient a la dilatation thermique
TF : température de fusion
PRF : polymère renforce de fibre
PRFC : Polymère renforce par fibre de carbone
CEBTP : centre d’essais du bâtiment et des travaux public
AFGC : Association française de génie civil
Ac : aire d’une section de béton
As : aire de la section en acier
b : petit côté d’un poteau
D : diamètre d’un poteau
Ep : module d’un confinement
Ef : module d’élasticité en traction de composite
f1 : pression de confinement
h : grand cote d’un poteau
Kc : coefficient de forme de la section
Kh : coefficient de forme du composite
NRd : capacité portante d’un poteau
Np : nombre de plis de composite
Sf : espacement entre les bandes de composite
Tf : épaisseur du composite
Wf : largeur de la bande de composite
fud : déformation ultime de traction du composite
coefficient d’efficacité de confinement
f : facteur de réduction de la résistance
R : angle d’arrondi d’un poteau rectangulaire
Taux de ferraillage longitudinal
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Introduction
Le but principale de la réhabilitation est que l’ouvrage en béton armé doit être durable plus
longtemps possible .Alors ils doivent résister à plusieurs phénomènes chimique, physique et
mécanique. Pour assure la durabilité il existe plusieurs étapes première étape que nous avons faire
est un diagnostic précise pour connait les problèmes de l’ouvrage .Il existe deux types de
l’investigation, destructives et non destructives. Un diagnostic préalable de l’ouvrage constitue la
base nécessaire pour le choix d’une stratégie de réparation adéquate et pour permettre une évaluation
plus précise de couts
Les désordres les plus visibles dans l’ouvrages est la fissuration, éclatement du béton corrosion de
l’acier…Après l’investigation .il faut mettre des solutions précise et plus proche à la pratique. Ces
désordres sont généralement dus à des défauts de conception, mauvaise mise en œuvre ou des causes
accidentelles.
Le renforcement du béton prend plusieurs formes comme l’adjonction des aciers comme le
chemisage en béton armé. Et le renforcement par matériaux composites comme la fibre de carbone,
verre et d’aramide. Et collée par la résine et on ajoute des charges et des additifs pour plusieurs
raison.
Le renforcement par les matériaux composites a beaucoup des avantages comme la légèreté de ces
matériaux, résistance élevée en traction et autres avantages mais le principale inconvénient de ces
matières est le cout élevée par rapport au chemisage en béton armé. Et le cout est un facteur
principal dans tous les domaines.
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1.1 Introduction :
Le béton seul est un matériau très cassant lorsque soumit à un effort de traction. Cette fragilité du
béton s’exprime par l’apparition quasi obligatoire de fissure dans la vie de l’ouvrage.
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CA(OH)2+CO2CACO3+H2O
Cette réaction a pour conséquence que les deux base alcalines présente dans le béton sont
consommées, Alors une diminution du pH .Le Ph du béton est entre 13 à 13.5 après la
carbonatation il diminue jusqu’à 9.La carbonatation a un effet néfaste en réduisant la
protection chimique des armatures .Alors le symptôme est corrosion des armatures entrainant
les gonflements et voir l’éclatement du béton.
La solution est l’utilisation des ciments contenant peut de portlandite (ciment aux cendres,
Laitier) et l’utilisation du béton peu poreux (absorbation lentement le CO2)
Attaque par des ions chlorures : Présente dans l’eau de mer, sel de déverglaçage. Les chlorures
présents dans le béton provenir de deux sources. Soit ils sont présents au moment du gâchage
utilisation de l’eau contenant des chlorures ou agrégats contaminés. Soit proviennent de
l’environnement (atmosphère, sels de déverglaçage, produits chimiques...). Et provoquer
l’amorce de la corrosion.
Les symptômes sont, corrosion des armatures avec présence des fissures dans le béton,
réduction de la section des aciers, éclatement local du béton et apparition de rouille à la
surface du béton sous forme de tache non esthétique.
Les solutions : Utilisation de mortier de réparation après brossage des aciers, rajout
d’armatures par scellement ou soudage.
Les solutions préventives sont choix du béton compact, enrobage conforme aux règles,
utilisation d’armatures en acier galvanisé ou inox, Il est possible d’utiliser aciers inoxydable
pour le ferraillage mais il est plus cher que l’acier classique. Un traitement de zinc endiguera la
corrosion. On peut utiliser un béton moins poreux.
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Alcali Réaction : Cette réaction se produit entre les alcalins de la solution interstitielle du béton
et la silice ou les silicates de certains granulats. On a trois éléments nécessaires pour que la
réaction se produise :
La présence en quantité suffisante de granulats réactifs (contenant de la silice amorphe,
comme l’opale)
Une teneur de l’alcalin (sodium, potassium) élevée dans la solution interstitielle
Une humidité relative ambiante très élevée >85%
Les symptômes sont : Apparitions de réseaux de fissures multidirectionnelle et
gonflement.
La solution est : limiter la teneur en alcalin du béton, Utiliser granulats non réactifs.
Réaction sulfatique interne : Au cœur du béton au jeune âge une température élevée se forme
(65˚C) .Le béton refroidit lentement et formation de l’ettringite (minéral compose de soufre,
calcium et aluminium) qui permet de réguler la prise du ciment. En contact de l ettringite avec les
sulfates qui viennent de l’eau de mer ou de sol d’engrais un ettringite expansive se forme .alors
entrainant un faïençage profond du béton. Les solutions sont : réduire les apports d’eau exogènes.
Limiter la température du béton avec l’utilisation de ciments peu exothermiques, eau froid,
granulats refroidis par glace, Utiliser un béton moins alcalin
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Gel/dégel : L’eau pénètre dans les réseaux de fissure et de pores du béton, Lors du gel cette
eau gonfle et va éclater localement le béton. Les sels de déverglaçage ont alors un chemin pour
corroder des aciers.
Les symptômes sont : Fissuration interne par gonflement du béton à cœur.
Les solutions sont : Utilisation d’isolants pour éviter de béton de subir les températures inférieures
à zéro, Utilisation de granulats non gélifs, entraineur d’air.
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calcaire. Pour les armatures À partir de 550˚C la limite d’élasticité Re et la module de Young sont
réduits de 50%.
L’incendie a un grand effet sur le béton .Les solution de diminuer l’incendie devient préventive plus
que les curative. Maitre des détecteurs de la chaleur et de la fumée .augmenter l’enrobage du béton …
On a encore plusieurs dégradations du béton comme le choc, Abrasion, Mauvaise qualité du béton,
position incorrect des armatures …..
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Les outils indispensables pour mener à bien une inspection visuelle sont les suivantes :
Une caméra.
Un mètre.
Un pied à coulisse.
Une distance mètre.
Un fissurométre.
Le nécessaire pour prendre des notes.
Figure1 .7 Fissuromètre
L’analyse du ferraillage
Cette analyse se faire à l’aide d’un phacomètre de type Faroscan .Cet appareil est un système de
détection portable pour un examen d’armature non destructif. Il permet déterminer l’enrobage, les
diamètres de l’armature et la position exacte d’armature.
Le principe est l’émission d’un flux magnétique par l’appareil. Le phacomètre détecte la diffusion de
ce champ magnétique ainsi que les modifications de la résonnance magnétique induite par la présence
d’aciers. L’appareil mesure la variation électromagnétique due à la présence d’éléments
ferromagnétique. Plus l’armature à un diamètre important plus le signal sera important, et plus
l’épaisseur d’enrobage est importante plus le signal sera faible important, la profondeur d’auscultations
avec cet appareil est limité de l’ordre 10 à 15 cm selon le type de bétons et le type d’armature.
Il existe principalement deux méthodes de la mesure :
La détection par ligne.
La détection par fenêtres.
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L’auscultation sonique
Cet appareil permet de mesurer le temps de propagation d’un train d’ondes sonores. Entre deux points.
L’appareil mesure le temps nécessaire à l’onde pour atteindre le récepteur qui la convertit en signal
électrique .Connaissant la distance de l’émetteur au récepteur, il est possible de connaitre la vitesse de
propagation de l’onde dans le milieu.
Tableau 1 1 Résultats d’essai obtenue par CEBTP sur l’auscultation sonique des bétons
Scléromètre
Le principe de cet essai est la relation entre la résistance en compression et la dureté d’un matériau.
Pour déterminer la dureté, une bille d’acier est projetée sur une sonde en contact avec l’ouvrage à
inspecter. Lors de ce rebond la bille entraine un index coulissant sur une règle de mesure. Plus le
rebond sera important, plus le matériau sera dur. Il Ya différents paramètres peuvent influer sur les
résultats, l’inclinaison du scléromètre, homogénéité du béton. Il peut être intéressant de coupler ces
résultats avec des essais de résistance à la compression sur des prélèvements de la zone étudiée.
Figure 1 9 Scléromètre
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Prélèvements d’aciers : On utilise les prélèvements d’aciers lorsqu’ un recalcule d’une structure
est demandé. Il est importants de déterminer leur type d’aciers (lisse, toron, haute adhérence) la limite
d’élasticité .Le prélèvements de l’acier se faire par tronçonnage les armatures après l’avoir
préalablement dégagé du béton adjacent. Il est préférable de faire dans les zones saines pour ne pas
risquer de fragiliser encore plus la structure à cet endroit.
Il peut parfois prélever l’acier dans des zones touchées par des pathologies. Telle que la corrosion de
l’armature afin de pouvoir déterminer son avancement pour avoir déterminé l’aciers ajouter pour
redonner à l’état finale.
Potentiel de corrosion : Pour faire cet essai il faut que l’acier doivent être discontinu et il n Ya pas des
revêtements du surface parce que le revêtement agir comme isolant pour mettre en place des pontages
électriques. Le principe de la mesure est de mettre. Le principe de la mesure est de mettre à nu une
armature puis de connecter à une borne d’un millivoltmètre. Une électrode de référence est placement
sur le parement, elle-même est reliée par une autre borne d’un millivoltmètre.
La norme ASTM C876-91 fait une corrélation entre le potentiel mesurée et la probabilité de la
corrosion .Ainsi, on utilisant une électrode Cu/CuSo4 on a la relation suivante :
Tableau 1 2 critères de corrosion
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Test à la carbonatation : Le principe de ce test repose sur le fait que le PH du béton sain est plus grand
que le béton carbonaté. Pour déterminer la zone carbonatée on utilise un indicateur coloré
(phénolphtaléine).On prend un échantillon et on mettre le phenolphtaleine.la couleur dépend du ph.
8,2<PH<12 le couleur devient rose au-delà et au-deçà devient incolore.
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2.1 Introduction :
La santé de la structure diminuée par le temps. Il faut le traiter par renforcer les types des structures
par plusieurs formes et types. Et quand nous avons faire ce renforcement on augmenter la dureté du
structure. Il Ya beaucoup des solutions techniques sont disponible. Il faut choisir des solutions
efficaces après une diagnostique précises.
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Le collage de la plaque à la surface du béton assure un bon transfert des efforts et permet ainsi une
augmentation de la résistance et de la raideur de la structure renforcé. Ces plaques effectué un
renforcement longitudinale, transversale ou pour confiner des colonnes en béton. Quelque
inconvénient de ces plaques comme la corrosion de l’acier la difficulté de la mise en œuvre, la durée
etc. La description de cette méthode est d’abord on va mettre des liants pour coller les plaques come le
résine époxy ce résine assure l’adhérence sur l’acier et sur le béton. La surface du béton doit être
rugueuse, la tôle à une épaisseur standard 3 mm
Pour être cette technique efficace. Il faut que :
Maintenance et protection de l’acier
Les plaques sont lourdes et raideur
Les surfaces ne doivent pas être concaves
Eviter les bulles d’air entre la tôle et le support et ça c’est très difficile
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3.2 Définitions :
Le matériau composite est un assemblage de deux matériaux composite non miscibles mais ayant une
forte capacité d’adhésion. Ce matériau est constitué d’un matrice (Phase continue) qui assure la
protection qui et le plus souvent des matières plastique (résine thermoplastique, résine
thermodurcissable) et qui assure la cohésion de la structure et la transmission des efforts vers le
renfort. Renfort (Phase discontinue) qui assure la tenue mécanique.
On peut classer les matériaux composites en trois familles selon la nature de la matrice :
Composite à matrice organique. Utiliser dans le domaine d’imprimerie, bâtiment .toitures et
automobile.et qui constitue d élastomère et résine,
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Composite à matrice minérale. Utiliser dans le domaine du génie civile, espace et aviation et
qui constitue des ciments sable, fibres.
Composite à matrice métallique .Utiliser dans le domaine d’aérospatiale et qui constitue de
fibre de bore d’aluminium, fibre de carbone.
Avantages Inconvénients
Très légers Cout élevé
Ils résistent à la corrosion
Résistent en traction, compression, flexion et
l’impact
Résistent à la pluie
Conductivités thermique faible
Résistant au feu
Bonne étanchéité
Pas d’entretien
Facilite la mise en œuvre
3.4 Les Matrices :
Les matrices est composés d’un résine et de charge dont le but d’améliorer les caractéristiques de
résine par diminution le cout de production et d’un point de vue mécanique résine-charge se comporte
comme un matériau homogène. Le but principale de la matrice et de transmettre l’effort mécanique au
renfort et de protecteur le renfort aux conditions environnementales.99% de matrice utilisé est un
matrice organique.
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3.4.1 Résines :
Les résines sont des polymères modifies par diffèrent additifs et adjuvants. On a deux grandes familles
de résines, Thermoplastiques et thermodurcissables.
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3.6 Le renfort :
Il peut se présenter sous de nombreuse forme, fibres courtes (mat) ou continues (textures
multidirectionnelles).Il est le squelette supportant les efforts mécanique et il a une bonne résistance à
la traction plus que la compression. Ces renforts sont constitués par milliers de filament de diamètre
entre 5 et 15 micromètres.
Les fibres : assurent la résistance mécanique et les rigidités des matières composites
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Faible densité
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Les fibres d’aramide a une bonne caractéristique mécanique .Il est connu sous le nom
de « Kevlar ».Ces fibres sont étirée et traitées thermiquement afin d’augmenter le module de
l’élasticité
Tableau 3 8 Avantage et inconvénients de la fibre d’aramide
Avantages Inconvénients
Légèreté Faible résistance à la compression, Flambement et
flexion
Résistance au choc, impact et l’abrasion Sensible au cisaillement
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contrôlée par ordinateur. Cette technique permet la précision de l’épaisseur du PRF, l’orientation des
fibres et le contrôle de la fraction du volume.
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Figure 4 8 Rupture du
composite en compression simple
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Section 30*30 cm
Hauteur de l’étage 3m
Surface d’influence 24m2
G=8kN/m2
Q=1.5kN/m2
As =4HA12 de section 4.52cm2
Fck=30Mpa
Fyk=500Mpa
e =3cm
Densité du béton=25kN/m3
Encastré en bas et articulé en haut l0=0.7l =0.7*3=2.1m
6 étages
λ béton=1.5 et λ acier=1.15
Fcd=20Mpa et Fyd=435Mpa
A cause du changement De la catégorie des charges d’exploitation du bâtiment résidentiel à stockage
selon la norme NF P 06-001 Locaux de réserves, dépôts ou stockage Q entre 3.5 à 6 KN/m 2 .On prend
6KN/m2.
Pu= (1.35*8*24+1.5*6*24)*6 =2.85 MN .On multiplie fois 5% pour prendre le poids propre du
poteau=3MN
Selon l’EC2 : Méthodes simplifiée pour les sections rectangulaires
Capacité portante d’un poteau rectangulaire : NRd =Kh *Ks * (b*h*fcd + As*Fyd) =1.32
MN
Coefficient de flambement pour =0.74
Elancement /i =24.3
Lf : longueur de flambement =2.1
i : rayon de giration=√ (I/B) = (0.3*√ 3)/6 =0.086
I moment d’inertie de la section transversale dans le plan de flambement
Aire de la section transversale
h = (0.75 + 0.5*h)*(1-6*) pour h<50 cm Kh = 0.89
H : petit dimension d’un poteau =0.3 m
pourcentage mécanique d’armature =As/bh <3% =0.5%
enrobage relatif =d’/h <0.3 =0.1
s = 1,
NRd =1.32 <3MN alors on doit augmenter la section pour être capable de supporte ce charge.
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Pour NRd =3 MN on a besoin une section =0.22 m2 alors on prend une section 50*45cm2.
=0.225m2 pour la pratique
Section finale –section initiale = 0.135 m2 om prend 0.14m2
Alors on prend une section 40 *35 cm2 et elle doit supporter une charge de 3-1.32=1.68MN
2.1/0.1 =21
h = 0.87
Ks =1
As=-5.95cm2 .La valeur négative signifie que le béton seul peut suffit à reprendre la totalité de
l’effort de compression. Alors on met de pourcentage minimum
As min = 0.1*Ned/435 =0.1*1.68/435=3.86cm 2 >0.002*1400>2.8cm2.Alors on met des aciers
minimaux de de 4HA12 de section 4.52cm2
As max = 0.04 *40*35 =56 cm2
Espacement des barres d> max (20mm) d>20mm
t> max (6 mm et l/4) on prend 6mm
St < min (280, 350,400) on prend 28cm
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Nettoyage et sablage du support initial de béton. La surface doit être rugueuse pour l’adhérence
entre la nouvelle et l’ancienne section.
Scellement de chevilles pour fixation les armatures additionnelles par des trous et enlevés les
poussières par climatiseurs et on met d’époxy pour fixation le scellement
Fixation des armatures additionnelles sur la tige d’ancrage
Etalage une couche d’époxy sur la surface de béton primitif
Coulage de l’enveloppe en béton
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F1 = Ep * fud
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Le poteau renforcé par le PRFC peut supporter une charge maximale Nrd avec
Nrd < γλ (Ac*fcd, c+As*fyd)
γλ = (0.85/ (1+0.2(λ/35)2) = (0.85/ (1+0.2(26/35)2) =0.775
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Alors lorsqu’ on renforce par 1 lit on obtient NRd=2.19MN, Ce signifie qu’on doit ajouter jusque on
obtient NRd> 2MN. Alors on renforce par deux lits et demi lit .
Longeure de recouvrement de PRFC : lrec > max (Fu, f, d *tf/Tfd, d et10cm) avec
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Prix total de
renforcement 470$
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Conclusion
Le cout dans le domaine d’ingénierie est très important. Donc l’ingénieure doit prendre en
considération le cout dans toutes les études. Les matériaux composites devenu très efficace dans le
différent domaine, (civil, mécanique...).
L’utilisation des matériaux composite est applicable à tous les types structural de bâtiment, poteau,
poutre, dalle et mur de maçonnerie .Dans ce projet je choisie le type poteau parque il est moins
compliqué que les autres types et parce que les nombres des pages est limitée
Je fais une comparaison entre le renforcement en chemisage et PRFC pour faire une conclure à la fin.
Tous les types du renfort a des inconvénients et des avantages. Les deux types ont des avantages
communs comme l’augmentation de la portance de la Poteau, rigidité. Le principale inconvénient des
matériaux composites est le cout élevé c’est à peu près deux fois le cout du renforcement par le
chemisage.
L’opération que nous avons faire avant le renforcement est de faire des investigations et des études
efficace pour connue les pathologies puis on mettre des solutions.
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On a différents types des pathologies (physique. Mécanique et chimique), différents instruments pour
faire une investigation et différents types de la solution.
Les ingénieures doivent faire des bonnes investigations et connaitre les problèmes et de mettre des
solutions efficaces de tous les aspects de façon économique
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Références
OULD EL HACEN Zain El Abidine “ Renforcement du béton par les matières composites”
.Mémoire du master de l’université Tébessa 2016.
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